Relations banques et clients Comment regagner durablement la confiance des clients?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Relations banques et clients Comment regagner durablement la confiance des clients?"

Transcription

1 Relations banques et clients Comment regagner durablement la confiance des clients? Financial Services Mai 2011

2

3 Sommaire Executive summary 2 A propos de cette étude 4 Introduction 5 Un déficit de confiance 5 Confiance dans le système bancaire ou confiance dans sa propre banque 5 Confiance et satisfaction client 5 Principaux résultats de l'enquête 6 1. Confiance 7 2. Satisfaction Fidélité, réachat et recommandation des clients Comment regagner la confiance des clients 19 Relations banques et clients - Comment regagner durablement la confiance des clients? 1

4 Executive summary L économie mondiale vient de connaître l une de ses plus graves crises économiques depuis 1929 et le système financier dans son ensemble en a été profondément affecté. Au-delà des causes de cette crise, nous avons souhaité en apprécier l impact sur le niveau de confiance et de satisfaction de la clientèle retail vis-à-vis des banques françaises. Les résultats de l étude que nous avons menée fin 2010 début 2011 auprès de clients, en collaboration avec l institut de sondage Harris Interactive, sont éclairants à plus d un titre : - la confiance dans le système bancaire en général a été entamée : seulement 4 clients sur 10 déclarent encore avoir confiance dans celui-ci ; - une fois recentrés sur leur banque principale, les clients se positionnent plus positivement en termes de confiance mais sans traduire pour autant un réel enthousiasme. En particulier, le faible niveau d engagement et le manque d «intimité» des chargés de clientèle nécessitent de poursuivre les actions d amélioration ou d adaptation déjà engagées par les banques ; - en ce qui concerne le niveau de satisfaction des clients, les performances des banques sont bien orientées, un consensus large (74%) se faisant sur une appréciation «plutôt bonne». Cette appréciation positive de la performance entraîne une bonne perception des clients quant à l avantage concurrentiel procuré par leur banque principale : 4 répondants sur 5 estiment que celle-ci leur apporte un avantage concurrentiel ; - un écart important subsiste entre les attentes des clients et l expérience qu ils retirent de leurs banques au quotidien (= le parcours client). Si celles-ci ont rapidement réagi, certains critères sont encore en décalage par rapport aux attentes de la clientèle, notamment en matière d explication sur les produits bancaires qu elles proposent, de réactivité et de disponibilité de leurs collaborateurs en contact avec les clients et de tarifs et conditions pratiqués ; - si la «révolution confiance» (qui consiste pour les établissements financiers à regagner le terrain perdu vis-à-vis de leurs clients) a effectivement commencé en 2008, les banques françaises ne sont pas toutes au même niveau : les points de départ sont très hétérogènes, que ce soit en termes de niveau de confiance et/ou de satisfaction ou de taux de recommandation clients, comme le rappellent deux des tableaux tirés de notre étude. Face à ce bilan contrasté, les banques, conscientes des enjeux post-crise, doivent par conséquent continuer leurs efforts si elles veulent regagner la confiance de leurs clients et inverser la tendance. Les solutions envisageables (et déjà initiées et/ou mises en place par plusieurs établissements financiers) consistent à changer véritablement de paradigme en passant d une personnalisation de la relation clientèle à une personnalisation de la proposition faite au client. Concrètement, il s agit pour les banques de : - renforcer le profil des chargés de clientèle (développer leur savoir-faire commercial, revoir la politique de leur rémunération variable, diminuer la rotation des portefeuilles clients) ; - simplifier l offre de produits et services bancaires ; - adopter une politique plus transparente au niveau des tarifs ; - développer et mettre en place de véritables propositions de valeur ciblées et nettement différenciées pour chaque segment de clientèle identifié. - le taux de recommandation spontanée des clients envers leur banque principale est faible : la plupart des banques pour lesquelles nous disposons de données détaillées affichent des scores négatifs, avec plus de clients «détracteurs» que de clients «promoteurs» ; 2

5 Réachat en fonction de la confiance et de la satisfaction pour les 10 principales banques françaises Base 100 = moyenne banque Satisfaction bq bq 4 bq bq 1 bq bq 9 bq 7 95 bq 5 90 bq 3 85 bq Confiance Légende : - taille de la bulle = importance de réachat - Bq = banque Niveau de recommandation spontanée Net Promoter Score Banque 10 Banque 7 Banque 6 Banque 4-30% -14% -4% 5% Banque 1-34% Banque 5-35% Banque 2-36% Banque 3-37% Banque 9-46% Banque 8-46% -60% -40% -20% 0% 20% 40% 60% Relations banques et clients - Comment regagner durablement la confiance des clients? 3

6 A propos de cette étude Ce rapport s appuie sur les résultats d une étude quantitative réalisée en ligne auprès d un échantillon de répondants représentatifs de la population nationale et clients particuliers de banques françaises, du 16 décembre 2010 au 27 janvier Les répondants ont été sélectionnés au sein de l Access Panel de Harris Interactive et gérés selon la méthode des quotas et redressements sur les critères de sexe, âge, région et catégorie socioprofessionnelle. Le but de cette étude est de mesurer le niveau de confiance des clients de la banque de détail vis-à-vis du système bancaire en général, ainsi que de leurs banques respectives (établissements financiers principal et secondaire) en particulier. Les banques pour lesquelles nous avons recueilli des données sont les 10 principales banques de détail de l Hexagone. Le panel des répondants a été constitué en tenant compte de la part de marché respective de chacun de ces établissements. L étude analyse également comment la confiance, la satisfaction et la fidélité diffèrent selon les segments de clientèle (sexe, profession & catégorie socioprofessionnelle (PCS), âge et région). L institut d étude marketing et d opinion Harris Interactive a réalisé pour le compte de Deloitte l administration du questionnaire établi par nos soins ainsi que la collecte en ligne des réponses. 4

7 Introduction Un déficit de confiance Plutôt que d analyser les causes de la crise financière que nous traversons, nous voulons au travers de cette étude nous intéresser d abord aux remèdes pour en sortir, et en particulier sur un aspect du débat : beaucoup de clients partout dans le monde ont perdu confiance en leurs banques, et dans le système bancaire d une manière plus générale. Plusieurs dizaines de banques ont enregistré des pertes colossales qui n avaient jamais été vues auparavant, obligeant certains Etats à leur porter secours. Mais ce déficit de confiance n est pas imputable uniquement aux mauvaises performances financières. Malheureusement pour les banques, elles auront bien plus à faire que de s atteler simplement à la restauration de leurs marges. Une performance améliorée ne peut suffire à rétablir la crédibilité de l industrie. En résumé, la perte de confiance des clients vis-à-vis de leurs banques est réelle. Ceux-ci ont le sentiment que les décisions ou les prises de risques des établissements financiers sur les marchés peuvent avoir des effets lourds de conséquences. Les banques ont devant elles un chantier important pour reconstruire leur image malmenée par la crise. Nous sommes convaincus que leurs efforts doivent se poursuivre et se concentrer prioritairement sur la reconstruction de la confiance, qui reste leur premier actif. Un client ne vient pas voir sa banque pour lui acheter simplement une prestation ; il lui confie surtout une partie de sa vie, de sa sécurité et de son avenir patrimonial. La banque est dans le métier de la confiance pure, comme le rappellent d ailleurs fort opportunément de très récentes campagnes de communication lancées par plusieurs grands réseaux bancaires : Confiance dans le système bancaire ou confiance dans sa propre banque Nous n avons jusqu à présent parlé que de la confiance des clients envers le système bancaire en général. Toutefois, toutes les banques n ont pas été affectées de la même manière par les conséquences négatives de la crise. Confiance et satisfaction client Ces deux notions sont très imbriquées l une dans l autre. La satisfaction des clients est en effet un élément fondamental : les clients sont satisfaits lorsqu ils s entretiennent avec des banques en qui ils ont réellement confiance. Nous savons depuis longtemps que gagner la confiance des clients (1) et garantir leur satisfaction (2) est un processus continu, qui impacte mécaniquement le degré de fidélité (3) des clients envers leur banquier duquel on déduit deux comportements : l intention de réachat (4) et le niveau de recommandation des clients à leurs proches (5). Cette séquence sera utilisée pour présenter et commenter les principaux résultats de l étude : 1. Confiance 4. Réachat 2. Satisfaction 3. Fidélité 5. Recommandation «Confiance (n.f.) : premier capital qu un client doit pouvoir investir dans sa banque» (1) ; «Vous méritez une marque de considération» (2) ; «Etre autre chose qu un numéro de compte, ca compte!» (3) ; «Développons ensemble l esprit d équipe» (4). (1) Caisse d Epargne (2) HSBC (3) LCL (4) Société Générale Relations banques et clients - Comment regagner durablement la confiance des clients? 5

