/ A v u m p B f o n t^ LPa^M um ut «st m j»4u d «T«aM. Il *«! iamito ibtamjajra *t «rt «oaddirt iàr«zplr*tlm 'é»bi^ooa«pm d'atljicontnln.

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1 ta d fr»,s ( x,n «u., - *» TroU mos 4»> " h l U là w a ^ w t M D H U D a u f r. Sx M s..*...» *» T n M b...* * M AnBoocu : UfB#«9<V < " ta u o o c * «a^dnsou d* 8 lfsm, 1 fr 0,118^ Bm falu d T m. 0.80, c. 1 / A v u m p B f o n t^ LPa^M um ut «st m j»4u d «T«aM. l *«! amto Btamjajra *t «rt «oaddrt àr«zplr*tlm é»b^ooa«pm datljcontnln. A n o f u ^. «BnrMt da Jonnal. «. ras 1, t cka tobs Ua U bralm da ddpartapaat. SO R H klr E atetrea.!<«-!.«ea-tcela go aérau. Le» laudt** LÀ» eekroalem tmdlre«l«a e a 1S80. Kvéaea<BaU de T aal^ laferam tfeae géaeralee. L aeaneettea Albaaalse. Chraal«ae d éfareaealale. Chn^Oae.leeafta. L e lear» ««H Valw dlvalà VareM. arehea. Bonvae VealUelea Cent mlu franc» de rcompent. Nos Lecteurs, ^ôfccônt eucorl* dans le * présent n u m é r o --du-journal une C a r t e d u T h é â t r e d e l a G u e r r e e n T u n a e * BULLETN La commsson du budget, après a?or tenu séance durant toute a jouruëo de mard, s e s t. ajournée au lund 3 ma, et dans de&ce- lentes condtons pour prompte expédton des travaux du Parlement. Les budgets de la guerre, de la marne, des nances, é est-à-dre tes plus mportants, au j pont de yue de la dscusson fnancère, sont examnés et, peur d autres, les rapports sont même cemponcés. Dure le 2 et le 12 ma (époque de la rentrée), les rapporu non encore tertnués et le rapport général seront en ^ état dëtredéposés. Uuan 4 ceux qu sont; déjà adoptés, ls vont étro mpfués pendant les vacances, de tellu sort«que la Cbaubre < pourra ordonner, uès que cela lu convendra, : la mse à lordre du jour du budget. On ne don pas oubler qu a patr du jour, de a lentree, l ne restera.p.lus.guère à laj Chambre actuelle, que dea mos et dem à séger, pour attunure lépoque de la graoje sesson des consels généraux et, par conséquent, pour se séparer. Dans ce laps de temps, l faut que le budget sot voté, non-seulement par la Gbambre mas auss par le Sénat. Grâce au labeur persévérant de la commsson du budget, la chose devent parfaltemeutpos- lble» La queston qu va se trater dans la con- léreüco nteroaonale.monétare, ouverte noard, sous la présdence dem. Uagon, est trèsdélcâ.e. l sagt de savor s la France réusèra à éténdre à tous les pays le système du bmétallsme, c est-à-dre de lacceptaton du double étalon, celu d or et celu d argeol ; Go système est devenu aujourdbu nécessare, étant donné quactuellement, un lngot d or dun klogramme représente, en France, qunze los et dem sou pods d argent, tands qu à Londres, par exemple (pour ne ptcadre qu un pont de* coa-parasouj, l ropésente plus do d Sept los ce même pods u argenl On vot quel Déuèfco relre lo possesseur dune certane somme d or, en allant l échanger â Londres, au leu de pratquer.cette opératon à Pars. S le double étalon est adopté, la-valeur de lor, relatvement à largent, sera la même pour tous les pays qu auront adhéré à la conventon mouélare. Depus quelgnés jours, noos remarquons, chez certaus organes de la presse rançase, une tendauce à répéter : Cest à Tuns quea lâme de a rtestance. 11 laut donc aller à Tuns en même temps quà Béja. > Les quelques coups de fusl qu, parts du pett fortn de Ue Tabarca, ont accuell une canonnère françase, donnent à cette tendance fne vgueur nouvelle,dautant grande, que esdts coups de lus parassent avor été trés par des troupes tunsennes. En mémo temps, on fat courr le brut de la formaton à Nîmes, dun corps de débarquement destné à être expédé drectement sur Tuns. Nous croyons quà rasonner ans, on fat ben magre part à la réflexon. l serat, en effet, plus commode de ponter tout drot sur Tuns, que de se lancer dans le pays montagneux des Kroumrs. Nous ne pensons pas cependant que le gouveruement franças at lntenton dagr de la sorte, et nous avons même une vague dée que le bey voudrat BOUS vor adopter cette tactque. Lvré à ses propres forces, le bey ne peut ren ; a réparaton exemplare que nous avons à trer des pllards, que notre palrnce a enhards nest contestée par aucune pussance. Qu sat s la présence dune flotte frfnçase à Tuns^ n entraînerat pas larrvée dautres flottes f Le bey dot du mons se raccrocher à cette espérance. Et son but est de vor se transformer une smple represson de brgandage, e ^ queston nternatouae. Nous ne sommes pa.s encore en guerre avec la Tunse offcelle, ppsque notre consul, M. Rousan, est touours à Tuns. Cette heure, nous latendons sans crante, s elle dot sonner ; mas nous ne devons pas la précpter. C o n a e l d e s m n s t r e s. Dan» la séance tenue mercred par le consel d*» mnstres, on sest surtout occupé de la queston luasenne, et pluneur^ mntres ont rè vvement, trè^ énegquementnsaé pour que toutes négocatons dplomatques soent ompuee avec le gouvernement de la régence. Ccd mnvlrva seraent, -arat-l, rencontré >ne l erlane résstancè île la part de l henorabe U. Drlbèlomy Sdut Ulare, qua demandék attendre le rè»ultal de la dernère drmarcht oïdfo^ pàr.lu à_ H. Rou&lan et.la réponse à la dernère note communquée au b y. l a été que^tun d envoyer mmédatement dans e.^ eaux de la Goulette, ou à proxmté, l escadro curasst-e avec un corps de débarquement. La chose n a pas été déclée her. Le curps est prè. l ejcadréest prête; en pourra partr au premer sgnal. L^s dernères dépèt bsa reçues de Tunl- par le mnstre des affars étrangères ne puvenl lasser subsster au-u doute sur.les dupolons bellqueuses du bey et de son favor ; auss s attend-on è ce que des ordrea de départ foent expédé dàt deman., l y aura deman matn a l E^sée, un consel où tes résolutons denèrs seront pres. majorté cest a Nèvre ; de sorte qul y aura compensaton. Les vngt.départements où la mserté d u, cooes général appartent encore à la drote toales suvants : Calvados, Cbarenle, Corse, Côte-du-Nord, Dordegne, Eure, Fnstère, Gers, ndre, fjort-lhféreure, Lozère, Mane-et- Lore, Uorbhjn. Orne, Pas-dr-CaU. Basses- Pyrénées, Tarn, Vendée, Venne et BellorL L e s C o n s e l s g é n é r a u x. G ett lund prochan, 35 avrl, que s ouvre la se.->soa de Pâques des censnls généraux. Cette sesson va être en qu*lqueserle comme la conloualon de celle du Parlement daus ls dé- parlements. A <ucure époque, en effet, on avall conssté la présence d un aus.-*! grand nombre de membres des Chambres dans les consels généraux. Actuellement les députés membres des con- >els généraux sont a» nombre de 396, dont ^ 9 républcans «t S7 dt*s dvers ractoos de la drote. Cest-à-dre qum y a dans les cons»s généraux les tros cnquèmes de la Chambre et presque la moté du Sénat. l y a sur 90 dvparements, y comprs l A!- géne, que sx deparements où aucun député n sénateur ne fa-m parte du consel général : ce sont ceux des Boucbes-du-Rbéne, du Rhône et du Var cl les tros départements algérens. Au pont de vue du classement des parts, les consels généraux se partagent en 70 ayant une majorté républcane, et 20 une majorté de drote. Un département vent de perdre une vox, ce qu met ta réptblcens en mnorté dans le consel général cest le Fnetère; ma», par centre, un autre gagnat en même temps la vox qu nanquat aux républcans pour avor la j e s l m p é O * Le produt des mjôts et revenus ndrects pour la premère qunzne du mos d avrl 1881, compare aux évaluato< s budgétares a tonné une.plus-value de ,000 fr., qu compo^e ans : Tmbre fr. Douanes * 0 Contrbutons ndrectes Po-tes... ;...1.« Tel^raphcs... 4t»4.0»0 T o tal., Enregt trament, Beus-valu,e... UO.OOO Plus-value total L e s C o n t r b a é o n s n d r e c é o s e u 1»» 0. l est toujours ntéressant d examner, dans le produt des cotrbuttos mdractes, q el est le mouvement de chaque genre dmpôtj vot; comme augmentaton, sot comme dmnuton. ; Les documents que vent de publer la drecton générale de» contrbutons ndrectes nous four- n«enl d utles rensegnements sur ce sùjet, en ce qu concerne l année Le rend- ment de r>r>pô sur.les vns a fabl. de 8, tr. par rapport à Cette d-; mnuto provent, non^eulemen de lnsufo- ^anck des deux dernères recolles, mas encore du ralentssement dans les approveonnemekts, provoqué, dès le mos de.novembre, parla: perspectve des dégéveroents. Tnn fos, malgré une dfférence en mens de 465,000 hectoltres sur les qnantés mposées, l«drot de détal bencfce encore de 1,568,000 fr., par sute de l augmntrton cros>ante du prx du vente, t^ dut de détal pè^e exclusvement sur 1m clâsrés^ovvrèrêï.oblgee» d acheter chaque juur au fur et à mesure de leur» be*eos. La He offcelle sur les vns e» beutelle, qu on» établt parce que lon avat cru qu elle n ateldrau que les vns de luxe, a donné des résulas tout (onrarrs. Les vns de luxe sy sont pafatrment dérobés, et la taxe na plus frappe que les vns ordnares. Auk e»l-ce avec rauon que cetto taxe spécale été supprmée par la lo du 19 jullet l n eu est résulté, pour le Trésor, qu une perte de 3,300,0Q0 r., qu se rédut, en réalté, à 1,600,000 fr., S on lent compte des drot» ancens auxquels les vn» en boutelle sa trouvent assjels. Toutes les taxes étables sur les cdres offrent de» nmnuons dont reuütmble est de 1 318,OnO r. Cest la -onséqueuce de la pénure de recolles dernère», pénure qu sera à pene comblée dans un quart de sècle, en admettant que tous le.s pommers gelés soent remplacés par de jeunes abe». Par cutre, le produt du drot de fabrcaton sur la bère, qu état demeuré tunglemps statudare, présente une augmentaton de 2 mllon». Ou a consomme 851,b9l hectoltres de plus qu en 1879, et nou» ne summea pas au bout. Le règn- du houblon commence à pene, et l se Tonde chaque jour de nouvelles brasseres. Lalcool non plus nest pas en basse. L mpôt sur les sprtueux offre, en 188U, une plus- valèo de 35 radons. C est xurtout dans les grand» centres : Fans, Lyon, Burdoaùx,Ndnte», Rouen, Rems, etc., que l àccrobsemel aeat accentué. Le taux moyen de la consommaton, qu nest que de 3 hres 1 dans les localtés au- dessous de 4,000 âmes, s élève à 6 ltres 8 dans les aggomeralos de 4,000 âmes et au-dessus. M^gré tous ces accéosar-ments, l ne manque pas encore de gens dont leau consttue la prncpale, snon l unque bosson. Pour l ensemble de la France, en effet, la quotté moyenne de la consommaton naoyenne du vo par bablant est de 72 ltres; celte du cde de 11 ltres; crle de l alcoul de 3 ltres 6 décltre»; et enfn, celle la bère de 23 ltre^.^ Cenjme beaucoup d ndvdus dépassent largement leur moyenne. en vot qu l ne reste p u fradcbose pour les autres. E v è D e m e a lb d e. T u n s e * j Tolc les réflexons que lagencn Hvas fat au sujet de lagresson dent la canonnère ÏHyène a été l objet : * Bône 30 avrl. L ncdent ds redetabarque est dautant plus grave qu l est en plene contradcton avec le» recantea assurances du bey qu, en explquant qu l ne pouvat ooorvérer â la répresson des Kroumr-, atten-u que ses sujets ne lu pardonneraent jamas de s unr à des chrétens pour combattre des musulmans, avat du mons déclaré furnellementquelps troupe*tunsrnues ne combattraent pa» les Franças et se retreraent partout devant eux. Ou savat léjà que le bey navat qu une autorté nomnale sur le» Kroumrs. c L ncdent de Tabarque semblerat ndquer qul en est de même pour les régulers tunsen». «On est mpatent, dans larmée de savor la réponse que lera le bey aux observatons qu ont dû nécessarement lu être présentées à ce sujelparh.roustab. Aucun fat d ordre mltare nest sgnalé aujourd hu en Algére. Voc, à Ce sujet, la seule dépêche de legence Havas : Alger, 21 avrl, sor. Un télégramme de la Calle, mal nterprété, a fat annuncer à tort la prse de l le de Ta- bàrca. La même dépêche donne les rensegnements suvant» sur la stuaton en Algére : L0 non publque dot être mse en garde contre l exagératon de» crantes exprro ^e» au sujet d une fermvatatdn dans l ntéreur de ralgéne, dans la drecton du sud et vers les ronèrv» du Maroc. De» pré atons ont été prses au moyen de r>otorls arrvé» de France. Dans la povaçe de Gonstantne, celte émoton avat des fonlameot< plus séreux; ma» tuub apprelenon de pérl esté artée par lenvo de nouvelles troupe» de France. Ces troupe», en cours de transport, remplaceront celles qu eoul drgées sur les frenërm de la Tunse. L Algére peut donc èlre consdérée com m e parfatem ent tranqulle â la su te des mesure» prses par le gouvornemrnt général. Tuns, 26 avrl, 6 h. sor. (Arrvée le 21 â 6 h. du sor). Le seul journal qu se puble c est ïoffeel, feulle hebdomadare. Ce journal annonce que le corps ezprdonare qu est â Béja a reçu accuel benvellant partout sur son passage. Les hommes s enrôcnt et fournssent les chevaux nécessarrs â lexpédton. Le» nèes démonstratons ont len pour le corps de S.-Sélm. Toulon, 21 avrl, sor. Lavso la Corse vent de partr pour la côte de Tunse. Deux batallons du 20* régment de lgne, venant du Hontaubao, sont attendus c deman. 