PLAN BLANC PARTICULARITES NRBC

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "PLAN BLANC PARTICULARITES NRBC"

Transcription

1 PLAN BLANC PARTICULARITES NRBC Cours IDE Région jeudi 25 juin 2015 Dr Eric CLEMENT SAMU 54 Mme BURTIN Christine

2 Menace NRBC-E??

3 LES RISQUES CHIMIQUE BIOLOGIQUE NUCLEAIRE ET RADIOLOGIQUE +/- CONTEXTE EXPLOSIF

4 C: CHIMIQUE INDUSTRIEL MILITAIRE TERRORISTE

5 ACCIDENTS INDUSTRIELS

6 BHOPAL 1984 Fuite 40 T dérivd rivés s cyanés intoxiqués 6500 morts à morts?

7 TOULOUSE 2001 Explosion usine AZF 2500 à 9000 blessés 30

8 TOXIQUES DE GUERRE

9 1ere guerre mondiale : attaque au Chlore, Phosgène et Ypérite : morts / intoxiqués

10 TERRORISME CHIMIQUE UN EXEMPLE VECU : ATTENTAT DE TOKYO 1995

11 METRO DE TOKYO 20 MARS Dispositifs artisanaux 19 stations impliquées simultanément ment

12 ENSEIGNEMENTS DE L ATTENTAT DE TOKYO 20 Mars 1995 Attentat dans 6 trains simultanément Dispositifs artisanaux Environ 5500 victimes Plus de 1000 hospitalisés 12 morts 132 secouristes contaminés

13 CHRONOLOGIE DE L ATTENTAT 8h16 : alerte : Diffusion de de gaz toxiques dans le métro 8h49 : premières victimes peu graves amenées par des taxis 9h04 : arrivée de la 1ère ambulance 640 victimes arrivent dans les 60 minutes suivantes!

14 LES POINTS FAIBLES 23 % du personnel des services d accueil intoxiqués par contamination secondaire aux vapeurs incapables de soigner les victimes les plus graves arrivées secondairement

15 Les Agents Chimiques Agents chimiques Léthaux Incapacitants, anti-émeute Produits industriels Agents militaires Agents suffocants Agents Toxiques cellulaires Agents vésicants Agents neurotoxiques Source : Dr Fuilla médecine de catastrophe 2010 Nancy

16 Voies de pénétration des toxiques PEAU Oeil Voies RESPIRATOIRES Tube digestif

17 Type de toxique Vésicants Principaux signes cliniques CLINIQUE Brûlures cutanés, troubles respiratoires et oculaires Neurotoxiques Sudation, troubles oculaires, musculaires respiratoires POUVOIR CONTAMINANT Important Moyen FORME D EMPLOI Liquide Vapeur Vapeur Liquide Suffocants OAP - Gaz Vapeur Cyanure Incapacitants psychiques Incapacitants physiques Troubles de conscience Troubles comportement et sensoriels Troubles respiratoires oculaires MODE PENETRATION Percutané Respiratoire Percutané Respiratoire Respiratoire - Gaz Respiratoire - Vapeur Liquide - Vapeur Aérosol Respiratoire Respiratoire percutané

18 ORGANISATION DES SECOURS Circulaire relative à la doctrine nationale d emploi des moyens de secours et de soins face à une action terroriste mettant en œuvre des matières chimiques n 700 /SGDN/PSE/PPS du 7 novembre 2008

19 Stratégie actuelle Sur le site le balisage des zones la protection des personnels, le tri la prévention d un transfert de contamination, la décontamination la mise en condition d un maximum de victimes, après décontamination le transport vers «un hôpital qui reste propre»

20 PRI Point de Regroupement des Impliqués IMPLIQUÉS CONTAMINÉS DÉCÉDÉS PRV VALIDES PRV INVALIDES Point de Regroupement des victimes valides Point de Regroupement des victimes invalides ZONE D EXCLUSION PRD Point de Regroupement des Décédés

