Rapport d intervention

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Rapport d intervention"

Transcription

1 Rapport d intervention EN Nom et adresse du destinataire N du rapport N du dossier d intervention CONSTRUCTION JG INC I RUE HOUSSART CAP-DE-LA-MADELEINE QUEBEC G8T9C1 N Éta ou ENL N de chantier F3234 N région 15 Adresse du lieu de travail Année mois jour heure minute Début de l intervention SITE D ENFOUISSEMENT RECYCLAGE D ALUMINIUM QUEBEC 695 RUE DUTORD BECANCOUR Heures Durée de l intervention minutes Adressé à : N de téléphone Référence Nom de l intervenant N de l intervenant Oui Non Visite PLANTE GASTON, ING X Rapport RAPPORT DISTRIBUÉ À : MONSIEUR, PRES. MAITRE D ŒUVRE DR ANDRE-GILLES TRAHAN, CORONER DR PIERRE MORIN, CORONER EN CHEF.

2 RAPPORT D'ENQUÊTE D'ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE MAURICIE BOIS-FRANCS Le 20 mars 1996, vers 13h40, dans une tranchée située sur le site d'enfouissement de Recyclage d'aluminium Québec inc. à Bécancour, Qc, une paroi s'effondre, causant le décès du surintendant, M. "A" et blessant légèrement M. "B", travailleur. 2 de 23

3 TABLE DES MATIÈRES SECTION I RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX SUR L'ACCIDENT... 5 PAGE 1. 1 Sommaire... 5

4 SECTION V C O N C L U S I O N Causes retenues Références BIBLIOGRAPHIE ANNEXES Annexe 1 Photographies Annexe 2 Témoignages Annexe 3 Vue en plan du site Annexe 4 Vue en coupe Annexe 5 Coupe-type du drain Annexe 6 Coupe transversale de la tranchée à l'endroit de l'accident Annexe 7 Coupe transversale de la tranchée avec équipements Annexe 8 Note personnelle de monsieur "A" Annexe 9 Étude géotechnique Annexe 10 Annexe 11 Annexe 12 Annexe 13 Informations complémentaires Position finale après rupture Position finale après rupture Calculs du coefficient de sécurité 4 de 23

5 SECTION X RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX SUR L'ACCIDENT 1. 1 SOMMAIRE Alors que l'on procède à des travaux d'excavation pour la pose d'un drain ceinturant les cellules d'un site d'enfouissement de déchets industriels, une des parois de la tranchée s'effondre, ensevelissant entièrement monsieur "A" et enterrant monsieur "B" jusqu'au haut de la cuisse. M. "A" est tué sur le coup, tandis que M. "B" subit de légères blessures aux jambes DATE ET HEURE L'accident s'est produit le 20 mars 1996 vers 13h ACCIDENTÉS Personne décédée: Nom: M."A" Sexe: Masculin Âge: Fonction habituelle: Surintendant Années d'expérience: 20 ans Années à l'emploi de la firme: 2 jours Allégeance syndicale: dossier d'indemnisation: Nom de l'employeur: Travailleur autonome Activité au moment de l'accident: 5 de 23

6 Personne accidentée: Nom: M."B" Sexe: Masculin Âge: Fonction habituelle: manoeuvre spécialisé Années d'expérience: 27 ans Années à l'emploi de la firme: 2 jours Allégeance syndicale: dossier d'indemnisation: Nom de l'employeur: Construction JG inc. Activité au moment de l'accident: M. "B" était dans la tranchée près de M. "A" 6 de 23

7 SECTION II DESCRIPTION GÉNÉRALE 2. 1 DESCRIPTION DE L'ACTIVITÉ PRINCIPALE DU CHANTIER Construction JG inc. est un entrepreneur général en construction. Pour effectuer ce contrat il a utilisé les services d'un travailleur autonome à titre de surintendant. Il s'agit de monsieur "A". Le lieu des travaux est le site d'enfouissement de déchets industriels de la firme Recyclage d'aluminium du Québec inc. Il s'agit de poser un drain ceinturant les nombreuses cellules d'enfouissement (voir annexe 3). Ce drain a pour but de capter les contaminants pouvant migrer dans le sol à partir des cellules et éventuellement contaminer la nappe phréatique à l'extérieur des cellules. Ce drain doit conduire par gravité l'eau captée et éventuellement contaminée vers un fossé de surface au débit suffisant pour assurer une dilution rencontrant les normes gouvernementales. Toutefois une erreur au plan initial nécessite une modification à ce même plan. En effet, ayant découvert que l'eau du drain ne peut s'écouler par gravité jusqu'au fossé de surface, il est convenu qu'un puits de pompage soit installé à l'extrémité aval du drain afin d'y emmagasiner l'eau et de pouvoir la pomper par la suite vers le fossé initialement prévu (voir annexe 4). Il s'agit donc d'excaver dans le sol meuble jusqu'au niveau du roc, d'excaver également à même le roc et d'y poser au fond un conduit de drainage de 150 mm de diamètre (voir annexe 5). Le remblayage de la tranchée creusée dans le roc se fait avec du sable d'une épaisseur d'au moins 600 mm et dans tous les cas d'au moins 150 mm au-dessus du niveau du roc. Une membrane géotextile est par la suite installée pour recouvrir le sable et empêcher la contamination du sable par le silt argileux servant au remblayage de la partie supérieure de la tranchée (voir annexe 5). 7 de 23

8

9 SECTION III

10 présent dans ce mélange, il provient de l'excavation faite dans le roc, au fond complètement de la tranchée. De ce côté de l'excavation, il y a alors 4, 8 mètres de sol meuble au-dessus du roc. Du côté opposé à la paroi qui s'est effondrée, la couche de

11 excavation, ses chenilles prenant appui sur le roc. C'est cette seconde excavatrice qui excave le roc, qui est utilisée pour la

