MEDEF Actu-Eco. Semaine du 25 au 29 mars 2013 n 113 SOMMAIRE. 1. Croissance du PIB en 2012 : stagnation en moyenne annuelle, -0,3% en cours d année
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- Jean-Luc Labbé
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1 MEDEF Actu-Eco Semaine du 25 au 29 mars 2013 n 113 SOMMAIRE FRANCE 1. Croissance du PIB en 2012 : stagnation en moyenne annuelle, -0,3% en cours d année 2. Situation des entreprises en 2012 : nouvelle baisse du taux de marges, et plus encore du taux d autofinancement 3. Situation des ménages en 2012 : recul de -0,4% du pouvoir d achat des revenus, baisse de l épargne 4. Comptes publics en 2012 : dérapage du déficit (-4,8% du PIB) et de la dette (90,2%) par rapport aux objectifs 5. Demandeurs d emploi en février 2013 : , soit sur un an 6. Moral des ménages en mars 2013 : accentuation des préoccupations concernant les perspectives de niveau de vie et du chômage INTERNATIONAL 7. Tendances récentes des marchés * * * 1 MEDEF Actu-Eco semaine du 25 au 29 mars 2013
2 1 Croissance du PIB en 2012 : stagnation en moyenne annuelle, -0,3% en cours d année * Les résultats détaillés des comptes nationaux trimestriels publiés par l INSEE mettent en évidence un recul du PIB de - 0,3% au 4 ème trimestre 2012, après +0,2% au 3 ème, et -0,1% chacun des deux trimestres précédents, soit un glissement de -0,3% entre fin 2011 et fin En moyenne annuelle, le PIB a stagné en 2012 (+1,7% en 2011). Il est tout juste à son niveau de son niveau de * En termes de production de branches, les comptes font apparaître une forte contraction dans l industrie et le BTP fin 2012, et une stagnation dans les services marchands. Sur l ensemble de l année 2012, la production manufacturière s est contractée de -2,3%. En revanche, l activité a continué de croître dans la construction et les services principalement marchands à un rythme ralenti par rapport à Evolution en euros constants (%) 2012 T T Industrie manufacturière +0,9-2,3 +3,2-2,3 Construction 0,0-0,8 +1,5 +1,3 Services principalement marchands, dont : +0,3 +0,1 +2,4 +0,6 Commerces +0,5-0,3 +3,0 +0,2 Transport 0,0 +0,5 +3,2 +0,2 Services aux entreprises +0,3-0,3 +4,1 +0,4 Hébergement-restauration +0,1 +0,1 +1,1-1,1 * En termes de composantes, au-delà des évolutions trimestrielles, il apparaît un caractère assez exceptionnel de l année 2012, avec une inertie de la demande intérieure, et un soutien de la demande étrangère. Evolution en euros constants (%) 2012 T T PIB +0,2-0,3 +1,7 0,0 Consommation des ménages +0,1-0,1 +0,2-0,1 Investissement total -0,4-0,8 +3,5 0,0 Entreprises -0,6-0,8 +5,1-0,5 Ménages (logement) -0,1-0,9 +3,2 +0,4 Administrations -0,2-0,8-1,8 +0,2 Exportations (biens et services) +1,0-0,6 +5,5 +2,5 Importations (biens et services) -0,2-1,2 +5,2-0,3 Contributions: Demande interne hors stocks +0,1-0,1 +0,9 +0,3 Variations de stocks -0,2-0,4 +0,8-1,0 Commerce extérieur +0,3 +0,2 0,0 +0,7 A noter : la forte contribution des échanges extérieurs à la «croissance» de 2012, plus qu annihilée par les variations de stocks (déstockage). 2 MEDEF Actu-Eco semaine du 25 au 29 mars 2013
