I - METHODOLOGIE. Objectif. Le choix des enjeux. Cinq groupes de travail

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "I - METHODOLOGIE. Objectif. Le choix des enjeux. Cinq groupes de travail"

Transcription

1

2 I - METHODOLOGIE Objectif Le Document Général d Orientations (D.G.O.) est le document de référence pour programmer et mettre en œuvre la politique locale de sécurité routière dans le département de l Isère pour les 3 prochaines années. Il permet, dans le cadre d une démarche partenariale entre l Etat, le Conseil général, les assureurs sociaux, et les principales communes et groupements de communes, les associations, de définir les enjeux et les actions prioritaires à mettre en œuvre ensemble ou séparément, pour lutter contre l insécurité routière. Ce document sert ainsi de base à l élaboration annuelle du Plan Départemental d Actions de Sécurité Routière (P.D.A.S.R.) qui valide et soutient les projets d actions des différents partenaires, (collectivités, associations). Le choix des enjeux Le Conseil Interministériel de Sécurité routière du 13 février 2008 a fixé comme objectif d ici 2012 de faire passer en dessous de 3000 le nombre de tués par an, ce qui correspond au seuil de 60 tués pour notre département contre encore 85 pour l année Il a aussi retenu les 4 enjeux nationaux suivants : les jeunes de moins de 25 ans les deux-roues motorisés l alcool la vitesse En Isère, l étude d enjeux réalisée par la DDE à partir de l exploitation des données d accidents corporels entre 2005 et 2008 (années homogènes par rapport à la nouvelle définition des tués et blessés) a permis de valider ces enjeux nationaux et de retenir un 5 e enjeu : les modes de déplacement doux et les seniors, en raison de la forte implication des usagers vulnérables non motorisés en agglomération. Cinq groupes de travail Cinq groupes de travail ont été constitués pour procéder à l approfondissement de chaque enjeu. Chaque groupe était composé d un animateur particulièrement concerné par l enjeu et d une dizaine de personnes issues de collectivités locales, associations, Etat, Conseil général, professionnels de l automobile, assureurs sociaux, Les orientations d actions pour chaque enjeu sont à rechercher dans différents domaines : infrastructures éducation formation information contrôle et sanction DGO

3 II - ETUDE D ENJEUX 1 - CHIFFRES DÉPARTEMENTAUX Présentation du département de l Isère La superficie du département est de 7431 km 2. Sa population (source INSEE 2007) est de habitants. Le département de l Isère présente une géographie contrastée : paysage de plaines dans la partie Nord, montagnes et vallées dans les massifs du Vercors, Chartreuse, Belledonne et Oisans ; des zones rurales mais aussi d importantes agglomérations autour de Vienne, Bourgoin et Grenoble. Le réseau routier est constitué au 1 er janvier 2006 de : 246 km d autoroutes 123 km de routes nationales 5112 km de routes départementales km de voies communales Les principales communes (source INSEE 2007) sont : Grenoble habitants Saint-Martin-d'Hères habitants Echirolles habitants Vienne Bourgoin-Jallieu habitants Fontaine habitants Voiron habitants Villefontaine habitants Meylan habitants L'Isle-d'Abeau habitants St Egrève habitants Les communautés d'agglomération sont les suivantes : Grenoble Alpes Métropole (METRO) Porte de l'isère Pays Voironnais Pays Viennois (comprenant Saint-Romain-en-Gal dans le Rhône) 2 DGO

4 Accidents entre 2005 et 2008 Les synthèses des études préalables ont permis le choix et l approfondissement des enjeux. Données générales sur l accidentologie du département Les années 2005 à 2008 ont été retenues car ces années sont homogènes par rapport à une nouvelle définition des tués et blessés, intervenue au 1 er janvier 2005, et en raison des importantes vérifications et corrections des données effectuées ces 3 années par l observatoire de Sécurité routière de la DDE. Accidents (1) Accidents Graves On dénombre ainsi en moyenne chaque semaine : 20 accidents dont 11 graves ; 2 tués. Accidents Mortels Tués (1) Blessés Hospitalisés (1) Blessés non Hospitalisés (1) Période (1) Depuis le 1er janvier 2005, la définition des victimes d accidents corporels a été harmonisée avec nos voisins européens : - est recensé comme tué la personne qui décède sur le coup ou dans les trente jours qui suivent l accident de la route - les victimes hospitalisées plus de 24 heures sont dénommées blessés hospitalisés (anciennement blessés graves), les victimes hospitalisées moins de 24 heures sont appelées blessés non hospitalisés (anciennement blessés légers) DGO

5 L évolution de l accidentologie du département par rapport à celle de la France, entre 2005 et 2008 : En Isère : En France : - 21,8 % d accidents - 11,9 % d accidents - 5,0 % de tués - 19,6 % de tués - 8,4 % de blessés hospitalisés - 12,2 % de blessés hospitalisés - 32,1 % de blessés légers - 13,8 % de blessés légers Le département de l Isère enregistre une baisse plus marquée qu au niveau national du nombre des accidents ainsi que de celui des blessés légers. En revanche, le nombre de tués et de blessés hospitalisés n évoluent pas aussi favorablement qu au niveau national. Le département montre donc un bilan contrasté comparé aux données nationales. Il convient de noter que la légère baisse du nombre de tués en Isère conjuguée à une baisse assez nette du nombre d accidents, a pour effet d augmenter l indice de gravité des accidents. (2) : Indice de gravité des accidents = nombre de tués pour 100 accidents Rappel - Le tragique accident d un autobus dans la descente de Laffrey le 22 juillet 2007 a provoqué le décès de 26 personnes et l hospitalisation de 24 autres dont 12 en urgence absolue. 4 DGO

6 L analyse des 4218 accidents montre en particulier : Un indice de gravité de 8,4 contre 5,7 au niveau national. Les accidents ont lieu : Les accidents se produisent principalement dans 57 % des cas en ville à la suite des manœuvres suivantes : 69 % le jour 22 % de dépassements 21 % en intersection 19 % de tournes à gauche Les types de collisions répertoriées sont les suivantes : 31 % de collisions latérales, 16 % frontales et 10 % par l arrière. Les données accidents montrent que : l impact des conditions météorologiques n est pas déterminant : 82 % des accidents ont lieu dans des conditions atmosphériques normales ; certains jours concentrent une accidentologie plus marquée : 30 % des accidents se sont produits les samedis et dimanches ; un défaut de maîtrise des véhicules conduit dans 18 % des accidents à une sortie de route. Relativement à leur poids dans la population, 3 classes d âge se trouvent surexposées au risque routier : les ans sont les plus exposés, puis viennent les ans et les 65 ans et plus (cf. graphe ci-dessous). DGO

7 Les accidents mortels Les accidents mortels se produisent pour : 71 % hors agglomération 52 % de jour 39 % le samedi et dimanche Les accidents mortels reculent de 5 % entre 2005 et 2008 en Isère alors qu'ils baissent de 20 % en France. Les automobilistes sont les plus impliqués dans les accidents mortels, ce qui est en corrélation avec le poids du parc automobile. Les accidents mortels des deux-roues motorisés (motos, cyclomoteurs, scooters) représentent 20 % des accidents mortels entre 2005 et Parmi eux, les motos qui représentent seulement 1 % du trafic routier sont impliquées dans 18 % des accidents mortels. Quant aux accidents mortels de piétons et de cyclistes, ils représentent 16 % des accidents mortels entre 2005 et DGO

8 Les accidents avec alcool On recense 378 accidents avec alcool au cours des 4 années de référence. En Isère l'alcool est en cause dans 9,5 % des accidents, mais a des répercussions graves avec 25 % des tués et 13 % des blessés hospitalisés. L'alcool est un facteur d'aggravation de l'insécurité routière, qui parfois se conjugue avec la consommation de stupéfiants. De plus, la prise d'alcool est bien souvent délictuelle, avec des taux supérieurs à 0.80 g/l de sang. Les accidents avec alcool se produisent surtout la nuit hors agglomération et en fin de semaine, avec une gravité très élevée, plus de deux fois supérieure à celle du département. DGO

9 Les accidents avec véhicule seul et sans piéton Ils représentent 17 % des accidents et 42 % des tués. 730 accidents se sont produits avec véhicule seul sans piéton, dont une majorité de VL impliqués (71 %), puis viennent les motos (17 %) et les cyclomoteurs (6 %). Ils ont lieu principalement hors agglomération (71 %). Ils se sont produits souvent sur une chaussée normale (71 %) et dans 18 % des cas sur route mouillée. Les conditions de luminosité sont partagées à part égale entre le jour (52 %) et la nuit (48 %). La fin de semaine (samedi et dimanche) regroupe 43 % des accidents avec véhicule seul sans piéton. Dans 23 % des cas l'alcoolémie est positive. L'indice de gravité est très élevé : DGO

10 ACCIDENTS MORTELS POUR LA PÉRIODE 2005 À 2008 DGO

11 2 - APPROFONDISSEMENT DES ENJEUX Enjeux jeunes de 15 à 24 ans Les jeunes de 15 à 24 ans constituent la catégorie d'usagers la plus exposée au risque routier. Ils représentent 14 % de la population iséroise, mais 29 % des tués et 30 % des blessés, et sont impliqués dans 46 % des accidents. Les caractéristiques et problématiques de déplacements sont différentes selon les sous-classes d'âge suivantes : à l'âge du secondaire (de 15 à 17 ans) et à l'âge de la majorité (de 18 à 24 ans). Les jeunes de 15 à 17 ans Ils représentent 11 % des accidents, mais ont une part limitée dans l'accidentologie de l'enjeu. Ils sont toutefois à la période de la vie où s'acquièrent des réflexes de déplacement sur la voie publique. Le jeune impliqué dans un accident est dans 52 % des cas un conducteur. Lorsqu'il est conducteur, il est généralement au guidon d'un deux-roues (dans 96 % des cas), et essentiellement d'un cyclomoteur (4 fois sur 5). Lorsqu'il est impliqué dans un accident, il risque une fois sur deux de l'être dans un accident grave (tué ou blessé hospitalisé). Les jeunes de 18 à 24 ans Ils représentent 39 % des accidents du département. Dans 9 cas sur 10, le jeune est conducteur. Quand il est conducteur, c'est 3 fois sur 4 au volant d'un véhicule léger. Cette classe d'âge est impliquée dans 30 % des tués dans un accident avec alcool. 10 DGO

12 DGO

13 Enjeu deux-roues motorisés Points marquants des accidents de deux-roues motorisés Les deux-roues motorisés se caractérisent par une extrême vulnérabilité, par un fort pouvoir d'accélération et par des vitesses pratiquées élevées. Cette catégorie de véhicules représente une part très faible du trafic, mais elle est impliquée dans 30 % des accidents et 20 % des tués en Isère. L'indice de gravité des accidents de deux-roues motorisés est plus élevé qu'au niveau national : 5.7 contre 3.6. Les cyclomoteurs (véhicules de cylindrée inférieure à 50 cm 3 et dont la vitesse réglementaire est limitée à 45 km/h) L'indice de gravité des accidents de cyclomoteurs en Isère est supérieur à l'indice national (Isère : 3.3, France : 2.2). 68 % des conducteurs accidentés de cette catégorie avaient entre 14 et 20 ans. Près de 80 % circulaient en agglomération. Dans 91 % des cas l'accident correspond à une collision avec un autre véhicule. Les collisions frontales ou par le côté représentent 70 % de ce type d'accident. Les motos (véhicules de cylindrée supérieure à 50 cm 3 ) Les motos restent largement surexposées au regard du poids qu'elles représentent dans le trafic, évalué à 1 %, alors que les accidents de motos ont entraîné 16 % des tués. L'indice de gravité des accidents de motos en Isère est nettement supérieur à l'indice national (Isère : 7.3, France : 4.7). 60 % circulaient principalement en agglomération. La part des collisions latérales est de 45 % et celle des collisions frontales de 18 %. En Isère, les accidents de motos, sans collision avec un autre véhicule, représentent 16 % des accidents de motos, mais plus d'un tiers des tués en motos. 12 DGO

