Réunion Publique du 24 Novembre 2012 à Pontault- Combault : LA VACCINATION EN QUESTIONS

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1 Réunion Publique du 24 Novembre 2012 à Pontault- Combault : LA VACCINATION EN QUESTIONS

2 QU EST-CE QU UN VACCIN? COMMENT AGIT IL? QUE CONTIENT IL? QUE RISQUONS NOUS A ETRE OU NE PAS ETRE VACCINE? COMMENT EST-IL MIS A DISPOSITION?..

3 SOMMAIRE GENERALITES HISTOIRE LE SYSTÈME IMMUNITAIRE LE VACCIN BENEFICES/RISQUES DES VACCINS LE CALENDRIER VACCINAL 2012 LES ENJEUX DE SANTE PUBLIQUE LES NOUVEAUX VACCINS LES VACCINS DE DEMAIN CONCLUSION

4 GENERALITE HISTOIRE étymologiquement vaccination signifie «envachement». Edward JENNER ( ); Médecin de campagne anglais. c'est le précurseur de la vaccinologie ; en effet en 1796 il énonce le principe de l'atténuation des germes par passage d'une espèce animale à l'autre. Il fait un 1er constat les fermiers en contact avec la variole bovine ne la contracte pas. En 1798 : Il introduit pas scarification du pus bovin dans l'organisme humain c'est le 1er vaccin antivariolique (mais le mot vaccin n'apparaitra que bien plus tard). En 1877, le français Louis pasteur (docteur en science) démontre que le cholera des poules est une maladie bactérienne En 1879 il inocule de vieille culture bactérienne à des poules et constate qu'elles tombent malade mais ne meurent pas: il vient de découvrir le 1er vaccin atténué En 1881 il parvient à isoler, purifier et inactiver la souche de l'agent contagieux de la rage à partir de cerveaux d'animaux mort. Il le nomme alors vaccin (pour vaccine en l'honneur de Jenner). En 1885 il réalise avec succès le 1er vaccin humain atténué contre la rage et l administre pour la 1ere fois le 6 juillet 1885 à un jeune garçon, mordu par un animal atteint de rage.

5 Année vaccin développé 1798 VARIOLE 1885 RAGE 1896 THYPOIDE ET CHOLERA 1897 PESTE 1923 ANATOXINE DIPHTERIQUE 1926 ANATOXINE TETANIQUE 1927 BCG 1936 FIEVRE JAUNE 1945 GRIPPE 1955 POLYOMYELITE 1963 ROUGEOLE 1967 OREILLONS 1969 RUBEOLE 1980 HAEMOPHILUS INFLUENZAE B 1981 HEPATITE B 1992 ENCEPHALITE JAPONAISE 1995 VARICELLE ET HEPATITE A 1998 ROTAVIRUS ET MALADIE DE LYME 1999 VACCIN MENINGOCCOCIQUE 2000 VACCIN PNEUMOCCOCIQUE CONJUGUE 2004 PAPILLOMAVIRUS OU HPV 2005 ZONA

6 LE SYSTÈME IMMUNITAIRE Système complexe de défense de l organisme contre les maladies composé d un système naturel (barrière physique, les cellules du sang macrophages-..) et d un système adaptatif (lymphocytes, anticorps). Une de ses propriétés est sa capacité à reconnaître les substances étrangères (bactéries, virus champignons, parasites) au corps et à déclencher des mesures de défenses. C est la synthèse des anticorps ou immunisation.

7 LE VACCIN : définition Un vaccin est une préparation antigénique ; c est-à-dire un agent infectieux (microbe) que l on a atténué ou tué et que l on introduit dans l organisme afin de générer une réponse immunitaire protectrice spécifique capable de nous protéger contre l infection naturelle ou d en atténuer les conséquences. L agent infectieux introduit est : soit partiel soit entier..

