MARCHE PETROLIER : Un nouveau monde?
|
|
- Chantal Déry
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 MARCHE PETROLIER : Un nouveau monde? La réunion de tous les dangers La réunion de l OPEP du 27 novembre dernier qui s est tenue à Vienne a été évènement majeur. Dans son communiqué final, l OPEP reconnait que les marchés pétroliers sont en surcapacité, avec notamment une croissance de l offre de la part des pays non-opep. Ainsi, sur les dix dernières années, 87% de la croissance de la production globale de pétrole a trouvé sa source aux Etats-Unis et au Canada. L OPEP a décidé de maintenir une production de 30 Mb/j, plafond fixé en décembre Selon Ali al-naimi, le ministre du pétrole saoudien, ce n est qu une question d offre et de demande. Aux prix de s équilibrer. C est ce qu ils ont fait : Nous avons assisté à une véritable liquidation, le baril de Brent perdant 8$ entre le 26/11 et la fin du mois. Au total, le baril a perdu 17.6% au mois de novembre. Cette liquidation est probablement excessive. Le niveau de surproduction actuel, de 0.5 à 1.5Mb/j, est à relativiser à une production mondiale de plus de 90.3Mb/j (niveau de production mondiale de brut en 2013, source AIE), ce qui ne représente que 1.6% seulement. Un hiver un peu plus froid qu anticipé, un problème technique sur un centre de production, ou une crise géopolitique peuvent contrebalancer ces précaires équilibres. De plus, un prix de baril à ces niveaux va favoriser la consommation. Même si la demande d énergie n est pas très élastique au prix, de nouveaux arbitrages peuvent se déployer à la faveur du pétrole, et contre les autres sources d énergies. Le royaume saoudien s est déclaré prêt à ajuster sa production sous conditions que d autres pays n appartenant pas à l OPEP, comme la Russie, le Venezuela, se soumettent aussi à des réductions de production. Par ailleurs, il souhaite un strict respect des quotas de la part des membres de l Organisation, comme des autres producteurs. N oublions pas que la priorité des Saoudiens est la valorisation de leur patrimoine à long terme : leurs réserves. Leurs seules préoccupations est de maintenir une part de marché et une place toujours majeure pour l or noir au sein du complexe énergétique mondial. Des aspects politiques sous-jacents Nous évoquions un scénario d association politique entre les Etats-Unis et les Saoudiens pour «mettre au pas» Russes, Iraniens et EI. Et déjà les premiers effets se font sentir, la Russie perd plus de 100 milliards $ par an avec la baisse de ses recettes pétrolières : ne
2 pousserait-on pas le peuple russe à se retourner contre son leader, lui qui promettait un pouvoir d achat en croissance pour sa population? Avec l ajustement budgétaire que la Russie va devoir opérer et le retour de l inflation avec la chute du rouble (-16% en novembre et -51% depuis fin juin 2014), le scénario semble bien compromis, et la récession guette le pays. Ces évènements profitent aux Américains, qui font ainsi pression sur la Russie dans le cadre du conflit russo-ukrainien. Les négociations sur le nucléaire iranien n ayant pas abouti, là encore le moyen de pression de l Arabie Saoudite est tout désigné. Mais la résolution pourrait être une fois de plus politique : - La Russie, acculée par un risque de récession et donc d instabilité interne en plein hiver, pourrait revoir ses plans stratégiques envers l Ukraine et revenir à une politique extérieure beaucoup moins agressive. Elle s accorderait avec l OPEP pour réduire de concert leurs quotas de production de brut. - L Iran, dont le budget est largement entamé par la baisse de ses revenus pétroliers, pourrait revenir à la table de négociations sur le traité du nucléaire avec une vue plus conciliante. Les récents progrès sont prometteurs. - Les Américains sont ravis de cette situation, qui contraint nombre de ces pays belliqueux à courber l échine, et être moins agressifs sur la scène internationale. Leurs interventions militaires s en trouvent limitées et leurs dépenses budgétaires pour le poste «Interventions militaires externes» tout autant. Le nerf de la guerre : les données économiques Le consommateur américain est un des grands gagnants de la baisse du prix du gallon, qui injecte directement du pouvoir d achat dans la machine à consommer américaine. Selon le Wall Street Journal, pour un dollar de baisse du prix du gallon, c est près de 40 milliards de dollars qui sont injectés dans la consommation américaine (voir ci-dessous l évolution sur un an du prix du galon en $ sur un an).