14 DGO

15 Enjeu alcool La présence d'alcool dans les accidents est un facteur de surmortalité importante. 25 % de l'ensemble des tués le sont dans des accidents de cette nature alors qu'ils ne totalisent que 9,5 % des accidents du département, et dans 9 cas sur 10 le conducteur en cause est fortement alcoolisé (taux d'alcool supérieur à 0.8 g par litre de sang, soit en situation délictuelle). Ces accidents se produisent surtout la nuit (67 % ) et les week-ends et jours fériés (55 %). Ils ont lieu principalement en rase campagne (64 %). La part des conducteurs alcoolisés dans le total des conducteurs accidentés (cf graphique ci-contre) montre une prépondérance chez les conducteurs de VL. Les conducteurs âgés de 18 à 24 ans sont présents dans 27 % des accidents avec alcool, et les conducteurs âgés de 25 à 44 ans dans 50 %. Parmi les accidents avec alcool, ceux sans collision avec un autre véhicule représentent 45 % du total, et ont fait plus de la moitié des tués. L'alcool au volant est un comportement essentiellement masculin : dans 93 % des cas, le conducteur est un homme. Pour 2008, le pourcentage d'alcoolémie positive lors des contrôles effectués par les forces de l'ordre était de 3.5 %. 14 DGO

16 DGO

17 Enjeu vitesse La vitesse excessive est un des principaux facteurs d'accidents. Une étude nationale a conclu que 10 % de vitesse en moins c'est 40 % d'accidents mortels en moins. En 2008, en Isère, les forces de l'ordre attribuent à la vitesse près de 20 % des accidents mortels (défaut de maîtrise du véhicule, sortie de route). La lutte contre la violence routière inscrite dans la loi du 12 juin 2003, a entraîné un contrôle renforcé des vitesses des véhicules au moyen de radars automatiques fixes et mobiles installés sur les principaux axes routiers et autoroutiers du département (en tenant compte des zones d'accumulation d'accidents, des aménagements programmés et du principe d'un contrôle toutes les heures sur les grands axes) : L'étude des données des 23 radars fixes et des 16 radars mobiles en service depuis 2004 fait ressortir une évolution à la baisse des infractions à la vitesse constatées (- 16 % pour les radars fixes et - 10 % sur les radars mobiles entre 2008 et 2007). La répartition des infractions à la vitesse constatées depuis 2004 montre que plus de 90 % sont des dépassements inférieurs à 20 km/h et environ 1 % supérieurs à 40 km/h. Les gestionnaires routiers disposent de stations de comptage du trafic qui permettent aussi d'enregistrer les vitesses. Le choix s'est porté sur 8 stations réparties dans le département à des endroits particuliers liés à l'intensité du trafic et à leur répartition géographique. Les analyses effectuées sur ces sites au cours des 5 dernières années permettent ainsi d'apprécier l'évolution de la vitesse des automobilistes sur ces secteurs, et ne montrent pas une tendance généralisée à la baisse. Mais on note néanmoins sur la moitié des sites une baisse significative de 5 à 10 %. La société AREA a de son côté mis en place un observatoire des vitesses sur les autoroutes concédées du département. Entre 2006 et 2009, il ressort une forte stabilité de la vitesse moyenne sur A 48 Grenoble - Lyon autour de 115 km/h, sur A 49 Grenoble - Valence à environ 122 km/h, et sur A 41 Grenoble - Chambéry à 124 km/h. 16 DGO

18 DGO

19 Enjeu modes de déplacements doux et seniors On note une proportion plus forte de cyclistes tués en Isère que sur l'ensemble du territoire métropolitain, soit 5 % contre 3,5 % (comparaison à relativiser au regard de la part modale représentée par les déplacements cyclables plus importante en Isère que la moyenne nationale). Par contre, on note une proportion moins forte de piétons tués en Isère que sur l'ensemble du territoire métropolitain soit 9 % contre 12 %. On constate que près du tiers des seniors tués sur la route concernent les modes de déplacements doux : 2/3 des piétons tués sont âgés de 65 ans et plus (21 sur 33) 1/3 des cyclistes tués sont âgés de 65 ans et plus (6 sur 19) Les seniors (65 ans et plus) représentent 14,4 % de la population mais 19 % des tués et 16 % des accidents. On constate également un fort indice de gravité : 9.9 chez les seniors pour 8.5 sur l'ensemble des accidents corporels de l'isère. En Isère, 60 % des accidents avec des seniors sont localisés en agglomération. L'observatoire de l'agglomération grenobloise fait ressortir les éléments suivants sur la période d'étude : 90 % des accidents de cyclistes se produisent en intersections (notamment lors de tournes à gauche ou tournes à droite) ou lors de manœuvres d'insertion une faible perception générale des cyclistes plus la pratique du vélo augmente, plus le risque de gravité diminue dans les accidents de piétons, il est constaté un niveau de risque et de gravité très élevés chez les personnes âgées un faible respect des priorités piétonnes. 18 DGO

20 DGO

21 20 DGO

22 DGO

23 22 DGO

24 III - LES ORIENTATIONS D ACTIONS 1 - FICHES D ORIENTATIONS D ACTIONS 2 - TABLEAUX SYNTHÉTIQUES DES ORIENTATIONS D ACTIONS 3 - TABLEAU RÉCAPITULATIF DES NUMÉROS DE FICHES CONCERNÉES PAR VECTEUR DGO

25 24 DGO

26 1 - FICHES D ORIENTATIONS D ACTIONS Pour chaque fiche d orientation, la liste des acteurs et partenaires n est pas définitivement figée et pourra bien évidemment se modifier dans le temps et selon les actions réalisées. Deux termes généralistes ont été employés dans les fiches qui suivent : les «forces de l ordre» désignent à la fois la police nationale, les polices municipales et la gendarmerie nationale ; les «collectivités locales» pour désigner à la fois les communes, les villes, les communautés d agglomération et le conseil général. DGO

27 FICHE D ORIENTATION D ACTIONS N 0 OA 1 Enjeu concerné : Tous. Orientation d action : Créer et animer un réseau. Objectifs poursuivis : Fédérer, impulser et donner de la cohérence à l action locale en faveur de la sécurité routière. Échanger entre les acteurs de la sécurité routière à l échelle du département de l Isère (vers un «club Sécurité routière»). Cibles : Services de l État, collectivités locales, Établissements Publics de Coopération Intercommunale (EPCI), Intervenants Départementaux de Sécurité Routière (IDSR) et enquêteurs ECPA, associations locales et entreprises. Actions pressenties : Organisation Animer et conforter les différents réseaux existants : IDSR et enquêteurs ECPA pour mener des actions ou conduire des enquêtes ; Élus communaux correspondants SR mis en place dans le cadre de la Charte signée entre l Etat et l AMI Associations pour mener des actions ; Entreprises (notamment à travers les clubs d échanges d expériences des PPR animé par la CRAM). Mettre en relation et fédérer ces différents réseaux et acteurs à travers l organisation de forums départementaux afin qu ils conduisent des initiatives et actions conjointes en cohérence avec les enjeux du présent DGO. Formation Organiser chaque année de 2 à 4 formations (d une journée) des élus correspondants Sécurité routière ; Mettre en place une formation Sécurité routière pour les techniciens des communes (ou intercommunalité) en appui des élus ; Organiser 2 formations (IDSR et ECPA) par an (renouvellement du réseau ou remise à niveau). 26 DGO

28 Acteurs : Préfecture et DDT, autres services de l Etat, CRAM. Partenaires : Communes, Conseil général, MSA, CCI. Évaluation et suivi de la mise en oeuvre de l orientation d actions : Mise en place d'un groupe de comité de suivi composé des différents acteurs et partenaires des actions prévues de réunissant au moins une fois par an pour faire le bilan des réalisations, avec notamment le : Nombre de formation mises en place dans chaque réseau et nombre de personnes formées ; Nombre de forums organisés et participation. DGO

29 FICHE D ORIENTATION D ACTIONS N 0 OA 2 Enjeu concerné : Tous. Orientation d action : Renforcer les capacités d observation par mode de déplacement et selon les territoires. Objectifs poursuivis : Mieux appréhender les causes, les circonstances et la localisation de l ensemble des accidents corporels du département ; Échanger entre les acteurs de la sécurité routière à l échelle du département de l Isère (vers un «club Sécurité routière»). Cibles : Ensemble des acteurs départementaux de la lutte contre l insécurité dont les décideurs institutionnels ; Tous publics. Actions pressenties : Organisation Confirmer le rôle de l observatoire départemental de l accidentologie locale de la DDEI en tant que responsable de la base fiabilisée des accidents (obtention des PV et des télex accidents) et pour des études et des analyses locales ; Mettre en place une commission d'analyse des accidents singuliers impliquant les deux roues motorisés (exploitant notamment les enquêtes ECPA sur les accidents mortels des deux-roues motorisés) ; Mettre en place et formaliser un échange de données entre l'observatoire départemental et la CRAM ou la MSA sur les accidents de trajet et notamment leur localisation ; Renforcer ou mettre en place l observation des accidents modes doux dans les principales agglomérations du département de l Isère ; Consolider l observatoire de la Métro (et la convention existante) et approfondir sur ce territoire des analyses spécifiques : Réalisation d études d enjeux et de diagnostic de sécurité ; Mise en place d un groupe de travail technique pour la présentation et le suivi des études d enjeux, des diagnostics sécurité et des évaluations «Avant/Après» des réalisations. 28 DGO

30 Communication sensibilisation Réalisation de synthèses communicantes (tous publics) sur les grands chiffres de l accidentologie et les diagnostics sécurité réalisés dans le cadre des observatoires de la sécurité des déplacements de chaque partenaire. Formation Lancer une formation à l amélioration de la saisie des BAAC par les forces de l ordre ; Présentation aux techniciens des communes des outils SIG disponibles (Concerto ) ; Formation des techniciens des communes pour la réalisation d études Sécurité routière. Infrastructures (aménagement ou exploitation) Mener des études d itinéraires ; Servir de fondement à l adoption du programme d implantation de radars ; Réaliser des fiches d évaluation Avant/Après (techniciens) et expérimentation sur quelques aménagements types s agissant des modes de déplacement doux. Acteurs : Préfecture et DDT, forces de l'ordre, collectivités territoriales (Métro, Conseil général, autres intercommunalités et communes etc.), Monsieur Moto. Partenaires : Chargés de missions Sécurité routière et réseau technique, CRAM ou MSA, professionnels, IDSR, enquêteurs ECPA. Évaluation et suivi de la mise en oeuvre de l orientation d actions : Mise en place d'un groupe de comité de suivi composé des différents acteurs et partenaires des actions prévues de réunissant au moins une fois par an pour faire le bilan des réalisations, avec notamment le : Taux de correction des accidents sur l ODSR (notamment géographique) Production de tableaux de bord mensuels Nombres d études d approfondissement des enjeux Nombre de formations réalisées Mise en place des groupes techniques Evaluation avant/après des aménagements Évolution de l'accidentalité deux-roues motorisés sur les axes identifiés comme prioritaires, aménagés et contrôlés en conséquence, notamment lors des réunions du Plan Départemental de Contrôles Routiers. DGO

