Synthèses de commissions filières 2010 et représentation d une action «phare»

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Synthèses de commissions filières 2010 et représentation d une action «phare»"

Transcription

1 Synthèses de commissions filières 2010 et représentation d une action «phare» Questions / réponses avec la salle Q1 - Pascal Pavie, Confédération paysanne de l Aude Je m excuse de ternir un peu le climat. J ai quelques inquiétudes à formuler au niveau de l intervention de l Etat sur la baisse du crédit d impôt et puis également sur le déplafonnement des primes qui va sans doute orienter l agriculture biologique vers les grosses exploitations vers l agrobusiness et qui va un peu abandonner les petits producteurs sur la route qu ils ont euxmêmes tracée pour améliorer la production alimentaire en France. C est d ailleurs, à mon avis, un peu en contradiction avec les objectifs de réforme de la PAC qui va se mettre en place puisque normalement on parle de meilleure répartition des aides au niveau des exploitations agricoles en Europe. Au niveau de la Région je note, malgré tous les efforts qui a pu s y faire, quelques incohérences. Je pense que ce n est pas à la hauteur des transformations qui se passent dans l agriculture et j ai un peu peur, par exemple, que la moitié des conversions qui se fait actuellement en Languedoc-Roussillon se fasse sur la ligne et je m inquiète un peu sur son avenir. Je pense qu il va y avoir un transfert de la crise de l agriculture en conventionnel vers l agriculture biologique et que je ne vois pas tellement les moyens d accompagnement de régulation des prix, je ne vois pas bien ce qui est fait à ce niveau là. Je suis aussi un peu choqué sur l incohérence de mesures d aide de la Région qui d un côté donne des subventions pour aménager des importations de produits dont des produits bio d Israël par Agrexco à Sète et peut-être bientôt à Port-Vendres et Port-la- Nouvelle. La région favorise une mise en concurrence des producteurs locaux. Je vous signale quand même que 30 tonnes de produits maraichers importés en France et c est à chaque fois un emploi en moins pour la région. La concurrence n est pas libre et non faussée comme on veut nous le faire croire puisqu actuellement un ouvrier agricole en Israël qu il soit palestinien ou d un autre pays, il est payé 6 fois moins qu un ouvrier agricole en France, pour ce qui est du Maroc c est 15 fois moins, donc vous voyez que quand la région favorise l importation de produits maraichers et bio puisque, par exemple, Biocarmel, le 1 er bateau est arrivé il y a quelque temps dans le port de Sète. On favorise des choses complètement contradictoires. On détruit l emploi en Languedoc-Roussillon alors que notre région a la triste lanterne rouge avec 13% de chômage en Languedoc-Roussillon. On pourrait peut-être s occuper de l emploi agricole un peu plus sérieusement, surtout dans une filière comme la Bio qui comme vous l avez remarqué est une filière en pleine expansion qui a de fortes demandes et je trouve qu à ce niveau là il y a incohérence. 1

2 Moi j aimerais bien qu il y ait une politique un peu plus sérieuse qui se passe à ce niveau là et qui soit reliée à l emploi et essentiellement en priorité aux petites exploitations rurales qui conviennent à notre territoire, car notre territoire n est pas fait pour la Bio industrielle uniquement elle est faite aussi pour la Bio artisanale, etc... R1 DRAAF : Je ne peux pas vous laisser dire que les pouvoirs publics au sens large n accompagnent pas cette filière vu l énergie et les moyens financiers que l ont met pour l accompagner. Sur le crédit d impôt : il a été mis en place en 2006 et il devait se poursuivre jusqu en 2009 à l origine, il a été prorogé en 2009, il a même été doublé en Tout simplement parce qu il n y avait pas d aides au soutien ou au maintien comme vous voulez. En 2011, effectivement il a été réduit. Par contre, il est cumulable vous ne pouvez le nier, c est la réalité - jusqu à un plafond de Vous pouvez essayer de faire penser qu il y a un désengagement à travers ce crédit d impôt, je pense qu on a passé pas mal de temps à travers les documents qui vous ont été présentés à l écran et qui sont dans votre chemise donc je vous invite à les relire en détail et vous aurez tous les éléments qui montrent que le soutien financier à l agriculture biologique n a pas été réduit avec cette limitation du crédit d impôt parce qu il est compensé par quelque chose qui vient en plus et qui vient en complément. R1 - Conseil Régional LR : Je ne répondrais pas sur la question de politique très générale que vous posez. Fabrice Verdier ayant du partir ; C est un sujet qui a été fréquemment abordé dans les échanges que la région a avec la confédération paysanne. On a eu plusieurs réunions avec vous-même et les autres personnes de la Confédération Paysanne dans l année 2010 notamment. Je ne vais pas ouvrir la polémique autour du sujet que vous soulevez, je ne pense pas que ce soit le lieu. Je rejoins l engagement de l Etat et de la région au côté de tout ce qui concourt à la structuration de filières et au développement de la filière agriculture biologique mais je relaierai votre question dont les délégués du conseil régional sont bien conscients puisqu elle a été très fréquemment posée. I1 - Intervenant : je vais peut-être en rajouter. Il se trouve qu actuellement les associations en particulier les bio CIVAM des différents départements ont beaucoup de mal financièrement à joindre les deux bouts avec un boulot de plus en plus croissant. J espère que les pouvoirs publics vont les entendre de ce côté-là pour favoriser le fonctionnement de ces associations. I2 - Intervenant : un petit détail sur les chiffres, je viens d entendre que le soutien à l agriculture biologique remet logiquement la suite du crédit d impôt. Moi qui produit sur 10 hectares avec le soutien j aurai 1500, avant j avais I3 - François Constant (INAO) : Je voudrai dire un petit mot sur le rôle de l INAO, nous sommes engagés dans l agriculture biologique. Je suis avec ma collègue Magalie Manda, elle est sur Montpellier, je suis sur Perpignan. Nous sommes les référents en agriculture biologique pour l INAO. Nos missions au niveau national : nous sommes force de propositions et d avis pour l ensemble des points réglementaires du cahier des charges européen mais aussi pour les cahiers des charges qui sont non couverts par la réglementation européenne. On assure la supervision des contrôles. C est nous qui donnons l agrément des organismes 2