21 Plan risque Chimique + Plan Orsec NOVI PRI PRV H Valides PRV F Valides PRV Invalides PMA PRE PRD

22 LES POINTS ESSENTIELS A L HOPITAL BOUCLAGE/SECURISATION HOPITAL PROTECTION DES INTERVENANTS ISOLEMENT DES VICTIMES DECONTAMINATION SOINS AUX VICTIMES

23 Sécurisation Hôpital

24 Protection du personnel Tenue de décontamination : - Gants butyle, sur bottes - Combinaison - Masque avec cartouche large spectre Cette tenue est obligatoire avant tout contact avec les patients

25 Masques à cartouches filtrantes (soignants)

26 PROTECTION CUTANEE TENUES INTERMEDIAIRES : T3P-TOM TENUES LEGERES (PVC) : TLD

27 La tenue T3P SAMU Procédures d habillage établies (ainsi que pour le déshabillage +++) Tenues de Protection à Port Permanent Mais non adaptées en zone de douche!!!

28 LA TLD Tenue Légère de Décontamination

29 CONTRAINTES LIEES A LA sudation intense ambiance humide et chaude de type tropicale impossibilité de boire contraintes psychologiques : confinement, claustrophobie, isolation phonique, réduction du champ visuel. TENUE

30

31 Isolement des victimes + Rassemblement en attendant la décontamination + Pour éviter la fuite et l extension de la contamination + Local vaste ou en plein air + Importance de l aération pour éviter une concentration de vapeur

32 ISOLEMENT DES VICTIMES

33 LES POINTS ESSENTIELS BOUCLAGE/SECURISATION HOPITAL PROTECTION DES INTERVENANTS ISOLEMENT DES VICTIMES DECONTAMINATION SOINS AUX VICTIMES

34 Mise en œuvre des moyens de décontamination fixes et/ou mobiles

35 Décontamination fixe

36 Zone de déshabillage

37 Zone de douche fixe

38 Zone de séchage /habillage

39 Décontamination mobile

40 La décontamination

41 Décontamination de masse

42 Décontamination : simple et efficace?

43 Après décontamination : zones de soins : idem plan blanc

44 B : BIOLOGIQUE ANTHRAX SRAS GRIPPES VARIOLE ETC.

45 LES AGENTS Bioterrorisme : Anthrax Variole Peste Botulisme Maladies émergentes SRAS, Coronavirus Grippes (H5N1 H1N1 H7N9 ) Fièvres hémorragiques Virales (Ebola )

46 La réalité du bioterrorisme Charbon 2002: 22 cas identifiés aux USA 11 charbon pulmonaire 5 décès 11 charbon cutané Mortalité 0% Contamination liée à courrier contaminé 30/09/01 : Homme de 63 ans ouvre une enveloppe contenant une poudre 2/10/01 : hospitalisé pour syndrome confusionnel fébrile 4/10/01 : B.Anthracis isolé dans le LCR 5/10/01 : décès

47 MOYENS DE PROTECTION Protection respiratoire Protection cutanée Le kit Masque FFP2 ou FFP3 Calots Lunettes de protection Sur chaussures Sur blouses 2 paires gants non stériles Mesures d isolement Précautions standards + air + contact

48 Menace de maladies émergentes SRAS : Syndrome respiratoire aigu sévère

49

50 HISTORIQUE 16 novembre 2002: 305 cas de pneumonie 21 février 2003: Cas index, hôtel Métropole 26 février: Début épidémie à l hôpital Français de Hanoi 12 mars: Alerte mondiale déclenchée par OMS 13 mars: Première alerte DGS 23 mars: Premier cas en France 16 avril: SARS-CoV «authentifié» 5 juillet 2004 : Fin officielle de l épidémie

51 Transmission du SRAS Facteur influençant la transmission La charge virale du patient La distance au patient index Conditions idéales Patient infecté excrétant de grandes quantités de virus Co-morbidité masquant le tableau initial Multiples contacts rapprochés avec procédures à risque (intubation, fibroscopie, nébulisation, ) Dynamique de l épidémie : 2.7 infections secondaires par cas au début de l épidémie