213 marns, sous les ordres d un leutenant de vasseau, sont arrvés, veoar.t de Lorent. Un traporl «sten rade, pêlâ partr au premer Mgnal.. Tuns, 21 avrl sor. Le brut court que de» Mtro» de menace» ont été adressée» au cousul de France. Rome, 21 avrl. Une dépêche de Tuns, du 21 avrl, dément que la Sûceté Rubatto at été chargée du transport de troupe» ttneunes. La corvette ÂmérMne qutte a Gou- lutte. L encsdr* d «Malgré l atttude agresrve du bey, le gouvernement persste â ne pas voulor agr drectement contre Tuns; mas l escadre de Telen a reçu l ordre de se tenr prête â partr au pre mer sgnal, et quelques heures suffraent pour qu elle se transportât à la Gouelte, s le fanatsme musulman menaçat aéreusement les ré- sdeut europ^ns en s toute autre cause grave venat â surgr. femsaccb sl*ue«m«lmb4 «a tr «H. R o a o t. Dép^he du Temps : Des nformaton» cencerdante et sûres établssent laububtcté de propos attrbués â deux Européens attachés, 1 un au servce la- lme du bey, l autre au servce de Harada-ben- Ayad. L autsur de toutes ces complcatons, auraent-ls dt, c est Roustan. On devrat s en débarrasser au moyen de quelque brav aposléssur le passage de sa voture. > Ces propos prouventtout au mons ntensé de la rage malsane engendrée par a décepton d e8»éraoccs caressées par la caroarla du Bardo, relatvemenl au rappel du représentant de a France, coupabled avor mantenu hautet ferme le prncpe de la prépondérance nécessare de la France en Tunse. La ouvvle promptement répandue, de ces m: nacesa valu au consul de France de nombreux teuognagm de sympathe de la part des Franças «l de» étranger». H oat clle proteotam m da B ey. Une nouvelle protetalen du Bey a été communquée aux consuls étrangers. Voc d après la France de ce sor, quel en serat le texte : Le vngt avrl courant, le chargé d affares de France nous a rems la lettre dont je vous envue cope. Cette lettre étant relatve â une demande contre laquelle nous nous sommes toujours élevés, ans que nous vous l avons dé- claé par notre précédente communcaton, nous voue cunmunquone que nous avons été oblgé de lu répundre par la uote dont vous trouverez également, c-jomt, une cope. «11 ne peut pas vous échapper que l entrée des «olddls franças sur un pont quelconque du tectore tunsen amènera neceseareraml des dangers dont la gravté vous a déjà été s- galét*. c Nous avons organsé et exédé un camp peur e r^lement de la queston. L ordre contnue de regucr dans le pay»; mass les troupes françases entrent en Tusa, nous ne saurons alors prévenr 1m péns mmrd<at» qu pourraent en résultrr, et nous rc-jeun» tout entère la responsablté de ce re;ultat sur celu qu peut la causer.... Nous portons ce fat â votre connassance pour la sauvegarde de tous les ntérêts en cause. Vuu» vous prons den ntbrra.r teegraphquc- mel votre guuverncmxnt, opérant qul recon- alla ddus suo équté, la légtmté de» molls de notre atttude et qul appotera dans lexamen de cete affare l mpartalté que nous lu conoassons. «Ce vogt et un avrl c Mobamsd EL Sadock. «Contresgné : < âustapqa. > Voc a composton du corps expédtonnare placé entra La Calle et Souk-Ahrras : Commandant en chef ; le général de dvson Feruemol de Bostquénard ; Chef d état-major : le colonel de Polgnac. COLONNE DE GAUCHE Le général de dvson Del< bscque. Brgade Vncendon. 7* batallon de chasxeurs à ped; 2 batallons du 40* de lgne; 2 du 96*; 2 du 141*. Brgade Galland. " 29* batallon de cha-seurs a ped ; 2 batallons du 18* da lgne; 2 du 22*: 2 du 57*. Brgade Rttter. 1 hatallen du 2* zouaves ; 2 du 3*; 2 du 1* lrallars ; 1 du 8*. Trouprs dvsonnares, escadron du 4* hussards ; 1 du 3*spahs; 3 batteres de montagne de 80 mll; 3 d u 4 k.; 2 compagnes de géne. COLONNE DE DROTE Le général de brgade LogeroL Brgade Logeret. 2 batallets dul** Muavee; ld u4«; 3 du 2* tralleors; 2 du 83* de lgne. Brgade de B rm. 27* batalleo de cbasseun â ped ; 2 batallons da 122* de lgne; 2 du 142*. Brgade Gaume. 8 escadrons du 7* chasseurs à cheval; 3 du * husurds; 2 du 3* chasseurs d Afrque; 1 du 3* spahs. Troupes dvsonnares 3 escadrons du 13* chasseurs â cheval; 4 battere» de montagne de 80 qll.; 1 battere montée de 89 mll; 1 compagne de géne. NFORRTONS GÉNÉRALeS.e Présdent la Républque a reçu mard en audence selanelle, au palas de l Elysée, S. Exc. le leutenant-général prnce Werenzoff, envoyé en mssun spécale. Le prnce a rems è H. Grévy une lettre^utographe par laquelle S. H. lempereur da Russe remerce le Prés.* dent de la Républque et le geovernemet franças des marques de sympathes quls lot ont données â la mort de S. M. lempereur Alexandre H. Le prnce a été condut à lelysée dans les voture» de la présdeuce par lntroducteur des ambassadeurs et a été reçu avec lesbohnens réservés aux ambassadeur» extraordnares. Le; journaux relgeux ont tous pohé her sor la note suvante, quls duenl leur avor été envoyée d Algére : «Les nquétudes manfestées de dvan côtés au sujet de lorgasatton de laumônere mltare pour e corps expédtonnare de la Tur nse ne sont pas fondées. c Les aumôners ont été nommés par lau- lorté ecclevaslque de concert avec lé général commandant le 19* corp>. Us sont déjàà.leur poste. C est M. labbé &unel, ancen auraôaer mltare, qu est aumôner en chef. DfS prères sudl au-s ordonnées pour appeler les bén^o- luo» de Deu sur ne» soldats.» On se souvent quune parte dé la drote, coudüte par MU. Janver de la Motte père, Lengté et Baudry-dA^son, a tenté dnsnuer que lexpedton de Tunse nétat f^te que dans un ntérêt fuancer. Toc comment un journal réactonnare, le SoUt, proteste contre 1rs allmatoqs peu patrotques de MM. Janver de la Motte père, Lengté et Bandry-dAsson : Msérables, cent fols msérables ceux qn, ayant un acte de baptême de natonalté l^an- çase, ont le cynsme d écrre que l expèduen de la Tunse nest quune spéculaton fnancère. Ceux-là mértent d ère cloués au plor de ropen publque, car enfn, que font-ls? ls prennent le part des étrangers, et de qels éragesl La trbu des Kroumrs, qu n est qu une trbu de pllards et de masacreurs, le bpy de Tuns qu n rs quun barbare du vel Orent eoure dun con»rl d e»claves, les fanatques d Afrque. Has comme les fls de Noé dérobèrent â se» coutemporaïus lvrease de leur père en lu jetant un manteau, couvrons du vole de l ndffereaco les aberratons de cette fracton devoyee de la presse de Pars. Deman, no» suldats se trouveront en face de l eomm. Us répandront leur sang, ls rsqueront leur ve, peut-être ls trouveront g mort sur des cbaffljm de batalle où ls sa bâtront non-seulement contre la tnbu des Kroumfs» ma» contre une armée de Tunsens. Ce n est certes pas la moment de jeter du doute dn» leur esprt sur la légtmté des garantes qae la France entend et dot exger d un gouvernement vosn et hostle, pour la sécurté do notre colone atgà enne. Cet honnête et ferme langage nous console et nous dédommage des neptes et des platttdes auxquelles se comput la presse râctonnàre^ M. Sad Carnet, mnstre des travaux publlc, dot prochanement se rendre à Sant-N F E U L L E T O N (23) n L E F R H D B R E G O H P R t f S B JULS LBRMNA x n LA VfnTÈ A COUPS DE POCOE L entrevoe du comte et du magstrat fuj( qngoe. M. de Kêraoult avat buppllé.m. de Lnslre de lu fare cooralre dans leurs détals les pla mluueax tous les fats qn sétalent produts depus larrestaton de Davd t et avec une Complasance parfate lé juge lu avat com- munlqué les nterr^aïolres subs par rsceusé. l lùl avat ^alenèol raponté commm Sy valo sétalt prômnta comme témon â décharge, et contment lnvralmtn tanco de sa dénoshlpo avat lté affrmée par léâj mental de la pette Avrllleto., Je oompredda.- âjodla dé> Luaaaro* s ^ e n sotedrnlaro.chumtddo A d d.tro B ^, votre eoneeonco. Mél-knême je net p u po résstar à nn premer moavemoat d*héuâtoe. Ma» rbumanté dot se tare devant des consdératons plus hautes. Tout Ou jdagnaut ce malheureux, je me demande- a cette teutave de sucde naggrave pa» encore les cba^r» qu pèsent sur lu et h cet acte de désespor nest ms le cr suprême dnuo cousceuce bourrelée de remords. H. de Réraoull avat prêté une orelle attentve. Quand le œgutrat eut fnl de parler, le comte bocba la tète. Honeur, lo dt l, vous rasonnez en homme de Juktré, cest votre drot, plus encore, cest votre devor. Mas, permctez-mo, sans chercher â nfluencer vos convctons, dapporter dans lexarneb de ce drame ténébreux on élément nouveau. Gomme vous, - Ja partagé juquâ ce okhmnt les préventons qu sélevaent contré Davd ét le na >m songé â pénétrer pns avant dans ce chaos, afn d y cherder ta Mnmère. Aujourdhu, je commence â crandra davor porté un jugement précptô. A consdérer sanement les cbosm, on ne saurat relever contre ce jéone homme quune charge.détermnante, la lettre.tronvéo dans son logement. Or, est-l dé^ montré, quq-cette lettre, èn leunt pour avéré que cest ben lu qu en état le desloaare, at été dans sonespn, le pont dedéart dn nor complut qu a coûté la ve â ma pauvre Hélènut Bpre le déju d un amant rrpoussé et la pensée dq amaasnét, l y a un abtme. RéOexons ben lardvta, me drez-vous. Daccord, mas lesrévé- latos de ce Sylvan... Bh quol nterrompt M.^de Lotsare, se peut-l quun homme séreux comme von» ées ^ute fol â CM romaes( ue rapjtorts dappartons nocturnes, de soerralns gooréa, de vâus* pres mystéreux?.». ^....; Ou* jf M le.ne pas, tout cela est du sort de 1a féere, mas ma rason proteme en van contn lnmaambabca du ué récta. Um vox ntéreure me cre que la cotpable nest pas celu que nous accuabus. Versatlté, nconséquence, j en convens. Mas quand je la vu 14, ce malheureux, unglant, b lê m e, mourant, avec ses trate emprents d une douceur que la souffrance même rendat plus e x p re M w, je n a^ pu m empécber de songer â laffectueuse estme quuèlène jn avat toujours témognée et qu ue s esl jamas démente juquâ la dernère heure de sa ve, Lentretèu contnua longtemps. Quand m deux nterlocuteurs se séparèrent, la nut tombat; Quelles rérolntloos avaent été arrêtées déos cette entrevue, cest ce qué nous ne tarderous pas â savor. Avant du s étogner. M. dokéraonl retourna â l hô^tal, le cœur serréy tant l redoutat d sp- preodré h mort de Davd, de cetu-d même dootltdlt; quelques heures auparavant, sgné la>condamnahoo. Quand l pénétra dans la salle où état couché le b M sé, Sylvan, penché sur ce vuage pâle entouré de lnges eosanglamés,. semblat prêter l orelle au murmure â nrne perceptble qu séchappat des lèvres de l agoulnul En apercevant üs nouveau veau t MoHeur le comte, lo dt-l, sur la mémore de celle qu vous état chère et que Davd «la jamas cessé dhunorer -et de respecter, je vous, jure qu l n a pont attenté h sa ve. Ce nest pas au moment peut être de cun arahre devant Deu qul oserat clarger sa CoOMcenca dot memmge tnutlle... 8h btru anptoche- vous et parlet-lu de la même ^vot qttantfefos. La fèvre, qu lo a vetdu comme une lueur de vm lo permettra, je Fespèro, de vous eatèndre et de vous.répondre.. l Lacéent de Sylvan emprunt â cette scène. de «teul tumsom de lolooblta M. de Kéraouh, profondément mpressonné, sapprocha de la couche nû gsat Davd, la tête renversée en arrère, les yeux 4 dem clos et fxés vers un bnt nvsble )Our tous. l lu prt la man. -> Datdl ap elat-l avec une émoton qu l nessayat pas de réprmer. ^.e morbond lassa échapper nn gémsscmeut. Ses lèvre» s a^tërcul M. de KéraoeU sétat nclné vers lu. Davd je vît Un éclar, pasu dans ses yeux, qu se tournèrent vers le comte, en même tem ^ que sa butche entr ouverte murmurat ; noceotl...unoceut!... Je TOUS,cros, Davd, reprt M. de Kéletempa.de le léparer. - ja r t vvez pour me donner raoult dune vox pénétrée : pardonnez;uu le afüt, etvve!:.1 )ulutbé;teè,m He^, momeur. mal qw jojvous.de le mes jallssaent deayt leè, mas sa faujvsse le traht. Des larmes jallssaent desyeux de Davd. Q manteuaue pus mourr. \ M. de l(éraoult reposa doucement sur le Ht la man de Davd qu sabandonnat dans la senne. Pull, sapprochant du jeune fermer, qu no pouvat contenr ses larmes :. Du courage! lu dft-ü â vox basse. ^ve>lelt.. mo, je vato où m appelle mon devor. Et sélança hors de la salle. Un nk^an après, le comte montat précljd- nmuent dans sa voture, qu lavat amenée, en crant -coeher t VenDv 4 terre jusquaux TremWayee. j Ses tempes batleent avec v*>lence. Son ce^ veau boulooat sont eon crée. xmgtemm avant darrver tu château, sa pensée éult sur le -tmlro, da»m»uhco. Veeo>adelnt M - bleen dé cetu eoèm bodtonate, nvoquant Ne da ontm^* lessouvenrsdu passé, poursuvant dnducton en nducton le mot de cette sanglante éngme, et tout â coup s arrêtant effrayé, dans la cnnte de le sasr. Son agtaton état 4 son comble quand N. de Kêraoult mtped 4 terre dans larourdhchâteau. Lanture, qu ratenda, ne put retenr un cr de surprse â laspcc du cheval haletant et couvert décume. Sa stupeur fut encore plus^aode quand, 4 la clarté de la lautcrne qul ternt â la man, l lut sur la physonome de son maître la trace effrayante des angosse» auxquels le comte état en poe. Graud Deu! captane, quavez-vous? sécra le matelot, et quel nouveau malheur nom menace? M. de Kêraoult sast la man du marn, qol éoegnt avec une éneÿe convulsve. ^ ta que j a? répoudt l dune vox saccadée. al la mort dans lâme, mon vel am... je vmudevor Davd exprant. Exprant et par quelle aventure?;., l.e.malbaareax sest donué la mort. Pourquo le plandre, mouseur le comte, sl sest fat justce? { Et s cest noue qu lavons accusé 4 tort? S la preuve de Son nnocence est c même, â quelques pas de noos T.,. Bconte-mol, Lanloro t vte une pelle, des phtto, ta tloteroe et vens avec mo. Sas détonnemeu^ le veux toup de mer contemplat son roatre avec des yeux fflttês* se de- mndanvs lexcès deladoulenr n avéj^ dérangé l éqûblè de sa cervâle. Bb behl Launre, fnt-fl te.répêter mm ordres ptmr me Dre obér? r ^ t < le bumè avéc une rvéélâl fébrle, qu tenfmâ lè Mrve tér-* vteur daoe Vdée que son efeér avat trtjlÿâ k coup de OMrteatL» < MaMfldMbladjMpUMBfllMNt Le temps de courr jusquà la serre, M j# revens. 11 sélogna â pas pressés. Sans l attendre. H* de Réraoult courut sa château, francht le perron avec la légéroté dnn jeune homme, ouvrt la pprte du grand smoa... Tout état sombre et désert. l sarrêta. C est c, dldl, que pour la dernère frs mes yeux se sont refwsês sur to, ebère et douce vctme. S lu me vos, al tu mentends, aspré*mo et soutens-mel.. l resta un moment slendaux comme a^u eût attendu quune vox s étevà du monda deseprts pour lu répondre. m:. D n eneodt que le mnrmnn du venthma- yers les grands arbres dn pare. Ams ft le comte. AMsnob n fl jallr la flamme doorallnmeue, et Ueo» tôtlalbenrd*neumpa éeln.vebfcélnte 4e M vaste {dèoe.-. «. H. de Réraonlt, mjmeal, reval vcn le pefrott. Bh ben! Lanture? rra-t-fl. Volà eapunel. Et le matelot parut, sa b n erél h man, et mun, ans que M. de Kéraouh nt eu rnt donné lordre, de deux pocbes et dosé pefle. Atcnda, oe bcs pas tom* Bslwjanl- dans le pavlloo avec un lever. ; ^ Unfore ne eo a p ré o ltrn à e ed tt Mbftà» paner. Mas le sentment du,develr Vêl MlMg sur létonaetteat. M. demértoul jeta laem r,\l hts reajkrmt ded T -