31 FICHE D ORIENTATION D ACTIONS N 1 OA 1 Enjeu concerné : Deux-roues motorisés. Orientation d action : Identifier et développer un réseau de relais des institutions. Objectifs poursuivis : Pénétrer les structures professionnelles et associatives. Développer le partenariat préventif. Cibles : Les propriétaires des différents types de deux-roues motorisés. Actions pressenties : Organisation Constituer le réseau en recherchant et établissant la liste des cibles potentielles. Communication sensibilisation Organiser un forum deux-roues motorisés ; Identifier un espace d'échange électronique et désigner un modérateur ; Communiquer via les vecteurs institutionnels et la presse quotidienne régionale. Acteurs : Préfecture et DDEI, forces de l'ordre, Conseil général, Monsieur Moto. Partenaires : FNCRM, FFM, moto-écoles, presse spécialisée. 30 DGO

32 Évaluation et suivi de la mise en oeuvre de l orientation d actions : Mise en place d'un groupe de suivi composé des différents acteurs et partenaires des actions prévues et se réunissant une fois par an pour faire le bilan des réalisations en se basant sur : Nombre de participants au forum ; Nombre de contacts constituant le réseau ; Mise en place de l espace d échanges. DGO

33 FICHE D ORIENTATION D ACTIONS N 1 OA 2 Enjeu concerné : Deux-roues motorisés. Orientation d action : Proposer une «formation continue» aux motards. Objectifs poursuivis : Prolonger la formation initiale. Cibles : Professionnels de la moto (clubs affiliés et pirates, moto-écoles) ; Motocistes ; Tous usagers de la moto. Actions pressenties : Communication sensibilisation Réaliser une campagne de communication sur l intérêt de se maintenir à niveau dans la pratique de la moto ; Communiquer par tous canaux (vecteurs institutionnels et la presse quotidienne régionale) sur l existence des formations ou stages post permis. Formation Monter un dispositif de stages post permis en établissant un programme de formation théorique et pratique ainsi que ses modalités (périodicité des stages, inscriptions, format d'ateliers, coût etc.) ; Organiser les ateliers et identifier un espace de formation de type «plateau». Acteurs : Préfecture, DDEI, forces de l'ordre, Conseil général, M. Moto, IDSR. 32 DGO

34 Partenaires : FNCRM, FFM, moto-écoles, clubs «Moto». Évaluation et suivi de la mise en oeuvre de l orientation d actions : Mise en place d'un groupe de suivi composé des différents acteurs et partenaires des actions prévues et se réunissant une fois par an pour faire le bilan des réalisations en se basant notamment sur le nombre de participants aux formations : Réalisation du dispositif de formation ; Nombre de stagiaires ; Nombre de clubs et moto-écoles partenaires. DGO

35 FICHE D ORIENTATION D ACTIONS N 1 OA 3 Enjeu concerné : Deux-roues motorisés. Orientation d action : Sensibiliser et responsabiliser les usagers de la moto par des actions et campagnes ciblées. Objectifs poursuivis : Sensibiliser plus largement les usagers de deux-roues motorisés aux risques liés à cette pratique. Prévenir les comportements accidentogènes en responsabilisant les jeunes permis. Faire intervenir simultanément les acteurs institutionnels sur des axes spécifiques. Cibles : Les usagers des différents types de deux-roues motorisés ; Les nouveaux titulaires du permis A1 et A. Actions pressenties : Communication sensibilisation Monter des opérations de sensibilisations des usagers en présence d'institutionnels sur les axes les plus fréquentés en distinguant les trajets de loisir et les flux pendulaires et les types de deux-roues motorisés et les médiatiser. Ces opérations peuvent prendre la forme d alternatives aux poursuites. Monter chaque année une ou plusieurs cérémonies officielles de remise du permis moto (en déterminant le lieu et la fréquence des cérémonies ). Diffuser au et faire «valider» par le ministère la charte deux-roues motorisés élaborée en Isère afin d en assurer une large diffusion par ses canaux auprès de professionnels, d institutions etc. Inciter les motoécoles à monter des actions de sensibilisation (sorties pédagogiques, participation à des manifestations, etc.). Communiquer via les vecteurs institutionnels et la presse quotidienne régionale. Contrôle-sanction : Procéder à des contrôles thématiques adaptés à la cible et dans l'espace. 34 DGO

36 Acteurs : Préfecture, DDT, forces de l'ordre, gestionnaires de réseau (Conseil général, DIR, sociétés d autoroutes ), Monsieur Moto. Partenaires : Procureurs de la République, DISR. Évaluation et suivi de la mise en oeuvre de l orientation d actions : Mise en place d'un groupe de suivi composé des différents acteurs et partenaires des actions prévues et se réunissant une fois par an pour faire le bilan des réalisations en se basant sur : Nombre d opérations de sensibilisations mises en place ; Nombre d'infractions constatées ; Nombre de cérémonies organisées. DGO

37 FICHE D ORIENTATION D ACTIONS N 2 OA 1 Enjeu concerné : Les jeunes. Orientation d actions : Accentuer et renouveler le discours préventif et éducatif. Objectifs poursuivis : Intensifier la prévention grâce aux interventions des forces de l'ordre, de la PJJ et des associations agréées, par la multiplication des initiatives locales portées par les communes ; Renforcer la prise en compte de l'éducation à la Sécurité routière dans le milieu scolaire et dans le cadre des programmes scolaires ; Augmenter l'impact des actions de prévention par une plus forte médiatisation ; Mettre l'accent sur des conduites et comportements à risques : conduites addictives, deux-roues "jeunes", abords des établissements scolaires. Cibles : Toutes les catégories de jeunes à partir du primaire ; Les parents ; Jeunes en préparation du BSR. Actions pressenties : Organisation Mettre en place des actions annuelles au niveau communal en contre-partie du financement du BSR pour des personnes sélectionnées (cf. action de la ville de Saint-Martin-d'Hères) ; Mobiliser plus fortement les élus sur cette problématique, notamment par le relais des référents locaux et par des messages portés au niveau intercommunal (agglomération, communautés de communes). 36 DGO

38 Communication sensibilisation Associer les médias lors de contrôles spécifiques ; Positionner les forces de l'ordre et les polices municipales aux abords des écoles et collèges afin de sensibiliser les parents sur la nécessité de respecter la législation, notamment en matière de port de ceinture, des enfants attachés, de circulation et de stationnement... Associer les élus lors des contrôles ; Augmenter le nombre d'interventions sur les risques des conduites addictives menées par les forces de l'ordre (Centre Départemental des Stages et de la Formation de la Police Nationale, gendarmerie nationale) ; Ouvrir les lieux de conférences à d'autres institutions ou associations (MJC, IUFM ) ; Renforcer l approche de la Sécurité routière sous un angle ludique comme le permis piéton dans les écoles ; Développer les modules de sensibilisation à la conduite des deux-roues motorisés (cyclos et scooters) à l aide des simulateurs, notamment en collège. Formation Harmoniser les formations afin de tenir un discours unique. Contrôle-sanction Conduire des opérations de contrôles de la part des forces de l'ordre combinant dans un premier temps la prévention, puis la répression notamment aux abords d'établissements scolaires. Acteurs : Ministère de l'education Nationale, forces de l'ordre (centre de formations), sapeurs-pompiers, polices municipales, PJJ, communes, associations. Partenaires : Elus, médias. Évaluation et suivi de la mise en oeuvre de l orientation d actions : Mise en place d'un groupe de suivi composé des différents acteurs et partenaires des actions prévues et se réunissant une fois par an pour faire le bilan des réalisations, sur les critères suivants : Nombre d actions spécifiques BSR mises en places par les communes ; Nombre d actions de sensibilisation conduites en collèges sur les différents thèmes et nombre de classes et élèves touchés ; Nombre d actions combinées prévention répression conduites. DGO

39 FICHE D ORIENTATION D ACTIONS N 2 OA 2 Enjeu concerné : Les jeunes. Orientation d action : Prendre en compte la «survulnérabilite» de certains usagers hautement exposés du fait de leur très jeune âge et/ou de leur mode de déplacement. Objectifs poursuivis : Faire respecter le Code de la route par les plus jeunes et lutter contre le sentiment d impunité de certains Éclairer les partenaires quant à la réglementation sur les deux-roues ; Être à l'écoute des problématiques locales de sécurité routière. Cibles : Les très jeunes enfants ; Les jeunes ans (cyclistes et usagers de cyclos, scooters et quads et jeunes en formation du permis de conduire). Actions pressenties : Organisation Inciter les communes d'une même agglomération à la concertation afin d'aboutir à une signalisation homogène dans le domaine de la circulation des vélos ; Mettre en place de boîtes au niveau de la gendarmerie nationale pour faire part des difficultés constatées (comme en zone police) ; Mettre en place des comités afin d'améliorer la coordination du recueil du renseignement. Communication sensibilisation Diffuser des articles sur la réglementation des deux-roues dans les différents journaux du département et diverses publications (en particulier bulletins municipaux et Isère Magazine) ; Informer les élus et responsables par l'intermédiaire de l'association des Maires ou des réunions de quartier ; Mettre en place des opérations Pédibus dans les communes. 38 DGO

40 Formation Intégrer dans le permis de conduire une formation aux premiers secours «Permis de conduire Permis de sauver». Contrôle-sanction Augmenter les contrôles routiers axés sur les deux-roues motorisés avec une verbalisation dans le cas du défaut de BSR. Infrastructures (aménagement ou exploitation) Réaménager les voies de circulation spécifiques vélos ; Harmoniser la signalétique de voie publique entre les différentes communes limitrophes et/ou situées au sein d une agglomération, notamment au niveau des voies de circulation deux-roues. Acteurs : Conseil général, forces de l'ordre, parents, fonds de garantie, auto-écoles. Partenaires : Association des Maires, représentants des quartiers, préfecture et DDT. Évaluation et suivi de la mise en oeuvre de l orientation d actions : Mise en place d'un groupe de suivi composé des différents acteurs et partenaires des actions prévues et se réunissant au moins une fois par an pour faire le bilan des réalisations sur la base des critères suivants : Nombre d articles publiés sur ce thème ; Mise en place des boîtes ; Nombre d opérations Pedibus ; Nombre d agglomérations se concertant sur l harmonisation de la signalisation. DGO

