[«L émergence de la fonction comptable», Pierre Labardin] [Presses universitaires de Rennes, 2010,
|
|
- Constance Sévigny
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 «Moshe dit : Vous connaissez la différence entre un comptable anglais et un comptable sicilien? Il attendit. Non? Vous voulez que je vous la dise? dit-il. Je vous la dis? Dites, dit Papa. L Anglais, dit Moshe, peut dire combien de gens mourront chaque année. Le Sicilien peut vous donner leurs noms et leurs adresses.» Adam THIRLWELL, Politique, Points, p. 43. Comment organise-t-on la comptabilité? Derrière cette question très simple, se cache souvent aujourd hui une réponse qui ne l est pas moins : on confie ces tâches à un ensemble de salariés qui forme un service comptable. On voit bien à ce qu il renvoie : des salariés de qualifications différentes sont regroupés dans un espace et un temps bien définis pour accomplir des tâches très précises. Les techniques sont connues, s organisant autour d un plan comptable et de progiciels de gestion intégrés. Cette solution semble à première vue tellement satisfaisante qu elle paraît presque naturelle : on a du mal à imaginer comment on pourrait organiser autrement la comptabilité. La crise des entreprises bureaucratiques ou des administrations (dont Michel Crozier avait déjà pressenti les limites dès 1963 dans Le phénomène bureaucratique) a conduit à une remise en cause des services comptables de nombreuses entreprises. Alors qu aujourd hui les logiques de compétence remplacent dans des entreprises dites apprenantes les techniques bureaucratiques fondées sur la qualification (du moins dans les discours), il nous a semblé intéressant de revenir aux origines de ce modèle pour en comprendre les origines économiques, sociales et culturelles. Ce retour aux sources est d autant plus important que la constitution des services comptables s est opérée en opposition à l apparente désorganisation de la production comptable du XVIII e et du début du XIX e siècle. Ce travail est apparu nécessaire quand nous nous sommes aperçu de certaines similitudes existant entre les modes organisationnels du XVIII e siècle et ceux d aujourd hui. D une certaine manière, l étude de la naissance des services 13
2 L ÉMERGENCE DE LA FONCTION COMPTABLE comptables constitue le chemin inverse de celui s étant produit ces dernières années avec l apparition d organisations plus souples fondées sur la compétence, même si les différences entre les modes d organisation contemporains et ceux du XVIII e siècle demeurent sensibles. Cette recherche s avère d autant plus importante que la majeure partie des travaux historiques portant sur les comptables se centre sur la profession libérale, délaissant largement la réalité du travail comptable quotidien dans les entreprises. LA PROBLÉMATIQUE DE RECHERCHE La constitution de grands services comptables dans les grandes entreprises est un phénomène que l on peut faire remonter à la fin du XIX e siècle que ce soit dans une banque comme la Société Générale (Bonin [2006], p ) et le Crédit Lyonnais (Omnès [1998]) ou dans les grandes industries comme Saint- Gobain 1. Le mouvement correspond assez logiquement à l essor d une nouvelle catégorie sociale, celle des employés. Il paraît difficile de se fier aux statistiques officielles de la période vu l imprécision de la définition même d employé (Zerner [1985]). Néanmoins, comme le rappelle Gardey [2001], d «un peu plus de en 1866, le nombre des employés s élève à plus de 3 millions en 1936» (p. 44). Dans ces conditions, l apparition des services comptables pourrait sembler assez évidente : elle serait le simple résultat de l augmentation de la taille des entreprises (Woronoff [1998], p. 416). A priori, cette explication paraît d ailleurs assez séduisante. Le travail de bureau, initialement effectué par les patrons, aurait été progressivement délégué à des employés de bureau au fur et à mesure du développement de l entreprise. Cette théorie dite de la délégation a été défendue par des auteurs comme Fritz Croner dans les années 1950 (Kocka [1989], p ). Des travaux plus récents comme ceux de Jürgen Kocka [1989] pour l Allemagne ou Delphine Gardey [1995] ont nuancé et complété la thèse de Croner. Le premier, sans nier la théorie de la délégation, invoque d autres facteurs (nouvelles répartitions des tâches, mutations technologiques et sociales) quand la seconde s intéresse à l identité sociale de l employé de bureau en la définissant par rapport à l attachement au lieu de travail. Il nous semble que deux autres raisons permettent de relativiser au moins partiellement la théorie de la délégation. Le premier contre-exemple nous est fourni par la Compagnie de Saint-Gobain qui regroupe plus de salariés en 1764 (Pris [1981], p. 387). Si l on en croit le raisonnement de Croner, les tâches administratives devaient être largement déléguées. Or, comme le montre 1. En 1873, il n y a encore que 7 comptables travaillant au siège. En 1912, ils sont 74. 1L2 et 1L41. Archives Saint-Gobain. 14