2 / m f M s:b!nv:î(1 Mtr Mlrtcr ï rm O c a n ^ àn b u d a d C tw w a b w k O o t, w tn p r» nrlu ««M»; U «* 4 «U U lornh ta W «, 4 un r«u o l. d t HOO MradttooWT lor MO d lt Mrj U comumuoo a cebté plu dt âs mut d«^.rn«dnattta,tb B uw,t\rav «" U ctattu tapmtor do commum stm r«m <e H. 1«H o ^ des tra<nox publcs. dqqb»lm Turcs tn t ctdd ton Tlhct tu )>tgt.< SulO «B»Dt r^réb,8eutt w w P w B S B f l w u.... rtst stoltatbt t tcmon dtebt q nt t t po-,ttot lat qutsom géo4rtltt t t qut te atetalt le bodmt déparltntmttl.. ls «e mt»-c, tn nsm d t cmdltom ptr- tcuuèrts d t notra stuton poluqotv<^<^ ^ t NMtn peut offrr uo ntérêt podÿ tt^ u t H. Fnnck ChovM. député. t\ncn l tttn ^ r T-. T. susnttdem. leh ndredestrtttux publcs, tous 1s ^dm ct de M. Trtd, m outredt nutre eux étndes. do ^ena de fer l tcrcouurt et do commerce. dormoj>yllmkunlléederoorcq.l.prsnck u n û a a trt réét proposé d t Je etosuur sur c h u T tu tn t ppelé raltenlon du Mnstre certans trtdes du tarf coatmtonnel kçu - * mettre aux pulambce» en tue d t la concluson 1a queston de la réferma éleemall.et peét «n e cet tneablém départesneotm. Aucnne drculare n a été à ce sujet rd t s ^ b lé r s départesneol... Aucnne orcolare n a été ta to é t nnx péels j ce sujet ; le mnstrt de l nténear r p t berné k leur dtnner des nstrtelot sur la oandote é tenr, de manère k empêcher l ématb dt tons de tateaux tratés de commerce., M. Kennedt. délefué du gootemenenl an- alals. est rrté k Pars atec msson de commencer les akecatons tn tue du renoutele- nmt do trate de ssr cette queetou, k la sute de pluseurs demandes late par les pepulatanp uléressée. Nous ne douons pas uuun p rtn p t effet Dt tot la conséquence (le la lettre du Mnstre :, Pars, le 16atrU cu»u«monseur le Déjulé et cher Collègue, M. Mare, drecteur du commerce etérenr, Vous atex ben toulu appeler mon attenton tt m! Maran, drecteur aux affaro étrangères, gor les retards que subraent les études do ont été désgnés par leurs mnstres respeclfe chemn de 1er d Ormoj-Vllers k la vallée de nour entrer en pourparlers avec lu, rourcq. ^ Ja rhonneor de vous fare connaître qu en,.... netûant k lngéneur en cher du servce la lo Louverture du congrès ^gogquo o^anse derner, portant déclaraton d ulk l occason de la réupop des wçem 1 lté publque de la lgne dont l s agt, je l a nk Pars, a eu leu mard k la salle Larson, en jg pressante, k actver présence do M.*Gréard,, membre de lnsmtu, gjjjujgg dêqotees et k fare toal ce qudé- a. P.nu al de M. prcmptameol k la vce-recteur de l Académe de *55 ^, p,u*> u»,u. pvu. Busson, nspecteur géneml, dwecteur de t en- l p^^jg d exécuton dos travaux. g n e m o n t prmare au ranulère. Je fas, d alleurs, prendre bon...- e vous attachez k^tteentreprse et vous segnemom pnmare au. j«fgg d alleurs, prendre bonne note de Tnc.n«rb 4 e M l...écu.l aul " y *» " " H,Ko. j» w»,-r, OKft _j lere que TOUS aacuea a vowaaump*» et,wu» e t a u x nsututrcos, se compore de zatrepro- pou,e être assuré que je ne néglgera ren pour sentantaélua ou choss k raw n de deux par bjugr gutant que possble, la réalsdépartemenl et de tros dans M départements ajant plus de doüxe cents msttuteurs et nst- tulrcospublcs. Gh^ue conférence cantonale avat eu k trater ls deux sujets suvants : 1* Des moyens d assurer la fréquentaton seo- De rensegnement et de l éducaton dans la dereère classe de la dvson élémentare ou pette cltt., Pus elle akat éln un rapporteur représen- ttnt la conférence dans une réunon late au chef-len du département; tous les rapporteurs ans réun avaent élu leurs délégués. M le drecteur del ensegnement prmare a, dans une cbalenreso allocuton fréquemment applaude, souhaté la benvenue aux délégués, leuv a exposé ce qu on attendat d eux. M. le vce-recteur a ensute explqué dans Agréez, Monseur le Député et cher Collègue, l assarance de ma haute consdératon. Le Mnstre des pwê/cs, Sgné : Sad-Csnot. S o a p c m f l M A n m ta re Ae M artefam am e* Nous, Préfet de l Ose, chevaler de la Légon d honneur, Vu la lo du 5 ma 1855 ; Vu le procès-verbal des opératons électorales muncpales auxquelles l a été procédé dans la commune de Hortefonlano le 9 janver derner; Consdérant qu l résulte de leameo de ce document qu une protestaton, qu y avat été quel esprt et dans quelle orme les travaux de- nsérée contre la valdté de l électon, en a ké vraent être drgés. - On télégraphe de Marwlle que le préfet des Boeches-du-Rhône vent de prendre uo arrête annulant la délbératon du consel muncpal s opposant k l érecton de la sutue de M. Thers. H. Emde de Grardn est gravebedt malade. Voc la note que nous trouvons à ce sujet dans la Fronce:., «S, depus pluers jours, M. de Orardm a cessé de répondre àu grand nombre de lettres qu l reçot journellement, c est que l état de sa sauté lu nterdt même de les lre. * Une dépêche de Rome annonce que M. Chet- nelong repart pour la France. l a vu le pape et le cardnal Jacobe, qu se sont tenus, dt- on, dans ane très grande réserve au sujet dee dvergences qn exstent entre les catholques purs et les aholques légtmstes. Le ro Jean d Abyssne a été tué dans un combat contre les Gallas. Né en 1835, le rc Jean éut fls d un des prncpaux chefs du pays. 11 vnt jeune k la cour de l empereur Théedo- ros, qu le prt en amté, et le nomma gonver- neur de Tschan-Kala. l prt parlé la campago^ contre les Anglas; après la mort de Théodoros, l revendqua le trône d Abyssne, et, après avor vancu tous ses rvaux, l fut, en 1871, proclamé ru pus par les chefe du pays. Le nouveau souveran transféra la captale de Gondar è Adena, qu est plus vosne de fa côte. 11 chercha k ntrodure dans son pays ss coutumes d Europe et shabjllaà l ouropeeme. En 1871, l repoussa vctoreusement une attaque des E^p.ens contre ses possessons. L j a f l u r r e e t o n a l b a n a s e. Une grande Bsurrecton vent déchter en Albane. On a essayé de démentr le fat; mas de tontes parts lu nlcatens l u plus précsu arrvent, qu le coüûrnant. L Agence contnentale communque k ce sujet la dépêche suvante : Londres, 21 avrl. Une dépêche adressée de Venne au Centr» Hem annonce qu un combat sanglant a eu leu k Prtzrend, entre 15,000 Albanas et 11 batallons turcs. Ces drnera ont été complètement battus. Dervsch-Pacha, commandant en chef de«forces turques, a mmédatement demandé des renforts k Gonstantnople. L agence Havas reçot aujourdhu dathènes la nouvelle savaate : Suvant des avs de Salonque, une escarmouche ayant eu leu k Scopa, en Albane, toute l arm k turque de Salonque a reçu l ordre de.se reodre mmédatement k Scopa. Dautre part, on lt dans la Corretpendance poltque, de Venne : Dcrvscb-Pacha a été chargé de réprmer l agtaton qu régnt parm les trbs albanases, agtaton que l on tolérat jusqu c parce qu on pensat pouvor s on servr contre la Grèce en e u de guerre. Aujourd hu ce danger sombl> écart Dervsch-Pacha s est rendu mmédate- met k Salonque, d où l est repart sans s arrêter poor Waxub, le quarter général de la lgue. Son apparton a fat fnr tous les chefs albanas qu s y trouvaent réuns; mantenant les Albanas vont être forcés de prendre un part, l faut ou qu ls résutent overtement ou quls se soumettent. Al-Pacha de Gusnje no consentra certanement pas è déposer les pouvors dont ses compatrotes l ont nvest. Abdol-Bey, Hanan-Uudr «t Suleman-Aga sont également résolue k accepter la lutte ouverte, et ls entraîneront tons las soldats de la L ne. Leurs bach-bozoeks Mnt donceutrés k Lphsa. ls comptent de6,008 à 7,000 hommes, mas ne possèdent que sept petts canons. La hane contre Dervsch-Pacha, qu a lvré Dulcgno et versé le saug albanas, est générale. La Porto na songe nullemeat k accorder l auto- nomlo k! FAbaae. On pense que Dervsèh- Pacba, dont la évéré est devenus proverbale, ttra bentôt étouffa tous les germes do révolte., On Ùlégraphe de Venne k la GsssHe de Cologte ;, Daprès des nouvelles dgnes de la qu ont été êeçuà c, ua combat sanglant, on pourrat bêtte dre une batalle, a eu leu dans le vea- ags d rskub, entre Dervsch-Pacha et envron HsOOd Abénals, commandés par Al-Pacha de Onaje. Pluseurs canons oat été employés dans c combat., On dt qho ss Albanas ont été ûnalemant battus;, mas Dervscb-Pacha a tmépapbé h GnttèUuUMps psur demander des renforts, ce qb «t e o ^ é tré d osmms assez grave. Ea Blés, le» AlbMs ont ulsrrémnt ss commu- BcatMS télégraphques antre Sentar s 8ao< cdacéek l aded un procédé chmque; Consdérant qu l résulte de roslructon k laquelle l a été procédé par M. le Sens-Préfet de Sens, que l auteur de cete falsfcaton n est autre que SJ. Alny, mare de la commune de Horefontane; Consdérant que ce magstrat ynuucpal a ans gravement méconuu loua ses devors et cherché k tromper radronstraton, qu l n est pas possble dans ces condtons (l accepter la démsson qu l a oferte; Vu le rapport et sur la proposton de H. le Souff-Préfet de Senla, Arrête : Art. 1*. H. Alny, mare de Mortefentane est suspendu de ses fonctons peur deux mos. Art. 2. Amplaton du présent arrêté sera adressée à M. l<soes.prélet de Seols cha^é d en assurer lexécuton. Fat k Beauvas, le 14 avrl 18S. Le Préfet de lose, A. JanoDLLB. L o té rc s am x nllém rea p ép aaeé e n T n n U c. Le Journal offcel puble la note suvante En exécuton de la lo du 30 ma 1871, les lettres smples, cest-k-dre ne pesant pas plus de 15 grammes, expédées parles mltares fasant parte du corps expédtonnare de la frontère de Tunse ou adressées k ceux-c, sont admses en franchse. «Les letres provenant des troupes en campagne dovent êre déposées dans les bureaux mltares. Les lettres destnées aux mltares du corps expédtonnare dovent porter dans ladresse 1a désgnaton du grade ou de la qualté du des- tnaïare et du corps de troupe auqel l appartent. Les mandats dont le montant ne dépasse pas 51) fr. envoyés par lnlermsdare de la poste aux rolares désgnés c-dessus sont exempts du drot de 1 Toutefos, le même expéuteur ne peut se fare délvrer plue d un manda par jour pour le même destnalare Par arrêté de H. Wlso, sous-secrétare d E- tat au mnstère des fnances, en date du 16 de ce mws. Ont été nommés ; M. Wabl, receveur des actes cvls k Deauvas^ en remplacement de M. Vel-Vllebamoo appelé à Nantes. H. Wabl état précédemment receveur Bel- fort (laut-rln). M. Jannot, receveur de l enregslremont Outarvlle (Loret), est nommé en cette qualté k Sl-Just-en-Chaussée, en ranplacement de M. Chamvoux, appré à S-Amanl. M. Carpenter, comms des coatrbulona ndrectes k Llle, a éténorané avec le même ttre k Ftaneères. H. Pchard, comms prncpal k Beurgneuf (Mayenne), est appelé k remplr les mêmes fenc- tens k Noyon. Par arrêté de M. le préfet. Ont été nommés gardes-champêtre : M. Delaltre (Lous-Charles), aux Ageux, en remplacement <e H. Temps, dérossonoare. H. Goulouxelle (Honoré), gendarme retraté, k Berneul-sur-Asne. H. Lallouette (Désré), k Lataale. Par arrêté du 2 avrl, de M. le mnstre dee travaux publca, H. Worras de Rumlly, ngéneur dee Mnes, est nommé ngéneur dn ceo- trêle an chemn de fer du Nord, en remplace- asen de H. Vllers, qu rentre dans le corp natonal des Mnes. Par décson du 5 avrl, M. Ghambert, leutenant-colonel de Tétat-major du 2* corps dar- mte, est nommé sous-chef d élat-major de c même corps d armée, en remplacement de H. ^jet, promu général. Les premèrès grandes manœuvres do avato- ro, d rg é par le général do Gallffet, anront leu dans le courant du mos d août «t se termneront au camp do Gbklons. Les brgades des 1*, 2* et 6* corps d arroéo formant une dvson, elle 4* commandée par le général d Espeulles, prendront part k ces opératons. Mjtm C * m M ll«(ëm ë M m x. C est lund prochan que s ouvre la sesson des Consels généraux. Cette spasoa d avrl a of- fre, en tempo, ordnare, que peu d ntérêt; Ms ast excluveaont consacrés Toxpédton dsnaffrrcsugoqtan. rk tdl M paof M D *am am x dtmmmmmm- M. le mnstre vent d accetder : 1* Ponr travaux de mason d école : Bscames. 