8 Principaux résultats de l'enquête 43% des clients font confiance au système bancaire en général. 6

9 1. Confiance La confiance, c est quoi? La confiance est un thème de plus en plus populaire et répandu dans le domaine de l économie. Plusieurs universitaires et analystes de renom (5) soulignent que la confiance est un levier fondamental des affaires, même en l absence de crise économique ou financière. Dans notre étude, nous avons utilisé 5 dimensions pour apprécier le niveau de confiance des clients sondés dans leur appréciation de leur banque principale : C = (Cr + F + ER + I + O) / 5, où : - C = confiance - Cr = crédibilité (je crois ce que ma banque me dit) - F = fiabilité (ma banque respecte ses promesses en termes de produits et services fournis) - ER = écoute / respect (ma banque est proche de mes besoins et attentes) - I = intérêt (ma banque agit au mieux de mes intérêts) - O = ouverture (ma banque adopte une communication simple et transparente) 1.1 La confiance dans le système bancaire a été entamée par la crise La confiance des clients envers le système bancaire est sous pression partout dans le monde et une fraction non négligeable d entre eux sont négatifs (voire très négatifs), avec des scores de confiance, il est vrai, assez hétérogènes d un pays à l autre : 67% en Belgique ; 62% au Royaume-Uni ; 57% aux Etats-Unis. Pour la France, notre enquête révèle qu une minorité - 43 % - ont confiance dans le système bancaire en général. Ce sentiment est partagé par l ensemble des régions françaises et aucune différence n est à signaler entre les PCS, ni entre hommes et femmes, ce qui démontre bien le caractère global de la défiance. En revanche, il est manifeste que le sentiment de confiance diminue avec l âge (6) : 56% des ans, 44% des ans, 41% des ans, 38% des 50 ans et plus. Comparaison de la confiance dans le système bancaire entre les différentes tranches d'âge 56% ans 44% ans 41% ans 38% 50 ans et plus Notons ici qu il est extraordinairement paradoxal que les Français battent des records de défiance à l encontre de leur système bancaire alors que, contrairement aux Belges, aux Anglais ou aux Américains, aucune banque française n est tombée en faillite. Le déficit de confiance que révèle notre étude n est donc pas lié uniquement à la crise ; il a ses propres causes et prend ses origines très vraisemblablement avant. Comparaison de la confiance dans le système bancaire entre différents pays 67% 62% 57% 43% Belgique Royaume-Uni Etats-Unis France Source : Etude Deloitte (5) Cf. notamment les travaux de Maister, Green et Galford (2000) (6) Ce constat correspond probablement à une vision plus fine et plus complète de l expérience client avec la banque Relations banques et clients - Comment regagner durablement la confiance des clients? 7

10 1.2 Une fois recentrés sur leur banque principale cependant, les clients se positionnent plus positivement en termes de confiance 57 % des clients interrogés ont confiance dans leur banquier principal, soit 14 points de plus que lorsqu on leur demande s ils pensaient avoir confiance dans le système bancaire en général. Les constats soulevés sur la confiance dans le système bancaire en termes d âge sont totalement répliqués, bien qu un peu moins accentués (11% d écart entre les ans et les 50 ans et plus, contre 18% précédemment). De fortes disparités se font jour entre les banques (26 % d écart entre le premier et le dernier). Sans surprise, la confiance des clients dans leur banque secondaire ne ressort qu à 45%, soit 12% de moins par rapport à leur banque principale. De plus, les scores de «très bonne performance» restent à un niveau assez faible, et ceci sur l ensemble des dimensions composant la confiance. Pourcentage de clients se déclarant «très satisfaits» sur les domaines constituant la confiance Intérêt client Ouverture Crédibilité Ecoute Fiabilité 10% 11% 12% 13% 14% 15% 16% 17% 18% sans pour autant démontrer un fort enthousiasme : un faible niveau d engagement, le manque d «intimité clientèle» restent en effet des points noirs pour toutes les banques Afin de prendre en compte la totalité des réponses des sondés sur les 5 dimensions constitutives de la confiance, nous avons défini une note fondée sur la pondération suivante : coefficient 3 pour les réponses «très favorables» ; coefficient 2 pour les réponses «favorables» ; coefficient 1 pour les réponses «défavorables» ; coefficient 0 pour les réponses «très défavorables». Le niveau de confiance global ainsi obtenu est de 12,2/20, ce qui constitue un résultat modeste. Evaluation de la confiance Notes sur 20 Intérêt client Ouverture Crédibilité Ecoute Fiabilité 11 11, ,5 13 8

11 Bien que 57% des sondés se déclarent satisfaits ou très satisfaits sur les dimensions constituant la confiance, notons, à l inverse, que 43% se déclarent insatisfaits ou très insatisfaits. La région parisienne se distingue avec seulement 49% des sondés qui déclarent avoir confiance dans leur banque principale. Evaluation de la confiance par région 60% 50% 40% 59% 60% 60% 56% 57% 49% 51% 44% 43% 41% 40% 40% 30% 20% 10% 0% Région parisienne Sud-Est Sud-Ouest Nord-Est Nord-Ouest France Bonne perception sur les critères composant la confiance Mauvaise perception sur les critères composant la confiance Relations banques et clients - Comment regagner durablement la confiance des clients? 9

12 Ces résultats cachent d assez fortes disparités entre les établissements bancaires, à la fois dans l absolu (ainsi, sur une base 100, la banque 8 a un indice de confiance de 90 tandis que celui de la banque 6 dépasse les 110) et en relatif ; le classement de chacune des 5 dimensions n est pas homogène d une banque à l autre (par exemple, les banques 8 et 9 enregistrent leur plus mauvais score sur la dimension «intérêt client» et le meilleur sur celle de la «fiabilité» ; c est exactement l inverse pour la banque 6). Comparaison des banques sur les dimensions de la confiance Base 100 = moyenne banque Banque 06 Banque 10 Banque 07 Banque 04 Banque 02 Banque 01 Banque 05 Banque 03 Banque 09 Banque Intérêt client Ouverture Ecoute Fiabilité Crédibilité 10

13 2. Satisfaction La satisfaction, c est quoi? Les critères ou composantes de la satisfaction client mesurée se résument le plus souvent à une question fermée à choix multiple du type : «très satisfait», «satisfait», «insatisfait», «très insatisfait». Le taux de satisfaction client correspond à la somme arithmétique des clients satisfaits et très satisfaits. Un niveau général de satisfaction client qui se maintient à un niveau élevé Divers enquêtes et sondages récents montrent que le niveau de satisfaction des Français est élevé en moyenne (le secteur bancaire est d ailleurs leader du secteur des services en termes de niveau de satisfaction), atteignant 85 % de clients satisfaits (7). Au global, les performances des banques, telles que jugées par leurs clients, semblent bien orientées, un consensus large (74%) se faisant sur une appréciation «plutôt bonne» de leurs performances, 9% des clients jugeant même la prestation très bonne. Une amplitude de 12 points (de 78% à 90%) est à signaler entre les clients des différentes banques. Les jeunes de 15 à 24 ans sont plus satisfaits (89%) que leurs aînés (80% des 50 ans et plus). Cette appréciation positive de la performance entraîne naturellement une bonne perception des clients quant à l avantage concurrentiel procuré par leur banque principale (logique de réassurance dans le choix de leurs banques) : 4 répondants sur 5 estiment que celle-ci leur apporte un avantage concurrentiel. Une amplitude de 21 points existe entre la banque la moins bien placée et celle qui arrive en tête (69% versus 90%). Evaluation de la satisfaction Notes sur 20 Compétitivité des frais et taux Compétence du personnel de la banque Disponibilité du personnel de la banque Facilité d'accès aux informations (compte, produits) Efficacité du personnel de la banque Simplicité de compréhension des produits et des frais Réactivité du personnel de la banque Qualité de la gamme de produits et services Niveau d innovation de l offre de produits et services Evaluation des attentes Notes sur 20 Compétitivité des frais et taux Compétence du personnel de la banque Disponibilité du personnel de la banque Facilité d'accès aux informations (compte, produits) 11,07 13,46 13,07 14,90 12,93 11,38 12,82 12,62 11, ,79 17,24 16,60 16,53 Sans surprise, l avantage concurrentiel de la banque secondaire ressort en moyenne à 60%, soit 20 points en retrait par rapport à la banque principale. L écart de perception de l avantage concurrentiel entre banque principale et banque secondaire diffère sensiblement d un établissement à l autre : entre 7 % et 34%. L avantage concurrentiel est donc diversement perçu par le client en fonction de l utilisation qu il a de sa banque. Dans le détail, la satisfaction porte davantage sur les aspects liés à la facilité d accès à l information et le professionnalisme des conseillers que sur la tarification et la nature des produits (encore parfois perçus comme compliqués). Efficacité du personnel de la banque Simplicité de compréhension des produits et des frais Réactivité du personnel de la banque Qualité de la gamme de produits et services Niveau d innovation de l offre de produits et services 8,8 10, ,27 16,18 16, L analyse de la satisfaction par tranche d âge révèle que la satisfaction, proportionnellement plus forte sur les ans, décroît sensiblement ensuite pour remonter à partir de 50 ans. (7) Baromètre de la relation client CosmosBay Vectis 2008 Relations banques et clients - Comment regagner durablement la confiance des clients? 11