3 Du côté des entreprises, les estimations porteraient sur près de 30 milliards de dollars d économies réalisées, avec notamment une baisse des coûts du transport et de production. Toutefois, si les niveaux du baril restaient durablement à 70$ ou moins, certains pans de l industrie américaine pourraient voir s éroder une partie de leurs avantages compétitifs. La part énergie dans le prix du produit fini devenant moins discriminante, tous les compétiteurs ayant des prix d approvisionnement équivalents. Quelle suite? La prochaine réunion de l OPEP n est pas programmée avant le mois de juin 2015, sauf évènement exceptionnel. La pression sur les producteurs de brut risque de se faire sentir. Cette baisse remet en cause beaucoup des investissements programmés de longue date sur de nombreux projets à travers le monde, aidés par un prix du baril évoluant autour de 100$. Ce marché, très sujet à des cycles marqués et décalés, est par «essence» en déséquilibre quasi-permanent. Les phases d investissements engendrent des années de surproduction, qui font baisser les prix à terme. Cette baisse amène à un état d offre trop faible, car les investissements ralentissent. Mais, la demande repart à nouveau, du fait des prix faibles Nous pourrions entrer dans une phase où avec la baisse des prix, les investissements diminuant, la production ne pourrait pas faire face à une demande en constante augmentation. L Agence Internationale de l Energie ne s y est pas trompée. Dès le début du mois de novembre, et anticipant peut être la décision de l OPEP du 27 novembre dernier, l AIE écrivait dans son opus annuel sur les perspectives énergétiques mondiales («World Energy Outlook 2014») de ne pas se fier aux apparences d une production abondante. Selon ses prévisions, la consommation de pétrole va continuer à augmenter, passant de 90 Mb/j en 2013 à 104 Mb/j en Et ce, même si le rythme de croissance va ralentir progressivement, y compris en Chine. En 2040, l AIE prévoit que les usages du pétrole seront concentrés à 75 % dans deux secteurs où il reste difficilement substituable : le transport et la pétrochimie. Soulignant que les gisements actuels sont appelés à voir leur production décliner de 58 % d ici à 2040, l AIE estime à milliards de dollars les investissements nécessaires dans l exploration-production, soit 900 milliards par an pour satisfaire la demande. L AIE rappelle que les énergies fossiles sont lourdement subventionnées (550 milliards de dollars en 2013, plus de quatre fois les aides aux renouvelables dont plus de la moitié pour le pétrole). «Les pays du Moyen-Orient ont besoin de réformer leur secteur énergétique», note monsieur Fatih Birol, l économiste en chef de l AIE. «Utiliser le pétrole pour produire de l électricité, c est un peu comme utiliser du parfum Chanel comme carburant pour sa voiture».
4 Nos perspectives La difficulté de l exercice réside dans l évaluation de la durabilité du régime de prix. Si le prix du baril reste durablement sur des niveaux compris entre 55 et 65$, beaucoup de petits et moyens acteurs vont rencontrer des difficultés. En revanche, si ce mouvement n est que transitoire, alors de réelles opportunités vont se présenter pour le secteur. En effet, les niveaux de valorisation intègrent des prix de l énergie bas, dans un contexte global de croissance. Beaucoup d acteurs vont analyser le marché à la recherche de concurrents attractifs, qui pourraient renforcer leur positionnement. L exemple du deal d Halliburton sur Baker Hugues est intéressant. Le numéro deux mondial des services pétroliers, avec son acquisition de Baker Hughes (le numéro trois payé 34.6 Mds$), renforce son positionnement derrière Schlumberger. D autres deals pourraient voir le jour, et le secteur pourrait se restructurer beaucoup plus vite que prévu. La tentative de prise de contrôle de CGG par Technip est bien dans cette optique. Autre point important, certaines sociétés pourraient souffrir plus que d autres de ce réajustement du prix du baril. Les majors pétrolières qui ont lancé d importants investissements dans des projets longs et très coûteux, offshore profond comme Libra au Brésil ou Egina au Nigeria (image ci-contre source Total) ou encore des investissements en Arctique (Yamal), vont rapidement devoir ajuster leurs comptes face à une rentabilité incertaine. Face à ces lourdes contraintes, les coûts de production des hydrocarbures de schiste s établiraient autour d un point mort évalué par de nombreux analystes à 60$. Au niveau de prix actuel du baril, en moyenne le secteur reste globalement bénéficiaire. L exemple du marché du gaz américain en 2009 est riche d enseignements : à 2.5$, les experts annonçaient que le prix de marché du BTU (British Thermal Unit, référence du gaz américain) allait entrainer la faillite de nombreux intervenants. Or, le constat est que la production s est poursuivie sans fléchir, qu aucune faillite n a été relevée et que les experts ont dû reprendre leurs calculs de point mort Un an plus tard, le BTU valait 4$. Ne serions-nous pas à la veille d une importante restructuration du secteur de l énergie aux Etats-Unis?
