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1 Crésus Info ÎLE-DE-FRANCE PARIS Riches de notre solidarité C hambre RÉgionale du SUrendettement S ocial N 13 - Juin 2012 SOMMAIRE Page 2 z Entretien avec Jeanne Lazarus, auteure de «L épreuve de l argent. Banques, banquiers, clients» Page 3 z L éducation budgétaire pour tous : rêve ou réalité? Page 4 z L activité de Crésus Ile-de-France: les points-clés Page 5 z Rappel du programme de la Conférence-débat du 26 juin Directeur de la publication : Jean Beaujouan Rédacteur en chef : Jacques Saint Raymond L ÉDITO Dominique MIgnon «A ccompagner les personnes surendettées: comment? Jusqu où?». C est le titre que nous avons donné à la conférence-débat que nous organisons le 26 juin prochain à la Mairie du 18 e arrondissement de Paris. Ce sera le thème principal de cette lettre d information. Si vous n y êtes pas inscrit(e), il est encore temps, et nous vous invitons vivement à le faire: nous avons déjà enregistré plus de 100 inscriptions et le nombre de places est limité à 150. Vous trouverez en dernière page un rappel du programme. Pour vous «mettre en bouche», ce numéro vous propose: Un entretien avec Jeanne Lazarus, sociologue et auteure de l ouvrage «L épreuve de l argent. Banques, banquiers, clients», Calmann-Lévy, Jeanne Lazarus centrera son intervention du 26 juin spécifiquement sur les relations entre les banques et leurs clients les plus fragiles, ceux pour lesquels cette épreuve de l argent est souvent la plus douloureuse et la plus dangereuse. Le résumé de l étude réalisée par une équipe d étudiants de Sciences Po Paris à la demande de notre association Crésus et de France Bénévolat sur un phénomène peu connu qu on pourrait qualifier d «illettrisme de l argent». L étude dresse l inventaire des politiques publiques qu il conviendrait de mettre en œuvre pour promouvoir en France des actions efficaces d éducation budgétaire et bancaire propres à faire diminuer significativement le surendettement. Ce point sera bien entendu abordé plus précisément au cours de notre conférence-débat. Enfin, et puisque le quotidien de Crésus est d accompagner des personnes surendettées, nous publions également dans ce numéro le résumé du rapport d activité de notre association au titre de Ce résumé ne donne qu un bref aperçu de ces questions complexes: «Comment, et jusqu où, accompagner les personnes surendettées?» Sans entamer trop les débats de notre conférence du 26 juin, nous pouvons néanmoins poser déjà quelques jalons: On ne peut accompagner des personnes surendettées que si elles souhaitent l être, et les surendettés demandeurs d un accompagnement approfondi ne sont pas nécessairement très nombreux! Dans ce domaine, c est l offre qui crée la demande. Si cette offre est faible ou rare, la demande le sera également. L accompagnement des surendettés est une affaire complexe, qui requiert des compétences diverses : en comptabilité familiale (un budget est d abord un ensemble de chiffres qu il faut saisir, classer, comparer, programmer, contrôler etc.); en psychologie, en sociologie (une personne surendettée est d abord un être humain affronté aux multiples et puissantes contradictions du monde social, de son milieu familial et de son propre psychisme) ; et en diplomatie (l accompagnant doit savoir écouter, ne pas juger, et permettre à la personne surendettée d évoluer dans le sens d une gestion plus équilibrée de son budget). Accompagner les surendettés requiert du temps (de salarié et/ou de bénévole), des locaux, des moyens administratifs, et donc des moyens financiers non négligeables. En cette période de vaches maigres qui caractérise les ressources de l État et des collectivités publiques territoriales, où et comment faire pour trouver les financements nécessaires? Au regard de ces quelques constats, on ne s étonnera pas de la modestie des réalisations actuelles en matière d accompagnement des personnes surendettées. On pourrait au contraire s étonner du caractère quasi miraculeux de ce qui se fait malgré tant de vents contraires! n Jean Beaujouan Merci de nous lire, de nous faire lire et de nous faire part de vos commentaires, qu ils soient positifs ou critiques! Association , rue des Abbesses Paris - Tél Courriel: cresus@cresus-iledefrance.org 1

