2Livre deuxième. projet d établissement. le patient au cœur du. La gouvernance pour conjuguer réactivité et concertation

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "2Livre deuxième. projet d établissement. le patient au cœur du. La gouvernance pour conjuguer réactivité et concertation 2012-2016"

Transcription

1 2Livre deuxième La gouvernance pour conjuguer réactivité et concertation Depuis plus de dix ans, le mouvement législatif infléchit manifestement la gouvernance hospitalière dans le sens d une médicalisation du pilotage : le recentrage de la CME sur la politique qualité et la prise en charge du patient, au cœur du management hospitalier, la substitution d un directoire majoritairement médical à un comité exécutif paritaire pour conseiller le directeur dans ses décisions, le renforcement des responsabilités des chefs de pôle d activité clinique et médicotechnique en sont autant de traductions. Ces évolutions autorisent une plus grande diversité des formes de la collégialité médicale qui favorise l implication de tous. L enjeu du projet de gouvernance du CHU, à partir du nouveau cadre issu de la loi HPST, est d organiser un système de management cohérent qui permette la meilleure mise en œuvre possible du projet médical, conçu comme un projet intégré de prise en charge du patient, et de ses déclinaisons. L agencement des niveaux stratégiques et opérationnels doit être lisible pour tous et garant de la solidarité entre les acteurs hospitaliers : la mise en place de réels espaces de concertation et de coopération, à chaque niveau de l institution, en constitue la ligne directrice. Le CHU de Nîmes s inscrit dans cet objectif en renforçant le pilotage médico-administratif audelà des attendus législatifs : la création du collège des chefs de pôle, pour accompagner les politiques opérationnelles, ainsi que de délégations et commissions médicoadministratives donne une portée très concrète à cette volonté institutionnelle. Corollairement, il convient d être vigilant à la qualité de la communication interne et de repenser la conduite de projet de façon à en faire un élément véritablement structurant de l organisation institutionnelle. Centre Hospitalier Régional Universitaire de Nîmes la gouvernance pour conjuguer réactivité et concertation 2 55

2 2.1 Directoire et CME : deux instances complémentaires.1 directoire et cme : deux instances complémentaires 56 Avec le Directoire, la loi HPST a hissé la concertation médicale jusqu au niveau décisionnel, tout en évitant la confusion avec les compétences de la Commission Médicale d Etablissement. Le directoire, qui exerce la mission de conseil du directeur dans la gestion et la conduite de l établissement, constitue une instance de pilotage médico-stratégique composée de 9 membres, dont au moins 5 issus du personnel médical, pharmaceutique, maïeutique et odontologique. Le CHU de Nîmes a fait le choix de médicaliser davantage le directoire en portant sa composition médicale à 6 membres, de façon à permettre la présence, aux côtés du président de CME (premier vice-président), du vice-président doyen et du vice-président recherche, d un représentant des chefs de pôle, d un représentant des médecins hospitaliers et d un représentant des disciplines transversales. Clairement investi du pilotage stratégique de l établissement, à travers sa mission de conseil auprès du directeur général, le directoire possède également des compétences propres au titre desquelles il a approuvé le projet médical du CHU de Nîmes et préparé le : il définit ainsi la stratégie médicale et la politique de gestion institutionnelles, et est appelé à ce titre à suivre les contrats de pôle. Parallèlement, la loi HPST a considérablement élargi les compétences de la Commission Médicale d Etablissement à tous les secteurs de l amélioration continue de la sécurité et de la qualité des soins ainsi que des conditions d accueil et de prise en charge des patients. Composée, de droit, de l ensemble des chefs de pôle d activité clinique et médico-technique, ainsi que de représentants élus des responsables de structure interne, des praticiens enseignants et hospitalier, des praticiens hospitaliers et des personnels médicaux non titulaires, la CME exerce dans l état actuel des textes ses compétences à titre principal dans le champ de la qualité tout en demeurant une instance consultative à part entière qui est à la fois consultée et informée dans tous les domaines de la vie de l établissement (organisation, investissements, financement). Les compétences de la CME sont donc clairement complémentaires des missions dévolues au directoire, au président de CME et au directeur selon les modèles de chaîne de décision définis par la loi HPST et ses décrets d application : Projet d établissement : préparation (directoire) consultation (CME) délibération (conseil de surveillance), Convention constitutive HU, statuts des fondations hospitalières : consultation (CME) délibération (conseil de surveillance), Projet médical : élaboration (directeur et président de CME) - approbation (directoire) consultation (CME), Programme d action qualité : élaboration (CME) concertation (directoire) décision (directeur et président de CME), Autres domaines (EPRD, programmes d investissement biomédicaux, politique d intéressement, règlement intérieur) : concertation (directoire) élaboration (directeur) - consultation (CME) décision (directeur). Cette articulation, très précisément formalisée par les textes, permet de lever toute confusion entre les instances concernées tout en enrichissant et en médicalisant le processus de décision politique. Au-delà des compétences dévolues à la CME et au directoire par la loi, le CHU de Nîmes a défini un processus de concertation médicoadministratif qui permet au corps médical de s investir de façon très tangible dans les décisions institutionnelles, au sein de délégations et commissions opérationnelles et d expertises actives dans tous les champs de la vie hospitalière (cf. infra).

3 2.2 Les pôles hospitalo-universitaires, structures de politique opérationnelle Dans le cadre de la nouvelle gouvernance, le CHU de NIMES a mis en place, fin 2006, 10 pôles cliniques et médico-techniques. A l issue d une phase d évaluation, un onzième pôle, centré sur la filière gérontologique, a été créé en janvier Tous se sont dotés d un bureau et d un conseil de pôle conformément à la législation alors en vigueur. Avec la loi HPST, l organisation interne en pôles a été confirmée et les chefs de pôle se sont vus confortés dans leurs missions et responsabilités. Les nouvelles responsabilités managériales des chefs de pôle et des chefs de service Aux termes de la loi, le chef de pôle d activité clinique ou médico-technique se voit attribuer une mission générale de mise en œuvre de la politique d établissement afin d atteindre les objectifs fixés au pôle. Il est également chargé d organiser le fonctionnement du pôle et l affectation des ressources humaines en fonction des nécessités de l activité et compte tenu des objectifs prévisionnels du pôle. Cette mission d organisation s exerce : avec les équipes médicales, soignantes, administratives et d encadrement du pôle, sur lesquelles il a autorité fonctionnelle, dans le respect de la déontologie de chaque praticien et des missions et responsabilités des structures services ou unités fonctionnelles prévues par le projet de pôle. Les compétences managériales sont donc au cœur de la fonction de responsable de pôle, qu elles soient stratégiques ou opérationnelles. Selon le principe de subsidiarité, les chefs de service et d unité sont investis de responsabilités managériales spécifiques, à l échelle de la structure interne, qu il appartient à chaque projet de pôle de préciser. Plus globalement, il conviendra de mener une réflexion institutionnelle sur l articulation des différentes responsabilités dévolues aux praticiens responsabilité exercée sur la discipline, responsabilité organisationnelle, responsabilité clinique ainsi que sur l articulation des métiers d enseignant, de chercheur et de clinicien. Ce travail de clarification des rôles participe d une meilleure structuration de la vie en équipe et du fonctionnement du pôle. Une fonction de management stratégique Le chef de pôle a en charge l élaboration du projet de pôle, dans le respect des orientations stratégiques de l établissement et coordonne à ce titre l action des structures internes du pôle et ses instances. Il lui appartient en particulier de décliner le projet médical et le qui l accompagne au niveau de son pôle, dans toutes leurs dimensions (recherche, activité clinique, parcours et organisation des soins, qualité et sécurité, politiques clientèle et partenariats, ressources humaines médicales et non médicales, logistique, équipements et travaux, contrôle de gestion, optimisation des recettes et des coûts, système d information, communication ). Le sens de ce pilotage est de permettre l efficacité collective, nécessaire à l aboutissement des projets portés par les acteurs internes du pôle (services, unités, équipes, responsables médicaux et cadres). La gestion des interfaces constitue la clé de cette performance collective : l objectif est de créer les conditions d une organisation transversale des compétences en cohérence avec le parcours de soins du patient..2 les pôles hospitalo-universitaires, structures de politique opérationnelle 57

