GESTION DE LA QUALITE DE L AIR INTERIEUR D UN ETABLISSEMENT SCOLAIRE PAR SES OCCUPANTS : EXPERIENCE PILOTE DANS UN LYCEE DU NORD PAS DE CALAIS

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1 GESTION DE LA QUALITE DE L AIR INTERIEUR D UN ETABLISSEMENT SCOLAIRE PAR SES OCCUPANTS : EXPERIENCE PILOTE DANS UN LYCEE DU NORD PAS DE CALAIS Aurore DECONINCK 1 Caroline CHAMBON 1 Corinne SCHADKOWSKI 1 1 Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique, 235 avenue de la Recherche, BP 86, Loos cedex postmaster@appanpc.fr RESUME L'objectif général de ce projet était de diminuer l'exposition à la pollution de l'air intérieur dans les lycées, tant des élèves que des personnels de l'établissement. Pour ce faire nous avons réalisé un diagnostic de la qualité de l air intérieur du lycée (sur la base d une enquête auprès des usagers). Les questions posées portaient principalement sur les perceptions des usagers et leurs pratiques. Au total, 136 usagers (élèves, professeurs et personnels d entretien) ont été interrogés. Les résultats de l enquête ont été présentés via une plaquette qui reprenait les questions qui traitaient de la qualité de l air extérieur, intérieur, du chauffage des salles de classe, de la ventilation des salles et de l humidité. Des recommandations proposées par des élèves et quelques conseils pour s assurer une bonne qualité de l air au sein du lycée ainsi que les liens entre qualité de l air intérieur et santé y étaient également présentés. I- CONTEXTE La question de la qualité de l'air intérieur, et plus spécifiquement celle des bâtiments accueillant des publics «sensibles» comme les jeunes enfants (écoles, crèches...) est aujourd hui au cœur des préoccupations de santé environnementale. Mais si les pouvoirs publics sont à présent conscients des enjeux, comme en témoigne en Nord Pas de Calais 1 la priorité portée sur ce thème par le Plan Régional Santé Environnement 2, cette problématique reste encore mal connue des gestionnaires d établissements eux-mêmes. En 2009, l APPA avait mené une étude exploratoire auprès d un échantillon restreint de responsables de crèches ou d écoles en région Nord Pas de Calais. Les entretiens qualitatifs montraient effectivement un manque d informations de ces publics, tant sur la thématique en elle-même que sur les «ressources» disponibles, telles que le guide édité par le Ministère de l Environnement et du Développement Durable 2. Les professionnels interrogés se déclaraient à la recherche d une part d outils «clefs en main» et d autre part de formation ou d accompagnement, cette question étant jugée souvent trop «technique» pour qu ils puissent facilement se l approprier. Par ailleurs, une étude de faisabilité lancée par l APPA en 2008 avait montré que les lycéens étaient à même de s'approprier la problématique de la qualité de l air intérieur, notamment par le biais des ateliers scientifiques qui étaient proposés aux niveaux de 1 ère et Terminale. Il nous apparaissait donc possible, dans ce cadre pédagogique, de susciter une démarche participative de gestion de la qualité de l air intérieur d un établissement, en se basant sur un groupe d élèves et le ou les enseignant(s) les encadrant. II- METHODOLOGIE 1- Objectif du projet Les polluants de l air intérieur sont dans la grande majorité des cas, imperceptibles par nos sens (sauf nuisances olfactives importantes). Le premier réflexe des gestionnaires d établissement, afin de quantifier d éventuelles nuisances, est donc souvent, de manière tout à fait compréhensible, de recourir à une campagne de mesures. Se pose alors la question des polluants à mesurer, du lieu d implantation de ces mesures... et du coût engendré, qui peut s avérer relativement élevé en fonctions de la taille de l établissement et du choix des polluants suivis. Or, il n est pas toujours nécessaire de mesurer les polluants pour détecter certains problèmes et agir en conséquence : les problèmes de ventilation peuvent ainsi souvent être repérés par les occupants du bâtiment au travers de leur usage quotidien (sensation d inconfort, besoin ressenti d aérer...). Des signes visuels tels que la condensation sur les fenêtres, voire des traces de moisissures peuvent également alerter les occupants. Enfin, un diagnostic «visuel» de la présence ou non de grilles d aération, du nombre d ouvrant nécessaires dans une pièce... peut être réalisé par un groupe d occupants «avertis», c est-à-dire ayant été préalablement sensibilisés à ces questions. Une fois ces premières étapes réalisées, des 55