3 certificateurs ou qui suspendons l agrément des organismes le cas échéant. C est nous qui protégeons le logo AB Bio et Biologique. Et donc l INAO a un service juridique efficace parce qu on avait l habitude de protéger les AOC depuis longtemps. Les actions en cours, actuellement à l INAO, c est l élaboration des guides pour les professionnels c est-à-dire le guide de lecture, le guide d étiquetage, l harmonisation des plans de contrôle qui est en cours, il y a également un guide des intrants qui est en cours et qui va sortir en 2011, qui sera pour les professionnels. Également un cahier des charges qui devrait sortir normalement en juin 2011 sur le secteur de la restauration à caractère commercial. Tous ces travaux sont faits par le comité national agriculture biologique et composés de professionnels : 32 membres professionnels, 10 experts et 6 représentants d administrations. Au niveau régional, avec ma collègue nous sommes chargés des dérogations dans le cadre de la flexibilité donc nous en avons traités, instruits une centaine cette année. Nous invitons les opérateurs s ils ont des problèmes de réglementation, de contrôle à prendre contact avec nous, on est là pour ça, pour vous renseigner, on est l interface avec le comité national. Nous sommes à votre disposition à Montpellier et à Perpignan. I4 - Intervenante: je suis ingénieure et j ai fait une thèse professionnelle sur l agriculture face aux changements démographiques, énergétiques et climatiques pour une sécurité alimentaire pérenne qui est loin d être gagnée. J aurais deux interrogations, une très générale sur l adaptation aux changements énergétiques et climatiques : qu est-ce que vous faites? et une question particulière sur les questions exportation-importation notamment pour les fruits et légumes, là j ai vu qu on importe 65% et Uni-vert exporte 63% en hiver et 34% en été. Si vous pouviez m apporter des précisions là-dessus. I5 - Jérôme Chardon (UNIVERT) : Juste par rapport à l import-export, nous on exporte effectivement une bonne partie, 5 millions de nos pieds de salade, on ne peut pas les vendre sur le marché régional. Aujourd hui, on a des exploitations à faire tourner, des exploitations à faire vivre et l hiver on n a pas 50 produits à faire sur les exploitations. Les allemands ont besoin de manger la salade l hiver et plutôt qu ils aillent la chercher en Italie ou en Espagne, il vaut mieux qu ils viennent la chercher chez nous. I6 - Patrick Marcotte (CIVAMBIO 66) : Si l adaptation aux changements climatiques c est aussi un problème d hygrométrie et de pluviométrie, ça c est un vrai problème auquel l agriculture biologique est soumise aux mêmes contraintes que l ensemble du monde agricole. On a beau se réfugier derrière l idée que c est vrai qu en enrichissant plus régulièrement en matière organique les sols puisque c est le fondement même de l agriculture biologique, on améliore la capacité de rétention en haut de ces sols cultivés en bio mais ceci, dit s il ne pleut vraiment pas, il y a quand même des difficultés. Donc après il y a certainement un travail à mener en termes de recherches variétales et d essayer pour les cultures fortement consommatrices d eau d essayer de voir si on a des variétés qui peuvent mieux que d autres s adapter au stress hydrique. C est un travail à très long terme sur lequel nous n avons pas de réponse immédiate. 3

4 I7 - Stéphane Nardy, président du CEHM, un centre d expérimentation horticole de Marsillargues : Je suis assez étonné au travers de toutes les interventions dans la salle, il faut quand même rappeler 2 choses. Il y 3 stations expérimentales en Languedoc-Roussillon qui sont à votre disposition qui travaillent avec le soutien de l Etat et de la Région et ce sont plusieurs centaines de milliers d euros qui sont mis chaque année. Je suis assez surpris d entendre des gens qui disent qu il n y a pas de travail qui est fait sur l expertise en agriculture biologique. Il faut savoir que ça représente plus de 50% de nos programmes expérimentaux donc sachez qu aujourd hui l ensemble des productions en fruits et légumes en Languedoc-Roussillon sont couvertes par ces essais là. Bien évident tout producteur qui a des problématiques techniques peut venir nous les apporter. Ca nous fait aussi évoluer dans nos programmes expérimentaux puisqu on est à votre disposition. Deuxièmement, il faut aussi rappeler tout le travail qui est fait, je suis aussi élu à la Chambre d agriculture de l Hérault, notamment par des guides qui s appellent Sud Arbo qui est édité chaque année dans lequel vous pouvez retrouver toutes les bonnes pratiques nécessaires et que vous pouvez mettre en place notamment au niveau de l agriculture biologique en arboriculture. Je dis bien en arboriculture, ça n existe pas en maraichage, il y a d autres outils qui existent. Tous ces travaux sont faits par ces centres expérimentaux en concertation avec des associations comme la FRAB. On plante régulièrement des vergers dans toutes les cultures qui sont faites sur le bassin méditerranéen pour améliorer les techniques de production donc là je suis un peu dubitatif par ce que j ai entendu, on se fait peut-être pas assez connaître, certainement. Sachez qu on se met à la disposition des producteurs, que les institutions publiques ici présentes soutiennent ces outils. Nous sommes expertisés régulièrement pour être certains que les services sont bien rendus par rapport aux besoins des producteurs. Les portes sont ouvertes n hésitez pas à les franchir. I8 - Intervenant : j entends bien ce que vous dîtes mais je trouve qu il y a encore quelques années les producteurs bio étaient quand même des marginaux et que maintenant on a le vent en poupe. Avant les producteurs qui se reconvertissaient en bio c étaient surtout des démarches individuelles et depuis très peu d années on se regroupe et il y a quand même des gens qui font un travail au niveau des expérimentations mais jusqu à maintenant il n y avait pas grand-chose de fait. I9 - Stéphane Nardy : Je suis navrée de vous l apprendre, le CHEM de Marsillargues a mis sa première parcelle en agriculture biologique il y a 21 ans sur les pommiers et on a commencé bien avant beaucoup de monde. Alors je ne parlerai pas au nom des autres stations que j aimeraislll quand même citer qui sont la Centrex dans les Pyrénées-Orientales et la CERFEL qui est basé à côté de Saint-Gilles. Je peux vous dire que ce n est pas d hier qu ils le font. Ce qui est certain, il faut venir voir ce qu il se fait, il y a des sites internet, l ensemble des expérimentations sont portées à la connaissance de l ensemble du public puisque c est notre obligation, notre mission. Après c est évident qu on ne répond pas à toutes les problématiques mais on essaie d innover en permanence. Il ne faut pas hésiter à 4