4 .2 les pôles hospitalo-universitaires, structures de politique opérationnelle 58 En conséquence, le chef de pôle est investi d une double mission de développement des partenariats internes (inter-pôles) et externes (territoriaux) : les partenariats internes pourront prendre la forme de contrats de fonctionnement, axés sur la définition des besoins du patient, en lien avec son chemin clinique, les objectifs visant à y répondre et les règles de bonnes pratiques s y rattachant. les partenariats externes viseront à structurer le parcours territorial de soins du patient dans le cadre de la mission régionale et interrégionale du CHU et des coopérations existantes avec les autres établissements publics ou privés de la région ou du territoire, et en conformité avec les orientations stratégiques institutionnelles. Ce rôle d ambassadeur du pôle s exercera en particulier dans le cadre de la mise en œuvre du projet médical de la Communauté Hospitalière de territoire et des Fédérations Hospitalouniversitaires Interhospitalières. Une fonction de management opérationnel Le chef de pôle exerce une fonction d animation en associant en tant que de besoin toutes les catégories de métiers. A ce titre, il préside le bureau de pôle, organise la concertation interne, hiérarchise les priorités, gère les tensions et veille à assurer la circulation de l information au sein du pôle. Il est également investi d une mission de gestion et d évaluation, qui se traduit par : la coordination de l ensemble des moyens humains, matériels et financiers du pôle qui sont alloués dans le cadre d une activité prévisionnelle et leur ajustement aux résultats, avec l appui du cadre de santé et du cadre administratif de pôle et en lien avec les pôles de gestion concernés, la définition, dans le cadre de la délégation de gestion, des priorités en matière de gestion du personnel médical en liaison avec la communauté médicale du pôle, ainsi qu en matière de gestion du personnel non médical et de formations avec le cadre supérieur de santé, le développement des démarches et outils de type conduite de projet, en impliquant les professionnels médicaux et non médicaux concernés.

5 Indépendamment des ressources du pôle, le chef de pôle dispose d un outil pour mener à bien ses missions : le contrat, qui repose sur un projet de pôle (dimension stratégique) et une délégation de signature (dimension opérationnelle), en contrepartie d objectifs assignés au pôle et évalués à l aide d indicateurs spécifiques. En complément, un collège des chefs de pôle a été mis en place au mois de mars 2011 de façon à associer plus étroitement ces derniers à la mise en œuvre, à l évaluation et à l ajustement des différentes politiques fonctionnelles (recherche, activité clinique, parcours et organisation des soins, qualité et sécurité, politiques clientèle et partenariats, ressources humaines médicales et non médicales, logistique, équipements et travaux, contrôle de gestion, optimisation des recettes et des coûts, système d information, communication ). Composé du directeur général et du directeur général adjoint, du président de CME, de l ensemble des 11 chefs de pôle d activité clinique et médico-technique et des 3 directeurs coordonnateurs de pôle de gestion, ce collège se réunit à la demande du directeur général. Il a pour mission de conforter la mise en œuvre des politiques fonctionnelles ainsi que de la démarche projet en particulier s agissant des projets transversaux - et d informer le directeur général et le président de CME de toutes difficultés constatées dans cette mise en œuvre. Les travaux des chefs de pôle, assisté du cadre de santé de pôle et du cadre administratif de pôle, s appuient sur les équipes collégiales de pôle responsables médicaux, cadres de santé ainsi que sur les sous-commissions médicoadministratives (cf. infra). L exercice de cette collégialité interne au pôle devra être facilité institutionnellement, à travers le développement de la communication interne (assemblée générale des médecins, newsletter médicale), des dispositifs d intégration des Le contrat de Pôle : outil de mise en œuvre du projet médical jeunes médecins et des formations proposées aux responsables de pôle et de structure interne (formations au pilotage médico-économique, au management d équipe, etc.). Les actions détaillées dans le livre trois (cf. Personnel médical et vie institutionnelle : les voies de progrès) participent pleinement de cet objectif. Délégation de gestion et contrats de pôle de seconde génération Fondamentalement, le contrat de pôle doit être compris comme un moyen de co-construire la mise en œuvre du projet médical. En effet, l esprit de la contractualisation n est pas l autonomie mais la solidarité : la délégation de signature doit avoir pour objectif de doter le chef de pôle de leviers d action pertinents pour renforcer la qualité du service rendu. En ce sens, l objectif n est pas de redistribuer aux pôles des missions administratives assumées par des directions fonctionnelles qui disposent de toutes les compétences et expertises nécessaires. Il s agit d abord de donner aux chefs de pôle les moyens de mettre en place une organisation thérapeutique qui leur permette de gérer au mieux les parcours de soins et d investir l ensemble des processus (maîtrise des organisations et des ressources qui leur sont affectées). Une première génération de contrats de pôle signés entre décembre 2008 et la fin du premier semestre 2009 s est structurée autour de trois volets : Le projet de pôle (objectifs soins, enseignement, recherche) ; La qualité et la sécurité des soins ; La gestion (gestion des moyens du pôle, données financières). L évolution du système de management implique l élaboration, en 2012, de contrats de pôle de seconde génération, dont la trame-type donnera.2 les pôles hospitalo-universitaires, structures de politique opérationnelle 59

6 .2 les pôles hospitalo-universitaires, structures de politique opérationnelle 60 préalablement lieu à concertation en directoire ainsi qu en collège des chefs de pôles. Ces contrats seront plus précis que ceux de la première génération en raison à la fois de l évolution du cadre de référence (délégation de signature, mission d organisation des ressources humaines) et de l appropriation des outils de suivi et d évaluation médico-économique par les pôles. D un point de vue réglementaire (article R ), le contrat de pôle définit le champ et les modalités d une délégation de signature permettant au chef de pôle d engager des dépenses dans les domaines suivants : 1 Dépenses de crédits de remplacement des personnels non permanents, 2 Dépenses de médicaments et de dispositifs médicaux, 3 Dépenses à caractère hôtelier, 4 Dépenses d entretien et de réparation des équipements à caractère médical et non médical, 5 Dépenses de formation de personnel. En outre, le contrat de pôle précise la mission d organisation du chef de pôle sur plusieurs points : 1 Gestion du tableau prévisionnel des effectifs rémunérés et répartition des moyens humains affectés entre les structures internes du pôle, 2 Gestion des tableaux de service des personnels médicaux et non médicaux, 3 Définition des profils de poste des personnels médicaux, pharmaceutiques et odontologiques ainsi que des personnels du pôle relevant de la fonction publique hospitalière, 4 Proposition au directeur de recrutement du personnel non titulaire du pôle, 5 Affectation des personnels au sein du pôle, 6 Organisation de la continuité des soins, notamment de la permanence médicale ou pharmaceutique, 7 Participation à l élaboration du plan de formation des personnels de la fonction publique hospitalière et au plan de développement professionnel continu des personnels médicaux, pharmaceutiques, maïeutiques et odontologiques.