8 LE VACCIN: les différents types Vaccin vivant atténué : vaccin contenant une forme atténuée de l agent infectieux ; le virus ou la bactérie est atténuée par divers procédés afin que son agressivité vis-à-vis de l organisme soit faible, voire nulle. Vaccin inactivé (ou tué) : vaccin contenant une forme inactivée de l agent infectieux ; le virus, la bactérie ou la toxine est inactivé sous l effet d un produit chimique afin d éviter qu il se multiplie provoquant ainsi la maladie. Remarque : il existe maintenant des vaccins dits «conjugués» c est-à-dire qu outre l antigène de l agent infectieux, ils contiennent une protéine porteuse qui permet une réponse immunitaire chez les plus jeunes enfants. Enfin, les derniers vaccins mis au point ont bénéficié d un nouveau procédé : le génie génétique.

9 LE VACCIN : son développement et sa production Développement d un vaccin 4 phases (3 avant AMM et 1 post AMM) Production d un vaccin Fabrication biologique Germe Mise en culture Récolte Purification Inactivation Souche vaccinale Fabrication pharmaceutique Mélange valence vaccinale + eau + adjuvant + stabilisant + conservateur = VACCIN Conditionnement Expédition Mise à disposition 70 % du temps consacré aux contrôles = contrôles à chaque étape de fabrication Contraintes réglementaires Procédure Européenne : autorisation de mise sur le marche (AMM) par l agence européenne du médicament. Procédure de reconnaissance (sur le plan National) conjointement par la commission d AMM et l agence française de sécurité sanitaire des produits de santé AFSSAPS)

10 LE VACCIN : sa composition Le principal ingrédient est donc le microbe, une partie du microbe ou une «copie». De l eau stérile ou une solution salée Un agent conservateur ou un antibiotique qui empêche la contamination du vaccin par des bactéries Des substances appelées stabilisants, qui permettent de maintenir la qualité du vaccin Un adjuvant ; c est-à-dire une substance qui stimule la réponse immunitaire et donc qui potentialise les effets du vaccin. Au total cela représente 0,5 ml voir 1 ml

11 OBJECTIF D UN VACCIN Assurer une protection individuelle et/ou collective. Permettre une réponse immunitaire similaire à l infection naturelle Conférer une protection de longue durée N induire que des réactions locales ou générales minimes Pouvoir être administré d une manière simple et acceptable pour le public Présenter un rapport coût/bénéfice de santé très favorable.

12 BENEFICE DES VACCINS : ou les 6 raisons en faveur de la vaccination 1. La vaccination sauve des vies. 1. Chaque année, la vaccination sauve + de 3 millions de vies dans le monde et elle évite à des millions de personnes de souffrir de maladies et d incapacité permanente (estimation de l OMS en 2009) 2. Grâce à l éradication de la variole c est 350 millions de varioles évitées et 40 millions de morts en moins. (dans le monde) 3. 1,4 millions de décès chez les moins de 5 ans sont imputables à des maladies prévenues par un vaccin. 4. En France (en terme de décès) : Avant 1950 Après 1990 Diphtérie Tétanos Coqueluche Polio 100 0

13 2. La vaccination est un droit fondamental et une composante stratégique des programmes de réduction de la pauvreté. La vaccination n est pas seulement une intervention efficace permettant de réduire le nombre de cas de maladies et de décès ; elle peut également être utilisée comme une stratégie qui contribue à réduire les inégalités en matière de prestation de soins de santé primaires. Les programmes de vaccination et la prise en charge des vaccins permet un accès à tous. 3. Les maladies prévenues par un vaccin représentent encore un risque pour chacun. Au cours des années 1990, une épidémie de diphtérie en Europe de l Est a atteint un pic de cas (1995) en raison d une faible couverture ; puis en France, alors que nous n avions plus de cas de diphtérie ; progressivement nous en avons eu.

