Édition Évolutions récentes du commerce de détail en Bretagne

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1 Édition 2012 Évolutions récentes du commerce de détail en Bretagne

2 Toute reproduction même partielle de ce document doit être obligatoirement soumise à l autorisation de la CCI Bretagne (loi du 11 mars 1957 sur la protection des droits d auteur). CCI Bretagne Dépôt légal septembre 2012 ISSN Impression : Imprimerie des Hauts de Vilaine

3 Editorial Professionnels du commerce, acteurs politiques et économiques, vous êtes à la recherche de données fiables, complètes et mises à jour régulièrement sur l appareil commercial breton, sa structure, son évolution, sa contribution à l économie et à l équilibre territorial régional et local. La CCI Bretagne vous propose, dans le cadre de l Observatoire Régional du Commerce qu elle anime, de bénéficier de données et d outils au service de votre réflexion. À travers le Panorama du Commerce de détail en Bretagne, nous mettons à votre disposition un ouvrage centré sur l analyse des évolutions conjoncturelles, regroupant dans un même document la plupart des indicateurs économiques et sociaux permettant d appréhender les principales tendances récentes qu a connues le commerce de détail breton. Les indicateurs proposés sont issus d un travail de collecte et d harmonisation des données les plus récentes provenant de différentes sources et tout particulièrement des observatoires locaux des Chambres de Commerce et d Industrie territoriales de Bretagne. Notre volonté à travers ces travaux est de mettre notre expertise au service des acteurs locaux et régionaux, élus, acteurs économiques et professionnels du commerce. Elle est aussi de renforcer la concertation et la réflexion partagée de tous en matière d équipement et d urbanisme commercial en s appuyant sur un outil commun et de référence. Dans une période d évolution très forte de la distribution et du contexte démographique de la Bretagne, nous devons tous œuvrer ensemble à la recherche de nouveaux équilibres, prenant en compte la réalité des territoires bretons et s engageant dans une perspective de développement durable. Je vous en souhaite bonne lecture. François EVEILLARD Président Commission régionale Commerce CCI Bretagne Les établissements commerciaux Les ressources humaines du commerce L urbanisme commercial L activité du commerce et la consommation Le commerce et l équilibre du territoire Glossaire méthodologique

4 Les établissements commerciaux Le commerce de détail en Bretagne représente, en 2012, plus de établissements exerçant leur activité sur une surface de vente cumulée de 5,75 millions de m². Pour la première année depuis plus de dix ans d observation, ce parc commercial s est stabilisé. Dans un contexte de conjoncture économique moins favorable, les créations et les reprises ont été moins dynamiques et dans le même temps, le nombre de fermetures n a cessé de progresser. Le parc d établissements commerciaux L Observatoire Régional du Commerce (ORC) comptabilise en Bretagne, en 2012, commerces de détail. Le secteur hygiène-santé et l alimentaire (avec respectivement 21 % et 18 % des établissements) représentent les principales composantes du parc d établissements devant l équipement de la personne (17 %) et l équipement de la maison (14 %). Les commerces généralistes représentent seulement 7 % des points de vente. La catégorie «culture, loisirs et services», très disparate, regroupe notamment des commerces spécialisés dans la librairie, les articles de sport, le dépôt-vente et les tabac-presse. Le parc d établissements commerciaux breton s est stabilisé (- 4 magasins) au cours de l année Cette quasi-stabilité du tissu commercial breton, fait suite à une hausse en 2010 de près de 400 unités supplémentaires. En 2011, comme l année précédente, les secteurs hygiène-santé et équipement de la personne ont été les plus dynamiques (respectivement 90 et 36 établissements supplémentaires), tous les autres types d activités ayant vu leur parc plus ou moins diminuer en Cette stagnation de l offre commerciale au niveau régional masque des dynamiques différentes d un département à l autre : les Côtes d Armor et le Morbihan enregistrent une croissance de leur tissu commercial, le Finistère affiche un maintien de son parc tandis que l Ille-et- Vilaine présente un taux d évolution en retrait, conséquence d un taux de mortalité important non compensé par les créations et les reprises. La population bretonne dispose en 2012 de 81 établissements commerciaux pour habitants. Le Morbihan bénéficie toujours d une présence commerciale plus forte que les trois autres départements (90 établissements pour habitants), liée en particulier à l alimentaire, permettant l hypothèse d une contribution plus forte du tourisme à l équipement commercial dans ce département. La densité est inversement plus faible, en Ille-et-Vilaine et dans le Finistère (respectivement 74 et 78 établissements pour habitants). Les formes sociétales sont le mode d exploitation commerciale principal, choisi aujourd hui par deux tiers des commerçants bretons ; la SARL étant le statut juridique privilégié par les commerçants (47 % de l ensemble des commerces). L année 2011 confirme le recul des formes d exploitations individuelles (sous statut artisan-commerçant ou exploitation personnelle). Elles ne représentent plus que 34 % des commerces, contre 43 % cinq ans plus tôt. Selon les estimations de l ORC, le commerce breton, couvre une surface commerciale totale de 5,75 millions de m² en Ce plancher commercial s est peu étendu en un an ( m²), soit une progression de + 0,8 %, inférieure à celle observée l année précédente (+ 1,7 %) et à la moyenne des cinq dernières années (+ 2 % par an en moyenne annuelle). La création, la transmission et la fermeture de commerces commerces se sont ouverts en Bretagne en L année est marquée par un moindre dynamisme en matière de création (123 ouvertures de moins que l année dernière et 114 ouvertures de moins par rapport à la moyenne sur les cinq dernières années). Le taux de création, de 53 commerces pour habitants en moyenne régionale, présente des écarts d un département à l autre (taux de création variant de 42 à 78). Il diffère également assez nettement selon les activités : l équipement de la maison, l équipement de la personne et les activités culture, loisirs et services présentent les taux de création les plus élevés (respectivement 10, 11 et 15 créations pour habitants) tandis que les généralistes affichent un taux plus en retrait (2 créations pour habitants). Le nombre d établissements commerciaux ayant changé de propriétaire ou de gérant en Bretagne, au cours de l année 2011, est en légère baisse : 974 (contre en 2010), soit un taux de reprise moyen de 31 commerces pour habitants pour cette année. 40 % des reprises concernent les commerces généralistes et alimentaires, 25 % les activités hygiène-santé et 17 % les établissements de culture, loisirs et services. En 2011, établissements commerciaux ont été fermés en Bretagne, soit près de 200 de plus qu en Le taux de mortalité (83 commerces pour habitants en moyenne régionale) varie d un département à l autre avec une mortalité plus nette dans le Morbihan et plutôt en retrait dans le Finistère et les Côtes d Armor. Toutes les activités ont vu leur nombre de fermetures augmenter. Culture, loisirs, services et alimentaire sont les secteurs présentant les taux de mortalité les plus élevés. Evolution du commerce de détail en Bretagne