12 SECTION IV DESCRIPTION DE L'ACCIDENT 4. 1 CHRONOLOGIE DE L'ACCIDENT L'équipe de travail est constituée de six personnes. messieurs "A",surintendant; M. "C" opérateur de chargeur; MM. "D" et "E" opérateurs de pelle; MM. "F" et "B" manoeuvres spécialisés. Ce sont Monsieur "C" est au volant du chargeur. Il est chargé d'apporter le sable gui servira au remblayage de la tranchée dans le roc. Monsieur "D" opère la pelle hydraulique située du côté droit de l'excavation. Il procède à la pré-excavation de la tranchée. Monsieur "E" opère la seconde pelle hydraulique qui se trouve au fond de l'excavation. Monsieur "B" est "homme de fond" dans le jargon du métier. Il est affecté à la pose proprement dite du conduit. Pour ce, il s'assure du bon niveau du fond de l'excavation et du nivellement final de l'assise du tuyau, pose le conduit à l'élévation prévue et procède à la compaction si requise. Monsieur "F" l'assiste dans cette tâche. Peu avant l'accident, monsieur "F" se trouve à la surface: un conduit d'évent (R-4) a été installé et il en termine la pose en fixant un bouchon à l'extrémité supérieure du conduit. Monsieur "E" fait pivoter la pelle de fond après avoir remblayé de sable une bonne partie du canal dans le roc. Il fait dos à la tranchée dans le roc. Il procède au nivellement de la surface juste au-dessus du roc pour assurer une assise stable et uniforme aux chenilles de sa pelle hydraulique. Avant de la faire pivoter, il voit monsieur "A" descendre l'échelle et se diriger au fond de la tranchée. Celui-ci en effet va rejoindre monsieur "B" qui se trouve lui-même complètement au fond de la tranchée. Monsieur "A" donne une directive à monsieur "B". Le sable servant au remblayage de la tranchée dans le roc est en 12 de 23

13 pente assez raide mais permet toutefois de descendre au niveau du conduit et également de sortir de la tranchée. Monsieur "A" se trouve maintenant presqu'au niveau du conduit et monsieur "B" est à côté de lui, mais un peu plus haut dans le sable. Le niveau supérieur du roc lui arrive aux épaules. Monsieur "A" voit la paroi située du côté de la clôture commencer à glisser. Vite, il avertit M. "B" de sortir. Celui-ci part aussi vite qu'il le peut, mais il est difficile de se déplacer rapidement dans du sable lâche et en pente. Il n'a le temps que de faire deux ou trois pas. Il se retrouve coincé, les jambes contre la paroi de roc. Il est enterré jusqu'au haut de la cuisse. Un gros bloc de silt argileux s'est immobilisé près de lui. Il tente de le pousser de sa main droite. Cette masse près de lui est apeurante. Va-telle à nouveau bouger? Cette masse, si elle avait glissé plus loin, l'aurait broyé. Il ne voit plus monsieur "A".Il cherche des yeux. Il l'appelle. Personne, sauf eux, n'a vu le sol glisser. Monsieur "B" voit l'arrière de la pelle. Monsieur "A" n'a pas vu le sol glisser, mais il a entendu les broches de la clôture "crisser": il a cru qu'un opérateur de pelle l'avait accroché. Il se retourne et voit que la paroi s'est effondrée. Monsieur "A" n'est plus là. Monsieur "B" lui semble assis, les jambes prises dans la glaise. Le chargeur est loin de la tranchée. Il fait signe d'arrêter à l'opérateur. Quant à monsieur "E", il voit monsieur "F" lui faire des signes et il lui semble qu'il crie. Il fait complètement pivoter sa pelle et réalise que la paroi s'est effondrée. Il est 13h40. On dégage monsieur "B" qui s'en tire presqu'indemne. Ce n'est que plus tard dans l'après-midi que le corps de monsieur "A" sera retrouvé, enseveli sous environ 1, 2 mètre de sol CONSTATATIONS ET INFORMATIONS RECUEILLIES Les témoignages, les photos et les différentes mesures prises sur les lieux de l'accident permettent de faire un plan des lieux peu avant l'accident. C'est ce plan qu'on retrouve à l'annexe de 23

14 On retiendra pour les fins de ce rapport les suivantes: informations - C'est environ 9 mètres linéaires de la paroi de la tranchée qui se sont effondrés au moment de l'accident (photographie n 3). - Le plan de glissement au niveau de la partie supérieure du sol se situe à environ 1, 5 mètre à l'arrière de la clôture par rapport à la tranchée (photographie n 4). - La flèche ajourée sur la photographie n 2 et la flèche sur la photographie n 4 indiquent l'endroit où avait eu lieu un petit éboulis le matin, selon le témoignage de M. "E". - Il y avait entre 0, 4 et 0, 6 mètre de sol naturel gelé, i. e. plus bas que le niveau de l'herbe (photographie n 5). - Les piquets de clôture ont été entraînés dans l'effondrement de la paroi. Ils étaient pris dans le sol gelé. - La pente de la paroi du fossé existant est d'environ 40 (photographie n 6). - Les matériaux lâches (schiste argileux) provenant de la tranchée dans le roc et déposés au sommet de la paroi par la pelle hydraulique, Poclain 350, ajoutaient du poids. Il en est de même pour le sable d'apport accumulé au sommet de cette même paroi (photographie n 7). - La comparaison attentive entre les photographies n 8 (prise le en après-midi) et n 9 (prise le en avantmidi) indiquent que d'autres effondrements se sont produits en amont et en aval du lieu de l'accident. Au total, c'est environ 28 mètres de parois de tranchée qui se sont effondrés (photographie n 10). On remarque que la localisation des plans de glissement est sensiblement la même. - Les galettes de terre gelée qui ont glissées au fond de la tranchée avaient environ 2, 9 mètres de largeur (photographie n 11). - L'angle par rapport à l'horizontale (mesurée sur place avec un clinomètre) de la paroi située du côté opposé au glissement était de 51, voir photographie n de 23

15 - Les témoignages recueillis évaluent la pente à environ 2 dans 1 pour la paroi de la tranchée qui s'est effondrée. Une telle pente correspond à 63, 4. - Les photographies nos 13 et 14 montrent un angle d'environ 70 pour la paroi située à côté de la pelle Poclain. - La largeur hors-tout des chenilles de la pelle hydraulique, Poclain 350, est de 4, 18 mètres. L'excavation au niveau du schiste altéré est nécessairement un peu plus large que 4, 18 mètres. - La largeur de la benne de cette même pelle hydraulique est 1, 47 mètre. La largeur de la tranchée dans le roc est donc un peu plus large que 1, 47 mètre. Les notes personnelles de monsieur "A" pour la journée du 13 mars 1996 (voir annexe 8) apportent des explications sur la méthode de travail utilisée. Cette façon de faire, c'est-à-dire de procéder à une préexcavation et d'excaver le roc à l'aide d'une pelle hydraulique située au fond de l'excavation de sol meuble, n'est pas la façon usuelle de procéder. On se rappellera cependant qu'une erreur au plan de construction a nécessité la pose d'un puits de pompage pour accumuler l'eau provenant du drain à poser. Demeurait toutefois un problème. Il fallait évacuer l'eau de surface venant du fossé existant et s'accumulant au fond de la tranchée. Techniquement il est impensable d'espérer faire des travaux de qualité si l'eau du fossé arrivant dans la tranchée n'est pas éliminée. On tenta alors de résoudre le problème en effectuant une pré-excavation immédiatement à l'arrière de la pelle Poclain pour y accumuler l'eau. Par contre, lorsque cette même pelle a eu à circuler sur cette argile, on a vite réalisé qu'elle s'y enliserait parce que ce type de sol (silt argileux de la vallée du St-Laurent) est à très faible capacité portante. Il fallait sans faute éliminer l'eau. Inverser la pente du fossé fût alors la solution retenue pour changer le sens de l'écoulement de l'eau. Par contre, pour modifier la pente du fossé, il fallait creuser et par conséquent enlever la couche herbeuse à la surface. Il fallait également niveler le sol sous la pelle hydraulique appelée à poser le drain. Ces opérations mettaient elles aussi à nu la couche de silt argileux. 15 de 23