3 un document de , il n y a pas, à cette époque, un seul teneur de livres. Le caissier s occupe de centraliser les écritures tandis que les différents directeurs tiennent les comptes pour ce qui relève de leur responsabilité. Au XVIII e siècle, le service comptable est donc loin d être une nécessité dans la mesure où les tâches comptables sont parcellisées entre divers acteurs de l entreprise. Si l on admet que la naissance des services comptables, suit l augmentation du nombre de comptables 3, le cas de Saint-Gobain fournit un deuxième contreexemple à la théorie de la délégation. En 1867, Saint-Gobain est déjà ce qu on peut appeler une grande entreprise : elle compte salariés dont 52 comptables, soit une proportion de 0,96 % 4. Si la théorie de Croner était exacte, les tâches administratives auraient déjà du être largement déléguées aussi bien au niveau du siège que des établissements où des comptables devaient travailler à plein temps. Le règlement de ne fait plus mention d activité comptable exercée par des salariés qui ne seraient pas comptables. Par conséquent, on devrait observer, peu ou prou, une stabilité des effectifs comptables par rapport à l ensemble des salariés. Pourtant, c est à ce moment là que le nombre de comptables explose : en 1912, on dénombre 340 comptables pour salariés, soit un taux de 2,76 % 6. Cette deuxième observation peut être généralisée. Au début du XIX e siècle, le nombre de comptables est très limité même dans les grandes entreprises. Ainsi en est-il de la faillite Guélin à Bourges 7 qui sort de l ordinaire du fait du montant du passif total ( ,32 francs) et du nombre exceptionnel de créanciers (994). Preuve supplémentaire de l importance de l affaire : le rapport des syndics de faillite est imprimé, ce que l on ne retrouve dans aucun autre rapport de l époque 8. En dépit de l importance du cas, plusieurs remarques du rapport sous-entendent clairement que Guélin n a recours à aucun teneur de livres pour ses écritures : «le sieur V. Guélin n avait pas préparé son bilan» (p. 2). 2. C 4-2, Archives Saint-Gobain. Cf. Annexes. 3. Il existe deux usages du terme de comptable que nous voulons clairement différencier. Le comptable peut d abord désigner l ensemble des employés travaillant dans un service comptable : le chef comptable, le caissier, l employé aux écritures etc. Dans ce cas, nous indiquerons le substantif comptable en italique. Le comptable peut également désigner une fonction particulière dans le service, comprise entre l aide-comptable et le chef-comptable. Dans ce cas le substantif comptable ne sera pas en italique. 4. 1L1 Bis, Archives Saint-Gobain /073, Archives Saint-Gobain. 6. 1L41, Archives Saint-Gobain U 68, Archives départementales du Cher. Guélin est un négociant qui exerce aussi les fonctions de banquier. 8. Précisons aussi que le nombre de faillites dans le Cher passe de 2 en 1827 à 8 en 1828 avant de revenir à un seul cas en 1829 (Jobert [1991], p. 157). Ces huit faillites sont probablement liées aux conséquences de la faillite Guélin. 15
4 L ÉMERGENCE DE LA FONCTION COMPTABLE 16 «Ce n est que le 16 juillet suivant que le sieur V. Guélin a monté de nouveaux livres tenus en partie double» (p. 9). «Chaque année, à partir du 1 er janvier 1824, le sieur Guélin a commencé un nouveau journal en tête duquel se trouvent indiqués l actif et le passif résultant des opérations antérieures» (p. 10). Les règlements des forges d Allevard 9 ou d Audincourt 10 constituent des cas proches : dans des usines regroupant plusieurs centaines d ouvriers, il n y a qu un teneur de livres ou un commis d écritures. Il est vrai que certains commis effectuent quelques tâches comptables selon ces règlements, mais le nombre de ceux qui exercent une fonction comptable ne dépasse jamais le seuil des 1 % des salariés. Aux forges d Ivoy exploitées par le marquis de Vogué, il n y a qu un comptable pour 101 salariés en 1849 (Cardon [1996], p. 140). Même constat à Saint- Quirin la même année : sur 689 salariés, il n y a que 9 employés de bureau 11! Un siècle plus tard, dans l Entre-deux-guerres, les opérations comptables ont commencé à se mécaniser. La division du travail s applique de plus en plus ouvertement et la qualité de l organisation semble être devenue une exigence majeure. Le dénombrement des comptables apporte pourtant quelques surprises : ainsi, à la Société des charbonnages du Boulonnais, en 1929, on compte trois comptables pour 112 salariés 12. Au 1 er janvier 1931, dans la Compagnie des Mines du Boulonnais, on trouve 1 chef comptable, 5 comptables et 1 aidecomptable pour 196 salariés, soit plus de 3,5 % de comptables 13! Aux Papeteries de Saint-Maur, le pourcentage de comptables est aussi assez élevé 14 : en janvier 1933, pour 170 salariés, on dénombre six comptables. Aux forges Teliet 15 (situé dans le Jura avec un siège à Arcueil), il y a 48 salariés dont deux comptables en À la Société Générale des Tanneries Françaises, en 1939, on retrouve une chef comptable, un aide-comptable, une secrétaire-caissière et trois employés de bureau sans affectation, le tout pour environ une centaine d ouvriers 16. Bref des taux largement supérieurs à 2 % du personnel effectuant des tâches comptables. Seul le textile paraît faire exception : aux établissements Bigrat en 1929 à Argenton-sur-Creuse, pour environ 75 personnes, il n y a qu un comptable J 337, Archives départementales de l Isère. Le règlement remonte à la période J, Archives départementales du Doubs. Le règlement remonte au 20 novembre AA 21 4, Archives Saint-Gobain. 12. Dossier Société des charbonnages du boulonnais, 140 AQ 3, Centre des Archives du Monde du Travail (Roubaix). 13. Fonds du Cartex, , Centre des Archives du Monde du Travail. 14. Dossier Papeteries de Saint-Maur, 140 AQ 34, Centre des Archives du Monde du Travail (Roubaix). 15. Dossier Teliet, 140 AQ 38, Centre des Archives du Monde du Travail (Roubaix) J 272, Archives départementales d Indre-et-Loire.