52 Transmission nosocomiale HK Soignants Patients Visiteurs Autres

53 HK au 8 Juin % Médecins Infirmières Autre soignants 17% n=379 55%

54 SRAS dans le monde : 8422 Cas, 916 Décès (11%) Canada (251) USA (29) Europe: 10 pays (33) A du Sud (1) Russie- Mongolie (10) Hong Kong (1755) Chine (5328) Taiwan (346) Asie autre (36) Vietnam (63) Singapour (238) Océanie (7)

55 MERS-CoV (coronavirus) 1321 cas 467 (35%) décès de sept 2012 au 16 juin 2015 Pneumopathies graves Transmission interhumaine Définitions de cas : Retour de péninsule arabique (Qatar, Jordanie, Arabie Saoudite ) dans les 14 j précédents dont cluster Corée du Sud (162 cas, 20 morts depuis 20 mai 2015) Sd respiratoire aigü (Temp > 38, toux, etc..) Isolement du patient (idem SRAS) Signalement InVS ARS

56 Grippe hiver Epidémie forte de grippe, dominée par le virus A(H3N2) - 9 semaines d épidémie - 2,9 millions de consultations pour syndrome grippal Impact important - Près de passages aux urgences hospitalisations cas graves de grippe admis en réanimation - Excès de décès toutes causes pendant l épidémie de grippe, concernant à 90% les sujets âgés de plus de 65 ans - Excès de décès également observé dans 13 des 15 pays participant à la surveillance européenne de la mortalité hivernale Poursuite de la baisse de la couverture vaccinale des populations à risque avec 53% de personnes à risque non vaccinées contre la grippe.

57

58 Sang Seringue Salive Vomissements Sperme Urines Sueur s Matières fécales Peau lésée Muqueuses La transmission du virus nécessite un contact physique rapproché avec une personne infectée présentant des symptômes ou un contact avec des surfaces souillées par les liquides biologiques de la personne (vomissements, linge par exemple)

59 678 cas dont 375 décès (mortalité 55%) (dont 58% de personnel du Liberia) Surtout contaminations en dehors des centres de traitement Ebola selon OMS

60 Source ECDC OMS

61 EBOLA = Fièvre Hémorragique Virale Forme sévère Contamination Incubation J 8 jours (2 à 0 21) Pas de symptômes Pas de symptômes = Pas de risque de contagion 1 ère Phase ~ 5 jours Fièvre brutale Fatigue Céphalées Douleurs diffuses Mal de gorge Conjonctivite Risque de contagion J 5 2 ème Phase ~ 2 jours J 8 J5-J6 Diarrhées Vomissements Eruption cutanée J6-J8 Défaillance multi viscérale Choc Hémorragies diffuses (gencives, tube digestif, points de ponction) Insuffisance rénale Encéphalopathie s (gencives, tube Décès (50%) ou Guérison

62 Protection du personnel Travail en binôme, notion «d ange gardien»

63 Transport du patient

64

65 N/R : NUCLEAIRE RADIOLOGIQUE

66 Nucléaire ou radiologique? NUCLEAIRE : met en jeu l énergie nucléaire (fission, fusion) ARME NUCLEAIRE (fission, fusion explosive.) REACTEUR NUCLEAIRE (production, recherche) fission contrôlée NB : médecine nucléaire (abus de langage car utilise la radioactivité)

67 Nucléaire ou radiologique? RADIOLOGIQUE : met en jeu des rayonnements ionisants (α, β, γ, X, neutrons) Toutes origines : Nucléaire Radioactives Générateurs électriques

68

69 ACCIDENTS NUCLÉAIRES OU RADIOLOGIQUES Impact de l évènement? Impact majeur radiologique 1985 : Accident de Goiânia : dispersion d une source de césium 137 de radiothérapie (vol dans une clinique désaffectée) 250 personnes contaminées 2O hospitalisés - 4 morts anthropogammamétries 3500 m3 de déchets radioactifs 1996 : Hôpital de San José au Costa Rica Erreur d étalonnage d une source de radiothérapie 70 victimes, (4 effets secondaires majeurs, 16 effets secondaires sévères) : Hôpital d Épinal Sur irradiation de plus de 5000 patients