3 2 Situation des entreprises en 2012 : nouvelle baisse du taux de marges, et plus encore du taux d autofinancement * Selon les résultats détaillés des comptes nationaux trimestriels, la valeur ajoutée des sociétés non financières a baissé de -0,1% au 4 ème trimestre Compte tenu de l augmentation des rémunérations et des impôts sur la production, la marge brute des sociétés non financières a chuté de -1,9%, d où une baisse du taux de marge à 27,7% de la valeur ajoutée, après 28,2% au 3 ème trimestre. Ratios d exploitation des sociétés non financières % VA Rémunérations dont salaires et traitements bruts Marge brute (EBE) dont profit brut T1 68,5 51,7 27,7 25,0 2012T2 68,2 51,5 27,9 25,3 2012T3 67,9 51,2 28,2 25,6 2012T4 68,2 51,4 27,7 25, ,5 48,9 31,8 28, ,0 49,3 31,4 26, ,8 50,8 29,1 24, ,8 50,8 30,0 25, ,8 51,2 28,5 25, ,2 51,4 27,9 25,2 / (1) Profit distribuable avant impôt (autofinancement+ revenus distribués + impôts directs) En moyenne annuelle, le taux de marge s établit à 27,9% de la valeur ajoutée en 2012, soit 0,4 point de moins que celui de 2011 et 3,9 points de moins que celui de 2007, avant la crise. C est le résultat de gains de productivité nuls, alors que les salaires par tête ont progressé. * La remontée des rémunérations dans la valeur ajoutée au 4 ème trimestre fait suite à deux trimestres de repli. La moyenne 2012 dépasse encore de 0,4 point de valeur ajoutée celle de 2011, et de 3,6 points celle de Toujours en 2012, les salaires bruts versés ont représenté 51,4% de la valeur ajoutée, contre 51,2% en 2011 et 48,9% en * En euros courants, l EBE moyen 2012 est en recul sur celui de 2011 (-0,9%) Il reste inférieur de quelque 8% à son niveau de Dans le même temps, les rémunérations (chargées) ont augmenté de plus de 11%, soit 2 fois plus vite que la valeur ajoutée. * Dans l industrie manufacturière, le modeste redressement du taux de marge au 4 ème trimestre 2012 n a pas empêché une nouvelle baisse de ce dernier de 21,6 à 21% de la valeur ajoutée entre 2011 et 2012 (28,4% en 2007). En niveau absolu, les marges des branches manufacturières sont inférieures de -1,8% à leur niveau de 2011 et de -33% à celui de MEDEF Actu-Eco semaine du 25 au 29 mars 2013
4 36 32 Excédent brut d'exploitation / valeur ajoutée(%) 33,1 sociétés non financières 31,8 30, ,5 Taux d'autofinancement des sociétés non financières (épargne brute / investissements, %) 28 28,4 27, branches manufacturières 21, ,1 * Le redressement de l épargne brute des sociétés (autofinancement) au 2 ème et au 3 ème trimestre a fait place à un recul de -8,8% au dernier trimestre Elle a baissé de -1,3% entre 2011 et 2012, et de -16,8% depuis Les investissements des sociétés ont baissé de -0,6% au 4 ème trimestre, et le taux d investissement s est établi à 19,9% de la valeur ajoutée. En moyenne annuelle, ils ont progressé de +1,4% en 2012, dépassant de 7,2% leur niveau de * Chute du taux d épargne brute et stabilité du taux d investissement au 4 ème trimestre expliquent la forte baisse du taux d autofinancement de 68,1 à 62,4% entre le 3 ème et le 4 ème trimestre Son niveau moyen de 2012 (65,1%) est inférieur de 1,8 point à celui de 2011, et de 19 points à celui de % valeur ajoutée (sociétés non financières) Epargne brute (A) Investissements (B) Taux d'autofinancement (A/B) 2012T1 12,9 20,2 63,8 2012T2 13,4 20,2 66,2 2012T3 13,6 20,0 68,1 2012T4 12,4 19,9 62, ,6 19,7 84, ,9 20,2 68, ,8 18,3 75, ,6 19,2 81, ,5 20,1 66, ,1 20,1 65,1 4 MEDEF Actu-Eco semaine du 25 au 29 mars 2013
