Principes gänäraux pour une bonne conduite de l'alimentation infantile
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- Théophile Bourgeois
- il y a 8 ans
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1 Principes gänäraux pour une bonne conduite de l'alimentation infantile Rappelons les grands principes de nutrition infantile qui permettent d Åviter les pathologies nutritionnelles : Encourager l'allaitement maternel, bien conduit. Proposer une alimentation de complåment de bonne qualitå nutritionnelle, introduite ni trop tçt, ni trop tard, Favoriser l'accés Ñ l'alimentation diversifiåe familiale, Ne pas sevrer avant deux ans Nous utiliserons les mots Ö päriode d allaitement complätä Ü et Ö aliments de compläment Ç 1, qui font d emblåe råfårence Ñ l allaitement plutçt que påriode ou aliments de transition. 1. PrioritÄ Å l'allaitement maternel L allaitement se dåroule idåalement en deux påriodes : La päriode d allaitement exclusif L'allaitement maternel exclusif bien conduit couvre l'ensemble des besoins de l'enfant de la naissance jusqu'ñ 6 mois. La lactation maternelle atteint sa quantitå maximum (plus de 3/4 Ñ 1 litre de lait par jour) Ñ condition que l'enfant tàte efficacement, longtemps et souvent, y compris la nuit. La päriode d allaitement complätä Vers 6 mois, les possibilitås de lactation de la mére atteignent gånåralement leur maximum alors que les besoins de l enfant continuent Ñ augmenter. Il y a donc lieu de maintenir la lactation Ñ son niveau maximum et de couvrir les besoins nutritionnels supplåmentaires par l alimentation de complåment. Celle-ci sera progressivement remplacåe par l alimentation diversifiåe familiale tout en continuant l allaitement. IdÅalement cette påriode va de 6 mois Ñ plus de 24 mois 2. L allaitement se termine par Le sevrage Au terme de cet allaitement bien conduit arrive le sevrage qui met fin plus ou moins rapidement Ñ l allaitement. Le sevrage ne devrait jamais avoir lieu avant que l enfant ne soit assez grand pour manger de tout Introduction des aliments de compläment L'OMS et l'unicef recommandent de ne donner rien d'autre que le lait maternel avant l'ége de six mois. Ni eau, ni bouillie. C est seulement quand les besoins ÅnergÅtiques, protidiques et minåralo-vitaminiques dåpassent les possibilitås d'apport par l'allaitement maternel, qu il devient indispensable d'introduire de nouveaux aliments, en plus du lait maternel, sous une forme adaptåe Ñ l'enfant. C'est donc vers six mois que l on pourra commencer Ñ introduire des aliments de compläment adaptås Ñ la physiologie du jeune enfant. Ces aliments seront donnås en complåment du sein, aprés la tåtåe et non Ñ la place d'une tåtåe. råpondre aux capacitås physiologiques et aux exigences nutritionnelles du nourrisson et du jeune enfantñ, l aliment de compläment idäal devra avoir les qualitås suivantes : Document06a-bamisagora.org 1
2 Pour råpondre aux capacitås physiologiques et aux exigences nutritionnelles du nourrisson et du jeune enfantñ, l aliment de compläment idäal devra avoir les qualitås suivantes : Satisfaire l enfant, c'est-ñ-dire : 1. avoir bon goât, 2. àtre facile Ñ avaler (consistance adaptåe : bouillie ou puråe), 3. àtre facile Ñ digårer (ne pas donner de troubles digestifs) Satisfaire la mére, c'est-ñ-dire : 4. àtre bon marchå 5. àtre facile Ñ pråparer 6. àtre disponible Ñ tout moment Satisfaire aux exigences nutritionnelles, c'est-ñ-dire : 7. avoir une valeur ÅnergÅtique ÅlevÅ (100 Ñ 120 kcal/100ml) 8. avoir un bon Åquilibre entre protåines, lipides et glucides 9. apporter minåraux et vitamines Satisfaire aux exigences d hygiéne, c'est-ñ-dire : 10. ne pas àtre contaminå par des bactåries, toxines ou pesticides Et si possible : 11.àtre pråparå Ñ partir des ressources agricoles locales. Les structures en charge d Education Nutritionnelle proposent diverses recettes d aliments de complåment, gånåralement sous forme de bouillies. Mais, en råalitå, trés peu de ces recettes arrivent Ñ satisfaire Ñ l ensemble des qualitås ci dessus. Il est, en particulier, difficile d avoir un aliment qui soit Ö la fois liquide et de valeur ÄnergÄtique ÄlevÄe, c'est-ñ-dire qui concilie les qualitås nä 2 et nä AccÇs Å l'alimentation diversifiäe familiale DÉs que l'enfant s en montre capable, il faut lui proposer et l'encourager Ñ consommer partie ou totalitä du plat familial, et varier son alimentation. Il va acquårir progressivement cette aptitude vers le 10Éme mois. Nous ne dåvelopperons pas ici ce chapitre souvent abordå par l Åducation nutritionnelle. Document06a-bamisagora.org 2