41 FICHE D ORIENTATION D ACTIONS N 2 OA 3 Enjeu concerné : Les jeunes. Orientation d action : Agir sur les comportements et conduites addictives des jeunes. Objectifs poursuivis : Obtenir des engagements forts et susciter des comportements responsables au regard de l'acte de conduite, autour et à l'intérieur des lieux festifs. Favoriser l'accès au permis de conduire en développant la contractualisation pour son obtention chez les jeunes en difficulté ou ne bénéficiant pas du continuum éducatif classique. Développer les actions de sensibilisation. Cibles : Tous les jeunes ; Les jeunes en difficulté sociales ou désocialisés ou hors continuum éducatif classique ; Les jeunes conducteurs. Actions pressenties : Organisation Signer une charte avec les établissements de nuit prévoyant notamment des offres promotionnelles au client. conducteur non-consommateur d'alcool (gratuité de l'entrée...) et l'installation d'éthylomètres dans leurs locaux. Etendre le dispositif des «Bourses au permis» en ciblant le public concerné, en exigeant une contrepartie sous forme de travail d'intérêt général (dans une mission locale par exemple). Communication - sensibilisation Diffuser une information Sécurité routière dans les boîtes de nuits et au cours des manifestations avec consommation d'alcool. Reproduire les initiatives existantes par l'intermédiaire de l'association des Maires et d'un forum des initiatives. 40 DGO

42 Formation Promouvoir le passage du permis de conduire dans le cadre de l'apprentissages en faisant prendre en charge tout ou partie du coût et instaurer un suivi post-permis obligatoire pendant 3 ans. Mettre en place des formations «alertes et premiers secours» en partenariat entre l'éducation nationale, les sapeurs pompiers et les infirmières scolaires. Contrôle-sanction Inciter à la prise d'arrêtés municipaux interdisant la vente d'alcool aux abords de grands évènements. Acteurs : Services de l'etat (préfecture, Éducation nationale), communes, gérants de lieux festifs de nuit (ou association de cette profession). Partenaires : Sapeurs pompiers, forces de l'ordre, CCI, CFA et assurances. Évaluation et suivi de la mise en oeuvre de l orientation d'actions : Mise en place d'un groupe de comité de suivi composé des différents acteurs et partenaires des actions prévues de réunissant au moins une fois par an pour faire le bilan des réalisations sur la base des critères suivants : Élaboration et signature de la charte ; Nombre de communes ayant mis en place une bourse aux permis (et nombre de bénéficiaires) ; Nombre de jeunes apprentis en conduite accompagnée dans leur entreprise ou aidés par celle-ci ; Nombre de formations «alerte premier secours» ; Réalisation d'un forum d'initiatives locales ; Nombre d'arrêtés municipaux pris par les communes. DGO

43 FICHE D ORIENTATION D ACTIONS N 3 OA 1 Enjeu concerné : Vitesse. Orientation d action : Renforcer l'efficacité de la politique de contrôle de la vitesse. Objectifs poursuivis : Améliorer la communication sur la politique de contrôle. Renforcer la cohérence des contrôles sur les différents axes. Assurer la cohérence des limitations de vitesse. Cibles : Tous usagers de véhicules motorisés Deux-roues motorisés Actions pressenties : Organisation Tenir périodiquement des réunions thématiques du Plan Départemental de Contrôles Routiers (PDCR). Mettre en place des comités techniques (5 personnes) sur des cibles spécifiques (ex. deux-roues motorisés). Communication - sensibilisation Organiser des forums/conférences d'explication de la politique des contrôles (aux élus, associations..). Elaborer des documents (brochures, flyers..) d'explication de la politique de contrôle sur la vitesse (forces de l'ordre). Informer l'usager par sa présence sur un contrôle (forces de l'ordre). Contrôle-sanction Mettre en place une politique de contrôle de vitesse au niveau des zones particulières (chantiers, abords d'écoles, zones 30 ). Privilégier l'implantation des radars en éloignement plutôt qu'en approche (pour contrôler aussi les deux-roues motorisés). 42 DGO

44 Infrastructures (aménagement ou exploitation) Améliorer la cohérence des limitations de vitesse par itinéraire. Règlementation Conduire une analyse juridique et matérielle de la possibilité de confisquer les véhicules liés aux grands excès de vitesse. Acteurs : Préfecture et DDT, forces de l'ordre, procureurs de la République, gestionnaires d'infrastructure. Partenaires : IDSR. Évaluation et suivi de la mise en oeuvre de l orientation d'actions : Mise en place d'un groupe de comité de suivi composé des différents acteurs et partenaires des actions prévues se réunissant au moins une fois par an pour faire le bilan des réalisations, notamment sur la base des critères suivants : Nombre de réunions thématiques du PDCR ; Nombre de comités thématiques «cibles spécifiques» mis en place ; Proportion de radars fixes en approche /radars en éloignement. DGO

45 FICHE D ORIENTATION D ACTIONS N 3 OA 2 Enjeu concerné : Vitesse. Orientation d action : Vitesse dans le cadre professionnel. Objectifs poursuivis : L'organisation du travail doit permettre le respect du Code de la route. Modulation des horaires de l'entreprise. Développer les Plans de Déplacement d'entreprises (PDE). Cibles : Trajet domicile travail. Trajet uniquement professionnel. Véhicules utilitaires. Actions pressenties : Organisation Inciter les entreprises à considérer les déplacements comme des taches à part entière de travail (évaluation des entreprises..). Inciter les entreprises à prendre en compte les temps de conduite dans le temps de travail. Inciter au développement des Plans de Déplacement d'entreprises avec Plan de Prévention du Risque Routier. Organiser un réseau avec les CHS CT et les correspondants Hygiène et Sécurité. Communication - sensibilisation Recenser les documents existants et définir un plan de diffusion de ces documents d'information. Réaliser des forums avec les entreprises. Mettre en place une action collective de prévention du risque routier auprès d'un parc d'activité économique sur le bassin sud Isère, avec la réalisation d'un plan de déplacement interentreprises (PDIE). 44 DGO

46 Formation Mettre en place des formations spécifiques sur le risque routier à prendre en compte dans le document unique. Faire réaliser des audits de conduite par des auto-écoles à destination des salariés. Promouvoir un dispositif d'aide à la formation de la conduite de véhicules utilitaires légers auprès des entreprises. Contrôle-sanction Conduire des actions de contrôle ciblées sur les véhicules utilitaires. Infrastructures (aménagement ou exploitation) Intégrer les engins agricoles dans la conception des aménagements. Acteurs : MSA, CRAM, CCI. Partenaires : Les auto-écoles, les syndicats de transport, l'association PSRE, les forces de l'ordre, les gestionnaires d'infrastructure. Évaluation et suivi de la mise en oeuvre de l orientation d'actions : Mise en place d'un groupe de comité de suivi composé des différents acteurs et partenaires des actions prévues se réunissant au moins une fois par an pour faire le bilan des réalisations. DGO

47 FICHE D ORIENTATION D ACTIONS N 3 OA 3 Enjeu concerné : Vitesse. Orientation d action : Faire évoluer le comportement vers un meilleur partage de la route. Objectifs poursuivis : Améliorer les comportements en : adaptant sa vitesse aux conditions de circulation ; maîtrisant le différentiel de vitesse ; améliorant l'attention à la conduite (ex. : téléphone) ; éviter la banalisation de l'acte de conduite. Cibles : Tous usagers. Actions pressenties : Organisation Mener une réflexion sur la création d'un circuit deux-roues motorisés. Communication - sensibilisation Réaliser une vidéo avec plusieurs points de vue (piétons, motos, PL..) et transposer le comportement entre les différents usagers. Conduire une campagne de communication en faveur du partage de la route et du différentiel de vitesse. Organiser une manifestation lors du Salon de l'auto avec plusieurs types de véhicule. Formation Organiser un stage au circuit du Laquais. Organiser un stage motards sur circuit. Organiser des formations pour des conducteurs modèles (Initiative AREA en partenariat avec MAIF Prévention). Développer les formations post-permis avec différents véhicules (auto-écoles). Remettre à niveau les seniors (MAIF Prévention, AGIR Routes etc.). 46 DGO

48 Contrôle-sanction Mettre en oeuvre une action spécifique et médiatisée sur les infractions annexes (clignotant ). Développer des expérimentations avec des radars pédagogiques. Infrastructures (aménagement ou exploitation) Crédibiliser les aménagements imposant des limites fortes de vitesse (zones 30 ). Crédibiliser les limites d'agglomération. Acteurs : Le circuit du Laquais, AREA - MAIF Prévention, IDSR (vidéo), auto-écoles, gestionnaires de voirie, forces de l'ordre. Partenaires : Autres associations. Évaluation et suivi de la mise en oeuvre de l orientation d'actions : Mise en place d'un groupe de comité de suivi composé des différents acteurs et partenaires des actions prévues de réunissant au moins une fois par an pour faire le bilan des réalisations, notamment sur la base des critères suivants : Nombre de stages sur circuits, de formations organisés (conducteurs modèles, post-permis, seniors, etc.) et nombre de participants ; Réalisation de la vidéo ; Réalisation de la campagne de communication. DGO

49 FICHE D ORIENTATION D ACTIONS N 3 OA 4 Enjeu concerné : Vitesse Orientation d action : Limiter la gravité des accidents. Objectifs poursuivis : Limiter les conséquences d'une perte de contrôle due à la vitesse. Améliorer les équipements (individuels et liés à l'infrastructure) limitant la gravité des accidents. Réaffirmer la nécessité du port de la ceinture et des distances de sécurité. Mettre en avant le système d'alerte et secours. Cibles : Tous les usagers de la route. Actions pressenties : Organisation Organiser un partenariat avec les intervenants du système d'alerte et secours (pompiers, Samu et organismes de formation). Communication - sensibilisation Organiser des conférences avec l'association des Paralysés de France et des centres médicaux de rééducation des traumatisés. Formation Organiser une formation à l'afps et ajout d'un module spécifique à l'accident routier. Infrastructures (aménagement ou exploitation) Limiter les obstacles fixes en bordure de chaussée / développer les zones de sécurité - accotements. Attirer l'attention des communes sur les risques que peuvent représenter les mobiliers urbains. 48 DGO

50 Acteurs : Intervenants du système d'alerte et de secours (sapeurs pompiers, SAMU ), gestionnaires de voirie, réseau des élus référents en sécurité routière, préfecture et DDT. Partenaires : Associations (APF ) et centres médicaux de rééducation. Évaluation et suivi de la mise en oeuvre de l orientation d'actions : Mise en place d'un groupe de comité de suivi composé des différents acteurs et partenaires des actions prévues de réunissant au moins une fois par an pour faire le bilan des réalisations, notamment sur la base des critères suivants : Nombre de conférences organisées ; Modalités du partenariat mis en place avec les intervenants d'alerte et de secours ; Nombre de conférences organisées ; Mise en place d'une formation AFPS ; Bilan des obstacles fixes retirés ou zones de sécurité créées. DGO