7 Le contrat de pôle est établi pour une durée de 4 ans. Il précise, le cas échéant, les modalités d intéressement du pôle aux résultats de sa gestion. Cependant, le dispositif de contractualisation ne doit pas être figé dans ce cadre pluriannuel mais constituer un outil dynamique au service de la réactivité institutionnelle : la pertinence de la programmation annuelle implique que les prévisions d activité et de coûts émanent des services concernés et soient révisées chaque année. De même, l efficience de la démarche projet et de la démarche qualité passe par un réajustement régulier des orientations déclinées dans le projet de pôle, à l instar du projet médical soumis à un processus d adaptation continu. Le recours aux avenants sera un des instruments de cette évolutivité, indispensable au bon fonctionnement institutionnel. Un management éthique Les responsabilités managériales exercées par les professionnels de santé qu ils soient directeurs, chefs de pôle, chefs de services ou cadres s inscrivent aujourd hui dans un cadre contractualisé qui trouve sa légitimité à travers les objectifs poursuivis, les valeurs hospitalières qui les fondent (l humanité et la sollicitude, la solidarité et la continuité, la neutralité et le respect de la dignité, la non-discrimination et l égalité) et les principes éthiques qui orientent l action (l autonomie, la bienfaisance, la justice, le respect de l environnement, à titre d exemple). Prévisions d activité et des coûts L éthique au cœur des décisions Ces principes sont fondamentalement collectifs, communs à l ensemble des métiers, et se distinguent de la déontologie qui encadre l exercice des différentes professions de santé. Appliqués au management, ils supposent une attention constante à la qualité du dialogue interne, un respect réciproque, une vigilance quant au bien-être au travail des équipes, dans un contexte où l hôpital est sollicité par des demandes et des attentes chaque jour plus fortes. Ils supposent à la fois un respect des valeurs qui fédèrent la communauté hospitalière en ce sens le travail projeté d identification des valeurs portées CHU de Nîmes (cf. Volet communication) permettra de préciser ce socle et un processus décisionnel garant de la qualité et de la justesse des choix opérés. Pour accompagner les responsables dans l exercice de leurs fonctions managériales, le questionnement éthique doit pouvoir s exprimer et être débattu dans un cadre collégial : le management est souvent confronté à des injonctions paradoxales (optimisation de ressources limitées et accès d égalité aux soins, accompagnement du patient vers l autonomie et sécurité collective en psychiatrie et en gérontologie en particulier) et la réflexion éthique vise précisément à concilier des principes d action devenus en apparence contradictoires. Le collège des cadres et le comité d éthique du CHU de Nîmes pourront chacun dans leur périmètre contribuer à éclairer la collectivité sur ses processus décisionnels y compris stratégiques et les dilemmes moraux auxquels elle est confrontée..2 les pôles hospitalo-universitaires, structures de politique opérationnelle 61

8 2.3 Délégations et commissions favorisent l implication Le développement des commissions médico-administratives opérationnelles et d expertise au sein du CHU de Nîmes traduit la volonté institutionnelle de médicaliser la gouvernance et d enrichir les formes de collégialité médicale dans le processus de concertation et de décision..3 délégations et commissions favorisent l implication 62 Les commissions en place au CHU de Nîmes s organisent globalement en quatre catégories : Commissions adossées à une gouvernance médico-administrative Commissions qualité / protocolisation Commissions liées aux personnels médicaux (sous-commissions de la CME) Commissions à visée organisationnelle - Délégation à la Recherche Clinique et à I Innovation - Délégation Qualité Gestion des Risques - Délégation à l Information Médicale et à l Activité - Collège des chefs de pôle - Conseil hospitalo-universitaire - Commission du projet médical - Commission des effectifs et des carrières (médicaux) - Commission des investissements médicaux - Commission des ressources humaines (non médicales) - COPIL SIH - Comité de pilotage certification suivi des pratiques exigibles (PEP) - Commission des EPP - Comité de Coordination en Cancérologie (3C) - Commission des Relations avec les Usagers et de la Qualité de la Prise en Charge (CRUQPC) - CLIN - CLAN - CLUD - Commission de radioprotection - Comité de sécurité transfusionnelle et d hémovigilance (CSTH) - Commission des gaz médicaux - Comité du Médicament et des Dispositifs Implantables Médico-Stériles (COMEDIMS) - Comité d interface bioclinique (CIBC) - Comité d Interface radiologie clinique (CIRC) - Comité d éthique - Comité d éducation thérapeutique du patient (CETP) - Commission des effectifs médicaux - Commission de la FMC - Comité de déontologie - Commission relative à l activité libérale - Commission de la communication - Commission des rémunérations - COPS - Commission des admissions et des consultations non programmées (CACNP) - Commission des urgences vitales intra-hospitalières (UVIH) - Commission des séjours longs - Commission du dossier médical

9 Ces commissions, qui associent directeurs et médecins, poussent très loin l intégration médico-administrative en l étendant à tous les domaines de la vie institutionnelle : au-delà des commissions prévues par la réglementation, le CHU de Nîmes a développé très significativement les espaces de concertation et de coopération, porteurs d une culture de la co-construction. Ceux-ci permettent aux médecins, membres ou non de la CME, de s impliquer très concrètement dans le processus de concertation en contribuant par leur expertise à la définition des modalités de mise en œuvre des politiques institutionnelles et à leur suivi. Il appartient désormais à la direction et à la CME de préciser l agencement institutionnel de ces différentes commissions et de rendre lisible les circuits décisionnels dans lesquelles elles sont impliquées. Les trois délégations médico-administratives A la délégation à la recherche clinique (DRC), qui existe depuis plusieurs années, se sont adjointes en 2011 deux nouvelles délégations : la délégation à la qualité et à la gestion des risques (DQGR), et la délégation à l information médicale d activité (DIMA), chacune co-animée par un médecin et un directeur et chargée de mobiliser et de coordonner l ensemble des ressources médicoadministratives concernées. La montée en charge de ces deux dernières délégations constitue l enjeu de l année 2012, dans le contexte de l installation d une nouvelle Commission Médicale d Etablissement : La délégation à l information médicale d activité (DIMA) a pour objectif de relever le défi de l optimisation de l information médicale et de sa traduction en termes de politique budgétaire et notamment de sécurisation des recettes financières de l établissement. Elle exerce notamment six missions prioritaires : - Contribution au déploiement et au développement de l informatique médicale et de l infocentre, - Organisation de la production du PMSI, - Exhaustivité, optimisation du codage, assurance qualité et sécurisation des recettes, - Analyses médico-économiques et contrôle de gestion, - Instruction de faisabilité médico-financière des nouveaux projets médicaux, - Médicalisation des tableaux de bord d activité ; à ce titre, la DIMA a pour responsabilité d améliorer en permanence l information médicale intégrée aux tableaux de bord et suivi des activités à destination de la Direction Générale, de la Commission Médicale d Etablissement, du Directoire, des responsables et cadres de pôles et de services. Le comité opérationnel auquel la DIMA est adossée était pré-existant : il s agit de la commission d information médicale et d activité (CIMA), qui comprend notamment la direction générale, la présidence de la commission médicale d établissement, des représentants du directoire et les membres du bureau opérationnel de la DIMA. La délégation à la qualité et à la gestion des risques (DQGR) a pour objectif de : - Faire évoluer un pilotage à forte composante administrative vers un co-pilotage médicoadministratif en lien avec les nouvelles attributions de la CME, - Structurer les ressources dédiées à la démarche Qualité Gestion des Risques et organiser les liaisons pour plus de transversalité, de cohérence et de coordination, - Renforcer la qualité gestion des risques au sein de la gouvernance des pôles. Elle assume à ce titre des fonctions de coordination des vigilances, d impulsion et de gestion des démarches qualité spécifiques à certaines activités (imagerie, laboratoires,.3 délégations et commissions favorisent l implication 63

10 .3 délégations et commissions favorisent l implication 64 radiothérapie), de gestion des événements indésirables graves liés aux soins et à la recherche clinique. Elle est également responsable de la mise en œuvre de la démarche de certification, de la consolidation de l évaluation des pratiques professionnelles et de la production et du suivi des indicateurs dans le domaine de la qualité et de la gestion des risques et assure l organisation de la gestion des crises majeures. La DQGR s appuie sur un Comité Opérationnel Qualité Gestion des Risques ainsi que sur un réseau de référents QGR désignés au sein de chaque pôle par les responsables médicaux de pôle. Au moins une fois par an, une réunion de la CME est élargie à la participation des présidents des commissions spécialisées (CLAN, CLUD, CLIN, CSTH, Commission UVIH) et aux différents responsables médicaux des vigilances. A travers la mise en place de ces délégations, la gouvernance médico-administrative se trouve renforcée dans des domaines particulièrement stratégiques.