5 0 Etablissements commerciaux par activité Nombre d établissements Evolution du nombre sur 1 an Taux d évolution sur 1 an Taux d évolution annuel moyen sur 5 ans Généralistes ,9 % + 1,2 % Alimentaire ,3 % - 0,1 % Équipement de la maison ,1 % + 0,8 % Équipement de la personne ,8 % + 2,5 % Hygiène-santé ,7 % + 2,3 % Culture, loisirs ,6 % -0,5 % et services Etablissements commerciaux par département Nombre d établissements Taux d évolution sur 1 an Taux d évolution annuel moyen sur 5 ans Côtes d Armor ,8 % + 2,5 % Finistère ,2 % Ille-et-Vilaine ,5 % - 0,3 % Morbihan ,3 % + 0,8 % Bretagne ,9 % Densité et démographie des établissements commerciaux Bretagne Taux de création pour hab. Taux de reprise pour hab Taux de radiation pour hab. Nombre de points de vente pour hab. Source : CCI Bretagne - Champ : ORC Taux de création, reprise, radiation - année 2011 Nombre de points de vente 2012 Surface totale (en millions de m 2 ) Surface commerciale Évolution de la surface totale sur 1 an en m 2 en % Evolution de la surface totale en cumul sur 5 ans Côtes d Armor 1, ,2 % m 2 (+ 11,7 %) Finistère 1, ,2 % m 2 (+ 11,9 %) Ille-et-Vilaine 1, ,1 % Morbihan 1, ,1 % m 2 (+ 8,4 %) m 2 (+ 12,2 %) Bretagne 5, ,8 % m 2 (+ 10,9 %) Etablissements commerciaux par forme juridique Entreprises individuelles Sociétés dont SARL dont SA dont Sociétés en nom collectif Côtes d Armor Finistère Ille-et-Vilaine Morbihan Bretagne Observatoire Régional du Commerce de Bretagne

6 Les ressources humaines du commerce Le commerce emploie près de actifs en Bretagne et connait, après une année de repli, une relative stabilité de ses effectifs en Le nombre de demandeurs d emploi dans le commerce inscrits à Pôle Emploi progresse toujours et parallèlement, les offres déposées par les entreprises sont en retrait. Alors que les effectifs en formation initiale aux métiers du commerce augmentent de nouveau, l effort de formation continue dans les entreprises tend plutôt à régresser. L emploi Près de actifs exercent en 2011 leur profession dans le commerce de détail en Bretagne, dont 82 % de salariés. 34 % d entre eux travaillent dans les commerces généralistes, 15 % dans les activités culture, loisirs et services, 14 % dans l alimentaire et l hygiène-santé, 13 % dans l équipement de la maison et enfin 10 % dans l équipement de la personne. Les effectifs du commerce de détail breton sont restés globalement stables sur l année 2010 (- 0,1 % des effectifs par rapport à l année précédente). L évolution est variable selon les départements : l Ille-et-Vilaine présente une légère croissance des effectifs (+ 0,1 %), le Morbihan et les Côtes d Armor assurent le maintien de leurs postes et le Finistère enregistre un très léger repli (- 0,5 %). La stabilité des effectifs en Bretagne en 2010 contraste quelque peu avec le rebond de l emploi observé au niveau national (+ 0,8 % selon l INSEE sur le champ du commerce de détail hors artisanat commercial) et avec les taux de croissance annuels observés en Bretagne sur les cinq dernières années, compris entre + 1 % et + 2 % par an, à l exception de 2009 qui fut marquée par une contraction des effectifs dans le commerce. Le marché du travail Fin 2011, Pôle Emploi enregistrait en Bretagne près de demandeurs d emploi (catégories A, B, C) dans les métiers relevant du commerce de détail. Les femmes restent largement majoritaires parmi les demandeurs d emploi (71 %). Alors que près de six demandeurs d emploi sur dix sont âgés de 25 à 49 ans dans le commerce (63 % tous secteurs confondus), les jeunes de moins de 25 ans sont particulièrement représentés dans ce secteur : ils représentent trois demandeurs sur dix contre 17 %, tous secteurs confondus. La demande d emploi dans les métiers du commerce de détail a augmenté d un peu plus de personnes en 2011 soit une hausse de 7,1 % par rapport à l année précédente. Cette augmentation des demandes d emploi dans le commerce est particulièrement marquée chez les seniors de 50 ans et plus (+ 15,2 %, demandeurs supplémentaires). Les entreprises commerciales bretonnes ont proposé en parallèle, via Pôle Emploi, près de offres d emploi au cours de l année 2011, soit un recul de 2,2 % par rapport à l année précédente. Seul le département de l Ille-et-Vilaine voit ses offres d emploi augmenter. La formation En 2011, en Bretagne, plus de personnes ont suivi une formation initiale aux métiers du commerce (hors formation agricole), soit une hausse de plus de 500 élèves par rapport à Tandis que les effectifs sous statut scolaire ont progressé de + 8,3 % en un an, les effectifs en formation initale par apprentissage ont enregistré une légère baisse (- 3,2 %). L Ille-et-Vilaine a accueilli 32 % de l ensemble des effectifs, le Finistère 27 %, le Morbihan 23 % et les Côtes d Armor 18 %. Les effectifs en formation aux métiers du commerce sont restés relativement stables depuis 2005 (en moyenne un peu plus de en année terminale de formation par an). La formation initiale par apprentissage représente en 2011 un cinquième des effectifs en formation dans le commerce, tous niveaux de formation confondus. Près d un élève sur dix opte désormais pour la voie de l apprentissage dans les formations de niveau III ou IV et un peu moins de deux sur trois en niveau V. Près de 320 personnes (principalement des demandeurs d emploi) ont participé au «Programme régional des stages» en 2010, soit 31 % de plus par rapport à l année précédente. La durée moyenne de ces stages a en revanche été plus courte (899 heures contre en 2009, soit une baisse de 12 %). Un peu plus de actifs issus des entreprises commerciales de moins de 10 salariés ont bénéficié en 2010 d une formation continue spécialisée dans le commerce. L effort de formation a été moins important puisqu en 2009 plus de actifs étaient concernés. La durée moyenne de formation est en revanche stable depuis 2005 (entre 19 et 21 heures sur les cinq dernières années d observation). Evolution du commerce de détail en Bretagne