51 FICHE D ORIENTATION D ACTIONS N 4 OA 1 Enjeu concerné : Prévention de la consommation d'alcool chez les conducteurs. Orientation d action : Améliorer le dépistage et la prévention de la conduite sous l'emprise d'alcool par des actions de contrôle couplées et coordonnées des forces de l'ordre (gendarmerie-police). Objectifs poursuivis : Réduire l'accidentologie grave liée à la consommation d'alcool. Améliorer la connaissance statistique départementale du phénomène (conduite associée à la consommation de substances illicites). Cibles : Tous usagers conducteurs de véhicules motorisés comme non motorisés. Forces de l'ordre. Actions pressenties : Organisation Renforcer les équipements des forces de l'ordre pour ces contrôles notamment pour l'achat de kits de contrôle utilisables quelle que soit la température (recherche des moyens budgétaires complémentaires). Communication - sensibilisation Développer un Plan de communication sur ces opérations avec par exemple : information télévisée sur FR3 (M6 local éventuellement) information sur les lieux de travail. Formation Former si nécessaire à l'utilisation des kits de contrôle. 50 DGO

52 Contrôle-sanction Développer des contrôles en bord de routes - en entrée et sortie d'agglomérations, concentrés sur les fins de semaine en combinant : une première étape de contrôle informatif et préventif ; une deuxième étape de contrôle répressif. Acteurs : Préfecture et DDT, forces de l'ordre nationales. Partenaires : Polices municipales. Évaluation et suivi de la mise en oeuvre de l orientation d actions : Évaluation par les comptes-rendus statistiques (sur les opérations conduites mises en regard de l'évolution de l'accidentologie liée à l'alcool) lors des réunions du Plan Départemental de Contrôles Routiers et notamment : Nombre de contrôles d'alcoolémie opérés ; Nombre d'opérations donnant lieu à une couverture médiatique. DGO

53 FICHE D ORIENTATION D ACTIONS N 4 OA 2 Enjeu concerné : Prévention de la consommation d'alcool chez les conducteurs. Orientation d action : Sensibiliser les restaurateurs et les consommateurs sur les risques liés à la consommation d'alcool (risques qu'ils font courir comme ceux qu'ils encourent). Objectifs poursuivis : Limiter la consommation d'alcool dans les lieux de restauration et festifs ( notamment, juste avant le départ, afin d'éviter ainsi l'augmentation en flèche du taux d'alcoolémie au moment de la reprise du véhicule). Cibles : Restaurateurs et exploitants de lieux festifs, clientèle des ans, forces de l'ordre. Actions pressenties : Communication - sensibilisation Développer des actions incitatives dans les lieux gastronomiques, lieux festifs, salons, foires en direction des restaurateurs (et de leur syndicat) afin qu'ils promeuvent par exemple la vente au verre, la vente par demi-bouteille, l'utilisation de sachet pour bouteille entamée. Encourager les opérations SAM menées ou promues par les associations de lutte contre l'insécurité routière et la désignation du capitaine de soirée dans les établissements de nuit comme dans les soirées étudiantes. Mettre en place une information en direction des restaurateurs sur la responsabilité liée à la vente d'alcool (conférences). Formation Former des forces de l'ordre au métabolisme de l'alcool. 52 DGO

54 Contrôle-sanction Veiller à l'application de l'article L du Code de la santé publique à l'encontre des débiteurs de boissons (pour mineurs). Acteurs : Préfecture et DDT, DDASS, associations. Partenaires : Syndicats des restaurateurs, Chambre de commerce et d'industrie, associations, bureaux d'étudiants. Évaluation et suivi de la mise en oeuvre de l orientation d actions : Mise en place d'un groupe de suivi composé des différents acteurs et partenaires des actions prévues et se réunissant une fois par an pour faire le bilan des réalisations. Nombre d'établissements ou restaurateurs sensibilisés ou s'associant à des actions de prévention ; Nombre d'actions SAM réalisées. DGO

55 FICHE D ORIENTATION D ACTIONS N 4 OA 3 Enjeu concerné : Prévention de la consommation d'alcool chez les conducteurs. Orientation d action : Diffuser largement l'information sur les effets physiologiques de la consommation alcoolique au regard de la conduite. Objectifs poursuivis : Induire un changement de comportement des conducteurs par une meilleure connaissance des effets de l'alcool. Cibles : Tous publics. Ensemble des acteurs. Actions pressenties : Communication - sensibilisation Développer des actions d'informations et de communication sur ce thème sous forme : de conférences sur les campus ; d'information dans le milieu professionnel (entreprises, administrations etc.) avec l'intervention des médecins de prévention ; publication de messages dans différents médias (presse écrite, radio, télévision). Formation Développer la connaissance des acteurs de la politique de Sécurité routière (administrations, forces de l'ordre ) notamment par des rencontres avec des médecins alcoologues, le suivi de conférences à la faculté de médecine Acteurs : Entreprises et administrations (notamment correspondants locaux Hygiène et Sécurité entreprises, médecins de prévention), associations (Prévention routière). 54 DGO

ORIENTATIONS D'ACTION POUR LE PDASR 2013

ORIENTATIONS D'ACTION POUR LE PDASR 2013 ORIENTATIONS D'ACTION POUR LE PDASR 2013 Cocher la ou les orientations auxquelles répondent votre projet COMMUNICATION GRAND PUBLIC Travailler sur les représentations liées à l'alcool et aux drogues. Comprendre

Plus en détail

La sécurité routière en France Bilan de l année 2007

La sécurité routière en France Bilan de l année 2007 La sécurité routière en France Bilan de l année 2007 Hôtel de Roquelaure 18 juin 2008 Jean CHAPELON Secrétaire général de l Observatoire national interministériel de sécurité routière (ONISR) La sécurité

Plus en détail

LES OPERATIONS (outils pédagogiques, types d'interventions) Département du Morbihan

LES OPERATIONS (outils pédagogiques, types d'interventions) Département du Morbihan LES OPERATIONS (outils pédagogiques, types d'interventions) Durant l'année scolaire, l'éducation routière cycliste Dans les écoles : Chaque année, le comité intervient auprès des élèves de CM des écoles

Plus en détail

CONVENTION DE PARTENARIAT ETAT-ASSURANCES POUR LA LUTTE CONTRE L'INSECURITE ROUTIERE Entre Monsieur Jean-Pierre RAFFARIN Premier ministre, représentant l'etat, et Monsieur Gérard DE LA MARTINIERE, Président

Plus en détail

Comment monter un projet de sécurité routière

Comment monter un projet de sécurité routière Comment monter un projet de sécurité routière 2014 www.aisne.pref.gouv.fr Sommaire Avant-propos Les orientations générales Enjeux - orientations p3 p4 p5à7 Clarifiez votre projet p8 Comment monter votre

Plus en détail

Accidents à un seul véhicule sans piéton

Accidents à un seul véhicule sans piéton Accidents à un seul véhicule sans piéton Synthèse Les données utilisées pour cette fiche sont plus particulièrement issues de l Observatoire National Interministériel de la Sécurité Routière (ONISR) dont

Plus en détail

C O M M U N I Q U É DE PRESSE

C O M M U N I Q U É DE PRESSE Bordeaux, le 5 juillet 2014 C O M M U N I Q U É DE PRESSE Sécurité Routière : bilan du 1er semestre 2014 en Gironde Le Préfet de la région Aquitaine, Préfet de la Gironde, Michel DELPUECH, a participé

Plus en détail

Les journées "Trajectoires" au service des motards

Les journées Trajectoires au service des motards PRÉFET DE LA HAUTE-SAVOIE Point presse Les journées "Trajectoires" au service des motards 19 avril 2015 Direction départementale des Territoires de la Haute-Savoie www.haute-savoie.gouv.fr Les journées

Plus en détail

Département du Val-de-Marne. Charte départementale de partenariat sécurité routière. entre l État,

Département du Val-de-Marne. Charte départementale de partenariat sécurité routière. entre l État, Département du Val-de-Marne Charte départementale de partenariat sécurité routière entre l État, la Caisse Régionale d Assurance Maladie d Ile-de-France (CRAMIF) et la profession du transport routier de

Plus en détail

Dans l Aude, 27 usagers de deux roues motorisées ont été tués depuis le 1 er janvier 2007.

Dans l Aude, 27 usagers de deux roues motorisées ont été tués depuis le 1 er janvier 2007. LA SEMAINE EUROPEENNE de la SECURITE ROUTIERE et de la MOBILITE En 2010 comme en 2009, la semaine nationale de la sécurité routière s associe avec la semaine européenne de la mobilité et devient ainsi

Plus en détail

- Les équipements. Route à accès réglementé. Autoroute

- Les équipements. Route à accès réglementé. Autoroute SECURITE ROUTIERE : QUELQUES ELEMENTS A RETENIR Pour réviser, vous pouvez vous entrainez sur le site : http://eduscol.education.fr/cid46889/preparation-auxepreuves-securite-routiere.html L ASSR est l attestation

Plus en détail

Dossier de presse. Création de l observatoire sanef 1 ère étude scientifique des comportements au volant sur autoroute JUILLET 2012

Dossier de presse. Création de l observatoire sanef 1 ère étude scientifique des comportements au volant sur autoroute JUILLET 2012 Dossier de presse SOMMAIRE Présentation...3 Une étude scientifique pour dresser un état des lieux des comportements sur autoroute...4 L occupation des voies : des résultats venant confirmer l importance

Plus en détail

cyclomoteur Non autorisé En général non autorisé sinon 45 45 45

cyclomoteur Non autorisé En général non autorisé sinon 45 45 45 L ATTESTATION SCOLAIRE DE SECURITE ROUTIERE NIVEAU 3 L attestation scolaire de sécurité routière comporte : - une attestation scolaire de sécurité routière (ASSR) de premier niveau qui se passe en 5 e

Plus en détail

Convention relative : - aux échanges de données d'exploitation et de sécurité routière - à la gestion des crises routières. pour le département de

Convention relative : - aux échanges de données d'exploitation et de sécurité routière - à la gestion des crises routières. pour le département de Convention relative : - aux échanges de données d'exploitation et de sécurité routière - à la gestion des crises routières pour le département de entre L'État, représenté par M.., Préfet d., et La Direction

Plus en détail

DONNÉES DÉTAILLÉES DE L ACCIDENTALITÉ

DONNÉES DÉTAILLÉES DE L ACCIDENTALITÉ PARTIE 6 # DONNÉES DÉTAILLÉES DE L ACCIDENTALITÉ DONNÉES DÉTAILLÉES DE L ACCIDENTALITÉ / LES ACCIDENTS ET LES USAGERS Les accidents et les usagers Selon les modes de déplacement 161 DONNÉES GÉNÉRALES D

Plus en détail

La sécurité routière en Ille-et-Vilaine Bilan 2014 et évolutions

La sécurité routière en Ille-et-Vilaine Bilan 2014 et évolutions La sécurité routière en Ille-et-Vilaine Bilan 201 et évolutions Observatoire Départemental de la Sécurité Routière d Ille-et-Vilaine Sommaire, indicateurs et définitions Sommaire Les définitions Page

Plus en détail

Projet d action de prévention routière. la société xxxxxx

Projet d action de prévention routière. la société xxxxxx Projet d action de prévention routière À l attention de: Le aa/aa/ 2013 la société xxxxxx Comité du VAL D OISE CATALOGUE DES ACTIONS EN ENTREPRISE Association Prévention Routière (APR) Crée en 1949 loi

Plus en détail

2004 2014 : un risque a chassé l autre

2004 2014 : un risque a chassé l autre 2004 2014 : un risque a chassé l autre En 10 ans, le profil des conducteurs français a évolué, leur rapport à la conduite aussi. Pour autant le poids des bons et mauvais conducteurs est resté stable, de