16 On se retrouvait avec la même situation, la pelle hydraulique ne portait plus. Elle s'enlisait. Il fallait nécessairement creuser jusqu'au roc en pré-excavation, et ce, après avoir excavé pour inverser la pente du fossé. Le témoignage de monsieur "D" indique que l'on creusa de 0, 15 mètre au départ et jusqu'à 0, 9 mètre à l'autre bout du fossé existant. Comme reprofiler le fossé dans son axe n'en enlevait pas l'eau, un émissaire fût excavé pour vider le fossé de son eau. Cette page des notes personnelles de monsieur "A" relate de plus un incident important. "Ensuite nous avons essayé de refaire le puits de pompage et nous n'y sommes pas parvenus à cause d'un glissement de terrain. " Une étude géotechnique fût commandée et l'on en trouve copie à l'annexe 9. Cette étude consigne les résultats des différentes analyses effectuées sur des échantillons de sol prélevés dans le voisinage immédiat du lieu de l'accident. Ces échantillons ont toutefois été prélevés à une distance suffisante pour permettre d'affirmer que les travaux postérieurs à l'accident n'en invalident pas les valeurs. Elle est toutefois limitée aux informations concernant la couche inférieure de sol meuble, soit celle située immédiatement au-dessus du roc. L'expérience et une connaissance minimale du comportement des sols permet d'affirmer que ce sont les propriétés de cette couche qui influenceront le plus la stabilité ou non de la paroi de l'excavation. Pour comprendre ces résultats, un minimum d'information est requis et nous tentons de les résumer à l'annexe 10 qui traite des sols et de leur processus de rupture ÉNONCÉ ET ANALYSE DES CAUSES POSSIBLES Les témoignages recueillis et les constats faits lors de l'enquête nous portent à émettre et à analyser les causes possibles suivantes: - circulation d'un équipement lourd près du sommet de la paroi - présence d'un remblai - reprofilage du fossé existant - présence d'une pré-excavation 16 de 23

17 - épaisseur croissante de la couche de mort-terrain - pente de la tranchée - augmentation du niveau de la nappe phréatique

18

19 la tranchée a très peu varié du début des travaux jusqu'au

20 SECTION V CONCLUSION 5. 1 CAUSES RETENUES La cause retenue pour expliquer l'effondrement de la paroi ayant enseveli monsieur "A" est une combinaison des causes précédentes retenues rendant à un moment précis l'accident réalisable. La cause retenue est donc une pente trop abrupte de la tranchée, surchargée par la présence d'un remblai, affaiblie dans le temps par le reprofilage du fossé et par la présence d'une préexcavation, d'une stabilité diminuée par l'épaisseur croissante de la couche de mort-terrain. C'est donc la somme de ces facteurs qui a permis l'effondrement de la paroi, i. e. l'effondrement d'une paroi survenant lorsque les forces favorisant l'effondrement (poids propre du sol et surcharge) ne sont plus contrées par la résistance au cisaillement du sol présente dans le plan de rupture. Les annexes 11 et 12 montrent en coupe le cercle de rupture et la position finale des sols après l'effondrement de la paroi. On se souviendra que la tranchée dans le roc n'était pas comblé de sable en amont de la position de messieurs "A" et "B" et l'était en aval. La position finale des sols s'en trouve différente. En effet dans un cas, l'argile comble la tranchée dans le roc (annexe 11), alors que dans l'autre cas, elle "glisse" sur le sable (annexe 12). La sensibilité au remaniement explique que deux surfaces de sol glissent si facilement l'une sur l'autre. Une fois le glissement amorcé, l'argile de l'interface s'en trouve remaniée par le glissement même. Elle se liquéfie et devient comme une pellicule d'huile entre deux pièces de métal, ou comme une peau de banane sous les pieds. La partie effondrée peut glisser loin de son point de départ. 20 de 23

21 Quant aux autres glissements dont il a été fait mention, ils

22 2 lorsque les parois de la tranchée ou de l'excavation ne présentent pas de danger de glissement de terrain et que

23 BIBLIOGRAPHIE HOSSEINI, Mohammad, ing., PhD., Dr. Cours de Sécurité des travaux d'excavations et de tranchées avec études de cas. Consultant Sol-Géo inc., avril HOUGH, B. K. Basic soils engineering. The Ronald Press Company, second édition, United States of America, 1957, 634 p.

RAPPORT D'ENQUÊTE D'ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE DE L'ÎLE DE MONTRÉAL-5

RAPPORT D'ENQUÊTE D'ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE DE L'ÎLE DE MONTRÉAL-5 EN003100 RAPPORT D'ENQUÊTE D'ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE DE L'ÎLE DE MONTRÉAL-5 ACCIDENT MORTEL SURVENU À UN TRAVAILLEUR LE 30 MAI 1998 À L'USINE VIAU, FABRICATION CULINAR INC. SITUÉE AU 2097, RUE VIAU

Plus en détail

RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE

RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE Des règles différentes peuvent s appliquer dans le cas d un commerce. Informez-vous

Plus en détail

RAPPORT D'ENQUÊTE D'ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE ÎLE-DE-MONTRÉAL-1 ACCIDENT MORTEL SURVENU À UN EMPLOYEUR AU 426, RUE GAGNÉ, LASALLE LE 7 JUILLET 2003

RAPPORT D'ENQUÊTE D'ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE ÎLE-DE-MONTRÉAL-1 ACCIDENT MORTEL SURVENU À UN EMPLOYEUR AU 426, RUE GAGNÉ, LASALLE LE 7 JUILLET 2003 EN003429 RAPPORT D'ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE ÎLE-DE-MONTRÉAL-1 ACCIDENT MORTEL SURVENU À UN EMPLOYEUR AU 426, RUE GAGNÉ, LASALLE LE 7 JUILLET 2003 PAUL LÉTOURNEAU, ING., INSPECTEUR TABLE DES MATIÈRES

