Le chêne en liberté (2 ème partie) Produire du chêne sessile de qualité en moins de 120 ans

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1 Le chêne en liberté (2 ème partie) Produire du chêne sessile de qualité en moins de 120 ans par Jean-Paul Nebout, Ingénieur Forestier au Centre Régional de la Propriété Forestière d Auvergne - jean-paul.nebout@crpf.fr SYLVICULTURE Dans cette deuxième partie, nous vous proposons étape par étape de parcourir les différents travaux à réaliser en vue d obtenir la croissance libre des chênes. Les objectifs, la nature, l intensité et la périodicité des différents travaux sont adaptés à l âge et à la hauteur du peuplement. Une appréciation économique permet de mieux cerner les conséquences de l itinéraire. Pour terminer, une analyse critique de l itinéraire expérimental est présentée afin de pouvoir se forger une opinion en connaissance de cause avant de faire des choix stratégiques dans la gestion de sa propriété. 1. ITINÉRAIRE SYLVICOLE ETAPE 1 : INSTALLATION DU PEUPLEMENT, COMPRESSION DES TIGES. Hauteur du peuplement inférieure à 12 m Dans la zone Atlantique, les glandées sont fréquentes et abondantes, aussi la régénération naturelle des chênes sessiles est le plus souvent facile à obtenir par coupes progressives, étalées sur 7 à 10 ans, du peuplement d origine. Bien que nous ne recherchions pas un semis de chêne clair, nous l utilisons et valorisons les essences accompagnatrices comme le charme, les érables, le tilleul, le hêtre ainsi que les essences pionnières : bouleau, tremble. Durant cette phase, les travaux manuels sont limités et la mécanisation poussée. Ouverture de cloisonnements culturaux tout de suite après la coupe définitive ou plus tôt si les dégagements le justifient (bande broyée de 3 m tous les 6 m d axe en axe ou bande de 2 m tous les 4 m d axe en axe). Ces cloisonnements denses diminuent de moitié la surface à travailler manuellement et abaissent la densité globale du peuplement ; l accroissement en diamètre des arbres est stimulé. Cet article est également paru dans «La forêt privée» n 292 (novembre-décembre 2006). Dégagements manuels ciblés et extensifs, lorsque cela s avère nécessaire. Concernant la période, le nombre de dégagements est en moyenne de trois. Puis les arbres sont maintenus serrés pour favoriser la différenciation d un nombre suffisant de sujets d élite sous l action de la forte concurrence. Dépressage vers 7 à 8 m de hauteur (17 ans) visant à ramener la densité entre et tiges/ha. Cette intervention favorise l accroissement sur le diamètre des tiges, permet d étoffer leurs houppiers, de doser le mélange et la concurrence entre les essences. Coupe définitive - aspect de la parcelle à l année n Année n : exploitation du taillis ; - Année n + 1 : 1 ère coupe de régénération (30 % des réserves) - Année n + 4 : 2 ème coupe de régénération (30 % des réserves) - Année n + 8 : coupe définitive (40 % des réserves) (Forêt de Jaligny (03) Parcelle de La Marsaude et Marseigne) 37

2 Pré-désignation de 72 arbres objectifs, soit le double de la densité finale. Ces arbres sont choisis parmi les dominants, vigoureux, sains, sans défaut, possédant des charpentières constituées d au moins trois branches afin d éviter les fourches qui fragilisent le fût et 25 % au moins de la hauteur totale de l arbre sans branche vivante. Cloisonnement cultural dense au stade fourré à l année n + 12 (Forêt de Jaligny (03) Parcelle de La Marsaude et Marseigne). Cloisonnement cultural dense au stade haut gaulis - année n + 25 (h = 10 mètres) (Forêt de Jaligny (03) Parcelle de La Marsaude et Marseigne). ETAPE 2 : CHOIX DES ARBRES OBJECTIFS MISE EN CROISSANCE LIBRE PAR DÉTOURAGE ÉLAGAGE Hauteur du peuplement comprise entre 12 et 13 m Ouverture d un cloisonnement d exploitation d une largeur de 4 m tous les 25 m d axe en axe. Celui-ci est le plus souvent tracé perpendiculairement au cloisonnement cultural. Forêt de Jaligny (03) Les Bessays et Marseigne. Détourage et élagage artificiel des arbres pré-désignés afin d assurer au moins 6 m de fût propre. 38 Forêt de Jaligny (03) Les Bessays et Marseigne.