7 Effectifs permanents du commerce de détail Emploi total (salarié et non salarié) Emploi salarié Effectif Evolution sur 1 an (en effectif) Evolution sur 1 an Evolution sur 5 ans Effectif Evolution sur 1 an Evolution sur 5 ans Côtes d Armor ,9 % ,7 % + 5,5 % Finistère ,5 % + 3,4 % ,9% + 3,8 % Ille-et-Vilaine ,1 % + 5,5 % ,0 % Morbihan ,6 % ,4 % + 3,1 % Bretagne ,1 % + 4,7 % ,5 % + 4,6 % Sources : CCI Bretagne - données provisoires d après Pôle emploi, INSEE et fichiers des CCI de Bretagne Champ : ORC - données au 01/01/11 Source : Pôle emploi - Champ ORC - données au 01/01/11 Marché de l emploi du commerce de détail Offres d emploi (flux sur l année) Demandes d emploi (stock en fin d année) Offres déposées durant l année (catégories A, B et C) Evolution sur un an Effectif au 31/12/2011 Evolution sur un an Côtes d Armor ,0 % Finistère ,0 % Ille-et-Vilaine ,0 % Morbihan ,5 % Bretagne ,5 % Source : DIRECCTE Bretagne d après Pôle Emploi - données 2011 Demandeurs d'emploi de catégories A, B, C ,1 % dont femmes ,9 % dont jeunes de moins de 25 ans ,8 % dont longue durée ,0 % Source : DIRECCTE Bretagne d après DARES Pôle Emploi - données au 31/12/11 Effectifs en formation initiale aux métiers du commerce par niveau Nbre d étudiants par niveau Niveau II et I 195 Côtes d'armor Niveau III Finistère Niveau IV Ille-et-Vilaine Niveau V Morbihan Nbre d étudiants par département Ensemble Bretagne par département Source : CCI Bretagne d après Rectorat données promotion 2010 /2011 Programme régional des stages (principalement demandeurs d emploi) Statut apprentissage Statut scolaire Formation continue dans le commerce de détail Nombre de stagiaires Nombre d heures stagiaires Durée moyenne de formation (en heures) Taux d évolution sur 5 ans (moyenne annuelle) Taux d évolution sur 5 ans (moyenne annuelle) Taux d évolution sur 5 ans (moyenne annuelle) ,3 % ,8 % ,0 % Actifs des entreprises de plus de 10 salariés nc nc nc nc nc 71 nc Actifs des entreprises de moins de 10 salariés ,8 % ,8 % Source : CCI Bretagne d après Conseil régional (PRS), DIRECCTE Bretagne (+ 10 salariés) et FAFTIC (- 10 salariés) données 2009 et 2010 et évolution moyenne annuelle Observatoire Régional du Commerce de Bretagne

8 L urbanisme commercial Le plancher commercial des Grandes et Moyennes Surfaces de 300 m² et plus présentes sur le territoire breton couvre désormais 4 millions de m². Le ralentissement de la croissance de la surface de vente initié en 2010 se poursuit en 2011, avec la plus modeste progression (+ 1,3 %) des cinq dernières années. Parallèlement, 90 % des 117 dossiers d autorisation d exploiter présentés dans les CDAC bretonnes ont été accordés représentant m² de surface commerciale supplémentaire. L équipement en Grandes et Moyennes Surfaces La Bretagne compte, en 2012, grandes et moyennes surfaces (GMS) de 300 m² et plus, dont un peu moins d un quart de généralistes. Ces établissements commerciaux couvrent un plancher commercial de 4 millions de m². Les GMS spécialisées occupent les deux tiers de ce plancher commercial avec 43 % de la surface totale dédiée à la seule activité liée à l équipement de la maison. La structure du parc commercial présente des caractéristiques différentes selon les départements bretons, notamment en ce qui concerne le poids relatif des surfaces généralistes et celui du secteur culture-loisirs. La part du plancher commercial prise par les hypermarchés est ainsi plus accentuée dans les Côtes d Armor et l Ille-et-Vilaine tandis que les supermarchés occupent comparativement davantage de surfaces dans le Morbihan. Si le poids relatif du commerce spécialisé en équipement de la maison et en équipement de la personne est comparable dans les quatre départements bretons, le secteur culture-loisirs tient une place plus importante dans le Finistère et l Ille-et-Vilaine. La densité commerciale en surfaces généralistes est plus élevée en Bretagne (405 m² pour habitants) qu en moyenne nationale* (338 m²). Ce constat se vérifie tant pour les hypermarchés (195 m² contre 164 m²) que pour les supermarchés (163 m² contre 118 m²). Inversement, la densité du hard discount est moindre en Bretagne (47 m² contre 56 m² au national). La densité des généralistes est plus faible en Ille-et-Vilaine (374 m²) et plus forte dans les Côtes d Armor (425 m² contre 414 et 417 m² dans le Finistère et le Morbihan). Le Morbihan présente un profil atypique par rapport aux autres départements avec une présence des hypermarchés nettement moindre qu ailleurs (163 m² contre 196 m² dans le Finistère, 208 dans les Côtes d Armor et 209 en Ille-et-Vilaine) et, à l inverse, une sur-représentation des supermarchés (203 m² contre 172 dans le Finistère, 166 dans les Côtes d Armor et 125 en Ille-et-Vilaine). La présence du hard discount est sensiblement comparable dans les quatre départements (de 40 à 51 m² pour habitants). L évolution du parc de GMS La surface des commerces bretons de 300 m² et plus a augmenté en 2011 de m², soit une progression de 1,3 %. Cette évolution globale du plancher commercial s inscrit dans la stabilité amorcée l an dernier, rompant ainsi avec la tendance observée au cours des cinq dernières années (taux de croissance annuel moyen : + 4 %). Cette évolution résulte de l ouverture l an dernier de 155 nouvelles GMS, de 63 extensions de surfaces de GMS existantes et de 147 fermetures. Comme l an passé, la progression du plancher commercial en 2011 s explique à la fois par une augmentation modérée des surfaces généralistes et des surfaces spécialisées, contrairement à la période précédente, où l essentiel de la croissance était lié à l extension du plancher commercial de la distribution spécialisée. L évolution des GMS généralistes affiche un rythme de progression deux fois moindre à celui de l an dernier (+ 1,6 % en 2011 contre + 3,1 % en 2010), en rupture avec la moyenne des cinq années antérieures (taux de croissance annuel moyen de 3,3 %). Seuls les hypermarchés enregistrent une hausse de leur plancher commercial conforme aux années antérieures (+ 3,0 %), hausse qui s explique essentiellement par le fait de l extension de supermarchés. L année 2011 est particulièrement marquée par la stabilisation des surfaces en hard-discount (+ 0,4 %), après la forte croissance enregistrée ces dernières années (+ 10,2 % en 2010, + 15,5 % en 2009, + 8,0 % en 2008). Le plancher commercial de la distribution spécialisée s est également peu développé en 2011 (+ 1,2 %), dans la tendance déjà ralentie des années 2009 et 2010, eu égard aux évolutions enregistrées au cours des années 2000 (taux de croissance annuel compris entre 4 et 8 %). L équipement de la maison a renoué avec une croissance de sa surface, après une année 2010 de stabilisation. L équipement de la personne continue de croître mais à un rythme moins élevé (+ 3,5 %) qu en 2010 (+ 5,7 %). L urbanisme commercial : les autorisations d exploiter L équipement commercial est régulé depuis 2008 par les Commissions Départementales d Aménagement Commercial (CDAC) qui statuent sur l autorisation d exploiter, uniquement pour les projets de surface supérieure à m². (Décret n du 24 novembre 2008, relatif à l aménagement commercial, pris en application de la Loi de Modernisation de l Economie promulguée en août 2008 qui relève, pour la grande distribution, le seuil d autorisation des surfaces commerciales de 300 à m²). En 2011, 117 dossiers de création ou d extension de Grandes et Moyennes Surfaces (soit 11 % de moins qu en 2010) ont fait l objet d une présentation en CDAC en Bretagne, pour une demande totale de m² de surfaces de ventes nouvelles ( m² supplémentaires par rapport à l année antérieure). Le taux d acceptation résultant des décisions prises par ces commissions est de 90 % en nombre de dossiers et 83 % en surface. * Les comparaisons des densités commerciales avec les données nationales ne sont possibles qu à l échelle des commerces généralistes. La comparaison pour les supermarchés s est faite sur le périmètre suivant (GMS dont la surface est comprise entre 400 et m²), les deux autres composantes des généralistes (hypermarchés et hard discount) ayant les mêmes périmètres. Evolution du commerce de détail en Bretagne