5 venir nous solliciter, on est là pour ça exactement et on n a pas commencé hier, je vous l assure. I10 - Loïc Papin CIVAM Bio Hérault : j avais juste deux précisions par rapport aux présentations qui ont été faites avant. Par rapport à Murviel-lès-Béziers, Gérard parlait tout à l heure de la MAET Bio CONVE c est vrai que c est une mesure qui a été activée sur Murviel, à la fois sur les PPAM et sur la viticulture. Il faut savoir que sur l Hérault elle est également activée sur le territoire Adissan, Aspiran, Paulhan et peut-être bientôt sur l étang de l Or donc c est vrai c est lié à tous les captages ultra-prioritaires qui ont été définis donc les fameux captages AEP, 46 si je ne m abuse dans toute la région. A terme sur tous ces territoires là il pourrait y avoir ces mesures Bio CONVE qui sont activées et qui permettent pour les agriculteurs d avoir un soutien sur 5 ans et avec une possibilité de faire prendre dans les aides à la fois un soutien sur le diagnostic, sur la formation et pourquoi pas de l appui technique aussi. Le deuxième point c est Internet, par rapport à la promotion, il y a eu beaucoup de travail qui a été mené sur 2010 et donc pour vous préciser le site régional de la Bio I11 - Intervenant : Nature et Progrès Aude : J avais une observation par rapport à l eau principalement. On a l impression qu on a de plus en plus de problèmes avec l eau au niveau de la région. On a moins d eau sur les cours d eau, sur les sources, il y a beaucoup d eaux qui disparaissent. Il y a des réponses qui sont proposées entre autres par la région au niveau de l irrigation des vignes avec des grands chantiers, avec des politiques assez couteuses et beaucoup de travaux au niveau du bas Rhône pour irriguer les vignes. La question est-ce que ce n est pas à l agriculture biologique justement d apporter la réponse à ce genre de problème, tant en termes d agronomie que de pratiques. On sait que dans l agriculture a fait disparaître beaucoup de bocages, beaucoup de haies, beaucoup d espaces de zones humides qui ont disparu au profit des grandes exploitations et des grandes surfaces sans terre, sans eau. On perd des surfaces couvertes de sol, on perd beaucoup de choses. Est-ce que la réponse n est pas apportée par l Agriculture Biologique au lieu de l apporter par des investissements massifs et par des grands projets pharaoniques. Je pense que si on arrivait à mettre en place des pratiques qui maintiennent l eau sur les sols, si on arrivait à recréer des zones humides, à retenir l eau qui tombe, on aurait moins de problèmes d eau,alors qu en irriguant on ne résout pas le problème de perte d eau aussi bien au niveau surface que qu au niveau de la nappe phréatique, on ne fait qu apporter l eau d ailleurs. Il y a des choses à chercher dans ce sens là. I12 - Intervenante : En termes d expérimentations, je pourrai vous dire qu en viticulture, comme vous parliez d irrigation de la vigne, de nombreuses expérimentations sont en cours et menées pour les alternatives à l irrigation. Effectivement, on ne pourra pas irriguer partout et les ingénieurs de l IRD et du groupe Chambre et de l INRA vont mettre en place des essais pour trouver des palliatifs à l irrigation et ça va aussi bien par des techniques culturales que par tout ce qui est biodiversité, environnement, etc. mais ça ce sont des essais qui sont de longue haleine donc je ne peux pas vous apportez une réponse tout de suite. Il ya le matériel végétal qui est important aussi, on retravaille pas mal là-dessus. 5

6 I 14 - Daniel LE Pichon, directeur de recherche en agriculture bio : On conduit l expérimentation avec des organismes spécialisés en bio en Languedoc. Le CIVAM bio 66 et nous et on existe aussi depuis pas mal d années. Pour répondre plus concrètement à cette question là, en bio, sur l un des aspects du changement climatique c est la réduction qu on peut imaginer en termes de quantité d eau disponible. Nous on a lancé des expérimentations en arboriculture, en maraichage et en viticulture. Il y a des pistes qui sont explorées notamment en enherbement, tout ce qui est lié au sol. On a beaucoup d intérêt et d historique en bio là-dessus. En maraichage sous abris, on est aussi entrain de montrer qu on peut irriguer moins en plaçant bien ces irrigations. En plus, on a un projet qui démarre avec l Université d Avignon où on pense qu on ne perdrait pas en rendement, on gagnerait en quantité d eau et on est on est en train de tester si les tomates stressées ne seraient pas meilleures pour les consommateurs. I15 Intervenante : au niveau de la R&D, il y a pas mal de boulot encore à faire aussi bien au niveau variétal que technique pour pallier les problèmes de changements climatiques et d irrigations. Je me ferai l écho auprès des stations d expérimentation pour relayer ces problèmes. En attendant, ce sera une action Une autre action va vous être présentée : la mise en place de Sud et Bio qui a eu lieu ce matin. Une présentation des objectifs de l association doit vous être faite. Il s agit d une association interprofessionnelle. 6

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008 Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel

Plus en détail

LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES

LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES Version A Aide sollicitée auprès du Conseil Régional de Picardie au titre de (cocher l aide sollicitée) : o L investissement en agriculture biologique o

Plus en détail

La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives

La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives Juin 2012 Lionel FRANCOIS Sommaire La Bio, pourquoi? La Bio c est quoi? La situation de la Bio Les acteurs du Bio Le paysan

Plus en détail

Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC)

Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) GUIDE À L INTENTION DES ORGANISATIONS Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) Pour des paniers de légumes locaux et sains, directement livrés

Plus en détail

Mesures Agro-Environnementales

Mesures Agro-Environnementales 02 Mesures Agro-Environnementales LES DISPOSITIFS MAE Dispositif A C est le dispositif national de la Prime Herbagère Agro-Environnementale (PHAE 2). Dispositif B : C est le dispositif de la Mesure Agro

Plus en détail

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe

Plus en détail

AVERTISSEMENT. Ce texte a été téléchargé depuis le site. http://www.leproscenium.com. Ce texte est protégé par les droits d auteur.