14 4. Il est possible de maîtriser et d éliminer des maladies. Lorsque la couverture vaccinale est élevée et soutenue, les maladies à prévention vaccinale perdent du terrain. Grâce à des efforts concertés, il est possible d éliminer, voire d éradiquer certaines maladie. La Variole qui tuait 5 millions de personnes dans le monde chaque année à été éradiquée en La vaccination est rentable sur le plan économique L OMS estime que depuis le lancement de l initiative d éradication de la polio en 1988 ; 5 millions de personnes ont été épargnés et n ont pas perdus l usage de leurs jambes. En 2004, il n y avait plus que 1170 cas de polio dans le monde ( 6 pays ; sous continent indien et Afrique intertropicale.). 6. Les vaccins sont de plus en plus fiable Grâce à : - La mise au point de nouveaux procédés de fabrications et de développements, - Les contraintes réglementaires exigées pour les firmes pharmaceutiques, - Les multiples contrôles obligatoires tout au long de la production des vaccins mais aussi une fois qu ils sont sur le marché, - la vigilance des Autorité de Santé, de l Agence Européenne du médicament et de l OMS.

15 LE RISQUE VACCINAL : minimisé mais pas nul Les firmes pharmaceutiques ont l obligation de décrire les effets indésirables rencontrés lors des essais clinique de mise sur le marché, dans le descriptif des vaccins. Les firmes pharmaceutiques ont l obligation de détenir un service de pharmacovigilance permettant de recueillir les éventuels effets indésirables graves ou inattendus constatés par un professionnel de santé.

16 Le calendrier vaccinal 2012 D après le BEH 2012 et selon les recommandations de la Haute Autorité de Santé

17 A A partir de 1 mois BCG pour les enfants à risque. 2 mois 1 dose d'héxavalent (DTCPH et hpbb) 1ere injection de Pneumocoque 13 3 mois 1 dose de pentavalent (DTCPH) 4 mois 1 dose d'héxavalent 2 ème injection de Pneumocoque 13 9 mois ROR (Rougeole, Oreillons et Rubéole) : Pour les nourrissons entrant en collectivité avant l'âge de 12 mois (2 ème dose à faire entre 12 et 15 mois). A partir de mois ROR: 1e dose Rappel pneumocoque à 12 mois (associé avec le ROR) une dose de vaccin méningococcique entre mois (le mieux est de l'associé avec le rappel hexavalent) (rattrapage jusqu'à 24 ans) mois Rappel avec un hexavalent (DTCPH et hpbb) Avant 24 mois A 6 ans ROR 2e dose 2 ème rappel DTP (Diphtérie, Tétanos, Poliomyélite) ROR : vaccination de rattrapage pour les enfants n'ayant pas été vaccinés plus tôt BCG pour les enfants à risque, si la vaccination n'a pas été faite durant l'enfance.

18 A partir de 11 à 13 ans Rappel tétravalent (diphtérie, tétanos, polio, coqueluche) Hépatite B si la vaccination n'a pas été faite durant l'enfance(soit avec B10 ou 2 doses à 1 mois d'intervalle avec B20.entre 11 et 15 ans révolus). ROR : vaccination de rattrapage pour les enfants n'ayant pas été vaccinés plus tôt (1 ou 2 doses à un mois d'intervalle). Varicelle : entre 12 et 18 ans 2 doses à 2 mois d'intervalles si pas d'antécédents cliniques. 14 ans Pour les adolescentes, vaccin contre le papillomavirus (cancer du col de l'utérus) 3doses à 0-2 et 6 mois 15 à 23 ans Vaccin contre le papillomavirus pour les jeunes femmes n'ayant pas eu de rapports sexuels, ou au plus tard dans l'année de leurs premiers rapports 16 à 18 ans rappel DTP A partir de Vaccinations Après 18 ans ROR (pour les personnes nés depuis 1980 et âgées de plus de 24 mois : 2 doses au total de vaccin trivalent quelques soient les antécédents vis-à-vis des 3 maladies). Varicelle pour les femmes en âges de procréer sans antécédents cliniques dtp tous les 10 ans (diphtérie, Tétanos, Poliomyélite) Coqueluche pour tous les adultes une fois (éventuellement au rappel des 26-28ans). Après 65 ans Grippe tous les ans

19 LES ENJEUX DE SANTE PUBLIQUE LA COQUELUCHE LA ROUGEOLE LA GRIPPE

20 LA COQUELUCHE La coqueluche est une infection respiratoire très contagieuse, parfois mortelle, qui provoque des accès de toux violents et qui dans 20 % des cas entraîne une pneumonie décès en 1950 et en moyenne 4 décès de nos jours. Cependant depuis 1991, nous constatons une nouvelle recrudescence.