9 Nombre et surface des établissements commerciaux de 300 m 2 et plus par activité Nombre d établissements Evolution du nombre sur 1 an Surface en milliers de m 2 Evolution de la surface sur 1 an Généralistes dont : Hypermarchés Supermarchés Hard discount Grands magasins/magasins populaires Spécialisés dont : Equipement de la maison Equipement de la personne Culture-Loisirs Autres Ensemble ,5 % Taux d évolution de la surface sur 1 an + 1,6 % + 0,6 % + 0,4 % + 1,2 % + 1,5 % + 0,3 % + 1,3 % + 3,0 % + 3,5 % Répartition de la surface des établissements commerciaux de 300 m 2 et plus Bretagne 8,7 % 7,7 % 15,5 % 7,9 % 10,2 % 7,7 % 42,4 % 14,8 % 13,5 % 3,5 % 8,3 % 5,9 % 7,3 % 8,8 % 41,5 % 7,7 % 7,3 % 41,9 % 17,6 % 13,3 % 14,7 % 4,7 % 16,7 % 4,3 % 9,8 % 7,9 % 7,1% 45,2 % 16,4 % 10,4 % 3,2 % 7,9 % 43,0 % Généralistes m 2 Hypermarchés m 2 Supermarchés Hard discount 13,4 % 3,8 % Spécialisés Equipement de la maison Equipement de la personne Culture-loisirs Autres Equipement commercial - Dossiers soumis à autorisation Nombre de dossiers déposés % de dossiers acceptés Surfaces sollicitées (m 2 ) % de surfaces acceptées Surface moyenne acceptée (m 2 ) Côtes d Armor % % Finistère % % Ille-et-Vilaine % % Morbihan % % Bretagne % % Source : CCI Bretagne - Champ : ORC, d après sites préfectures départementales - données 2011 Observatoire Régional du Commerce de Bretagne

