4. Diagrammes binaires à miscibilité nulle à l état liquide. - Description : - Etat du contenu du piston à 4 moments de la compression :
|
|
- Henri Bernard
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 4. Diagrammes binaires à miscibilité nulle à l état liquide Les diagrammes qui vont être présentés dans cette partie, ne concernent que des systèmes binaires pour lesquels Les deux constituants ne sont pas miscibles à l état liquide Mais sont miscibles à l état vapeur. Expl : Composé organique peu polaire et eau. Seuls les diagrammes isobares seront étudiés Expérience - Description : On considère un mélange gazeux constitué d eau et de cyclohexane. A l état vapeur, ces deux constituants sont miscibles, mais ils ne le sont pas à l état liquide. On réalise la compression isotherme de ce mélange dans un piston dont les parois permettent l établissement d un équilibre thermique avec un thermostat extérieur. - Etat du contenu du piston à 4 moments de la compression : A : Etat initial B : Apparition d un premier liquide C : Formation simultanée des deux liquides D : Fin de la compression - A retenir : Différence avec le cas de la miscibilité totale Miscibilité liquide TOTALE Début ET fin de changement d état SYNCHRONES pour A 1 et A 2. Miscibilité liquide NULLE Début OU fin de changement d état NON SYNCHRONE A 1 et A 2 (sauf cas particulier du mélange hétéroazéotropique) 4.2. Allure du diagramme binaire a) Courbes et domaines du diagramme Le diagramme fait apparaître deux domaines diphasés liquide-vapeur. -20-
2 Différences entre azéotropie et hétéroazéotropie : AZEOTROPIE HETEROAZEOTROPIE Aspect synchrone des changements d état? Segment horizontal Absent Présent Nature des constituants dans les deux domaines latéraux Liq-Vap Identiques L A1+A2 + V A1+A2 Différentes avec 2 possibilités : L A1 + V A1+A2 ou L A2 + V A1+A2 Courbe de rosée Courbe 3 segments de droite Propriétés du mélange Bout à température constante si P fixée Composition des deux phases LV identiques Bout à température constante tant que l un des deux constituants liquides n a pas disparu. T x 2 b) Courbes d analyse thermique Domaine Constituants physico-chimiques Nature des phases Equilibres LV établis DDL avant fixation de P DDL après fixation de P Evolution de T à P cte? Vapeur A 1 (v) et A 2 (v) V A1+A Oui Diphasé gauche A 1 (l), A 1 (v) et A 2 (v) L A1 + V A1+A2 A 1 (v) = A 1 (l) 2 1 Oui Diphasé droite A 2 (l), A 1 (v) et A 2 (v) L A2 + V A1+A2 A 2 (v) = A 2 (l) 2 1 Oui Diphasé liquide A 1 (l) et A 2 (l) L A1 + L A Oui Segment horizontal A 1 (l) A 2 (l) A 1 (v) A 2 (v) L A1 + L A2 + V A1+A2 A 1 (v) = A 1 (l) A 2 (v) = A 2 (l) 1 0 Non -21-
3 Courbes d analyse thermique : Considérons le chauffage d un liquide dans les deux cas suivants : Mélange hétéroazéotropique : Mélange quelconque (hors mélange azéotropique) : -22-
4 Chauffage d un mélange de deux liquides non miscibles : Quelles que soient les proportions des deux liquides non miscibles : L ébullition du mélange se fait toujours à la température de l hétéroazéotrope La température reste égale à celle du segment horizontal tant que l un des constituants liquides n a pas été entièrement vaporisé. La vapeur produite tant que les deux liquides sont présents est celle du mélange hétéroazéotropique. c) Lecture du diagramme Les théorèmes établis précédemment (théorèmes «de l horizontale» et des moments chimiques) sont toujours valables dans les domaines diphasés du diagramme : 5. Applications des diagrammes à miscibilité nulle 5.1. Hydrodistillation Intérêt : Quand la distillation fractionnée ne parvient pas à séparer deux liquides miscibles Dans certains cas, la technique de distillation fractionnée ne permet pas de séparer convenablement les constituants d un mélange liquide à miscibilité totale : Soit parce que les températures d ébullition des deux composés sont trop proches ; Soit parce qu elles sont trop élevées. En effet, lors d une distillation fractionnée, l ébullition du mélange s effectue à une température comprise entre les deux températures d ébullition des deux composés. Si jamais celles-ci sont trop élevées (supérieures à 150 C), on risque de dégrader les molécules. Principe : On ajoute volontairement un liquide non miscible au mélange à séparer (de l eau quand on veut séparer deux liquides organiques miscibles) de façon à obtenir un binaire liquide/vapeur à miscibilité nulle entre le constituant à isoler et l eau. Attention : l hydrodistillation ne sert pas à séparer deux composés non miscibles. Pour cela, on utilise les ampoules à décanter. Ici, on crée un mélange de deux liquides non miscibles car, lors de son ébullition, la vapeur produite (mélange hétéroaéotropique contenant eau + composé orga) permet d extraire le composé du milieu. -23-