5 3 Situation des ménages en 2012 : recul de -0,4% du pouvoir d achat des revenus, baisse de l épargne * Les résultats détaillés des comptes nationaux trimestriels mettent en évidence une baisse du revenu disponible brut (RDB) des ménages au 4 ème trimestre 2012 (-0,5% en valeur), pour la première fois depuis le 1 er trimestre La progression de la masse salariale (+0,3%) et des prestations sociales (+0,9%) a été plus que compensée par la forte hausse des impôts sur le revenu et le patrimoine (+7%), liée notamment aux mesures votées pour augmenter le rendement de l impôt sur le revenu en 2012, ainsi qu à la contribution exceptionnelle des redevables de l ISF en toute fin d année. Compte tenu de la hausse des prix des dépenses de consommation (+0,3%), le pouvoir d achat du RDB s est contracté de -0,8% au 4 ème trimestre 2012, après avoir stagné au 3 ème trimestre. * Sur l ensemble de l année 2012, le RDB a progressé de +1,3% en euros courants (+2,6% en 2011). Les salaires versés se sont accrus de +1,8% et les prestations sociales de +3,7%. Dans le même temps, les impôts sur le revenu et le patrimoine ont augmenté de +10%. +10 Evolution (%, valeur) +10, , ,7 +3,2 +2,6 +2,9 +3,2 +2,0 +2,3 +1,8 +1,3 +2,8 +2,1 +1,7 +1,1 0 RDB Salaires bruts versés Prestations sociales Impôts sur le revenu et le patrimoine Prix à la consommation Compte tenu d une inflation +1,7%, le pouvoir d achat du RDB a baissé de -0,4% (+0,5% en 2011 et +0,9% en 2010), première baisse depuis Par unité de consommation 1, le RDB s est contracté en pouvoir d achat de -1% en 2012, après -0,1% en 2011 et +0,2% en Système de pondération attribuant un coefficient à chaque membre d un ménage et permettant de comparer les niveaux de vie de ménages de tailles ou de compositions différentes. Avec cette pondération, le nombre de personnes est ramené à un nombre d'unités de consommation (UC). L'échelle actuellement la plus utilisée retient la pondération suivante : 1 UC pour le premier adulte du ménage ; 0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus ; 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans. 5 MEDEF Actu-Eco semaine du 25 au 29 mars 2013
6 Cette baisse du pouvoir d achat du RDB recouvre une hausse de +2% du pouvoir d achat des prestations sociales et de +0,1% du pouvoir d achat salarial (+0,2% dans les sociétés non financières). Le pouvoir d achat du salaire moyen par tête a augmenté davantage étant donné la contraction des effectifs. * Depuis 2007, les revenus des ménages ont continué de progresser plus vite que la production : le PIB en volume est tout juste à son niveau de 2007, alors que le RDB en pouvoir d achat le dépasse de 2,6% en 2012 (de 3,2% pour les salaires versés et de 12,3% pour les prestations sociales). Evolution du pouvoir d achat (indice base 100 en 2007) RDB Salaires bruts versés Prestations sociales PIB ,4 100,3 100,5 99, ,6 101,1 106,8 96, ,5 102,3 109,0 98, ,0 103,1 110,2 100, ,6 103,2 112,3 100,1 * La contraction du pouvoir d achat du RDB en 2012 (-0,4%) a donc été plus importante que celle de la consommation des ménages (-0,1%). Ces derniers ont puisé dans leur épargne pour essayer de la maintenir. Leur taux d épargne a de fait baissé de 16,2% du RDB en 2011 à 16% en Plus significatif dans cette perspective, le taux d épargne financière (42% de l épargne totale), c est-à-dire hors logement, est tombé de 7,1% à 6,7%. Il reste que dans les deux cas, le taux d épargne est supérieur à sa moyenne Ce qui représente une marge de manœuvre potentielle pour amortir l impact sur la consommation d une poursuite éventuelle de la baisse du pouvoir d achat. 16,5 16,0 Taux d'épargne des ménages (% du RDB) 16,0 8,0 Taux d'épargne financière des ménages (% du RDB) 7,5 7,0 15,5 6,5 6,7 15,0 Moyenne ,0 5,5 Moyenne ,5 5,0 14,0 4,5 6 MEDEF Actu-Eco semaine du 25 au 29 mars 2013