10 L activité du commerce et la consommation En 2011, l activité des commerçants semble poursuivre son timide redressement amorcé en 2010, sans pour autant retrouver son niveau d avant crise ; une fragile reprise portée notamment par une croissance toute relative des dépenses des ménages, dans un contexte où leur pouvoir d achat n augmente plus. Dans cette économie incertaine, les chefs d entreprises restent prudents malgré des perspectives d activité qui paraissent mieux orientées, tant dans le commerce généraliste que spécialisé. L activité du commerce L Observatoire Régional du Commerce estime le chiffre d affaires 2010 de l ensemble du commerce de détail breton à 22,6 milliards d euros. Ce chiffre d affaires a connu une très faible progression sur l année (+ 0,6 %), hausse conforme à celle de l année antérieure, en rupture sensible par rapport au rythme de la période précédente (+ 2,1 % en 2008, + 4,3 % en 2007, + 3,9 % en 2006). Ce taux régional moyen masque une tendance légèrement plus favorable en Ille-et-Vilaine et dans le Morbihan. Cette croissance timide de l activité du commerce breton s inscrit dans les tendances nationales. Selon les mêmes estimations, la grande distribution généraliste (hypermarchés, supermarchés, supérettes, hard discount) contribue pour moitié à la formation de ce chiffre d affaires. Les GMS généralistes ont enregistré en 2010 en Bretagne une progression de leur volume d activités de + 3,6 %, hausse proche de la tendance observée au niveau national (+ 3,4 %) et fortement impactée par l effet prix des carburants. Les données disponibles ne permettant pas actuellement d estimer le chiffre d affaires 2011, l analyse des enquêtes récentes de conjoncture réalisées auprès des détaillants et de l évolution des indicateurs de consommation des ménages, laisse néanmoins présager que l activité du commerce de détail ne connaîtra pas de hausse sensible en 2011 et progressera au même rythme qu en Dans une économie encore incertaine, marquée par les effets de la crise, les commerçants font preuve de prudence à l égard de l évolution de leur activité. Selon les chefs d entreprises interrogés en juillet 2012 par l INSEE, le climat conjoncturel reste peu favorable dans le commerce de détail : l indicateur synthétique du climat des affaires, mesuré à partir d enquêtes mensuelles, se stabilise, se situant toujours en dessous de sa moyenne sur longue période. Selon les professionnels, l activité des derniers mois a continué de se dégrader tant pour le commerce généraliste que pour le commerce spécialisé mais les perspectives générales d activité semblent cependant moins moroses, avec des prévisions de ventes et des intentions de commandes mieux orientées. La consommation des ménages Au plan national, les dépenses des ménages ralentissent en 2011 (+ 0,3 % en volume), après une hausse toute relative de + 1,4 % en Cette évolution intervient dans un contexte où le pouvoir d achat des ménages ne progresse plus. Cette consommation atone concerne quasiment tous les postes de dépenses. La consommation en produits alimentaires maintient une faible croissance (+ 1,1 % en 2011 après + 1,0 % en 2010). Les dépenses consacrées à l équipement de la personne (habillement-chaussures) rechutent en 2011 (- 1,2 %), après avoir connu, en 2010, une faible hausse (+ 0,8 %). Les dépenses afférentes au logement et à son entretien sont également en recul (- 1,0 % en 2011, contre 1,4 % en 2010). Les achats de biens et services de loisirs et de culture demeurent, quant à eux, encore plutôt bien orientés (+ 2,4 % en 2011, + 2,8 % en 2010), grâce notamment à la croissance toujours soutenue de la consommation de produits informatiques, électroniques et optiques (+ 6,7 % en 2011, + 8,6 % en 2010). Enfin, les dépenses de santé ont continué de progresser en 2011 (+ 3,9 % contre 2,1 %). En l absence de comptes régionaux permettant de disposer d indicateurs régionalisés de la consommation des ménages, il est toutefois possible d estimer le potentiel de consommation lié aux dépenses commercialisables des ménages résidant en Bretagne (cf. glossaire). L ORC estime pour l année 2010 ce potentiel de consommation des ménages résidents bretons à 16,7 milliards d euros, se répartissant à parts quasiment égales entre achats de produits alimentaires et non alimentaires (hors dépenses liées au logement, à la consommation d énergie, à l hygiène, la santé et les services). En considérant l évolution de la démographie et du budget moyen de consommation, la progression globale des dépenses commercialisables des ménages bretons sur l année 2010 peut être estimée à 775 millions d euros représentant une croissance de 4,9 % sur l année. Cette augmentation des dépenses commercialisables des ménages s inscrit dans un contexte de hausse des prix. Au niveau départemental, sous les mêmes hypothèses, la progression serait comparativement légèrement plus élevée en Ille-et-Vilaine et dans les Côtes d Armor. Evolution du commerce de détail en Bretagne

11 Tendance des ventes dans le commerce de détail Source : INSEE - Commerce de détail et commerce et réparation automobile - Opinions des chefs d entreprise - Enquête mensuelle Soldes d opinions sur les ventes récentes Soldes d opinions sur les perspectives générales d activité Dépenses commercialisables des ménages résidents Dépenses alimentaires (en milliard ) Dépenses non alimentaires (en milliard ) Total des dépenses (en milliard ) Evolution des dépenses sur 1 an Côtes d Armor 1,5 1,6 3, millions d euros + 5,0 % Finistère 2,3 2,4 4, millions d euros + 4,8 % Ille-et-Vilaine 2,5 2,6 5, millions d euros + 5,1 % Morbihan 1,8 2,0 3, millions d euros + 4,5 % Bretagne 8,1 8,6 16, millions d euros + 4,9 % Source : Estimation CCI Bretagne - Champ : ORC - données 2010 Chiffre d affaires du commerce par département CA HT (en milliard ) Côtes d Armor 4,1 Finistère 6,4 Ille-et-Vilaine 6,9 Morbihan 5,2 Bretagne 22,6 Source : Estimation CCI Bretagne - Champ : ORC - données 2010 Evolution sur 1 an du CA HT + 0,1 % + 0,2 % + 0,8 % + 0,7 % + 0,6 % Grandes et moyennes surfaces généralistes Chiffre d affaires du commerce par forme de distribution CA HT (en milliard ) 11,4 Autres 11,2 Ensemble du commerce de détail 22,6 Evolution sur 1 an du CA HT - 2,2 % Source : Estimation CCI Bretagne - Champ : ORC - données ,6 % + 3,6 % Structure des dépenses des ménages 11,0 % 16,7 % Alimentation et tabac Equipement de la personne 7,1 % Logement et combustibles 4,3 % Equipement de la maison 9,2 % Santé 2,6 % Transports 25,1 % Communications Loisirs, culture, éducation 14,3 % 3,9 % 5,8 % Hôtels-cafés-restaurants Autres Source : INSEE - Comptes nationaux - données 2011 Évolutions de la dépense des ménages, du pouvoir d achat du revenu disponible brut et du taux d épargne évolution annuelle en % Dépense des ménages en volume Pouvoir d achat du revenu brut Taux d épargne taux d épargne en % Source : INSEE - Comptes nationaux - base données nationales Observatoire Régional du Commerce de Bretagne