2 mesures simples de paramètres de confort (température, humidité relative et dioxyde de carbone) peuvent étayer des hypothèses posées sur d éventuels dysfonctionnements. Cette démarche présente le double avantage d être relativement peu coûteuse à mettre en œuvre (par rapport à une campagne de mesures), et d impliquer les occupants dans le diagnostic, ce qui les rendra a priori plus réceptifs à d éventuelles mesures de gestion impliquant leur participation (comme par exemple des mesures d aération volontaire plus fréquentes dans certaines pièces). L objectif du projet était donc de : - concevoir une démarche participative de gestion de la QAI d un établissement scolaire du secondaire, se basant sur un diagnostic pouvant être réalisé par les occupants eux-mêmes, et notamment les élèves, - tester cette démarche dans un établissement pilote, - capitaliser sur l expérience pilote pour proposer une extension à une plus large échelle. 2- Choix du lycée "pilote" Le choix du lycée «pilote» s est basé essentiellement sur un critère d opportunité et de motivation première de l établissement. En effet, le lycée Faidherbe de Lille avait, à l époque de démarrage de l action, sollicité le soutien technique de l APPA afin de mener, au travers d un atelier scientifique, différents projets relatifs à la qualité de l air. Une présentation de la démarche envisagée a suscité un vif intérêt de la part de l enseignante responsable de l atelier, qui a su convaincre sa hiérarchie d inclure l action de l APPA au sein du projet «santé citoyenneté» de l établissement. Le lycée s est donc porté candidat pour cette expérience pilote. 3- Mise en œuvre de la démarche dans l établissement pilote Le projet s est mis en place durant l année scolaire , et s est poursuivi durant les années suivantes, selon des organisations variables. Il s est appuyé durant les deux premières années sur un atelier scientifique accueillant des élèves de 1ère et Terminale, animé par une enseignante de SVT, laquelle était le «référent projet» dans l établissement, et le principal interlocuteur de l APPA. Au total, une vingtaine d élèves ont ainsi participé au projet sur ces deux années, certains élèves de 1 ère poursuivant l atelier durant leur année de terminale, et assurant ainsi la «transition». En , des travaux ont été poursuivis par des lycéens en TPE («Travaux Personnels Encadrés»), notamment les quelques mesures de CO 2 présentées au paragraphe V-2. Le présent article décrira plus particulièrement les actions menées durant les deux premières années du projet. Les trois objectifs opérationnels étaient, au sein de l établissement pilote, de : - réaliser un diagnostic de la qualité de l air intérieur de l établissement se basant sur une enquête auprès d un échantillon d occupants, - proposer des pistes d amélioration se basant sur les résultats de l enquête, - faire connaitre le diagnostic et les propositions aux autres occupants. Après une première sensibilisation des élèves aux questions de qualité de l air intérieur, l APPA a accompagné le groupe dans la réalisation d une enquête auprès des différents usagers (aide à l élaboration des questionnaires, à la saisie et à l exploitation des résultats). Le lycée Faidherbe étant un établissement très vaste, il a été proposé, pour des raisons pratiques, de concentrer le diagnostic sur un seul bâtiment (celui accueillant les Travaux Pratiques de sciences). III- ENQUETE AUPRES DES USAGERS 1- Méthodologie de l enquête La qualité de l air intérieur d un bâtiment est fonction de caractéristiques intrinsèques au bâtiment (qualité de la ventilation...) mais aussi du comportement des occupants. Le but de l enquête était de recueillir des informations sur le ressenti et les pratiques des occupants, de manière à pouvoir dégager ensuite des pistes d amélioration pouvant facilement être mises en œuvre par des changements de comportement. Par exemple, il n était pas question d aborder les questions techniques de ventilation des salles, mais plutôt de s interroger avec les élèves sur les pratiques d aération des différents usagers (enseignants, personnels d entretien ou élèves eux-mêmes). Trois types de questionnaires pour chaque catégorie de personnes interrogées (élèves, professeurs, personnels d entretien) avec une trame commune et des questions plus spécifiques, ont