3 ETAPE 3 : EXPANSION DES HOUPPIER ET GROSSISSEMENT DES FÛTS Hauteur du peuplement supérieure à 13 m Neuf éclaircies commerciales permettent d assurer la croissance libre des arbres objectifs dont les houppiers ne doivent jamais entrer en contact avec ceux des arbres voisins. Ces coupes répétées permettent de fixer la base des houppiers en maintenant les branches charpentières à la lumière afin qu elles ne se dessèchent pas. La confirmation (désignation) des arbres objectifs intervient au plus tard vers 45/50 ans (hauteur totale : 17 m). Les rotations entre éclaircies sont courtes (6 à 9 ans), les prélèvements légers afin de ne pas déstabiliser le peuplement et empêcher la remontée du sous-étage dans les houppiers. Un élagage à 8 m de la bille de pied au moment de la 2 ème éclaircie est une option à forte valeur ajoutée. ETAPE 4 : MATURATION DE LA QUALITÉ Cette étape est marquée par un ralentissement de l extension des houppiers des arbres objectifs, la récolte progressive des arbres ayant atteint le diamètre optimal d exploitation et l installation de la relève du peuplement. Les rotations des éclaircies sont portées à 10/12 ans et prélèvent alors progressivement les arbres objectifs pour arriver à la densité finale de 36 tiges/ha vers 123 ans. Elles s achèvent avec la récolte des derniers chênes. Houppier d un chêne âgé de 35 ans détouré (hauteur : 18 m). Chêne sessile de futaie claire âgé de 120 ans Diamètre à 1,30 m : 80 cm Volume de la bille de pied : 3,4 m³ Qualité : B+ Aspect du houppier d un chêne de même âge tardivement détouré. Ebénisterie (qualité B+) Culées marquées d un V. Prix : de 300 à 420 /m 3 39

4 Résumé de l itinéraire: le tableau 1 donne pour l intégralité du peuplement l évolution du nombre de tiges, de la surface terrière et du volume. Tableau 1 : Chiffres clés de l itinéraire expérimental. * : Volume total : bille, surbille, houppier APPRÉCIATION ÉCONOMIQUE Le volume produit sur l ensemble du cycle est de 635 m 3 dont 261 m 3 de bille de pied (41 %) et 374 m 3 de surbille et de houppier (59 %). La production moyenne annuelle ressort à 5,15 m 3 /ha dont 2,65 m 3 de bois d œuvre et 2,50 m 3 de bois d industrie, le sous-étage exclu. Pour apprécier la rentabilité de cet itinéraire, nous avons estimé : d une part, la valeur des coupes à partir des prix de vente des chênes enregistrés lors des ventes de la Coopérative UNISYLVA au cours des exercices Ce sont les prix des chênes sur pied, ajustés pour tenir compte de la largeur et de la régularité des cernes, de l importance de l aubier et de la grosseur des arbres. Les prix retenus par catégories de grosseurs sont les suivants : Catégories de diamètre Prix des bois < 20 cm de diamètre + houppier < 5 /m cm de diamètre 5 10 /m cm de diamètre /m cm de diamètre /m cm de diamètre /m cm de diamètre /m cm de diamètre /m 3 80 cm de diamètre et /m 3 Tableau 2 : Prix des bois sur pied par catégorie de diamètre. Il est à noter que le revenu des coupes est égal à la valeur des bois (bois d œuvre + houppier) dont on a déduit les frais de martelage, calculés sur la base d un rendement de 5 ha/ homme/jour et d un coût de la journée de technicien de 300 /HT (60 /ha), et les frais de commercialisation évalués à 7 % HT. d autre part, les dépenses liées aux frais de culture. Les frais de gestion, quant à eux, sont couverts par le revenu de la chasse et les impôts n ont pas été intégrés afin de simplifier le calcul des indicateurs de rentabilité suivants : Revenu net (RN) et rente forestière (RF) : Somme d argent que l on obtient en retranchant du revenu brut (=somme des recettes) toutes les dépenses survenues au cours d une révolution. Ce revenu, divisé par le nombre d années que compte la révolution donne la rente forestière. Ces deux indicateurs sont indépendants du taux de placement auquel fonctionnent les capitaux investis. Valeur vénale des fonds (F) Bénéfice actualisé (BA) : Permet par l actualisation d exprimer le montant des flux de trésorerie en valeur actuelle. BA (néglige la valeur du fonds) BASF (considère comme un coût l immobilisation du fonds) BASI (suppose que les opérations à comparer sont reconduites indéfiniment) Indice d efficacité du capital investi (I1) : Exprime le nombre d euros gagnés pour 1 euro dépensé. Nous avons calculé 6 indicateurs pour des chênaies gérées à l aide de l itinéraire expérimental et de manière plus classique (norme 70 d OSWALD 9 ). 