5 (Landais-Courant [2001], p. 275). Comme le note Landais-Courant, «la spécialisation de ces tâches [NDLA : de production] est très relative» (p. 276), le travail à façon se poursuivant encore dans l Entre-deux-guerres. Aux établissements Brisset 17, entreprise textile de la région parisienne, qui emploie 38 personnes en 1932, aucun comptable n est répertorié et c est apparemment le propriétaire Brisset père qui tient les comptes avec les conseils de l expert-comptable Lavoissier 18. Pour autant, d autres entreprises textiles emploient plus de comptables. Il en va ainsi des établissements Cain & Rheims 19 où l on dénombre huit comptables, regroupés dans un service à part pour 247 salariés. On pourrait multiplier ainsi les exemples, le constat resterait similaire : le nombre de comptables a augmenté plus rapidement que le nombre total de salariés dans les entreprises entre les débuts du XIX e et du XX e siècle. Dans ces conditions, il nous paraît difficile de nous en tenir à une explication qui se contenterait d invoquer les seules contingences en terme de taille. Que l on nous comprenne bien : il ne s agit pas de nier l impact, incontestable, de la grande entreprise. Les services comptables apparaissent évidemment dans cette dernière. Ce que nous voulons signifier, c est que si la grande entreprise est une condition nécessaire, elle n est en rien une condition suffisante pour expliquer la naissance des services comptables. La problématique centrale de cette thèse consiste donc à essayer de comprendre pourquoi, à un moment donné, les entreprises ont mis en place une fonction comptable 20. LE PLAN DE L OUVRAGE Pour essayer de répondre à cette problématique, nous nous proposons de présenter notre travail en trois temps. La première partie se situe clairement en amont de notre problématique : pourquoi la fonction comptable n existe-t-elle pas avant la fin du XIX e siècle? Pour cela, nous montrerons la cohérence des pratiques et des savoirs comptables aux XVII e, XVIII e et au début du XIX e siècle (ici dénommé âge classique) au travers de trois domaines (la technique, le personnel et l organisation comptable) qui constitueront les chapitres de cette partie. 17. Dossier Alfred Brisset, 140 AQ 4, Centre des Archives du Monde du Travail (Roubaix). 18. Dans une lettre de Lavoissier à Brisset du 1 er août 1932, le premier écrit au second : «dans le bilan que vous allez établir». 19. Dossier Établissements Cain & Rheims, 140 AQ 6, Centre des Archives du Monde du Travail (Roubaix). 20. Comme Anne Pezet [2009] pour les tableaux de bord, nous avons fait le choix de ne pas partir d une définition a priori de la fonction comptable de sorte à n en être pas prisonnier. Nous nous sommes contenté de limiter notre sujet à trois thématiques : les techniques (intellectuelles et matérielles), le personnel et l organisation. Dans une telle démarche, la définition de la fonction comptable et du service comptable est un résultat et non le point de départ du travail. 17
6 L ÉMERGENCE DE LA FONCTION COMPTABLE La deuxième partie se situe au moment de la naissance des services comptables expliquant les changements structurels qui l ont rendu possible. Dans un premier temps (chapitre 4), nous préciserons la nature de la rupture dans les savoirs de gestion qui s opère au cours du XIX e siècle. Le chapitre 5 se concentrera sur les nouveaux lieux que le savoir comptable contribue à créer au XIX e siècle. La troisième partie se situe en aval. Comme dans la seconde partie, il s agit d insister sur la cohérence interne des nouveaux modes organisationnels pour caractériser la fonction comptable naissante à la fin du XIX e et au début du XX e siècle (ici dénommé âge moderne. À partir des trois mêmes domaines (la technique, le personnel et l organisation comptable) qui constituent autant de chapitres, nous montrerons la nouvelle logique des savoirs et des pratiques. 18
7 LES SOURCES MOBILISÉES Nous ne rentrerons pas ici dans les détails méthodologiques comme dans un travail universitaire ordinaire. Une partie du travail a d abord consisté à chercher ce que d autres historiens ont pu écrire sur les comptables et autre teneurs de livres. L historien de la gestion s appuie traditionnellement sur deux types de sources : d une part les archives d entreprise. Nous avons travaillé essentiellement sur les cas de Saint-Gobain et Pont-à-Mousson. De façon plus marginale, nous avons travaillé sur des fonds d archives plus limités comme ceux d Altadis ou de nombreuses entreprises conservées au Centre des Archives du Monde du Travail à Roubaix ; d autre part, les ouvrages. La plupart sont conservées à la Bibliothèque Nationale de France ou au Fonds Stevelinck à la Bibliothèque Universitaire de Nantes. Il s agit de travailler sur les manuels de comptabilité et plus généralement de gestion publiés sur trois siècles. Ces sources sont évidemment l occasion d écrire deux histoires : d un côté, celle des pratiques des entreprises et, de l autre, celle de la constitution des savoirs de gestion. Tout au long de ce travail nous nous interrogerons sur les liens entre pratiques et savoirs. Nous avons également été amené à travailler sur des sources plus spécifiques : les revues comptables, les archives des associations (revues, annuaire etc.), de droit social des employés (thèses, rapports etc.) ou les archives de faillite, les sources littéraires (Balzac, Zola, Svevo, Simenon etc.), les correspondances et les mémoires. Nous renvoyons le lecteur intéressé à l exemplaire original de la thèse pour une discussion approfondie de l intérêt de ces différentes sources. 19
www.u-bordeaux3.fr Master recherche Histoire des mondes moderne et contemporain
www.u-bordeaux3.fr Master recherche Histoire des mondes moderne et contemporain Objectif de la formation Ce master propose une formation de haut niveau en histoire moderne et contemporaine. Il a pour objectif
Plus en détailPierre LABARDIN Doctorant au LOG Rue de Blois 45067 Orléans Cedex pierre.labardin@laposte.net
La diffusion progressive des pratiques comptables en France Une étude d après les rapports des syndics de faillite auprès du Tribunal de Tours (1842-1935) Pierre LABARDIN Doctorant au LOG Rue de Blois
Plus en détailChapitre 16 Comment les entreprises fonctionnent-elles?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 7 mai 2015 à 13:59 Chapitre 16 Comment les entreprises fonctionnent-elles? Introduction Regards croisés? car apports de la science économique (économie de la firme)
Plus en détailLes micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance
Septembre 2013 Contact: Frédéric Dabi 01 45 84 14 44 Frederic.dabi@ifop.com Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance pour Note méthodologique Etude réalisée pour:
Plus en détailLa formation, levier de performance économique et sociale (?)