5 A l endroit de nos porteurs, l exposition prudente du fonds (75% et liquidités investies en US Dollar) en amont des évènements de la fin novembre, a permis de ne pas subir un trop fort impact sur le portefeuille. Entre le 23 juin dernier ou le Brent valait 114$ et le 28 novembre (70$), le baril a baissé de 38% en $ et de 33% en. Durant cette période, FCM New Deal a baissé de 2.45% (voir graphe ci-dessus, sources C&M Finances-Reuters). Sur la période considérée, la corrélation entre le marché de l énergie et le fonds s établit à 30% seulement. Eu égard à nos anticipations, mais loin de toutes certitudes, nous allons poursuivre les arbitrages au sein du portefeuille pour adopter une position au plus proche de la réalité des secteurs que nous suivons. En fonction de l actualité, notre gestion réactive se repositionnera et l exposition du fonds sera augmentée sur les valeurs les plus prometteuses. Franck Missera Rédigé le 5 décembre 2014
LES ENJEUX DE LA VOLATILITE DU PETROLE ET DU GAZ ENTRETIENS ENSEIGNANTS-ENTREPRISE 28 AOÛT 2013- INSTITUT DE L ENTREPRISE
LES ENJEUX DE LA VOLATILITE DU PETROLE ET DU GAZ ENTRETIENS ENSEIGNANTS-ENTREPRISE 28 AOÛT 213- INSTITUT DE L ENTREPRISE Helle Kristoffersen Directeur de la Stratégie TOTAL VOLATILITÉ DES MATIÈRES PREMIÈRES
Plus en détailPerspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord
Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé
Plus en détailÉvolutions récentes de l énergie aux États-Unis et leurs conséquences géostratégiques
Évolutions récentes de l énergie aux États-Unis et leurs conséquences géostratégiques Honoré LE LEUCH 1 Consultant pétrolier international, HLC Energies Depuis plus d un siècle, les Etats-Unis ont été
Plus en détailContexte pétrolier 2010 et tendances
Contexte pétrolier 21 et tendances L incertitude du contexte économique, en particulier dans les pays occidentaux, est à l origine d une fluctuation marquée du prix du pétrole en 21 : minimum de 67 $/b
Plus en détailL INDUSTRIE PÉTROLIÈRE FRANÇAISE EN 2014 ET PERSPECTIVES 2015 CONFÉRENCE DE PRESSE DU 10 MARS 2015
L INDUSTRIE PÉTROLIÈRE FRANÇAISE EN 2014 ET PERSPECTIVES 2015 CONFÉRENCE DE PRESSE DU 10 MARS 2015 1 L ÉVÉNEMENT 2014 : FORTE BAISSE DU PRIX DU BARIL Source : UFIP avec des données Reuters 2 1 Marchés
Plus en détailWORLD ENERGY OUTLOOK RÉSUMÉ
WORLD ENERGY 2 0 11 OUTLOOK RÉSUMÉ WORLD ENERGY 2 0 11 OUTLOOK RÉSUMÉ French translation AGENCE INTERNATIONALE DE L ÉNERGIE L Agence internationale de l énergie (AIE) est un organe autonome institué en
Plus en détailÀ Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires
POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse
Plus en détailLe marché mondial de l énergie a connu ces dix dernières années
Éditions La Découverte, collection Repères, Paris, 2013 VII / Énergie : la nouvelle donne américaine Michaël Bret* Le marché mondial de l énergie a connu ces dix dernières années des évolutions importantes.
Plus en détailLe Moyen-Orient et le pétrole. pp32-39
Le Moyen-Orient et le pétrole. pp32-39 Sujet 2 : Introduction : Définir l espace géographique qui constitue le M-O est une difficulté car cette notion ne recoupe pas les mêmes espaces lorsque l on utilise
Plus en détailPerspectives économiques 2013-2014
Carlos Leitao Économiste en chef Courriel : LeitaoC@vmbl.ca Twitter : @vmbleconomie Perspectives économiques 2013-2014 L amélioration de l économie atténuée par l incertitude politique Prix du pétrole:
Plus en détailPays pétroliers et gaziers du Maghreb et du Moyen-Orient
Pays pétroliers et gaziers du Maghreb et du Moyen-Orient Malgré l ampleur des réserves, la production pétrolière de la plupart des pays du Moyen-Orient et du Maghreb ne devrait pas augmenter significativement
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailLa comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements
La comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements Identité fondamentale: Y= C + I + G + EX - IM Y: PIB (Produit Intérieur Brut) C: Consommation I: Investissement G: Dépenses
Plus en détailLe pétrole fournit 40% de l énergie mondiale. C est lui qui a régulé jusqu à présent le prix de l énergie.