11 Les autres commissions médico-administratives Aux côtés des commissions relevant de la CME et des autres commissions réglementaires, la volonté institutionnelle de médicaliser la gouvernance se traduit par le projet de mettre en place trois nouvelles commissions médico-administratives : Une commission du projet médical, articulée étroitement avec la commission des effectifs et des carrières et la commission des investissements biomédicaux, dont l objet sera de suivre la mise en œuvre du projet médical, de conduire dans ce cadre l instruction des projets médicaux des pôles et de donner un avis sur leur pertinence et leur faisabilité globales, avant présentation en directoire, dans le cadre du cycle plan-budget. Cette commission sera adossée au guichet unique mis en place en 2009 pour coordonner l instruction des nouveaux projets médicaux mais sera principalement appelée à organiser l instruction des différents projets de pôle programmés dans le cadre du projet médical L instruction reposera sur les contributions des différentes directions fonctionnelles et délégations concernées, en particulier la DIMA s agissant de la faisabilité médico-financière des projets. Une commission des ressources humaines non médicales, dont l objet sera d accompagner la politique des ressources humaines définie dans le, de proposer les principes, modalités et planning des délégations de gestion, ainsi que les modalités de fongibilité des crédits, et de suivre le volet RH des contrats de pôle, à partir des indicateurs de gestion qu elle aura préalablement proposés Une commission des rémunérations qui aura pour mission spécifique d encadrer le recours au statut de clinicien hospitalier, de sélectionner les candidats et de procéder à l évaluation de la part variable d activité au regard des objectifs assignés dans le contrat. Cette évolution globale du paysage institutionnel doit trouver une traduction opérationnelle à travers la formalisation des nouveaux modes de communication et circuits décisionnels ainsi que l accompagnement des changements induits par le projet médical : c est le sens de la démarche projet..3 délégations et commissions favorisent l implication 65

12 2.4 Une méthode commune : la conduite de projet.4 une méthode commune : la conduite de projet 66 La conduite de projet est au cœur de la mission d adaptabilité du service public hospitalier et du devoir d innovation du CHU. Les projets peuvent être planifiés, dans le cadre du projet d établissement, mais également répondre à une opportunité stratégique ou à une révision des anticipations liée à une évolution du contexte. A ce titre, la fonction de veille stratégique médicale est essentielle. Elle est avant tout du ressort de chaque médecin dans sa discipline mais reste à organiser collectivement : les nouvelles instances en place (directoire et collège des chefs de pôle en particulier) devront contribuer à rendre cette veille plus efficiente, dans le cadre de la planification stratégique. Parallèlement, le rôle de la conduite de projet sera de structurer le temps institutionnel de la programmation. En effet, le temps des projets et le temps des organisations (qui obéissent au rythme régulier de l annualité budgétaire et du calendrier des instances) s avèrent souvent asynchrones. Chaque projet ne progresse pas selon un rythme linéaire : ainsi, l instruction nécessite du temps, nécessaire à la maturation du projet, et c est cette période d analyse et d ajustement qui permettra ensuite l accélération liée à la validation et à la préparation de la mise en œuvre. En outre, chaque projet a son propre mode de gestation, et plusieurs portes d entrées sont possibles. L intégration de la conduite de projet dans le cycle plan-budget répond au besoin de structuration lié à la programmation annuelle des ressources tout en autorisant la souplesse indispensable à l innovation, en sortant la démarche projet du cadre quinquennal du. Le processus plan-budget se reproduit chaque année à l identique, il est le principal déterminant du rythme de vie institutionnel et les dates qui le scandent sont connues longtemps à l avance. Synchroniser le temps des projets et le temps des organisations Dès lors, le calendrier de la démarche projet pourra être défini institutionnellement selon les jalons suivants : Mars N 1 : à l initiative du chef de pôle, état des lieux et priorisation des projets inscrits au projet médical et au projet de pôle et dont la mise en œuvre est souhaitée en année N, en lien avec les chefs de service et d unité. Avril N 1 : priorisation des projets par le chef de pôle après concertation en bureau de pôle Mai-oct. N-1 : instruction des projets par le pôle Recherche et Développement en lien avec la commission du projet médical (pour les projets de pôle) et les pôles de gestion Nov. N-1 : choix des projets programmés en N, sur décision du directeur général après concertation en directoire. Les projets institutionnels qui se caractérisent par leur transversalité ou leur niveau stratégique (projets portés par le directoire et non par un pôle spécifique) s inscriront dans un calendrier similaire, à cette différence que l état des lieux et la priorisation initiale (mars-avril N-1) relèveront du directoire, après concertation du collège des chefs de pôle. Au niveau infra-annuel, le guichet unique, permettra les ajustements nécessaires, s agissant de projets médicaux nouveaux (non prévus dans le cadre du projet médical) et nécessitant une réactivité forte. Toutefois, l essentiel du travail de la commission du projet médical restera centré sur l instruction des projets de pôle inscrits au projet médical et le suivi de ce dernier. Les outils d analyse, de priorisation et de suivi seront à construire avant la fin du mois de février 2012.

13 Ainsi, le travail de la commission du projet médical pourra être centré, au cours du premier trimestre de l année, sur l évaluation du programme de l année précédente et le bilan d étape du projet médical, avant de s orienter sur l instruction des projets sollicités au titre de l année suivante (2ème et troisième trimestre), conformément au calendrier institutionnel ci-dessus défini. La structuration de la communication interne constitue à ce titre un adjuvant essentiel à la bonne articulation des rouages impliqués dans la démarche projet. La communication externe s attachera quant à elle à accompagner leur déploiement en leur donnant toute l audience nécessaire auprès des partenaires publics et privés, qu il s agisse d opérateurs de santé, de professionnels libéraux ou d associations, ainsi qu auprès du grand public..4 une méthode commune : la conduite de projet 67