3 2. QUELQUES ÉLÉMENTS DE PHYSIOLOGIE AU SUJET DE L'ALIMENTATION DU NOURRISSON ALLAITÉ ET DU JEUNE ENFANT Estimation des besoins de l enfant en bonne santä Les besoins ÅnergÅtiques sont environ de 100 Kcalories/Kg/J Les besoins en eau sont d environ 150 millilitres/kg/j ou sont calculås selon la formule : poids de l'enfant en grammes diviså par dix Ñ 250 g Les besoins protåiques sont estimås Ñ moins de 1,5 grammes/kg/j Les besoins lipidiques sont estimås Ñ 3 grammes/kg/j Les besoins minåralo-vitaminiques Iode, Fer, Zinc, Vit A Cf Tables Par exemples, Lorsque la prise de poids est normale pour l åge : Ñ quatre mois, un nourrisson pése autour de 6 Kg. Ses besoins ÅnergÅtiques sont donc calculås Ñ 600 Kcal, ses besoins hydriques Ñ ml d'eau, ses besoins protåiques Ñ 9g ses besoins lipidiques Ñ 18g. Ces besoins sont largement couverts par une lactation de 850 Ñ 900 ml. En effet 850 ml de lait maternel apportent 612 Kcal, 9,35g de protåines, et 32,3g de lipides. (Cf. composition du lait maternel 1.2.) Ñ six mois un nourrisson pése autour de 7,5Kg. C est la limite thåorique que peut couvrir l allaitement maternel. Mais on observe parfois des enfants de plus de six mois, exclusivement nourris au sein, qui gardent une croissance pondårale normale. Ñ douze mois, un nourrisson pése autour de 10 Kg. Ses besoins ÅnergÅtiques sont donc calculås Ñ 1000 Kcal, ses besoins hydriques Ñ 1200 ml d'eau, ses besoins en protåines sont environ de 15 g par jour et ses besoins lipidiques Ñ 30g par jour. La moitiå de ses besoins peuvent àtre encore couverts par le lait maternel. Lorsque l enfant Ñ un retard pondåral, ses besoins seront majorås pour qu il puisse rattraper son retard. (Cf. chapitre 4) ParticularitÄs de la digestion chez le nourrisson Le nourrisson est apte Ö digärer le lait maternel, ou Ñ dåfaut le lait artificiel (de vache). Mais il a des difficultås Ñ digårer l'amidon et certaines protåines vågåtales ou animales. Document06a-bamisagora.org 3
4 Dans la bouche : La salive des nourrissons contient trés peu d'amylase (enzyme qui hydrolyse les amidons), contrairement Ñ celle de l'adulte. Une lipase linguale, active dés la naissance, permet de commencer la digestion des lipides. Dans l'estomac : Le suc gastrique du nourrisson n est pas identique Ñ celui de l'adulte : Chez le nourrisson, le suc gastrique contient beaucoup moins d'acide chlorhydrique (moins acide) et trés peu de pepsine (enzyme qui hydrolyse les protåines). Dans l'intestin gràle : Les såcråtions pancråatiques du nourrisson sont pauvres en lipases jusqu'ñ 2 ans mais contiennent de la trypsine (enzyme qui hydrolyse les protåines). Le lait maternel contient ces enzymes (amylases, lipases...) Il facilite donc la digestion des autres aliments. De plus, le lait maternel protüge l enfant d un certain nombre de maladies infectieuses, en particulier digestives. Il pråserve ainsi l absorption de l eau et des nutriments en Åvitant les diarrhåes. Le lait maternel est le seul aliment adaptä au nourrisson jusqu Ö 6 mois 2.3. Evolution des sources alimentaires de 0 Ö 24 mois L enfant va devoir passer, du lait maternel Ö l alimentation familiale d un aliment parfaitement adaptå Ñ ses besoins et Ñ ses capacitås d ingestion et de digestion Ñ un aliment souvent inadaptå Ñ ses capacitås de consommation un aliment liquide Ñ un aliment solide de haute valeur nutritionnelle de valeur nutritionnelle variable toujours disponible seulement accessible Ñ certains moments de la journåe et quasiment stårile trés souvent contaminåe. Cette ce passage ne se fait pas sans risques, en particulier o Si l'apport lactå cesse trop tçt, ou trop vite o Si le milieu manque d hygiéne o Si les ressources Åconomiques de la famille sont insuffisantes o Si l enfant est malade o Si l enfant est trés jeune. o Si la mére est absente o Document06a-bamisagora.org 4