AVERTISSEMENT. Ce texte a été téléchargé depuis le site. http://www.leproscenium.com. Ce texte est protégé par les droits d auteur. AVERTISSEMENT Ce texte a été téléchargé depuis le site http://www.leproscenium.com Ce texte est protégé par les droits d auteur. En conséquence avant son exploitation vous devez obtenir l autorisation

Plus en détail

La couverture des risques agricoles

La couverture des risques agricoles PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture

Plus en détail

Épreuve de Compréhension orale

Épreuve de Compréhension orale 60 questions (4 sections) 40 minutes L épreuve de compréhension orale rassemble 4 sections comprenant 60 questions (questions 51 à 110). SECTION A SECTION B 8 questions Associer des illustrations à des

Plus en détail

RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE

RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE 9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,

Plus en détail

EXAMEN MODULE. «U4 Le client au cœur de la stratégie des entreprises» Jeudi 5 septembre 2013. 09h30 11h30. Durée 2 heures

EXAMEN MODULE. «U4 Le client au cœur de la stratégie des entreprises» Jeudi 5 septembre 2013. 09h30 11h30. Durée 2 heures Licence Professionnelle d Assurances 2012-2013 EXAMEN MODULE «U4 Le client au cœur de la stratégie des entreprises» Jeudi 5 septembre 2013 09h30 11h30 Durée 2 heures (document non autorisé) calculatrice

Plus en détail

Résultats et impacts

Résultats et impacts Résultats et impacts «Creusement d un puits pour une utilisation maraîchère à Fandène, Sénégal» Village de Diayane Localisation: Village de Diayane dans la commune de Fandene, département de Thiès, à 77

Plus en détail

Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie)

Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie) Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie) Commentaire du film d introduction de l intervention de Garth Larcen et son fils Max, entrepreneur aux U.S.A. Garth Larcen

Plus en détail

JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE!

JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! rétablissement et psychose / Fiche 1 JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! JJérôme s énerve : «Je ne suis pas psychotique! Vous ne dites que des conneries! Je suis moi, Jérôme, et je ne vois pas le monde comme vous,

Plus en détail

TÉMOIGNAGES de participantes et de participants dans des groupes d alphabétisation populaire

TÉMOIGNAGES de participantes et de participants dans des groupes d alphabétisation populaire TÉMOIGNAGES de participantes et de participants dans des groupes d alphabétisation populaire Démarche sur l aide financière aux participantes Marie-Lourdes Pas beaucoup d argent pour tout ce qu il faut

Plus en détail

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement

Plus en détail

La production de Semences potagères

La production de Semences potagères La production de Semences potagères Intérêts de l autoproduction de semences Les producteurs qui se lancent dans leur propre production de semences le font pour diverses raisons. Maintien d une biodiversité

Plus en détail

Micro-irrigation à Madagascar

Micro-irrigation à Madagascar P R AVSF - J. Mas A X IS LES EXPÉRIENCES I N N O VA N T E S D AV S F PAYS Madagascar TITRE DU PROJET SCAMPIS Développement des Systèmes de Micro-irrigation BÉNÉFICIAIRES DIRECTS Plus de 10 000 familles

Plus en détail

Le rôle du conseil agronomique dans la compétitivité du secteur agricole. L exemple de la filière du plant de pomme de terre en Europe

Le rôle du conseil agronomique dans la compétitivité du secteur agricole. L exemple de la filière du plant de pomme de terre en Europe Le rôle du conseil agronomique dans la compétitivité du secteur agricole. L exemple de la filière du plant de pomme de terre en Europe Hana Dhiab, Pierre Labarthe, Catherine Laurent Carrefour Innoplant,

Plus en détail

Lisez ATTENTIVEMENT ce qui suit, votre avenir financier en dépend grandement...

Lisez ATTENTIVEMENT ce qui suit, votre avenir financier en dépend grandement... Bonjour, Maintenant que vous avez compris que le principe d'unkube était de pouvoir vous créer le réseau virtuel le plus gros possible avant que la phase d'incubation ne soit terminée, voyons COMMENT ce

Plus en détail

N abandonnons pas notre héritage commun.

N abandonnons pas notre héritage commun. N abandonnons pas notre héritage commun. Chaque semaine, 200 fermes disparaissent en France. Disparition des surfaces agricoles, spéculation foncière : nous pouvons agir. Grâce à vous, Terre de liens acquiert

Plus en détail

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,

Plus en détail

Analyse des évolutions de l agriculture biologique par le biais de la veille documentaire et technologique

Analyse des évolutions de l agriculture biologique par le biais de la veille documentaire et technologique Analyse des évolutions de l agriculture biologique par le biais de la veille documentaire et technologique Auteurs : Sophie Valleix, responsable d ABioDoc et Esméralda Ribeiro, documentaliste à ABioDoc

Plus en détail

Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique

Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Conception, rédaction, réalisation : Parménion/RFF - Crédit photos : Biotope, CREN Poitou-Charentes, Ecosphère, RFF Impression

Plus en détail

Mademoiselle J affabule et les chasseurs de rêves Ou l aventure intergalactique d un train de banlieue à l heure de pointe

Mademoiselle J affabule et les chasseurs de rêves Ou l aventure intergalactique d un train de banlieue à l heure de pointe Mademoiselle J affabule et les chasseurs de rêves Ou l aventure intergalactique d un train de banlieue à l heure de pointe de Luc Tartar * extraits * Les sardines (on n est pas des bêtes) - Qu est-ce qu

Plus en détail

Appliquez-vous ces 4 éléments pour travailler plus efficacement?