70 ACCIDENTS NUCLÉAIRES OU RADIOLOGIQUES Impact de l évènement? Impact majeur nucléaire Tchernobyl 1986 : + 28 décès par irradiation aiguë liquidateurs (suivi médical?) + Dispersion massive de matières radioactives cancers de la thyroïde chez des moins de 18 ans Fukushima Daiichi (11 mars 2011) + Séisme + Tsunami + Dysfonctionnements du système de refroidissement + Explosions sur plusieurs réacteurs + Évacuation de personnes dans la zone 20 kms

71

72

73

74

75

76 ORGANISATION DES SECOURS Circulaire relative à la doctrine nationale d emploi des moyens de secours et de soins face à une action terroriste mettant en œuvre des matières radioactives Circulaire n 800 SGDN/PSE/PPS du 18 février 2011

77 Des grands principes..

78

79 Par contre un contaminé Contamine son entourage et les soignants. Donc protection des soignants Décontamination +++ Déshabillage et douche

80 La protection des intervenants Intervention en milieu radio contaminé : Équipes de secours protégées contre le risque de contamination externe et interne Protection des voies aériennes supérieures Protection cutanée Risque d irradiation associé : port d un dosimètre à lecture directe et seuil avec alarme sonore (débit de dose maxi de 2 msv/h) + cps d iodure de potassium (65 mg) (note DGS du 18 février 2013 pour 1ers intervenants SMUR)

81 Tenue complète NRBC (SMUR- pompiers) Tenue de protection à Port Permanant Tenue Légère de Décontamination

82 Accueil hospitalier d une victime radio contaminée (Ex de l hôpital militaire de Percy)

83 CONCLUSION : annexes NRBC Composante nouvelle Probabilité? Multi-sites? MAIS risque industriel et transports + (chimique) Risque biologique +++ (tous les jours) Risque NR : moins compliqué que chimique (si on le sait avant!)

84 Merci de votre attention (Bon appétit)

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France? 53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées

Plus en détail

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service

Plus en détail

Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable

Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau

Plus en détail

Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012

Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Faire avancer la sûreté nucléaire Jean-René Jourdain Paris, 28 février 2012 Comment évaluer les conséquences

Plus en détail

Plans de secours NOMBREUSES VICTIMES

Plans de secours NOMBREUSES VICTIMES Plans de secours NOMBREUSES VICTIMES Dispositions générales ORSEC Dr M.NAHON SAMU75 02/2013 Crises sanitaires, Accidents catastrophiques à effets limités (ACEL), Catastrophes Majeures 2 Crises sanitaires,

Plus en détail

Terrorisme nucléaire. Michel WAUTELET Université de Mons 6 août 2011

Terrorisme nucléaire. Michel WAUTELET Université de Mons 6 août 2011 Terrorisme nucléaire Michel WAUTELET Université de Mons 6 août 2011 Terrorisme nucléaire Menace ou risque? - Avril 2010, Washington: Barack Obama réunit un sommet de 47 pays sur le sujet - Terrorisme?

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES

MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Conduite à tenir pour la prise en charge des personnes présentant un syndrome ou une suspicion de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS)

Plus en détail

INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence

INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence Centre Hospitalier Universitaire Groupe Hospitalo-Universitaire Carémeau Place du Professeur R. Debré - 30009 Nîmes cedex 9-04 66 68 68 68 www.chu-nimes.fr INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des

Plus en détail

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte

Plus en détail

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?

Plus en détail

Gestion de la crise sanitaire grippe A

Gestion de la crise sanitaire grippe A Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe

Plus en détail

Présentation des règles et procédures. environnement nucléaire

Présentation des règles et procédures. environnement nucléaire Présentation des règles et procédures de travail en environnement nucléaire 1 Sommaire Les grandes lignes de la réglementation Le contrôle de l exposition aux rayonnements ionisants Les moyens de protection

Plus en détail

Parcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ De Homer à oppenheimer

Parcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ De Homer à oppenheimer Complétez le schéma de gestion des déchets nucléaires en vous aidant du panneau, les surfaces des cercles sont proportionnelles à leur importance Parcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ

Plus en détail

Comment ça va? Quand ça ne va pas. 4 comment ça va?