Plus en détail

BEPECASER ÉPREUVE DE CONTRÔLE DES CONNAISSANCES. 16 mai 2012

BEPECASER ÉPREUVE DE CONTRÔLE DES CONNAISSANCES. 16 mai 2012 J. 121300 MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR, DE L OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L IMMIGRATION BEPECASER ÉPREUVE DE CONTRÔLE DES CONNAISSANCES 16 mai 2012 Question 1 Le fait pour un conducteur

Plus en détail

ÉVOLUTION DE L'ACCIDENTALITÉ ROUTIÈRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-VIENNE Valeurs cumulées sur les 12 derniers mois avec courbe de tendance

ÉVOLUTION DE L'ACCIDENTALITÉ ROUTIÈRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-VIENNE Valeurs cumulées sur les 12 derniers mois avec courbe de tendance ÉVOLUTION DE L'ACCIDENTALITÉ ROUTIÈRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-VIENNE Valeurs cumulées sur les 12 derniers mois avec courbe de tendance Définition Un accident corporel (mortel ou non mortel) de

Plus en détail

Journée technique du 28 mai 2013 Agence de Mobilité en territoires périurbains et ruraux. 2) Objectifs et missions. 3) Plan d'actions 2012 à 2014

Journée technique du 28 mai 2013 Agence de Mobilité en territoires périurbains et ruraux. 2) Objectifs et missions. 3) Plan d'actions 2012 à 2014 Journée technique du 28 mai 2013 Agence de Mobilité en territoires périurbains et ruraux 1) Agence de Mobilité : création et territoire 2) Objectifs et missions 3) Plan d'actions 2012 à 2014 Etude Mobilité

Plus en détail

Moto 125 Le nouvel espace dédié aux conducteurs de 125 cm3 sur les sites des associations Prévention Routière et Assureurs Prévention

Moto 125 Le nouvel espace dédié aux conducteurs de 125 cm3 sur les sites des associations Prévention Routière et Assureurs Prévention COMMUNIQUE DE PRESSE Paris - 19 mai 2011 Moto 125 Le nouvel espace dédié aux conducteurs de 125 cm3 sur les sites des associations Prévention Routière et Assureurs Prévention Embouteillages, problèmes

Plus en détail

CONVENTION CADRE NATIONALE DE PARTENARIAT SUR LA CONDUITE ACCOMPAGNÉE DES APPRENTIS DU BÂTIMENT

CONVENTION CADRE NATIONALE DE PARTENARIAT SUR LA CONDUITE ACCOMPAGNÉE DES APPRENTIS DU BÂTIMENT PREMIER MINISTRE CONVENTION CADRE NATIONALE DE PARTENARIAT SUR LA CONDUITE ACCOMPAGNÉE DES APPRENTIS DU BÂTIMENT conclue entre l'état, la Caisse Nationale d'assurance Maladie des Travailleurs Salariés

Plus en détail

EPREUVE DU CONTRÔLE DES CONNAISSANCES. 7 septembre 2011

EPREUVE DU CONTRÔLE DES CONNAISSANCES. 7 septembre 2011 J. 11 1203 MINISTERE DE L INTERIEUR, DE L OUTRE-MER, DES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET DE L IMMIGRATION BEPECASER EPREUVE DU CONTRÔLE DES CONNAISSANCES 7 septembre 2011 Question 1 Dans le cadre de l apprentissage

Plus en détail

Guide méthodologique

Guide méthodologique Communauté d Agglomération de NIORT du GRAND NANCY PLAN DE DEPLACEMENTS URBAINS Plan de Déplacement Entreprise Guide méthodologique Septembre 2007 m u n i c i p a l i t é s e r v i c e 7 1, a v e n u e

Plus en détail

GEMA Prévention - Portrait des conducteurs de 2 roues d'aujourd'hui

GEMA Prévention - Portrait des conducteurs de 2 roues d'aujourd'hui GEMA Prévention - Portrait des conducteurs de 2 roues d'aujourd'hui Présentation de l'étude GEMA Prévention - Portrait des conducteurs de 2 roues d'aujourd'hui Présentation de l étude L association GEMA

Plus en détail

Sécurité Routière. réalisation programme

Sécurité Routière. réalisation programme Sécurité Routière réalisation programme 2014 2015 SÉCURITÉ ROUTIÈRE ÉDITO LA SÉCURITÉ ROUTIÈRE, UN OUTIL DE RECONQUÊTE DE NOS RUES. La sécurité routière participe à notre volonté de reconquérir les rues.

Plus en détail

OUTILS DE SENSIBILISATION : PIÉTON / CYCLISTE / AUTOMOBILISTE / CYCLOMOTEUR

OUTILS DE SENSIBILISATION : PIÉTON / CYCLISTE / AUTOMOBILISTE / CYCLOMOTEUR OUTILS DE SENSIBILISATION : PIÉTON / CYCLISTE / AUTOMOBILISTE / CYCLOMOTEUR Piétons Les causes possibles d'accidents impliquant des piétons et des véhicules sont bien connues. La négligence, l'inattention

Plus en détail

Cadre de Plan de Prévention du Risque Routier de la ZAE CAPNORD

Cadre de Plan de Prévention du Risque Routier de la ZAE CAPNORD Association des Entreprises de la zone Capnord - Association loi 1901 - N de Préfecture 12419 www.dijon-capnord.com Cadre de Plan de Prévention du Risque Routier de la ZAE CAPNORD Il existe deux types

Plus en détail

BILAN ROUTIER UNE RESPONSABILITÉ PARTAGÉE! 7 principales causes de collisions à Montréal. Portrait de la sécurité routière et de la circulation

BILAN ROUTIER UNE RESPONSABILITÉ PARTAGÉE! 7 principales causes de collisions à Montréal. Portrait de la sécurité routière et de la circulation BILAN ROUTIER Portrait de la sécurité routière et de la circulation 2010 UNE RESPONSABILITÉ PARTAGÉE! Le partage de la route en milieu urbain est l enjeu qui pose le plus grand défi autant aux usagers

Plus en détail

Petit déjeuner presse. Bilan 2013

Petit déjeuner presse. Bilan 2013 Petit déjeuner presse Bilan 2013 28 janvier 2014 Sécurité publique Rappels Les zones de compétence Gendarmerie/Police Les indicateurs de la délinquance AVIP Atteintes volontaires à l'intégrité physique

Plus en détail

BILAN 2001 DES TAXIS, DES AUTOBUS ET DES CAMIONS ET TRACTEURS ROUTIERS

BILAN 2001 DES TAXIS, DES AUTOBUS ET DES CAMIONS ET TRACTEURS ROUTIERS DOSSIER STATISTIQUE BILAN 2001 DES TAXIS, DES AUTOBUS ET DES CAMIONS ET TRACTEURS ROUTIERS C-4052 DOSSIER STATISTIQUE BILAN 2001 DES TAXIS, DES AUTOBUS ET DES CAMIONS ET TRACTEURS ROUTIERS Service des

Plus en détail

Intervention de Monsieur le Préfet de police Réunion «Ambassadeurs visibles» Seul le prononcé fait foi

Intervention de Monsieur le Préfet de police Réunion «Ambassadeurs visibles» Seul le prononcé fait foi Intervention de Monsieur le Préfet de police Réunion «Ambassadeurs visibles» Seul le prononcé fait foi Madame la Maire du 8 ème arrondissement, Mesdames et Messieurs les élus, Mesdames, Messieurs, Bonjour

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE Contacts presse

DOSSIER DE PRESSE Contacts presse DOSSIER DE PRESSE Contacts presse : Bureau de la communication interministérielle - 02.48.67.34.36 pref-communication@cher.gouv.fr Préfecture du Cher - Place Marcel Plaisant CS 60022-18020 BOURGES Cedex

Plus en détail

CONVENTION DE PARTENARIAT entre la PRÉFECTURE DES ALPES-MARITIMES et la CAISSE REGIONALE d'assurance MALADIE du SUD- EST

CONVENTION DE PARTENARIAT entre la PRÉFECTURE DES ALPES-MARITIMES et la CAISSE REGIONALE d'assurance MALADIE du SUD- EST CONVENTION DE PARTENARIAT entre la PRÉFECTURE DES ALPES-MARITIMES et la CAISSE REGIONALE d'assurance MALADIE du SUD- EST en vue de prévenir le risque routier encouru par les salariés Entre la Préfecture

Plus en détail

La prise en compte des 2RM dans les aménagements

La prise en compte des 2RM dans les aménagements La prise en compte des 2RM dans les aménagements Pourquoi les prendre en compte? Quels outils? Bérengère Varin novembre 2011 Ministère de l'écologie, de l'énergie, du Développement durable et de l'aménagement

Plus en détail

LES RISQUES ROUTIERS EN MISSION

LES RISQUES ROUTIERS EN MISSION LES RISQUES ROUTIERS EN MISSION DEPUIS 10 ANS LES ACCIDENTS DE LA CIRCULATION LIÉS AU TRAVAIL REPRÉSENTENT : 54 à 59% des accidents mortels du travail 23 à 25% des accidents avec incapacité permanente

Plus en détail

PER I TURISTI STRANIERI: GUIDARE IN ITALIA. Documents normalement demandés pour conduire une voiture de location en Italie:

PER I TURISTI STRANIERI: GUIDARE IN ITALIA. Documents normalement demandés pour conduire une voiture de location en Italie: Location de voitures Documents normalement demandés pour conduire une voiture de location en Italie: - Permis de conduire en cours de validité, obtenu depuis au moins 1 an, donnant l'autorisation de conduire

Plus en détail

BEPECASER EPREUVE DE CONTRÔLE DES CONNAISSANCES

BEPECASER EPREUVE DE CONTRÔLE DES CONNAISSANCES MINISTERE CHARGÉ DES TRANSPORTS J. 8 000990 BEPECASER EPREUVE DE CONTRÔLE DES CONNAISSANCES 03 SEPTEMBRE 2008 Question 1 Tout véhicule doit subir un contrôle technique pour être mis en circulation à l

Plus en détail

Savoirs de base en sécurité routière. Vitesse et mortalité

Savoirs de base en sécurité routière. Vitesse et mortalité Sétra Savoirs de base en sécurité routière mars 2006 Vitesse et mortalité Avertissement : cette série de fiches est destinée à fournir une information rapide. La contrepartie est le risque d erreur et

Plus en détail

Les français et les jeunes conducteurs

Les français et les jeunes conducteurs DOSSIER DE PRESSE Paris, 4 mai 2015 www.jeune-conducteur-assur.com Les français et les jeunes conducteurs Révélation de l étude Jeune Conducteur Assur / Ifop Enquête menée auprès d un échantillon de 1000

Plus en détail

Abords d école : limitation à 30km/h à certaines heures seulement?