Appliquez-vous ces 4 éléments pour travailler plus efficacement? Appliquez-vous ces 4 éléments pour travailler plus efficacement? Ce livret vous a été remis en complément de la vidéo «4 éléments pour travailler plus efficacement». Visitez http://methode-prepa.com pour

Plus en détail

Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur

Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur Panorama élaboré à partir d une étude Ernst & Young pour la MDER mai 2004 Sommaire Organisation de la filière en PACA p. 3 Chiffres clés p. 4 Productions

Plus en détail

ÉCOLOGIE, ENVIRONNEMENT

ÉCOLOGIE, ENVIRONNEMENT STATISTIQUES ÉCOLOGIE, ENVIRONNEMENT REPERTOIRE D EMPLOIS Sur les 78 diplômés entrant dans le champ d enquête (de nationalité française et en formation initiale), 66 ont répondu au questionnaire soit un

Plus en détail

Prise de rendez-vous pour une présentation

Prise de rendez-vous pour une présentation Prise de rendez-vous pour une présentation Établir des rendez-vous réguliers Venez-vous de démarrer votre propre entreprise Tupperware et n'êtes-vous pas certain/e d obtenir un oui pour la fixation d'une

Plus en détail

La situation financière des Canadiens

La situation financière des Canadiens La situation financière des Canadiens 1 Approche client Microsoft Advertising Hiver 2015 LA SITUATION FINANCIÈRE DES CANADIENS 2 Des décisions financières difficiles et importantes doivent être prises

Plus en détail

réglementation bio Partie générale bio, reconnaissable et contrôlé

réglementation bio Partie générale bio, reconnaissable et contrôlé réglementation bio Partie générale bio, reconnaissable et contrôlé Partie générale : bio, reconnaissable et contrôlé. L objectif de la partie générale de la brochure est de clarifier ce qu est exactement

Plus en détail

PLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION

PLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION PLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION Pourquoi les élu-es EELV au Conseil Régional ne voteront pas le Plan Bio Midi-Pyrénées 2014-2020 en l état? Plan Bio Midi-Pyrénées, un plan sans

Plus en détail

TIM S.A., une aventure d Homme

TIM S.A., une aventure d Homme Comité d entreprise 1 Sommaire Edito de M. Hans-Jürgen Hellich, Directeur Général de Tim SA p. 9 Edito de Cyril Terrière, Secrétaire du Comité d Entreprise Tim SA p. 11 Itinéraires croisés d une entreprise

Plus en détail

Le contrôle et la certification en agriculture biologique

Le contrôle et la certification en agriculture biologique Version Tunisie 1 ère édition 2006 AGRICULTURE BIOLOGIQUE REPUBLIQUE TUNISIENNE Ministère de l agriculture et des ressources hydrauliques Direction Générale de la Production Agricole TCP/TUN/2903 Le contrôle

Plus en détail

L Assurance agricole au Sénégal

L Assurance agricole au Sénégal COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système

Plus en détail

Simul actif : débat au conseil pédagogique : «quelles évolutions de nos formations par rapport aux enjeux énergétiques et environnementaux actuels?

Simul actif : débat au conseil pédagogique : «quelles évolutions de nos formations par rapport aux enjeux énergétiques et environnementaux actuels? Simul actif : débat au conseil pédagogique : «quelles évolutions de nos formations par rapport aux enjeux énergétiques et environnementaux actuels?» Objectifs : 1) simuler un jeu d acteur possible sur

Plus en détail

Lorsqu une personne chère vit avec la SLA. Guide à l intention des enfants

Lorsqu une personne chère vit avec la SLA. Guide à l intention des enfants Lorsqu une personne chère vit avec la SLA Guide à l intention des enfants 2 SLA Société canadienne de la SLA 3000, avenue Steeles Est, bureau 200, Markham, Ontario L3R 4T9 Sans frais : 1-800-267-4257 Téléphone

Plus en détail

Mon boss ne délègue pas

Mon boss ne délègue pas Situation 3 Mon boss ne délègue pas L importance d une rhétorique soignée Les situations de pur rapport de force Autonomie et contrôle La délégation Explication/justification La situation Pierre, notre

Plus en détail

D où viennent nos émotions

D où viennent nos émotions D où viennent nos émotions Il y a des émotions qui sont vraiment désagréables : l anxiété, la culpabilité, la colère, les grosses rages qui nous réveillent la nuit, la dépression, la tristesse, la peur,

Plus en détail

R y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009

R y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009 Royaume du Maroc PLAN MAROC VERT Mai 2009 ENJEUX Enjeux économiques Contribue pour 19 % du PIB national 15% production 4% Agro industrie Rôle capital dans la stabilité macro économique Enjeux sociaux Emploie

Plus en détail

Institut d Études Politiques de Grenoble. Rapport de fin de séjour

Institut d Études Politiques de Grenoble. Rapport de fin de séjour Julia Lamotte Institut d Études Politiques de Grenoble Année de mobilité : Master 1 Rapport de fin de séjour Stage au Centro de Investigacion y estudios superiores en Anthropologia social (CIESAS) San

Plus en détail

I- Echanges ou ventes pour une «exploitation non commerciale» :

I- Echanges ou ventes pour une «exploitation non commerciale» : Echanges et ventes de semences et plants de variétés non inscrites au catalogue, que peut on faire dans le cadre réglementaire actuel? Les semences et plants commercialisés doivent appartenir à une variété

Plus en détail

PAC. ce qui change. vraiment

PAC. ce qui change. vraiment PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne

Plus en détail

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son

Plus en détail

Origines possibles et solutions

Origines possibles et solutions Ne plus avoir peur de vieillir «Prends soin de ton corps comme si tu allais vivre éternellement, Prends soin de ton âme comme si tu allais mourir demain.» Introduction Ce petit document est la résultante

Plus en détail

Dossier de suivi de stage d observation en entreprise en classe de 3 ème

Dossier de suivi de stage d observation en entreprise en classe de 3 ème Année scolaire 2014 2015 Dossier de suivi de stage d observation en entreprise en classe de 3 ème STAGE 3 ème Du 02/02/2015 au 06/02/2015 Nom et prénom de l élève : Classe de : Projet d orientation : Nom

Plus en détail

renforcer votre jeune entreprise

renforcer votre jeune entreprise Parrainés Profitez de l expérience de chefs d entreprises aguerris pour renforcer votre jeune entreprise Pierre Grimaldi PARRAINÉ - Apéro Fiesta www.lyon-ville-entrepreneuriat.org par Lyon Ville de l Entrepreneuriat

Plus en détail

Action 5.1.1 : Mettre en place des outils d accompagnement technico-économique en matière de pratiques culturales

Action 5.1.1 : Mettre en place des outils d accompagnement technico-économique en matière de pratiques culturales Orientation stratégique n 5 : Innover pour amélior er la productivité des exploitations Objectif opérationnel 5.1 : acquérir des références technico-économiques sur des techniques alternatives Action 5.1.1

Plus en détail

Pour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie

Pour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie Conférence de presse Arvalis, Cetiom, InVivo AgroSolutions Paris, le 25 octobre 2013 Pour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie 1- Pourquoi un partenariat?