10 ème Forum Formation La formation, levier de performance économique et sociale (?) 26 mars 2015 Pascal Moulette Pascal Moulette pascal.moulette@univ-lyon2.fr Maître de conférences en Sciences de gestion
Plus en détailMaster Etudes françaises et francophones
Master Etudes françaises et francophones 1. modèle scientifique et profilage des contenus de la filière / Présentation et spécificités de la filière Les études romanes à Leipzig sont considérées comme
Plus en détailAnalyse de la carte :
Amorcée au 18eme siècle en Angleterre la révolution industrielle s accélère dans les années 1870 1880 et se diffuse dans toute l Europe et aux USA. Stimulé par de nouvelles inventions comme l électricité,
Plus en détailIndicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé
Programme «Maladie» 47 Indicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé Sous-indicateur n 13-1 : Évolution des effectifs (en équivalent temps plein) de
Plus en détailLE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE
LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE Un problème de recherche est l écart qui existe entre ce que nous savons et ce que nous voudrions savoir à propos d un phénomène donné. Tout problème de recherche
Plus en détailMalgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire
Résultats de l enquête Ifop/Wincor sur les relations des Français à leur agence bancaire Malgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire -
Plus en détailPierre LABARDIN Doctorant LOG - Université d Orléans
La diffusion progressive des pratiques comptables en France Une étude d après les rapports des syndics de faillite auprès du Tribunal civil de Tours jugeant commercialement (1842-1935) Pierre LABARDIN
Plus en détailIl y a trois types principaux d analyse des résultats : l analyse descriptive, l analyse explicative et l analyse compréhensive.
L ANALYSE ET L INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS Une fois les résultats d une investigation recueillis, on doit les mettre en perspective en les reliant au problème étudié et à l hypothèse formulée au départ:
Plus en détailStéphanie Dupays. du fait de stratégies individuelles ou familiales ou bien de contraintes liées aux changements
En un quart de siècle, la mobilité sociale a peu évolué Stéphanie Dupays En 2003, un homme âgé de 40 à 59 ans sur trois a une position sociale identique à celle de son père au même âge. Ce chiffre cache
Plus en détailLA TRANSFORMATION DE BUREAUX EN LOGEMENTS
LA TRANSFORMATION DE BUREAUX EN LOGEMENTS A PARIS Par : Pierre MOREL, Président de SOVEICO Membre Titulaire IFEI Antoine HINFRAY Avocat Associé de la SCP FORESTIER & HINFRAY Docteur d Etat en droit Membre
Plus en détailLes dirigeants face à l innovation
Les dirigeants face à l innovation Vague 2 FACD N 111164 Contact Ifop : Flore-Aline Colmet Daâge Directrice d Etudes Département Opinion et Stratégies d'entreprise flore-aline.colmet-daage@ifop.com Mai
Plus en détailLa mondialisation des tâches informatiques
Chapitre 1 La mondialisation des tâches informatiques Quel que soit le domaine que l on observe, les économies engendrées par l outsourcing, aussi appelé offshore ou délocalisation, sont considérables.
Plus en détailLa publication, au second
Les entreprises industrielles françaises de plus en plus impliquées dans les NTIC Malgré l adoption accélérée des différents outils des nouvelles technologies de l information et de la communication (NTIC)
Plus en détailQu est-ce qu une problématique?
Fiche méthodologique préparée par Cécile Vigour octobre 2006 1 Qu est-ce qu une problématique? Trois étapes : 1. Définition de la problématique 2. Qu est-ce qu une bonne problématique? 3. Comment problématiser?
Plus en détailRACHETER OU REMBOURSER UN CREDIT
RACHETER OU REMBOURSER UN CREDIT Faites le bon choix et appréciez le bonheur d une vie sans dette C est plus simple qu il n y parait Avertissement : Toute reproduction, intégrale ou partielle, ou toute
Plus en détailTHÉORIE ET PRATIQUE DE L AUDIT INTERNE
Jacques RENARD THÉORIE ET PRATIQUE DE L AUDIT INTERNE Préface de Louis GALLOIS Président de la SNCF Prix IFACI 1995 du meilleur ouvrage sur l audit interne Cinquième édition, 1994, 1997, 2000, 2002, 2004
Plus en détailun Plan d Action Séniors un accord ou d entreprise Construire TRANSPORT & LOGISTIQUE Avec la participation de
Construire un accord ou d entreprise un Plan d Action Séniors TRANSPORT & LOGISTIQUE Direction régionale du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle Avec la participation de La loi, les
Plus en détailles travailleurs non-salari
Septembre 2013 Contact: Frédéric Dabi 01 45 84 14 44 Frederic.dabi@ifop.com Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salari salariés, s, la crise et l assurancel pour Note méthodologique Etude réalisée
Plus en détailImpact de l Apparition de l Hyper-Connectivite sur la Banque de De tail
Impact de l Apparition de l Hyper-Connectivite sur la Banque de De tail 2012 Financial Breakthroughs - Ver-2012-02-06 - Document sous licence CC-BY-NC-ND I FICHE RESUME DE CE LIVRE BLANC... 1 II INTRODUCTION...