900 ft*. BéÙsy-Sant-Perra, 9,000 fr. Sant- Sauveur 1,500 fr.ceye,5,000 fr. et Gemplêgn^ l ; fr. 2* Pour acquston do mobler personnel. nlluteur et d nsttutrce, 800 fr. aux (4 n- munes de Tllé t de C om ÿ^e. Des médalles ont été accordées, k la sute dre concours généraux agreolea de Pars en 1881, aux personnes do notrodéparteneal dont les noms suvent : MM* Naquet, k Ansànvllers, une médalle en or et deux en agent. Acetn, k La Chapell-Gerberoy, noo médalle en or. Wsllet, à Amy, une médalle en or. H** veuve Cholet, k Ormoy-Vllera, une médalle en or. Fourner k Ormoy-Vllers, deux médalles an argent. Leoop, k Rosoy-en-Mnlten, une médalle en argent. Profft, k Boullancy, une médalle en argent. Gbert, k Lévgnen, une médalle on ar^ genl. Johnson, k Cbà&tlly, nno médalle on bronze. Hurler, k Tbury-en-Valos, une médalle en bronze. Favre, k Sant-Sulpce, une médalle an bronze. A r r v é * «a n ë m é r a l D e r r * J * A Asmem*. Le général de dvson Derroja, nommé récemment chef du 3* corps d araée, est arrvé dans notre vlle, le nard 19 avrl, dt le Jour~ nal (TAmens. Dès sx heures et deme, toutes les troupes do la garnson étaent maspées sur le boulevard St- Mchel et dans la rue Porto-Pars. Venaent dabordles chasseurs k ped, le 72* de lgne, ps le tran des équpages, et enfn les compagnes d admnstraton. Les gendarmes et les chasseurs k cheval formaent le pquet d honneur. Les généraux Ferr-Psan et Ducrot allen- daent dans la cour de la Gare, avec leur étal- major et les offcers sans troupes, Tarrvée de leur chef. A onze heures tros qarls, le premer coup do canon annonçat que le général en chef état en gare. Oq remarquat le mare, les quatre adjonts et plaaeurs consellers muncpaux. Le général, ausstôt descendu du tran, s est ms en sella et a été saluer les généraux et lenr état-major. 11 a parcouru au pett trot le front des troupes et s et roudu k Thôel dn commandement pour y recevor les autortés cvles et mltares. On a beaucoup remarqué les offcers d étal- major avec leur nonveau costume, qu est! ferme dn cerp auquel ls sont affectés. Une foule nombreuse se pressat sur toute l étendue du front des troapes. l est queston au mnstère de la guerre do la formaton d un et même do deux corps darmée nouveaux, qu seraent corps d ezpodton. Placés l un vers TEst, l autre au Md, dans des garnsobs k proxmté des grandes gares de concentraton, ls auraent des effectfs plus complets que les astres et seraent destnées aux expédtons soudanes, telles que ceux que nous fasons k cette heure, sot k s avancer en avant- garde vers la frontère, ponr donner lo temps aux autres corps do se moblser. C ré «tt* m d urne é e e le d e é p a v a u x d e e an plut, par vola éa préoentor k l examen d tornto dn rannre, al cotta aulà n ool acoordéa qnl des jêanaa g«èp a] mos d octobre da Tanné dn hut ans acoompm et mons da ans. Suvent msnta la pragramma pour l admaeon, al le pfùgttmma da da aarto. l«e^ feeup L lomnulradslbstrnctodpnblquaot dos bmux-arts vent d adroooor aux ractaura une crculare sar raxéoton dp décret dn 10 Janver 1881, concorunt la régme des bôuros nata- nalas accordées pour las établaseroents d onse- gnemnt secondara. Après avor a p c ^ la port- téo d u dsportons nenvelu, prncpalement en ce qu concerna la créaton d u boursu da dero-j^asonnat ou deteraat, l rappelle que Tartcla 1* dn décret [enferme auu ^ n e autre nnovaton nportantè: lu r^tenoatsanlérenrs réservaent exclusvemen lu boursu naüonalu a u fls de fonetonaaru cvls et mltsru dépourvus de fortnno; dorénavant, lu ttruqu urent tant d abord p ^ en consdératon sont " ttude dûment constatéedu canddat et.l n-, lunes d u reesourcu de u feaae pour le fare élever dans nn çohèfe ou un lycée de letat. Quant aux Servces publcs, ls nevendrént qu en socondo lgna. Dans,une seconds sére do paragraphu, la crculare trata,msuts d u examens qu auront k subr lu canddats. Lo mnstre recommande, on termnant, d applquer rgoureuement l art 18 du décret du 19 janver, aux term u duquel, en cas d naubordnatoa habtuelle, da paresse nvétéréeoud ncapacténotaro, l élève bburser peut, après deux Avertssements notfes k la famlle, être prvé do m bouru. l«s pf«*mm wmjmgwkvm. La Socété colombophle do Saot-Quontn organm une sérq drdtnqqmonu et de concours entre veux pgêôns.lu.lîçhen auront leu aux datu et îllapù (â-après, : Avrl 1881 : ÎT, Monlucourt;. ^, Tergnler. Ma : ", Noÿôa;.8, PoobBalae-Maxeoco: 15, Sant-Déns; 32 ïta m ^ ; 29, Orluns. Jun : 5, Tours; 13, Poters. l y aura on prx par 20 pguns pour Pont- Samtc-Maxence,, jpar 10 pour San-Dens et Etampu, ^ r 8 pour Orluns et par 5 pour Tours et Poters. La Socété offrra en fn d année k tout socétare ayant gagné un prx un magnfque dplôme sur lequel seront nscrts tous s u saccès ( lo l année. Tout socétare dot payer là mse que comporte le voyage au moment do la mse en paner. Le mnstre de la guerre vent de décder créaton dune école d u travaux de campagne dont le sège sera k Versallu. Gete écolo ne recevra que du offcers d nfantere qu y puurent un ensegnement capable de les msttre on mesure de remplr lu fonctons dnlructeur et au buon dorsmplaeerlu offcers de géne peur l u travaux de campegna en temps de guerre. Cette école, d après la décson du mnstre de la guerre, recevra chaque année sounlo cap- tadu dnfantere ayant lapttude voulue pour suvre avec frut lensegnement spécal qu sera donné. Celte écolo sera plaoée sous la drecton d un général do dvson. L e * rey ^rln Me J a e t l e e. M. le mnstre de la justce élabore ea ce moment un projet da lo contre lu vagabonds et reprs de justce récdvstu, d après lequel tout homme ou femme condamné Mur la 10* fos pour délt de vagabondage ou do vol serat expédé k ve dans une colone péntentare agrcole d outro-mer. L e s pm éea e t tÿ ^ ë g ra p lte le éeumouael*. Lo mnstre despooleeetdeo télégraphes v par une letlre-ctrcolaro du 11 avrl, de pt««- crre S droctenrs départomoqlanx do rechercher a la stuaton du porsoonr dos baronx conpoeés no permettrat p u d étabfrun renement spécal ponr las dmachu et lot jours fa> rés, dans lo but de donnw k choo agent, tos les qnm jours, le repoo complet dn db mancho. On ferat pour cola prendre une port oflecüvo de traval aux roeovotrs dans lu buruux oa lo peraonnel no comporte qno doux on tros com* ms, et on oblgerat lu agents orgnaru d u télé^aphu et conx orgnaru d u postu k " prêter un mutnol concours. Mm m u pm. Un arrêté do M. lo mnstre de ragrelnro et du commerco, paru ce autn au Journal of- ddaf, détermne l u condtons d admaaon et d enugnement do Técolo d u haru da Pn, qu M trouve démrmas placée uns le commandement du druteur dn dépôt détalons. L onugnement u t dvsé ea neuf cbaru scence hppque, comptablté admnstratvo, équtaton thurquo et pratqua; lootuhtè, anatome et extéreur do cheval; patbofego, maréchalerr, dsseo, langue anglau, langoe ah* On n adnettra chaqe année que leof élkvu B e lslru g ^ Mm wasg^un par le Msm. Les essas de éclarage du wagons do chemns de fer par lo gaz contnuent sur la lgne de crnturo. Her, on avat adapté lu nouvuux apparels k «n wâgon do seconde clasu. Les voyageurs qu, jusqu k ce jour, se trouvaent plongés dans la plus parfate obscurté, ont été agrésblcuent surprs de vor asan clar dans le compartment pour pouvor lre leur journal comme on plen jour. Quand apprendroos-nons la bonne nouvelle que le gaz u t défntvement adopté sur toutu lu lgnu de cbeuns de fer? G u t k la Compa- gnb de l Ouut que noua devrons cetlo nnovaton. j m o r r a «r l«u z. Les terrtoranx, d après lu rensegnements, donnés par lu journaux des dverses régons, ont rempl codscanceusement leursdevorson- vers la patre. Parm ces témogoages nous devons cter spécalement ceux de M. le générel d Andao et dem. le leutenant-colonel Vncent, klaon. S* M rp s M A rauë*. C*m M Me ;a «r ^.. - Séance du 13 avrl Pfddeneede M.Unherdtnu, fsutemflf-cofenef, chef dtt géne. Arthur-Loua Trounelard, soldat au 54 r^mentdo lgne; vol au préjudce d un mltare. Cnq ans de récluson, la d^radston mltare, dspensé de la sarvellanco de la haùe polce. Dêfenuur : M* Brassat, avdcat k Amens. Perre-Gustave-Adelpbe Leroy, soldat do t armée terrtorale, clasu 1869; nsoumsson k la lo du recrutement. Un mos de prson. Défensenr : M* Brassat, avocat k Amens.- Fanços Leroy, au 54* régment de lgne complcté de vol par recel. Unau de prson. Défenseur : M* Anono, avocat k Amens. Jcan-Loms Pozot, soldat de l armée terrtorale ; 1* nmuuuon k la lo sur le. recrutement de l armée; 2*outrage par parole envrrs deux agols de la force publque dans l exercce de leurs fonctons. Un an de pruoo. Dêfenuur : H* Antone, avocat k Amens. Panl-Aexandra Herbn, jeune wldat do dasn 1879 ; nsoumsson k la lo sur le recrutement de larmée. Acqutté. Défenseur M* Alono, avocat k Amens. V w uvellm Me l e r é M l * eê M* l e f e l r e e t l e u. Le temps est devenu tout h fet beau et pondant cette hntane, nous avons jou d uno température vremont prntanère. Nos cultvateurs on ont profté pour actver les travaux ; déjk les semalloe de betteraves sont commencées et, grâce au bon état des terres en général, l est k présumer qu elles seront poussm vgoureueo- mont. La pérode précédèoto do temps fr soc avat nelqua peu fatgué les blm et récoltes dhver; la température actuel rendra do la vgueur et amèoera leur réuasto. Do ce fat, l se confrme que les surfaces consacrées k la betterave no Nront pont augmntéès ol oa peut estmer, dès k préson, que le nombre dnoctaroa sera h pou près lo même que celu do l année deraère. Deux febrquos nouvolloa sorot étables; c ot pou, mas rest un encoura^emeol pour Tavenr. 1 on ne songe guère poor lo moment k fonder de nouveaux établssements, les tranaforœa- tons d oulllagè par oontro sont k l ordre * Jour. Oa odoplo beaucoup la dffso; monte auss desprosomcoatnueo de dfférenls kystèmes, on vuo d eugmontor lo roodament et d économsoc la man-d œuvre. On ne Bsuraj trop encourager ces dvers perfeotonnsmehu qufauroal pour résultat daccrere notre po- ducton de 75 k 80 mllons do klog. do sucre lo joué où ls s applqueront! k la gméralté nos uaes. Une augœmtàuoà do un ponr sur une récolte normale do lotloraves, as p dult en slfet m mons do cette quantté do sucre, qu sufft pour payer, en une seule coht pagne, les deponom lates ponr robsnr. Avec les autres amelonuons k realsor et ouo botte- rvs do mohonre qualté, nous ragagnorons ra- pdamsd l avaboé prsa dans ces dontèn années par les tnlnpa * m rn à La drecton dé coàrbauona ndlroclre a lubté lo tableau do la préducton des sucres Dlgkqfs pour las sept premers mos do la pàmpagne èêt-b-^yre au 81 mars. La wll chabgo fr do ^. M. 09ê klos; les c é d n s sont do S,lj9 l4)»loe, ce qu fkl. tmant compte des n m n q u n ls partels, une l ^ u ^ o n totale de 378,381,000 klos corees- londant h 1 ^ klofen sucre brut. Le bl tadeohnt dre bas produts na permet apé^qâê d n ÿ n fa n ls éxcédodts aux d er- lan nyenures. En soppesapt une ÿ ^ u clo n etale do ,000 et on dédusant le sucre fctf des mélasses épusées, on restera plutôt au- dessous qu au-donus do81û mllons qu on peut dès k présent consdérer com m e lo chffre d éf- (le la campagne. {JounuU des fabrcants de sucres). cdnsutaüon o^héras et ouvert ùno ooqnêta dootnm tss probables seront de condure lo nommé Grodot devant la justcé. SM ééë M a«<rm«8l*m gëm ëm le POOR L ÂnnOKDlSSnUNT 01 SNUl l j * «e t M e «l o y l l q a B e e ê l a * m l M l e m e M a a l a c m t é l p M. La crculare mnstérello du 7 févrer 1881 rohbant la vente de toute subsuncé almen-< are qu dentent do l acldo ralcylquo est une occesoo do plantes bruyantes et de réclamatons très vves de la part des falrfcateurs; et ls ont su ^ n e r une telle apparence de justce a ces réclroatons quo beaucoup, de gêna s y ront lassé prendre. Un certan nombre de médecns mêmes, fort savants par alleurs, mas peu-nu ceurkht des choses do l hygèno^ sa sont malhablement comproms dans cette affare. Exposens les fats ûnplemont. L acde salcylque est une substance dts antseptque, qu ne détrut pas les germes n m fprmeou, mas qu a la. proprété de les engourdr pour ans dre, do suspendre quelque umpsleur acton et do retarder ans la fermentaton. On n a jamas songé, comma on pensa ben, ajotor cette substance antseptque k un bon vn de grand crû n k uns bère de bonne qualté. Pourquo ^ te r les bouaes choses? Mas, quand une pèce de vo commence à fermenter, lo marchand y aeute une pette dosé d acde salcylque et se (lonne ans le temps d écouler sa marcnandae. La d(sa est de 15 k 30 grammes par hocteltro, etc est, en somme, une fort pette dose. Mas ce n est pas dans cet élat que lo vn arrve aux consommateur, comma certane médecns fort.savants et nn peu nl se le sont lasé persuader; entre ce premer taleglage et l nstant de la consommaton, le vn a passe par les mans do pluseurs ntermédares, et l est rreté un temps plus ou mons.long dans les caves du déalunt; la fermentaton retardée par la premer salcylage na pas- manqué de se re- rodure, et l a fallu deux, tros, qfatré, dx os, la retarder de nouveau par autant de snft- eylages succmfe. Et volà comme l se fat que les vns sass par les commssares de polce ou échetés drectemeal sur le comptor des débtants renferment jusqu à deux grammes (foc- de Mfcj/fft s par ltre. Qu donc oserat affrmer qu une parelle dose prsequotdennèmen ne pusse, k la longue, devenr dangereuse? ^ talcylage cl d alleurs un moyen de frauder le tréâor. En effet, les commerçants font entrer k Pars des mélanges fort sucrés et rches en matères lefm> nescbles; un pou avant que ce mélange marque 15 */. d atceol, en y ajoute de lacde salcylque et on le présente k loctrol l no pae que smple drot. Has, l acde u - lcylque épuse vle son acton préservatrce; la fvrmenalun conuue, et on a passé on lqude extrêmement rche en alcool «t qu n a payé pourtant que lo smple drot. Auss hè povous-oeüs qu approuver la déc- ren mnstérelle du 7 févrer L acde salcylque est un excelleat médcament qu peut éra fort utlement employé cop- tre lo rhumatsme: mas l n est par. mus pre- sonter certans nconvébeuts, que beau* oup de roédecfls connsssbunt dejk par sa confd«nc lates par leurs malades, mas que le» docteurs Dubrsay et Keraval ont ras en plene lumère psr les expérences qu ls ont fates sur lu lsp n ^ De.4 groupm de lapns, sans et vgoureux, furent soums, les uns au régme normal, le» autres au même régme, avec addton qnot- deane d une fable dose d acde salcylque. Après un mos de ce r^roe, on les mt les uns et les autres en présence de femelles et, tauds que les premers se metraent fort galants, les seconds, cfux qu avaent suv le régme Mlcylé, frent preuve d uno ndllérence et même dune mpussance qu ne se dement qu après pluseurs jeurs. 