14 2.5 La communication au service de toute l institution Centre Hospitalier Régional Universitaire de Nîmes la gouvernance pour conjuguer réactivité et concertation 2 68 La politique de communication s appuie sur les grands axes développés dans le projet d établissement et se décline en messages clés adressés en toutes circonstances et sous différentes formes aux publics cibles. Trois grands objectifs sont visés : l attractivité du CHU pour les patients et pour les professionnels, le climat de confiance avec les libéraux, le positionnement dans le grand sud : valorisation des activités, des investissements, des projets. L image du CHU de Nîmes est construite à partir de signes forts qui reprennent les valeurs de l établissement et ses trois grandes missions : le soin, l enseignement, la recherche. La définition des valeurs du CHU en adéquation avec l opinion interne et celle du grand public fait partie des projets de communication pour les 5 prochaines années. Cette étude sera basée sur des enquêtes d opinion précises. D ores et déjà deux grandes familles de valeurs se dégagent : l humanité (transparence, proximité, confiance, empathie) et l innovation (technicité, dynamisme, efficacité, qualité). «L innovation au service du patient» et «l excellence des soins à portée de tous» Le CHU de Nîmes s appuie sur une communication par la preuve, c est-à-dire que lorsque celui-ci est bien cadré, chaque projet, événement, activité fait l objet d un plan de communication. Il s agit d une communication du concret, du tangible. En interne, l envergure du CHU demande à ce que la transversalité et la fédération des pôles autour d une même identité soit un objectif constant. Le but est également de valoriser le travail des équipes en stimulant la fierté d appartenance. Les patients restent la finalité de ce travail : un accueil quasi personnalisé dans des organisations en pôle à taille humaine où les termes de sécurité, soins, hospitalité, technicité sont des évidences. Le public interne est composé de l ensemble des personnels : médicaux, paramédicaux, médicaux-techniques, administratifs, chercheurs. La particularité des métiers et des organisations du CHU de Nîmes amène à concevoir une communication fédératrice autour du projet commun. Le personnel est acteur de la réussite du CHU et fait partie d un Hôpital performant dont il peut être fier. La politique volontariste de communication envers les cadres de l établissement est réaffirmée. La newsletter mensuelle associée aux réunions cadres et à la semaine de l encadrement souligne l engagement de l établissement sur ce point. Le projet d un intranet répond aux enjeux de la nouvelle gouvernance et à l accompagnement au changement. Il sera conçu pour soutenir la décentralisation, la délégation de gestion et la gestion de projet. Le développement de l intranet se base sur des audits internes des utilisateurs et les capacités techniques du CHU. Il concorde parfaitement avec la politique de déploiement des outils informatiques dédiés au staff virtuel permanent. Autre axe fort de la politique de communication, celui dédié aux médecins du CHU de Nîmes. Les médecins disposeront d une newsletter dédiée afin de consolider les relations et mettre en exergue les informations transversales les concernant.

15 En externe, il s agit de confirmer la position de leader sur la recherche directement utile au patient et l innovation médicale, sur les rénovations des structures, l organisation, les plateaux techniques. Le public externe comprend l ensemble des soutiens institutionnels dont les tutelles : le CHU participe à la valorisation de la Région, les tutelles et partenaires pourront à nouveau faire confiance pour de grands projets, les médecins de ville dont nos prescripteurs, les patients : l Hôpital va bien les soigner, les accueillir, dans des conditions de sécurité, d équipement et d hébergement optimales, leurs proches et le grand public, nos partenaires privés et publics, les professionnels de santé dont les étudiants des professions de santé. Le CHU est un hôpital d avenir où les jeunes talents pourront s exprimer. Une communication envers les médecins prescripteurs sera mise en place avec en premier lieu des outils pratiques à leur disposition : un annuaire de lignes directes des services par exemple. Les actions de communication sont déclinées via les outils disponibles : Affichage, plaquette, lettres internes, mails généraux, événements, relation presse, réunions institutionnelles. Ces outils de communication permettent une forte réactivité : Flash infos est un journal d information bimestriel pour l ensemble du personnel, connexion cadres est une newsletter mensuelle envoyée aux cadres. Des stands d information, affiches, flyers, mails peuvent être rapidement mis en place ou distribués. Un soin particulier est apporté à la mise en forme graphique des documents conformément à la charte graphique de l établissement. En matière de communication externe, le CHU dispose d un site internet complet qui sera repensé vis-à-vis des besoins des internautes patients dans la lignée de l adage du projet médical : «un chu pour le patient». Un magazine Réactif Nîmes dont la ligne éditoriale est axée sur la recherche est destiné aux leaders d opinion de la Région. De plus, le réseau des journalistes santé locaux, régionaux et nationaux qu ils appartiennent aux journaux commerciaux ou institutionnels partenaires sont des relais systématiques des actualités auprès du grand public. Un partenariat pour un espace d information hebdomadaire dans un magazine distribué à exemplaires sur la ville de Nîmes permet de relayer les actions mises en place tout en maîtrisant la parution. Une réflexion est engagée sur la place du CHU à tenir sur les réseaux sociaux et les médias online. Une palette d outils disponible La mise en place d une communication adaptée autour du conditionne l adhésion et l implication des équipes pour les actions qui en résultent. Cette communication est étroitement liée à celle à mettre en place dans le cadre des projets médicaux. Centre Hospitalier Régional Universitaire de Nîmes la gouvernance pour conjuguer réactivité et concertation 2 69

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte

Plus en détail

CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines

CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines 1/ Les constats les plus marquants sont : - l absentéisme de courte durée qui continue d évoluer fortement et qui met sous

Plus en détail

DE QUALITE GESTION DES RISQUES DEVELOPPEMENT DURABLE

DE QUALITE GESTION DES RISQUES DEVELOPPEMENT DURABLE PROJET DE QUALITE / GESTION DES RISQUES / DEVELOPPEMENT DURABLE

Plus en détail

Référentiel métier de Directeur des Soins en établissement et en institut de formation mars 2010

Référentiel métier de Directeur des Soins en établissement et en institut de formation mars 2010 Référentiel métier de Directeur(trice) des soins Ce référentiel intègre à la fois le métier Directeur(trice) des soins en établissement et celui de Directeur(trice) des soins en institut de formation paramédicale.

Plus en détail

Compte Qualité. Maquette V1 commentée

Compte Qualité. Maquette V1 commentée Compte Qualité Maquette V1 commentée Élaborée suite à l expérimentation conduite par la Haute Autorité de santé au second semestre 2013 auprès de 60 établissements testeurs. Direction de l Amélioration

Plus en détail

CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES

CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES Formalisation des engagements réciproques entre l EPS Ville-Evrard et les internes Ressources humaines médicales Delphine LEBIGRE AAH NOVEMBRE 2012 Objectifs L établissement

Plus en détail

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,

Plus en détail

étude réalisée par l agence Campus Communication en partenariat avec l Association française de communication interne

étude réalisée par l agence Campus Communication en partenariat avec l Association française de communication interne étude réalisée par l agence Campus Communication en partenariat avec l Association française de communication interne sommaire Le projet Notre agence Notre partenaire Méthodologie Lire l étude Enseignements

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins»

CAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins» CAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins» La Bourse Mutualiste pour la Recherche Infirmière et Paramédicale LE CONTEXTE GÉNÉRAL La recherche infirmière et paramédicale - c est-à-dire l étude

Plus en détail

Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie et de la diversité des jeunes créateurs

Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie et de la diversité des jeunes créateurs Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie MARDI Contact presse Ministère de la Culture et de la Communication Délégation à l information et à

Plus en détail

PROJET QUALITE 2015-2019

PROJET QUALITE 2015-2019 PROJET QUALITE 2015-2019 [Texte] TABLE DES MATIERES I. INTRODUCTION 5 II. LES ORIENTATIONS 6 AXE 1 PERENISER UN SYSTÈME DE MANAGEMENT BIEN STRUCTURÉ DANS LEQUEL LES ACTEURS S IMPLIQUENT ACTIVEMENT 6 a.

Plus en détail

CONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION

CONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter

Plus en détail

Dernière mise à jour le 11/09/15 1

Dernière mise à jour le 11/09/15 1 Libellé de l UE Libellé de l EC CM Résumés Intervenants SEMESTRE 3 UE 1 : Les politiques publiques sociales (6c) Politiques sociales (3c) Evaluation des politiques publiques des secteurs 18 h Par ce cours,

Plus en détail

GESTION DE PROJET. www.ziggourat.com - Tél : 01 44 61 96 00 N enregistrement formation : 11752861675

GESTION DE PROJET. www.ziggourat.com - Tél : 01 44 61 96 00 N enregistrement formation : 11752861675 GESTION DE PROJET www.ziggourat.com - Tél : 01 44 61 96 00 N enregistrement formation : 11752861675 Introduction à la Gestion de Projet... 3 Management de Projet... 4 Gestion de Projet informatique...