² Le pétrole fournit 40% de l énergie mondiale. C est lui qui a régulé jusqu à présent le prix de l énergie. La production mondiale d énergie exprimée en équivalent tonnes de pétrole (TEP) est de plus
Plus en détailNotes de recherche de l
Notes de recherche de l DÉCEMBRE 2009 La situation du régime complémentaire de retraite de l industrie de la construction du Québec François L Italien, Doctorant, Département de sociologie, Université
Plus en détailBASE DE DONNEES - MONDE
BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar
Plus en détail2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée?
Flash Stratégie Janvier 2015 2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée? Jean Borjeix Paris, le 20 janvier 2015 Dans ce document nous allons tout d abord rapprocher nos
Plus en détailContribution des industries chimiques
Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,
Plus en détailL industrie pétrolière en 2007
Liberté Égalité Fraternité RÉPUBLIQUE FRANÇAISE L industrie pétrolière en 2007 édition 2008 Sommaire L industrie pétrolière en 2007 1 Les marchés pétroliers et gaziers mondiaux 2 L exploration et la production
Plus en détailFonds de dotation : lorsque les temps sont difficiles
Fonds de dotation : lorsque les temps sont difficiles Panel John Limeburner Trésorier / Directeur placements Université McGill Sheila Brown Chef des finances University of Toronto Anne Allard Directrice
Plus en détailCanada-Inde Profil et perspective
Canada-Inde Profil et perspective Mars 2009 0 L Inde et le Canada : un bref profil Vancouver Calgary Montréal Toronto INDE 3 287 263 km² 1,12 milliard 1 181 milliards $US 1 051 $US Source : Fiche d information
Plus en détailÉnergie et Mondialisation
Énergie et Mondialisation Il est fréquent d affirmer que de nombreuses questions énergétiques ou environnementales ne peuvent être posées correctement qu au niveau mondial. Résolument ancré dans le réseau
Plus en détailFlash Stratégie n 2 Octobre 2014
Flash Stratégie n 2 Octobre 2014 Vers un retour de l or comme garantie du système financier international. Jean Borjeix Aurélien Blandin Paris, le 7 octobre 2014 Faisant suite aux opérations de règlement
Plus en détailQuestion 2 Le Proche et le Moyen-Orient, un foyer de conflits depuis la fin de la Première Guerre mondiale
Terminales ES-L /Histoire Regards historiques sur le monde actuel Thème 3 - Puissances et tensions dans le monde de la fin de la Première Guerre mondiale à nos jours Question 2 Le Proche et le Moyen-Orient,
Plus en détailLa fin (annoncée) des énergies fossiles
La fin (annoncée) des énergies fossiles Consommation annuelle et prévisions Pétrole, la production et la demande Avantages et utilisation du pétrole Réserves mondiales de pétrole et gaz naturel La fin
Plus en détailLes effets d un prix du pétrole élevé et volatil
Les effets d un prix du pétrole élevé et volatil Rapport Patrick Artus, Antoine d Autume, Philippe Chalmin et Jean-Marie Chevalier Commentaires Benoît Cœuré Roger Guesnerie Compléments Gaël Callonnec,
Plus en détailRésultats de l'exercice 2014. Présentation aux investisseurs 24 février 2015
Résultats de l'exercice 2014 Présentation aux investisseurs 24 février 2015 Information Les comptes consolidés annuels au 31 décembre ont fait l objet d un audit Les données semestrielles ont fait l objet
Plus en détail«La sécurité d investissement comme préalable à un approvisionnement fiable» Le 5 octobre 2011 Foire du Valais, Journée de l énergie
«La sécurité d investissement comme préalable à un approvisionnement fiable» Le 5 octobre 2011 Foire du Valais, Journée de l énergie Kurt Rohrbach, Président de l Association des entreprises électriques
Plus en détailLa guerre de l énergie n est pas une fatalité
Mission parlementaire d information de la commission des Affaires étrangères «Energie et géopolitique» La guerre de l énergie n est pas une fatalité RÉSUMÉ DU RAPPORT Nous savons depuis fort longtemps
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailEfficience énergétique et électricité solaire
Efficience énergétique et électricité solaire Pictet-Clean Energy investit dans des entreprises innovantes Juin 2015 Désormais compétitive, la production d énergie solaire croît fortement. Face au réchauffement
Plus en détaileni, mécène exceptionnel du musée du Louvre
eni, mécène exceptionnel du musée du Louvre Le soutien à la culture dans les pays où elle opère et le lien avec les traditions et les communautés locales sont un trait distinctif d eni : l importance du
Plus en détailLa gestion à succès d une stratégie «market neutral» alternative
Stratégie 24 Update II/2014 La gestion à succès d une stratégie «market neutral» alternative Depuis la fin de l année 2007, le secteur des hedges funds a entamé une traversée du désert. Pourtant, le nouveau
Plus en détail2. L offre et la demande d énergie: tendances et perspectives
5 2. L offre et la demande d énergie: tendances et perspectives La demande d énergie devrait s accroître considérablement dans les années à venir à cause de l augmentation de la population et du développement
Plus en détailIFP School. www.ifp-school.com. S'ouvrir de nouveaux horizons. École d'application dans les domaines de l'énergie et des motorisations
IFP School S'ouvrir de nouveaux horizons École d'application dans les domaines de l'énergie et des motorisations www.ifp-school.com Transition énergétique demande énergétique mondiale : mieux utiliser
Plus en détailÉcole Polytechnique de Montréal
Fonds d investissement étudiant Le savoir comme ressource Etude du secteur de l exploration pétrolière - CGG VERITAS École Polytechnique de Montréal Cette étude de cas du secteur de l exploration pétrolière
Plus en détailEvolution du mix électrique en France - Qui paiera?