04NCRB M AVRl. N, A S QEDBES EU Lt SLE DU THUTDE, KDLt CONFÉRENCE P». Htar d, la fu u M a y,. SUR. VCTOR HUGO S A v m E T S E S «E U V B E S Soue la présdence de H. Franck Gauveau, Député^ Présdent honorare de la Socété. S o c é t é d * o x * t Q u l1ù x * e DE L AUBONOSSBH^ m 8ENU8 La.éoooh du consel d admnblntod du dmanche 24 avrl, n aura Nleu. quà A heures, après la conférence de N. de LajHBmérayo. Le Secrétare. BeDT. ;, La rentrée k lecole Colbert, andon pé u nat Cbot, aura leu pour 1rs ptsènnares «les externes, le jeud 28 avrl. F a n fa r e slx 5 Ç a lra ssera. Dmanche prochan 24 avrl, la ^anfkre du 5* r^ment de curas.<ers sa fera entendre an Kosque, de 3 à 4 heures. pboceâo U Tralleur, pas redoublé LaUna. La Ruche dor, fantase. Maro. Clare, roazuka ;... Elllg nombre, notow. La KatHonee.fantasa Gulber. Les Bavards, polka... Chrstophe. A î t a t - c f v U < ï ô S e n l l a DU 17 AU 24 AVUL 1881 A atuaness. Z*rr (Augusla-Alphonse). Lemare (Alphonsoe). Page (Albert-Geoges). Ùécés. Claux (Jean-Baptste), 55 ans 9 mos. PuôfoatMns de tharoffet. Entre l. Lefèvre (Geoges-Harts), mprmeur, et qademosells Parvllers (M are-el^ beth), couturère, demeurant à Seols. Entre M. Pmcoo (Etcnne-Alexandro), en- epreneur de penture, demeurant à Chantlly, Ht mademoselle Habé(JuleUe Maro-AugélnaL sans professon, deraèurat k Chaully. CHRONQUE LOCALE Nous recevobs la lettre suvante, qu dot se rattacher k un ncdent sgnalé dans la lettre anonyme que nous n avons pas cru devor tn- sé. er dans notre derner numéro. Nous nsérons cette lettre avec grand plarr, nous félctant do la réserve quo nous nb t sommes mposée k l égard de la lettre anonyme. Sens, le 21 avrl < Monseur le Rédacteur, < J apprends oue, dans un ntéèt électoral facle k comprendre, Us adverures do l nstallaton d un marché k Sant-Perre répandent en vlu le brut que, aucours de la séance du Consel muncpal du 24 mars derner, j auras tenu sur la Gompgne de pompers un propos pouvant attaquer l honorablté de ses membres. < Je donne un dément formel k cette allégaton. c J a fat parte de la Compagne psrdsnt plus de rente ans, et j a été ans k même de coanaîre l esprt dabnégaton et de dévouement dont elle est anmée. c Je proteste donc de toutes mes forco* contre les bruts njureux que l on fat répandre dans le but d empêcher ma réélecton. «Teulkz agréer, Monseur (e Rédacteur, l assurance de ma consdératon. e Frédérc Yon, e Conseller muncpal démssonnare. m commerçants vennent d onvrr sponta- némeat une souscrpton pour organser une nto lo 8 ma, deuxèno dmanche de la fore SantpReul. Lee commssares ont fat leur possble pour se prénuter partout; mas comme ls dsposaent do peu do tora^, lejprent les rsonnos qu ls n auraent pas vues d lo CoBverwrleur souscrpton chez : MM. Bbadlt, place do la Halle. voulor Dulamott, Hôtel du Nord. Dbsvonu, rue do lapport-au-paln. Pavbn, mprmeur. Aujourd hu samed, k 9 heures 1/2 du ms tn, lo seur Vérté (Bugèae-Loud), kgé do 25 ans, maneuvrer, demeurant k Seul», a été rammé en voture k son domcle, donnant pene sgne do vo. > A la sute d nne dscusson qu l venat d avor avec lo nom m é Gredot (Jesn-Baptte), auss manouvrer k Seols, celu-c l a rappé volemm ent k la tête k Tsde dun manche de fburclm, lerrsmê et lassé sans conoarmoce sur le sol. Quelquoe natant après son retour tbexu, la sour vérté s est rabmé. mats 1 heure 1/3 après, l navat p u encore recouvré la parole; toutefos, l pu fare oomprodro par sgne où l oouffrst. * Locomrosaaredo polce et la gendarmere entôt ttfermé de ce felt, o t prncédê eux r ^wrla terr- t k H. Labor- Amay. Un pett bos stué oro lo la commune, appartenant 1ère, de Hontdder, a été attent par les QaœmN le 15 avrl derner. La cause de cet.nçende n est pas connue, la crtoest évftluéo k 450 fr. Une parte de bos ^euument a été attente. Apr«HB*mê. Hard derner, a été célébré le SC Vce funèbre pour lo npps do Tkms de M. le docteur Bourser. La p,rofso avaf. répondu k l appel de son zélé pasleur, et Téglso état pltme ans qu au jour des morte. Mme et Mlles Bourser, au sortr de l offco, furent en ouréespar ta sympathque asssance, et là, lurent échangés de longs et touchante. Bdnx. Bwa^m. On nous écrt : Monseur, le Rédacteur du Journal de Sens, Le jour du Vendred-Sant nous avons as- k une grande et ben rare chasse aux ssn- gler. ces anmau sont entrés dans lo vu agv, parcourant les rues et As sachant plus où M rélger. Deux seulement ont pu gagner les charnus, les cnq autres ont été tués; l un d s B le jardn de U»* Gbert où l s étel ntrodut: uo second dans la salle de bllard M.doDeson- gns, aubergste; un trosème dans une mason d babtaon où l état entré on sautant par la fuèuo et en cassant les carrreaz; un quatrème et uo cnquème dans lo clos dé M. Bocqulloo.,)ar le garde Delastra. Ces unghers pesaent 25 k SOklos. Voc use bonne destructon pour MM. les culttvateuz, mas elle en demande encore ben d autres, car ces anmaux sont très nombreux dans le vosnage. / Recevez, Monseur le Rédacteur, mes cvltés empressés. Un de vos odondr. B ew av ln. On ne saurat trop bl&mer les pvreooncs qu jetet des vorree cassés dans l eau de nos rvères : ces débrs sont dangereax peur les hommes que le eerèèo du fsucsrdo- mant OB touo autro choso eblgo de descendre à leau, ans quo pour les anmaux que Ton condut s abreuver... C est ans qu un cheval appartenant k H. Crosmer, route de Tllé, a eu doux peds coupés dans l abreuvor Sato-Maguente. H nous Hulft de sgnaler ce fat pour être convancu qu k l avenr nos ménagères no commettront plus cetlo mprudence qu peut devenr la caato de graves accdente. p e rb «a l-«m r-a L n B e. Le nommé (>)urcvle (Fanço»), kgé de.55 ans, so lvrat depus lorgumps k la bosson et manfestat >ouvcbt l ntenton do se sucder. U ratsen rojet k exécuton le 13 avrl. Proftant d une aboeaco de sa femme, von une bsare et deme, l mt, au mllau de a chambre, entre doux chenets, un tes de charbon de bos qn l èlluma, étendt an drap de son lt par tons, se ^ucha e bentôt fut asphyxé par U g u acde carbonque qu so dégageat du charbon ; quand sa femme rentra, l aval cassé de vvre. B onlb fb a^lb fkpsmoe.... Sttod 3 avrl, vers tros heures do l après-md, Arthur Vgnon, gé.de 13 ans, fut lassé par sa mère garden des pette-onfaats. Mas l préféra s on aller joaer. Peu do tempo après, un do ses ses jenaes frères crat ap}èr«neat et allat da mason en mason appelant au secours. Enfn, l fut heureux do trouver M. Joseph Tllan, tonneler k Fesamp, qa ravallatk Bonlpgao; cet homme d éaérgo côurut aao>lôl chez le leur Vgnon. Le feu avat prs k un lt. Lessn- fents couchés dormaent. ls almeut pfrr et n mabod atla>at bentôt devenr la proe des ÛAmmes Le seul Vllen éoùnt k une mare qu re trouve dans la cour. Pour puser do Tean l fsut aller dsas la mare et enfoncer Jusquaux g*-ooux. Lo temps premo, losetrvtlan a comprs 4e danger, l as Jatte dans la msroet àvèd quolquos seaux d èau l étent U fou. Sans H Vtllan, un grand malheul* arrvat k Boulogne. Doux eafants éuont brûlés ans quo platun masons ot Ulment. La populaton do Boutogas est t r è ^ r ^ - nasrènto au sour Vllan d^un to Aévolefent. CM BUjr. ^ Lo sour D an, employé, damaurut k GhaatUyf n at Jatjê volo«y <, >.

3 M m» H m m Bm qo«noot n fp«n ü - umuuq u «Jr#r dm»era, nous h eum dt lîbuatoo touchale qol m > * LE DOCTEUR < OtfVET Ë r S K S l l l f S a àm Hcoon "» ^ î j K Ï n f S ^ D m de 1,. (t9 <rt< et dou d ot enck» p o m -u» " ^ ^ ^, m ÎN 4m Nrr - De»oU m e tollh"* Ç f e M M M t. y ^ ll««0*l * ^w»* î * M m MMl m 4e.rtta jjttrt OB wüu «B #lr U d- JU heweu d ^ îm ^k VUrtN Ht, ^*0 ht tar» j^.vjr,»** t* pbû<«h *t w r lmcm, d ré^d q éul pm M*«fort,.!» b U m r» Q0«El Mtte fammé q d^tpt p u d» plus dsofo- rcnss^,, Cs ne fut qn è l ïl*a» repr» qoe b bm e A 1- nnee tnttna eouerea e de b reb le cpereted. trer rsrne et dsller se pestrsur sen lt;.met* péoétfs dans b pelrde q p z \ ment üna que le dos du cors e de b rom. La malheurease eut encore * leu l n - tendt encefé J l a J l datu >«dft«l«l lenue. ueeun te» «>» t So- d» dt W kmr, Md,Ç» >. îjr* Î. Œ r " H r S n w de md ne B d. l mle n Ulm,etr pdg He.cttm, (ke, f m m d e nnt tout dul prdt ftt t Wd. djb U «j, u nüm * dddte ^e serat P***-J MQute l serat pesé Al 1 swsst de st jeuest lests tre ledwet.? cs.sbus~. t a t. «" " «S p l. ta l «e e u d s«k s» rd ef^ ld d e e e l tt d ç e.t ^ n w M un l ^ r e et ee«a salél cent : se flle lo dt qne sen * * S«r dans son H *.ï l?*1 euvr» Eve* obe heorès Gogbus elb treter " lo dt qr* *" ëut ttl U p o ls T ^ P "? "! *? *" * " u ssnt Gogbus semptœaa de coupetla eotds, mss l «lt top tstd. Psnt elæ;at«t son 6 ü l ptost, Heb ont stt msnté. plu T. ^ ^ H r î m W n t r K * ;,,,,,.. MMllTd,... Ma prapra M er la.radt euet CéUl, apfree4e, lea loarwme fura Ot ta) deuaut.au de sea éeltan à lu. la, saklm Tcrta. rarlé.^es jgaare El nl faat pratuaerl l aradgaau ecare, ^oa f u Mlkcertu f l sutu da U ^ Sae M an aea uu, «es peea et an pa. C es dut rw.; ta Me et jeae attllgeeee >ea raraaler. U awrl uat Tu^uce, corpa, îtnbuer u résoluton qu à d «ceouené umue. _ ja plu, la qa tta b aalv^ le jaar caswuus b Mtfnace, El sas cesse apparlûs; à b alb an baaau, -wsmms T.» lamt Allart. El l espfraace m cma el b readde aax Ma. ïî.nanmsûumude DOSÉS b u*lra é»be«bl ^là pese los Mal CTure nénsjtoe, asst pucédsns une wucoup«,po«^ l,el eesdrs le.(le.ps eurelet Unnee. rs commode do bs_ çhs^ra, use peca do «reasee.se les UeU le C r é s - l* 20 fro et une pèce de 5 r. argent. Le 26 aats au mbtneol de se rendre au marché de Mouy, elle remarqua quecw deux pèc» awenl été Bouslrat». L etou urm lp* connu. C le p m «n d - Samed derar ont en leu, à Clermont, 1» obaèqu» de H. le docteur Jolj, ancen mddedn de hwpçe et de U mason centrale, cheralar de b L^on d honneur. gré la gravé d» blessur», elle n a pas encore succombé. Le mltare s éubt aturdé au cabaret, a ^ courut peur reprendre son arme et voyant b lame rougs de ubk ne put.e oaÿner que sa parente avat voulu se sucder, U appela uo de SM camarades qu lattendat ï ^ rle, et lu montrant le. u n donua lame état remple^ lu dt cec.2 l a couélne aura voulu fare d» Mtsuavec mon rabre, elle aura certanement tué un bpnavec. > b u t avouer que cette malbèarause Mtdouée d uo ben grand courage eu d un mmense dé- goût de rexsteoce. ->Le consel muncpal de Ham a voté une edrone d e ^ francs pour létude dun! chemn de fer é voe étrote d Albert k Noyon par Péronne, Athee, Honcby, Guxancourt, 1 Crox, Hatguy, OlToy, Eppévlle, Ham, GoUn- court, Guscara et Noyoa, et a éms un vœu favorable l accomplssement du projet. PepN er«m d«lèra-b ss. La com* mune de Perrefonds est encore en émo par un crme honteux coromu par un jeune gar^n de 17 ans, nommé Belval (Belen),.sur de jeunes Olettee de dx et sept ans, dont l une est sa propre nèce. Depuu longtemps, paralt-l, le msérable abusat de ces enunts» mas les ayant terrorsées par la perspectve des supple» de l enfer, les pett» fll» n avaent jusqu alors osé parler. L une dalleeen vnt enfn à tout avouer de cranled étre battue par s» parent», et s>-r les plant» dn père de cet enbnt, Belval a été ros en d arrestaton. 11 u t regretbble d ajouter que 1» vctm» de c» odeux atlenals «nt reçu nne éducaton déplorable et que leur réputaton» t celle d une débauche précoce, les parents de l une d ell» état très ma notà dacs le pays. üoe enquête mnuteuse est commencée sur cette affare. ^ t s r a é. Lund derner, Pontarmé ét^t en féte : le trage dè l oseau avat leu è b remére Compagne d arc. Après une lutte d ra.ra v..x d.s..»:sra,ds.-*c.rto. d. yleon loduèrent la loïbe efttctat les doalton. L. D., Habtant de Crépy.. E ra ss U. Dsns s n t do 16 su 17 asnl un malfataur a escaladé le mar de la cour de la veuve V ut, cultvatrce, mur haut de 2* oo, et a pénétré dans b cour sans être v«n entendu, pus l a prs un lapn dans le claper.. lo lj t dl* loo lso>ps prfadent ds s Sa- Muâ, 4 Rq*., lnauganlan d. «porlon F * un desmdîsorâ lrèùrs d éh d hjrtcullured. 1-sm ndm.nm t, s el t d «rav.udss psussunss» ds l Acdéms de f.t pour nne benne part son sçü lgents la prospérté a laquelle eue Les rares qualtés do U. le docteur Jol, eut T sln sa mémore hommage de ses adrer- sares pallques au-mèm» qu ontsuapprecer les méïles de sa re loutoconsacrée S laeclcnco et k rexercce de sa noble professon. Lund derner, doux étrangers entrèrent dette la mgssn dnssur Basn (Cbsrles-Bésré), faleacsr, et l nn d eux achea un peut rase pour bassnef les joox, do la râleur de 20 centmes; l allat donner en paement une n to de 20 frae» quand son camarade lu ft 1 ob- ssrvaon que ce n état pas b pene de changer dent», sous le portque et dans la grande salle de la bblothèque. Daos b nomenclature d» objets d art qu y sont exposés nous remarquons : Gravure en flddalbs ; U. Debloa, de deuxème année, Portrat (f Anpe Bon (Raphaël), de la galere Plt de Florence; un dea^m représentant b Jfadonno dtl Saeeo (A. del Sarto), du cloître de b Santa ADunxau (Florence). J «D % u è re s. Dans la sorée du 14 avrl, le seur L»cadeu, manouvrer, état allé à l élse assster, dans b sorée, au ulut; l u Tmft l fut. S E R V C E M E T E O R O L O G Q U E 23«oH Barojètrè remonte de 2*. Yent Nord-e)Mt.,,, _ Tberœomètrômaxma-t-17*3et m m lm al 8 ehdksuus d e xéro. Cel couvert.... Temps probabu, Peut devenr pluveux. Gelé» noclumw. B o u r se do l^ors* (DSpSsh* TlUgr^hlM). 