21 LA COQUELUCHE

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23 Ce qui a conduit les autorités à modifier les recommandations vaccinales par 3 fois : - en en en 2008

24 LA ROUGEOLE Maladie éruptive virale la plus fréquente et de surcroît hautement contagieuse. Les principales complications de la rougeole sont les otites et les pneumonies mais il y a un risque non négligeable d encéphalite (0,5 à 1 cas pour 1000 rougeoles). La transmission est directe ou par voie aérienne Depuis 1990, la couverture vaccinale stagne à 85% pour les enfants de 2 ans ; hors pour permettre l éradication de cette maladie il faudrait qu elle atteigne 95%. Maladie à déclaration obligatoire depuis 2005

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27 COMMENT EXPLIQUER LA RECRUDESCENCE DE LA ROUGEOLE? Infection extrêmement contagieuse Couverture vaccinale insuffisante et hétérogène

28 NOUVELLES RECOMMANDATIONS DEPUIS FEVRIER 2011 : Recommandations pour les adultes : 2 doses pour tous les sujets nés depuis dose pour les professionnelles de santé ou de la petite enfance nés avant Recommandations pour les enfants : 2 doses : la 1ère à 12 mois et la 2 ème entre 13 et 24 mois.

29 LA GRIPPE La grippe est une infection respiratoire aigüe contagieuse, cosmopolite, due à un virus non spécifique à l homme (myxovirus influenzae) dont il existe 3 types (A,B,C) tous pathogène. Le type A étant le plus virulent et le seul responsable de pandémie. La grippe est souvent considérée comme bénigne car elle est confondue avec des affections pseudogrippales alors qu elle est responsable chaque année d un nombre important de décès. (environ 1500 à 2000 chaque année) Le choix des souches vaccinales est adapté chaque année par l OMS en fonction des données épidémiologiques. La politique vaccinale Française vise à protéger les personnes pour lesquelles la grippe représente un danger. La surveillance de la grippe (circulation du virus) est régie depuis 1984 grâce au GROG (groupe régionaux d observation de la grippe). Actuellement, la couverture vaccinale chute et cela depuis 3 ans. Hors pour éviter la circulation du virus et son risque de mutation, il faut maintenir une couverture à 75 % des sujets concernés (les + de 65 ans, les patients de + de 6 mois souffrants de certaines affections, les femmes enceintes..)

30 LES NOUVEAUX VACCINS LE ROTAVIRUS LA MENINGITE A MENINGOCOQUE LE PAPILLOMAVIRUS

31 LE ROTAVIRUS Infection virale qui se caractérise par une gastro-entérite aigue (diarrhée et déshydratation). Virus hautement contagieux qui infecte tous les enfants au moins 1 fois avant l âge de 2 ans. Il existe une centaine de types différents mais 90 % des gastro-entérites à rotavirus sont dues au types G1, G2, G3, G4 et G hospitalisations et 10 à 20 décès par an. Politique vaccinale : il n y a actuellement pas de recommandation systématique. Il existe 2 vaccins buvables efficaces et bien tolérés : - un bivalent (comportant 2 types de rotavirus) - un pentavalent (comportant 5 types de rotavirus)