5 Montage : On utilise un montage de distillation simple pour l hydrodistillation. On rajoute simplement de l eau dans le bouilleur en plus du mélange organique. La technique est très utilisée en parfumerie pour obtenir des huiles essentielles : on place alors dans le bouilleur de l eau et le végétal dont on souhaite extraire l huile (par exemple, des peaux d orange). réfrigérant droit : liquéfaction du mélange hétéroazéotropique bouilleur : liquide à extraire + eau eau distillat : eau et composé organique non miscibles Expl : On dispose d un mélange de deux composés organiques O 1 et O 2, totalement miscibles à l état liquide. On souhaite les séparer. On ajoute donc de l eau au mélange O 1 + O 2. L eau forme avec O 1 un mélange binaire avec hétéroaézotrope. Comment isole-t-on O 1? -24-
6 Utilisation en synthèse organique : Montage de Dean-Stark Souvent utilisé pour extraire l eau formée par une transformation chimique dans le but de déplacer l équilibre. Expl : Acétalisation O HO OH [H+] + + O O OH 2 On ajoute dans le milieu du cyclohexane, solvant organique non miscible avec l eau. Le diagramme binaire isobare eau-cyclohexane est donné ci-dessous : -25-
7 5.2. Entraînement à la vapeur - Dans le cas de composés extrêmement fragiles, on peut procéder à un entraînement à la vapeur ; le principe est rigoureusement identique à celui de l hydrodistillation, mais au lieu de rajouter de l eau au mélange O 1 + O 2 et de chauffer le mélange, on injecte de la vapeur d eau dans le mélange O 1 + O 2. Comme le mélange eau-o 1 bout à une température inférieure aux deux températures d ébullition de l eau et de O 1, la température de la vapeur d eau est généralement suffisante pour entraîner l ébullition du mélange et formation d une vapeur constituée par le mélange hétéroazéotropique. Il est alors souvent inutile de chauffer le mélange O 1 + O 2 ce qui évite toute dégradation thermique des composés. - Montage : réfrigérant droit : liquéfaction de l hétéroazéotrope générateur de vapeur d eau bouilleur : liquide à extraire eau chauffage léger (éventuel) distillat : eau et composé orga non miscibles 6. Diagrammes binaires avec miscibilité partielle à l état liquide Expl : Mélange binaire eau isobutanol T ( C) P = 1 bar ,07 0,66 0,74 1,00 x(isobutanol) : vapeur homogène (eau + isobutanol) : solution d isobutanol dans l eau (une phase homogène) : solution d eau dans l isobutanol (une phase homogène) : solution saturée d eau dans l isobutanol + solution saturée d isobutanol dans l eau (deux phases) : vapeur + solution saturée d eau dans l isobutanol : vapeur + solution saturée d isobutanol dans l eau -26-
8 7. Diagrammes binaires à miscibilité totale à l état solide 7.1. Présentation - Mélanges binaires étudiés : on étudie les changements d état solide-liquide de mélanges de deux constituants, notés A 1 et A 2, inertes chimiquement l un vis-à-vis de l autre (la composition globale du système reste donc constante). - On considère deux cas : Miscibilité totale à l état solide (1 seule phase homogène à l état solide) Miscibilité nulle à l état solide (2 phases distinctes à l état solide) Coupe de granit, solide constitué de plusieurs solides non miscibles Les liquides seront systématiquement considérés comme totalement miscibles en toutes proportions. - Notion d'alliage : -27-
9 7.2. Tracé du diagramme isobare dans le cas idéal - Tracé à partir de courbes d'analyse thermique, par exemple de refroidissement à P = cste de mélanges liquides de compositions différentes : T Corps pur A 1 Mélange A 1 + A 2 Corps pur A 2 t - Allure du diagramme binaire isobare idéal (après report des températures de début et de fin de changement d état pour chaque composition de mélange) : 7.3. Lecture du diagramme T - Les courbes tracées se nomment courbes de solidus et de liquidus : P = cste Solidus : Frontière entre domaines solide et solide-liquide Liquidus : Frontière entre domaines liquide et solide-liquide x 2-28-