Evolution du mix électrique en France - Qui paiera? Par Julien Deleuze Senior Manager, Estin & Co Des options environnementales, énergétiques, économiques majeures La France fait face à cinq options environnementales,
Plus en détailLa place du charbon dans le mix électrique
La place du charbon dans le mix électrique Présentation au colloque 7 février 2008 Gérard Mestrallet, PDG de SUEZ «Les nouveaux débouchés du charbon : quels risques pour le changement climatique?» Outline
Plus en détailDORVAL FLEXIBLE MONDE
DORVAL FLEXIBLE MONDE Rapport de gestion 2014 Catégorie : Diversifié International/Gestion flexible Objectif de gestion : L objectif de gestion consiste à participer à la hausse des marchés de taux et
Plus en détailTD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD
TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident
Plus en détailL activité financière des sociétes d assurances
L activité financière des sociétes d assurances Les marchés boursiers ont repris au cours de l année 2003. Par conséquent, les plus-values latentes sur actifs des sociétés d assurances augmentent. Les
Plus en détailSecteur bancaire Enjeux d image
Secteur bancaire Enjeux d image Étude mondiale Luc Durand Président Ipsos, Québec Luc.Durand@ipsos.com Plan de la présentation Sommaire méthodologique Portrait global La surveillance des banques Quand
Plus en détailLa stratégie américaine de sécurité et le pétrole du Moyen-Orient
La stratégie américaine de sécurité et le pétrole du Moyen-Orient Pierre Noël Chercheur, CFE, Ifri noel.cfe@ifri.org Working Paper 10/03/1 Octobre 2003 CFE, Ifri www.ifri.org Institut français des relations
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailLa consolidation de l industrie aérienne entraîne-t-elle une hausse des prix pour les entreprises?
La consolidation de l industrie aérienne entraîne-t-elle une hausse des prix pour les entreprises? L industrie du transport aérien est connue pour la volatilité du prix des billets. Ce phénomène peut rendre
Plus en détailREDRAWING MAP. World Energy Outlook Special Report RÉSUMÉ REDÉFINIR LES CONTOURS DU DÉBAT ENERGIE-CLIMAT. French translation
REDRAWING THE ENERGY-CLIMATE MAP World Energy Outlook Special Report French translation RÉSUMÉ REDÉFINIR LES CONTOURS DU DÉBAT ENERGIE-CLIMAT Édition spéciale du World Energy Outlook AGENCE INTERNATIONALE
Plus en détailLe marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.
Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien
Plus en détailMémoire de l ACP pour le budget 2013 de l Ontario Le propane comme solution énergétique pour l Ontario
Mémoire de l ACP pour le budget 2013 de l Ontario Le propane comme solution énergétique pour l Ontario L Association canadienne du propane Février 2013 Association canadienne du propane Mémoire pour le
Plus en détailRÉSULTATS 2013 Excellente année de croissance profitable : chiffre d affaires et EBITDA ajusté historiques
COMMUNIQUE DE PRESSE RÉSULTATS 2013 Excellente année de croissance profitable : chiffre d affaires et EBITDA ajusté historiques Points clés Paris-Nanterre, le 18 février 2014 Chiffre d affaires net record
Plus en détailLA LETTRE DE L EPARGNE ET DE LA RETRAITE DU CERCLE DE L EPARGNE. N 3 juillet 2014
LA LETTRE DE L EPARGNE ET DE LA RETRAITE DU CERCLE DE L EPARGNE N 3 juillet 2014 L Edito de Philippe Crevel L épargnant des temps nouveaux frappe à la porte En 2017, les «digital natives» auront pris le
Plus en détailCroissance à crédit. Vladimir Borgy *
Croissance à crédit Vladimir Borgy * p. 5-15 L économie mondiale a connu en 2004 une conjoncture exceptionnelle, la croissance annuelle au rythme de 5 % est la plus forte enregistrée depuis 1976 et résulte
Plus en détailLa transition énergétique L Energiewende allemande. 7 Conclusions clés. Une initiative de la Fondation Heinrich Böll Publié le 28 novembre 2012
7 Conclusions clés La transition énergétique L Energiewende allemande Par Craig Morris et Martin Pehnt Une initiative de la Fondation Heinrich Böll Publié le 28 novembre 2012 www. 7 Conclusions clés La
Plus en détailLe rôle de la spéculation sur les marchés pétroliers : une analyse économétrique et comportementale
Séminaire AEE-CFE, Mardi 29 juin 2010 Le rôle de la spéculation sur les marchés pétroliers : une analyse économétrique et comportementale Prof. E. Hache, IFP-School, emmanuel.hache@ifp.fr Prof. F. Lantz,
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailQUEL RÔLE POUR LE FMI DANS LE NOUVEL ORDRE ÉCONOMIQUE MONDIAL?
QUEL RÔLE POUR LE FMI DANS LE NOUVEL ORDRE ÉCONOMIQUE MONDIAL? Clément ANNE, clem.anne@hotmail.fr Doctorant, Ecole d Economie de Clermont-Ferrand, CERDI 18/03/2015, Assises Régionales de l économie EN
Plus en détailDans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude
localnova OBS Observatoire des finances locales des Petites Villes de France novembre # Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude financière prospective
Plus en détailOffice National des Produits Pétroliers ******** NOT AN OFFICIAL UNCTAD RECORD APPROVISIONNEMENT ET DISTRIBUTION DES PRODUITS PETROLIERS AU MALI
Email : onapmali@afribone.net.ml Site Web : www.onapmali.co napmali.com Ministère de l Economie, de l Industrie et du Commerce ******** Office National des Produits Pétroliers ******** NOT AN OFFICIAL
Plus en détailRevue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16
9. Revue des Marchés Charles Gagné 2015-04-16 Les faits saillants 1. Inventaires de porcs aux É.-U. ( Hogs & Pigs) Croissance de 2 % du troupeau reproducteur 2. Baisse des exportations américaines Valeur
Plus en détailIl existe plusieurs qualités de pétrole brut, selon sa densité et sa teneur en soufre. Il s agit des trois qualités primaires de référence :
Le pétrole WTI crude Factsheet Introduction Les transactions sur le pétrole brut Le pétrole brut, ou simplement pétrole, est la matière première la plus activement négociée au monde. Les principaux marchés
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailCHUTE DES PRIX DU PÉTROLE
Public Disclosure Authorized WORLD RÉGION BANK MIDDLE MOYEN-EAST AND ORIENT ET NORTH AFRIQUE AFRICA DU REGION NORD BULLETIN TRIMESTRIEL D INFORMATION ÉCONOMIQUE DE LA RÉGION MENA Public Disclosure Authorized
Plus en détailOccasions d affaires en Fédération de Russie
Occasions d affaires en Fédération de Russie Justine Hendricks Vice-présidente, Groupe des ressources Énoncé des occasions d affaires La Russie est un marché exigeant qui offre des occasions d affaires
Plus en détailPACTE MONDIAL L engagement du Groupe CIS
PACTE MONDIAL L engagement du Groupe CIS Depuis 1992, CIS a développé une gamme complète de services pour ses clients du secteur pétrolier et parapétrolier (Total, Shell, Bouygues, Technip, KBR, Hyundaï,
Plus en détailPosition du secteur électrique français
16 novembre 2010 ENERGIE 2020 Position du secteur électrique français L UFE, Union Française de l Electricité, est l association professionnelle du secteur de l électricité. Elle représente les employeurs
Plus en détailL incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1
Affaires étrangè et Commerce International Canada Le Bureau de l économiste en chef Série de papiers analytiques L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada
Plus en détailWorld Energy Outlook. RÉSUMÉ French translation
World Energy Outlook RÉSUMÉ French translation 2014 AGENCE INTERNATIONALE DE L ÉNERGIE L Agence internationale de l énergie (AIE) est un organe autonome institué en novembre 1974. Sa double mission est,
Plus en détailLes enjeux de l'énergie Place du nucléaire. Olivier Appert, Président d'ifp Energies nouvelles Président du Conseil Français de l'energie
Les enjeux de l'énergie Place du nucléaire Olivier Appert, Président d'ifp Energies nouvelles Président du Conseil Français de l'energie L'énergie est revenue ces dernières années au premier plan des préoccupations
Plus en détailQuel est le "bon" système de Bretton-Woods?