été élaborés. Si les questions concernant les pratiques différaient entre les types d usagers (ex : questions spécifiques concernant les produits ménagers pour les personnels d entretien), celles relatives aux ressentis étaient communes, afin de pouvoir effectuer un comparatif entre les différents publics. Les questions portaient principalement sur : - les perceptions des usagers (de la qualité de l air, des paramètres de confort, de nuisances éventuellement ressenties comme des maux de tête ou le besoin de tousser) - les pratiques des usagers (aération...) Au total, 111 questionnaires ont été remplis par des élèves (échantillons de classes de la seconde à la prépa), 12 chez les personnels d entretien et de préparation des salles et 13 chez les professeurs, soit un total de 136 usagers interrogés. La saisie et le traitement des données ont été réalisés par les élèves de l atelier scientifique, accompagnés par l APPA, grâce à un tableur couramment présent sur les postes informatiques à disposition des élèves. Des représentations graphiques des différents résultats ont été réalisées pour chaque catégorie de personnes interrogées afin d illustrer les 56

3 futures actions de communication vers les autres usagers de l établissement. 2- Brève présentation des résultats de l enquête Si l enquête montre parfois quelques différences de perception entre les types d usagers (le personnel d entretien cite ainsi beaucoup plus fréquemment, et assez logiquement, les produits utilisés comme sources de pollution), certaines questions ont fait l unanimité (ventilation insuffisante). Le manque de ventilation dans les salles de classe fait l unanimité, tant chez les élèves, les professeurs que parmi le personnel d entretien. En ce qui concerne le chauffage, sa perception est très différente selon les catégories d usagers interrogées. Là où 39 % des professeurs et 58 % du personnel d entretien considèrent que les salles de classes sont bien chauffées, 30 % des élèves pensent qu il est mal réparti... mais de manière contradictoire : 23 % pensent que les salles sont trop chauffées et 18 % qu elles ne le sont pas assez. Ceci peut s expliquer par le fait que les élèves interrogés ne fréquentent pas forcément les mêmes salles au sein de l établissement. Quelques propositions concernant le bâti ont été transmises par l atelier scientifique à la direction de l établissement (mauvaise répartition du chauffage entre certaines parties des bâtiments, fenêtres ne s ouvrant plus...). Dans l attente d éventuels travaux, il importe cependant, pour les élèves, de modifier les pratiques d aération, ce qui est donc ressorti en tête des préconisations proposées. Les agents d entretien interrogés ont pour leur part recommandé aux élèves de ne pas écrire sur les tables et les murs afin de limiter l utilisation de produits ménagers. Figure 1 : Perception de la qualité de l'air extérieur En ce qui concerne la qualité de l air extérieur, tous les types d usagers pensent en majorité que celle-ci est plutôt bonne malgré le trafic routier important à proximité du lycée (cf. figure 1). Figure 2 : Perception de la qualité de l'air intérieur 3- Préconisation des élèves L un des objectifs du projet était de fournir des pistes d amélioration de la qualité de l air intérieur du lycée en se basant sur les résultats de l enquête, et sur un diagnostic visuel mené par les élèves de l atelier scientifique, devenu occupants «avertis» en matière de qualité de l air intérieur. Ces recommandations sont les suivantes : - ouvrir les fenêtres à la fin de chaque cours, - aérer les salles de classe toutes les heures, - informer en début d'année les élèves sur les précautions à prendre lors de l'utilisation des produits chimiques de TP, - faciliter le travail du personnel d'entretien en évitant d'écrire sur les tables et en n'accumulant pas de vieux papiers, - préférer l'utilisation de produits nettoyants plus "écologiques". La qualité de l air à l intérieur du lycée est jugée «plutôt bonne» pour une majorité d élèves et de professeurs. Huit agents d entretien sur 12 (67 %) affirment par contre qu elle est «plutôt mauvaise» (cf. figure 2). Les sources de pollution les plus souvent citées par les élèves sont le manque d aération, la poussière, puis les produits chimiques de Travaux Pratiques. Pour les professeurs et le personnel d entretien, les produits ménagers arrivent en tête, suivis par la sur-occupation des salles de classes, ainsi qu une mauvaise aération. 57