Plus en détail1 - LE COMPTE EPARGNE-TEMPS... 2
Fiche d information Page 1 sur 12 OBJET Le présent document a pour objet de vous présenter les grands principes du compte épargne-temps (CET) mis en place au sein de notre ministère depuis 2003. Il aborde
Plus en détailBulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes
Bulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes N 2 bis du 2 avril 2009 C2008-77 / Lettre du ministre de l économie, de l industrie et de l emploi du 28 octobre
Plus en détailC était la guerre des tranchées
C était la guerre des tranchées Jacques Tardi Format 23,2 x 30,5 cm 128 pages C et album consacré, comme son titre l indique, à la vie dans les tranchées pendant la Première Guerre mondiale est constitué
Plus en détailCOMMENT PARLER DES LIVRES QUE L ON N A PAS LUS?
Né dans un milieu où on lisait peu, ne goûtant guère cette activité et n ayant de toute manière pas le temps de m y consacrer, je me suis fréquemment retrouvé, suite à ces concours de circonstances dont
Plus en détailLes contrats : leur origine et leur type. M1 - Arnold Chassagnon, Université de Tours, PSE - Hiver 2013
Les contrats : leur origine et leur type - M1 - Arnold Chassagnon, Université de Tours, PSE - Hiver 2013 Plan du cours Philosophie individualiste & libéralisme économique vs Code civile et théorie de l
Plus en détailTUTORIEL Qualit Eval. Introduction :
TUTORIEL Qualit Eval Introduction : Qualit Eval est à la fois un logiciel et un référentiel d évaluation de la qualité des prestations en établissements pour Personnes Agées. Notre outil a été spécifiquement
Plus en détailPEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ?
PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? à propos de : D Aristote à Darwin et retour. Essai sur quelques constantes de la biophilosophie. par Étienne GILSON Vrin (Essais d art et de philosophie), 1971.
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte
Plus en détailUne étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris
Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» A l'initiative de Réalisée par Pour le compte de Une étude basée sur un nombre significatif
Plus en détailForum de l investissement Ateliers d Experts. 15 Octobre 2011. Les Dangers de l Assurance Vie
Forum de l investissement Ateliers d Experts 15 Octobre 2011 Les Dangers de l Assurance Vie L assurance vie c est quoi? Le placement préféré des français Environ 1 500 milliards d euros épargnés par les
Plus en détailMÉDECINE PSYCHANALYSE DROIT JURISPRUDENCE QUESTIONS À FRANÇOIS-RÉGIS DUPOND MUZART. première partie
MÉDECINE PSYCHANALYSE DROIT JURISPRUDENCE QUESTIONS À FRANÇOIS-RÉGIS DUPOND MUZART première partie Alessandra Guerra En France il y a des jugements sur la question psychothérapiepsychanalyse J ai entendu
Plus en détailRichard Abibon. «Le sujet reçoit de l Autre son propre message sous une forme inversée»
Richard Abibon «Le sujet reçoit de l Autre son propre message sous une forme inversée» Cette formule, on la trouve presque telle quelle dans l «Ouverture de ce recueil» qui introduit les «Ecrits» de Lacan.
Plus en détailLa carte d achat, c est quoi ça?
La, c est quoi ça? C est un outil mis à disposition des structures publiques et privées qui modifie et simplifie l acte d approvisionnement : C est une carte bancaire nominative et sécurisée qui permet
Plus en détailSommaire. L ECHANGEUR Basse-Normandie en quelques mots 3. Dem@t-Tech www.demat-tech.com 4
Dem@t-Tech Jeudi 4 Juin 2015 http://www.demat-tech.com/ ÉCHANGEUR BASSE-NORMANDIE Siège : Espace Numérique StarTech 61 27 bd. de Strasbourg 61-61000 Alençon (Orne, France) Tél : +33 2 33 80 87 50 - Fax
Plus en détailÉVALUATION ET PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS (EPRP) ET PLURIDISCIPLINARITÉ.
ÉVALUATION ET PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS (EPRP) ET PLURIDISCIPLINARITÉ. PAR DIDIER BONNIN Didier BONNIN Ergonome conseil, Représentant du SNCE (Syndicat National des Cabinets conseils en Ergonomie)
Plus en détailTABLEAU DE BORD : SYSTEME D INFORMATION ET OUTIL DE PILOTAGE DE LA PERFOMANCE
TABLEAU DE BORD : SYSTEME D INFORMATION ET OUTIL DE PILOTAGE DE LA PERFOMANCE INTRODUCTION GENERALE La situation concurrentielle des dernières années a confronté les entreprises à des problèmes économiques.