12 Le commerce et l équilibre du territoire 98 % de la population bretonne vit désormais dans une commune disposant d au moins un commerce et près des deux tiers des ménages bretons résident dans les communes les mieux équipées (20 commerces et plus). Même si naturellement, tous les territoires ne sont pas dotés à l identique, le littoral et les pôles urbains majeurs concentrant l offre la plus étoffée, le maillage serré des pôles de proximité assure une couverture satisfaisante de l ensemble du territoire breton. L équipement commercial selon les communes En 2012, les deux tiers des communes bretonnes sont dotées d une gamme d équipement commercial à la fois alimentaire et non alimentaire. Plus de six ménages bretons sur dix vivent dans des communes équipées d au moins 20 commerces. Le poids de l espace rural (hors aire urbaine) parmi ces communes bien équipées (53 %) traduit la vitalité des pôles commerciaux ruraux dans la région. La Bretagne compte, en 2012, 8 communes supplémentaires équipées de plus de 20 commerces, par rapport à communes (soit 15 % des communes bretonnes) sont équipées d un seul commerce. Dans la plupart des cas (63 %), ce «dernier commerce» est de type généraliste (une supérette) ou alimentaire. Dans les autres cas, il s agit principalement d un tabac-bar-dépôt de journaux. Plus de huit communes sur dix (83 %) ne disposant plus que d un seul commerce sont situées en dehors des aires urbaines et 4 % de la population bretonne vivent dans ces communes. Une commune bretonne sur huit n a plus aucun commerce en 2012, soit 45 communes de moins qu il y a cinq ans. 2 % de la population bretonne ( ménages, soit personnes) résident dans ces 169 communes sans commerce, dont un peu moins de neuf sur dix appartiennent à l espace rural (hors aires urbaines). Les Côtes d Armor et l Ille-et-Vilaine sont les départements bretons qui enregistrent la proportion la plus élevée de communes où il n y a plus d offre commerciale (16 % des communes). Dans les deux autres départements, la proportion est sensiblement plus faible (9 % pour le Morbihan et 11 % pour le Finistère). L équipement commercial selon les pays A l échelle des pays, l analyse de l implantation du commerce met en évidence un bon équilibre global de l équipement commercial en Bretagne. Les pays disposant d un pôle urbain important (Brest et Rennes) et ceux situés sur la frange littorale présentent les densités commerciales les plus élevées. Il existe également une corrélation entre la densité de population et le nombre de commerces présents sur un territoire : les pays les mieux équipés en terme de nombre de magasins sont effectivement les pays les plus densément peuplés (exception toujours faite du pays d Auray dont la densité commerciale est supérieure de 4 points par rapport à la moyenne régionale). D un pays à l autre, la structure du parc d établissements est globalement assez proche. Les commerces à prédominance alimentaire représentent de 20 à 33 % du parc d établissements selon les pays, avec une part plus forte dans les pays du Centre- Ouest Bretagne, des Vallons de Vilaine et de Brocéliande et une relative sous-représentation de ces activités dans les pays de Brest, Vannes et Rennes. La grande distribution, notamment spécialisée, apparaît en revanche beaucoup moins bien répartie sur l ensemble du territoire. Les pays disposant d un pôle urbain important (Rennes, Brest et Cornouaille), qui représentent 37 % de la population, concentrent à eux-seuls 40 % de la surface totale des GMS de la région. Les grandes surfaces généralistes représentent globalement le tiers du plancher commercial total de la grande distribution, exceptions faites du pays d Auray, du Centre-Ouest Bretagne, de Brocéliande et du Trégor-Goëlo (entre 40 et 48 %). Les hypermarchés forment le plus souvent (dans 12 pays sur 21) le type dominant en terme de plancher commercial généraliste. La présence du hard discount apparaît assez disparate sur le territoire breton. Elle est particulièrement forte sur les pays de Centre-Bretagne et Pontivy (respectivement 19 et 18 % du plancher commercial des GMS généralistes), alors que sur les pays du Centre-Ouest-Bretagne, de Morlaix et de Rennes la part de cette forme de distribution est très en deçà de la moyenne régionale (entre 7 % et 8 %). Au sein des commerces spécialisés, l équipement de la maison occupe partout la première place, à des degrés divers (de 55 % à 82 % du plancher commercial des GMS spécialisées). Sur les cinq dernières années, le parc d établissements évolue favorablement dans tous les pays, à l exception des pays de Vitré-Porte de Bretagne (- 2,2 %), de Brocéliande et des Vallons de Vilaine (- 1,2 %) et de Rennes (- 1,0 %). Les pays de Saint-Brieuc, Dinan et Fougères bénéficient des plus fortes progressions. Evolution du commerce de détail en Bretagne

13 Equipement commercial des communes Communes sans commerce (169) Communes ayant un seul commerce (191) Communes ayant entre 2 et 9 commerces (529) Communes ayant entre 10 et 19 commerces (145) Communes ayant plus de 20 commerces (236) Répartition des communes par nombre de commerces Bretagne Nbre de communes Evolution sur 1 an Côtes d Armor Finistère Ille-et-Vilaine Morbihan Communes hors aires urbaines Communes des aires urbaines 0 commerce commerce à 4 commerces à 9 commerces à 19 commerces commerces et plus Ensemble Densité commerciale en 2012 et taux d évolution du nombre de commerces sur 5 ans par pays Trégor-Goëlo + 2,2 % Densité commerciale pour habitants Brest + 1,9 % Cornouaille + 1,1 % De 5 à 7 commerces (3) De 7 à 8 commerces (8) De 8 à 10 commerces (6) De 10 à 13 commerces (4) Taux d évolution du nombre de commerces sur 5 ans et données cumulées sur 5 ans ( ). Morlaix + 0,3 % Centre-Ouest Bretagne + 0,0 % Lorient + 0,4 % Guingamp + 1,5 % Auray + 0,6 % Saint-Brieuc + 2,9 % Centre Bretagne + 1,8 % Moyenne Bretagne Densité commerciale : 8,1 commerces pour habitants Croissance annuelle moyenne sur 5 ans : + 0,9 % Observatoire Régional du Commerce de Bretagne Pontivy + 1,0 % Dinan + 2,6 % Ploërmel Cœur de Bretagne + 0,4 % Vannes + 1,5 % Saint-Malo + 1,6 % Brocéliande Rennes - 1,2 % Redon et Vilaine + 0,1 % - 1,0 % Vallons de Vilaine - 1,2 % Fougères + 2,3 % Vitré-Porte de Bretagne - 2,2 %