32 LA MENINGITE A MENINGOCCOQUE Forme de méningite bactérienne grave Il existe actuellement 12 types dont 6 connus pour provoquer des épidémies : A,B,C,W135,X et Y. La transmission se fait par voie orale (baiser, éternuement, toux..) L évolution est rapide et létale dans 8 à 10 % des cas. En Europe et plus particulièrement en France ; 70% sont dues au type B (pas de vaccin) Augmentation depuis quelques année de la souche C dont le risque de décès est de 30 % et dont l évolution est extrêmement rapide. (il existe un vaccin). Il existe un pic de survenue entre 1et 4 ans puis entre 15 et 19 ans. Politique vaccinale actuelle : 1 dose entre 12 mois et 24 mois Rattrapage jusqu à 24 ans révolus (1 dose pour permettre une extension rapide de l immunisation)

33 LE PAPILLOMAVIRUS Virus hautement contagieux qui peut infecté la peau ou les muqueuses des femmes comme des hommes et dont la transmission se fait par contact : Main zone génitale Main - peau 1 ère IST dans le monde. 70% des sujets infectés (homme et femme) au cours de leur vie. Pic entre ans. + de 200 génotypes différents dont 120 répertoriés. 3 grands groupes : Bénins : Hpv 6 11 (verrues génitales ou condylomes) Malins : Hpv (cancer du col de l utérus) Cutanés : Hpv (verrues plantaires) 3000 cancers du col de l utérus ( 3ème cancer de la femme), 1000 décès, environ condylomes ou verrues génitales et lésions précancéreuses. Infection le plus souvent transitoire et asymptomatique :9 fois sur 10 le virus s élimine naturellement.

34 Grâce qu dépistage par frottis, le nombre de cancer à été divisé par 2 cependant il ne fait que mettre en évidence la présence du virus. Le vaccin permet d éviter l infection. La Haute Autorité de Santé recommande donc la vaccination systématique de toutes les jeunes filles de 14 ans ( + rattrapage entre 15 et 23 ans inclus) et le maintien du dépistage par frottis. Il existe 2 vaccins dont l efficacité et la tolérance sont excellentes : Un bivalent ( HPV 16 et 18) Un quadrivalent (hpv )

35 Les types oncogènes Données françaises 1,2 HPV 16 et 18 retrouvés dans 82 % des cancers du col de l utérus (co infec&ons 16/18 = 10 %) HPV HR HPV BR Prévalence globale des différents types d HPV dans 516 cas de cancer invasif en France 1,2 Objec&f : Evaluer la prévalence spécifique des types d HPV dans les cancers du col invasifs en France afin d es&mer les bénéfices poten&els d une vaccina&on contre les HPV 16 et 18 Méthodologie : Etude rétrospec&ve sur 516 échan&llons histologiques de cancers invasifs épidermoïdes et glandulaires, recueillis auprès de 15 centres français, répar&s sur l ensemble du territoire. Les échan&llons ont été recueillis par ordre chronologique décroissant à par&r de 2005 jusqu à Un génotypage HPV u&lisant un test sensible basé sur une PCR (Polymerase Chain Reac&on) permexant une détec&on spécifique de 24 génotypes d HPV à haut risque et à bas risque a été réalisé. 1. Jacquard AC et al. BEH 2009;29(9):313:7 2. Pretet JL et al. Int J Cancer 2008;122(2) :

36 LES VACCINS DE DEMAIN Améliorer les vaccins existants (tuberculose..) Proposer des combinaisons de vaccins existants. Puis : VIH Paludisme Anticancéreux (mélanome, prostate, leucémie.).

37 CONCLUSION Le vaccin c est : 1. Un développement et une production spécifique. - essais cliniques longs et nécessitant de nombreux sujets. - nombreux contrôles de qualité tout au long de la fabrication et après mise sur le marché. - des règles d enregistrement et de suivi drastiques. 2. Une large gamme généralement bien tolérée et proposée au plus grand nombre grâce aux programmes de vaccination et à leur prise en charge. 3. Un fantastique gain pour la vie. - Eradication de la variole. - Eradication proche pour la polio. - Quasi disparition de certaines maladies dans les pays à couverture vaccinale élevée. Mais restons confiants tout en étant vigilants.

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