Comment ça va? Quand ça ne va pas. 4 comment ça va? Comment ça va? 1 Voici quatre dialogues. Dites à quelle situation de communication correspond chacun d eux. Situation a) : consultation chez un médecin. Situation b) : salutations dans la rue, par simple

Plus en détail

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins

Plus en détail

L IRSN VOUS OUVRE TOUTES SES PORTES

L IRSN VOUS OUVRE TOUTES SES PORTES Dans le cadre des Journées Européennes du Patrimoine L IRSN VOUS OUVRE TOUTES SES PORTES SAMEDI 15 SEPTEMBRE 2012 ENTRÉE LIBRE DE 10H30 À 17H SUR PRÉSENTATION D UNE CARTE D IDENTITÉ 31, AVENUE DE LA DIVISION

Plus en détail

APPAREIL DE PROTECTION RESPIRATOIRE NBC M 95 DE SCOTT POUR LES FORCES DE DEFENSE ET DE SECURITE

APPAREIL DE PROTECTION RESPIRATOIRE NBC M 95 DE SCOTT POUR LES FORCES DE DEFENSE ET DE SECURITE APPAREIL DE PROTECTION RESPIRATOIRE NBC M 95 DE SCOTT POUR LES FORCES DE DEFENSE ET DE SECURITE FACE AU DANGER APPAREIL DE PROTECTION RESPIRATOIRE NBC M 95 LE MASQUE M 95 DE SCOTT SURPASSE LES NORMES DE

Plus en détail

Gestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015

Gestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:

Plus en détail

Evaluation des risques professionnels dans les établissements de santé (dr.l.sctrick)

Evaluation des risques professionnels dans les établissements de santé (dr.l.sctrick) Evaluation des risques professionnels dans les établissements de santé (dr.l.sctrick) Le danger : propriété ou capacité intrinsèque d un équipement, d une substance, d une méthode de travail, de causer

Plus en détail

Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier

Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Sophie FOUCAULT, IDE Hygiéniste, FFC Service ECLIN P.MIR, C.JACOB, Praticiens de Santé au Travail R.HUE, Praticien Hygiéniste, Service

Plus en détail

Solvants au Travail. Guide pour travailler en sécurité avec les solvants.

Solvants au Travail. Guide pour travailler en sécurité avec les solvants. Solvants au Travail Guide pour travailler en sécurité avec les solvants. Qu est-ce qu un solvant? De nombreux produits chimiques utilisés pour dissoudre ou diluer d autres produits ou matériaux sont appelés

Plus en détail

POURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS

POURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS

Plus en détail

STOP à la Transmission des microorganismes!

STOP à la Transmission des microorganismes! STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions

Plus en détail

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...

Plus en détail

Convention d assistance 921.147. FORMULE 2 Véhicule de collection Sans franchise kilométrique

Convention d assistance 921.147. FORMULE 2 Véhicule de collection Sans franchise kilométrique Convention d assistance 921.147 FORMULE 2 Véhicule de collection Sans franchise kilométrique Les prestations de la convention d'assistance souscrite par TEA CEREDE auprès de Fragonard Assurances (Société

Plus en détail

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire

Plus en détail

ORGANISATION DES SOINS EN SITUATION DE PANDEMIE GRIPPALE

ORGANISATION DES SOINS EN SITUATION DE PANDEMIE GRIPPALE Ministère de la Santé et des Solidarités Direction de l Hospitalisation et de l Organisation des Soins ORGANISATION DES SOINS EN SITUATION DE PANDEMIE GRIPPALE > FICHES DE RECOMMANDATIONS 1 re édition

Plus en détail

Ken Bell s Sommaire des Abréviations

Ken Bell s Sommaire des Abréviations Ken Bell s Sommaire des Abréviations AUG: CSAM: DSA: PUI: RCP: RIA: SCR: Arrêt Urgence Général CERN Safety Alarm Monitoring Défibrillateur Semi-Automatique Plan Urgence D Intervention Réanimation Cardio-Pulmonaire