Plus en détail

PLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE

PLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE PLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE Version du 23 avril 2008 1 Sommaire 1. RAPPEL DU CONTEXTE_ 3 2. PILOTAGE ET PERIMETRE DU PLAN

Plus en détail

POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017. Document validé le. Visa : Visa :

POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017. Document validé le. Visa : Visa : POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017 Document validé le Nom : M. GROHEUX Nom : M. MATHIEU Fonction : Directeur Fonction : Président de la CME Visa : Visa : Page

Plus en détail

Auteur : Françoise NICOLAS, Responsable Qualité. Approuvé par : Michel ROUVELLAT, Président. Dernière date de mise à jour : 01 avril 2015

Auteur : Françoise NICOLAS, Responsable Qualité. Approuvé par : Michel ROUVELLAT, Président. Dernière date de mise à jour : 01 avril 2015 Manuel Qualité Auteur : Françoise NICOLAS, Responsable Qualité Approuvé par : Michel ROUVELLAT, Président Dernière date de mise à jour : 01 avril 2015 CIS Valley Manuel Qualité- MAQ_V08 page 1/16 Engagement

Plus en détail

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date

Plus en détail

La loi HPST à l hôpital les clés pour comprendre

La loi HPST à l hôpital les clés pour comprendre La loi HPST à l hôpital les clés pour comprendre éditorial La loi «Hôpital, Patients, Santé et Territoires» du 21 juillet 2009 porte une réforme majeure, une réforme historique. Elle modifie en profondeur

Plus en détail

TITRE DE LA PRÉSENTATION > TITRE DE LA PARTIE PROJET D ORGANISATION ADMINISTRATIVE ET TECHNIQUE CIBLE

TITRE DE LA PRÉSENTATION > TITRE DE LA PARTIE PROJET D ORGANISATION ADMINISTRATIVE ET TECHNIQUE CIBLE TITRE DE LA PRÉSENTATION > TITRE DE LA PARTIE PROJET D ORGANISATION ADMINISTRATIVE ET TECHNIQUE CIBLE 2 Projet organisation administrative et technique > Sommaire Sommaire PREAMBULE POURQUOI? Les objectifs

Plus en détail

Certification V2014. Un dispositif au service de la démarche qualité et gestion des risques des établissements de santé. Juillet 2013 ACC01-F203-A

Certification V2014. Un dispositif au service de la démarche qualité et gestion des risques des établissements de santé. Juillet 2013 ACC01-F203-A Certification V2014 Un dispositif au service de la démarche qualité et gestion des risques des établissements de santé Juillet 2013 ACC01-F203-A Sommaire 1. Les enjeux et les ambitions : une démarche plus

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente

Plus en détail

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure

Plus en détail

PROJET D ETABLISSEMENT 2013-2017 - PROJET ORGANISATION ET EVALUATION DU PARCOURS DE PRISE EN CHARGE (OEPPC)

PROJET D ETABLISSEMENT 2013-2017 - PROJET ORGANISATION ET EVALUATION DU PARCOURS DE PRISE EN CHARGE (OEPPC) D ETABLISSEMENT 2013-2017 Rédaction : Page 1 sur 68 D ETABLISSEMENT 2013-2017 - ORGANISATION ET EVALUATION DU PARCOURS DE PRISE EN CHARGE (OEPPC) EPS Ville-Evrard Direction Qualité Gestion des Risques

Plus en détail

Rapport technique n 8 :

Rapport technique n 8 : Modernisation de l action publique Groupe de travail interministériel sur les agences et opérateurs de l Etat Rapport technique n 8 : L'appui des têtes de réseau interministérielles en matière de fonctions

Plus en détail

Promulgue la loi dont la teneur suit : TITRE I

Promulgue la loi dont la teneur suit : TITRE I Loi n 98-11 du 29 Rabie Ethani 1419 correspondant au 22 août 1998 portant loi d Orientation et de Programme à Projection Quinquennale sur la Recherche Scientifique et le Développement Technologique 1998-2002

Plus en détail

Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU

Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU NB : les notes font référence au diaporama de synthèse de l enquête en ligne sur le site de l'adbu Comment les SCD tentent-ils

Plus en détail

Programme Hôpital numérique

Programme Hôpital numérique Programme Hôpital numérique Boite à outils pour l atteinte des pré-requis Fiches pratiques Octobre 2012 Direction générale de l offre de soins Sommaire 1. LE PROGRAMME HOPITAL NUMERIQUE... 3 2. LE SOCLE

Plus en détail

www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Urbanisme : stratégie, projets, maîtrise d ouvrage (USPMO)

www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Urbanisme : stratégie, projets, maîtrise d ouvrage (USPMO) www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Urbanisme : stratégie, projets, maîtrise d ouvrage (USPMO) Former des urbanistes Le master Urbanisme : stratégie, projets, maîtrise d ouvrage (USPMO) s appuie sur

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

Appel à projets. Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne

Appel à projets. Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne Appel à projets Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne Date limite : mercredi 25 février 2015 à 12h 1. Contexte La loi de programmation pour la ville et la cohésion urbaine

Plus en détail

Expert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc

Expert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société

Plus en détail

Le Développement Professionnel Continu

Le Développement Professionnel Continu Le Développement Professionnel Continu des médecins, pharmaciens et odontologistes au CHRU de Montpellier De quoi s agit-il? Le Développement Professionnel Continu (DPC) réunit dans un concept commun la

Plus en détail

PROCEDURES DE CONTROLE INTERNE RAPPORT CONTROLE INTERNE. Enjeux du Contrôle interne au sein du Groupe Cegedim

PROCEDURES DE CONTROLE INTERNE RAPPORT CONTROLE INTERNE. Enjeux du Contrôle interne au sein du Groupe Cegedim RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION SUR LES CONDITIONS DE PRÉPARATION ET D ORGANISATION DES TRAVAUX DU CONSEIL AINSI QUE SUR LES PROCÉDURES DE CONTRÔLE INTERNE MISES EN PLACE PAR LA SOCIÉTÉ

Plus en détail

Certification des Etablissements de Santé en France

Certification des Etablissements de Santé en France Certification des Etablissements de Santé en France Pouvait-on faire sans elle en France? Peut-elle faire mieux? Les enjeux et les perspectives de la procédure 2014 Plan de l intervention 1. Partie 1 :

Plus en détail

SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ

SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ Manuel Qualité 5 place du Rosoir 21000 DIJON Tél. : 03.80.59.65.20 Fax : 03.80.53.09.50 Mèl : contact@bfc.experts-comptables.fr www.bfc.experts-comptables.fr SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE

Plus en détail

Axes de travail et plan d action 2015

Axes de travail et plan d action 2015 19 novembre 2014 Axes de travail et plan d action 2015 SOMMAIRE Introduction... 3 Partager l information sur les métiers, l emploi et la formation professionnelle en LR ; être plus utile et plus accessible...

Plus en détail

Projet de communication

Projet de communication PROJET D'ETABLISSEMENT 2012 / 2016 - TOME 6 - Projet de communication 1 Sommaire INTRODUCTION... 4 RECAPITULATIF DES FICHES ACTIONS... 5 Communication Interne... 6 FICHE N COM INT 01 A... 7 Communication

Plus en détail

N O R D - P A S D E C A L A I S

N O R D - P A S D E C A L A I S NORD-PAS DE CALAIS NORD-PAS DE CALAIS Ensemble pour une éco-rénovation responsable de notre habitat Avant-propos Dans une région où le poids du parc de logements anciens publics et privés prédomine, l

Plus en détail

L appel d offres «Equipes labellisées FRM 2016 présélection 2015» sera diffusé en avril 2015. Critères généraux concernant les aides individuelles

L appel d offres «Equipes labellisées FRM 2016 présélection 2015» sera diffusé en avril 2015. Critères généraux concernant les aides individuelles PROGRAMME 2015 ESPOIRS DE LA RECHERCHE Le programme Espoirs de la recherche de la Fondation pour la Recherche Médicale soutient des projets de recherche dans tous les domaines de la biologie et de la santé.