14 Ecart entre le niveau des attentes et celui de la satisfaction associée Notes sur 20 Attentes par ordre décroissant Attentes < Satisfaction Compétitivité des frais et taux Compétence du personnel de la banque Disponibilité du personnel de la banque Facilité d'accès aux informations (compte, produits) Efficacité du personnel de la banque Simplicité de compréhension des produits et des frais 1,63 Attentes > Satisfaction 3,77 3,53 3,33 4,80 6,72 mais qui reste encore en décalage avec les attentes des clients L étape suivante consiste à corréler la satisfaction aux attentes des clients. En d autres termes, ces derniers sont ils satisfaits sur les dimensions qui leur paraissent les plus importantes? L analyse d écart permet d identifier les axes d amélioration prioritaires. Cet écart est la différence, notée sur 20, pour un attribut (ou service) bancaire donné, entre son degré moyen d importance (détaillé dans le tableau page précédente «évaluation des attentes») et le niveau moyen de satisfaction associée (cf. tableau «évaluation de la satisfaction» page 11). Réactivité du personnel de la banque Qualité de la gamme de produits et services Niveau d innovation de l offre de produits et services -4 3,32-1,74-2, Ainsi, si le score moyen d un attribut est positif, cela signifie que les clients jugent le service important mais ne sont pas satisfaits par ce qu ils en reçoivent (8). Dans ce cas, une action correctrice est indispensable. La note optimale (corrélation totale entre attente et satisfaction) est 0. Ecart entre le niveau des attentes et le niveau de la satisfaction associée par tranche d'âge Notes sur 20 Attentes par ordre décroissant Attentes < Satisfaction Attentes > Satisfaction Compétitivité des frais et taux Compétence du personnel de la banque Disponibilité du personnel bancaire Facilité d'accès aux informations (compte, produits) Efficacité du personnel de la banque Simplicité de compréhension des produits et des frais Réactivité du personnel bancaire Au vu des résultats de notre étude, il apparaît que les banques, d une manière générale, ne répondent pas toujours complètement aux attentes de leurs clients. Plusieurs enseignements peuvent être tirés : l offre produits est plus que satisfaisante, mais de grosses attentes subsistent quant à l explication du contenu de ces derniers ; même si l accessibilité de premier niveau aux informations donne satisfaction, un décalage réapparaît sur l accessibilité et l efficacité des centres d appui clients ainsi que sur la compétence du personnel en agence ; la tarification reste un point extrêmement épineux pour les clients où l écart entre l importance et la satisfaction est le plus élevé. La répartition par âge démontre clairement que la tranche de population la plus en décalage sur les attentes non satisfaites est celle des ans, objet, en théorie, de nombreuses convoitises de la part du secteur bancaire. Qualité de la gamme de produits et services Niveau d innovation de l offre de produits et services ans ans ans 50 ans et plus (8) Et inversement, un score moyen négatif signifie que les clients sont satisfaits du service fourni, bien qu ils le valorisent peu (voire pas du tout). 12

15 3. Fidélité, réachat et recommandation des clients Des scores de réachat favorables Il a été maintes fois démontré l impact significatif que la confiance et la satisfaction avaient sur la pérennité des relations banque/client. Une relation de confiance crée chez le client un sentiment profond de fidélité envers sa banque, jouant en quelque sorte un rôle de ciment qui permet à cette relation de perdurer au cours du temps (dans les bons comme dans les mauvais moments). Les résultats de notre étude confirment la forte corrélation entre le niveau de confiance et le niveau de satisfaction et nous rappellent qu ils constituent tous deux les piliers de la fidélité clientèle. Un client satisfait et qui a confiance dans sa banque sera en effet plus tenté de réacheter des produits et services de sa propre banque qu un client insatisfait et qui n a pas (ou peu) confiance dans celle-ci. Cette vision croisée de la satisfaction et de la confiance donne un relief tout particulier au processus de réachat. Sans surprise, notre étude révèle que 90 % des personnes interviewées entendent ainsi rester clients de leur banque principale (avec un degré de conviction plus ou moins fort). Seulement 1 % des clients sont définitivement résolus à ne plus continuer à utiliser les produits et services de leur banque de référence avec la même propension que ce qu ils font maintenant. Les 9 % de l échantillon (dont 11% de ans) se déclarant «probablement pas prêts» à «réacheter» dans leur banque doivent être pris au sérieux car ils augmenteraient sensiblement l intention de «churn» (ou taux d attrition). Réachat global 9% 1% Le graphique ci-dessous montre que 56% des sondés ont à la fois confiance dans leur banque et en sont satisfaits. A l inverse, 16% des sondés ont une opinion défavorable sur ces deux critères. Lien confiance-satisfaction 58% 32% 1% 16% Très défavorable Très favorable Favorable Défavorable 56% 27% Confiance élevée et satisfaction faible Confiance et satisfaction faibles Confiance faible et satisfaction élevée Confiance et satisfaction élevées 56% des clients ont à la fois confiance dans leur banque et en sont satisfaits. Relations banques et clients - Comment regagner durablement la confiance des clients? 13

16 La segmentation opérée par les critères «satisfaction» et «confiance» met en lumière un comportement de réachat fortement différencié : les sondés satisfaits sur ces deux critères sont naturellement réacheteurs à 99% (56% des sondés) ; à l inverse, 45% des mécontents (insatisfaits sur les deux critères, 16% des sondés) déclarent ne pas souhaiter réacheter. Soulignons le côté relativement volatil des clients en manque de confiance dans leur établissement, mais en revanche satisfaits de leur relation bancaire (27% des sondés). Ces derniers sont 13% à être très favorables à un développement des relations, mais 10% d entre eux déclarent ne pas vouloir le faire. Cette population importante par le nombre représente un challenge pour les banques car elle demeure difficilement identifiable même par le biais d enquêtes qualité. Réachat en fonction de la confiance et de la satisfaction Confiance et satisfaction élevées Confiance faible et satisfaction élevée Confiance élevée et satisfaction faible Confiance et satisfaction faibles 56% des sondés 27% des sondés 1% des sondés 16% des sondés 0% 20% 40% 60% 80% 100% Très favorable Favorable Défavorable Très défavorable Très favorable favorable Défavorable Très défavorable Confiance et satisfaction élevées 49% 50% 1% 0% Confiance faible et satisfaction élevée 13% 77% 9% 1% Confiance élevée et satisfaction faible 16% 62% 22% 0% Confiance et satisfaction faibles 3% 52% 36% 9% 14

17 mais un niveau de recommandation modeste des clients envers leur banque principale Pour mesurer le niveau de recommandation des clients, nous avons utilisé une métrique bien connue, le Net Promoter Score (NPS) développé par Fred, Reichheld et Satmetrix. Les entreprises peuvent connaître leur Net Promoter Score en posant à leurs clients une seule question très simple : «Pouvez-vous indiquer sur une échelle de 1 à 10 (10 = très probable, 1= peu probable) à quel point vous recommanderiez votre banque principale à votre famille ou vos amis?». En fonction de leurs réponses, les clients sont classés dans l un des 3 groupes suivants : les «promoteurs» (9-10), les «passifs» (7-8) et les «détracteurs» (0-6). On soustrait le pourcentage des «détracteurs» de celui des «promoteurs» et l on obtient ainsi le Net Promoter Score de l entreprise. Un Net Promoter Score élevé, c est-à-dire fortement positif, permet ainsi de présumer une forte intention d achat de la part d un prospect auquel un client aura préalablement vanté les qualités d un produit ou service (et inversement). Recommandation en fonction de la confiance et de la satisfaction Confiance et satisfaction élevées 56% des sondés Confiance faible et satisfaction élevée 27% des sondés Confiance élevée et satisfaction faible 1% des sondés Confiance et satisfaction faibles 16% des sondés Total 100% des sondés 0% 20% 40% 60% 80% 100% Promoteurs Passifs Détracteurs Promoteurs Passifs Détracteurs NPS Confiance et satisfaction élevées 25% 57% 18% 7% Confiance faible et satisfaction élevée 2% 27% 71% -69% Confiance élevée et satisfaction faible 5% 27% 68% -63% Confiance et satisfaction faibles 0% 4% 96% -96% Total 15% 41% 44% -29% Relations banques et clients - Comment regagner durablement la confiance des clients? 15

18 Rappelons que les recommandations de proches ou les opinions exprimées par des consommateurs sur le Net sont les sources d information les plus suivies, selon une étude réalisée par Nielsen auprès de plus de internautes répartis dans 50 pays. 90 % des consommateurs sondés font d abord confiance aux conseils de ceux qu ils connaissent ou avec lesquels ils sont en relation régulière. Ils sont encore 70 % à ne se fier qu aux avis «postés» sur les réseaux sociaux par les internautes. «Boosté» par les nouveaux outils technologiques, le «bouche à oreille» devient ainsi, et de très loin, le premier moyen pour un consommateur de se forger une conviction sur un produit, une marque ou une entreprise. Le système bancaire n est pas réputé pour afficher en général de bons scores de fidélité client. Notre étude révèle un Net Promoter Score moyen faible (- 29 %). Seuls les sondés ayant un niveau de confiance et de satisfaction positif sont en moyenne promoteurs de leur banque principale. Notons par ailleurs que le Net Promoter Score pour ces clients varie d une banque à l autre de -10% à + 28%, ce qui démontre la possibilité pour certaines banques de capitaliser sur cette catégorie de clients pour favoriser la conquête via un processus de recommandation. Les Net Promoter Scores très négatifs des sondés ayant, soit une confiance faible dans leur banque mais un niveau de satisfaction élevé (- 69 %), soit une confiance élevée mais un degré de satisfaction faible (- 63 %) démontrent clairement que la satisfaction (respectivement la confiance) ne suffit pas à elle seule à provoquer la recommandation d un client à l un de ses proches. «Boosté» par les nouveaux outils technologiques, le «bouche à oreille» devient ainsi, et de très loin, le premier moyen pour un consommateur de se forger une conviction sur un produit, une marque ou une entreprise. (9) Nielsen Global Online Consumer Survey,