Plus en détail

Muret Laurentien MC. Classique et Versatile

Muret Laurentien MC. Classique et Versatile Muret Laurentien MC Classique et Versatile Le muret Laurentien par son look classique s agence à toutes nos gammes de pavé. Qualités et caractéristiques Intégration particulièrement harmonieuse du muret

Plus en détail

Règlement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011

Règlement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011 Règlement numéro 346 LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT Avril 2011 VOS RESPONSABILITÉS LIÉES AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT DE VOTRE IMMEUBLE Protection

Plus en détail

Les mesures à l'inclinomètre

Les mesures à l'inclinomètre NOTES TECHNIQUES Les mesures à l'inclinomètre Gérard BIGOT Secrétaire de la commission de Normalisation sols : reconnaissance et essais (CNSRE) Laboratoire régional des Ponts et Chaussées de l'est parisien

Plus en détail

1 la loi: la loi du 4 août 1996 relative au bien-être des travailleurs lors de l'exécution de leur travail;

1 la loi: la loi du 4 août 1996 relative au bien-être des travailleurs lors de l'exécution de leur travail; Arrêté royal du 30 août 2013 fixant des dispositions générales relatives au choix, à l'achat et à l'utilisation d'équipements de protection collective (M.B. 7.10.2013) Chapitre I er. - Dispositions relatives

Plus en détail

AMÉNAGEMENT DE BUREAU ACHAT DE MOBILIERS ET D ACCESSOIRES DE BUREAU CRITÈRES ERGONOMIQUES

AMÉNAGEMENT DE BUREAU ACHAT DE MOBILIERS ET D ACCESSOIRES DE BUREAU CRITÈRES ERGONOMIQUES AMÉNAGEMENT DE BUREAU ACHAT DE MOBILIERS ET D ACCESSOIRES DE BUREAU CRITÈRES ERGONOMIQUES Service des ressources humaines Secteur santé et sécurité du travail Janvier 2007 Depuis plus de 15 ans, le Secteur

Plus en détail

INSTRUCTIONS COMPLÉTES

INSTRUCTIONS COMPLÉTES INSTRUCTIONS COMPLÉTES Le Service de plans du Canada, un organisme fédéral-provincial, favorise le transfert de technologie au moyen de feuillets, de croquis et de plans de construction qui montrent comment

Plus en détail

Appareil de type fauteuil monte-escalier

Appareil de type fauteuil monte-escalier modèle 80 Appareil de type fauteuil monte-escalier Fonctionne sur batteries points de chargement en haut et en bas, alarme sonore si l'appareil n'est pas stationné sur le plot de chargement. Programmation

Plus en détail

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions

Plus en détail

MUNICIPALITÉ DE SAINTE-BARBE RÈGLEMENT NUMÉRO 2013-02 SUR LES BRANCHEMENTS D'ÉGOUT ET D AQUEDUC CODIFICATION ADMINISTRATIVE

MUNICIPALITÉ DE SAINTE-BARBE RÈGLEMENT NUMÉRO 2013-02 SUR LES BRANCHEMENTS D'ÉGOUT ET D AQUEDUC CODIFICATION ADMINISTRATIVE MUNICIPALITÉ DE SAINTE-BARBE RÈGLEMENT NUMÉRO 2013-02 SUR LES BRANCHEMENTS D'ÉGOUT ET D AQUEDUC CODIFICATION ADMINISTRATIVE MARS 2014 Municipalité de Sainte-Barbe Amendements au règlement numéro 2013-02

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important

Plus en détail

MISAPOR verre cellulaire

MISAPOR verre cellulaire MISAPOR verre cellulaire Remblai allégé pour ouvrage en génie civile 2015-03 Suisse: Allemagne: France: MISAPOR AG Löserstrasse 2 CH-7302 Landquart Téléphone +41 81 300 08 08 Fax +41 81 300 08 09 info@misapor.ch

Plus en détail

SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM

SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM Nouvelle solution en grès cérame grande épaisseur pour l aménagement extérieur. Dalles en grès cérame fin coloré pleine masse de 2 cm d épaisseur, obtenues par atomisation

Plus en détail

Politique relative aux accidents ou aux incidents

Politique relative aux accidents ou aux incidents Section Politique relative aux accidents ou aux incidents Transport sécurité Date Juin 2003 Page 1 sur 4 Révision Janvier 2014 M04 303 Politique Dans le cas d'un accident ou d'un incident impliquant un

Plus en détail

Avant d aller à la recherche d un terrain

Avant d aller à la recherche d un terrain Choisir un terrain Bien choisir un terrain pour construire une maison solide Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité de la construction.

Plus en détail

RAPPORT D'ENQUÊTE SUR ÉVÉNEMENT AÉRONAUTIQUE

RAPPORT D'ENQUÊTE SUR ÉVÉNEMENT AÉRONAUTIQUE RAPPORT D'ENQUÊTE SUR ÉVÉNEMENT AÉRONAUTIQUE COLLISION AVEC UN VÉHICULE AIR FRANCE BOEING 747-200 F-BPVV AÉROPORT INTERNATIONAL DE MONTRÉAL / MIRABEL (QUÉBEC) 15 OCTOBRE 1995 RAPPORT NUMÉRO A95Q0206 Le

Plus en détail

Systèmes de stockage simples à installer et économiques

Systèmes de stockage simples à installer et économiques Systèmes de stockage simples à installer et économiques Parallèlement à l accroissement et à l ampleur des événements pluviométriques, l accélération et l augmentation des débits de pointe accentuent de

Plus en détail

RAPPORT D ENQUÊTE D ACCIDENT

RAPPORT D ENQUÊTE D ACCIDENT EN003548 RAPPORT D ENQUÊTE D ACCIDENT Direction régionale de Montréal 1 Accident mortel survenu à un travailleur le 10 mars 2004 sur la rue Dickson à Montréal Inspectrice : Line Goulet, ing. Date du rapport

Plus en détail

Instructions de montage

Instructions de montage LA SÉCURITÉ AU PLUS HAUT NIVEAU Easi - Dec Plateforme d accès de 2 mètres Instructions de montage Kee Safety SAS 30 bld Pasteur 75015 Paris Tél : + 33 1 53 58 14 26 Fax : + 33 1 53 58 14 11 Dispositif