4 IV- SENSIBILISATION DE L ENSEMBLE DES USAGERS La phase suivante du projet consistait à sensibiliser l ensemble des occupants du lycée, et de diffuser les préconisations établies par le groupe, par le biais de différentes actions de communication. 1- Plaquette Intitulée «Lycée Faidherbe : une bonne qualité de l air intérieur pour réussir!», cette plaquette de 4 pages format A5 (cf. figure 3) présente une partie des résultats de l enquête réalisée auprès des élèves, professeurs et personnels d entretien. Les élèves de l atelier ont choisi de se concentrer, dans cette plaquette, sur les questions qui traitaient de la perception de la qualité de l air extérieur et intérieur du lycée, du chauffage, de la ventilation des salles et de l humidité. La plaquette présente les recommandations proposées par l atelier scientifique, et rappelle également quelques conseils pour s assurer une bonne qualité de l air du logement, ainsi que les liens entre qualité de l air intérieur et santé. Elaboré en fin d année scolaire (juin 2009), cet outil a été validé par la direction de l établissement, puis diffusé une première fois à la rentrée 2009, et une seconde fois à la rentrée élèves de l atelier scientifique ont présenté les résultats de l enquête, ainsi que les recommandations aux usagers. Ces interventions ont été suivies d un débat avec la salle. La conférence a par ailleurs été filmée par les élèves d un atelier «vidéo», pour utilisation ultérieure au sein de l établissement. Le projet se poursuivant au sein du lycée, d autres actions de communication sont en cours de réflexion, notamment une campagne d affichage sur l aération volontaire des salles (cf. paragraphe V-2). V- POUR ALLER PLUS LOIN : VISITE TECHNIQUE ET MESURES DE CONFINEMENT Comme indiqué plus haut, les résultats de l enquête auprès des usagers permettent en soi de diagnostiquer un certain nombre de problèmes, de proposer des pistes d action, et de sensibiliser les usagers à leur mise en œuvre. Pour aller plus loin, d autres actions peuvent ensuite être développées, pour affiner le premier diagnostic posé, confirmer certaines hypothèses, ou tester l efficacité des préconisations proposées. En ont ainsi été réalisées au sein du lycée Faidherbe : - une visite technique de l établissement par le CETE Nord Picardie, - des mesures, par quelques lycéens, de paramètres de confort (température, humidité et dioxyde de carbone). 1- Diagnostic technique d un bâtiment du lycée Figure 3 : Plaquette de présentation des résultats 2- Conférence Une conférence a été organisée le 1 er avril 2010 au sein du lycée dans le cadre de la semaine du développement durable. Quatre classes de Seconde, Première et Terminale y ont assisté, ainsi qu une dizaine de professeurs et personnels administratifs. Après une introduction à la problématique de la qualité de l air intérieur et aux enjeux de santé par l APPA, deux Le CETE Nord Picardie, expert sur les questions de bâti et particulièrement de ventilation, a réalisé une visite de deux heures du bâtiment, durant laquelle il a notamment vérifié la présence de ventilation dans les différentes salles (cours, travaux pratiques, documentation...). Cette visite a permis de faire confirmer par un organisme «expert» le premier diagnostic posé par les élèves de l atelier. Dans l'ensemble, les locaux ont été jugés sousventilés mais le diagnostic du CETE a précisé que ce manque de ventilation pouvait être compensé par l'ouverture des fenêtres comme l'autorise la règlementation (Règlement Sanitaire Départemental). Suite à cette visite, des pistes d amélioration ont été proposé notamment la mise en place d un plan de communication quant à l importance de l aération (ouverture volontaire des fenêtres) auprès des usagers des locaux d'enseignement, complémentaire des systèmes de ventilation. En effet, du fait du changement récent des fenêtres et des coûts que cela engendrerait, il ne semble pas judicieux de proposer de nouveaux travaux pour améliorer la ventilation. 58