19 De plus, le Net Promoter Score est assez fortement marqué du côté négatif de la balance pour la plupart des banques évaluées, avec des scores compris entre - 30 % et - 46 %. Les banques françaises ont donc beaucoup plus de «détracteurs» que de «promoteurs». Mais le plus frappant est de constater l écart entre le Net Promoter Score d une banque par rapport à une autre (- 46 % pour la plus faible contre + 5 % pour la «meilleure» de notre panel, résultat qui reste tout de même en-deçà de ceux affichés par le secteur bancaire en général (10). Or, l augmentation des dépôts et la contribution des clients au développement du PNB sont d autant plus élevées que le NPS de la banque est important. Ainsi, aux Etats-Unis par exemple, la diminution de l intention de «churn» chez un client «promoteur» (qui étant satisfait de ce qu il retire de sa banque est moins enclin à la quitter qu un client «détracteur»), sa plus forte propension à non seulement acheter des produits et services (les clients «promoteurs» ont un taux d équipement supérieur à celui des «détracteurs») mais aussi à promouvoir la banque auprès des gens qu il connaît (le taux de référencement d un client «promoteur» est 6 fois supérieur à celui d un client «détracteur») ont pour effet de booster la rentabilité nette de la banque (11). Niveau de recommandation spontanée Net Promoter Score Banque 10 Banque 7 Banque 6 Banque 4 Banque 1 Banque 5 Banque 2 Banque 3 Banque 9 Banque 8-46% -46% -60% -40% -20% 0% 20% 40% 60% -30% -34% -35% -36% -37% -14% -4% 5% Enfin, les ans ont un Net Promoter Score plus faible (- 35% pour les ans ; - 33% : pour les ans) que les autres tranches d âge (- 24% en moyenne). Concernant la banque secondaire, le constat est encore plus marqué, le Net Promoter Score atteignant - 59%. Niveau de recommandation spontanée par âge Total ans ans ans 50 ans et plus Détracteurs 44% 40% 48% 45% 43% Passifs 41% 45% 39% 43% 38% Promoteurs 15% 15% 13% 12% 19% NPS -29% -25% -35% -33% -24% Le plus frappant est de constater l'écart important entre le Net Promoter Score d'une banque par rapport à une autre. (10) Le NPS moyen de l industrie bancaire dans son ensemble est de 12 %. Il est de 13 % pour les banques allemandes, 6 % pour les banques américaines et 6 % pour les banques anglaises. Certaines banques anglo-saxonnes affichent cependant des scores particulièrement élevés (au-delà de 30 %), qui sont très proches de ceux de l industrie des ordinateurs personnels, n 1 NPS tous secteurs confondus (source : Bain & Company, ). (11) Customer Loyalty in Retail Banking, North America 2010, Bain & Company, Inc. Relations banques et clients - Comment regagner durablement la confiance des clients? 17

20 Une politique tarifaire compétitive, un renforcement de l'aspect humain et une personnalisation de la proposition de services des banques sont trois axes d'amélioration déjà initiés par plusieurs établissements. 18

21 4. Comment regagner la confiance des clients Des attentes clients à combler Les nouvelles technologies ainsi qu un environnement économique qui évolue de plus en plus rapidement ont rendu les clients plus exigeants. Etre capable de les satisfaire toujours plus est devenu pour les banques un véritable challenge. Mesurer la satisfaction client ne suffit pas. Il est nécessaire de pouvoir déterminer les attentes futures des clients et l importance qu ils attachent à chaque attribut ou service bancaire, sinon les ressources affectées pour restaurer la satisfaction client risqueraient de se révéler inefficaces. A l instar des critères de choix de leur banque principale qui se sont révélés nombreux et tous d une grande importance, les attentes exprimées par les clients sont elles aussi multiples et relativement uniformes d une banque à l autre. Trois axes d amélioration prioritaires se dégagent de notre étude : 1 re attente : les banques doivent continuer à pratiquer une politique tarifaire plus compétitive, que ce soit dans l absolu : diminution ou suppression de certains frais «urticants» (cotisation carte bancaire, forfaits, virements..), ou en cas de circonstances exceptionnelles (événement professionnel ou familial important) : frais bancaires et tarifs plus intéressants (19 % des réponses). 2 e attente : les banques doivent donner plus de cohérence à leur rôle et à la densité de la gestion de leurs relations avec leurs clients, notamment en : - cherchant à être plus compréhensives en cas d accidents de la vie : chômage, divorce, décès (13 % des réponses) ; - diminuant la rotation et les changements de leurs personnels en agence (10 % des réponses) ; - fiabilisant leurs traitements opérationnels et diminuant leurs erreurs (9 % des réponses) ; - récompensant les clients les plus fidèles, c'est-à-dire ceux qui sont clients depuis longtemps ou ont la plupart de leurs produits et services bancaires dans leur banque principale (7 % des réponses) ; - adoptant une communication plus proactive et plus systématique (4 % des réponses). 3 e attente : les banques doivent s efforcer de personnaliser leur proposition de services auprès de leurs clients (et ne pas se contenter de simplement personnaliser leur relation avec ces mêmes clients). Concrètement, les banques doivent : - agir au mieux des intérêts de leurs clients (5 % des réponses) ; - affecter un interlocuteur unique à la gestion de la relation client et de son portefeuille (3 % des réponses) ; - mieux comprendre les besoins de leurs clients et proposer des produits et services bancaires plus adaptés (2 % des réponses). Relations banques et clients - Comment regagner durablement la confiance des clients? 19

22 Restaurer la confiance des clients : leurs attentes par domaine La banque applique une tarification juste et moins élevée 20% La banque me récompense de ma fidélité 7% La banque agit au mieux de mes intérêts 5% La banque est proactive et communique fréquemment avec moi 4% La banque me met en valeur 1% La banque est plus compréhensive en cas d'accident de la vie 12% La banque me donne plus de conseils 3% La banque répond plus rapidement à mes questions 3% La banque m affecte un interlocuteur unique 3% Les horaires d ouverture (agence, téléphone ou chat) sont élargis 2% Le personnel (en agence ou par téléphone) est plus sympathique 2% La banque me propose une offre adaptée à mes besoins 2% Mes différents interlocuteurs bancaires ont connaissance de mon dossier 1% La banque me contacte en cas d'importants changements dans ma vie 1% Moins de changements de personnel en agence 9% La banque est claire et cohérente sur son rôle 8% Le personnel (en agence ou par téléphone) est plus compétent et mieux formé 3% La banque fait moins d'erreurs, moins de traitements erronés 9% La banque me propose moins de produits et plus simples 3% La banque m explique clairement le risque de chaque produit 2% Intérêt client Ecoute Crédibilité Fiabilité Ouverture 0% 5% 10% 15% 20% Le classement des attentes clients selon les critères constituant la confiance démontre la prédominance de la prise en compte de l intérêt du client et le souhait que la banque soit davantage à son écoute. Attentes des clients cumulées par domaine Intérêt client Ecoute 29% 37% Crédibilité 20% Fiabilité 9% Ouverture 5% 0% 10% 20% 30% 40% 20

23 qui doivent pousser les banques à poursuivre les efforts entrepris depuis plusieurs années pour réussir à inverser la tendance et montrer à leurs clients qu elles les ont entendus 1. Adopter une politique tarifaire plus juste et davantage lisible, simplifier les offres bancaires Nous savons tous que la dimension tarifaire revêt un caractère urticant pour de très nombreux clients, notamment quand il s agit des offres bancaires «packagées». Ils ont le sentiment que les banques leur font payer certains services dont ils n ont pas réellement besoin. Une «bonne» politique de tarification des produits et services bancaires impose a minima aux banques de lever trois types de contraintes : - pratiquer des tarifs et conditions plus justes (notion de «fair price»), - rééquilibrer la répartition entre commissions négatives et commissions positives, - développer une communication plus lisible, plus transparente et intensifier des efforts de pédagogie envers les clients. De fait, le marché bancaire, en France sans doute plus qu à l étranger, apparaît sensible à une simplification et à un dégroupage des offres bancaires (12). 2. Etablir des propositions de valeur ciblées et nettement différenciées par segment de clientèle Les besoins exprimés par les primo-accédants et la vision «prestataire de service», proche de celle d un opérateur téléphonique, que la génération Y (13) a des banques (rôle bien défini, récompense de la fidélité, conseils «gratuits», flexibilité des produits souscrits ) doivent inciter ces dernières à adapter encore leur modèle relationnel et commercial. Plus généralement, les banques doivent définir et mettre en place des propositions de valeur plus nettement différenciées pour chacun de leurs segments de clientèle : - définition de la stratégie, - critère de différenciation, - produits et services proposés, - politique tarifaire associée, - reporting client, - canaux d interaction client, - démarche commerciale et profils des chargés de clientèle, - communication/image. 3. Adapter le profil et la formation des chargés de clientèle aux attentes de leurs clients La différenciation de la banque de détail s est longtemps faite par la maîtrise du savoir-faire technique de ses chargés de clientèle et la densité de sa gamme de produits et services bancaires offerts. Or cette différenciation se banalise sans cesse. Il suffit pour s en convaincre d écouter les clients. Ils ne sentent pas toujours compris par leurs conseillers auxquels ils reprochent d être là davantage pour vendre des produits que pour les écouter et chercher à comprendre ce qu ils veulent «vivre» au travers de leur relation avec la banque. La disponibilité des chargés de clientèle et leur réactivité face aux demandes de leurs clients seront de plus en plus des éléments décisifs pour la fidélité, et par conséquent la rentabilité sur le long terme des clients dont ils s occupent. Il s agit ici de savoirfaire commerciaux classiques, qui ne sont pas (assez) enseignés. Les banques de détail doivent par conséquent rééquilibrer les plans de formation de leurs chargés de clientèle, en mettant davantage l accent sur ces «soft skills». Enfin, la rémunération variable des conseillers de clientèle doit être revue et porter désormais sur la totalité de leur activité : outre les inévitables éléments quantitatifs liés à la performance commerciale et l atteinte d objectifs individuels et/ou collectifs (mesure de la progression des encours, contribution brute des chargés de clientèle au PNB), il convient d intégrer des critères plus qualitatifs prenant en compte, par exemple, la fidélisation, la satisfaction des clients, le Net Promoter Score ou bien encore la gestion des réclamations. (12) Le banquier idéal des Français et des Américains, étude Ifop/ Groupama Banque, février 2011 (13) Jeunes nés entre 1980 et 1995 Relations banques et clients - Comment regagner durablement la confiance des clients? 21