Plus en détail

Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication

Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication A. Contexte La Conférence des Ministres de l Éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) est une organisation

Plus en détail

Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences

Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences Réunion 3 11 décembre 2013 Ivry-sur-Seine Fiche synthèse Réunion 3 Emploi, formation, compétences Groupe animé par Patrick Loire, directeur des relations

Plus en détail

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Plus en détail

Communication Opérationnelle Franchises et Réseaux

Communication Opérationnelle Franchises et Réseaux Communication Opérationnelle Franchises et Réseaux Matérialiser votre concept CONSTRUCTION DE L IMAGE ET DE LA COMMUNICATION Traduire votre concept en véritable projet d entreprise >> Confirmer votre offre

Plus en détail

son offre Executive Education

son offre Executive Education Destinée aux cadres supérieurs, dirigeants d entreprises et entrepreneurs menée en partenariat avec CentraleSupélecParis Lancée en Octobre 2015 Casablanca, le 2 juin 2015 L Ecole Centrale Casablanca annonce

Plus en détail

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF 10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX

Plus en détail

Création d'un Portail partagé sur l'offre de formation en région Languedoc-Roussillon

Création d'un Portail partagé sur l'offre de formation en région Languedoc-Roussillon Création d'un Portail partagé sur l'offre de formation en région Languedoc-Roussillon Retours des entretiens téléphoniques 1. Présentation du contexte : Atout Métiers LR Offre de formation L association

Plus en détail

Agence Leitmotiv - Tous droits réservés. Etude de plan marketing RH

Agence Leitmotiv - Tous droits réservés. Etude de plan marketing RH Etude de plan marketing RH Contexte La société xxx souhaite mettre en place un plan de marketing RH avec pour objectifs : - une meilleure communication interne pour expliquer et aider les salariés à vivre

Plus en détail

L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU

L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU Michèle WOLF, MCU-PH, Direction de la qualité, de la coordination des risques et des relations avec les usagers,

Plus en détail

Pégase Envol Contrat de Croissance

Pégase Envol Contrat de Croissance Pégase Envol Contrat de Croissance Le contrat de croissance Pégase Envol Un accompagnement à la croissance et à la résilience des entreprises. Un guichet unique pour le manager de l entreprise Un projet

Plus en détail

CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE

CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L ASSOCIATION DES MAIRES DE FRANCE ET RTE Entre L Association des Maires de France, sise 41 quai d Orsay, 75343 Paris cedex

Plus en détail

Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015

Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places

Plus en détail

INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence

INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence Centre Hospitalier Universitaire Groupe Hospitalo-Universitaire Carémeau Place du Professeur R. Debré - 30009 Nîmes cedex 9-04 66 68 68 68 www.chu-nimes.fr INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des

Plus en détail

Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.

Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.

Plus en détail

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre

Plus en détail

Guide d'auto-évaluation des établissements d'enseignement supérieur

Guide d'auto-évaluation des établissements d'enseignement supérieur Guide d'auto-évaluation des établissements d'enseignement supérieur avril 2008 Les références européennes pour l auto-évaluation 1 Le processus de Bologne qui vise à créer un espace européen d enseignement

Plus en détail

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble

Plus en détail

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION

Plus en détail

CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD

CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE

Plus en détail

Gestion budgétaire et financière

Gestion budgétaire et financière Élaboration et suivi de la programmation budgétaire Exécution budgétaire et comptable Aide au pilotage et contrôle financier externe Expertise financière et juridique Ministère de la Culture et de la Communication

Plus en détail

L indispensable alignement technique et organisationnel sur la stratégie de l entreprise

L indispensable alignement technique et organisationnel sur la stratégie de l entreprise L indispensable alignement technique et organisationnel sur la stratégie de l entreprise François GUERDER Responsable pôle technique Hôpitaux Universitaires de Strasbourg V3 Alignement stratégique? Dépense

Plus en détail

PROCEDURE ENREGISTREMENT

PROCEDURE ENREGISTREMENT Page 1 sur 7 ANNULE ET REMPLACE LES DOCUMENTS SUIVANTS référence 04/PR/001/02/V01 04/PR/001/02/V02 04/PR/001/02/V03 04/PR/001/02/V04 04/PR/001/02/V05 04/PR/001/02/V06 04/PR/001/02/V07 04/PR/001/02/V08

Plus en détail

La télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe. Un éclairage pour un déploiement national

La télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe. Un éclairage pour un déploiement national La télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe Un éclairage pour un déploiement national Journée Télémédecine ASIP Santé 3 mai 2012 Pascale MARTIN - ANAP Agence Nationale d Appui à la Performance

Plus en détail

L approche Casino en matière de développement durable?

L approche Casino en matière de développement durable? L approche Casino en matière de développement durable? 1 Les principaux enjeux pour Casino Optimiser la conception et la gestion des magasins (énergie, paysage, ) Environnement Maîtriser les impacts du

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,

Plus en détail

Elaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015

Elaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015 Ville de Grenoble STRATÉGIE PATRIMONIALE DE MISE EN ACCESSIBILITÉ DES ERP Elaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015 Ville de Grenoble COTITA 30-01-15-1 Contexte La Ville de Grenoble : 300 équipements

Plus en détail

blgpec : Où en est mon établissement? Sommaire :

blgpec : Où en est mon établissement? Sommaire : 2 Sommaire : INTRODUCTION / PRESENTATION La GPEC, pourquoi?... 3 La GPEC, c est quoi?... 4 La GPEC, comment?... 5 Les objectifs du guide... 6 Comment utiliser ce guide?... 7 LE GUIDE D AUTODIAGNOSTIC Projet

Plus en détail

UN NOUVEAU MODÈLE ÉCONOMIQUE. pour développer et pérenniser les centres de santé

UN NOUVEAU MODÈLE ÉCONOMIQUE. pour développer et pérenniser les centres de santé UN NOUVEAU MODÈLE ÉCONOMIQUE pour développer et pérenniser les centres de santé LES SOINS DE PREMIERS RECOURS CARACTÉRISTIQUES ET RÔLE DES CENTRES DE SANTÉ Les différentes formes d exercice médical regroupé

Plus en détail

L approche processus c est quoi?

L approche processus c est quoi? L approche processus c est quoi? D après FD X50-176 Management des processus (2005) AC X50-178 Management des processus, Bonnes pratiques et retours d expérience (2002) Introduction Termes et définitions

Plus en détail

MINISTERE DES SPORTS. La ministre des sports

MINISTERE DES SPORTS. La ministre des sports MINISTERE DES SPORTS Direction des sports Sous-direction de la vie fédérale et du sport de haut niveau Bureau du sport de haut niveau, des filières et des établissements nationaux Personne chargée du dossier

Plus en détail

Le nouveau programme national de renouvellement urbain. CRDSU septembre 2014

Le nouveau programme national de renouvellement urbain. CRDSU septembre 2014 Le nouveau programme national de renouvellement urbain CRDSU septembre 2014 Un nouveau programme de renouvellement urbain! Un projet à l échelle de l agglomération, un projet intégré : le contrat de ville!

Plus en détail

PRESENTATION DU LIVRE BLANC 2013 I TELEMEDECINE 2020

PRESENTATION DU LIVRE BLANC 2013 I TELEMEDECINE 2020 PRESENTATION DU LIVRE BLANC 2013 I TELEMEDECINE 2020 Modèles économiques pour le télésuivi des maladies chroniques Colloque Industries Numérique & Santé + Autonomie 5 juillet 2013 Introduction Jean-Bernard

Plus en détail

Qu est-ce que la Gestion des Ressources Humaines?