2 2 Entretien avec Jeanne Lazarus, auteure de «L épreuve de l argent. Banques, banquiers, clients.» Calmann-Levy DR Jeanne Lazarus, sociologue Crésus Info: Qui êtes-vous, Jeanne Lazarus? Et pourquoi avoir choisi de traiter précisément ce sujet? Je suis sociologue, chargée de recherche au CNRS et membre du Centre de sociologie des organisations à Sciences-po. Je m intéresse à la sociologie de l argent et précisément à la façon dont notre gestion personnelle est influencée par l existence d institutions financières. C est pourquoi j ai effectué une recherche approfondie dans les banques, qui sont le lieu où se rencontrent la gestion quotidienne du budget et le monde économique le plus organisé. J ai voulu analyser les conséquences sociales de la nécessité actuelle de posséder un compte en banque pour mener une vie sociale normale. Quelles sont les évolutions les plus remarquables de la relation entre la banque et ses clients particuliers au cours des dernières années? Les banques françaises se sont ouvertes au grand public à la fin des années 1960 en se présentant comme des quasi-administrations publiques (elles étaient alors nationalisées, leurs salariés avaient un statut de quasi-fonctionnaires. Elles proposaient des produits encadrés par l'état et considéraient qu elles avaient une mission d encadrement des finances populaires). Depuis les années 1980, elles ont entamé un «tournant commercial», transformant leurs modes de recrutement, leur management, mais également les services proposés aux clients, désor- mais regroupés en «segments» et décrits sous forme de «profils». Pourtant, cette transformation des banques ne s est pas accompagnée d un abandon de leur image traditionnelle d institution sociale. Au contraire, deux définitions coexistent: celle de la banque comme commerce d argent et celle de la banque comme institution d encadrement des pratiques monétaires. Et les professionnels bancaires semblent peu pressés de clarifier les choses, jouant de l ambiguïté de leur positionnement pour affirmer qu ils sont des commerçants et justifier les frais et hausses de tarifs tout en demandant aux clients des formes de respect de l institution qu est la banque. Dans les relations quotidiennes, cela se traduit parfois par des malentendus, les clients ne sachant pas au nom de quel principe d évaluation leur interlocuteur agit de telle ou telle façon: est-ce qu on leur prélève des agios parce qu ils ont mal agi, au nom du rôle d institution sociale de la banque? Ou bien pour augmenter les profits de l entreprise bancaire? Pourquoi entend-on des gens raconter qu ils ont réussi à faire effacer des frais par leur banquier quand d autres semblent complètement dominés par l institution? Les règles sont-elles les mêmes pour tous? Je parle dans le livre des règles mouvantes de la banque, qui me paraissent être le problème principal des difficultés relationnelles entre banquiers et clients, c est-à-dire que les clients sont d accord pour respecter les règles, mais ont l impression qu elles changent sans cesse, les banquiers choisissant toujours celle qui leur sera bénéfique. Quelles en sont selon vous les conséquences pour les clients, et en particulier pour les clients financièrement fragiles? La bancarisation des années 1960 et 1970 a eu lieu pendant les 30 glorieuses et a été pensée pour des clients stables professionnellement, aux vies calculables. La situation de l emploi a changé, les carrières sont moins sûres, l insertion professionnelle des jeunes générations s est compliquée: cela n est pas sans conséquences sur les relations banques/clients. Les banques continuent à exiger des formes de stabilité (professionnelle mais aussi personnelle et familiale) qui ne correspondent que partiellement à l expérience sociale d une partie importante de leurs clients. En même temps, l introduction massive d outils de marketing a permis aux banques de trouver des moyens de rentabiliser tous les segments, y compris ceux des clients les plus démunis. Ceuxlà ne sont pas rentables par leurs dépôts, mais ils peuvent l être par les frais qui leur sont prélevés, par la tarification des moyens de paiement qui leur sont fournis (en particulier les cartes), et surtout par le fait que les salariés qui sont mis en contact avec eux sont en général ceux du guichet, car le temps des conseillers, ceux qui sont dans les bureaux, doit être consacré à faire des ventes, donc à rencontrer les clients les plus intéressants commercialement. Ainsi, si ces clients fragiles ont des difficultés, quelles qu elles soient, ils risquent de ne trouver personne dans la banque avec qui en parler de façon approfondie, car les salariés du guichet sont les moins formés, ont peu de temps, et le cadre est peu propice à l analyse détaillée de leur situation budgétaire. En même temps, comme tous les clients, les plus démunis ont à gérer des comptes dématérialisés, ont des moyens de paiement très abstraits (chéquiers, cartes, prélèvements, etc.), qui complexifient la gestion du budget. Du temps peut s écouler entre le moment où ils ont effectué un paiement et celui où l argent est prélevé. Et savoir combien d argent reste sur le compte à un moment donné est loin d être évident. Les modes traditionnels de tenue des budgets passaient par la matérialisation: cahiers de compte, enveloppes, boîtes, etc. Quand l argent est sur des comptes en banque, il est nécessaire de retrouver des formes de marquage, mais cela demande un grand savoir-faire, une grande attention à ce qui se passe sur les comptes, et les erreurs sont d autant plus coûteuses que les budgets sont serrés. Car à la banque comme ailleurs, et peut-être davantage, comme le disait le grand romancier américain James Baldwin, qui savait de quoi il parlait: Quiconque a connu la pauvreté sait à quel point il est coûteux d être pauvre. n