Abords d école : limitation à 30km/h à certaines heures seulement? 1 Concerne : Abords d école limitation 30Km/h Gilet rétro réfléchissant Camions Nouvelles cartes de stationnement - Motards Abords d école : limitation à 30km/h à certaines heures seulement? Arrêté Royal

Plus en détail

La sécurité routière en France

La sécurité routière en France Observatoire national interministériel de 12 20 la sécurité routière La sécurité routière en France Bilan de l'accidentalité de l'année 2012 La sécurité routière en France Bilan de l'accidentalité de

Plus en détail

COMMUNIQUE DE PRESSE. Paris, le 22 octobre 2002

COMMUNIQUE DE PRESSE. Paris, le 22 octobre 2002 Fédération Française des Sociétés d'assurances COMMUNIQUE DE PRESSE Paris, le 22 octobre 2002 «Le risque, les jeunes et la sécurité routière», un projet éducatif de la Fédération française des sociétés

Plus en détail

AUTO-ÉCOLE SOMMAIRE. Création et diffusion Tous droits réservés, reproduction interdite sans autorisation de l auteur Mise à jour : 09/06/2015 1

AUTO-ÉCOLE SOMMAIRE. Création et diffusion Tous droits réservés, reproduction interdite sans autorisation de l auteur Mise à jour : 09/06/2015 1 AUTO-ÉCOLE SOMMAIRE LE MARCHÉ DE L'AUTO-ÉCOLE... 2 LA RÉGLEMENTATION DE L'AUTO-ÉCOLE... 6 L'ACTIVITÉ DE L'AUTO-ÉCOLE... 9 LES POINTS DE VIGILANCE DE L'AUTO-ÉCOLE... 12 EN SAVOIR PLUS SUR CE SECTEUR...

Plus en détail

N i1007 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI

N i1007 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI N i1007 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 TREIZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le. PROPOSITION DE LOI visant à renforcer la protection et la sécurité

Plus en détail

Accidents trajet et mission

Accidents trajet et mission A.S.P.E.49 ASRE 49, BP 31844, 49018 Angers Cedex asre.49@laposte.net, http://www.asre49.fr Accidents trajet et mission CLUB ASRE49, 21/06/2013 Date: xx/xx/2010 Issue: 1 page: 1/20 www.asre49.fr A.S.P.E.49

Plus en détail

Le présent bilan a été préparé par la Direction des études et des stratégies en sécurité routière de la Vice-présidence à la sécurité routière.

Le présent bilan a été préparé par la Direction des études et des stratégies en sécurité routière de la Vice-présidence à la sécurité routière. J u i n2 0 1 2 Le présent bilan a été préparé par la Direction des études et des stratégies en sécurité routière de la Vice-présidence à la sécurité routière. Vice-présidente : Directrice : Coordonnatrice

Plus en détail

Moins d accidents et moins de victimes en 2009

Moins d accidents et moins de victimes en 2009 DIRECTION GÉNÉRALE STATISTIQUE ET INFORMATION ÉCONOMIQUE COMMUNIQUE DE PRESSE 12 avril 2011 Moins d accidents et moins de victimes en 2009 Les chiffres des accidents de la route portant sur 2009 viennent

Plus en détail

Motards et Scootéristes, le paradoxe : Un sentiment croissant d insécurité sur la route, mais toujours des prises de risque

Motards et Scootéristes, le paradoxe : Un sentiment croissant d insécurité sur la route, mais toujours des prises de risque Communiqué de presse Mardi 16 septembre 2014 Baromètre AXA Prévention sur le comportement des Français en deux-roues motorisés Motards et Scootéristes, le paradoxe : Un sentiment croissant d insécurité

Plus en détail

Plan Départemental. Sécurité Routière 2013. Le pôle de compétence Sécurité Routière a validé le PDSAR 2013 en réunion plénière du 02 avril 2013.

Plan Départemental. Sécurité Routière 2013. Le pôle de compétence Sécurité Routière a validé le PDSAR 2013 en réunion plénière du 02 avril 2013. Plan Départemental d'actions Sécurité Routière 2013 Page : 1 sur 68 Le pôle de compétence Sécurité Routière a validé le PDSAR 2013 en réunion plénière du 02 avril 2013. Sommaire CHAPITRE I PRÉAMBULE...3

Plus en détail

Roulons En Ville à Vélo

Roulons En Ville à Vélo Contribution au débat public sur la politique des transports dans la vallée du Rhône et l arc languedocien Roulons En Ville à Vélo Pour une prise en compte des modes doux et des transports en commun Notre

Plus en détail

Le présent bilan a été préparé par la Direction des études et des stratégies en sécurité routière à la Vice-présidence à la sécurité routière.

Le présent bilan a été préparé par la Direction des études et des stratégies en sécurité routière à la Vice-présidence à la sécurité routière. Le présent bilan a été préparé par la Direction des études et des stratégies en sécurité routière à la Vice-présidence à la sécurité routière. Vice-présidente : Directrice : Coordonnateur et rédacteur

Plus en détail

BEPECASER. Mercredi 13 mai 2015

BEPECASER. Mercredi 13 mai 2015 MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR BEPECASER ÉPREUVE DE CONTRÔLE DES CONNAISSANCES Mercredi 13 mai 2015 Question 1 A Tout dépassement est interdit aux traversées de voies ferrées non munies de barrières ou de demi-barrières.

Plus en détail

LA ZONE 30. La «zone 30» est un ensemble de voiries à vitesse inférieure à 30 km/h. Elle peut être plus ou moins étendue.

LA ZONE 30. La «zone 30» est un ensemble de voiries à vitesse inférieure à 30 km/h. Elle peut être plus ou moins étendue. LA ZONE 30 DEFINITION 1 «zone 30» section ou ensemble de sections de voies constituant une zone affectée à la circulation de tous les usagers. Dans cette zone, la vitesse des véhicules est limitée à 30km/h.

Plus en détail

RESPONSABILITÉ, SANCTION Introduction: Être responsable de ses actes ET ASSURANCE. Il existe deux types de responsabilité

RESPONSABILITÉ, SANCTION Introduction: Être responsable de ses actes ET ASSURANCE. Il existe deux types de responsabilité Introduction: Être responsable de ses actes Vivre en société exige l existence et le respect de règles visant à garantir la liberté des individus qui la composent, 2 mais aussi à les protéger sur les plans

Plus en détail

Informations complémentaires au communiqué de presse conducteur-d-elit.ch

Informations complémentaires au communiqué de presse conducteur-d-elit.ch Le 29 janvier 2015 Informations complémentaires au communiqué de presse conducteur-d-elit.ch Campagne conducteur-d-elite.ch: suivre des cours, c est avoir une conduite plus sûre. L objectif de la campagne

Plus en détail

le guide du bon conducteur

le guide du bon conducteur En savoir plus www.securite-routiere.gouv.fr twitter.com/routeplussure Délégation à la sécurité et à la circulation routières Place des Degrés Tour Pascal B 92055 La Défense Cedex Délégation à la sécurité

Plus en détail

Dossier de presse. La non-assurance routière en France en 2013

Dossier de presse. La non-assurance routière en France en 2013 Dossier de presse La non-assurance routière en France en 2013 Dossier de presse Sommaire Le communiqué de presse Page 3 Quelle ampleur et quelle évolution? Page 5 Quel est le profil des non-assurés? Page

Plus en détail

Les stages de sensibilisation à la sécurité routière visent à éviter la réitération des comportements dangereux. Ils sont composés :

Les stages de sensibilisation à la sécurité routière visent à éviter la réitération des comportements dangereux. Ils sont composés : PROGRAMME DE FORMATION DES STAGES DE SENSIBILISATION A LA SECURITE ROUTIERE (ARTICLES L.223-6 ET R 223.5 DU CODE DE LA ROUTE) Les stages de sensibilisation à la sécurité routière visent à éviter la réitération

Plus en détail

Responsabilité Civile et Pénale du chef d entreprise. Association Sécurité Routière en Entreprises de Maine et Loire.

Responsabilité Civile et Pénale du chef d entreprise. Association Sécurité Routière en Entreprises de Maine et Loire. Association Sécurité Routière en Entreprises de Maine et Loire Sensibilisation Responsabilité Civile et Pénale du chef d entreprise ou du délégataire 1N 2N Sommaire 1- La réglementation 1-1- La responsabilité

Plus en détail

Charte de partenariat Risque Routier Professionnel

Charte de partenariat Risque Routier Professionnel Charte de partenariat Risque Routier Professionnel Entre : La CRAM XXX représentée par et La Préfecture du département YY représentée d'une part, et L entreprise ZZ représentée par d autre part. Il est

Plus en détail

------------------------------ FORMULAIRE D INSCRIPTION ------------------------------

------------------------------ FORMULAIRE D INSCRIPTION ------------------------------ ------------------------------ FORMULAIRE D INSCRIPTION ------------------------------ CONDUCTEUR NOM : PRÉNOM :. ADRESSE :... NÉ(E) LE : À : COURRIEL : MASCULIN FEMININ PASSAGER NOM : PRÉNOM :. ADRESSE

Plus en détail

LUTTER CONTRE LE CHANGEMENT CLIMATIQUE

LUTTER CONTRE LE CHANGEMENT CLIMATIQUE Asnières bénéficie d'une excellente connexion au réseau de transports en commun de l Île-de-France. Toutefois, le territoire génère de nombreux déplacements motorisés et supporte les déplacements pendulaires

Plus en détail

La conduite accompagnée

La conduite accompagnée La conduite accompagnée L âge minimal requis pour s inscrire en conduite accompagnée est 16 ans révolu. POUR ACCEDER A LA FORMATION CONDUITE ACCOMPAGNEE VOUS DEVEZ ETRE DETENTEUR de L A.S.S.R.2 ou de L

Plus en détail

Synthèse du questionnaire en ligne

Synthèse du questionnaire en ligne èmes Rencontres Régionales pour la Biodiversité VENDREDI SEPTEMBRE 0 Université de Caen Basse-Normandie Amphithéâtre Oresme Vers un observatoire régional de la biodiversité en Basse-Normandie Synthèse

Plus en détail

> Mettre une croix dans les cases correspondantes Répondre aux deux consignes

> Mettre une croix dans les cases correspondantes Répondre aux deux consignes La signalisation /20 > Mettre une croix dans les cases correspondantes Répondre aux deux consignes A / Accès interdit aux cyclistes... B / Débouché de cyclistes venant de gauche ou de droite... C / Piste

Plus en détail

Les 5 étapes du management des. risques routiers. pour les entreprises et les collectivités

Les 5 étapes du management des. risques routiers. pour les entreprises et les collectivités Les 5 étapes du management des risques routiers pour les entreprises et les collectivités Qu'est-ce que le C.P.A.T.S.? Le C.P.A.T.S., Centre de Psychologie Appliquée aux Transports et à leur Sécurité,

Plus en détail

LA SECURITE ROUTIERE et l ASSR

LA SECURITE ROUTIERE et l ASSR LA SECURITE ROUTIERE et l ASSR Introduction: - Les accidents de la route constituent la première cause de mortalité chez les jeunes de 15 à 24 ans. - C'est entre 14 et 18 ans qu'il y a le plus de cyclomotoristes

Plus en détail

Dossier de presse Jeudi 27 novembre 2008

Dossier de presse Jeudi 27 novembre 2008 «Téléphoner en conduisant multiplie par 5 les risques d accident» Lancement d une campagne nationale télévisée, radio et Internet pour alerter les Français sur les dangers du téléphone en situation de

Plus en détail

Jeunes& Sécurité Routière

Jeunes& Sécurité Routière LIVRE BLANC Jeunes& Sécurité Routière décembre 2007 Des propositions pour réduire le risque d accident de la route chez les jeunes Pour réduire le risque d accident de la route chez les jeunes, deux