9 La sylviculture, selon la norme 70 d OSWALD, prévoit : régénération naturelle, dégagements, cloisonnements culturaux, deux dépressages à 6 et 10 mètres et entre 40 et 180 ans, 15 éclaircies énergiques Densité : 208 tiges à 27 m ; 70 tiges à 35 m de hauteur. Accroissements annuels : 2 mm sur le rayon.

5 Les résultats économiques sont les suivants : Indicateurs économiques Futaie régulière chêne sessile (hors frais de gestion et fiscalité) Itinéraire Gestion expérimental classique (norme 70) Révolution 123 ans 180 ans Dépenses totales Recettes totales Valeur du fonds Revenu net /ha /ha Rente forestière 226 /ha/an 606 /ha/an Bénéfice actualisé (BA) 190 /ha /ha BASF /ha 536 /ha BASI /ha 552 /ha Indice 1 0,04 gagné 0,3 gagné pour 1 dépensé pour 1 dépensé Tableau 3 : Indicateurs économiques comparés Itinéraire expérimental Norme 70 OSWALD. Taux d actualisation retenu : 2 % Sur l ensemble de la durée du cycle, nous avons estimé une perte de production de l ordre de 20 %, soit 1 m 3 /ha/an par rapport à l optimum biologique escompté sur ce type de station. Cette perte de production est liée à la diminution drastique du nombre de tiges entre 30 et 60 ans et à une surface terrière qui fluctue entre 50 et 60 % en dessous de la surface terrière optimale, sans jamais dépasser 18 m 2. Une longue période (35 ans en moyenne) sans recette mais avec des charges de cultures incompressibles : dégagements localisés, création et entretien des cloisonnements, dépressage-faconnage. Un revenu net/ha/an et un bénéfice actualisé/ha 3 fois moins élevés que ceux de la futaie traditionnelle. Obligation d une surface considérable : plusieurs centaines d hectares et d une gestion continue et précise pendant plusieurs générations de propriétaires. AVANTAGES Possibilité d interventions mécanisées par parcelles entières rendant la méthode simple et répétitive. Cloisonnements culturaux denses implantés tout de suite après la coupe définitive ou plus tôt si les dégagements le justifient. Dégagements manuels en plein limités au strict nécessaire. Pas d intervention entre 3 et 6 mètres. Raccourcissement très significatif du cycle de production estimé dans notre exemple à 60 ans. Capital producteur sur pied plus faible et exposé moins longtemps aux aléas climatique et fiscaux. Production de gros bois de qualité. INCONVÉNIENTS Forte réduction de la densité en une seule fois vers 7-8 mètres (opération de dépressage ou façonnage), intervention onéreuse mais indispensable. Eclaircies nombreuses, fréquentes, procurant de faibles revenus. Choix précoce des arbres objectifs, avant que leur statut soit définitivement déterminé (30 ans et 12 mètres de hauteur pour notre exemple). Pour limiter les risques, l itinéraire propose de désigner le double de la densité finale et offre la possibilité de choisir dans le peuplement interstitiel des arbres de remplacement jusqu à 45 ans. Surveillance accrue du peuplement afin d être en mesure d intervenir préventivement pour éviter que les houppiers ne se touchent. Le furetage du sous-étage requiert de la technicité et de la constance et une commercialisation des produits adaptée. Les bois de valeur sont issus du «peuplement objectif» qui renferme 67 % du volume «bille de pied» récolté. La valeur de la production est concentrée dans