Plus en détail

Estimation, 2 e édition

Estimation, 2 e édition Estimation, 2 e édition Solutionnaire Chapitre 10 Exercice 10.1 LES BONNES CONSTRUCTIONS Inc. Montréal, le 30 mars 2006 Clinique Docteur Macabée À l attention du Dr Macabée Objet : Construction de la Clinique

Plus en détail

Logiciel pavages drainants mode d emploi

Logiciel pavages drainants mode d emploi Logiciel pavages drainants mode d emploi FEBESTRAL a développé, en collaboration avec le Centre de Recherches Routières (CRR), un logiciel de calcul pour pavages drainants. Ce programme vous guide lors

Plus en détail

RÈGLEMENT #2005-08 RELATIF AUX BRANCHEMENTS À L'ÉGOUT ET À L AQUEDUC

RÈGLEMENT #2005-08 RELATIF AUX BRANCHEMENTS À L'ÉGOUT ET À L AQUEDUC RÈGLEMENT #2005-08 RELATIF AUX BRANCHEMENTS À L'ÉGOUT ET À L AQUEDUC RÈGLEMENT NUMÉRO 2005-08 RELATIF AUX BRANCHEMENTS À L ÉGOUT ET À L AQUEDUC Type Règlement # Résolution # Date adoption Date d entrée

Plus en détail

Optimiser. la hauteur. d une table de travail REPÈRES POUR OPTIMISER LA HAUTEUR DE LA TABLE PREMIER REPÈRE LE TYPE DE TÂCHE

Optimiser. la hauteur. d une table de travail REPÈRES POUR OPTIMISER LA HAUTEUR DE LA TABLE PREMIER REPÈRE LE TYPE DE TÂCHE E R G O N O M I E Association paritaire pour la santé et la sécurité du travail du secteur de la fabrication de produits en métal, de la fabrication de produits électriques et des industries de l habillement

Plus en détail

Suite dossier d appel

Suite dossier d appel Suite dossier d appel Table des matières 1. INTRODUCTION... 3 2. TRAITEMENT D'UN APPEL... 4 2.1. TRAITEMENT EN DIRECT... 4 2.2. TRAITEMENT DIFFERE... 4 2.3. MECANISME DU TRAITEMENT D'UN APPEL AU NIVEAU

Plus en détail

Escalade durant l'e.p.s. à l'école primaire

Escalade durant l'e.p.s. à l'école primaire Escalade durant l'e.p.s. à l'école primaire Fabrice Paget B.E.E.S Escalade Tél : +336 88 31 14 72 fabrice.paget@orange.fr 1 Glossaire Effectifs Durée des séances Atelier escalade sans être encordée Traversées

Plus en détail

RAPPORT D'ENQUÊTE DPI4063250 RAP0319223 RAPPORT D ENQUÊTE. Direction régionale de Montréal 3

RAPPORT D'ENQUÊTE DPI4063250 RAP0319223 RAPPORT D ENQUÊTE. Direction régionale de Montréal 3 EN003584 RAPPORT D ENQUÊTE Direction régionale de Montréal 3 Accident mortel survenu à une personne le 15 octobre 2005 sur le site du Stationnement Idéal inc. au 1225, rue Metcalfe à Montréal Nicole Dionne,

Plus en détail

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».

Plus en détail

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers

Plus en détail

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,

Plus en détail

murs de soutènement et dalles patio

murs de soutènement et dalles patio murs de soutènement et dalles patio solide et esthétique Que ce soit pour votre jardin, votre entrée ou pour un projet de plus grande ampleur, choisir un design Pisa est l assurance d une solution gagnante

Plus en détail

MANUEL DE POSE PANNEAU ACIER. Une structure de hauteur 1m10/1m50 DES PRINCIPES BASIQUES (UN COTE PROFOND 1M50)

MANUEL DE POSE PANNEAU ACIER. Une structure de hauteur 1m10/1m50 DES PRINCIPES BASIQUES (UN COTE PROFOND 1M50) MANUEL DE POSE PANNEAU ACIER Une structure de hauteur 1m10/1m50 DES PRINCIPES BASIQUES (UN COTE PROFOND 1M50) 2 EXCAVATION Avant le travail d excavation, il est nécessaire de préparer la plate forme du

Plus en détail

LA PERTE DE CONSCIENCE

LA PERTE DE CONSCIENCE CES QUELQUES NOTIONS PEUVENT SAUVER DES VIES. PENSEZ Y SV D URGENCES Pompiers et service médical urgent : 100 Police : 101 L'HEMORRAGIE Comment reconnaître une hémorragie? Le sang s'écoule abondamment

Plus en détail

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof Une échelle est appuyée sur un mur. S il n y a que la friction statique avec le sol, quel est l angle minimum possible entre le sol et l échelle pour que l échelle ne glisse pas et tombe au sol? www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof

Plus en détail

STANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE

STANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE , ATTACHES ET RACCORDS DE PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 EMPLACEMENT DES 1.1.1 Les conduits posés devraient être indiqués sur les plans. Ils devraient être installés perpendiculairement aux lignes du bâtiment.

Plus en détail

Guide d installation Agrément n 2010-018

Guide d installation Agrément n 2010-018 Filtres EPURFIX COMPACT COCO PEHD 5 et 7E.H. C.P. (Série «Compact») Guide d installation Agrément n 2010-018 Ce GUIDE D INSTALLATION contient l information nécessaire à la préparation et à la réalisation

Plus en détail

Décharges. La meilleure protection des couches étanches à l eau. Décharges

Décharges. La meilleure protection des couches étanches à l eau. Décharges Décharges La meilleure protection des couches étanches à l eau Décharges Décharges LA MEILLEURE PROTECTION DES COUCHES ÉTANCHES À L EAU Les produits minéraux de drainage comme le gravier et le sable de

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. 1- Historique... 1. 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1

TABLE DES MATIÈRES. 1- Historique... 1. 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1 LA VENTILATION DES COUVERTURES 01-01-1998 TABLE DES MATIÈRES Page 1- Historique... 1 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1 3- Recommandations et investigations avant réfection... 3 4-

Plus en détail

JOURNEES DEPARTEMENTALES D INFORMATION REGION BOURGOGNE NON-CONFORMITES RECURRENTES

JOURNEES DEPARTEMENTALES D INFORMATION REGION BOURGOGNE NON-CONFORMITES RECURRENTES JOURNEES DEPARTEMENTALES D INFORMATION REGION BOURGOGNE NON-CONFORMITES RECURRENTES L. R. P. C. d Autun Florian SEMENTA Février / Mars 2007 Résultats statistiques Résultats statistiques CHEMINEMENT ~ Pourquoi