10 - Les théorèmes «de l'horizontale» et des moments chimiques s appliquent dans le domaine diphasé SL de la même manière que pour l'étude des binaires LV : Théorème de l horizontale : Pour tout point M représentant l état du système dans un domaine liquide-solide diphasé, le tracé de l horizontale passant par M permet de déterminer la composition des phases en présence : Composition de la phase liquide : se lit à l abscisse de l intersection de l horizontale avec le liquidus Composition de la phase solide : se lit à l abscisse de l intersection de l horizontale avec le solidus T P = cste T P = cste x 1 w 1 Théorème des moments chimiques : Abscisse molaire : formulation en quantité de matière n s.ms = n l.ml Abscisse massique : formulation en masse m s.ms = m l.ml 7.4. Différents types de diagramme - On retrouve des cas de fuseaux simples et de fuseaux doubles : Fuseau simple : Fuseau double : Point de concours du liquidus et du solidus = Point indifférent -29-
11 Propriétés fondamentales du mélange indifférent : Lors du changement d état du mélange indifférent, la phase solide et la phase liquide ont la même composition. Le mélange indifférent change d état à température constante si P est fixée. - C est l'analogue du point azéotrope dans le cas des binaires L/V et présente donc les mêmes propriétés. 8. Diagramme binaire avec miscibilité nulle à l état solide 8.1. Tracé du diagramme binaire isobare - Les courbes d analyse thermique permettant le tracé du diagramme binaire sont identiques à celles obtenues dans le cas d un diagramme liquide-vapeur : T Corps pur A 1 Trois mélanges A 1 + A 2 t - La justification de l allure des courbes par calcul de variance se fait de manière rigoureusement identique au cas liquidevapeur. Expl : -30-
12 a) Courbes et domaines 8.2. Lecture du diagramme Point E = Eutectique Propriété fondamentale du mélange eutectique : Le mélange eutectique fond à température constante (si P est fixée) tant que l une de deux phases solides n a pas disparu. Chauffage d un mélange de deux solides non miscibles : Quelles que soient les proportions des deux solides non miscibles : La fusion du mélange se fait toujours à la température de l eutectique La température reste égale à celle du segment horizontal tant que l un des constituants solides n a pas entièrement fondu. Le liquide produit par fusion a la composition du mélange eutectique tant que les deux soldes existent. b) Lecture du diagramme - Chauffage d'un mélange solide figuré par le point M 0 : -31-
13 c) Théorèmes applicables : - Les théorèmes «de l horizontale» et des moments chimiques s appliquent toujours, pour tout point appartenant à un des domaines diphasés : 8.3. Applications - Intérêt : abaissement du point de fusion à une température inférieure à celle des deux corps purs : Soudure Salage des routes : binaire eau sel (T E = 21,6 C) T 0 C 21,6 C 0,085 x(nacl) -32-
14 Expl : Mélange magnésium-zinc 2.4. Composé défini T 0,67 x(zn) Composé défini à fusion congruente : Définition : Composé solide constitué des 2 constituants A 1 et A 2 qui fond en un liquide de même composition à T constante sous P fixée. Le solide est stable jusqu à sa fusion. Formule chimique du composé défini : s obtient à partir de la fraction molaire du composé défini Equation chimique décrivant la fusion du composé défini : Courbe d analyse thermique pour le composé défini : -33-
Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale
Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale 1 Table des matières Page 1 : Binaire liquide-vapeur isotherme et isobare Page 2 : Page 3 : Page 4 : Page 5 : Page 6 : intéressant facile facile sauf
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailFonctions linéaires et affines. 1 Fonctions linéaires. 1.1 Vocabulaire. 1.2 Représentation graphique. 3eme
Fonctions linéaires et affines 3eme 1 Fonctions linéaires 1.1 Vocabulaire Définition 1 Soit a un nombre quelconque «fixe». Une fonction linéaire associe à un nombre x quelconque le nombre a x. a s appelle
Plus en détailEtudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote.