5 2.4. Evolution des sources ÄnergÄtiques Ci-dessus : Allaitement bien conduit : Ce mode d'alimentation est Ñ faible risque de dåficit d'apport ÅnergÅtique. Ci-dessous : Allaitement mal conduit, sevrage pråcoce : Ce mode d'alimentation est Ñ haut risque de dåficit d'apport ÅnergÅtique. Document06a-bamisagora.org 5
6 La corrålation åge-poids a ÅtÅ tracåe Ñ partir de la courbe supårieure du "Chemin de la SantÅ" des fiches de S.M.I. (Courbes OMS), c'est-ñ-dire correspondant Ñ la moyenne des poids observås dans les populations d'enfants bien nourris. Ces courbes illustrent la complåmentaritå des apports ÅnergÅtiques au cours des 24 premiers mois. La somme des apports ÅnergÅtiques est mise en regard des besoins ÅnergÅtiques thåoriques. Selon que l alimentation est bien conduite ou insuffisante, ces besoins thåoriques sont couverts, ou ne le sont pas. - La premiére courbe idåale donne une large place Ñ l'allaitement. Celui-ci est complåtå de six mois Ñ deux ans par Ö une bonne bouillie Ü apportant 200 Ñ 250 Kcal par jour 4. Cette bouillie de complåment quotidienne permet d'attendre que l'alimentation familiale prenne complétement le relais. - La seconde courbe fait apparaçtre les risques d'un sevrage lactå maternel pråcoce. Màme si l'on donne deux bonnes bouillies quotidiennes, apportant 400 Ñ 500 Kcal par jour, le dåficit ÅnergÅtique n'est pas comblå. En l'absence d'allaitement maternel suffisant, si l'on veut correctement combler le dåficit nutritionnel, il sera nåcessaire d'offrir au nourrisson et Ñ l'enfant une autre source lactåe telle que des yaourts ou du lait de vache, en Åvitant Ñ tout prix l'utilisation du biberon. De toutes faéons, ce sevrage pråcoce privera l'enfant de tous les agents anti-infectieux du lait maternel et du contact avec sa mére, avec risque d anorexie. Des courbes analogues pourraient àtre tracåes en fonction des besoins et des apports en protåines ou en lipides. Elles feraient apparaçtre, lors du sevrage pråcoce, des dåficits de màme ordre ou màme plus importants. L utilisation d un aliment de complåment Ñ l allaitement maternel n'est donc pas la panacåe pour lutter contre la malnutrition. Encore faut-il que ces complåments aient les qualitås requises. Vendre des aliments de complåment n'est pas un acte commercial banal. Selon leur bonne ou mauvaise utilisation, ces aliments peuvent avoir un impact positif ou någatif sur l'åtat nutritionnel. En effet une mauvaise bouillie peut àtre pråparåe avec une bonne farine et Ñ l inverse, une bouillie de bonne qualitå peut àtre obtenue avec une farine ordinaire en utilisant de l amylase et par l ajout de quelques ingrådients. La vente de farine de complåment ne devrait àtre confiåe qu'ñ des personnes capables de conseiller les méres sur les bonnes pratiques de l'alimentation du nourrisson et de l'enfant. La notion de qualitä de farine et de qualitä de bouillie doit àtre clairement distinguåe. 1 Les termes påriode ou aliment de sevrage ne doivent plus Étre utiliså car Ñ l origine de dramatiques contresens car il invite Ñ tors Ñ l abandon de l allaitement. 2 Avant 6 mois l'introduction de tout aliment limite l'accroissement du volume de la lactation. Si la lactation est insuffisante (allaitement non exclusif ou si la möre est trös dånutrie) il peut Étre nåcessaire complåter plus tüt. A l inverse, certaines Åtudes montrent que les besoins ÅnergÅtiques peuvent Étre couverts jusqu'ñ 9 mois avec le seul lait maternel. 3 De 6 mois Ñ 3 ans 4 5 Le problöme est le méme avec des les puråes de tubercules (ignames, patates )plus grave encore avec le manioc fermentå sans protåines F. Laurent Document06a-bamisagora.org 6
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