Plus en détail

Conférence Enjeux énergétiques et Développement durable (3.12.14)

Conférence Enjeux énergétiques et Développement durable (3.12.14) Conférence Enjeux énergétiques et Développement durable (3.12.14) La conférence Enjeux énergétiques et Développement durable est organisée et réalisée par Junium Diffusion. Elle s articule en 3 parties

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

LA PERTE DE CONSCIENCE

LA PERTE DE CONSCIENCE CES QUELQUES NOTIONS PEUVENT SAUVER DES VIES. PENSEZ Y SV D URGENCES Pompiers et service médical urgent : 100 Police : 101 L'HEMORRAGIE Comment reconnaître une hémorragie? Le sang s'écoule abondamment

Plus en détail

BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA

BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA INSTRUCTIONS À L ATTENTION DE L ANIMATEUR La boite à images pour la prévention de la FHVE (La Fièvre Ebola est une maladie épidémique, contagieuse

Plus en détail

PROTECTION EN CAS D URGENCE DANS L ENVIRONNEMENT DE LA CENTRALE NUCLEAIRE DE CATTENOM

PROTECTION EN CAS D URGENCE DANS L ENVIRONNEMENT DE LA CENTRALE NUCLEAIRE DE CATTENOM PROTECTION EN CAS D URGENCE DANS L ENVIRONNEMENT DE LA CENTRALE NUCLEAIRE DE CATTENOM Informations pour la population de Rhénanie-Palatinat Editeur: Aufsichts- und Dienstleistungsdirektion Willy- Brandt-

Plus en détail

MERCI DE RETOURNER LE BON DE PRISE EN CHARGE ET/OU LA FICHE RÉCAPITULATIVE DANS L ENVELOPPE T

MERCI DE RETOURNER LE BON DE PRISE EN CHARGE ET/OU LA FICHE RÉCAPITULATIVE DANS L ENVELOPPE T À l attention du bénéficiaire : BILAN SANTÉ RETRAITE AUTO-QUESTIONNAIRE Ce questionnaire servira de fil conducteur à la consultation avec votre médecin traitant. À l issue de l entretien, vous pouvez soit

Plus en détail

Guide d aide à l organisation de l offre de soins en situations sanitaires exceptionnelles

Guide d aide à l organisation de l offre de soins en situations sanitaires exceptionnelles Guide d aide à l organisation de l offre de soins en situations sanitaires exceptionnelles 2014 Page 1 sur 47 Page 2 sur 47 SOMMAIRE I. Présentation du Guide... 5 II. Principes de l organisation de l offre

Plus en détail

Vaccinations pour les professionnels : actualités

Vaccinations pour les professionnels : actualités Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???

Plus en détail

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant

Plus en détail

Fiche de données de sécurité

Fiche de données de sécurité Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION

Plus en détail

EBOLA - épidémie 2014 - Transport en ambulance d'un cas suspect

EBOLA - épidémie 2014 - Transport en ambulance d'un cas suspect Virus Ebola Transmission : de personne à personne lors de contact avec liquides biologiques du malade (sang, excréments, vomissures, urine, salive, sperme). Incubation : de quatre à dix jours, au max 21

Plus en détail

Les leçons tirées de l accident de Fukushima feront éventuellement l objet d une version révisée dans le futur. H. Métivier SFRP

Les leçons tirées de l accident de Fukushima feront éventuellement l objet d une version révisée dans le futur. H. Métivier SFRP Revue des livres Radiation Protection and Safety of Radiation Sources: International Basic safety Standards, Interim edition, ISBN 978-92-0-120910-8, IAEA, Vienne 2011, 65. Elles étaient attendues, voici

Plus en détail

Le Don de Moelle Ça fait pas d mal!

Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis

Plus en détail

Pandémie : pas de fermetures de classes Évaluation de la situation au 13 novembre 2009

Pandémie : pas de fermetures de classes Évaluation de la situation au 13 novembre 2009 Erziehungsdirektion des Kantons Bern Direction de l'instruction publique du canton de Berne Amt für Kindergarten, Volksschule und Beratung Office de l'enseignement préscolaire et obligatoire, du conseil

Plus en détail

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion

Plus en détail

Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA

Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Réunion Icône 2015 STRASBOURG Laurence Boyer - PH -SMIT- CHU Nancy Contexte Plan VIH/Sida/IST- 2010/14: Augmenter le dépistage:

Plus en détail

Conséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection

Conséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection Conséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection 9 juin 2010 / UIC Paris Présenté par E. COGEZ, IRSN Contexte

Plus en détail

Book de formation. Assurance voyage et services aux voyageurs. Document interne strictement personnel et confidentiel. Destiné aux collaborateurs FRAM

Book de formation. Assurance voyage et services aux voyageurs. Document interne strictement personnel et confidentiel. Destiné aux collaborateurs FRAM Book de formation Assurance voyage et services aux voyageurs Document interne strictement personnel et confidentiel. Destiné aux collaborateurs FRAM Dernière mise à jour le 30/03/2009 Contacts utiles Service

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

BRICOLAGE. Les précautions à prendre

BRICOLAGE. Les précautions à prendre BRICOLAGE Les précautions à prendre Chaque année, près de 300 000 personnes arrivent aux Urgences à la suite d un accident de bricolage et/ou de jardinage. Respecter quelques règles simples de prévention

Plus en détail

Prévenir... les accidents des yeux

Prévenir... les accidents des yeux Prévenir... les accidents des yeux 19 Ce qui peut venir troubler notre vision Chaque année, des milliers de personnes perdent la vue ou ont une importante baisse de la vision, à la suite d un accident

Plus en détail

Ce document est destiné à vous permettre de découvrir l offre de formation du Centre d enseignement des soins d urgence du Bas-Rhin (CESU 67).

Ce document est destiné à vous permettre de découvrir l offre de formation du Centre d enseignement des soins d urgence du Bas-Rhin (CESU 67). Cher Client, Ce document est destiné à vous permettre de découvrir l offre de formation du Centre d enseignement des soins d urgence du Bas-Rhin (CESU 67). Rattaché au pôle d anesthésie réanimations chirurgicales

Plus en détail

BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents

BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation

Plus en détail

Centres d Urgence et. Stephane Delaporte Global Account Director Alcatel-Lucent Enterprise

Centres d Urgence et. Stephane Delaporte Global Account Director Alcatel-Lucent Enterprise Centres d Urgence et Sécurité Publique Stephane Delaporte Global Account Director Alcatel-Lucent Enterprise Agenda 1.Alcatel-Lucent & Sécurité Publique 2.Ecosystème 112/911 Integré 3.Approche112/911 Personnalisée

Plus en détail

Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola

Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Août 2014 l enfance aux enfants Organisation mondiale de la Santé 2014 Tous droits réservés. Les appellations employées dans la présente

Plus en détail

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on

Plus en détail

Nucléaire : l électricité ou la bombe? Les liens entre nucléaire civil et nucléaire militaire

Nucléaire : l électricité ou la bombe? Les liens entre nucléaire civil et nucléaire militaire Nucléaire : l électricité ou la bombe? Les liens entre nucléaire civil et nucléaire militaire La prolifération mondiale s aggrave, la paix dans le monde se fragilise En 2007, constat alarmant de l association

Plus en détail

FICHE DE DONNÉES DE SECURITÉ Demand CS

FICHE DE DONNÉES DE SECURITÉ Demand CS 01. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIÉTÉ Nom commercial Code produit Usage envisagé LAMB97201 A UTILISER COMME INSECTICIDE UNIQUEMENT Le produit doit être utilisé conformément à l'étiquette Apparence

Plus en détail

Qu est-ce que la peste?

Qu est-ce que la peste? Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Santé publique Qu est-ce que la peste? État : 1 juin 2008 Réponses aux questions fréquemment posées concernant

Plus en détail

La Commission. canadienne de sûreté nucléaire Présentation à la Conférence nationale sur l assurance au Canada. suretenucleaire.gc.