K4. Point triple de l azote I. BUT DE LA MANIPULATION Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. II. BASES THEORIQUES Etats de la matière La matière est constituée
Plus en détailPremier principe : bilans d énergie
MPSI - Thermodynamique - Premier principe : bilans d énergie page 1/5 Premier principe : bilans d énergie Table des matières 1 De la mécanique à la thermodynamique : formes d énergie et échanges d énergie
Plus en détailTHERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ
THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ B. AMANA et J.-L. LEMAIRE 2 LIQUEFACTION D'UN GAZ Cette expérience permet d'étudier la compressibilité et la liquéfaction d'un fluide en fonction des variables P,
Plus en détailPropriétés thermodynamiques du mélange. Eau-Ammoniac-Hélium
International Renewable Energy Congress November 5-7, 2010 Sousse, Tunisia Propriétés thermodynamiques du mélange Eau-Ammoniac-Hélium Chatti Monia 1, Bellagi Ahmed 2 1,2 U.R. Thermique et Thermodynamique
Plus en détailInitiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI
Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides
Plus en détailSuivi d une réaction lente par chromatographie
TS Activité Chapitre 8 Cinétique chimique Suivi d une réaction lente par chromatographie Objectifs : Analyser un protocole expérimental de synthèse chimique Analyser un chromatogramme pour mettre en évidence
Plus en détailMesures calorimétriques
TP N 11 Mesures calorimétriques - page 51 - - T.P. N 11 - Ce document rassemble plusieurs mesures qui vont faire l'objet de quatre séances de travaux pratiques. La quasi totalité de ces manipulations utilisent
Plus en détailFRANCAIS MANUEL D UTILISATION THERMOMETRE MEDICAL SANS CONTACT A INFRAROUGE MODELE LX-26
MANUEL D UTILISATION FRANCAIS THERMOMETRE MEDICAL SANS CONTACT A INFRAROUGE MODELE LX-26 www.thermo-flash.com APPRENTISSAGE RAPIDE DU THERMOFLASH LX-26 Le ThermoFlash LX-26 est pré-paramétré en sortie
Plus en détailU-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES
Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailA chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde.
CC4 LA SPECTROPHOTOMÉTRIE I) POURQUOI UNE SUBSTANCE EST -ELLE COLORÉE? 1 ) La lumière blanche 2 ) Solutions colorées II)LE SPECTROPHOTOMÈTRE 1 ) Le spectrophotomètre 2 ) Facteurs dont dépend l'absorbance
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailAC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =
LE NOMBRE D OR Présentation et calcul du nombre d or Euclide avait trouvé un moyen de partager en deu un segment selon en «etrême et moyenne raison» Soit un segment [AB]. Le partage d Euclide consiste
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailpka D UN INDICATEUR COLORE
TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailSynthèse et propriétés des savons.
Synthèse et propriétés des savons. Objectifs: Réaliser la synthèse d'un savon mise en évidence de quelques propriétés des savons. I Introduction: 1. Présentation des savons: a) Composition des savons.
Plus en détailT.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY
T.P. FLUENT Cours Mécanique des Fluides 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY 2 Table des matières 1 Choc stationnaire dans un tube à choc 7 1.1 Introduction....................................... 7 1.2 Description.......................................