Plus en détail

PROPOSITION DE RÉVISION DU CODE 6 Logiciel de vérification du non-roulement continu

PROPOSITION DE RÉVISION DU CODE 6 Logiciel de vérification du non-roulement continu Codes normalisés de l OCDE pour les essais officiels de tracteurs agricoles et forestiers PROPOSITION DE RÉVISION DU CODE 6 Logiciel de vérification du non-roulement continu AVERTISSEMENT Ce document est

Plus en détail

Le chantier compte 4 étapes :

Le chantier compte 4 étapes : 02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton

Plus en détail

MISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE

MISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE Les informations techniques PROMOTELEC MISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE La sécurité des personnes contre un défaut d isolement survenant dans un matériel doit être assurée. En effet, un défaut

Plus en détail

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE

Plus en détail

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti .0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des

Plus en détail

Enjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise

Enjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise Enjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise Journées d échanges franco-suisses sur la gestion des sites et sols pollués 14 15 juin 2012 Hans-Jürg Reinhart Carine

Plus en détail

Chapitre 5 Mesures géophysiques

Chapitre 5 Mesures géophysiques Chapitre 5 Mesures géophysiques Plan 5.1 Introduction 5.2 Sismique réfraction 5.3 Prospection électrique 5.4 Radar géologique 5.1 Introduction Pour tous les projets de construction connaissance préalable

Plus en détail

ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE

ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE 1 ENSA Paris-Val de Seine Yvon LESCOUARC H ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE Architecte : Norman FOSTER 2 LES BUREAUX EDF A TALENCE Ce bâtiment de bureaux conçu par l'agence de

Plus en détail

BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie

BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie La gestion responsable des eaux pluviales : UNE SOLUTION ACTUELLE POUR UN AVENIR DURABLE L eau est une ressource essentielle à toute forme de vie sur Terre.

Plus en détail

Exemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs

Exemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs Groupe ENCON inc. 500-1400, Blair Place Ottawa (Ontario) K1J 9B8 Téléphone 613-786-2000 Télécopieur 613-786-2001 Sans frais 800-267-6684 www.encon.ca Exemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs

Plus en détail

COMFORTLIFT TWO LE PLUS COMPACT ET LE PLUS FACILE D'UTILISATION

COMFORTLIFT TWO LE PLUS COMPACT ET LE PLUS FACILE D'UTILISATION 0800 20 950 www.comfortlift.be COMFORTLIFT TWO LE PLUS COMPACT ET LE PLUS FACILE D'UTILISATION www.comfortlift.be COMFORTLIFT TWO Le monte-escalier double rail Ce que vous remarquez en premier est que

Plus en détail

GRUES ET ÉQUIPEMENTS DE LEVAGE

GRUES ET ÉQUIPEMENTS DE LEVAGE / Hygiène et sécurité NORMES D EXPLOITATION Réf. : Aperam Safety ST 007 Grues et équipements de levage Publication : 15.05.2012 Version : v0 Rév. : AM Safety 007 v2 10.11.2010 GRUES ET ÉQUIPEMENTS DE LEVAGE

Plus en détail

Principe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds

Principe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds Principe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds CAPENA GmbH - PISCINES - Gruber Strasse 6-85551 KIRCHHEIM Allemagne

Plus en détail

RAPPORT D=ENQUÊTE SUR UN ACCIDENT AÉRONAUTIQUE A99O0079 PERTE DE MAÎTRISE ET PIQUÉ EN SPIRALE

RAPPORT D=ENQUÊTE SUR UN ACCIDENT AÉRONAUTIQUE A99O0079 PERTE DE MAÎTRISE ET PIQUÉ EN SPIRALE RAPPORT D=ENQUÊTE SUR UN ACCIDENT AÉRONAUTIQUE A99O0079 PERTE DE MAÎTRISE ET PIQUÉ EN SPIRALE CANADIAN FLIGHT ACADEMY LTD. CESSNA 152 C-GGGK VALENTIA (ONTARIO) LE 6 AVRIL 1999 Le Bureau de la sécurité

Plus en détail

PLAN DE SITUATION C'est le plan qui localise votre terrain PCMI 1. SAINT DENIS - Bellepierre Parcelle AY 592. Ech : 1/ 2000 ème

PLAN DE SITUATION C'est le plan qui localise votre terrain PCMI 1. SAINT DENIS - Bellepierre Parcelle AY 592. Ech : 1/ 2000 ème PERMIS DE M. X. Plan de situation. Plan de masse 3. Coupe 4. Notice descriptive. Façades et plan de toiture. Insertion graphique 7. Photo dans le paysage proche 8. Photo dans le paysage lointain Mise à

Plus en détail

Prévenir les dégâts d eau au sous-sol

Prévenir les dégâts d eau au sous-sol Prévenir les dégâts d eau au sous-sol Des milliers de réclamations enregistrées chaque année en assurance habitation. Des dommages parfois sérieux, d autres fois moins, mais toujours désolants et, la plupart

Plus en détail

Mécanique véhicules lourds

Mécanique véhicules lourds Mécanique véhicules lourds sont des emplacements situés sous le niveau du sol qui servent à l en tretien ou à la réparation des véhicules. Il existe notamment : des fosses pour réparer ou inspecter les

Plus en détail

TEST D'APTITUDES PHYSIQUES POUR LES TECHNIQUES AMBULANCIÈRES ( TAPTA )

TEST D'APTITUDES PHYSIQUES POUR LES TECHNIQUES AMBULANCIÈRES ( TAPTA ) TEST D'APTITUDES PHYSIQUES POUR LES TECHNIQUES AMBULANCIÈRES ( TAPTA ) PRÉAMBULE Toute personne désireuse de faire carrière en techniques ambulancières au Québec doit réussir le test d'aptitudes physiques,

Plus en détail

SIEGE D EVACUATION. Manuel d'utilisation

SIEGE D EVACUATION. Manuel d'utilisation SIEGE D EVACUATION Manuel d'utilisation REHA-TRANS Siège d évacuation Evacuation d'urgence Armoire de rangement Introduction Vous avez choisi d acheter un SIEGE D EVACUATION D'URGENCE. Veuillez lire attentivement

Plus en détail

RAPPORT RAPPORT D ENQUÊTE D ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE DE QUÉBEC