14 Glossaire Méthodologique Champ ORC Le champ d analyse de l offre commerciale retenu par l ORC couvre le secteur du commerce de détail en magasin et comprend les activités suivantes : «généralistes» : petites et grandes surfaces à prédominance alimentaire : hypermarché, supermarché, hard discount, supérette, grand magasin et magasin populaire, alimentation générale = [NAF Rév.1 : 521 sauf 521A et J - NAF Rév. 2 : 47.1 sauf 47.19B, 47.11A] «alimentaire» : boucherie, charcuterie, boulangerie, pâtisserie, poissonnerie, crèmerie, caviste, surgelés, fruits et légumes, épicerie fine = [NAF Rév.1 : 151F, 158B, C, D, K, 521A, 522 sauf 522L - NAF Rév. 2 : 10.13B, 10.71B, 10.71C, 10.71D, 10.82Z, 47.11A, 47.2 sauf 47.26Z] «équipement de la maison» : meubles, cuisines-salles de bains, décoration, bricolage, fourniture de matériaux, jardinage, électroménager, TV-hifi = [NAF Rév.1 : 524H, J, L, N, P, U, X - NAF Rév. 2 : 47.59, 47.43Z, 47.54Z, 47.63Z, 47.52, 47.53Z, 47.76Z] «équipement de la personne» : vêtements, chaussures, textiles, maroquinerie, bagagerie, bijouterie = [NAF Rév.1 : 524A, C, E, F, V - NAF Rév. 2 : 47.51Z, 47.71Z, 47.72, 47.77Z] «hygiène et santé» : pharmacie, parapharmacie, optique, orthophonie, orthopédie, coiffure, esthétique, parfumerie = [NAF Rév.1 : 523, 524T, 930D et E - NAF Rév. 2 : 47.73Z, 47.74Z, 47.75Z, 47.78A, 96.02] «culture-loisirs» : livres, journaux, multimédia, articles de sport et de loisirs = [NAF Rév.1 : 524R, W, Z - NAF Rév. 2 : 47.64Z, 47.42Z, 47.65Z, 47.61Z, 47.62Z, 47.41Z] «services» : tabac, pressing, cordonnerie-clés, location vidéo et biens domestiques, développement photo, imprimerie, équipements auto, dépôt-vente, brocante, solderies = [NAF Rév.1 : 222C, 503B, 521J, 522L, 524Y, 525Z, 527A, 714B, 748A et B, 930B - NAF Rév. 2 : 96.01B, 95.23Z, 77.22Z, 77.21Z, 77.29Z, 74.20Z, 18.12Z, 45.32Z, 47.19B, 47.26Z, 47.78B, 47.78C, 47.79Z] Compte tenu du changement de nomenclature d activité (NAF) mise en place par l INSEE en 2008 (passage de la NAF 2003 Rév.1 à NAF 2008 Rév.2), l utilisation de cette table de correspondance permet la mise en cohérence des données pour assurer la continuité des séries statistiques. Certaines statistiques concernent seulement l activité NAF Rév.1 52 (NAF Rév.2 47) qui comprend le commerce de détail et la réparation d articles domestiques. Le champ ORC d analyse de la demande commerciale couvre les produits et services correspondant aux secteurs et aux activités considérés pour étudier l offre. Densité commerciale Ratio permettant de comparer l importance quantitative du commerce d un territoire à l autre. Se mesure soit par un nombre de commerces par habitant, soit par une surface commerciale par habitant. Dépenses commercialisables des ménages Dépenses que réalisent théoriquement les ménages d un territoire donné, quels que soient le lieu de réalisation de ces dépenses et les types de commerces (GMS, commerce traditionnel, VPC ). Ces dépenses sont estimées à partir de trois variables : (1) le nombre de ménages sur le territoire considéré, (2) le budget moyen consacré par les ménages français à l achat de produits alimentaires et non alimentaires et (3) l IDC de ce territoire (Indice de Disparité de Consommation, tenant compte des spécificités locales de la structure des ménages et de leurs comportements de consommation). Les dépenses prises en compte pour estimer ce potentiel sont les dépenses commercialisables dites «au sens strict», c est-à-dire les dépenses en produits et services qu un ménage est susceptible d effectuer dans les commerces, excluant les dépenses liées au logement (loyer, remboursement d emprunt, impôts), à la consommation d énergie et aux services. Etablissements commerciaux Les statistiques relatives au parc d établissements commerciaux et à sa démographie publiées dans ce document sont des données provisoires, disponibles au 1 er janvier de l année et susceptibles de corrections intégrant notamment les radiations d établissements dont les Centres de Formalités des Entreprises auraient été informés après cette date. Par ailleurs, les données relatives à l urbanisme commercial présentées dans ce document pourront faire l objet d une actualisation, compte tenu de l évolution du mode de recueil d informations, liée à la mise en place de la nouvelle législation en matière d autorisation commerciale. Formes de distribution On distingue 3 formes de distribution : les GMS (ou grande distribution ) - Grandes et Moyennes Surfaces : établissements commerciaux de 300 m 2 ou plus (toute création ou évolution d un établissement dont la surface de vente est de 300 m 2 ou plus était, jusqu en 2008, soumise à autorisation délivrée en CDEC). Les GMS peuvent être généralistes (hypermarchés, supermarchés, hard discount, grands magasins et magasins populaires) ou spécialisées dans la distribution de certains produits (équipement de la personne, équipement de la maison ) ; les commerces traditionnels : établissements commerciaux d une surface de vente de moins de 300 m 2 ; les autres formes de ventes : VPC (vente par correspondance), commerce électronique, commerces non sédentaires (marché de détail), foires, salons Grandes et Moyennes Surfaces (GMS) généralistes Surfaces commerciales non spécialisées classifiées suivant l orientation dominante du chiffre d affaires et la surface de vente. orientation dominante du chiffre d affaires surface Hypermarchés alimentaire (+ du 1/3 de CA en produits alimentaires) > 2500 m 2 Grands magasins non alimentaire (- du 1/3 de CA en produits alimentaires) > 2500 m 2 Magasins populaires alimentaire (de 1/3 à 2/3 de CA en produits alimentaires) 400 à 2500 m 2 Supermarchés alimentaire (+ de 2/3 de CA en produits alimentaires) 400 à 2500 m 2 Supérettes* alimentaire (+ de 1/3 de CA en produits alimentaires) 120 à 400 m 2 Maxidiscomptes ou hard discount* alimentaire (+ de 1/3 de CA en produits alimentaires) (Les maxidiscomptes ne constituent pas une catégorie particulière mais sont un sous ensemble des supermarchés ou des supérettes. Ils proposent à la clientèle des prix bas et un choix limité de produits) 120 à m 2 * seuls sont retenus dans le champ de l étude les supérettes et hard discount d au moins 300 m 2. Grandes et Moyennes Surfaces (GMS) spécialisées On entend par grande surface spécialisée toute surface commerciale d au moins 300 m 2 spécialisée dans la vente au détail d un type de produits ou services. Le classement par activité est fait au regard de l activité principale du commerce spécialisé. Par exemple, une grande surface spécialisée en bricolage disposant d un rayon jardinerie est affectée pour la totalité de sa superficie en bricolage. La classification par activité retenue est la suivante : Equipement de la personne : vêtement, lingerie, chaussures, laine, maroquinerie, montres, bijoux, accessoires ; Equipement de la maison : tissus voilages, décoration luminaire, vaisselle, meubles, cuisines, literie, droguerie, papiers peints, bricolage, quincaillerie, jardinage, TV-Hifi-Musique, électroménager ; Culture-loisirs : livres, papeterie-bureautique, disques, appareil photo-caméra, multimédia, jeux-jouets, journaux, articles de sports, cycles ; Hygiène-santé : parfumerie, pharmacie, esthétique, optique-orthophonie, articles médicaux & orthopédiques, puériculture, coiffure ; Autres : solderies, dépôt-vente, antiquité-brocante et services (pressing, location vidéo, développement photo, imprimerie, cordonnerie, clés, centres d équipements auto-moto (hors garages)...). Evolution du commerce de détail en Bretagne