Plus en détailFonctions homographiques
Seconde-Fonctions homographiques-cours Mai 0 Fonctions homographiques Introduction Voir le TP Géogébra. La fonction inverse. Définition Considérons la fonction f définie par f() =. Alors :. f est définie
Plus en détailPrescriptions Techniques
Prescriptions Techniques Application du décret n 2004-555 du 15 juin 2004 relatif aux prescriptions techniques applicables aux Canalisations et Raccordements des installations de transport, de distribution
Plus en détailFONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)
FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détailGENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE
Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3
Plus en détailUne chaudière mixte est facilement identifiable : elle se déclenche chaque fois que vous ouvrez un robinet d eau chaude.
Comment choisir votre douche Le système en place chez vous Lorsque vous choisissez le type de douche dont vous voulez vous équiper, vous devez au préalable vérifier le système de production d eau chaude
Plus en détailAlfa Laval échangeurs de chaleur spiralés. La solution à tous les besoins de transfert de chaleur
Alfa Laval échangeurs de chaleur spiralés La solution à tous les besoins de transfert de chaleur L idée des échangeurs de chaleur spiralés n est pas nouvelle, mais Alfa Laval en a amélioré sa conception.
Plus en détailCHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE
CHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE I - PRINCIPE La chromatographie est une méthode physique de séparation de mélanges en leurs constituants; elle est basée sur les différences d affinité des substances à
Plus en détailMETEOROLOGIE CAEA 1990
METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les
Plus en détailK W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détailEXCEL PERFECTIONNEMENT SERVICE INFORMATIQUE. Version 1.0 30/11/05
EXCEL PERFECTIONNEMENT Version 1.0 30/11/05 SERVICE INFORMATIQUE TABLE DES MATIERES 1RAPPELS...3 1.1RACCOURCIS CLAVIER & SOURIS... 3 1.2NAVIGUER DANS UNE FEUILLE ET UN CLASSEUR... 3 1.3PERSONNALISER LA
Plus en détailSP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution :
SP. 3 Concentration molaire exercices Savoir son cours Concentrations : Calculer les concentrations molaires en soluté apporté des solutions désinfectantes suivantes : a) Une solution de 2,0 L contenant
Plus en détailFiche de révisions sur les acides et les bases
Fiche de révisions sur les s et les s A Définitions : : espèce chimique capable de libérer un (ou plusieurs proton (s. : espèce chimique capable de capter un (ou plusieurs proton (s. Attention! Dans une
Plus en détailEtude de fonctions: procédure et exemple
Etude de fonctions: procédure et exemple Yves Delhaye 8 juillet 2007 Résumé Dans ce court travail, nous présentons les différentes étapes d une étude de fonction à travers un exemple. Nous nous limitons
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage
PHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage I) Qu'est-ce qu'un savon et comment le fabrique-t-on? D'après épreuve BAC Liban 2005 Physique-Chimie dans la cuisine Chapitre 3 1/6 1- En vous
Plus en détailL import /export @GoogleDocs : Mise à jour rapide de votre catalogue
L import /export @GoogleDocs : Mise à jour rapide de votre catalogue L export @GoogleDocs se situe au dessus du résultat de la recherche, qu elle soit simple ou avancée. En cliquant sur le texte «Export
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailSINE QUA NON. Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases
SINE QUA NON Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases Sine qua non est un logiciel «traceur de courbes planes» mais il possède aussi bien d autres fonctionnalités que nous verrons tout
Plus en détailPlan du chapitre «Milieux diélectriques»
Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation
Plus en détailCOURS DE MACHINES FRIGORIFIQUES
I.U.. de Saint-Omer Dunkerque Département Génie hermique et énergie COURS DE MACHINES FRIGORIFIQUES Olivier ERRO 200-20 2 Avertissement : Ce cours de machines frigorifiques propose d aborder le principe
Plus en détailTPG 12 - Spectrophotométrie
TPG 12 - Spectrophotométrie Travail par binôme Objectif : découvrir les conditions de validité et les utilisations possibles de la loi de Beer-Lambert I- Tracé de la rosace des couleurs Choisir un des
Plus en détailTECHNIQUES DE BASE EN CHIMIE ORGANIQUE
TECHNIQUES DE BASE EN CHIMIE ORGANIQUE La synthèse organique suit en général le schéma suivant : Synthèse Séparation des produits Caractérisation du produit Pur? Oui Fin. Evaluation du rendement Non Purification
Plus en détailDes molécules hydrophobes dans l eau
Des molécules hydrophobes dans l eau B. Cabane PMMH, ESPCI, Paris bcabane@pmmh.espci.fr Je remercie pour leurs contributions: D. Durand, B. Guillot, H. Lannibois-Drean, C. Pascal, C. Poncet-Legrand, A.