016l«r«* da 22 da 23 Hn*M. BaUM /.s » 10 e > ~7.aa«tMkb > 10»» S*/,BsrtjMaf » >»» 20 A l/2 * / Q »» » 10»»v FA TS DVERS nealeb, bdgnean, eo p yw» U» B n lle é» b b lo g r a p lv * Une Eurôptnnê en ^«rse, souveon P*W 5T nele, par M*** Garb Serena. 1 vol., 8 fr. 80. Dreyl-ue. édteur, 13, Fauboarg-HoBtmrM, Pans. U*^ Cara Serea» l lalenne, et son w t a l accent orgnel, b vvacté de l u p rt talen. Elle a eu le courage, elle femme, de Unteret d accomplr on voyage a ^nble qo ll rebute fants et adult». B»» voyageurs» plus ntrepd». L» aventur» fants, dépénaubt d de Serena ne sont pasdat» du r»te peav pronencées, ont été tenter les cherchaun d émoton, m aum oll» ont torturé b voyageuse harde, leur réœt ntéresse vvement La Persenlprraque nconnue, et un grand ntért attacha h tout» 1» descrptons de cette contrée lontane et de mœurs ù swgultères. Jfon voyage (1** sére) de la Belftqued la mer GoptenM, par M** Cara Serena, avec un portrat de lauteur. 1 vol., 3 fr. 50. Maurce Dreyfeus, édteur. ~ M* Cara Serena est une grande dame, elle appartent au melleur monde, la plus exqu» socété, clent rche, elle a de randes relatons. c» t asrrz dre qu elle a vu tns, muqueuse. cervmb et lâogt toal rrtb«lon et toute odeur flèvreune eo» leéahf. Le D* Reuth, Médecn en chef del d» femm» et dw enbbte h Londr», rapporte * faturelument rche en Méaente ndsgenb- bl» au NDg pour développer et eatreteür le -cervm, les nerb, 1» chars et 1» es, b Reva- lesdère» t b nounture par exeellence qu» seule, sufft pour aserer b prospérté 4» ao* fants et adult». Branceup de b rom» et d en» d atrophe et de tablesn rte grandes relatons, c» t assez dre qu vvre» rues et 1» cafés d» pays qu elle parcourt, mas le monde, la haute socété «t for* cément mêlée au peuple par ses voyag»^ Elle a tout vu et elle parle de tout avec connassance le cause; dansce volume,elledécrtbnorvège, la Suède, où le ro lu ft l accuel le plus ero- prosé; elle décrt b Ru»e eù le czar la proté- 3-Pétersbourg, Moscou, b Pologne, et pronencéw, ont été pawtement guérs par 1a Revatescère. Aux pasonn» phthsqom, ém» q u u eu rachtqu»,. elle convent meux qne hule de foe de morte.» 35 ans de sacoas, cur» y comprs celle de Madame k duchesse de Gastelstuart, le duo de Pluskow, Madame b marquse de Bréhan, le(d Stuart de Dec», par d Angleterre, H. U decten ofesseur Dedé. etc. Cure N* 98,614 : Depus d» anné» je wqf- fras de manque d àppétt, mauvase dgatoa ; affectons de cœur, d» renv et de b vesse rrtaton nerveuse et mélancole; tous ces maux ont d ^ r u sous l heurexe nfluence de votre dvne Revaleaère. Léon Pevclbt, nst» tuteur à Eynancas pàr Sérelhac(Haute-Veone). N* 63,476 : H. le curé Comparet, de dx» hut ans de dyspepse, de ga<ttralÿe, de seu- franc» de l atoœ ac, d» nerfs, Cùbles» M üueurs noctrn». Cure N* 99,625. Avgnon. La Revalescère du Barry m a guére à l Age de 61 ans dépoupourspen ctü donna au marchand ^ o e n - Uusé sa fvnme au logs pour préparer le lm a tvacheteur, cependant, tenat a ctangr rçpagdusor. l rentra vers oeuf heur» et de- ^ pèce pour avor do la,monnae. Mme Bazn accompgé d une vosne. Eo ouvrant la lo rendt ce servce, mas elle ne reçut p u s porte, ls furent suffoqués par une épasse fumée pèce de 20 ran» en échange, convancue r qu elle éta dans» mans de son mar. Ellf avat eu affare è deux flous qu, dn rae, avat e«ayê, comme on l a su plus tard, eu de commettre une parelle escroquere chez le seur Boanel, lmonader. Oa n a pas retrouvé 1» trac» de c» deux flous.»» Un eono gommeux se promenat dmanche, vers hut beures, sur l* L cume u«wkuou <;, > boulevard Pessennère, APars, le londrès aux quent» atuqu» d;épleps!< dents, en compagne d une belle pette, lors- jans le foyer en fasant la c ou un maréchal-d«-logs du 13* dragons, qu, «marchat derrère lu, lu ml lamlèremcnt b UnHeœmré-Rrasatjgm^. Nous a ^ n - m a o sur l épaule et lu demanda d» Bouvell» de sa MUté. Le gommeux se troubla, devnt pèle et tou- lut fur; mas le seus-ofhcer mplacable lu prdenna de le satvre, le menaçant de le fare ealever de force. Le màréchal-des-legs, nommé Davaray, conta au commssare de polce do quarter que ce jeune élégant n état autre qu un soldat de sa comnane qu, ayant hérté dernèrement d oe potu somme de 19,000 ran», avat qutu le r^m rnt sans tambour n troropelto et n avat plus reparu. nons la mort de Mme veuvoferra, ^le-mère tens d» nombreux specateurs. Sam t-clerm ep. ^.D ans la sorée du 17 avrl, le seur Chevaler (Amé-Geostant), journaler, sortt dans «a cour vers 9 heur» et deme; l entendt ud craquement et vt une lueur qu lu apprt qu un ncende venat de se décbrer dans la grange dqla mason du seur Ducbaussey. Chevaler cra au feu, et voyant S e 1» flamm» avaent envah le bèüment de ucbaunoy, hèlment nbabté, l se précpta dans b mason d habtaton et b l prt dans»» bras la pette flle de Duchaussoy, âgée de deux ans, et la mt en leu sûr. A l ade djs quequ» personn», on parvnt à crconscrre rbcende. La perte» t de 800 fran», a.<surée è la Rouennate. Ce ser lè, Ducbaussoy, qu avat découvert la cachette où sa femme dvpo^at ses ^,... ecobom», état dans un état complet d vresse. àcre qu avat envah la chmbre : ls aperçurent Qj, t gü y g «u mprudence, la femme Lescadeu assse sur une chase, ma», _ u. - assez lon du feu, et ayant 1» vêtements en S tk t-p a u l. Dmanche derner, le fla m m» ; rlle se tordat dans d» cenvulsops. seur Boulet (Alphonse), marchand de vache» a Son mar jeu do l eau sur 1» vêtements et la Sant-Paul, allat porter, vers hut heur» du vosne alla chercher du secours, mas le.méde- ser, un paner de son chez son fl» qu demeure cn ne pouvat plus la auver; elle expra dans dans le pays; l eut baon de sarêter dans un la nut dw sut» d borrb» brûlur» qu elle herbage: une femme s approcha de lu et donna avat sur le venr» et sur la potrne. La femme Lescadeu étant sujette à de fré- elle sera tombée cusne. d» coups de ped daos le paner de son; sur 1» P> observaona de Boulet, elle cessa et s aut sur une borne, dsant qu elle se rendat au Bvcquet, ch» H. Aubn, déblant. Boulet s eo alla, mas le lendeman en se levant l ne trouva plu» son porle-monnae con- tenant 500 fran» on or; l retourna vor dans de H. Auguste Albaret, offcer de b L^on l hebaga s le porte-monnaenétat pas tombé d honneur, mare de Rantgny. de sa poché : ne le trouvant pas, l se rappela Le nomdè H. Albaret reteott trop souvent, la femme qu s éat approché de lu et ne douta chaque année, dans les journaux de lose, è pa que lun porte-monnae n eût été ramas» l époque dw concours, pour que hoaerable par elle. l se rendt au Becquet et l apprt ngéneur ne sot pas connu de tobt.le monde. ch» Aubn que sa voleuse avat couché, mas petts objet» brllants, petts calloux, débrs de verra, boutons en acer et une bague eo or, ayant pour chaton une améthyste gravée, d un traval absolument arttque. Rav de sa trouvalle, M. B...- descendt tellement vte qu l s écorcha la fgure, 1» mans, et se foula le pognet. Mas, Mossnquélerde touscwdésagréments, l courut chez un bjouter d» envrons et apprt avec bonheur que la bague avat nne valeur de 7 è 800 rancs. Apès cette agréable constataton, l alla phlosophquement se fare panser, atm ant t^ad» doute que sa trouvalle valat ben une foulure au pognet. On écrt de Boulogne-sur-Mer, le 15 avrl : Le seur B..., maçon, rue de Constantne, a cru trouver un moyen orgnal den fnr avec la ve. a empl un grand pot è tabac de poudre, s» t asss dewus et a détermné l exploson en mettant le leu a lade dune allumste. Le malheureux maçon sauta au plafond et retomba lourdement sur le parquet, avec» débrs du pot è tabac dans 1» cuss» et dans (sute la régon po-téreure du corps.» l très probable que le seur B..,succombera aux sut» de s» étrang» blessur». Trbananx. L e e le v a l re. M e d e a a e e e lle B l e o e h e d A r e e n rs. Mlle Blanche darcourt, ben connue dans le monde, ou pour meux dre daos le dem- monde parsen, achetat, l y a quelque temps de cela, un cheval è M. Aubart, moyennant un prx de deux mlle cnq cents francs payabl» en bllets. G» blleu ne furent pas payés à 1 échéance et Mlle d Arcourt fut condamnée par jugement du trbunal de commerce è payer le prx du cheval. «.., Armé de ce jugement, H. Aubert ft sasr le mobler de sa débtrce, mas l» bon de dre oua le produt de la vente ne sufft pas k désn-!...a Ulla xl^ap-alpl L» corbmu, pour avor nourr Els dan» le désert, n en sont pas mons d affreux voleurs; ls font aux p» une concurrence acharnée ; en voc la preuve., Up pett proprétare dehontrouge, H. Lous B.., état monté dans un vel orme pour l é -. supâarshourof Moscou, la tuonue, v. «s* j j, * mond.r.âla fouroh.d.d.ubranchb,llroura nrdu lvra ra d-nue^ vanublc.soultran»deynglan.,d opyreraïon. un n d d a corbeau., et dans cenduue foule d., ra plus lernblra, k ne ploa pouvor ù je aucun n V...,».* nj, #... naru Paa RnUo. mouvemeot, m m habller, n me déubller,,., ,,..., avec d» maux d atomac jour et nut et d» «t très-varée bblothèque de Voyag» de M. n,emn» horrbl». Bobbel, née Garbon- reyfoub vent de publer lu aventur» et le réct d» exploratons du r^reté, de l ntrépde Solelle. 11 sagt, dan» ce volume, dun voyage en Algére et dans le Sahara, entreprs en vue de reler le Sénégal à lalgére par uns voe ferrée. Un ntérêt actuel attacha è celle expé- dtob. La môme bblothè ue puble lee Exploror- tene des régons polares depus la mort de Bellot. 1 vol., 2 fr. Le pôle Nord» t toujours le but de tentatves courageus»,- e a t une contrée naccessble, mas myréreuse. Les uns apcrent y trouver un passage ver» lamérque, lu autru un contnent nouvuu. L attenton du publc, celle d u savants est vvement exctée netly, rue du Bala, 11. Cure N* 100,180. Ha pette Mare, chétve, réle et délcate dès sa nassance, ne prospérant pas avec le lat de nourrce, je lu a fat prendre sur le consel du Médecn, la Revalu- cè^ qu la rendue fraîche, rose bl nagnfque de Santé. J. G. db HonnMAT, 44, rue Goodor- Crt, Pars, 4 Jullet Quatre fos plus nourrssante que la vande, 8 économse encore 50 fos son prx en roa- decn». En bot» : 1/4 kl., 2 fr. 2 5 ; 1/2 kl., 4 fr.; 1 kl., 7 fr.; 2 kl., 1/2, 16 fr.; 6 kl., 36 fr.: 12 kl., 70 (r. Auss t 1a Revalks- cèrb CnocouTÉB, en bottes aux nèmes prx. Elle rend appétt, bonne dgaton et eommel pzr CM ténatv» exraordnar», et tout le rafralchssant aux personne» 1» plus agté». * >. >._jx.:...ntova lao Jta.- RsnTa AKT.nx>Èa-tnTBa ne RovESvÈB* an monde dot être désreux de connaître» dver- s» exploratons accompl» récemment. G» t dre que, dans cette trste crcenslau», H. Albaret, qu jout d une consdératon s justement acquse, recevra de tout» parts d» ^ nouvell» marqu» de sympathe. elle éut parte; elle avat fat quequ» dé- pens»..,,, Le ûu de Benlet, a qu le père avat donné le sgnalement de la voleuse, se mt è sa poursute : l la découvrt le mard sor près de San-Germer. Etle avoua avor vu le porte- RHbVtVKV,.. T. ^ *>01. aveuèt au commsare qu l se nommat lbar- monter et qu en eflet l avat déserté, dans 1 espor que l autorté mhure ne pourrat le reconnaître 4 Par» sou» s» habu cvls. Le déserteur a été condut è la place et écroué à la prson mltare du Cherch^Hd. ^ C œ y«. M. Vgnon (Lous-Alexandre), ser- cent à la compagne d» sapewrs-pompew de Coye, vent de recevor 4* H. le préfet de 1 O» nue médalle d honneur, «u lu a été décernée par M le mnstre de l ntweur et d» cut», t n dplôme, destné è conserver le souvenr de dévouement qu la a mérté cetu detncton, flu a été nms. C r e l. Un nommé Yller, ègé dessans, a tré un coup de fusl sur sa concubne, Dés-.... ra k.llra man/na É v te r le» c o n tr e f a ç o n» CHOCOLAT MENER E x g e r le e é r t a b l e n o m Bscuts Abt-dabètques de Rbvalescèbe en bot» de 4, 7,16 et 36 fr. Envo contre bon du poste. L» boltade 36 et 76 (r. franco. Dépôt à Senls, chez MM. Dufoumentel, suce, de Mercer; Taupn; épcer. Bouffeter, épcer, place de la Halle, cl partout chez 1» bons pharmacens et épcers. Du Babbt et O (lmted). 8, rue Castglone, Par». CRÉDT F0\C1ËRDË F R W Emsson d oblgatons communal» 4 * /, Eo représentaton des prêts qu l consent aux vll», aux communes et aux départements, le Crédt Foncer de France délvre des OslfrM- <«M««HaMWMsM r o/o re lo O f r. e re & 0 0 ftpsamca, au porteur ou nom- natv»., Ces oblgaton» sont émses au par, sot a» r x re lo r f r a n c s pour» oblgatons (l ubb valeur de 100 francs, sot a u p r x re ftoo f r a n c s pour 1» oblgatons d une valeur de 500 franc» Elle» sont remboursables en 60 ans au plus lard, par CREDT CENTRAL DE PARS S VOUS voulez acheter, de confance, des ttresderentes, actons ou oblgatons, sans autre commsson que le cou-tape offcel,&dressçz-vo\b au C r é d t C e n tra l d e P a r s, le seul grand établssem ent fnancer qu, par ses relatons et la sûreté éa ses nformatons, a su conquérr, depus de- nombreuses années, le premer rangparmlles grandes masons de banque. Pour rensegnements: écrre ou Drecteur du C r é d t C e n tra l d e P a rs, 8, rue du Faubourg-Montroarlre. Pars. J.7;opré.arr; d. m r. d-arcoun»vx ^ ~ ^ 5 k,.uf douuk S c L.1 nara. pra W c o u.