3 3 L éducation budgétaire pour tous : rêve ou réalité? Le présent document résume l étude réalisée en 2011, à la demande conjointe de France Bénévolat et de Crésus Ile-de-France Paris, par une équipe d étudiants de Sciences Po Paris. Cette demande partait d un constat fait par Crésus dans le cadre de sa mission d aide aux personnes surendettées: certaines d entre elles ont très peu de compétences en matière d utilisation de l argent, de gestion de leur budget et de recours aux services bancaires. La littérature spécialisée anglo-saxonne qualifie ce phénomène d «illettrisme financier», qu il serait plus juste de qualifier de «dysfonctionnement budgétaire et bancaire», et que d autres désignent plus simplement sous le nom imagé d «illettrisme de l argent». Ses composantes essentielles sont les suivantes : les personnes concernées ne classent pas leurs documents administratifs et financiers, ne connaissent pas ou connaissent mal le montant de leurs ressources, de leurs dépenses, de leurs dettes, du solde de leur compte bancaire, elles ne constituent pas d épargne de précaution, n anticipent pas leurs revenus et leurs dépenses à venir, etc. En conséquence, elles risquent plus que d autres de faire des erreurs, de ne pas maîtriser suffisamment leurs comptes, de se faire spolier par certains individus ou agents économiques peu scrupuleux, de recourir au crédit de manière aveugle et finalement de tomber dans les affres du surendettement. Ces effets négatifs ne touchent pas seulement les personnes concernées (confusion, souffrance psychique, vulnérabilité accrue), mais aussi la société dans son ensemble (renforcement de la précarité financière et de l exclusion bancaire, développement du surendettement et du coût social de son traitement etc.). De manière étonnante, et à la différence de l illettrisme classique (lire, écrire, compter), l illettrisme de l argent, phénomène tout aussi grave, semble ne pas avoir été étudié par les économistes, les psychologues, les sociologues ni, a fortiori, combattu avec des moyens à la mesure de sa dimension et de son impact négatif. Et pourtant, la mise en place de politiques actives en matière d éducation à l argent aurait des effets puissants tant au bénéfice des personnes «illettrées de l argent» que de la société dans son fonctionnement social, économique et même politique. Concernant les approches pédagogiques et les politiques publiques à mettre en œuvre pour lutter contre cet illettrisme, il convient de faire une distinction nette entre l éducation budgétaire et bancaire, qui relève clairement de l intérêt général, et l éducation financière, qui relève plus de l intérêt des particuliers relativement aisés et du système bancaire. Les effets positifs d une éducation budgétaire et bancaire à grande échelle et efficace seraient multiples: prévention du surendettement, accès des personnes formées à une plus grande autonomie, réduction de la pauvreté et de l exclusion financière, apaisement des relations entre les banques et leurs clients fragiles etc. Pour lutter vigoureusement contre l illettrisme de l argent, il conviendrait de mettre en place des politiques publiques ambitieuses, et notamment: Approfondir la connaissance scientifique (qualitative et quantitative) de ce phénomène Mettre en place des programmes de recherche en vue de produire des outils et des méthodes pédagogiques plus performants que ceux existant actuellement Rénover les programmes et les dispositifs de formation des conseillers en économie sociale et familiale (CESF) et, d une manière générale, permettre aux travailleurs sociaux de renforcer leurs compétences pour tout ce qui concerne l argent, la gestion du budget et les pratiques bancaires Favoriser la création d un vaste mouvement d associations spécialisées dans l éducation budgétaire et bancaire, et l appropriation de cette activité par des réseaux d associations existantes Stimuler et encadrer ce mouvement en lui fournissant des outils, des lieux d échange et des synergies, comme le fait l Agence Nationale de Lutte Contre l Illettrisme (ANLCI) pour la lutte contre l illettrisme classique Lui procurer des financements pérennes. n Pour obtenir des informations plus précises sur ce dossier: Pierre Félin Courriel: pierrefelin@orange.fr (pour France Bénévolat) Jean Beaujouan Courriel: jean.beaujouan@free.fr (pour Crésus Ile-de-France Paris) DR