7 4 Comptes publics en 2012 : dérapage du déficit (-4,8% du PIB) et de la dette (90,2%) par rapport aux objectifs * La première évaluation des comptes nationaux des administrations publiques pour l année 2012, que vient de publier l INSEE, correspond à celle notifiée à la Commission européenne, et est susceptible de modifications ultérieures. Elle témoigne d un dérapage des ratios de déficit et de dette par rapport aux objectifs. milliards d'euros % PIB évolution (%) dépenses, dont: 1118,5 1151,1 55,9 56,6 +2,1 +2,9 fonctionnement 379,1 388,5 18,9 19,1 +0,5 +2,5 rémunérations 262,7 267,7 13,1 13,2 +1,3 +1,9 intérêts 55,5 55,1 2,8 2,7 +9,5-0,7 prestations sociales 510,8 528,7 25,5 26,0 +3,1 +3,5 investissements 62,7 63,7 3,1 3,1 +3,8 +1,7 recettes, dont: 1012,7 1052,3 50,6 51,7 +5,7 +3,9 PO, dont : 874,4 913,1 43,7 44,9 +5,1 +4,4 impôts 533,9 562,2 26,7 27,6 +7,6 +5,3 cotisations sociales 336,5 346,4 16,8 17,0 +4,1 +2,9 déficit public notifié -105,4-98,2-5,3-4,8-24,2-6,8 dette publique notifiée 1716,9 1833,8 85,8 90,2 +6,4 +6,8 * En effet, à la fin du quatrième trimestre 2012, le déficit public atteignait -98,2 milliards d euros, soit -4,8% du PIB, contre -4,5% prévu. Par ailleurs, le déficit 2011 a été légèrement revu à la hausse (5,3% du PIB au lieu de 5,2%). La diminution du déficit en 2012 tient essentiellement à celle de l Etat, de -87,7 à -80 milliards d euros, et des administrations de sécurité sociale (de -14 à -13,1 milliards). Celui des administrations territoriales s est creusé de -1,5 à -3,1 milliards d euros. Dépenses et recettes ont augmenté plus vite que le PIB. - Tous les postes de dépenses ont vu leur croissance s accélérer, à l exception des investissements qui ont ralenti, et des charges d intérêt qui ont reculé, en dépit de l augmentation de la dette, grâce à la baisse des taux. Les rémunérations ont augmenté de +1,9% (+1% pour celles versées par l Etat et +3,1% pour celles versées par les collectivités territoriales), et les prestations sociales de +3,5% (+3,8% pour les seules prestations en espèces). 7 MEDEF Actu-Eco semaine du 25 au 29 mars 2013
8 - La croissance des recettes s est au contraire modérée (+3,9% après +5,7% en 2011, et +4,4% après +5,1% pour les seuls prélèvements obligatoires). Près de la moitié de la hausse des recettes est imputable à celle des impôts sur le revenu et le patrimoine (+8,4%, soit +18,8 milliards d euros, dont 8,8 milliards au titre de l IR et 3,1 milliards au titre de la CSG). En revanche, les impôts sur les produits et la production ont ralenti, y compris les recettes de TVA, malgré le relèvement du taux réduit de 5,5% à 7% au 1 er janvier Dans le même temps, les cotisations sociales ont également ralenti, la hausse mécanique liée à la suppression de l exonération des heures supplémentaires ayant été plus que compensée par la progression plus modérée de l assiette (baisse de l emploi, ralentissement du salaire moyen). * Au total, la dette publique s est accrue de +116,9 milliards d euros (dont 104,6 milliards d euros pour la dette de l Etat qui atteint désormais 1440 milliards d euros), pour atteindre 1833,8 milliards d euros à la fin du quatrième trimestre 20112, soit 90,2% du PIB (85,8% en 2011), contre une prévision de 89,9%. 8 MEDEF Actu-Eco semaine du 25 au 29 mars 2013