- «d...ragra «S que l prs dans la sase. Donc, tou» le» jours et mpunément Mlle Blanche darceurt, en allant fare sa promenade au bos, passat devant on créancer et certans péendent même qu elle affectat ds ralentr alors l alluïs de sa monture et d adresser 4 H. Aubert de pett saluts sem-cérémonteux, sem- raîlrurs. \ Quo qu l en sot, le créancer fnt par Msls Dans la nut du 15 au 16, ht^rrobé l fallut ben que le gonmeux courant, Mme veuve Devaux, demeurant 4 Ma- monnae tomber et l avor ramassé. Elle avat....r! /...M oa kanmat rhar. gsjdgf fl ttès eurprso do vor la Dorle do lo presque tout dépensé lund en orges de drote cour entr ouverlo. PreMotant qu elle avat éé et de gauche, en payant peur ceux qu elle nv- vctme d un vol, fle alla vor è s» clapers et tat. La gendarmere a ros fn 4 son odyssée en consuta, eu effet, qu un malfateur a éul n- j arrêun. Elle est de Roy-Butfsy et se nomme 1r o d u t ch» elle et avat enlevé tros lapns. Deboval (Célme-ClPophne-BlaDchf); éls a ^ * ans, a déjà été condamnée et se trouvat sous le coup d un nouveau mandat d amener. f rendre ^lence et un jour, au moment où ama.... eval pa...., lons de Mlle d Arcourt, le ft entrer dan» son.amazone caracolat devaft sa porte, l sast le cheval par la brde et, malgré» protwatrodutc., Mme veuve Devaux n e de soupçon sur per- 1 sonne et atm e sa perte 4 7 fr. 65 c. heures. Ce rolure avat lassé son sabre la mason et devat le reprendre 4 son départ. la a rx rd -lc -V rs A n e. Une femme de T r M ly - B r c n l. M. Gararo (Fortn- cete localté a t ner du se sucder dan» 1» er* terrasser, travallat sur la lgne du ch^ conslauc» suvant» *, mn de for en constructon de Compaue 4 Dmanche derner, dans la sorée, cette mal- gssens, lorsque le 15,4 quatre heur» du sor, heureuse voulut mettre son projet 4 exécuton. machne a dérallé. Son mar état part 4 l auberge avec un de sw Tous 1» ouvrers s occupèrent de placer» parents, soldat dans un régment de dragons, wagons chargés de rals et de travers». Gararo qu éul venu en permsson de vngt-quatre voulut rattacher 1» deux denert wagons; 4 ce 7 rt-.u.» l.a.a «An aakva tan...n nra.v l* H»«ant Srnt ln mouvê mouvement, ceux de devant frept un mouvement do recul. La tête de cet ouvrer fut pnso entre 1» wagons. Un ral serra s fortement contre une traverse qu l eut lo crêbo fracturé. Tableau synoptque des Marchés de 1m ttégqn établssement. Pus l ferma la porte et pra l amazoro de de descendre. Sur son relus, eoulgé par r» «ffels do cravacha, H. Aubert, sans lécher l aomal, appela u garçon d écure : c John, dessellez madame!» Le groom obét, et devant cet emplo de la force. Mle d Arcourt dut se rendre et, par précauton, sauter pr»tem«nt 4 trro. M. Aubert ft alors recondure son cheval 4 l écure, pendant que la promeneuse, empêtrée dan»» longe pls de sa robe et fort penaude, hélat un facre pour r^agner son domcle. Voc mantenantréplogue de cetteamuante équpée. Dn seur Berger, prétendant que Mlle d Ar- courl lu avat vendu le cheval on quuton,» t vsdu le réclamer en référé. Has, après avor ontondu M* Cabaston, avoué, pour lo revendquant, et sur» observatons do M* Dabln, pour le marchand do la e U Par 22 A nl. Lan ntérêts sont payabl» : 4 Pars, «a C r é d t F w n c le r; dan»» déparlvmcns «n x T r é H o r e r r» xéraéraülea> e t «a x R w e e ttc s g M rteulèrew, semestrellement» 1" avrl et 1«* octobre sur las ltr» de 500 fran» et annuellement le l avrl sur 1» ttr» de 100 frmcs. Lw demandes sont reçu» : A P ab» : au Crédt Foncer de France, rne Neuve-des-Capucn», 19; Dahs les Dbpabtbments : ch» MM. 1» Tré- sorers-payeurs généraux et 1» Receveurs partculers d» Fnança. «On n abuse guère de la publcté qnand^l «agt de répandre d» benfats.» RocnEFOOCAULT. SANTÉ A TOUS ADULTES ET ENFANTS n u d n n u n s mfecme, rans pnp s et «n»(ras, par la délceuse farne de Santé, dte : B E n E S C t R E D m B A B R Y, re L e m d re e. Guérssant l» dyspeps», gastrt», gastralge», pbth8e,dysaenlero,con8tpaon,glar«,hatus, ugreure, acdté», p u», phlegm», nausé», ruvos, vomssements, même en grooeese, darrhée, colqu», toux, asthm e, étourdsse- j e : g r ë L O T Journal hebdomadare, poltque, satrqne elmuustré (10* année). J. Madbb, drecteur. Abonnement : 3 mos, 2 francs ; 6 mos, 4 francs ; un an, 8 francs ; le numéro, 15 centmes. L e G r e l o t e s t a d r e s s é g ^ t n - te n a e n t à toute personne de la provnce qu s abonne par l entremse de M. Madbb 4 un ou pluseurs journaux de Pars. Rensegnements et numéro spécmen sur demande. 81, rue Neuve -Pells-Champs, Pars. Les S e n c e d E z p é d ten DBS GRANDS lagaslns dn PBTEPS SONT RÉORGANSÉS Adresser comme par le passé toutes tes ~~ - B JgJZO l, Pabs. LOCALTES w dl.... ÂnadvUloro. to y o,.,... MmH. Gotmuy-oft-Buy... Sonls... Broteall». Mererèüa JstM. CrovMOBur... B en oous...,.kk... Bcaumont-sur-OlM.... VanéreM. H arsrllo...*... Hén... NanUulMo-Baudouh.. Po-SalBto-MlxoBco.. B m u vas.. Clonaqnt ;.... Gomplagno... Crépy.<... è «î... Mot***... lhectoltre lu M U l l hectoltre. lu 100 Ul.!* q. **q l** q. * q.»«q. **q l >» l t6 > l 10 M >» al»» M t t H»» as 9 6C a» 7 74 > H » >z l l l 1 M M as Farne, 1» sac de 100 UL net..., de segle,» 100 k l... Blé ndgène, smvant qualté.. Segle... Orge... Escourgeon..., Avone, suvant lots krrastf... Sons... Reconpet»... Reaeulag» («rvant couloar).. p a r l M w r s CMusan MkU. 15 rè > 66» «7 64 n 65 63» à > »> 15» 15 > 41» Farn» dvers».. Farne do a etlo... rn m rm m d «m m m HKlt-Mart* 4 premers 4dem ars.. éd em a, a» 6J 10» s> 64 75» S o cmm, M » »» n wâétmm. 100 au » > ! » 34» M (5 heur»).. :. l 3 r s 5 î s r...> »» l »..»»»l39 >»»» Dsponble... Courant... Proclan... 4 de ma... 4 d été... 88* saœbarmétrqn» 7 ^, ,. B late^m B * 9... RaMuée Donno soru.. belle aoru.. CettlAeMdo sorte... Mélasoe do fabrque.. dofamnero. 60 > A >»» ,. 114 a» a»... 40»a » CoM oflelohe. ^ m,osubtto. 7* 454» bl{j 55* a s T Cote commercale >»» 7 50 > > > *> 73 45»» 73»»»» »» 64 50» a» 64 75» > 65 56»»> 65»» >» lettres d H. J t l e «J A L L Le photographe R w M lm, l apovater 4 Pars de c» charmants (letls portrats joujoux {vértable tyslme améncaû^.vent d organser des apparels spécaux, dans sa soccursalo do Sols. La vogue toujours crossante qu l obtent tous lu jours, par la fnasse et la bettaté de B» portrats, lu font wpérer 1» mêm» succès que dans s» dvers établssements do Pars, Orléans, Rems, Sowons, etc. Chacun voudra s offrr D portrats joujoux ra prx de 1 r. 75. Om l v r e! m nlm tte» a p r è s l a M «e Hue Bellon, 24 à Senls, prs tes remparts. Baom œ re Paüra rm MM AvnrL r«rm DlTAT B a a ta m x. Pars (La VUlotto), S avrl. BflBftCU Baenb.. V a eh». î 4416 fs ÉOOtOU. ^ovesgr..aarges. Poanx do momtobs 35* S0 194» !! 3» Prx qtéloztrdmm S81 > U M *!*! 1»» 9041*0 1 « t 55( S 411 *6417*» >1» a r. B» 4» br. >«>» 3 0/ /0 amorts l4 OO ls / Banq. dof r,. *800 * Banq. d. Pars 810» Goapt. d ese > Cêéd foncer. 1655» Cr.ndnatrél. 750 s» Gréd. lyonnas 900 >» CrédtmobU.. 730» D ^oteem p t Sotétéfnane Socété génér. 705» Banq.(r.*égyp, 7*0» Chareutda... > Est Md Nord «- Aonos Orléans 1318 OMt 834 Par.-Lyon-M Comp.par.gu 1500 S o e â é ^., 17 Coap. trans.* 567 HaM.marta. 840 Canal do S u» 1040 tahon M Fone.dAntr.. W Cr.mobl.osp. 770 Cbem.anttck ,-Ant.dOlb. 250 NorddorEp. *84 P e rto g ab Ch. S^Rom. 1*0 8 ïïk r ;::; «ÎS Vdangw...» 50»» V cm to à l a «r tè e rc k v l u r a a. 40avrl él.moko. VlàV V oadtl7,l60kll. Bcnnr ov v a c Vondn:4*.335 Ul. l/*derrtêre. >9044,»» l}*dovanl.. > Bovro Yoada: Ul. lîîk lîl t î î î u a ObLduTrésor t e «9 D.delàSdne. 444» E sts f Pars, 18M40 504»» *»» 1M 9... *00» » 1/41871 m»> BonsUq,8^ mqdauté., * ^ t d «^ t *,.. > P â,talsgt 1»» >»>4»»» V t... t...

4 >>:*!*» MlDMÿ >h >. t fl dermer cdohérmur, javtot^lw UetPtrtam AW èrtd* ftw V uo O N, notam h BMumont>«w. ;; Ou«* toomu Mt coft,, EN a UïTS. DE : M P^üçes de Terre e «L «G L. P S U q m l 8*ra u b d vs en 20 LoU, >EH«urle terrtore dtbe&llvont» MOMBt, PERSAN M BRUYÈRES,, L* uut ouub dt llnle-adam, arrod- - d w w èn t d t Pantose (Seocel-Ose). V Ed laudênce des crées du trbunal dîtl de prsmère uttlnce decorbel, ES ON LOT, - D UNE MaUon de Catnpagne A v d c J a r d n e t jjelu T e rra n, ÈÎM a RE4>tNEuY» (ue det rrucemes, canton earroudumneat de Oorbel (dttuohstom)..8* En la kre do Molatare (Ose), - par lo mnato de M* WATEAU, oolare k Précy^sur-Ose, comms k cet effet, EN 7 LOTS, DE Sept Pèces de Terre Sses tefarrs de H0NTATA1KË et SANT-LEO-D E. SËRKN T, / Le tout canton de Crel, arrondssement de Sents (Ose). Ladjudcaton aura leu à Beaum ont, le Dmanche hut Ma ml hut csnl quatr^rngt-udfk uneheuede l apta md; k Corbel, le Mercred otm Ma ml hut «.eut quatre-vngl>ud, k md p rm : «t a Afontafatre, le D* maolhe qtuze Ma mu hut cent quaure-tngt^ud, k une heure de laprès-md. kurkam>lw,),>fôul,p!oq«[abt, ^,r )4»û;q0M A nd!m l hut qualrr-vgt-en. ^ Sgné :C D J^È 6n. ^reglstr"~côh>é; lé arl l bull ct<p flmlfe>vgt*.na, felo cme. Rèçddh ranc ^uat^vngt lltc oeutrats. Sgné r B o u u m u. ÿodrester pmtr Ut rtn ttg tm m t : A Corhél : 1t A H* ClAMDON, aroné poursn* u n la Teole.30, rue dre Gnnbs Bordes; 2* À U*.ROUGUER, atreué co^ld- tant, 4t, rue Sant Sure; ^ 3* A H* CnAs-M JUZONv notare, 4, rue des Grandee-Bordes; A Bean<Q0Dt->8dr*Ose : 4* A M* JOLlüON, neure: A Pr^cj-sur-OUe : 5* A M* WaTEAU. notare. Pour nserton, Sgné: CnAMBon. On fat savor k tous ceux qu l appartendra : Quen exécuton dun jugement contradctorement rrndu par letbunal cvl de Corbel, le deux mars ml hut cent quare-vdgt-un, enrrgstré et sgnf Aux requô,e, poursute et dlgence de: 1* M. Edouard-Mare-Emmanuel Décrotté, pharmacen, dtrpeurantk Deppe, arcade de la Bourse; 2 Madame Mane-Leuse-Ma^uente Décrotté, épouse de M. Pkrre Lamre, médecn, avec lequel elle demeure Meanecj:, 3* Madame Mare-Emesne-Laurence Dccretle, tmplujée, demeurant a Pana, rue de la KoquHe, numéro 18, veuve de M. Gharles-Gustave Dslrboh; 4* Et mademoselle Mane-lerette Decrele, celtatare, mnjsure, eass p r^ fesstod, demtursnl a Meuecj; Agssant au nom et cumma hér- c ters bénéfcares re madame Ma- rr--lousu Leguay, veuve de M. «Jean-Gbel üecretle, leur père; > Ayant puur avoue cunaué M* Gus- tave>h.tenoe-desre Lbambon, demeurant k Gerbsl, 30, rue des Gandes- Dordes; En présence, ou lu dûment appelé, de : H. Julee-Mare-Gabrel Decrete, dee- snateur, demeurant a Para, bouluvard Beaumarchaa, numéro 16; Au nom et coum* hérter kéné- < fcare de madame Decrete, sa «mère; Ayant pour avoué censtué M* Emle RouchrT, demauraut k Gorbe), 4u, rue San-Spre; l sera procédé k la vente sur lctaton, au plus ollrant et derner em hé- rsaeur, des mmeubles dont adcmga- lon sut, et sur lea mses k prx fxées par le jugement sub-énoncé, Le D m anche qunze M a m l hut cent quatre-ongt-un, à une heure de relevée, en la Mane de Hon- tataro ^Ose), a r le mnstère de M* Wateau, notare k Précy-sur-Ose, comms a cet effet, en sept lots de, savor : Terrtore de Montatare. P r e m e r L o t. Quaranle et un ares deux centares de terre, k la Voe aux Vaches ou les Sécherons, tenant dun côté k mademo- selle Nae, daure côte M. Ballet.d un bout les hérters Ütsjardna, et dautre bout Gruon. Mse k prx 400 fr. D e u x è m e L ot. Hut ares o<ze centares de pré, leu dt les Uaus Pes, tenant d uo côté es hértes Mennesaer, dautre côté leche* mm de fer. Hue k prx fr. T ro s è m e L o t. Quatre-vngt-cq aes quarc-vngts ceares de terre, ru dt les Hauts Prés, près la Ponts k Lhenaet-t les S^beroDS, tenon un côté M.Desnosse, dautre côté les hérters Corble. Msek p r x SOOfr. Q u a trè m e L o t. Soxante-sx ares trente et un ceo-, tares de terre, heu dt es Sécherons, teqett d uo côté et d un bout mesdemoselles Droulet. dautre côté M.de Leotlhac, dautre bout M. Herouart; et doum ares quatre-vngt-jeux centares dd (erre, même terrtore, leu dt la Vos aux Vaches ou les S^herons, tenant d uo côé et dun bout mesdemo- selll» Dfoulet, et d aute côté les (,mmes et autres. Méé k prx fr. C n q u è m e L o t. TreM ares soxaote-ssp centares de terre, leu dt les Uaus Prés ou les Sé- chéréos, tenant d un côté et dun bout k Ml LépnS d autre côté et d autre bout H. Behooae.. Msek p rx...