RAPPORT RAPPORT D ENQUÊTE D ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE DE QUÉBEC EN003495 RAPPORT D ENQUÊTE D ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE DE QUÉBEC ACCIDENT MORTEL SURVENU À UN TRAVAILLEUR LE 15 JANVIER 2004, À QUÉBEC, SUR UN CHANTIER DE CONSTRUCTION DE TELUS. PAR : MONSIEUR JEAN

Plus en détail

Le Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales

Le Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales Le Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales Le Kin-AP est une évaluation qui se déroule à travers un parcours comprenant différentes stations qui simulent les tâches que le technicien ambulancier-paramédic

Plus en détail

INSTRUCTIONS DE POSE ET D UTILISATION: Caniveaux à fente

INSTRUCTIONS DE POSE ET D UTILISATION: Caniveaux à fente INSTRUCTIONS DE POSE ET D UTILISATION: Caniveaux à fente 1. RÉSUMÉ DES CONSIGNES DE SÉCURITÉ a. TRANSPORT/ARRIMAGE DE LA CARGAISON Tous les transports de nos produits doivent se faire conformément à la

Plus en détail

Athénée Royal d Evere

Athénée Royal d Evere Athénée Royal d Evere Prévention des hernies discales en milieu scolaire et dans la vie de tous les jours Présenté par Didier Vanlancker LEVAGE DE CHARGES POSITION INITIALE Levage de charges Jambes légèrement

Plus en détail

TAP-PAR. Test d aptitudes physiques pour paramédics. Description du test

TAP-PAR. Test d aptitudes physiques pour paramédics. Description du test TAP-PAR Test d aptitudes physiques pour paramédics Description du test INTRODUCTION Le travail de paramédic nécessite une capacité physique supérieure à celle de la population moyenne. En effet, ceux-ci

Plus en détail

Commission Polydog Règlement de compétition SportPlaisir Catalogue des disciplines catégorie adresse niveau B

Commission Polydog Règlement de compétition SportPlaisir Catalogue des disciplines catégorie adresse niveau B 1 FAIRE UNE PIROUETTE SUR UNE PALETTE Description des installations Une estrade plane (palette) est placée au sol à environ 7 pas du point de départ. Pour le CCh, une ligne de démarcation est tracée un

Plus en détail

SÉRIES SM Cribles CRIBLES À TROMMELS SM 414 SM 414 K SM 518 SM 620 SM 620 K SM 720 CRIBLE À ÉTOILES SM 1200 WE CARE

SÉRIES SM Cribles CRIBLES À TROMMELS SM 414 SM 414 K SM 518 SM 620 SM 620 K SM 720 CRIBLE À ÉTOILES SM 1200 WE CARE SÉRIES SM Cribles CRIBLES À TROMMELS SM 414 SM 414 K SM 518 SM 620 SM 620 K SM 720 CRIBLE À ÉTOILES SM 1200 WE CARE CRIBLES SÉRIE SM CRIBLES À TROMMELS POUR UN CRIBLAGE OPTIMAL CRIBLES À TROMMELS Le trommel

Plus en détail

L enfouissement des déchets ultimes

L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E LE CENTRE D ENFOUISSEMENT TECHNIQUE (C.E.T.)

Plus en détail

Rapport d'évaluation CCMC 12835-R IGLOO Wall Insulation

Rapport d'évaluation CCMC 12835-R IGLOO Wall Insulation CONSTRUCTION Rapport d'évaluation CCMC 12835-R IGLOO Wall Insulation RÉPERTOIRE Révision Jamais Réévaluation Non : NORMATIF : 07 21 23.06 Publication en de l'évaluation : 1997-12-08 Réévaluation cours

Plus en détail

Solution azotée & Hydrocarbures

Solution azotée & Hydrocarbures Solution azotée & Hydrocarbures Stockez... en toute sécurité Stockez, tout en préserva Il est urgent de sécuriser le stockage d azote liquide et des hydrocarbures sur vos exploitations. Outre le fait de

Plus en détail

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols Mécanique des sols I Chapitre I Propriétés physiques des sols Chapitre II Hydraulique des sols Chapitre III Déformations des sols Chapitre IV Résistance au cisaillement des sols Chapitre III Déformations

Plus en détail

ESTELLE SPA FILTER CLEANING SYSTEM 1/6. Instructions d'installation Mode d'emploi FAQ

ESTELLE SPA FILTER CLEANING SYSTEM 1/6. Instructions d'installation Mode d'emploi FAQ ESTELLE SPA FILTER CLEANING SYSTEM 1/6 Instructions d'installation Mode d'emploi FAQ Instructions d'installation 2/6 CONTENU BOÎTE Estelle Disposables Cleaning System - Base - Couvercle transparent Trousse

Plus en détail

PLAN RÉÉDUCATION POUR LES UTILISATEURS DE L'ARTICULATION. Contrôle de la phase pendulaire. Par Jos DECKERS

PLAN RÉÉDUCATION POUR LES UTILISATEURS DE L'ARTICULATION. Contrôle de la phase pendulaire. Par Jos DECKERS PLAN de RÉÉDUCATION POUR LES UTILISATEURS DE L'ARTICULATION Contrôle de la phase pendulaire Par Jos DECKERS 02 Sommaire LA RÉÉDUCATION Objectifs : Pour que le patient puisse utiliser correctement l articulation,

Plus en détail

3/11_WHEEL ROADER/KE's仏語 04.3.11 5:13 PM ページ 3 KUBOTA WHEEL LOADER

3/11_WHEEL ROADER/KE's仏語 04.3.11 5:13 PM ページ 3 KUBOTA WHEEL LOADER KUBOTA WHEEL LOADER Puissantes, polyvalentes, et souples d utilisation, nos chargeuses sur roues offrent des performances optimales pour une grande variété d applications. Charger, reboucher, niveler,

Plus en détail

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier

Plus en détail

Carnet photos. Visite commentée des travaux

Carnet photos. Visite commentée des travaux Carnet photos Visite commentée des travaux Marais du Vigueirat Life PROMESSE 2003-2007 Sommaire Chaufferie bois et plateforme de stockage... 3 Cuves de récupération des eaux pluviales... 7 Lit planté de

Plus en détail

«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte»

«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» «Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» Silva Cell Module d enracinement pour arbres Application : - Le module Silva Cell crée un espace souterrain permettant l enracinement des arbres en ville.