Plus en détailUne production économique! Echangeur d ions TKA
Une eau totalement déminéralisée Une production économique! Echangeur d ions TKA Eau déminéralisée pour autoclaves, laveurs, analyseurs automatiques, appareils d'eau ultra pure... SYSTÈMES DE PURIFICATION
Plus en détailBien lire l énoncé 2 fois avant de continuer - Méthodes et/ou Explications Réponses. Antécédents d un nombre par une fonction
Antécédents d un nombre par une fonction 1) Par lecture graphique Méthode / Explications : Pour déterminer le ou les antécédents d un nombre a donné, on trace la droite (d) d équation. On lit les abscisses
Plus en détailExercices sur le thème II : Les savons
Fiche d'exercices Elève pour la classe de Terminale SMS page 1 Exercices sur le thème : Les savons EXERCICE 1. 1. L oléine, composé le plus important de l huile d olive, est le triglycéride de l acide
Plus en détail8 Ensemble grand-canonique
Physique Statistique I, 007-008 8 Ensemble grand-canonique 8.1 Calcul de la densité de probabilité On adopte la même approche par laquelle on a établi la densité de probabilité de l ensemble canonique,
Plus en détailENREGISTREMENT COMPTABLE DES FLUX ECONOMIQUES
Objectif(s) : ENREGISTREMENT COMPTABLE DES FLUX ECONOMIQUES Connaître les conventions et principes comptables. Modalité(s) : Comptes, Bilans, Activité, Trésorerie. TABLE DES MATIERES Chapitre 1. INTRODUCTION....
Plus en détailPremier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie
Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse
Plus en détailExercice 3 (5 points) A(x) = 1-e -0039' -0 156e- 0,039x A '() -'-,..--,-,--,------:-- X = (l_e-0,039x)2
Les parties A et B sont indépendantes. Partie A Exercice 3 (5 points) Commun à tous les candidats On considère la fonction A définie sur l'intervalle [1 ; + 00 [ par A(x) = 1-e -0039' ' x 1. Calculer la
Plus en détailL École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I
L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie
Plus en détailIntroduction au logiciel de simulation ASPEN-Plus. J. Schwartzentruber
Introduction au logiciel de simulation ASPEN-Plus J. Schwartzentruber Septembre 2005 Ce document se veut une rapide introduction au logiciel ASPEN-Plus, qui sera utilisé pour les travaux dirigés du cours
Plus en détailLa classification automatique de données quantitatives
La classification automatique de données quantitatives 1 Introduction Parmi les méthodes de statistique exploratoire multidimensionnelle, dont l objectif est d extraire d une masse de données des informations
Plus en détail' Département de Chimie Analytique, Académie de Médecine, 38 rue Szewska,
J. Phys. IVFrance 11 (2001) O EDP Sciences, Les Ulis Limites des solutions solides dans le système binaire CdBr2-AgBr A. Wojakowska, A. Gorniak and W. ~awel' Laboratoire d'analyse Thermique, Département
Plus en détailDéfinition 0,752 = 0,7 + 0,05 + 0,002 SYSTÈMES DE NUMÉRATION POSITIONNELS = 7 10 1 + 5 10 2 + 2 10 3
8 Systèmes de numération INTRODUCTION SYSTÈMES DE NUMÉRATION POSITIONNELS Dans un système positionnel, le nombre de symboles est fixe On représente par un symbole chaque chiffre inférieur à la base, incluant
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailOscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté
Chapitre 4 Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté 4.1 Introduction Les systèmes qui nécessitent deux coordonnées indépendantes pour spécifier leurs positions sont appelés systèmes à
Plus en détailB1 Cahiers des charges
B1 Cahiers des charges B1 cahiers des charges 35 B.1 Cahiers des charges Ce chapitre contient les cahiers des charges. Pour plus d informations, nous réfèrons au paragraphe B.3. Mise en oeuvre et B.4 Détails
Plus en détailPerrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6
Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire
Plus en détailLES DIFFÉRENTS FORMATS AUDIO NUMÉRIQUES
LES DIFFÉRENTS FORMATS AUDIO NUMÉRIQUES Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Compétence(s) spécifique(s) : Reconnaître des signaux de nature
Plus en détail1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..