24 Contacts Daniel Pion Associé Retail Banking 33 (0) Baudoin Choppin de Janvry Senior Manager Retail Banking 33 (0) Deloitte fait référence à un ou plusieurs cabinets membres de Deloitte Touche Tohmatsu Limited, société de droit anglais («private company limited by guarantee»), et à son réseau de cabinets membres constitués en entités indépendantes et juridiquement distinctes. Pour en savoir plus sur la structure légale de Deloitte Touche Tohmatsu Limited et de ses cabinets membres, consulter En France, Deloitte SA est le cabinet membre de Deloitte Touche Tohmatsu Limited, et les services professionnels sont rendus par ses filiales et ses affiliés. Deloitte fournit des services professionnels dans les domaines de l audit, de la fiscalité, du consulting et du financial advisory, à ses clients des secteurs public ou privé, de toutes tailles et de toutes activités. Fort d un réseau de firmes membres dans plus de 150 pays, Deloitte allie des compétences de niveau international à des expertises locales pointues, afin d accompagner ses clients dans leur développement partout où ils opèrent. Nos professionnels sont animés par un objectif commun, faire de Deloitte la référence en matière d excellence de service. En France, Deloitte mobilise un ensemble de compétences diversifiées pour répondre aux enjeux de ses clients, de toutes tailles et de tous secteurs des grandes entreprises multinationales aux microentreprises locales, en passant par les entreprises moyennes. Fort de l expertise de ses collaborateurs et associés, Deloitte en France est un acteur de référence en audit et risk services, consulting, financial advisory, juridique & fiscal et expertise comptable, dans le cadre d une offre pluridisciplinaire et de principes d action en phase avec les exigences de notre environnement. Pour en savoir plus, Deloitte 185, avenue Charles-de-Gaulle Neuilly-sur-Seine Cedex Tél. : 33 (0) Fax : 33 (0) Mai 2011 Deloitte SA - Tous droits réservés - Member of Deloitte Touche Tohmatsu Limited Studio graphique Neuilly Document imprimé sur papier certifié PEFC

Relations banques et clients Fidélité, vous avez dit fidélité?

Relations banques et clients Fidélité, vous avez dit fidélité? Relations banques et clients Fidélité, vous avez dit fidélité? 4 e édition Avril 2014 Sommaire Baromètre Confiance 2014 : statu quo Fidélité clients : mythe ou réalité? 2 Relations banques et clients édition

Plus en détail

Relations banques et clients Banquiers, que faites-vous vraiment pour vos clients? 3 e édition

Relations banques et clients Banquiers, que faites-vous vraiment pour vos clients? 3 e édition Relations banques et clients Banquiers, que faites-vous vraiment pour vos clients? 3 e édition Financial Services Avril 2013 Le défi à relever pour les banques est immense : personnaliser la proposition

Plus en détail

Relations banques et clients Comment regagner durablement la confiance des clients. 2 e édition

Relations banques et clients Comment regagner durablement la confiance des clients. 2 e édition Relations banques et clients Comment regagner durablement la confiance des clients 2 e édition Financial Services Avril 2012 Sommaire 1 Executive summary 2 A propos de cette étude 3 Introduction 4 Principaux

Plus en détail

Juin 2014. Fonction consolidation A la recherche des frontières de demain

Juin 2014. Fonction consolidation A la recherche des frontières de demain Juin 2014 Fonction consolidation A la recherche des frontières de demain Intervenants Caroline MARROT Associée Deloitte José BAGHDAD Directeur Deloitte Vincent Michelet SODEXO Hervé Cardelli SANOFI Stéphane

Plus en détail

L entreprise idéale de demain Entre idéalisme et pragmatisme. 23 avril 2013 Hédiard Madeleine Petit-déjeuner Presse

L entreprise idéale de demain Entre idéalisme et pragmatisme. 23 avril 2013 Hédiard Madeleine Petit-déjeuner Presse L entreprise idéale de demain Entre idéalisme et pragmatisme 23 avril 2013 Hédiard Madeleine Petit-déjeuner Presse Méthodologie Etude réalisée du 11 mars au 7 avril 2013, au travers d un sondage en ligne.

Plus en détail

Club AFIC avec Elles Etude sur la mixité dans le Capital Investissement. Novembre 2013

Club AFIC avec Elles Etude sur la mixité dans le Capital Investissement. Novembre 2013 Club AFIC avec Elles Etude sur la mixité dans le Capital Investissement Novembre 2013 Introduction L AFIC, qui souhaite promouvoir activement le rôle des femmes dans les métiers du capital investissement,

Plus en détail

Le banquier idéal des Français et des Américains

Le banquier idéal des Français et des Américains pour Le banquier idéal des Français et des Américains Février 2011 1 La méthodologie 2 2 Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Banque Echantillons : France : Echantillon de 1000 personnes,

Plus en détail

TechnologyFast50 Baromètre des candidats et lauréats 2006-2012. Novembre 2012

TechnologyFast50 Baromètre des candidats et lauréats 2006-2012. Novembre 2012 TechnologyFast50 Baromètre des candidats et lauréats 2006-2012 Novembre 2012 Sommaire 3 7 9 12 14 19 25 27 31 Présentation du baromètre Profil des entreprises Contexte économique Ressources humaines Financement

Plus en détail

Les internautes et les comparateurs de prix

Les internautes et les comparateurs de prix FM N 19410 Contact L Atelier : Sandra Edouard Baraud Tél : 01 43 16 90 22 sandra.edouardbaraud@atelier.net, Contact Ifop : Frédéric Micheau Tél : 01 45 84 14 44 frederic.micheau@ifop.com pour Les internautes

Plus en détail

satisfaction client Relation client : satisfaction? fidélisation?

satisfaction client Relation client : satisfaction? fidélisation? Relation client : satisfaction? fidélisation? Un pilier fondamental de la GRC : la satisfaction client La gestion de la relation client Les missions de l entreprise Créer de la valeur pour les clients

Plus en détail

Comment mieux lutter contre la fraude à l assurance? Gestion de sinistres Odilon Audouin, le 4 avril 2013

Comment mieux lutter contre la fraude à l assurance? Gestion de sinistres Odilon Audouin, le 4 avril 2013 Comment mieux lutter contre la fraude à l assurance? Gestion de sinistres Odilon Audouin, le 4 avril 2013 Eléments de contexte Un coût significatif, une évolution des typologies Selon l ALFA (sur la base

Plus en détail

Bientôt plus d'1 Français sur 10 client d'une banque en ligne.

Bientôt plus d'1 Français sur 10 client d'une banque en ligne. www.audirep.fr Bientôt plus d'1 Français sur 10 client d'une banque en ligne. Restitution des résultats d une étude menée par internet sur un échantillon de 1 001 personnes représentatives de la population

Plus en détail

Malgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire

Malgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire Résultats de l enquête Ifop/Wincor sur les relations des Français à leur agence bancaire Malgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire -

Plus en détail

Etude Harris Interactive pour la Chambre Nationale des Services d Ambulances (CNSA)

Etude Harris Interactive pour la Chambre Nationale des Services d Ambulances (CNSA) Note détaillée L image des ambulanciers Etude Harris Interactive pour la Chambre Nationale des Services d Ambulances (CNSA) Enquête réalisée en ligne du 17 au 19 septembre 2013. Echantillon de 985 personnes

Plus en détail

Baromètre de la gestion immobilière des villes Pour une stratégie de création de valeur

Baromètre de la gestion immobilière des villes Pour une stratégie de création de valeur Baromètre de la gestion immobilière des villes Pour une stratégie de création de valeur 2015 Répartition géographique des villes participantes sur le territoire français Martinique Editorial Une enquête

Plus en détail

Baromètre 2010 Publi-News - Solucom de la relation banque / client LES ENQUÊTES SOLUCOM. The power of simplicity. Juillet 2010

Baromètre 2010 Publi-News - Solucom de la relation banque / client LES ENQUÊTES SOLUCOM. The power of simplicity. Juillet 2010 Juillet 2010 LES ENQUÊTES SOLUCOM Baromètre 2010 Publi-News - Solucom de la relation banque / client The power of simplicity «Ce qui est simple est fort» Baromètre banque / client 2010 Sommaire Avant-propos

Plus en détail

French Lease Events Etude sur le comportement des locataires de bureaux en France

French Lease Events Etude sur le comportement des locataires de bureaux en France French Lease Events Etude sur le comportement des locataires de bureaux en France Immobilier Janvier 2011 Préambule Les échéances triennales et l expiration du bail commercial constituent des fenêtres

Plus en détail

Sommaire. - 1 - La méthodologie... 1-2 - Les principaux enseignements de l étude... 4

Sommaire. - 1 - La méthodologie... 1-2 - Les principaux enseignements de l étude... 4 FM N 111256 Contact Ifop : Frédéric Micheau Département Opinion et Stratégies d'entreprise frederic.micheau@ifop.com 35 rue de la gare 75019 Paris Tél : 01 45 84 14 44 Fax : 01 45 85 59 39 pour Les attentes