9 févr.-96 févr.-97 févr.-98 févr.-99 févr.-00 févr.-01 févr.-02 févr.-03 févr.-04 févr.-05 févr.-06 févr.-07 févr.-08 févr.-09 févr.-10 févr.-11 févr.-12 févr Demandeurs d emploi en février 2013 : , soit sur un an * Le nombre de demandeurs d emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A (sans emploi) en France métropolitaine a poursuivi sa progression en février 2013, mais de façon moins marquée qu au mois précédent : (+0,6%), après en janvier (augmentation imputable pour moitié à la modification des règles de radiations administratives). En hausse pour le 22 ème mois consécutif, le nombre de demandeurs d emploi s est ainsi élevé à , plus haut niveau depuis juin 1997 (pic historique à en janvier 1997). Le nombre atteint ( ) en y ajoutant les personnes en activité réduite (catégories B et C) Demandeurs d'emploi de la catégorie A (milliers, données CVS) 3 187, * Entre février 2012 et février 2013, le nombre de demandeurs d emploi s est accru de +10,8%, soit personnes, plus forte hausse depuis janvier Par sexe, cette hausse a été plus marquée chez les hommes (+12%, soit ) que chez les femmes (+9,6% soit ). Le nombre de demandeurs de sexe masculin a ainsi atteint un niveau historiquement élevé ( ). Par tranche d âge, la hausse a été de +10% chez les moins de 25 ans ( personnes), de +9,2% chez les ans ( ), et de +16,6% chez les 50 ans et plus ( ). Le nombre de Source : Dares 9 MEDEF Actu-Eco semaine du 25 au 29 mars 2013 demandeurs d emploi de cette dernière catégorie va de record en record ( ). Par région (données brutes), cette hausse recouvre des disparités allant de +8,8% en Basse-Normandie à +15,1% en Franche-Comté (+7,2% dans les Départements d Outre-Mer). A noter : 9 des 22 régions françaises enregistrent un nombre de demandeurs d emploi historiquement élevé (Alsace, Aquitaine, Bretagne, Centre, Franche-Comté, Languedoc-Roussillon, Limousin, Lorraine, Midi-Pyrénées).
10 mars-07 septembre-07 mars-08 septembre-08 mars-09 septembre-09 mars-10 septembre-10 mars-11 septembre-11 mars-12 septembre-12 mars-13 mars-07 septembre-07 mars-08 septembre-08 mars-09 septembre-09 mars-10 septembre-10 mars-11 septembre-11 mars-12 septembre-12 mars-13 mars-07 juillet-07 novembre-07 mars-08 juillet-08 novembre-08 mars-09 juillet-09 novembre-09 mars-10 juillet-10 novembre-10 mars-11 juillet-11 novembre-11 mars-12 juillet-12 novembre-12 mars-13 6 Moral des ménages en mars 2013 : accentuation des préoccupations concernant les perspectives de niveau de vie et du chômage * L indicateur synthétique de confiance des ménages s est légèrement dégradé en mars 2013, retrouvant son niveau de novembre Il reste très inférieur à sa moyenne de longue période. 110 Indicateur synthétique de confiance des ménages Moyenne * Dans le détail, les ménages sont de plus en plus pessimistes concernant leur niveau de vie futur. En effet, le solde d opinion correspondant est à un niveau historiquement bas (début de la série en 1972). En particulier, leur opinion sur leur situation financière future s est repliée. Par ailleurs, ils sont plus nombreux qu en février à anticiper une augmentation du chômage. Le solde d opinion se rapproche de son point haut de mai Perspectives d'évolution du niveau de vie (solde d'opinion, points) Moyenne Perspectives d'évolution du chômage (solde d'opinion, points) Moyenne MEDEF Actu-Eco semaine du 25 au 29 mars 2013
11 7 Tendances récentes des marchés 2,4 2,2 2,0 1,8 1,6 1,4 Taux de rendement des obligations d'etat à 10 ans (%) France Allemagne 2,02 6,0 5,5 5,0 4,5 Taux de rendement des obligations d'etat à 10 ans (%) Espagne 5,08 4,69 1,2 1,24 4,0 Italie 111 Indices boursiers (100 = 2011) 109 SBF CAC 40 1,38 1 euro =... dollar 1,36 1,34 1,32 1, ,28 1,26 1, Prix du baril de pétrole brut Mer du Nord (brent) 220 Cours des matières premières hors pétrole et métaux précieux (100 = 1988) 110 dollars 109, dollars euros 85, euros Rédaction achevée le 29 mars MEDEF Actu-Eco semaine du 25 au 29 mars 2013
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