4 4 L activité de Crésus Ile-de-France Paris en 2011 : les points clé L année 2011 s est déroulée dans un environnement difficile, marqué par un ralentissement de l activité économique et une progression du chômage. La mise en application de la loi Lagarde de 2010, dont les effets sont positifs en matière de lutte contre le surendettement,n a pourtant pas empêché un accroissement de l activité de Crésus dans l accueil et l accompagnement des personnes surendettées. Quelques chiffres Le nombre d entretiens réalisés en 2011 a été de 5061, en progression de 26 % par rapport à Cette augmentation est surtout due à l amélioration de la capacité d accueil de Crésus. L accueil des surendettés se tient dans des permanences couvrant Paris, les Yvelines et les Hautsde-Seine, soit en tout 28 lieux différents (contre 23 en 2010). Les entretiens assurés par les salariés et bénévoles «urgentistes» ont pour but de conseiller et orienter les personnes surendettées. L accompagnement budgétaire individuel, proposé aux personnes qui le souhaitent pour mieux maîtriser la gestion de leurs finances, a progressé de 39 %, tandis que le nombre d entretiens augmentait de 95 %. Le microcrédit personnel accompagné, qui offre une assistance aux personnes désireuses de préparer un dossier de demande de microcrédit, a connu une assez faible activité en 2011: 84 appels téléphoniques de demandeurs de microcrédit se sont traduits par sept entretiens préparatoires, contre deux en 2010, et quatre dossiers acceptés par le Crédit Municipal de Paris, contre aucun en L éducation en groupe à la gestion du budget et de la relation bancaire: le nombre de séances de formation a progressé de 16 %, et celui des participants de 66 %. Cette activité contribue à la prévention du surendettement car elle modifie le regard des participants sur leur relation à l argent et accroît leur capacité de vigilance budgétaire. Le fonctionnement Le nombre d adhérents de Crésus est de 76, dont 29 membres actifs, en augmentation modérée par rapport à l an dernier. Le nombre de bénévoles est passé de 55 à 62. Il augmentera certainement lorsque Crésus disposera de locaux plus vastes et plus fonctionnels. Au cours de cette année 2011, nous avons resserré nos relations avec nos partenaires publics traditionnels, et nous avons développé de nouveaux partenariats sous forme d ateliers, de séminaires, de conférences et de participation à des manifestations diverses en lien avec la lutte contre le surendettement. Les projets En 2012, Crésus se propose tout d abord de finaliser l aménagement et la mise en service des nouveaux locaux situés près de la gare de Lyon, et donc de renforcer ses capacités d action. Parallèlement, nous améliorerons notre implantation géographique, en ouvrant progressivement de nouvelles permanences dans les départements de la région Ile-de-France où nous ne sommes pas encore présents. Enfin, nous continuerons à développer de nouveaux services, notamment en renforçant les actions menées en partenariat en matière de lutte contre la précarité énergétique et en faveur de l éducation budgétaire et bancaire.

5 Accompagner les personnes surendettées. Comment? Jusqu où? Je Conférence-débat organisée par Crésus Ile-de-France Paris (CIFP) Mardi 26 juin 2012 de 14 h 15 à 18 h 00 Mairie du 18 e arrondissement 1, place Jules-Joffrin - Paris Programme 14h15: Accueil des participants. 14h30: Ouverture des travaux par Madame Olga Trostiansky, Adjointe au Maire de Paris chargée de la solidarité, de la famille et de la lutte contre l exclusion. Présentation de la conférence par Jean Beaujouan, président de CIFP. 15h00: Les personnes surendettées : qui sont-elles? Comment vivent-elles cette situation? Comment les accompagner? Présentation des entretiens réalisés en 2012 par des étudiants de Sciences-Po Paris avec des personnes surendettées. Témoignage de personnes surendettées, d un accompagnant de Crésus et d un travailleur social de la DASES. Débat avec la salle. 16h00: La relation avec la banque, une épreuve pour les clients fragiles. Intervention de Jeanne Lazarus, sociologue chargée de recherche au CNRS, auteure de «L épreuve de l argent». Banques, banquiers, clients, Calmann-Levy, h30: L «illettrisme de l argent» : quelles solutions pour aider ceux qui veulent en sortir? Promouvoir l éducation budgétaire et bancaire en France, synthèse des travaux réalisés par une autre équipe d étudiants de Sciences Po en Témoignages d usagers et d intervenants participant à l action éducative budgétaire et bancaire conduite par Crésus. Débat avec la salle. 17h30: Conclusion suivie d un cocktail. INSCRIPTION gratuite à l adresse suivante : cresus.ape@gmail.com ou au Merci de bien vouloir nous communiquer vos : Nom, prénom, téléphone, institution de rattachement ou votre profession (et votre adresse courriel si vous vous inscrivez par téléphone)

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