Plus en détail

mon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection,

mon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection, Ma vache, mon maïs fourrage, et moi 50 ans de progrès! Depuis maintenant 50 ans, le maïs fourrage a bénéficié avec succès du progrès génétique et de l innovation variétale. Il a su s inscrire durablement

Plus en détail

L enfant sensible. Un enfant trop sensible vit des sentiments d impuissance et. d échec. La pire attitude que son parent peut adopter avec lui est

L enfant sensible. Un enfant trop sensible vit des sentiments d impuissance et. d échec. La pire attitude que son parent peut adopter avec lui est L enfant sensible Qu est-ce que la sensibilité? Un enfant trop sensible vit des sentiments d impuissance et d échec. La pire attitude que son parent peut adopter avec lui est de le surprotéger car il se

Plus en détail

Discours de Philippe MARTIN Ministre de l Écologie, du Développement durable et de l Énergie

Discours de Philippe MARTIN Ministre de l Écologie, du Développement durable et de l Énergie Philippe MARTIN, Ministre de l Écologie, du Développement durable et de l Énergie Paris, le jeudi 6 février 2014 Discours de Philippe MARTIN Ministre de l Écologie, du Développement durable et de l Énergie

Plus en détail

L intolérance à l incertitude et le trouble d anxiété généralisée

L intolérance à l incertitude et le trouble d anxiété généralisée 1 L intolérance à l incertitude et le trouble d anxiété généralisée Dans notre compréhension actuelle du trouble d anxiété généralisée (TAG), nous estimons que l intolérance à l incertitude joue un rôle

Plus en détail

et si nous parlions croissance...

et si nous parlions croissance... A6 Media Présentation d un partenariat réussi et si nous parlions croissance... www.a6media.fr Le 25 juillet 2008 naissance d A6 média, structure spécialisée dans le partenariat avec Orange Business Services

Plus en détail

L agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques. Ordre du jour

L agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques. Ordre du jour L agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques Ordre du jour 1. Le cadre réglementaire 2. Les exigences organisationnelles et leurs applications

Plus en détail

Louise, elle est folle

Louise, elle est folle Leslie Kaplan Louise, elle est folle suivi de Renversement contre une civilisation du cliché la ligne Copi-Buñuel-Beckett P.O.L 33, rue Saint-André-des-Arts, Paris 6 e pour Élise et Fred tu m as trahie

Plus en détail

Autocontrôle et traçabilité dans la production primaire végétale

Autocontrôle et traçabilité dans la production primaire végétale Gisèle Fichefet Conseillère Vegaplan.be Le Standard GIQF : Autocontrôle et traçabilité dans la production primaire végétale Contenu Introduction Historique GIQF/Guide sectoriel Vegaplan.be Le Standard

Plus en détail

VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE

VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :

Plus en détail

CLUB 2/3 Division jeunesse d Oxfam-Québec 1259, rue Berri, bureau 510 Montréal (Québec) H2L 4C7

CLUB 2/3 Division jeunesse d Oxfam-Québec 1259, rue Berri, bureau 510 Montréal (Québec) H2L 4C7 CLUB 2/3 Division jeunesse d Oxfam-Québec 1259, rue Berri, bureau 510 Montréal (Québec) H2L 4C7 Téléphone : 514 382.7922 Télécopieur : 514 382.3474 Site Internet : www.2tiers.org Courriel : club@2tiers.org

Plus en détail

VAGINISME. Quelques pistes pour avancer?

VAGINISME. Quelques pistes pour avancer? VAGINISME Quelques pistes pour avancer? Vaginisme Pendant longtemps, pénétration vaginale quasi impossible car trop douloureuse : brûlures. Et même pas de nom pour ça. Un jour : un mot. VAGINISME. Vaginisme

Plus en détail

Kerberos mis en scène

Kerberos mis en scène Sébastien Gambs Autour de l authentification : cours 5 1 Kerberos mis en scène Sébastien Gambs (d après un cours de Frédéric Tronel) sgambs@irisa.fr 12 janvier 2015 Sébastien Gambs Autour de l authentification

Plus en détail

L informatique n est Pas Un JeU d enfant mais PeUt Le devenir! Des experts de la formation et de l assistance informatique et Internet

L informatique n est Pas Un JeU d enfant mais PeUt Le devenir! Des experts de la formation et de l assistance informatique et Internet L informatique n est Pas Un JeU d enfant mais PeUt Le devenir! Des experts de la formation et de l assistance informatique et Internet Intervention rapide partout en france métropolitaine à votre domicile

Plus en détail

Le Programme virtuel MentorVirtuel contribue à créer de précieux liens!