Plus en détailOVAL-E LE SYSTÈME D INFORMATION CENTRAL DE LA FFR. Organisation Support - Assistance Juillet 2014
OVAL-E LE SYSTÈME D INFORMATION CENTRAL DE LA FFR Organisation Support - Assistance Juillet 2014 OVAL-E, BASE DE DONNÉES ADMINISTRATIVE DE LA FFR Base de données centralisée pour tous les aspects administratifs
Plus en détailLucile Cognard. S identifier à son symptôme
Lucile Cognard S identifier à son symptôme Dans notre milieu analytique, l expression est connue : «s identifier à son symptôme». D où vient-elle, que recouvre-t-elle? C est la question que je me suis
Plus en détailLe Domicile Collectif FTVS ( Foyer de Transition à la Vie Sociale)
Le Domicile Collectif FTVS ( Foyer de Transition à la Vie Sociale) Son histoire 1972 Situé à Villefranche-sur-Saône, le FTVS était un service de transition professionnelle vers le milieu ordinaire. 1993
Plus en détailMigration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas
Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de
Plus en détailProgramme détaillé MASTER DE MANAGEMENT ET DE STRATEGIE D ENTREPRISE. Objectifs de la formation. Les métiers. Niveau et durée de la formation
Objectifs de la formation Les métiers Ce Master valide votre qualification professionnelle et votre aptitude à tenir les emplois de cadres et futurs cadres supérieurs dans les professions industrielles
Plus en détailLes cadres sont-ils présents sur les réseaux sociaux professionnels? Comment perçoivent-ils ces outils? Les jugent-ils utiles? C est notamment à ces
LES CADRES ET les réseaux sociaux LES ÉTUDES DE L EMPLOI CADRE NOVEMBRE 2012 SYNTHÈSE Les cadres sont-ils présents sur les réseaux sociaux professionnels? Comment perçoivent-ils ces outils? Les jugent-ils
Plus en détailSommaire. - 1 - La méthodologie... 1. - 2 - Les résultats de l'étude... 4
FM N 111528 Contact Ifop : Frédéric Micheau Département Opinion et Stratégies d'entreprise frederic.micheau@ifop.com 35 rue de la gare 75019 Paris Tél : 01 45 84 14 44 Fax : 01 45 85 59 39 pour Les Français
Plus en détailEtude réalisée en partenariat avec le réseau de CMA et la CRMA de Bretagne, le syndicat Mixte MEGALIS et la Région Bretagne
Etude réalisée en partenariat avec le réseau de CMA et la CRMA de Bretagne, le syndicat Mixte MEGALIS et la Région Bretagne Cet article présente les principaux résultats de l enquête OPSIS de Marsouin
Plus en détailPAROLES D ACTIFS. 1. Les personnes qui travaillent font partie LEÇON DU
1 Acteurs économiq PAROLES D ACTIFS 1. Les personnes qui travaillent font partie de la population active. a. Lisez la leçon du jour ci-contre. b. Dites si les affirmations suivantes sont vraies ou fausses.
Plus en détail1 Les différents courants de pensée de la théorie des organisations
1 Les différents courants de pensée de la théorie des organisations 1 Comment définir la théorie des organisations? Avec la seconde révolution industrielle, de grandes entreprises industrielles émergent,
Plus en détailSERVICE DE L EXERCICE PROFESSIONNEL
SERVICE DE L EXERCICE PROFESSIONNEL PRESTATION DE SERMENT DÉMARCHES PRÉALABLES Nous vous remercions de bien vouloir prendre rendez-vous auprès du SEP pour déposer le présent dossier accompagné de toutes
Plus en détailBernard FOURNIER. Chargé de cours au Département de Sciences politiques. Faculté de Droit. Université de Liège. Bernard.Fournier@ulg.ac.
ET DU SEMINAIRE DE POLITIQUES COMPAREES Bernard FOURNIER Chargé de cours au Département de Sciences politiques Faculté de Droit Université de Liège Bernard.Fournier@ulg.ac.be Min REUCHAMPS Aspirant du
Plus en détailBien architecturer une application REST
Olivier Gutknecht Bien architecturer une application REST Avec la contribution de Jean Zundel Ce livre traite exactement du sujet suivant : comment faire pour que les services web et les programmes qui
Plus en détailLE DEVENIR DES DIPLOMÉS
LE DEVENIR DES DIPLOMÉS Finalité : Professionnelle Situation professionnelle deux ans après l obtention d un master 2 Les enquêtes sur le devenir des diplômés du master «Marketing, publicité et communication»,
Plus en détailActions Propres et Consolidation
Actions Propres et Consolidation igmaconso Allen White Les actions propres d une société sont des actions émises et ultérieurement détenues par celle ci, en vue soit de les annuler soit de les revendre.
Plus en détailCRM dans le secteur tertiaire : agile ou fragile?
CRM dans le secteur tertiaire : agile ou fragile? Note publiée sur le site CRM SECTOR en novembre 2005 dans la catégorie : «Extraits» Comme toutes les entreprises, celles du secteur tertiaire n échappent
Plus en détailObservatoire Gleeden de l infidélité
16 janvier 2014 N 111 730 Enquêtes auprès d un échantillon national représentatif de 804 Français âgés de 18 ans et plus Contacts : 01 72 34 94 64 / 94 13 François Kraus / Anne-Sophie Vautrey Prenom.nom@ifop.com
Plus en détailPRÉSENTATION GÉNÉRALE
PRÉSENTATION GÉNÉRALE Cadrage institutionnel : Arrêté du 27 août 2013 fixant le cadre national des formations dispensées au sein des masters «métiers de l enseignement, de l éducation et de la formation»
Plus en détailLes documents primaires / Les documents secondaires
Les documents primaires / Les documents secondaires L information est la «matière première». Il existe plusieurs catégories pour décrire les canaux d information (les documents) : - Les documents primaires
Plus en détailLe Crédit-bail mobilier dans les procédures collectives
Aimé Diaka Le Crédit-bail mobilier dans les procédures collectives Publibook Retrouvez notre catalogue sur le site des Éditions Publibook : http://www.publibook.com Ce texte publié par les Éditions Publibook
Plus en détailCampagne de Communication Prévisionnelle. Web Intelligence & Réputation Internet
Campagne de Communication Prévisionnelle Web Intelligence & Réputation Internet 1 Sommaire 1. Introduction... 3 2. Détail de la prestation de gestion de réputation online... 5 2.1 Sélection des mots, thématiques
Plus en détailMAÎTRISE DES ACHATS D INVESTISSEMENTS
MAÎTRISE DES ACHATS D INVESTISSEMENTS Une enquête auprès des DAF et dirigeants de l industrie en France Paris, le 20 octobre 2010 Olaf de Hemmer International Business Manager Purchasing Department 16,
Plus en détailDROIT ET RÉGLEMENTATIONS DE LA PLACE FINANCIÈRE
DROIT ET RÉGLEMENTATIONS DE LA PLACE FINANCIÈRE Révision des Directives de l ASB concernant le mandat de gestion de fortune La nouvelle version des Directives de l ASB concernant le mandat de gestion de
Plus en détailLe scoring est-il la nouvelle révolution du microcrédit?