aoűt 9 - N 359 Quel est le "bon" système de Bretton-Woods? Le Système Monétaire International de Bretton-Woods "normal" est un système où le pays dont la monnaie s'affaiblit doit passer à une politique
Plus en détailLe gaz de schiste «pertubateur» du marché de l électricité? Jacques PERCEBOIS Directeur du CREDEN Professeur à l Université de Montpellier I
Le gaz de schiste «pertubateur» du marché de l électricité? Jacques PERCEBOIS Directeur du CREDEN Professeur à l Université de Montpellier I CLUB DE NICE 5/12/2012 Le gaz naturel dans l Union Européenne
Plus en détailBaisse de l autofinancement et des investissements : un défi pour l action publique locale
Serge Bayard Président du conseil d administration La Banque Postale Collectivités Locales Jean-Pierre Balligand Président du Comité d orientation des finances locales La Banque Postale Thomas Rougier
Plus en détailPolitique énergétique 2016-2025. Tendances mondiales et continentales
Politique énergétique 2016-2025 Tendances mondiales et continentales Gouvernement du Québec Ministère de l Énergie et des Ressources naturelles Dépôt légal Bibliothèque et Archives nationales du Québec,
Plus en détailMémoire d Énergie Valero Inc. dans le cadre des consultations de la Commission sur les enjeux énergétiques du Québec
Mémoire d Énergie Valero Inc. dans le cadre des consultations de la Commission sur les enjeux énergétiques du Québec La place du raffinage et des produits pétroliers dans le bilan énergétique et économique
Plus en détailL avenir incertain des hydrocarbures en Algérie
Actuelles de l Ifri L avenir incertain des hydrocarbures en Algérie Benjamin Augé Benjamin Augé est chercheur associé au Centre Energie et au programme Afrique subsaharienne à l ifri et rédacteur en chef
Plus en détailRetour à la croissance
Après une forte amélioration de ses résultats au T4 2010 et la finalisation de ses programmes d investissement et de réorganisation, Eurofins réaffirme ses objectifs à moyen terme 28 janvier 2011 A l occasion
Plus en détailCULTURE D ENTREPRISE ET GESTION DES RISQUES. Favoriser la performance des organisations publiques par l influence des valeurs opérantes
CULTURE D ENTREPRISE ET GESTION DES RISQUES Favoriser la performance des organisations publiques par l influence des valeurs opérantes L exemple du Comité de Bâle Julien Benomar Culture d entreprise et
Plus en détailDES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET
Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des
Plus en détailLa prévision est un art difficile de manière générale, mais c est
Noémie Jess Dorian Roucher Département de la conjoncture Jean-Baptiste Bernard Guillaume Cléaud Département des études économiques La prévision est un art difficile de manière générale, mais c est particulièrement
Plus en détailLe contexte énergétique mondial et européen
Chapitre 2 Le contexte énergétique mondial et européen Synthèse Au niveau mondial, la demande énergétique est tendanciellement en forte croissance. Sous l effet de la croissance démographique et de la
Plus en détailLes banques suisses 2013 Résultats des enquêtes de la Banque nationale suisse
Communiqué presse Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 19 juin 2014 Les banques suisses 2013 Résultats s enquêtes la Banque nationale suisse
Plus en détailUNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT
UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir
Plus en détailPourquoi investir en bourse? Pour gagner nettement plus qu avec un livret
Chapitre 5 Pourquoi investir en bourse? Pour gagner nettement plus qu avec un livret Achetez de bonnes actions et gardez-les jusqu à ce qu elles augmentent, ensuite vendez-les. Si elles n augmentent pas,
Plus en détail1. La production d électricité dans le monde : perspectives générales
Quinzième inventaire Édition 2013 La production d électricité d origine renouvelable dans le monde Collection chiffres et statistiques Cet inventaire a été réalisé par Observ ER et la Fondation Énergies
Plus en détailEnquête sur les perspectives des entreprises
Enquête sur les perspectives des entreprises Résultats de l enquête de l été 15 Vol. 12.2 6 juillet 15 L enquête menée cet été laisse entrevoir des perspectives divergentes selon les régions. En effet,
Plus en détailPAYS et Associations BIENS / SERVICES REGLEMENTS (CE) RESOLUTIONS DES NATIONS UNIES LEGISLATION BELGE
LISTE DES PAYS ET ASSOCIATIONS SOUS EMBARGO 1 AFGHANISTAN (certaines personnes et entités) - Règlement (UE) n 753/2011 du Conseil du 1.08.2011 (JO L199 du 2.08.2011) AL-QAIDA (certaines personnes et entités)
Plus en détailAFIM MELANION DIVIDENDES RAPPORT ANNUEL. Exercice clos le 31 décembre 2014
AFIM MELANION DIVIDENDES RAPPORT ANNUEL Exercice clos le 31 décembre 2014 Code ISIN : Part A : FR0011619345 Part B : FR0011619352 Part C : FR0011619402 Dénomination : AFIM MELANION DIVIDENDES Forme juridique
Plus en détailL instabilité politique en Ukraine et en Grèce sont aussi des éléments qui peuvent continuer à perturber les marchés.