Le Programme virtuel MentorVirtuel contribue à créer de précieux liens! Le Programme virtuel MentorVirtuel contribue à créer de précieux liens! Daniel est un étudiant de quatrième année en génie minier à l Université de la Colombie-Britannique. Il aimerait travailler pour

Plus en détail

FORUM INTERNATIONAL DU DAKAR-AGRICOLE

FORUM INTERNATIONAL DU DAKAR-AGRICOLE FORUM INTERNATIONAL DU DAKAR-AGRICOLE La fracture agricole mondiale : «Ouvrir des perspectives pour les espaces en développement» 4 et 5 février 2005 Rapport - ATELIER 2A Thème : Les modèles économiques

Plus en détail

Quelqu un qui t attend

Quelqu un qui t attend Quelqu un qui t attend (Hervé Paul Kent Cokenstock / Hervé Paul Jacques Bastello) Seul au monde Au milieu De la foule Si tu veux Délaissé Incompris Aujourd hui tout te rends malheureux Si tu l dis Pourtant

Plus en détail

TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS

TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS Synthèse des débats rédigée par : 26 janvier 2012 Dans le cadre de son Tour de France du Dialogue, la CFE-CGC a organisé à Poitiers, le 26 janvier 2012,

Plus en détail

MEILLEURS AMIS... PEUT-ÊTRE? Producent Gabriella Thinsz Sändningsdatum: 23/11 2004

MEILLEURS AMIS... PEUT-ÊTRE? Producent Gabriella Thinsz Sändningsdatum: 23/11 2004 MEILLEURS AMIS... PEUT-ÊTRE? Producent Gabriella Thinsz Sändningsdatum: 23/11 2004 Salut! Est-ce que tu as un bon copain? Un meilleur ami? Est-ce que tu peux parler avec lui ou avec elle de tout? Est-ce

Plus en détail

Budget participatif des lycées. Règlement d intervention

Budget participatif des lycées. Règlement d intervention 3 CR 72-12 Budget participatif des lycées Règlement d intervention Préambule : La mise en œuvre du budget participatif des lycées manifeste la volonté de la région de poursuivre la démarche de dialogue

Plus en détail

EVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE

EVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL EVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT AGRICOLE Evaluation

Plus en détail

Mes droits aux vacances. ... en survol

Mes droits aux vacances. ... en survol Mes droits aux vacances... en survol AVERTISSEMENT Cette brochure de vulgarisation expose des réglementations parfois complexes. Dès lors, il se pourrait que certains cas spécifiques n y soient pas traités.

Plus en détail

LA MAISON DE POUPEE DE PETRONELLA DUNOIS

LA MAISON DE POUPEE DE PETRONELLA DUNOIS LA MAISON DE POUPEE DE PETRONELLA DUNOIS Je suis une poupée dans une maison de poupée. Un jour j ai quitté mari et enfants, pourquoi? je ne sais plus très bien. À peine le portail s était-il refermé derrière

Plus en détail

L eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011

L eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 L eau dans les documents d urbanisme L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 Pourquoi ce guide? Participer à «décloisonner» les services «Environnement Eau» et «Urbanisme»

Plus en détail

TNS. BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA FORCE

TNS. BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA FORCE 15/01/10-08:01 - Page 1/3 Ref. Doc. : 2500-4318690-8 A : Service de presse / VEOLIA ENVIRONNEMENT Mot-Clé : VEOLIA BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA

Plus en détail

Créer une AMAP. Les autres "paniers" S informer et agir! www.defipourlaterre.org. Qu'est-ce que c'est? Le principe est simple :

Créer une AMAP. Les autres paniers S informer et agir! www.defipourlaterre.org. Qu'est-ce que c'est? Le principe est simple : S informer et agir! Créer une AMAP Qu'est-ce que c'est? L'AMAP est une Association pour le Maintien d'une Agriculture Paysanne (marque déposée), dont l'objet principal est de "mettre en lien paysans et

Plus en détail

Sdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation

Sdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation Sdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation Ingrid HERMITEAU Agence de l eau Loire-Bretagne Cap sur la révision du Sdage 1. Rappel : qu est-ce que le Sdage? 2. Les éléments de réflexion

Plus en détail

ACTIV EXPERTISE. La licence de marque selon le réseau Activ expertise. Nous tenons d abord à vous remercier et à vous féliciter d avoir

ACTIV EXPERTISE. La licence de marque selon le réseau Activ expertise. Nous tenons d abord à vous remercier et à vous féliciter d avoir contacté Activ Expertise Nous tenons d abord à vous remercier et à vous féliciter d avoir Vous allez comprendre à la lecture des pages suivantes pourquoi le métier formidable de diagnostiqueur immobilier

Plus en détail

Être agriculteur aujourd'hui

Être agriculteur aujourd'hui Être agriculteur aujourd'hui Jacques ABADIE sociologue INP-ENSAT Action conduite avec le concours financier de : l'adar VIVEA l'union Européenne FEOGA Etre agriculteur aujourd hui Comprendre ce qu est

Plus en détail

CONCEPTION PARTICIPATIVE D UN PROJET COLLECTIF D IRRIGATION LOCALISÉE DANS LE PÉRIMÈTRE DE PMH FOUM EL ANCER (BÉNI MELLAL)

CONCEPTION PARTICIPATIVE D UN PROJET COLLECTIF D IRRIGATION LOCALISÉE DANS LE PÉRIMÈTRE DE PMH FOUM EL ANCER (BÉNI MELLAL) CONCEPTION PARTICIPATIVE D UN PROJET COLLECTIF D IRRIGATION LOCALISÉE DANS LE PÉRIMÈTRE DE PMH FOUM EL ANCER (BÉNI MELLAL) M. KUPER, A. HAMMANI ET B. JAOUADI FIGURE 51 Atelier de restitution du projet

Plus en détail

CONSEIL REGIONAL RAPPORT DU PRESIDENT SCHEMA REGIONAL DE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET DE L'EMPLOI

CONSEIL REGIONAL RAPPORT DU PRESIDENT SCHEMA REGIONAL DE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET DE L'EMPLOI REUNION DU 7 FEVRIER 2014 RAPPORT N CR-14/17.030 CONSEIL REGIONAL RAPPORT DU PRESIDENT SCHEMA REGIONAL DE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET DE L'EMPLOI Stratégie régionale de développement de l'innovation dans

Plus en détail

République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION

République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN

Plus en détail

Formulaire de demande d un apport de trésorerie remboursable sur la fin de l année 2015

Formulaire de demande d un apport de trésorerie remboursable sur la fin de l année 2015 MINISTÈRE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT Direction départementale des territoires Direction départementale des territoires et de la mer Direction de l alimentation, de l agriculture

Plus en détail

Indicateurs de résultats en Agriculture Durable

Indicateurs de résultats en Agriculture Durable Indicateurs de résultats en Agriculture Durable Formation «Mesures et indicateurs en agriculture durable» - 5 mars et 19 mai 2008- FNCIVAM Indicateurs clés socio-économiques Les indicateurs connus sont

