LES MYCOPLASMES. Marc De Brueker Labelvet

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1 LES MYCOPLASMES Marc De Brueker Labelvet

2 LES MYCOPLASMES AVIAIRES Principales espèces pathogènes chez les poules et les dindes: Mycoplasma gallisepticum, M. synoviae, M. meleagridis, M. iowae, Tropisme respiratoire, génital et articulaire Lourdes pertes économiques

3 CARACTERISTIQUES Bactéries sans paroi Grande spécificité d hôte Molécules spécifiques pour le traitement Pas de multiplication par autre chose que les oiseaux Génome très réduit Mutations fréquentes Facteurs de pathogénicité : Adhésion Échappement au système immunitaire Possibilité de vie intracellulaire Difficiles à éliminer Se «cachent» en changeant de forme ou de surface Transport par les globules rouges

4 CARACTERISTIQUES DES INFECTIONS Mycoplasma gallisepticum: chez la poule, troubles respiratoires (jetage nasal, râles, éternuements, ) chute de consommation et de ponte Mortalité par arrêt de consommation Mycoplasma synoviae : Peu de signes cliniques pour les souches classiques. Apparition il y a environ 5 ans en France d une souche à tropisme génital : Jusqu à 35% d oeufs déclassés avec lésions caractéristiques Chute de ponte pouvant atteindre 25%

5 CAS PARTICULIER: syndrome des œufs à extrémité de verre Souche à tropisme génital entraînant des déformations de la coquille:

6 CAS PARTICULIER: syndrome des œufs à extrémité de verre 1 à 25% d œufs fragilisés Les symptômes persistent toute la ponte

7 Des lésions de l apex avec des conséquences à la sortie de la calibreuse

8 Pourquoi ces lésions? Source : the Virtual Chicken, Auburn University

9 IMPORTANCE Toutes les souches de MS n ont pas les mêmes conséquences Combinés aux virus BI et SIGT, le MS accentue les déformations des coquilles Les souches génitales engendrant des œufs à extrémité de verre ont des répercussions économiques importantes

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11 Pourquoi cette synergie BI Mycoplasme? Avec l aimable autorisation de MSD France

12 EPIDEMIOLOGIE DES MYCOPLASMOSES AVIAIRES Transmission directe: Voie verticale: pour M. gallisepticum et M. synoviae, par contiguïté entre les sacs aériens et l oviducte Voie horizontale: contamination par contact direct entre animaux par voie respiratoire, conjonctivale ou génitale (reproducteurs) -> principalement lors de la phase aigüe de l infection Dissémination par les effluents d élevage (problème des fientes humides)

13 EPIDEMIOLOGIE DES MYCOPLASMOSES AVIAIRES Transmission indirecte: Persistance des mycoplasmes dans l environnement: Terre Eau de boisson Aliment Eau de puits Avec sérum de cheval Lumière solaire Etat sec Plumes Coton M. Gallisepticum 2-4j 2j - 5-7j 30 min 10-14j 2-4j 2-4j M. synoviae 22h-2j 22h-2j 2-5j 1-2j 60 min 10-21j 2-3j 8h-2j NB: peu de persistance durant un vide sanitaire, problème des sites multi-âges

14 MODES DE CONTAMINATION LES OISEAUX D UN ELEVAGE LES HOMMES : équipes de vaccination ou d attrapage, personnel d élevage LE MATERIEL : camions de transport des poulettes matériel de conditionnement : alvéoles/palettes, centres de conditionnement (stockage d œufs d autres provenances) camions de collecte des œufs INSECTES VECTEURS : poux?, mouches?

15 DIAGNOSTIC Bactériologie: méthode longue et délicate PCR: rapide, sensible, abordable Sérologie: révèle la présence d anticorps dans le sang 15 jours à 3 semaines minimum après l infection ARL : rapide, peu coûteux MAIS faux positifs, période de positivité courte MS œufs de verre : il existe des FAUX NEGATIFS ELISA: fiable et rapide MAIS coûteux et positivité tardive

16 CONTRÔLE DES MYCOPLASMOSES AVIAIRES Traitements antibiotiques: ne permettent pas de guérir les animaux mais diminuent le pourcentage d œufs déclassés. Les traitements sont à renouveler dès que le pourcentage de déclassés re-augmente.

17 UN SITE ATTEINT DE MS A SPHERE GENITALE Les traitements antibiotiques ne diminuent pas les déclassés durablement Les traitements antibiotiques dans l aliment sont nettement insuffisants Les traitements antibiotiques n aboutissent qu à une diminution FAIBLE du pourcentage d œufs déclassés donc un traitement précoce est INDISPENSABLE

18 Conduite à tenir lors du diagnostic d un MS à tropisme génital sur un site de ponte Traitement antibiotique pour maîtriser le nombre d œufs déclassés et limiter la chute de ponte OTC 400ppm 1 semaine Tylosine 25mg/kg de poids vifs, 5 jours Importance de consolider les défenses immunitaires vis-à-vis des virus à tropisme respiratoire : VACCINATION EN PONTE BI : rappel valences Mass et Variant SIGT : rappel Ex de plan de vaccination J0: Nobilis Rhino CV + Nobilis Ma5 J15 Nobilis 4/91 Puis entretenir BI en alternance Mass / Variant toutes les 8 semaines

19 Conduite à tenir lors du diagnostic d un MS à tropisme génital sur un site de ponte Renforcement de la qualité des coquilles Cure d hépatoprotecteur tous les mois : Hépato- Diet 1l/1000l pendant 4 jours, toutes les 4 semaines Apport de vitamine D3 dans l eau de boisson : D3 Vit 100, 200ml/1000l sur une journée, toutes les 2 semaines Intérêt des oligoéléments : cure de Ténos 250ml/1000l 4 jours, toutes les 4 à 6 semaines Pidolate de calcium : coût élevé

20 CONTRÔLE DES MYCOPLASMOSES AVIAIRES Éradication au niveau des troupeaux reproducteurs Vaccination : Un vaccin vivant avec AMM en France pour le MS, depuis le mois de septembre 2012 : Vaccination par goutte dans l œil Maitrise de l immunité locale, première barrière à l infection naturelle Souche MS d origine australienne à orientation respiratoire En cours d évaluation terrain pour la protection MS génital Vaccin tué : importation possible jusqu ici sous le régime de l ATU Augmentation des taux d anticorps circulants Retard à l apparition des symptômes Résultats satisfaisants si la pression est faible Autovaccins en cours d évaluation «terrain» Résultats assez satisfaisants actuellement Intérêt : association possible avec un autovaccin anti-colibacillaire

21 CONTRÔLE DES MYCOPLASMOSES AVIAIRES Prophylaxie sanitaire: Peu de résistance du mycoplasme en vide sanitaire après retrait des fientes et nettoyage désinfection (difficile dans les sites multi-âges) Hygiène des équipes d intervention (tenues, matériel, ) Hygiène du matériel introduit dans les bâtiments et centres de conditionnement Maîtrise de la population de poux et de mouches

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