Plus en détail

Les Français et l assurance santé

Les Français et l assurance santé Mai 2013 Contacts : 01 45 84 14 44 Jérôme Fourquet Magalie Gérard prénom.nom@ifop.com Les Français et l assurance santé pour Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Assurances Echantillon :

Plus en détail

Baromètre du paiement électronique Vague 2

Baromètre du paiement électronique Vague 2 pour Baromètre du paiement électronique Vague 2 Frédéric Micheau Directeur adjoint Département Opinion et Stratégies d entreprise frederic.micheau@ifop.com Janvier 2012 Laurent Houitte Directeur Marketing

Plus en détail

Ville de Schiltigheim. Audit financier version définitive

Ville de Schiltigheim. Audit financier version définitive Ville de Schiltigheim Audit financier version définitive 10 octobre 2014 Préliminaire Le présent document vise à présenter les conclusions de l audit financier réalisé entre les mois de juillet 2014 et

Plus en détail

Décrypter le code génétique des entreprises industrielles les plus performantes. Juillet 2014

Décrypter le code génétique des entreprises industrielles les plus performantes. Juillet 2014 Décrypter le code génétique des entreprises industrielles les plus performantes Juillet 2014 L ADN des entreprises industrielles fait référence à un ensemble de capacités appelées aptitudes et de nombreuses

Plus en détail

Conseil / Capital Humain Mars 2013. Livre blanc La révolution du Cloud s impose dans les SIRH

Conseil / Capital Humain Mars 2013. Livre blanc La révolution du Cloud s impose dans les SIRH Conseil / Capital Humain Mars 2013 Livre blanc La révolution du Cloud s impose dans les SIRH Ces dernières années, le «Cloud Computing» et les produits «Software as a Service» (SaaS) associés ont connu

Plus en détail

ENQUÊTE DE SATISFACTION

ENQUÊTE DE SATISFACTION Département CRM ENQUÊTE DE SATISFACTION 3 QUI SOMMES-NOUS? CUSTOMER RELATIONSHIP MANAGEMENT (CRM) Ensemble de mesures prises pour optimiser la relation et la fidélisation client dans le but d augmenter

Plus en détail

Les rendez-vous Risk Advisory La lettre des professionnels du risque et de la finance

Les rendez-vous Risk Advisory La lettre des professionnels du risque et de la finance Risk Advisory Février 2014 Les rendez-vous Risk Advisory La lettre des professionnels du risque et de la finance Des points de vue sur vos sujets de préoccupation dans les domaines de la gestion des risques,

Plus en détail

Club Jeune Génération Préparons l avenir ensemble

Club Jeune Génération Préparons l avenir ensemble Club Jeune Génération Préparons l avenir ensemble Succéder à un membre de sa famille, à la tête d une entreprise, n est ni une chose aisée, ni un processus rapide. Si le projet de garder l entreprise au

Plus en détail

FM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise

FM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise FM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise 35 rue de la gare 75019 Paris Tél : 01 45 84 14 44 Fax : 01 45 85 59 39 pour Les Français

Plus en détail

Le fonds de dotation Nouveau souffle du mécénat

Le fonds de dotation Nouveau souffle du mécénat Le fonds de dotation Nouveau souffle du mécénat La création d une nouvelle structure juridique est un événement rare. Par sa simplicité, le fonds de dotation a vocation à favoriser le développement du

Plus en détail

Chapitre I : Introduction

Chapitre I : Introduction Chapitre I : Introduction 1.1) Problématique A partir des années soixante, l environnement des entreprises a connu une mutation capitale, sans précédant historique dans le climat des affaires. Ces changements

Plus en détail

BusinessHIGHLIGHT L EXPÉRIENCE CLIENT : Inspirer. n 1022011 .../... UN LEVIER SIMPLE POUR SE DIFFÉRENCIER SOMMAIRE L APPARITION DE L EXPÉRIENCE CLIENT

BusinessHIGHLIGHT L EXPÉRIENCE CLIENT : Inspirer. n 1022011 .../... UN LEVIER SIMPLE POUR SE DIFFÉRENCIER SOMMAIRE L APPARITION DE L EXPÉRIENCE CLIENT BusinessHIGHLIGHT Inspirer L EXPÉRIENCE CLIENT : UN LEVIER SIMPLE POUR SE DIFFÉRENCIER L APPARITION DE L EXPÉRIENCE CLIENT SOMMAIRE L apparition de l expérience client Notre définition de l expérience

Plus en détail

EVALUATION DE LA QUALITE DES SONDAGES EN LIGNE : CAS D UN SONDAGE D OPINION AU BURKINA FASO

EVALUATION DE LA QUALITE DES SONDAGES EN LIGNE : CAS D UN SONDAGE D OPINION AU BURKINA FASO EVALUATION DE LA QUALITE DES SONDAGES EN LIGNE : CAS D UN SONDAGE D OPINION AU BURKINA FASO Auteur Baguinébié Bazongo 1 Ingénieur Statisticien Economiste Chef de l Unité de recherche à l Institut national

Plus en détail

BAROMÈTRE EUROPÉEN DU RAPPORT AUX PAIEMENTS

BAROMÈTRE EUROPÉEN DU RAPPORT AUX PAIEMENTS BAROMÈTRE EUROPÉEN DU RAPPORT AUX PAIEMENTS @ 02/03 BERNARD NOËL Directeur général de Crédit Agricole Cards & Payments Toute période de mutations conjugue des avancées décisives avec des facteurs d incertitude.

Plus en détail

Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011

Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 SOMMAIRE Synthèse et Conclusion... 1 Introduction... 4 1. La description

Plus en détail

Les Français ais et l assurance l

Les Français ais et l assurance l Mai 2013 Contacts: 01 45 84 14 44 Jérôme Fourquet Magalie Gérard prénom.nom@ifop.com Les Français ais et l assurance l santé pour Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Assurances Echantillon

Plus en détail

Etude sur l efficacité marketing des entreprises luxembourgeoises Bilan en demi-teinte

Etude sur l efficacité marketing des entreprises luxembourgeoises Bilan en demi-teinte Etude sur l efficacité marketing des entreprises luxembourgeoises Bilan en demi-teinte Sommaire Méthodologie et approche 3 Le département marketing au Luxembourg: une fonction clef dans le support de la

Plus en détail

Introduction Que s est-il passé en 2014? Qu attendre de 2015?

Introduction Que s est-il passé en 2014? Qu attendre de 2015? Les grandes tendances Data & Analytics 2015 L épreuve de la réalité janvier 2015 Introduction Que s est-il passé en 2014? Qu attendre de 2015? 2014 a confirmé l intérêt croissant pour la donnée au sein

Plus en détail

Évolution des réseaux sociaux dans la banque (US et France) et place dans la distribution multicanale

Évolution des réseaux sociaux dans la banque (US et France) et place dans la distribution multicanale conseil organisation management Réussir ensemble Évolution des réseaux sociaux dans la banque (US et France) et place dans la distribution multicanale Salon e-commerce, Paris, 14 septembre 2011 csa consulting

Plus en détail

Comportement client et promesse des marques sur les réseaux sociaux

Comportement client et promesse des marques sur les réseaux sociaux Comportement client et promesse des marques sur les réseaux sociaux secteurs d activité multiculturels. Le Customer Experience Lab -«CX Lab»- de Teleperformance ouvert en 2013 à Lisbonne, mène des recherches

Plus en détail

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie Les Français et les nuisances sonores Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie RB/MCP N 112427 Contacts Ifop : Romain Bendavid / Marion Chasles-Parot Département Opinion

Plus en détail

Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance

Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance Septembre 2013 Contact: Frédéric Dabi 01 45 84 14 44 Frederic.dabi@ifop.com Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance pour Note méthodologique Etude réalisée pour:

Plus en détail

Banque de détail. Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale

Banque de détail. Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale Banque de détail Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale L évolution de l environnement et les enjeux dans la Banque de détail CENTRES D'APPELS Intensification du

Plus en détail

L Evènement Assurance Automobile de GT Motive

L Evènement Assurance Automobile de GT Motive L Evènement Assurance Automobile de GT Motive Résultats de l étude satisfaction des assurées : 27,8% des assurés sont susceptibles de changer d assurance après la gestion d un sinistre Lancement de la

Plus en détail

Fonds de Dotation L observatoire Deloitte. N 20 31 décembre 2011

Fonds de Dotation L observatoire Deloitte. N 20 31 décembre 2011 Fonds de Dotation L observatoire Deloitte N 20 31 décembre 2011 Éditorial L année vient de s achever avec 863 fonds de dotation enregistrés au 31 décembre 2011. C est une année record car pas moins de

Plus en détail

Servez-les bien ou vous les perdrez. Les clients des compagnies d assurance canadiennes en attendent plus de leur assureur en ligne

Servez-les bien ou vous les perdrez. Les clients des compagnies d assurance canadiennes en attendent plus de leur assureur en ligne Servez-les bien ou vous les perdrez Les clients des compagnies d assurance canadiennes en attendent plus de leur assureur en ligne Le secteur canadien de l assurance multirisque est en train de subir des

Plus en détail

WHY CONSULTING. Performance Commerciale en B2B

WHY CONSULTING. Performance Commerciale en B2B É t u d e WHY CONSULTING Performance Commerciale en B2B La performance commerciale d une entreprise est un sujet complexe qui emprunte des chemins différents selon les organisations et les marchés, car

Plus en détail

Enquête Solucom & OpinionWay. Les Français et leur banque : bouleversements en vue!