la bille de pied (80%), et récoltée en fin de cycle. Le peuplement intermédiaire, quant à lui, assure 33 % du volume produit mais seulement 3 % des recettes totales. Il s agit, pour l essentiel, de bois de faibles dimensions et qualité. Les très gros bois et les gros bois représente 62 % de la récolte, les perches et les petits bois 32 % et les bois moyens 6 %. Sur l ensemble du cycle de production, près de 60 % du volume produit est constitué de bois de petites dimensions et de qualité secondaire (surbille, houppier) qui représente moins de 10 % du montant des recettes. Sur l ensemble de la durée du cycle, nous avons estimé une perte de production de l ordre de 20 %, soit 1 m³/ha/an par rapport à l optimum biologique escompté sur ce type de station. Cette perte de production est liée à la diminution drastique du nombre de tiges entre 30 et 60 ans et à une surface terrière qui fluctue entre 50 et 60 % en dessous de la surface terrière optimale, sans jamais dépasser 18 m². Une longue période (35 ans en moyenne) sans recette mais avec des charges de cultures incompressibles : dégagements localisés, création et entretien des cloisonnements, dépressage-façonnage. Un revenu net/ha/an et un bénéfice actualisé/ha 3 fois moins élevés que ceux de la futaie traditionnelle. 3. APPRÉCIATIONS ÉCOLOGIQUE 3. ET ENVIRONNEMENTALE Nous avons également évalué les avantages et les inconvénients écologiques et environnementaux de ce mode de culture. AVANTAGES Installation du peuplement par régénération naturelle diversifiée chaque fois que cela est possible. Des compléments de régénération exceptionnels (conservation du patrimoine génétique des espèces locales). Amélioration de la stabilité générale du peuplement par la dynamisation de la sylviculture. Atténuation des risques sanitaires liés à l excès de densité. Amélioration de la diversité biologique en raison notamment d une flore plus variée en sous bois. Amélioration de la valeur alimentaire du territoire pour les ongulés. 41

6 42 Discontinuité temporelle du paysage lors de la phase de renouvellement du peuplement. Il est très probable qu après l exploitation du peuplement interstitiel et en présence d un sous étage clair, il se développera une régénération naturelle pouvant conduire à une irrégularisation de la structure initiale. INCONVÉNIENTS Régénération naturelle parfois difficile et aléatoire : dans ce cas, recours à la plantation. Impossibilité de prendre en compte la diversité des milieux et de cultiver chaque essence dans les conditions qui lui conviennent le mieux. Période de régénération traumatisante pour l équilibre du couple sol-peuplement (notamment sur les stations fragiles). Sylviculture moins favorable à la séquestration maximale de carbone. 4. PERSPECTIVES Cette étude montre que dans la plupart des dispositifs européens recensés, les conditions d une croissance libre permanente sont rarement remplies et les objectifs initiaux d accroissement et de diamètre d exploitation seront difficilement atteints. Aussi, le recours à un itinéraire technique basé sur l évolution du diamètre à 1,30 m des chênes sessiles en croissance libre en fonction du diamètre du houppier et de la hauteur totale et qui prend en compte la totalité de la durée du cycle de production nous a permis de porter une appréciation globale sur ce mode de culture. Cet itinéraire impose une réduction drastique, continue et laborieuse du nombre de tiges/ha et une gestion contraignante et volontariste du peuplement pendant quatre générations de propriétaires. Nous pouvons conclure que si ce mode de culture présente des atouts écologiques et environnementaux indéniables, les résultats économiques sont médiocres. Toutefois, la validité de ces conclusions porte sur le chêne sessile et une gamme de stations limitée de Sologne Bourbonnaise ayant pour caractéristiques une