Retour au sommaire Le scoring est-il la nouvelle révolution du microcrédit? BIM n 32-01 octobre 2002 Frédéric DE SOUSA-SANTOS Le BIM de cette semaine se propose de vous présenter un ouvrage de Mark Schreiner
Plus en détailEnquête globale transport
Enquête globale transport N 15 Janvier 2013 La mobilité en Île-de-France Modes La voiture L EGT 2010 marque une rupture de tendance importante par rapport aux enquêtes précédentes, en ce qui concerne les
Plus en détailVous n avez aucune installation à faire et aucune mise à niveau ne vous complique la vie. Vous allez adorer votre nouveau site.
Vous souhaitez obtenir plus de clients? Découvrez comment multiplier vos contacts grâce aux 38 millions d internautes français. Aujourd hui il ne suffit plus d avoir un site internet. Il faut un site avec
Plus en détailSection des Unités de recherche. Rapport d évaluation. Unité de recherche : Institut d histoire du temps présent (IHTP) du CNRS
Section des Unités de recherche Rapport d évaluation Unité de recherche : Institut d histoire du temps présent (IHTP) du CNRS Mars 2009 Section des Unités de recherche Rapport d'évaluation Unité de recherche
Plus en détailRésultats de l enquête Sport & Entreprise. mars 2009
Résultats de l enquête Sport & Entreprise mars 2009 I. LE CONTEXTE DE L ENQUETE : LES RELATIONS SPORT / ENTREPRISE Une brève histoire des liens sport / entreprise La domination du modèle industriel paternaliste
Plus en détailDès qu'une action atteint un certain degré de complexité ou qu'il s'agit d'actions collectives il est nécessaire d'organiser, c'est-à-dire de diviser et coordonner. L'organisation suppose donc division
Plus en détailLa diversification des publics à l Opéra national de Paris
La diversification des publics à l Opéra national de Paris Françoise ROUSSEL * Au moment de son projet, l Opéra Bastille correspondait à une volonté de démocratisation de l Opéra. Dix ans après son ouverture,
Plus en détailSTOCK OPTIONS VUE D ENSEMBLE ET PRINCIPALE DIFFICULTE A EVITER. François Xavier Testu Agrégé des Facultés de droit
STOCK OPTIONS VUE D ENSEMBLE ET PRINCIPALE DIFFICULTE A EVITER François Xavier Testu Agrégé des Facultés de droit & Sidonie Hill Testu et Associés Avocats à la Cour Avertissement : Ce texte est paru à
Plus en détailCharte de contrôle interne
Dernière mise à jour : 05 mai 2014 Charte de contrôle interne 1. Organisation générale de la fonction de contrôle interne et conformité 1.1. Organisation Le Directeur Général de la Société, Monsieur Sébastien
Plus en détailCORRIGE LES NOMBRES DECIMAUX RELATIFS. «Réfléchir avant d agir!»
Corrigé Cours de Mr JULES v3.3 Classe de Quatrième Contrat 1 Page 1 sur 13 CORRIGE LES NOMBRES DECIMAUX RELATIFS. «Réfléchir avant d agir!» «Correction en rouge et italique.» I. Les nombres décimaux relatifs.
Plus en détailLes stratégies de prévention du tabagisme développées par les structures qui encadrent les jeunes
Le réseau régional d Education Pour la Santé Membre du réseau de l'institut National de Prévention et d'education pour la Santé et l Institut Rhône-Alpes de Tabacologie Les stratégies de prévention du
Plus en détailBureau D Accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE)
Bureau D Accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE) Février 2008 SOMMAIRE Communiqué de presse de synthèse... 3 1. Le Bureau d accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE)........
Plus en détailL EXTERNALISATION. Quels sont les enjeux stratégiques de l externalisation pour l entreprise actuellement?
L EXTERNALISATION Au sein des entreprises, l'heure est à la rationalisation des coûts. Pour parvenir à cet objectif, les stratégies sont nombreuses. Parmi elles, l externalisation est aujourd'hui considérée
Plus en détailLes enjeux et clés de succès des entreprises familiales. kpmg.fr
Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales kpmg.fr 1 Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales 2 La gestion de la trésorerie,
Plus en détailLes salariés de l économie sociale et solidaire
L'Économie sociale et solidaire Les salariés de l économie sociale et solidaire L'EMPLOI SALARIÉ L ESS, un employeur déterminant de l économie régionale 20 Relative précarité de l emploi dans l ESS 22
Plus en détailUn atelier philo pour se reconnaitre hommes et femmes
Débat et argumentation Un atelier philo pour se reconnaitre hommes et femmes à travers le partage d expériences «La question se pose de savoir si le lien social ne se constitue que dans la lutte pour la
Plus en détailL industrie 4.0 : la 4ème révolution industrielle sauvera-telle l industrie française?