15 Marché du travail Demandeurs d emploi inscrits en fin de mois à Pôle emploi Les demandeurs d emploi sont des personnes inscrites à Pôle emploi, organisme issu de la fusion entre l ANPE et le réseau des Assédic. Ces demandeurs d emploi sont regroupés en différentes catégories. Conformément aux recommandations du rapport du Cnis sur la définition d indicateurs en matière d emploi, de chômage, de sous-emploi et de précarité de l emploi (septembre 2008), la Dares et Pôle emploi présentent à des fins d analyse statistique les données sur les demandeurs d emploi inscrits à Pôle emploi en fonction des catégories suivantes : - catégorie A : demandeurs d emploi tenus de faire des actes positifs de recherche d emploi, sans emploi (catégories administratives 1, 2, 3 hors activité réduite) ; - catégorie B : demandeurs d emploi tenus de faire des actes positifs de recherche d emploi, ayant exercé une activité réduite courte (i.e. de 78 heures ou moins au cours du mois), (catégories administratives 1, 2, 3 en activité réduite) ; - catégorie C : demandeurs d emploi tenus de faire des actes positifs de recherche d emploi, ayant exercé une activité réduite longue (i.e. de plus de 78 heures au cours du mois), (catégories administratives 6, 7, 8) ; - catégorie D : demandeurs d emploi non tenus de faire des actes positifs de recherche d emploi (en raison d un stage, d une formation, d une maladie ), sans emploi, (catégorie administrative 4) ; - catégorie E : demandeurs d emploi non tenus de faire des actes positifs de recherche d emploi, en emploi (par exemple : bénéficiaires de contrats aidés), (catégorie administrative 5) ; Les entrées et les sorties des listes de Pôle emploi sont enregistrées pour l ensemble A, B, C (catégories administratives 1, 2, 3, 6, 7, 8). Offres d emploi collectées à Pôle emploi Ces offres d emploi sont classées suivant trois types : - Type A : les offres d emploi durable, pour des contrats de plus de six mois ; - Type B : les offres d emploi temporaire, pour des contrats compris entre un et six mois ; - Type C : les offres d emploi occasionnel, pour des contrats de moins d un mois. Niveaux de formation Les niveaux de formation sont présentés selon la nomenclature en vigueur mise en place par la Commission Nationale de la Certification Professionnelle (1969) et correspondent à des qualifications permettant de se positionner par rapport au marché de l emploi. - niveau V : BEP, CAP ; - niveau IV : bac, bac professionnel, brevet professionnel, brevet de technicien ; - niveau III : bac + 2 (BTS, DUT) ; - niveau II : bac + 3 (licence) ou bac + 4 (maîtrise) ; - niveau I : bac + 5 (diplôme d ingénieur, master professionnel). CCI Côtes d Armor Rue de Guernesey BP Saint-Brieuc Cedex 1 Tél. : CCI Brest 1, place du 19 e R.I BP Brest Cedex 2 Tél. : CCI Morlaix Aéroport CS Morlaix Cedex Tél. : CCI Quimper Cornouaille 145, avenue de Kéradennec Quimper Cedex Tél. : Population Le terme générique de «populations légales» regroupe pour chaque commune sa population municipale, sa population comptée à part et sa population totale qui est la somme des deux précédentes. La population municipale est celle qui est utilisée à des fins statistiques ; la population totale est la plus souvent utilisée pour l application de dispositions législatives ou réglementaires. Toutes les statistiques de ce document intégrant des données de population reposent sur les populations municipales des communes (populations légales 2008) entrées en vigueur le 1 er janvier 2011 et obtenues à partir des enquêtes de recensement annuelles réalisées par l INSEE sur la période Programme régional des stages Actions de formation continue aidées financièrement par le Conseil régional et s adressant principalement à des demandeurs d emploi. Ce programme intéresse le commerce de détail mais concerne également d autres secteurs économiques. Ratios de démographie d établissements Ils mesurent l évolution du parc des établissements. Cinq ratios sont plus particulièrement utilisés dans cet ouvrage : le taux d évolution (ou de renouvellement) = solde d une année (immatriculations - radiations)/stock d établissements du début d année ; le taux de natalité = immatriculations (par créations ou reprises) d une année/stock d établissements du début d année ; le taux de création = créations d une année/stock d établissements du début d année ; le taux de reprise = reprises d une année/stock d établissements du début d année ; le taux de mortalité = radiations (par liquidations judiciaires, fermetures volontaires ou transmissions)/stock d établissements du début d année. CCI Rennes 2, avenue de la Préfecture CS Rennes Cedex Tél. : CCI Saint-Malo Fougères 4, avenue Louis-Martin CS Saint-Malo Cedex Tél. : CCI Morbihan 21, quai des Indes Lorient Cedex Tél. : CCI Bretagne 1, rue du Général Guillaudot CS Rennes Cedex Tél. :

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