1 Définition GÉNÉRALITÉS Statique 1 2 Systèmes matériels et solides Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..une pièce mais aussi un liquide ou un gaz Le solide : Il est supposé
Plus en détailÀ propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire
À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailCollecteur de distribution de fluide
Collecteur de distribution de fluide Guide des applications Un sous-système prêt-à-monter Des sous-systèmes prêts-à-monter, disponibles en quelques semaines et non en quelques mois. Une conception testée
Plus en détailLecture graphique. Table des matières
Lecture graphique Table des matières 1 Lecture d une courbe 2 1.1 Définition d une fonction.......................... 2 1.2 Exemple d une courbe........................... 2 1.3 Coût, recette et bénéfice...........................
Plus en détailSavoir écouter, assimiler : s approprier
PCSI TP-DI Chimie organique INITIATION A LA CHIMIE ORGANIQUE Travail élève : savoirs et actions Compétences attendues Au début du TP, quelques explications orales sur le déroulement de la séance, sur le
Plus en détailProSimPlus HNO3 Résumé des nouvelles fonctionnalités, décembre 2008
ProSimPlus HNO3 Résumé des nouvelles fonctionnalités, décembre 2008 Cette page présente un résumé des derniers développements effectués dans le logiciel ProSimPlus HNO3. Ceux-ci correspondent à de nouvelles
Plus en détailTP 7 : oscillateur de torsion
TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)
Plus en détailCREATION D UNE EVALUATION AVEC JADE par Patrick RUER (www.mathenvideo.comuv.com)
TABLE DES MATIERES I) Le logiciel JADE 2 II) Etablissements 3 1) Configuation de l établissement 3 2) Importation des classes avec SCONET 4 3) Les groupes d élèves 6 4) Les variables supplémentaires 6
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailRésolution d équations non linéaires
Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique
Plus en détailAnalyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes
Analyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes Biostatistique Pr. Nicolas MEYER Laboratoire de Biostatistique et Informatique Médicale Fac. de Médecine de Strasbourg Mars 2011 Plan 1 Introduction
Plus en détailSujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.
Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de
Plus en détailSEANCE 4 : MECANIQUE THEOREMES FONDAMENTAUX
SEANCE 4 : MECANIQUE THEOREMES FONDAMENTAUX 1. EXPERIENCE 1 : APPLICATION DE LA LOI FONDAMENTALE DE LA DYNAMIQUE a) On incline d un angle α la table à digitaliser (deuxième ou troisième cran de la table).
Plus en détailSystèmes de distributeurs Systèmes de distributeur selon la norme ISO 5599-1, taille 2, série 581. Caractéristiques techniques
ISO 5599-1, taille 2, série 581 Caractéristiques techniques 2 ISO 5599-1, taille 2, série 581 Systèmes de distributeurs Systèmes de distributeur, Série 581 Qn Max. = 2200 l/min Câblage individuel par enfichage
Plus en détailSommaire buses. Buses
Sommaire buses Buses Pour tous types de machines hautes pression Pour des canalisations jusqu au Ø 600 mm Efficacité maximale Pour toutes sortes d obstruction Radiales ou rotatives Avec ou sans jet avant
Plus en détailExtraction Assistée par Ultrasons
Extraction Assistée par Ultrasons Extraction par ultrasons au laboratoire Deux types d équipements à ultrasons sont couramment utilisés dans le laboratoire. Le premier est le bain de nettoyage à ultrasons
Plus en détailSavoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée
Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement
Plus en détailQuel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel?
Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel? Rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet Pourquoi a on défini 7 couleurs pour l arc an ciel A cause de l'analogie entre la lumière et le son, la gamme
Plus en détailMathématiques et petites voitures
Mathématiques et petites voitures Thomas Lefebvre 10 avril 2015 Résumé Ce document présente diérentes applications des mathématiques dans le domaine du slot-racing. Table des matières 1 Périmètre et circuit
Plus en détailFormulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire
Formulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire Annexe au formulaire de demande de prime 1. Coordonnées du demandeur Nom du demandeur Adresse Adresse de l installation Rue : N : Code Postal : Commune
Plus en détailLes composites thermoplastiques
Les composites thermoplastiques Définition Par définition, un thermoplastique (anglais :thermoplast) est un matériau à base de polymère (composé de macromolécules) qui peut être mis en forme, à l état
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détailGESTION DES EQUIPEMENTS
des machines tournantes opérationnelle maintenance des pièces de rechange énergétique des connaissances Programme d optimisation Diagnostic machines Formations au diagnostic Etudes et analyses Systèmes
Plus en détailLes solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2
Les soluions solides e les diagrammes d équilibre binaires 1. Les soluions solides a. Descripion On peu mélanger des liquides par exemple l eau e l alcool en oue proporion, on peu solubiliser un solide
Plus en détailSoltherm Personnes morales
Soltherm Personnes morales Annexe technique Valable pour les travaux faisant l objet d une facture finale datée au plus tôt le 1 er janvier 2015 ou dans des maisons unifamiliales/appartements dont la déclaration
Plus en détailLA 4L PANTONE. Vagal âme a adapté un système écologique de type PANTONE sur une 4L.
LA 4L PANTONE Ce projet est l œuvre d une association de loi 1901 : Vagal âme -2 étudiants de l ICN école de management : gestion et réalisation -1 étudiant de l Ecole des Mines de Nancy : technique -1
Plus en détailCOURS DE THERMODYNAMIQUE
I.U.T. de Saint-Omer Dunkerque Département Génie Thermique et énergie COURS DE THERMODYNAMIQUE eme Semestre Olivier PERROT 010-011 1 Avertissement : Ce cours de thermodynamique présente quelques applications
Plus en détailI - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES
I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et
Plus en détailRéalisation de cartes vectorielles avec Word
Réalisation de cartes vectorielles avec Word Vectorisation de la carte Après avoir scanné ou avoir récupéré un fond de carte sur Internet, insérez-la dans votre fichier Word : Commencez par rendre visible
Plus en détaildéveloppe pour vous des solutions toujours plus proches de votre besoin.
alliance - développement - valorisation N/Réf : LET.A000.00.SAG.106149 développe pour vous des solutions toujours plus proches de votre besoin. Grâce à son expertise de l industrie nucléaire, le service
Plus en détailFICHE 1 Fiche à destination des enseignants
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 8 (b) Un entretien d embauche autour de l eau de Dakin Type d'activité Activité expérimentale avec démarche d investigation Dans cette version, l élève est
Plus en détailOPTIMISATION À UNE VARIABLE
OPTIMISATION À UNE VARIABLE Sommaire 1. Optimum locaux d'une fonction... 1 1.1. Maximum local... 1 1.2. Minimum local... 1 1.3. Points stationnaires et points critiques... 2 1.4. Recherche d'un optimum
Plus en détailEES : Engineering Equation Solver Fiche récapitulative - Marie-Sophie Cabot
EES : Engineering Equation Solver Fiche récapitulative - Marie-Sophie Cabot Permet la résolution de systèmes d équations algébriques, non linéaires Contient différentes bases de données thermodynamiques.
Plus en détailCalcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.
1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le
Plus en détailComparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10
PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?
Plus en détail