L industrie 4.0 : la 4ème révolution industrielle sauvera-telle l industrie française? La situation de l industrie française est préoccupante : nous accusons un retard d investissement de l ordre de 40
Plus en détailPremiers Pas en Programmation Objet : les Classes et les Objets
Chapitre 2 Premiers Pas en Programmation Objet : les Classes et les Objets Dans la première partie de ce cours, nous avons appris à manipuler des objets de type simple : entiers, doubles, caractères, booléens.
Plus en détailJEAN-LUC VIRUÉGA. Traçabilité. Outils, méthodes et pratiques. Éditions d Organisation, 2005 ISBN : 2-7081-3260-1
JEAN-LUC VIRUÉGA Traçabilité Outils, méthodes et pratiques, 2005 ISBN : 2-7081-3260-1 2 à l assurance qualité Après la définition de la traçabilité dans la métrologie, on peut remarquer que le domaine
Plus en détailGuide d entretien concernant les secrétaires de l IUT Guide d entretien concernant l assistante de direction
Années universitaires : 2006-2007 Introduction I- Présentation générale du métier Polyvalence du métier Qualités requises Avantages et inconvénients Féminisation du métier II- Comparaison secteur privé
Plus en détailPosition du CIGREF sur le Cloud computing
Position du CIGREF sur le Cloud computing Septembre 2010 Cette position est le fruit d un groupe de réflexion ayant rassemblé les Directeurs des Systèmes d Information de grandes entreprises, au premier
Plus en détailQuestionnaire à destination des élèves 4 e -2 de à remplir avant ou après la visite aux Archives
Questionnaire à destination des élèves 4 e -2 de à remplir avant ou après la visite aux Archives Découvrir les archives 1- Quelle est ta représentation des archives? 2- À chaque idée reçue correspond une
Plus en détailJoëlle Bolot, Stéphane Cipriani.
Joëlle Bolot, Stéphane Cipriani. Sommaire Programme, Capacités (http://www.education.gouv.fr/cid50636/ mene0925419a.html) Dossier documentaire d histoire géographie en CAP : Note de cadrage de l épreuve.
Plus en détailLa France est-elle compétitive?
La France est-elle compétitive? Cafés Géographiques de Montpellier Gilles Ardinat, professeur agrégé et docteur en Géographie, enseignant à l Université Paul Valéry, Montpellier III C est à l occasion
Plus en détailSECTION 5 BANQUE DE PROJETS
SECTION 5 BANQUE DE PROJETS INF 4018 BANQUE DE PROJETS - 1 - Banque de projets PROJET 2.1 : APPLICATION LOGICIELLE... 3 PROJET 2.2 : SITE WEB SÉMANTIQUE AVEC XML... 5 PROJET 2.3 : E-LEARNING ET FORMATION
Plus en détailSAISIE DES NOTES DE BAS DE PAGE et BIBLIOGRAPHIE MEMO RÉSUMÉ. Norme AFNOR Z 44-005 NF ISO 690. Dernière édition : octobre 2011
SAISIE DES NOTES DE BAS DE PAGE et BIBLIOGRAPHIE MEMO RÉSUMÉ Norme AFNOR Z 44-005 NF ISO 690 Dernière édition : octobre 2011 Texte mis à jour le 29 janvier 2014 MM. DAUTHIER dauthier@univ-tln.fr 1 Notes
Plus en détailSynthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers
Synthèse Contrat d Objectifs Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Rédaction Christiane LAGRIFFOUL () Nadine COUZY (DR ANFA
Plus en détailLoïc Blondiaux Le Nouvel Esprit de la démocratie Actualité de la démocratie participative Le Seuil, coll. «La République des Idées», 2008
1 Loïc Blondiaux Le Nouvel Esprit de la démocratie Actualité de la démocratie participative Le Seuil, coll. «La République des Idées», 2008 L auteur Loïc Blondiaux est professeur des Universités à l Institut
Plus en détailLe téléphone public, cent ans d usages et de techniques de Fanny CARMAGNAT
NOTE DE LECTURE Le téléphone public, cent ans d usages et de techniques de Fanny CARMAGNAT par André TURCOTTE «Pourquoi s intéresser au téléphone public?» En posant cette question dès le début de son livre,
Plus en détailPerception et valeur de l écrit dans les échanges
Perception et valeur de l écrit dans les échanges Synthèse Principaux enseignements 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris Cedex 02 Tél. : (33) 01 44 94 40 00 Fax : (33) 01 44 94 40 01 www.csa.eu SA au
Plus en détailStages de recherche dans les formations d'ingénieur. Víctor Gómez Frías. École des Ponts ParisTech, Champs-sur-Marne, France
Stages de recherche dans les formations d'ingénieur Víctor Gómez Frías École des Ponts ParisTech, Champs-sur-Marne, France victor.gomez-frias@enpc.fr Résumé Les méthodes de l ingénierie ont été généralement
Plus en détailInformation et communication
Information et communication Pour les nouveaux diplômés HES en information documentaire, en communication ainsi qu en traduction, l insertion professionnelle s avère difficile. Près de la moitié d entre
Plus en détailLES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE
LES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE Michel MOUILLART Directeur Scientifique de l Observatoire de l Endettement des Ménages
Plus en détailDémarche de traçabilité globale
Démarche de traçabilité globale Dr Chi-Dung TA* Responsable Qualité, Danone Vitapole chi-dung.ta@danone.com La traçabilité existe depuis un certain nombre d'années dans les entreprises à des niveaux plus
Plus en détailEvaluation du Réseau Santé Psychique Suisse
Universität Zürich Institut für Politikwissenschaft Forschungsbereich Policy-Analyse & Evaluation Evaluation du Réseau Santé Psychique Suisse Sur mandat de l Office fédéral de la santé publique Thomas
Plus en détail