Enquête Solucom & OpinionWay. Les Français et leur banque : bouleversements en vue! Enquête Solucom & OpinionWay Les Français et leur banque : bouleversements en vue! Pourquoi une enquête Solucom OpinionWay? Soumises à la pression technologique, réglementaire et concurrentielle, les banques

Plus en détail

A vos côtés en région Rhône-Alpes Accompagner vos projets Participer au développement de notre territoire

A vos côtés en région Rhône-Alpes Accompagner vos projets Participer au développement de notre territoire A vos côtés en région Rhône-Alpes Accompagner vos projets Participer au développement de notre territoire Notre volonté est d être au plus près de nos clients pour mieux les servir, en s inscrivant au

Plus en détail

Chapitre trois : Etude Empirique CHAPITRE TROIS ETUDE EMPIRIQUE Section I : Méthodologie de l étude 100 Section II : Analyse des résultats de recherche.. 106 99 Chapitre trois : Etude Empirique 100 Après

Plus en détail

ENJEUX ET PERSPECTIVES DU MODÈLE DE BANCASSURANCE NON-VIE À L AUNE DES ANNÉES 2020

ENJEUX ET PERSPECTIVES DU MODÈLE DE BANCASSURANCE NON-VIE À L AUNE DES ANNÉES 2020 Jean-Louis DELPÉRIÉ Directeur ENJEUX ET PERSPECTIVES DU MODÈLE DE BANCASSURANCE NON-VIE À L AUNE DES ANNÉES 2020 Antoine FOURNIER Directeur LES DEUX DERNIÈRES DÉCENNIES ONT VU L ÉMERGENCE EN FRANCE DES

Plus en détail

Immobilier public. L immobilier au service du secteur public Valorisez votre patrimoine

Immobilier public. L immobilier au service du secteur public Valorisez votre patrimoine Immobilier public L immobilier au service du secteur public Valorisez votre patrimoine Transformation et optimisation de l immobilier public Un poste à gérer comme une opportunité et une ressource Un

Plus en détail

Devenir une banque relationnelle de référence : pourquoi et comment?

Devenir une banque relationnelle de référence : pourquoi et comment? conseil organisation management Réussir ensemble Devenir une banque relationnelle de référence : pourquoi et comment? Conférence CCM Benchmark Banques sur Internet 2012-13 Mars 2012 csa consulting 80,

Plus en détail

Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises

Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises Institut CSA pour Metlife Novembre 2014 Sommaire Fiche technique 3 Profil de l échantillon

Plus en détail

Les Français et le chauffage. Résultats de l étude menée

Les Français et le chauffage. Résultats de l étude menée Les Français et le chauffage Résultats de l étude menée par IPSOS pour Via sèva Méthodologie et échantillon METHODOLOGIE : Cette étude a été réalisée en adhoc online, auprès d un échantillon issu de l

Plus en détail

RESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE

RESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 13 mars 2012 RESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE Bonne résistance du PNB et du RBE en 2011, solidité financière confirmée, poursuite de la dynamique de développement

Plus en détail

2009 - Présentation de la société. Notre métier, c est de rendre le votre plus facile

2009 - Présentation de la société. Notre métier, c est de rendre le votre plus facile Notre métier, c est de rendre le votre plus facile 2009 - Présentation de la société Le leader de l infogérance sélective et de l évolutivité des systèmes distribués Notre seul et unique métier, c'est

Plus en détail

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11

Plus en détail

Banques nouvelle génération : les Français sont-ils prêts pour le tout digital?

Banques nouvelle génération : les Français sont-ils prêts pour le tout digital? Observatoire Orange Terrafemina vague 15 Banques nouvelle génération : les Français sont-ils prêts pour le tout digital? Sondage de l institut CSA Fiche technique du sondage L institut CSA a réalisé pour

Plus en détail

Les lieux de travail d hier, d aujourd hui et de demain, vus par les salariés

Les lieux de travail d hier, d aujourd hui et de demain, vus par les salariés COMMUNIQUE DE PRESSE Les lieux de travail d hier, d aujourd hui et de demain, vus par les salariés Sondage Harris Interactive pour Gecina Enquête réalisée en ligne du 5 au 11 mai 2011. Echantillon représentatif

Plus en détail

INTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1

INTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1 LES FICHES OUTILS RESSOURCES HUMAINES L évaluation 360 Feed-back INTRODUCTION Aujourd hui les ressources humaines sont considérées par les entreprises comme un capital. La notion de «capital humain» illustre

Plus en détail

La considération et la reconnaissance de la profession par les pouvoirs publics apparaissent déficitaires :

La considération et la reconnaissance de la profession par les pouvoirs publics apparaissent déficitaires : Note détaillée Le regard des masseurs-kinésithérapeutes sur leur profession Etude Harris Interactive pour L Ordre National des Masseurs-Kinésithérapeutes Les résultats sont issus d une enquête réalisée

Plus en détail

CRM MANAGER LES SOLUTIONS POUR BOOSTER VOTRE RELATION CLIENT

CRM MANAGER LES SOLUTIONS POUR BOOSTER VOTRE RELATION CLIENT CRM MANAGER S SOLUTIONS POUR BOOSTER VOTRE RELATION CLIENT CRM MANAGER plus que jamais, un outil d actualité et de conquête Votre connaissance du et de vos clients est fondamentale pour assurer vos succès.

Plus en détail

Le Marketing Relationnel Universitaire : 2010.2011 0

Le Marketing Relationnel Universitaire : 2010.2011 0 Universitaire : 2010.2011 0 Introduction : Chaque jour à travers le monde, des managers déplorent la baisse de fidélité de leurs clients qui sont courtisés plus fébrilement par des concurrents offrant

Plus en détail

Assurance Vie en Ligne

Assurance Vie en Ligne Synthèse - Mars 2014 Benchmark concurrentiel de l expérience client en ligne e Assurance Vie en Ligne 6 sites d acteurs de référence de l Assurance Vie en Ligne plus de 7.000 internautes mobilisés www.observatoire-eperformance.com

Plus en détail

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-* Note détaillée Baromètre européen du rapport aux paiements Des pratiques uniformisées en Europe? Sondage Harris Interactive pour Crédit Agricole Cards & Payments Enquête réalisée en ligne du 19 au 29 septembre

Plus en détail

LES EUROPEENS ET LA QUALITE DE VIE

LES EUROPEENS ET LA QUALITE DE VIE LES EUROPEENS ET LA QUALITE DE VIE RAPPORT REDIGE PAR INRA (EUROPE) EUROPEAN COORDINATION OFFICE S.A. POUR La Direction Générale Emploi et Affaires sociales Sécurité sociale et intégration sociale Recherche

Plus en détail

La Caisse d Epargne affirme ses ambitions sur le marché de la gestion privée en lançant des espaces Gestion Privée en régions.

La Caisse d Epargne affirme ses ambitions sur le marché de la gestion privée en lançant des espaces Gestion Privée en régions. La Caisse d Epargne affirme ses ambitions sur le marché de la gestion privée en lançant des espaces Gestion Privée en régions. Paris, le 4 Février 2013 La Caisse d Epargne dispose depuis plus de vingt

Plus en détail

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11

Plus en détail

Les Français et les complémentaires santé

Les Français et les complémentaires santé Les Français et les complémentaires santé Sondage Ifop pour Lecomparateurassurance.com Contact Ifop : Romain Bendavid Directeur de clientèle Département Opinion et Stratégies d Entreprise 01 45 84 14 44

Plus en détail

Le comportement d achat des internautes européens: Evolutions et tendances

Le comportement d achat des internautes européens: Evolutions et tendances Le comportement d achat des internautes européens: Evolutions et tendances 1 Présentation du groupe Maximiles «Le leader européen de la fidélisation en ligne» Naissance 1999 Nationalité France, Angleterre,

Plus en détail

Performance 2010. Eléments clés de l étude

Performance 2010. Eléments clés de l étude Advisory, le conseil durable Consulting / Operations Performance 2010 Eléments clés de l étude Ces entreprises qui réalisent deux fois plus de croissance. Une enquête sur les fonctions ventes et marketing.

Plus en détail

LES FRANÇAIS, LEUR ÉPARGNE & LEUR RETRAITE

LES FRANÇAIS, LEUR ÉPARGNE & LEUR RETRAITE LES FRANÇAIS, LEUR ÉPARGNE & LEUR RETRAITE 1 Jérôme JAFFRÉ Directeur du Centre d Études et de Connaissances sur l Opinion Publique JeanPierre THOMAS Président du Cercle de l'epargne Philippe CREVEL Directeur

Plus en détail

Digital Trends Morocco 2015. Moroccan Digital Summit 2014 #MDSGAM - Décembre 2014

Digital Trends Morocco 2015. Moroccan Digital Summit 2014 #MDSGAM - Décembre 2014 Moroccan Digital Summit 2014 #MDSGAM - Décembre 2014 Sommaire 04 Objectifs de la démarche 07 Méthodologie 05 Parties prenantes 09 Résultats de l étude 06 Objectifs de l étude 37 Conclusion 02 Contexte

Plus en détail

Regards de Français sur les objets connectés dans le domaine de l assurance

Regards de Français sur les objets connectés dans le domaine de l assurance Regards de Français sur les objets connectés dans le domaine de l assurance Sondage Ifop pour AILANCY 4 juin 2015 N 113049 Contacts Ifop : Frédéric Dabi - Directeur Général Adjoint Alexandre Bourgine Chargé

Plus en détail

Baromètre Gemalto - TNS Sofres. Les Français et les Américains exigent une amélioration de la sécurité et de la flexibilité du monde numérique