Qu est-ce que la Gestion des Ressources Humaines? Qu est-ce que la Gestion des Ressources Humaines? Chapitre 1 La gestion des ressources humaines (GRH) peut être définie comme la gestion des hommes au travail dans des organisations (Martory et Crozet,

Plus en détail

...... en quelques mots 1

...... en quelques mots 1 ... en quelques mots 1 Un nouveau Projet d'entreprise pourquoi faire? Le Projet d'entreprise 2006-2009 a porté l ambition de faire de l Assurance Maladie un assureur solidaire en santé reconnu en tant

Plus en détail

MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ

MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ _ Direction de la recherche, des études, de l évaluation et des statistiques _ Sous-direction observation de la santé et de l assurance maladie _ Bureau établissements

Plus en détail

2014-2018 CLINIQUE SAINT-JEAN DOC STRAT-PIL-15

2014-2018 CLINIQUE SAINT-JEAN DOC STRAT-PIL-15 2014-2018 CLINIQUE SAINT-JEAN DOC STRAT-PIL-15 [POLITIQUE QUALITE, GESTION DES RISQUES, SECURITE DES SOINS, ENVIRONNEMENT] 1 ENGAGEMENTS QUALITÉ, SÉCURITÉ, GESTION DES RISQUES ET ENVIRONNEMENT Depuis sa

Plus en détail

Sécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III

Sécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III Sécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III Depuis 2008, l Etablissement assure la mise en place du plateau collaboratif d échange Intranet/Internet

Plus en détail

Ensemble mobilisons nos énergies

Ensemble mobilisons nos énergies Ensemble mobilisons nos énergies «Lancé en Juin 2005, SIRIUS est désormais un projet au cœur de notre entreprise, au service des ambitions et des objectifs qui s inscrivent dans le cadre de notre stratégie

Plus en détail

Présentation du Programme PHARE

Présentation du Programme PHARE Présentation du Programme PHARE Le programme PHARE : des gains pour la qualité de l offre de soins Le contexte du programme PHARE Les achats hospitaliers représentent 18 Md, second poste de dépenses des

Plus en détail

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de

Plus en détail

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015

Plus en détail

Paiement en ligne des frais hospitaliers TIPI régies hospitalières

Paiement en ligne des frais hospitaliers TIPI régies hospitalières en ligne des frais s TIPI régies hospitalières 1. Guide d aide à la décision à destination des directions d établissements de santé publics La démarche proposée dans le présent document est pilotée au

Plus en détail

Comité national d évaluation du rsa Annexes

Comité national d évaluation du rsa Annexes Comité national d évaluation du rsa Annexes Annexe 11 La mise en place du Rsa dans les caisses d allocations familiales (*) Pauline Domingo, Stéphane Donné (Cnaf) Décembre 2011 Les documents d études sont

Plus en détail

Le patient traceur comme outil de développement de la culture qualitérisques-sécurité. CAPPS Bretagne Rennes 12 juin 2015

Le patient traceur comme outil de développement de la culture qualitérisques-sécurité. CAPPS Bretagne Rennes 12 juin 2015 Le patient traceur comme outil de développement de la culture qualitérisques-sécurité CAPPS Bretagne Rennes 12 juin 2015 Contexte HIA Clermont Tonnerre Hôpital de 200 lits, MCO adulte, psychiatrie et SSR,

Plus en détail

Responsable d agence

Responsable d agence Responsable d agence La filière certifications de l afpols l école L afpols conçoit et met en œuvre depuis plus de 20 ans des cycles de formations qualifiantes pour répondre aux besoins de professionnaliser

Plus en détail

Éditorial. des ministres

Éditorial. des ministres PROJET STRATÉGIQUE Éditorial des ministres Nous avons souhaité fin 2012 que la douane établisse un projet stratégique à horizon 2018 afin qu elle poursuive son processus d évolution... Les principaux secteurs

Plus en détail

Les Groupements de coopération

Les Groupements de coopération Les Groupements de coopération Intégrer les salariés dans la mise en œuvre des restructurations Une nécessité pour la CFDT Santé Sociaux MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ Audition du 7 septembre

Plus en détail

Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle

Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan

Plus en détail

COLLOQUE ARY BORDES. Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant. Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011

COLLOQUE ARY BORDES. Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant. Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011 COLLOQUE ARY BORDES Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011 Faculté des sciences infirmières Faculté des sciences infirmières

Plus en détail

MANUEL QUALITE ET GESTION DES RISQUES DU CHU

MANUEL QUALITE ET GESTION DES RISQUES DU CHU Version 1 Date de diffusion : 1 er avril 2015 Rédaction : Catherine RAYNAUD DQGRDU Ousmane TRAORE CGRAS MANUEL QUALITE ET GESTION DES RISQUES DU CHU Relecture : Conseil de cabinet 16/02/15 CCQSGR 19/02/15

Plus en détail

Statuts de la. Communauté d universités et établissements. Université Sorbonne Paris Cité

Statuts de la. Communauté d universités et établissements. Université Sorbonne Paris Cité Statuts de la Communauté d universités et établissements Université Sorbonne Paris Cité 1 / 22 L Université Sorbonne Paris Cité regroupe des établissements d enseignement supérieur et de recherche et des

Plus en détail

GROUPE DE TRAVAIL «CONDITIONS DE TRAVAIL DES ETUDIANTS, INTERNES ET ASSISTANTS» RAPPORT FINAL

GROUPE DE TRAVAIL «CONDITIONS DE TRAVAIL DES ETUDIANTS, INTERNES ET ASSISTANTS» RAPPORT FINAL MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE Direction générale de l offre de soins Sous direction des ressources humaines du système de santé (SDRH) GROUPE DE TRAVAIL «CONDITIONS DE TRAVAIL DES ETUDIANTS,

Plus en détail

COMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD

COMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD Pôle de compétitivité mondial Aéronautique, Espace, Systèmes embarqués COMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD Objet : Prestation d assistance dans le cadre de l action collective AEROLEAN K portée par le pôle de

Plus en détail

FMC, EPP et Accréditation : adieu! Bonjour le Développement Professionnel Continu

FMC, EPP et Accréditation : adieu! Bonjour le Développement Professionnel Continu FMC, EPP et Accréditation : adieu! Bonjour le Développement Professionnel Continu Bertrand Dureuil Pôle Réanimations R Anesthésie sie et SAMU CHU Rouen Fédération des Spécialit cialités s MédicalesM Absence

Plus en détail

La modernisation de la gestion publique au sein des EPSCP. Colloque des Agents Comptables. 05 juin 2015

La modernisation de la gestion publique au sein des EPSCP. Colloque des Agents Comptables. 05 juin 2015 La modernisation de la gestion publique au sein des Colloque des Agents Comptables 05 juin 2015 EPSCP Frédéric Dehan Directeur Général des Services Université de Strasbourg 1) Des éléments de contexte

Plus en détail

Campus Paris Saclay. Enquête sur les usages, transports, logements et services. L enquête en ligne. Les bonnes pratiques identifiées par le benchmark

Campus Paris Saclay. Enquête sur les usages, transports, logements et services. L enquête en ligne. Les bonnes pratiques identifiées par le benchmark Campus Paris Saclay L enquête en ligne Les déplacements : des spécificités par statut L équipement : un intérêt marqué pour les transports doux et les services pratiques Le logement : des attentes et des

Plus en détail

Proposition d un MODÈLE D ORGANISATION DE SERVICES

Proposition d un MODÈLE D ORGANISATION DE SERVICES Proposition d un MODÈLE D ORGANISATION DE SERVICES JUIN 2007 Nous tenons à remercier Madame Suzanne Nicolas, consultante en santé primaire et gestion, pour la consultation qu elle a effectué et le rapport

Plus en détail

Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE)

Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE) Point réglementation N 1 Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE) (anciennement TOS, exerçant dans les lycées et collèges) Mis à jour en septembre

Plus en détail