Plus en détail

Sommaire. Les techniques d escalade. De fortune sur demi-cabestan Débrayable Suisse 1/1. fic-somescalade01-c3m

Sommaire. Les techniques d escalade. De fortune sur demi-cabestan Débrayable Suisse 1/1. fic-somescalade01-c3m Les techniques d escalade fic-somescalade01-c3m Sommaire La poulie (moulinette) L assurage Sécurité lors de la mise en place Manip FFME Le rappel Sécurité lors de la mise en place Amarrages en terrain

Plus en détail

association française du gaz

association française du gaz association française du gaz RECOMMANDATIONS TECHNIQUES POUR LES TRAVAUX A PROXIMITÉ DES OUVRAGES DE DISTRIBUTION DU GAZ Partie 1 : prescriptions générales Article 10 du décret n 91-1147 du 14.10.1991

Plus en détail

NOUVELLES POUR LE STOCKAGE DES

NOUVELLES POUR LE STOCKAGE DES NOUVELLES RÈGLES SOMMAIRES POUR LE STOCKAGE DES PRODUITS PÉTROLIERS Depuis septembre 2006, suivant le décret de Juillet 2004 STOCKAGE AU REZ-DE-CHAUSSEE OU EN SOUS-SOL D'UN BATIMENT Les réservoirs et équipements

Plus en détail

Gobius 1 ¾ alarme pour des fosses septiques

Gobius 1 ¾ alarme pour des fosses septiques Version de document 1.0, janvier 2011 Gobius 1 ¾ alarme pour des fosses septiques Guide d installation Commencez ici 1. Assurez-vous que toutes les pièces sont dans l emballage. (1 capteur, 1 tableau,

Plus en détail

Driving Down Costs* - Stockage grande densité

Driving Down Costs* - Stockage grande densité * Réduire les coûts Driving Down Costs* - Stockage grande densité www.toyota-forklifts.fr stronger together* Réduire les coûts de stockage grande densité La gestion optimale de l'espace de stockage constitue

Plus en détail

Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal

Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal DL Lyon : G. Bièvre DL Autun : A. Brach, D. Goutaland, M. Massardi, G. Monnot David GOUTALAND CETE de Lyon

Plus en détail

Photos non contractuelles. Caractéristiques techniques au verso

Photos non contractuelles. Caractéristiques techniques au verso " Photos non contractuelles # $ Caractéristiques techniques au verso Travaux d intérieur. Le décret 2004-924 préconise les plates-formes PIR / PIRL dans le cas où le matériel d accès en hauteur est utilisé

Plus en détail

PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F)

PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) LIGNES DIRECTRICES POUR LE PARCOURS À OBSTACLES VERSION 4.1 CANADIENNE-FRANÇAISE Les activités d entraînement et d évaluation du WSP-F 4.1 peuvent se dérouler

Plus en détail

La Chapelle de la Ferme d Ithe

La Chapelle de la Ferme d Ithe La Chapelle de la Ferme d Ithe Le Tremblay-sur-Mauldre / Jouars-Pontchartrain (78 Yvelines) Une dizaine de jeunes, âgés de 17 à 20 ans, ont inauguré, durant les deux dernières semaines de juillet, une

Plus en détail

RAPPORT D'ENQUÊTE DPI4194437 RAP0963236 RAPPORT D ENQUÊTE

RAPPORT D'ENQUÊTE DPI4194437 RAP0963236 RAPPORT D ENQUÊTE RAPPORT D ENQUÊTE EN004015 Accident mortel survenu à un travailleur de l'entreprise Les toitures Mario Lemieux inc., le 12 décembre 2013, sur un chantier situé au 8999, avenue Morgan à Chertsey Direction

Plus en détail

Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT

Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT COMPTE RENDU DE VISITE ECOLE CENTRALE PARIS Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT Introduction Pour la dernière journée de notre voyage d intégration, nous avons été accueillis le vendredi

Plus en détail

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte

Plus en détail

COMMUNE DE GORGIER. Madame la Présidente, Mesdames et Messieurs, 1. Préambule

COMMUNE DE GORGIER. Madame la Présidente, Mesdames et Messieurs, 1. Préambule COMMUNE DE GORGIER RAPPORT DU CONSEIL COMMUNAL AU CONSEIL GENERAL CONCERNANT LA DEMANDE DE CREDIT DE Fr. 32'700.- POUR LE REMPLACEMENT D'UN COLLECTEUR D'EAUX USEES AU CHEMIN DE LA PAYAZ Madame la Présidente,

Plus en détail

1- LES CHUTES DE PERSONNES...

1- LES CHUTES DE PERSONNES... 7 1-1- LES CHUTES DE PERSONNES... sont la cause de plusieurs accidents de travail Les chutes n ont pas de cible. Qui n est pas tombé dans un stationnement, en sortant de sa voiture, en se rendant à sa

Plus en détail

Prenez soin de votre dos. Informations et astuces contre les douleurs lombaires

Prenez soin de votre dos. Informations et astuces contre les douleurs lombaires Prenez soin de votre dos Informations et astuces contre les douleurs lombaires Prenez soin de votre dos 1 2 3 4 Des causes diverses, souvent liées au travail Plaintes et lésions Prévention: mieux vaut

Plus en détail

nos solutions ouvrages

nos solutions ouvrages Défense de berges, défense côtière rivières, lacs, étangs l teracro p.63 l teranat p.77 Végétalisation Structure géo-alvéolaire : teracro Toiles naturelles teranat rétention végétalisation l rétention

Plus en détail

P. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009

P. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009 à é Ministère de l'écologie, de l'énergie, du Développement durable et de l'aménagement du territoire P. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009 WWW.developpement-durable.gouv.fr Constitution

Plus en détail

DOSSIER TECHNIQUE XP 12

DOSSIER TECHNIQUE XP 12 DOSSIER TECHNIQUE XP 12 I) Descriptif des éléments principaux Aile XP 12 a) Caractéristiques Surface 12,5 m2 Profil Double surface 90% Envergure 9,2 m Allongement 7,36 Longueur 3,1 m Poids 46 kg Dossier

Plus en détail

Installez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif

Installez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif Installez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif Lors de l installation de la clôture Zenturo ou Zenturo Super en tant que mur décoratif, vous devez tenir compte de quelques

Plus en détail

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes

Plus en détail

Sommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...

Sommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration... 1 Sommaire INTRODUCTION... 2 1/ Le contexte général de la commune...3 2/ L état des réseaux...3 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...3 4/ Les solutions retenues par la commune...5 CONCLUSION Carte

Plus en détail

VII Escaliers et rampes

VII Escaliers et rampes VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son

Plus en détail

LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE

LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE 2. L EFFET GYROSCOPIQUE Les lois physiques qui régissent le mouvement des véhicules terrestres sont des lois universelles qui s appliquent

Plus en détail