Plus en détail

Les rencontres «Acheteurs de la santé» - Auvergne Opportunités d affaires 2014-2015. Bilan

Les rencontres «Acheteurs de la santé» - Auvergne Opportunités d affaires 2014-2015. Bilan Les rencontres «Acheteurs de la santé» - Auvergne Opportunités d affaires 2014-2015 Bilan Contexte : Le marché hospitalier est identifié à la fois comme une source de croissance et d emplois pour les entreprises

Plus en détail

AVERTISSEMENT. Ce texte a été téléchargé depuis le site http://www.leproscenium.com

AVERTISSEMENT. Ce texte a été téléchargé depuis le site http://www.leproscenium.com AVERTISSEMENT Ce texte a été téléchargé depuis le site http://www.leproscenium.com Ce texte est protégé par les droits d auteur. En conséquence avant son exploitation vous devez obtenir l autorisation

Plus en détail

Le menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire

Le menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire Le menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire Type d outil : Outil pour favoriser la mise en mémoire et développer des démarches propres à la gestion mentale. Auteur(s) : Sarah Vercruysse,

Plus en détail

LA TÉLÉDETECTION EN AGRICULTURE. par Bruno Tisseyre 1

LA TÉLÉDETECTION EN AGRICULTURE. par Bruno Tisseyre 1 1 LA TÉLÉDETECTION EN AGRICULTURE par Bruno Tisseyre 1 RÉSUMÉ Avec la médiatisation des applications développées à partir des drones, la télédétection appliquée à l'agriculture fait aujourd hui beaucoup

Plus en détail

Agriculture biologique et qualité de l eau Une question d intérêt général

Agriculture biologique et qualité de l eau Une question d intérêt général Agriculture biologique et qualité de l eau Une question d intérêt général 10 propositions du réseau FNAB pour une nouvelle politique de l eau (2013-2018) Cahier propositionnel du réseau FNAB dans le cadre

Plus en détail

NOM:.. PRENOM:... CLASSE:.. STAGE EN ENTREPRISE. des élèves de...ème Du../../.. au./../.. Collège...

NOM:.. PRENOM:... CLASSE:.. STAGE EN ENTREPRISE. des élèves de...ème Du../../.. au./../.. Collège... NOM:.. PRENOM:... CLASSE:.. STAGE EN ENTREPRISE des élèves de...ème Du../../.. au./../.. Collège......... SOMMAIRE Avant le stage Le cahier de stage. 2 Conseil au stagiaire. 3 Fiche d identité de l élève

Plus en détail

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture

Plus en détail

PROTECTION DE PRODUITS EN IG

PROTECTION DE PRODUITS EN IG PROTECTION DE PRODUITS EN IG Ousman ABDOU Ingénieur Agrométéorologue Expert de l Agriculture en IG Point focal IG/OAPI Direction Générale de l Agriculture Tel: (00227) 90 34 09 28 Email: ous_ab@yahoo.fr

Plus en détail

C'EST QUOI ETRE INGENIEUR, UN METIER POLYMORPHE? TABLE RONDE DU VENDREDI 08 FEVRIER

C'EST QUOI ETRE INGENIEUR, UN METIER POLYMORPHE? TABLE RONDE DU VENDREDI 08 FEVRIER C'EST QUOI ETRE INGENIEUR, UN METIER POLYMORPHE? TABLE RONDE DU VENDREDI 08 FEVRIER Salon AZIMUT Les 07, 08 et 09 Février 2013 Parc des Expositions de Penfeld Mme MAZA : Bonjour, j ai le plaisir de vous

Plus en détail

Comment avoir une banque sans banque. Tome 2

Comment avoir une banque sans banque. Tome 2 Comment avoir une banque sans banque Tome 2 Bonjour, Philippe Hodiquet à votre service. Je vous avais promis de mettre dans votre bibliothèque d'ebooks, un système économique fou furieux: une banque sans

Plus en détail

La compétitivité de l industrie française est un enjeu majeur pour la politique européenne.

La compétitivité de l industrie française est un enjeu majeur pour la politique européenne. 007-011 Avant propos_avant-propos 25/07/13 17:20 Page7 Avant-propos Gerhard CROMME* L Europe et l Allemagne ont besoin d une France compétitive Cet article reprend les thèmes du discours prononcé par Gerhard

Plus en détail

Bien choisir sa variété de maïs ensilage

Bien choisir sa variété de maïs ensilage Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention

Plus en détail

La Charte. forestière. du Pilat. Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt

La Charte. forestière. du Pilat. Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt La Charte forestière du Pilat Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt Réalisation Jecom - RCS 493 898 043 - Avril 2011 - Imprimé sur papier issues de forêts françaises et belges gérées

Plus en détail

«Cette femme réduit le grain en farine grâce à une pierre à moudre (metate) et un broyeur cylindrique (mano)». 1 LA PROBLEMATIQUE

«Cette femme réduit le grain en farine grâce à une pierre à moudre (metate) et un broyeur cylindrique (mano)». 1 LA PROBLEMATIQUE Proposition de réglementation spécifique de la production et de la commercialisation de produits agricoles et alimentaires traditionnels en Amérique latine ( ) - Propositions «Metate» - Marlen LEON GUZMAN

Plus en détail

STRATEGIE DE GESTION DES RISQUES DANS LE SECTEUR AGRICOLE

STRATEGIE DE GESTION DES RISQUES DANS LE SECTEUR AGRICOLE Royaume du Maroc Ministère de l Agriculture et de la Pêche Maritime STRATEGIE DE GESTION DES RISQUES DANS LE SECTEUR AGRICOLE Congrès International sur l Assurance et la Réassurance des Risques Agricoles

Plus en détail

La société de coopérative de fabrication de. chicouangue. A besoin de vous. présentation de la coopérative

La société de coopérative de fabrication de. chicouangue. A besoin de vous. présentation de la coopérative La société de coopérative de fabrication de chicouangue A besoin de vous présentation de la coopérative 1 2 La société de coopérative de fabrication de chicouangue A besoin de vous présentation de la coopérative

Plus en détail

Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas

Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de

Plus en détail