Baromètre Gemalto - TNS Sofres. Les Français et les Américains exigent une amélioration de la sécurité et de la flexibilité du monde numérique Baromètre Gemalto - TNS Sofres Les Français et les Américains exigent une amélioration de la sécurité et de la flexibilité du monde numérique Amsterdam, 12 mars 2008 Gemalto (Euronext NL0000400653 GTO),

Plus en détail

Tendances 2014 relatives au Capital Humain en Suisse

Tendances 2014 relatives au Capital Humain en Suisse Tendances 2014 relatives au Capital Humain en Suisse Audit. Fiscalité. Conseil. Corporate Finance 21 ème siècle : un monde du travail en mutation Tendances globales 2014 relatives au Capital Humain Les

Plus en détail

CCI DE GRENOBLE ECOBIZ E-REPUTATION. Alain Bouveret 15.05.2014

CCI DE GRENOBLE ECOBIZ E-REPUTATION. Alain Bouveret 15.05.2014 CCI DE GRENOBLE ECOBIZ E-REPUTATION Alain Bouveret 15.05.2014 LE MENU Intro 3 Le multicanal 5 Les vertus de l insatisfaction & le bad buzz 8 Points de réflexion 14 Exemple : Mon avis 20 Compléments et

Plus en détail

L ASSURANCE EN LIGNE. Etat des lieux et prospective

L ASSURANCE EN LIGNE. Etat des lieux et prospective L ASSURANCE EN LIGNE Etat des lieux et prospective www.audirep.fr Restitution des résultats d une étude menée par Internet sur un échantillon de 908 ménages représentatifs de la population française AUDIREP

Plus en détail

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE Une enquête /CSA pour Le Cercle des épargnants Note d analyse Février 2009 S.A. au capital de 38.112,25 euros Siège

Plus en détail

OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE

OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE Edition 2013 Perception du risque et comportement d investissement (point 5) 16 octobre 2013 Pourquoi un Observatoire UFF/IFOP de la clientèle patrimoniale?

Plus en détail

Centre de relation client

Centre de relation client Centre de relation client Emission et réception d appels Etudes qualitatives et quantitatives Mesure de qualité de services Enquêtes en ligne - appels mystères Fidélisation clients Détection de projets

Plus en détail

Baromètre des courtiers de proximité APRIL/OpinionWay

Baromètre des courtiers de proximité APRIL/OpinionWay Baromètre des courtiers de proximité APRIL/OpinionWay Edition 2012 Toute publication, même partielle de cette étude, est soumise à autorisation de la part d APRIL Courtage Contactez Nathalie RAVET nravet@april.fr

Plus en détail

LES FRANÇAIS, L ÉPARGNE & LA RETRAITE

LES FRANÇAIS, L ÉPARGNE & LA RETRAITE 201 LES FRANÇAIS, L ÉPARGNE & LA RETRAITE Jérôme JAFFRÉ Directeur du Centre d Études et de Connaissances sur l Opinion Publique Jean-Pierre GAILLARD Président du Cercle des Epargnants Philippe CREVEL Secrétaire

Plus en détail

les travailleurs non-salari

les travailleurs non-salari Septembre 2013 Contact: Frédéric Dabi 01 45 84 14 44 Frederic.dabi@ifop.com Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salari salariés, s, la crise et l assurancel pour Note méthodologique Etude réalisée

Plus en détail

Services Observatoire 2010 de l opinion sur l image des banques

Services Observatoire 2010 de l opinion sur l image des banques Observatoire 2010 de l opinion sur l image des banques - Juillet 2010 Méthodologie Méthodologie : Cette étude a été menée dans le cadre de l'omcapi, l'enquête périodique multi-clients de l'ifop, réalisée

Plus en détail

Seuls 37 % des. investisseurs sont. confiants sur. leur capacité. à financer une. retraite confortable.

Seuls 37 % des. investisseurs sont. confiants sur. leur capacité. à financer une. retraite confortable. «Seuls 37 % des investisseurs sont confiants sur leur capacité à financer une retraite confortable.» WHY BLACKROCK BlackRock helps millions of people, as well as the world s largest institutions and governments,

Plus en détail

Écoutez ce qui se dit sur l épargne-retraite au Canada

Écoutez ce qui se dit sur l épargne-retraite au Canada MARS 2014 ÉCHEC ET MAT! LES RÉGIMES D ÉPARGNE EN MILIEU DE TRAVAIL : UNE SOLUTION GAGNANTE POUR LES CANADIENS EN VUE DE LA RETRAITE Notre 6 e sondage annuel Indice canadien de report de la retraite montre

Plus en détail

Regards croisés actifs / recruteurs : la place des réseaux sociaux professionnels sur le marché de l emploi

Regards croisés actifs / recruteurs : la place des réseaux sociaux professionnels sur le marché de l emploi Regards croisés actifs / recruteurs : la place des réseaux sociaux professionnels sur le marché de l emploi étude réalisée par l institut Harris Interactive entre le 24 septembre et le 11 octobre 2013

Plus en détail

Voulez-vous mieux connaître vos clients et savoir ce qu ils pensent de vous?

Voulez-vous mieux connaître vos clients et savoir ce qu ils pensent de vous? Voulez-vous mieux connaître vos clients et savoir ce qu ils pensent de vous? La véritable solution qui valorise vos données clients et fait évoluer votre image Etudes Recettes pour mesurer votre image,

Plus en détail

Données des SIM. Données signalétiques (nom, adresse), Historique d achat, Réactions passées aux actions de promotion

Données des SIM. Données signalétiques (nom, adresse), Historique d achat, Réactions passées aux actions de promotion Données des SIM Bases de données produits Identification, caractéristiques techniques, caractéristiques commerciales (prix, unités de vente, fournisseurs), état des stocks, ventes réalisées Bases de données

Plus en détail

Motiver les équipes commerciales

Motiver les équipes commerciales Motiver les équipes commerciales Nouvelle recherche sur les facteurs de motivation des commerciaux les plus performants. par Colleen O Sullivan & Greg McDonald Developing the 21st century workforce TM

Plus en détail

Les salaires de L écosystème php en france. L Association Française des Utilisateurs de PHP (AFUP) le cabinet de recrutement spécialisé Agence-e

Les salaires de L écosystème php en france. L Association Française des Utilisateurs de PHP (AFUP) le cabinet de recrutement spécialisé Agence-e L Association Française des Utilisateurs de PHP (AFUP) & le cabinet de recrutement spécialisé Agence-e vous propose : baromètre AFUP Agence-e 2014 : Les salaires de L écosystème php en france édito : Fondée

Plus en détail

Étude des résultats des investisseurs particuliers sur le trading de CFD et de Forex en France

Étude des résultats des investisseurs particuliers sur le trading de CFD et de Forex en France Étude des résultats des investisseurs particuliers sur le trading de CFD et de Forex en France Le 13 octobre 2014 Autorité des marchés financiers 17, place de la Bourse 75082 Paris cedex 02 Tél. : 01 53

Plus en détail

bpce assurances L ESSENTIEL 2012

bpce assurances L ESSENTIEL 2012 bpce assurances L ESSENTIEL 2012 I ÉDITO Pierre Garcin Président du conseil d administration Paul Kerangueven Directeur général Sommaire Faits marquants ÉDITO p. 1 à propos de BPCE Assurances p. 2 l assurance

Plus en détail

Les entreprises familiales vues par les actifs Français.

Les entreprises familiales vues par les actifs Français. Les entreprises familiales vues par les actifs Français. Janvier 2014 Chaire Entrepreneuriat Familial et Société entre pérennité et changement Contacts : Noémie Lagueste Chargée d études Chaire Entrepreneuriat

Plus en détail

Evaluation Agi Son 2005. Agi son 2005. Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées

Evaluation Agi Son 2005. Agi son 2005. Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées Agi son Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées 1 Introduction p. 3 Méthode p.4 1. Le public p.5 A. Caractéristique des personnes interrogées

Plus en détail

Les dirigeants face à l innovation

Les dirigeants face à l innovation Les dirigeants face à l innovation Vague 2 FACD N 111164 Contact Ifop : Flore-Aline Colmet Daâge Directrice d Etudes Département Opinion et Stratégies d'entreprise flore-aline.colmet-daage@ifop.com Mai

Plus en détail

Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export

Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement

Plus en détail

POUR. Contact Generix Group : Mike Hadjadj Directeur Marketing & Communication Tél. : 01 77 45 43 41 mhadjadj@generixgroup.com

POUR. Contact Generix Group : Mike Hadjadj Directeur Marketing & Communication Tél. : 01 77 45 43 41 mhadjadj@generixgroup.com FM/BS N 110461 Contact Ifop : Frédéric Micheau Département Opinion et Stratégies d'entreprise frederic.micheau@ifop.com 35 rue de la gare 75019 Paris Tél : 01 45 84 14 44 Fax : 01 45 85 59 39 Contact Generix

Plus en détail

Les services à la personne : nouveaux marchés pour de nouveaux entrepreneurs

Les services à la personne : nouveaux marchés pour de nouveaux entrepreneurs C O L L E C T I O N F O C U S Les services à la personne : nouveaux marchés pour de nouveaux entrepreneurs C O L L E C T I O N F O C U S Les services à la personne : nouveaux marchés pour de nouveaux entrepreneurs

Plus en détail

Baromètre 2014 Club de l Epargne Salariale - Harris Interactive

Baromètre 2014 Club de l Epargne Salariale - Harris Interactive Baromètre 2014 Club de l Epargne Salariale - Harris Interactive La perception des salariés sur l épargne salariale Toute diffusion de résultats tirés de cette étude doit être accompagnée de la mention

Plus en détail