Plus en détail

LES ACCIDENTS DE TRAJET

LES ACCIDENTS DE TRAJET QUATRIEME SEMAINE NATIONALE DES ACCIDENTES DE LA VIE «STOP AUX ACCIDENTS DE TRAJET» Du 13 au 19 octobre 2008 LES ACCIDENTS DE TRAJET FNATH, association des accidentés de la vie - Siège national 47, rue

Plus en détail

Conducteurs et passagers: à chacun ses responsabilités

Conducteurs et passagers: à chacun ses responsabilités Conducteurs et passagers: à chacun ses responsabilités La sécurité du passager dépend pour une grande part du conducteur, mais il a aussi sa part de responsabilité. Des règles spécifiques en fonction du

Plus en détail

SOCIÉTÉ DE L ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC BILAN ROUTIER

SOCIÉTÉ DE L ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC BILAN ROUTIER SOCIÉTÉ DE L ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC BILAN ROUTIER 2013 SOMMAIRE Depuis 1978,... le nombre de décès a chuté de 77,4 %. Il y a eu 399 décès sur les routes en 2013, soit 22 de moins qu en 2012, ce

Plus en détail

Recensement des flottes de véhicules à motorisation alternative en Rhône-Alpes

Recensement des flottes de véhicules à motorisation alternative en Rhône-Alpes Recensement des flottes de véhicules à motorisation alternative en Rhône-Alpes Estimation du potentiel de développement SYNTHÈSE DES RÉSULTATS 2014 avec le soutien de Enquête 2014 Pour la seconde fois

Plus en détail

CIRCULATION DES PIETONS ET DES DEUX ROUES: cas du Cameroun

CIRCULATION DES PIETONS ET DES DEUX ROUES: cas du Cameroun CIRCULATION DES PIETONS ET DES DEUX ROUES: cas du Cameroun Présenté par : M. BEKOLO MINKOUMOU Sous-directeur en charge de l Entretien Routier au Ministère des Travaux Publics Yaoundé Cameroun INTRODUCTION

Plus en détail

Septembre 2010 - N 87 L édition 2010 du Game Fair en Loir-et-Cher Profil des visiteurs et impact économique. Enquête réalisée du 18 au 20 juin 2010

Septembre 2010 - N 87 L édition 2010 du Game Fair en Loir-et-Cher Profil des visiteurs et impact économique. Enquête réalisée du 18 au 20 juin 2010 Septembre 10 - N 87 L édition 10 du Game Fair en Loir-et-Cher Profil des visiteurs et impact économique Enquête réalisée du 18 au juin 10 Depuis 1987, le Game Fair a élu domicile dans le cadre prestigieux

Plus en détail

Stage de Récupération de Points de Permis

Stage de Récupération de Points de Permis Stage de Récupération de Points de Permis STAGE DE RECUPERATION DE POINTS DE PERMIS Quand réaliser votre stage?! Nous vous conseillons de l'effectuer dès que votre capital point est diminué de 4 points.

Plus en détail

LES DÉPLACEMENTS EN VÉHICULES un risque pour l entreprise

LES DÉPLACEMENTS EN VÉHICULES un risque pour l entreprise LES DÉPLACEMENTS EN VÉHICULES un risque pour l entreprise Guide de sensibilisation ACCIDENTS DE CIRCULATION AU TRAVAIL Mission - Trajet LES ENJEUX DE LA PREVENTION DU RISQUE ROUTIER ENCOURU PAR LES SALARIES

Plus en détail

La Réforme 2010. - Je peux stationner dans une zone de rencontre uniquement sur des emplacements aménagés.

La Réforme 2010. - Je peux stationner dans une zone de rencontre uniquement sur des emplacements aménagés. La Réforme 2010 - La consommation de drogue peut être décelée avec un test salivaire ou urinaire. - La première cause de mortalité des jeunes de 18 à 24 ans au volant est l alcool. - Dans une «zone 30»les

Plus en détail

CENTRE DE CONNAISSANCE SÉCURITE ROUTIÈRE

CENTRE DE CONNAISSANCE SÉCURITE ROUTIÈRE CENTRE DE CONNAISSANCE SÉCURITE ROUTIÈRE BLIND SPOT ACCIDENT CAUSATION (BLAC) ETUDE MULTIDISCIPLINAIRE APPROFONDIE SUR LES ACCIDENTS ENTRE POIDS LOURDS ET USAGERS FAIBLES EN FLANDRE-ORIENTALE ET EN FLANDRE-OCCIDENTALE

Plus en détail

Synthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers

Synthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Synthèse Contrat d Objectifs Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Rédaction Christiane LAGRIFFOUL () Nadine COUZY (DR ANFA

Plus en détail

Alcool au volant : tous responsables? La question de la co-responsabilité sera enfin posée au Tribunal de Saint Nazaire

Alcool au volant : tous responsables? La question de la co-responsabilité sera enfin posée au Tribunal de Saint Nazaire DOSSIER DE PRESSE 01/09/2014 Alcool au volant : tous responsables? La question de la co-responsabilité sera enfin posée au Tribunal de Saint Nazaire Avec l appui de la Ligue Contre la Violence Routière,

Plus en détail

TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse

TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE Dossier de Presse Contacts presse OFDT : Julie-Emilie Adès/ 01 53 20 95 16 / juade@ofdt.fr MILDT: Patrick Chanson / 01 44 63 20

Plus en détail

Réduire le risque routier Une stratégie pour un utilitaire plus sûr

Réduire le risque routier Une stratégie pour un utilitaire plus sûr DOSSIER DE PRESSE 28 avril 2011 * Réduire le risque routier Une stratégie pour un utilitaire plus sûr Contact presse : L Assurance Maladie Risques Professionnels Marie-Eva PLANCHARD 01 72 60 22 88 marie-eva.planchard@cnamts.fr

Plus en détail

Campagne motards 2015 Les chiffres

Campagne motards 2015 Les chiffres Campagne motards 2015 Les chiffres Le printemps est synonyme du retour de nombreux motards sur nos routes. Le mois d avril marque également le début de la période la plus meurtrière pour les motards. Même

Plus en détail

BILAN ROUTIER 2014. Société de l assurance automobile du Québec

BILAN ROUTIER 2014. Société de l assurance automobile du Québec BILAN ROUTIER 2014 Société de l assurance automobile du Québec SAAQ BILAN ROUTIER 2014 1 SOMMAIRE IL Y A EU 336 DÉCÈS SUR LES ROUTES EN 2014, SOIT 55 DE MOINS QU EN 2013, CE QUI REPRÉSENTE UNE DIMINUTION

Plus en détail

CONCOURS EUROPEEN D EDUCATION ROUTIERE FIA REGLEMENT 2015

CONCOURS EUROPEEN D EDUCATION ROUTIERE FIA REGLEMENT 2015 CONCOURS EUROPEEN D EDUCATION ROUTIERE FIA REGLEMENT 2015 3-6 Septembre 2015 Vienne, Autriche 1. Objectifs et but du Concours Les dispositions juridiques et techniques touchant à la circulation routière,

Plus en détail

En savoir plus? www.securite-routiere.gouv.fr

En savoir plus? www.securite-routiere.gouv.fr En savoir plus? www.securite-routiere.gouv.fr twitter.com/routeplussure Délégation à la sécurité et à la circulation routières Place des Degrés Tour Pascal B 92055 LA Défense Cedex DSCR - AVRIL 2013 -

Plus en détail

Quel aménagement choisir?

Quel aménagement choisir? GUIDE MÉTHODOLOGIQUE 1 Quel aménagement choisir? SPW Éditions Les aménagements cyclables en Wallonie Routes 1 Rédaction Benoît Dupriez (IBSR) Comité de rédaction Didier Antoine, Isabelle Dullaert, Raphaël

Plus en détail

Les nouvelles offres de transport partagé dans les politiques de mobilité

Les nouvelles offres de transport partagé dans les politiques de mobilité Les nouvelles offres de transport partagé dans les politiques de mobilité Le cas de Montréal Marc Blanchet - Ville de Montréal Directeur direction des transports Préparé par : Service des infrastructures,

Plus en détail

Présenté par Constable Perry Madelon Road Safety Unit Traffic Branch

Présenté par Constable Perry Madelon Road Safety Unit Traffic Branch Présenté par Constable Perry Madelon Road Safety Unit Traffic Branch Qu est-ce que la distraction au volant? La distraction au volant s entend de tout ce qui détourne l attention accordée à la conduite.

Plus en détail

CONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016

CONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016 Département Administration Paris, le 3 mars 2014 et Gestion Communales VP/AH/Note 11 Affaire suivie par Véronique PICARD CONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016 La continuité - maintien du montant

Plus en détail

Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique. Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008

Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique. Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008 Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008 Sommaire 1. Périmètre du débat et méthodologie des contributions

Plus en détail

Action de soutien à la mobilité

Action de soutien à la mobilité UNION EUROPÉENNE Fonds social européen Investit pour votre avenir PROGRAMME DEPARTEMENTAL D INSERTION 2012-2016 APPEL A PROJETS 2015 Action de soutien à la mobilité Date de lancement de l appel à projets

Plus en détail

Le permis auto se modernise RÉFORME DU PERMIS DE CONDUIRE : BILAN D ÉTAPE, UN AN APRÈS. Dossier de presse Jeudi 7 janvier 2010

Le permis auto se modernise RÉFORME DU PERMIS DE CONDUIRE : BILAN D ÉTAPE, UN AN APRÈS. Dossier de presse Jeudi 7 janvier 2010 Le permis auto se modernise RÉFORME DU PERMIS DE CONDUIRE : BILAN D ÉTAPE, UN AN APRÈS Dossier de presse Jeudi 7 janvier 2010 Sommaire La réforme du permis de conduire : bilan d étape, un an après... P.3

Plus en détail

INSTRUCTION INTERMINISTÉRIELLE SUR LA SIGNALISATION ROUTIÈRE du 22 octobre 1963

INSTRUCTION INTERMINISTÉRIELLE SUR LA SIGNALISATION ROUTIÈRE du 22 octobre 1963 INSTRUCTION INTERMINISTÉRIELLE SUR LA SIGNALISATION ROUTIÈRE du 22 octobre 1963 3 ème PARTIE : Intersections et régimes de priorité Approuvée par l arrêté du 26 juillet 1974 relatif à la signalisation

Plus en détail

LE DIETETICIEN AU SEIN DES COLLECTIVITES TERRITORIALES

LE DIETETICIEN AU SEIN DES COLLECTIVITES TERRITORIALES LE DIETETICIEN AU SEIN DES COLLECTIVITES TERRITORIALES Sommaire : Les missions page 2 Les secteurs d interventions page 2 Les contacts privilégiés page 3 Les cibles : A La restauration collective 1. Objectifs

Plus en détail

LE permis moto Et CYCLomotEUr (permis A)

LE permis moto Et CYCLomotEUr (permis A) LE permis moto et CYCLOMOTEUR * (PERMIS A) * à partir du 1 mai 2013 EXPERIENCE ET CONFIANCE Balade du dimanche, week-end d évasion, traversée des embouteillages sans perte de temps, les raisons d adopter

Plus en détail