5 2- Mesures de confinement menées par les lycéens L enquête auprès des usagers, ainsi qu un diagnostic «visuel» effectué par les élèves de l atelier scientifique (et confirmé par la visite technique du CETE) laissait fortement supposer des problèmes de confinement de certaines salles. Afin de confirmer cette hypothèse, et de tester les progrès possibles par la mise en place de procédures d aération des salles, des mesures de dioxyde de carbone, témoin du confinement des pièces, ont été proposées. Elles ont été mises en œuvre par des élèves en TPE (Travaux Personnels Encadrés). Un analyseur de CO 2 a été mis par l APPA, à disposition des élèves à cette occasion. La limite de concentration de ppm de CO 2 à ne pas dépasser est couramment admise pour définir les débits de renouvellement d air réglementaires (RSDT, 1978). On notera que le confinement peut avoir une influence sur la capacité de concentration des élèves, comme l ont montrées différentes études (OQAI, 2004). Figure 5 : Evolution de la concentration de CO 2 durant 4 heures de TP avec une aération de 15 minutes au bout de 2 heures Ces expériences ont permis de mettre en évidence et d illustrer le manque de ventilation des salles de classe et l importance de procéder à l ouverture des fenêtres pour pallier à ce manque. De tels graphiques peuvent permettre d appuyer une campagne d information menée au sein de l établissement sur l aération volontaire des salles de classe. VI- PERSPECTIVES : EXTENSION DE LA DEMARCHE A D AUTRES ETABLISSEMENTS Figure 4 : Evolution de la concentration de CO 2 durant une heure de cours sans aération La concentration du CO 2, la température et l humidité relative augmentent au fur et à mesure que l heure de cours passe. On constate (cf. figure 4) que la concentration de CO 2 augmente rapidement au cours du temps, passant d environ 700 ppm au début de l heure de cours à plus de ppm au bout d une heure. La figure 5 montre les mesures réalisées lors d une séance de Travaux Pratiques de 4 heures avec un groupe de 18 élèves. Une ouverture des fenêtres a eu lieu à la moitié de la séance. Cette ouverture a provoqué une diminution de la concentration de CO 2 en dessous de son niveau observé au début des mesures alors qu elle avait atteinte un niveau de plus de ppm. L expérience pilote menée au lycée Faidherbe a permis de tester une démarche participative de gestion de la qualité de l air intérieur d un établissement d enseignement secondaire par ses occupants. Différents outils «pratiques» ont été conçus à cette occasion (questionnaires, outils de communication...) En , l APPA a entrepris de capitaliser sur cette expérience, pour un transfert vers d autres établissements. Le retour d expérience du projet a en effet permis de bâtir une offre de formation à destination de publics intervenants dans les lycées (enseignants, animateurs agendas 21...) pour leur permettre de transférer la démarche dans leur propre établissement. Les outils «Faidherbe» sont présentés et mis à disposition suite à la formation et peuvent au choix être utilisés tels quels ou adaptés en fonction du contexte du nouvel établissement. Trois lycées picards et trois lycées franciliens seront ainsi accompagnés par l APPA dans l adaptation et la mise en œuvre de la démarche, grâce au soutien respectif des Conseils Régionaux Picardie et Ile de France. 59

6 BIBLIOGRAPHIE APPA (2010). Qualité de l Air Intérieur dans les établissements scolaires, rapport d étude. 21 p. BRIAND E. (2010). Guide de gestion de la qualité de l air intérieur dans les établissements recevant du public. Direction générale de la santé, 78 p. Disponible sur : MINISTERE DE L ECOLOGIE, DU DEVELOPPEMENT ET DE L AMENAGEMENT DURABLE (2007). Recenser, prévenir et limiter les risques sanitaires environnementaux dans les bâtiments accueillant des enfants, guide à l usage des collectivités territoriale. 86 p. OQAI (2004). Impact énergétique et sanitaire du renouvellement d air dans deux écoles primaires, rapport. 98 p. NOTES 1 cf. l article de Hoguet et Château dans ce numéro d Air Pur... 2 Recenser, prévenir et limiter les risques sanitaires environnementaux dans les bâtiments accueillant des enfants, guide InVS non paru au moment de l enquête. REMERCIEMENTS Ce projet a fait l objet d un soutien financier de l Agence Régionale de Santé et du Conseil Régional Nord Pas de Calais. L APPA tient à remercier vivement : - La direction du lycée Faidherbe pour avoir accepté d accueillir cette expérimentation - Mme Monique Malingue, enseignante de SVT et responsable de l atelier scientifique, pour avoir porté ce projet avec enthousiasme et rigueur depuis Les lycéens qui se sont investis dans le projet, au travers de l atelier scientifique ou de Travaux Personnels Encadrés 60

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