bonne fertilité. Les conclusions ne peuvent donc être généralisées en l état. Aussi, conviendrait-il d étudier, pour des stations de très bonne fertilité, des itinéraires de croissance libre associant, en milieu forestier ou non, le chêne pédonculé 10 ou le chêne sessile à d autres essences nobles, telles le merisier, l alisier torminal, le frêne, l érable sycomore. En définitive, force est de constater que la recherche de la croissance libre en futaie régulière semble peu prometteuse 11 tandis qu il est démontré que l obtention rapide de gros bois 10 Concernant le chêne pédonculé, ont peut s interroger sur l avenir de cette essence dans un contexte de réchauffement climatique! 11 A noter que les sylvicultures rapides envisagent aujourd hui sur des stations de bonne fertilité (classe 2), la récolte de 65 chênes de très haute qualité et de 80 cm de diamètre à 180 ans. Cela confirme que pour raccourcir de manière très significative le cycle de production et récolter de gros bois de qualité, le prix à payer est élevé. de qualité est réalisable en futaie irrégulière claire. Quant à cette démonstration, nous renvoyons le lecteur à l ouvrage sur la «Culture des chênaies irrégulières dans les forêts et les parcs».bary-lenger A. et NEBOUT J.-P. (2004). REMERCIEMENTS L auteur remercie les propriétaires du Groupement Forestier des bois de Jaligny et spécialement son gérant M. Georges de MONTLAUR d autoriser l installation d expérimentations sur les cultures de chênes et de nous transmettre les données techniques et économiques indispensables à leur suivi. Il remercie également M. David MOURISSET, Ingénieur au CRPF Auvergne pour son aide lors de l analyse de ces données. POUR EN SAVOIR PLUS: Culture des chênaies irrégulières dans les forêts et les parcs 2004 Anne Bary-Lenger - Jean-Paul Nebout - Livre au format 15 x 23 cm p illustré de photos en couleur - Prix : 45,00 frais d envoi compris Le Chêne 1993 Anne Bary-Lenger - Jean-Paul Nebout- Livre au format - 15 x 23 cm 604 p - Prix : 42 frais d envoi compris Commande à la Société Royale Forestière de Belgique Galerie du Centre Bloc 2-6 ét. à 1000 Bruxelles Tél: 02/ fax: 02/ silva.belgica@srfb-kbbm.be BIBLIOGRAPHIE BARY-LENGER A., NEBOUT J.-P Le Chêne, 604 p. BARY-LENGER A., NEBOUT J.-P Culture des chênaies irrégulières dans les forêts et les parcs, 356 p. BARY-LENGER A., NEBOUT J.-P., Evaluation financière des arbres d agrément et de production en ville, à la campagne, en forêt, 448 p. BARY-LENGER A., STORDEUR P., La rentabilité des chênes sessiles et pédonculés en région Wallonne en 1950 et en p. BASTIEN Y., WILHEM G.-J., Une sylviculture d arbres pour produire des gros bois de qualité. Revue forestière française n 5, p BERTEAU C., Evaluation de la qualité et de la valeur commerciale des chênes de Sologne Bourbonnaise. 30 p FARINOTTI S., LAROUSSE J.-F., Production et qualité des chênes en Sologne Bourbonnaise, 114 p. JOBLING J., PEARCE M.-L., Free growth of oak. Forestry Commission, Forest Record 113, 17 p. NEBOUT J.-P., Principe de la futaie régulière. 17 p. NEBOUT J.-P., Guide du sylviculteur de Sologne Bourbonnaise. CRPF et CETEF de l Allier, 61 p. NEBOUT J.-P., Mission d étude sur la culture des chênes sessiles et pédonculés au Danemark, en Allemagne et en Wallonie. 20 p. NEBOUT J.-P., Mission d étude sur la culture des chênes sessiles et pédonculés en Flandres, 6 p. ONF, Rendez vous technique p 4 à 10 - n TEISSEDRE B., Contribution à l étude de la sylviculture du chêne sessile en futaie régulière claire en Sologne Bourbonnaise. CETEF 03, CRPF Auvergne, ENGREF. 65 p. + annexes. VERDIER M., Rentabilité économique comparée du chêne en croissance libre et du chêne en futaie traditionnelle. 41 p. WILHELM G.J Qualification -grossissement : la stratégie sylvicole de Rhénanie-Palatinat

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