é «4 OOfr. SL-Lèo-d E s se re n t y Sxème Lot. ^ Dx-hut ares BoUDl»-neuf centartf Ae teére, leu dt les Hauts Prés, tenant s è tto côté mesdemelétes Droullet, ^d dutre côté pluseurs, dun bout la MRkdeGreH., Mse k prx 180 fr. Septème Lo. fetxearès quare-vgt-ux-septcto-.larvt, aux Hauts Prés, faman dun côté <Md hérters dslsotbsc, deute côté et d*d bout M. Gudktt et d autre bout 1a route. Meekpr SODAr. Art. 2. Etude de M* tr a e a é CM alam a, avoué A Seols (Due), rue SautHlare, n* 10. P U R G E l.e :g 4 u ë : Suvant explot de Hémet, buas«r k Gtuntlly, en date du ssxe avrl 1881, eur^slré, A la requèe de M. Edward-Eteone Dubos, courter, demeurant a Para, 86, beulevard llaussmann; Ayant du domcle en létude de M* ChaTmo, avoué, demeurant k Sms, rue Sanl-Uare, oumére 10; NutQcalon a été late k Monsour le Procureur de la Républque près lu tn - buual cvl de premère nstance d«sents, De l expédton dun acte dressé au grells du trbunal cvl de premère nstance de Sents,. le douze avrl 1881, enregstré, constatant le dépôt fat au greffo ledt jour, par M* Chal- mn, avoué du requérant, de la copte collatonee, sgnuu de lu el enr^slréc, duu contrat passedevan M* Ralczt^aux, notare k Chantlly, le dx-hut févrer 1881, èregsre, cooleuat vente par M. Jack ou Jean Dggt-s, entraîneur de chevaux da cuusës, demeurant k La- mcrlaye, de : 1* Un Jardn stué k Lamorlaye, en la rue blanche, contenant qunze ares quatre-vng-tfus centares, entouré da murs, teal dun côte à H. Obry, marchand da vns, dautre lôé à la rue Danebe, dun bout a la grande route de Pans k Amens, et dautre bout au verger artcle ros c-apès. 2* Une Mason «se a Lamorlaye, en la rue du Glàeau comprenant : bâtment dbab.luon ayant tros pèces au rez-ae-chau.see, avec grmer au- dessus couvert en lules; établekcôlé, avec geer au-dessus couvert en tul>«; cour, dans laquelle bùher élevé sur cave, u boxe a lôé, tut k porcs, drot commun avec M. Auguste Banse. Le tout lent d un côte à U. Banse dautre côé au même, d un bout k la ru**, et dautre bout a Athur Obry. 3* El un Verger ss au même eu, de la coneuauce de qunze ares trente-deux centares, sur lequel «xste un buxe. avecgrener au-dmus couvert en tules, tenant du md à Cozette ^nur sé aratl mujen). du nord a la rue Blanche ^cur sepaïat à la proprété), d uo bout Banse (uur séparaf a la proprété), et d atre buut a Fra et Obry. Moyennant la somme de quatre m lle cnq centt francs de prx prn- cpa, p-yes cunpta. Avec déclaraton à Monseur le Procureur delà Républque : 1* Que ddleocdton lu état ans fate eu ooorme de lartcle 2104 du code cvl, afn qu l eût à prendre au proüt de qu de drot, sur les mmeubles vendus, telle nsepton dhypothèques légale qu l avserat dans le déla de deux mus, et que laule par lu de ce (are dans ledt déla e cclu passé, les mmeubls dont sagsvau seraent et demeureraent défntvement pugés et lbérés entre les mas du requérant de toutes dettes et hypothèques de, celle nature. 2* Qundépendamment du vendeur, les ancens ] roprélares desdls mmeubles étaent : Pour t mmeuble artcle 1* : Charles Prall, Mane-Louue Tardf, son épouse; Carolus-Sephane Lemare; Esther-Mare Obry, epouse de Eto Charles L-mare; Mare llnlèb-françose Faucon, veuve de Fraços-VcorO<ry; ce derner. Pour les art. 2 et 3 juhn Thorp; Mary Thorp, vuve de Henr Barlo; Emma Tho^, époum de Thomas Dawes; Charles Torp; Mary Ttorp, veuve de Jean Thorp; Lyda Tlorp; épou*edn Georges Swalc; madame Rose Vctore Depla- gne, épouse de Rclard-FréJéc Kent; André Deptagne et Rose Lcvasseur, son épou e; Frauços-Aexs LevaK*seur et Maro-Justne-Brgtte Gulberl, son épouse. Arlrle 3 : Claude-Phlppe Dcerf et dame Hare-Hélène Leroare, son épouse; 3 Et que ne connassant pas tous ceux du ctef ou au proft desquels l pourat être prs nscrpton pour cause dhypotlèqe légale, lo requérant eat nsérer ladte nutfcaton dans lejoumaf de Sents, conformément k la lol Pour nserton. Sgné : Eruest CHALMN. no do Vllovert, n* 7,. fuccemur de M** Dbaôt et Tuoxt. V e m te s n r L e ü d o a ntta MJUVa T llu fld U, DB Sept Pèces de Terfe B x B O a Sses terror de 8ENU8 (OM), R n «e p t lo O t«q u pourront tu t réuns ou d o ü t Ladudcton aura leu le llarm t r M M a l M M, kmd précs, En laudence descrees dn trbunal ctl, de Senla (Om). S^ârmer peur Ut rétuetguemenu : A Sents (Ose) : 1* A H* ml DÉKELS, «o u poursuvant la vente; ^ A M* CUA.llN, avouéco-lctant; 3* A M* DRARD, notare; 4* A M* HOREL, notaro, 5* Et au grele du trbunal, où est ^éposé la caher des charges. Etude de M* A u fn» k e V a m ta ^ y», lcencé en drot, avoué k Sénls, rue de la Républque, numéro 17, successeur de M* FntT. v Ê S t e UZ BNCHÈR S PUBLQUES, PAR UUTATON, E n t f o l m L o t s, Ht D E V S M A S O M S Sses k RaRAT, RT Une Pèce de erre Sbes k RULLT. leu dt le Pett Machepoa canton de Ponl-Saïute-Haxence (OsO;. Ladjudcaton aura leu le D H a«b «ho p r e a n e r n a M M l, a deux heures île relevée. E n la salle de la M are de R a ra y {Ose), Par le mnstère de J* Lbfaakc, notare k Verh*-ne, Comms judcarement à cal effet. S odreser jkur Ut rensegnements : 1* A M* VANTROYS, avoué k Sents, poursuvaut la vente; 2* A U* CHALMN, avoué présent k ht vente; 3* Et a H* LEFRANG, notare k Ter^ bere, chargée de la vaule at dépostare du caher des charges. Cabanes à berger Claes et Cresses pon Pare, A Cfa*z M. HUYOT, cultvateur k Rocqu- gny, commune de Honanval. FeDsonnat de Jeunes Gens A 4. H A M L.L.V D r e c te u r: J. G u s a rd. Ouverum ues Cours le 2 Ma E ln d es rès-screuses* A j o u c p à r a m a b l o UNE FERME 4 3 h eeaaa* «9 921 a r e s 8 9 «de Terres et Prés Stués dans le PARC DE BEaGREFABE Sadreuer pour tous rensegnements: A M. tlcen OUDN, garde au cbk- teau de B>-auepare; Et k H* RCHARD, notare k Ponl- Sanle-Maxcnce. Etuae de M* Ehlb D^asaelD, tceucé en drohv avoue k Sents, rue de Vllovert, n*7, euccesseur de M* Dzloovb et TanutT. V «n t e a a r lc la é o m. EN UN SEUL LOT, ONE lalson BOHaGEOS AVd s u Crconstances ét Délpendances Sse k MAROLLES (Om}< dans la Grande Rue, près de la place, 2< R U V «J A R D N SU k HAR0LLE8, en lace de la Mason c-deesus. Ladjudcaton aura teuedlhaaaaéhe p r «H e r l l «l SHM, k deux heures de relevée, En Fétude at par U mnture tu M* f&m, notare d La Ferl^JU» (Asne). Sodraser pour Ut rensegneménlt : 1* A M* hmlb DEMKUN, avoué poursuvant lu vente; 2^ AteTANTROYS, avoué.co-ld-* tant; Etude de M" G l ^ v u l e *» notare k Acy-en-Multen (Ose). A V endre à l*ana«ble (Le proprétare se retrant des affares), Un Ateler de Gharromage T rès - b et achalandé, Stue a Réez-Fussema tt, prtss Acy. Trcs-buD O à tlu g e e t leaax Bos de traval à reprendre. Le proprétare, au beson, vend ra t ou louerat à l acquéreur la M ason où s explote le fonds de commerce. Sadesset pour vster sur les leux, k H. DU6UET, prapréare du Fonds; El pour tous reamfoements, a M* CHEVALER, notare k Acy. A C U D R R Fonds d Entreprcneur (le Maçonnere A v e c tra v a u x a v a n ta g e u x e n c o u rs d e x é c u to n. Grandes facltés de paem ent. Sadresser a H. LEFL>Ë, k Betz. A G E D lü R de sn le Pour cause de décès, DnGafé très bea aculan lé et a p ro xm té d u n marché, Dans une vlle chef-lau de canton, desserve par planeurs lgnes ferém, S adresser pour rensagnemant, a H. A. 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En là salle de la Mare de Lamorlaye, Le Dnanche 24 Avrl, k d<nx heures. 5edrsMereudH H* UkBAUx, notare. Etudé de M* M e rc, notare k Sents, successeur dej^ FojNTaNB,, A vendre p ar ad ju d caton U N E M A S O N A v e c C o u p e t «l a r d l l SMk Ogoo, eu..la Grande Rue, Le Dmanche 24 Avrl 1881, k 2 bsurés, Eu la salle décole d Ognon, Par U mnstère de H* Mobbl, notare. S adresser asdt M* Horbl. BtudedeHrDrarJ,notare à Senls. M A S O N A Sents, rue du Faubourg Sant-Marta, nbéro25, A vendre p ar adjudcaton À Sents, en fdtue e< par U mnstère de M* Dmabb, notare. Le Hard 10 Ma, k deux heures. Mse k prx : 1,000 fr. Sadresser k H. RocéE, receveur muncpal k Sents, elk U*Drurd, notare. Etude de H* Edmonb K * a y e a, notare k Pont-Samte-Maxence. A V endrcpar adjodcadon n Pétude et par U mnstère de H* Patbn, notore d Pont, Le Dmanche l*^.ma, a deux heures, 13 Pèces de Terre Sses communes de Sarron ttfes Ageux. àadress» audt M* Patbr, notore. Etude de M* A oeom V r a s u n n t, notare a Baron ^Ose). 10 Pèces de Terre Terror- de Slly-u^Long, Ossery, Nan- teul le-hauduun et Plesss-Bellevlle, A% ca d re paradu U eatoa. Le DroknehelS Ma, a deux heures, En la Mason décoc de Slly-le-Long, Par U mnstèrede H* Vbmakt, notore dbaron. S adresser d H* VRÀnanT, notoû e. Etude de U* A, R p o m e a u x, notare k Èello. A vendre p ar adjudcaton fn t /tude et par U mnstère de H* Brumb, nototrs d MtUo, Le Dmohe 24 Avrl, k deux heures, Premèemet, UNE Jole Mason de Gampagne e n t r e C a o u * e t.> * la * rd llu Stuée k Crès-lea-Mello, G-ade Rue. Cette Proprété a uns vu«magnfque sur le parc du château de Mello, dont elle sot séparée par la r.vèred Thérdn; elle est slure k 150 mètres de la gare, uns heure et deme da Pars. Deuxèmement, ET UN Terran propre à bâtr Stué k Ces-jeB-Uulo, eu face de la mason c-dessus. Ces m m eubles ser ont vendus ensemble ou séparément. On pourra trater avant l adjudcaton. 8 l est (at des offres sud^ntes. 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Sur Etavgnv e Boultarre, Le Dmanche 15 la, a deux heures, A Etavgny, en la Mason décole. Par le mnstère de M* DEUARons, ^DOare k Ben. S adresser audt H* DEsjARums, notare. ; Etude de H* D e l a r o l l o» husser- ^ praeur k NoPteul-le-Haudoun (Ose). Vente m oblère ANANTEÜL-LE-HÂDDODJN, rue de Crépy, en la drmèure M. Frarc, voyageur de commerce,. Le Dmanche 24 Avrl, k onze heures, et jours evvans, s l y. a leu. Par U mnstère dudt U* DcLArouB. Eluda dom* C arllo n, notare SuccesNur de k Cbarolly(Ose), M* Hatxs-D lamts-ürallon. U B M ff Servant actuellemsnt de FABRQUE DE PALLONS, sue k Beroel, caqeo de Méru, ceaoue géoëraleaaeat sous le nom de Mouln du Parads, 4 hm tarcfl 8 8 a r c s 5 9 c, de Terre, Pré!et Bos En 8 P ^ au. tr^or dpdt Burnel, A vendre par ad j^dcatan fn létude et dar U msnsère de M* Camuor, Nétoarad Chsnflp, Le Jeud 28 Atpl. kune heure. S adresser audt U* C&.lon, netare Mlttrd M l Etude da^m ^llàunect, notore k Champly (Oae). 3 3 h c e ta r eh p 3 a r c s Ô 9 c. de Terre labouraple Terrors de Ronq^erots et Ctambly, A Vcadre par ad j jdcqtan ET PAO LOa. fn Fétude el p4r U mnstre de M* anclet, notofa d Chamblÿ, Le Dauche 8 Ma, k une heurs. On pourra trater Avant l adjudcaton. SAdreuar fuk^l *HA^^ H ô t e l du Commerce A. YDELOT A 4 te L..(QàeV A lhonneur d ntorner sa nombreuse clentèle quà partr du 1* avrl des Votures eu staton k la gare de Grel, seront kla d«poeton du publc. P rx très m o d éré. V o tu re s d e lu x e p o u r m a rag es e t cérém ones. V o ü t a n c e a. V a r r é ^ r e a j PORCELANES, CRSTAU Ëptrejôt de Boutelles des. Verreres du Pdrd. UC^Q-GODBET Jao&e A C H U ( O s u ). Magasns rdtés pu chemm de 1er dunod â v f a x s o a certane et radue do touteo les affpc- tens de pepu, «n général, même des plaes et ulcères varqueux., qu sont dune dffculté CMlMtable, konvent mémo conatlénâémame ncurablw par les plus célébra thédecmy Le tratodebl n exge auéu tr^roe prtculer l ne dérangenullem.entdutratal, l peulétr suv pa^ut, mémeeo voyage, l eat k la jport*^ dea plue pettes beutoee, el dès le HeuxHwe jour l produt) use améloh raton très sensbe. 6adreaper k M. WOÛlkND, méd^; c^-pharaaeen h Tpurnah (Sene4t- Même). C s a s a l c t s a par corrapondance. Représentats en Vqs ^n.lètoandéapar un» bonne vt {- o 4ê «laor v«u «a SclW* runlêl CetèH*t gro.- ét>buur- gfose. G( n.llens avaageqees, tortes rem8s. R rre nec tef*- remesk M. REMT-LAÜNAÏ,, dra- teur de Agence vncule, a Sèyres, éès Pàra. B a «q q e P a r 8 e h h «t» 0 lcuobs., : Stgéaoéùl / s e l 7, r u t Cht u ch a t D àj^tal)àj:«sy G GrandQôm,, Mnranr tes a2 )t)ù r pjt co- yoqué en atvemblél^fàépmtô, aràora. elrju**!.! Tmma 47.V * Gsto au a^;m cal 7, me...ordrk op JoDB.; Rapport somaare. du èoséu dêdd- nutraon.eur.l stuàteo de U Socété au Sdvrl.. Réparttons k cenpto anr le,dvdende de lexercce en cours. Hto.au porteur, en conformlé de lartclelode atatute; des 20,000actons nouvelles lbérées de 250 (r. > Délbératon sur upe : demandé de fractunaemént des pays.4$ fondateur et en cas. dadbhon pàrvvas^ahléé vote sur les modfcatons aux.statutk qu en seraent la consequt-nçe. Augmentaton du captal oqal, en cofomté des artcles 18 et 86 des satutb. LePrésdentdneonsel tcadmnsumun, POOYLR-QDëRTER. Hl SOCÉTÉ ANONYME, captal â 0 9 m Uon» de francs C, r a e d e lu P c t z, A P m Î 9 P R Ê T S A CTU ELLEM EN T RÉA LSÉS SU R P R E M ÈR E H TP01H È O U E C tn T M LLO N S DE F R. Eu rtpesfulalou e ses p éts réalsés. la Socété délvre a u p rsx n e t de 4MS5 francs des ôblgaluus <le francs rapportant9 0 francs dnerè annuel payable nmeateleues. L*S Ttres sont délvrés et les ntérêts son payés :. A Pare : A la Banque Hypothécare de France, 4, rue de la Fax; A 11Socété générale de Crédt ldüstnèl el Commercal; AU Socété de Dépôts el de Ompes (durants; Au Crédt Lyonnas; A la Socété Générale; A la SocBlé Fnancère de Par e; A la Banque de Pars et des Pays-Ba.v A la Fonque desconpte de Pars. Dans tes déparlêmenls e k l étranger : A toutes le^ Agences -et Succursales des Socétés désgnées c-dessus. Monseur RECOURAT. Je vous èemercle de navor fat connaître votre G u tk * e l ^ ù t t * ; j en sus encbauté, car 11 réusst a mervelle. Oreêr (Ose), 7 jun BONNARK, ruuvatenr. B m M s " " «r &. ÿzepksapornlj^. rkm«rn«*mmajabt9. R n H a n o m * Avto aoccta. to m p f 4 P A la «lé É M l0 e 4 B 3 la C A U l fo n d é e e o tp a : 7, m e ltee.eee.^e>art, f R ^,,,» PAto dans. toutes ke PàamaefM rératmr, plf-tsstmrpt»et tmémn: GOTTBUjB. PAUA(* 48, F t u M ttù t(l r m. D È M E A.q N â9 P arat tons lea Duonnf*^ }o«r RewdrlNBUm toulet k*nlean ArtUncM raotagm muês- Uenor CoropM RAtae P le*mpou «t lavara«nd --Coaafrtotl*MtMlM VtfnntMm «Mec*U» FÈANt^S ABONNEMBNTS^ESSA ^ Premère Amée P r m o G r a tu te LE BULLETN lu T H E N T g U E Ut TflGO fu.mlleu 11..n u D U 1 MTt Parassant TOUS tesôjodrs. ^Doounent nédt, renfennnl des n- dçtlons quon ne trouve da>; encun o-na fnancer.» ( M P Pharm acen^ dèposarey : Seljs : Lhastakq. Lhatlly : Mené. G aunonl: Smrp Clermont. Leblanc. Ompègne: Rabot. Crel : F l z. Crepy fjeua. Nanteul : ardt. Neully-e-Thelle : Baberkb. Noyôn : Dbhout. [rancf uccôs du Jour,000 Lectenra L«P»RT»L («*Axata) BT POUTQDE(*Ab^ PROPRRÈeCltSlT CEHTBALmPASS t, rm ( FAkr-MtBÏtn. 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