L année 2014 s achève, pour l indice boursier français, au niveau où elle a commencé, le CAC 40 a perdu - 0,5% sur l année, l indice européen (l Eurostoxx 50) a lui gagné + 2,82%, alors que l indice américain
Plus en détailL offre d énergie: une comparaison France, Allemagne et Japon. Par Pierre Lasserre, Sciences économiques Université du Québec à Montréal
L offre d énergie: une comparaison France, Allemagne et Japon Par Pierre Lasserre, Sciences économiques Université du Québec à Montréal Plan Quelques faits stylisés caractéristiques de la France, de l
Plus en détailL immobilier au service de l épargne
Corporate au service de l épargne La performance durable au service de l épargne 14 15 Dans un marché de l immobilier d entreprise particulièrement concurrentiel, la construction d un patrimoine de qualité
Plus en détailÉconomie américaine : est-ce grave?
Université d été 28 - CÉRIUM Montréal, 4 juillet 28 Économie américaine : est-ce grave? Francis Généreux Économiste senior L économie gâche la fête! 1. Un portrait de l économie américaine I. Structure
Plus en détailRésultats du 3 ème trimestre 2006. Chiffre d affaires de 321 M en hausse de 46 % Résultat opérationnel de 72 M soit une marge de 22%
COMPAGNIE GENERALE DE GEOPHYSIQUE Résultats du 3 ème trimestre 2006 Chiffre d affaires de 321 M en hausse de 46 % Résultat opérationnel de 72 M soit une marge de 22% Paris, le 15 novembre 2006 La Compagnie
Plus en détailLe capital-investissement et son développement en France. Réunion Union des Banques Maghrébines Alger 14 & 15 novembre 2007
Le capital-investissement et son développement en France Réunion Union des Banques Maghrébines Alger 14 & 15 novembre 2007 Paul THOLLY Paul THOLLY SIGEFI P.E. (Groupe Siparex) Managing Partner Agenda 1/
Plus en détailRéforme du Code des assurances :
Réforme du Code des assurances : orienter l épargne des Français vers les entreprises Pierre Moscovici, ministre de l économie et des finances «Une des priorités de mon action est de réconcilier l épargne
Plus en détailChangements proposés au Règlement de l Office national de l énergie sur les rapports relatifs aux exportations et importations 1
Changements proposés au Règlement de l Office national de l énergie sur les rapports relatifs aux exportations et importations 1 TITRE ABRÉGÉ 1. Règlement de l Office national de l énergie sur les rapports
Plus en détailLE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?
LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre
Plus en détailL activité financière des sociétes d assurances
L activité financière des sociétes d assurances L année 2002 est de nouveau marquée par une forte baisse des marchés financiers. Celle-ci entraîne une diminution des plus-values latentes et des produits
Plus en détailWali. Directeur général. commissaire Du gouvernement. conseil. M. Abdellatif JOUAHRI. M. Abdellatif FAOUZI. M. Le Wali. M. Le Directeur Général
EXERCICE 2014 Wali M. Abdellatif JOUAHRI Directeur général M. Abdellatif FAOUZI commissaire Du gouvernement conseil M. Le Wali M. Le Directeur Général M. Abdellatif BELMADANI M. Mohammed BENAMOUR Mme
Plus en détailCOMMENTAIRE. Services économiques TD
COMMENTAIRE Services économiques TD 16 juillet 213 LES MÉNAGES CANADIENS SONT PLUS ENDETTÉS QUE LES MÉNAGES AMÉRICAINS, MAIS UNIQUEMENT PAR SUITE DU RÉCENT DÉSENDETTEMENT AUX ÉTATS-UNIS Faits saillants
Plus en détail