La Commission. canadienne de sûreté nucléaire Présentation à la Conférence nationale sur l assurance au Canada. suretenucleaire.gc. La Commission Terry Jamieson Vice-président, Direction générale du soutien technique Commission canadienne de sûreté nucléaire Le 23 septembre 2014 canadienne de sûreté nucléaire Présentation à la Conférence

Plus en détail

La vaccination, une bonne protection

La vaccination, une bonne protection Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie

Plus en détail

CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES

CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES Compétence du socle : Compétence 6 : Les compétences sociales et civiques. Contribution attendue : Utiliser un produit chimique

Plus en détail

Insuffisance cardiaque

Insuffisance cardiaque Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles

Plus en détail

FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC

FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC 1/5 FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC Identification de la préparation 1. Identification de la préparation de l entreprise Nom commercial: FUMESAAT 500 SC Identification Produit : éthofumésate 500 SC Substance

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

SYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 -

SYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 - SYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 - OBJECTIF DE L ETUDE L objectif de cette étude est de répertorier tous les risques professionnels dans un pressing (base de l évaluation des

Plus en détail

20 ans après l accident nucléaire de Tchernobyl: Les conséquences en Suisse

20 ans après l accident nucléaire de Tchernobyl: Les conséquences en Suisse 20 ans après l accident nucléaire de Tchernobyl: Les conséquences en 1. L accident Il y a 20 ans, le 26 avril 1986 à 01h24 heure locale, se produisait l accident le plus grave jamais survenu dans une installation

Plus en détail

Questionnaire santé et soins médicaux pour les moins de 16 ans

Questionnaire santé et soins médicaux pour les moins de 16 ans _0_ An Vag Enq N adresse N individuel... Prénom Année de naissance (réservé enquêteur) Questionnaire santé et soins médicaux pour les moins de 6 ans Enquête sur la Santé et la Protection Sociale 00 Prénom

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

Extension de garantie Assistance

Extension de garantie Assistance 1 Afin de vous garantir les meilleures conditions de service, une société indépendante et spécialisée gère les prestations d assistance : Mutuaide 8-14 avenue des Frères lumière 94366 Bry-sur-Marne cedex

Plus en détail

Infection par le VIH/sida et travail

Infection par le VIH/sida et travail Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage

Plus en détail

COLLABORATEURS CLINIQUES

COLLABORATEURS CLINIQUES CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE QUÉBEC CONCEPTION Véronique Roberge, Infirmière clinicienne COLLABORATEURS CLINIQUES Céline Bergeron, Infirmière clinicienne spécialisée Sylvie Côté, Assistante infirmière

Plus en détail

Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu

Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière

Plus en détail

RETOUR D EXPERIENCE. Exercice Départemental DAREGAL 2012 Milly la forêt DESCRIPTION DE L EXERCICE

RETOUR D EXPERIENCE. Exercice Départemental DAREGAL 2012 Milly la forêt DESCRIPTION DE L EXERCICE Exercice Départemental DAREGAL 22 - SAP - RETEX EXER DESCRIPTION DE L EXERCICE HISTORIQUE Date : 20 janvier 22 Heure de début: 14h00 Heure de fin : 16h30 LIEU Adresse : D 948, OBJECTIFS DE L EXERCICE Pour

Plus en détail

L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU

L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU Michèle WOLF, MCU-PH, Direction de la qualité, de la coordination des risques et des relations avec les usagers,

Plus en détail

Production mondiale d énergie

Production mondiale d énergie Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum

Plus en détail

Institution de Prévoyance, concilier intérêt des assurés et appétit au risque grâce à la réassurance

Institution de Prévoyance, concilier intérêt des assurés et appétit au risque grâce à la réassurance Institution de Prévoyance, concilier intérêt des assurés et appétit au risque grâce à la réassurance Le 22 mai 2013 Charles Henry du Repaire Marc Berger Franck Pinette La protection sociale de la presse,

Plus en détail

évaluation des risques professionnels

évaluation des risques professionnels évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire

Plus en détail

L entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?

L entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel? L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.

Plus en détail

OSIRIS GRIPPE A H1N1

OSIRIS GRIPPE A H1N1 REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE État-major opérationnel OSIRIS OSIRIS INFORMATION ÉTAT-MAJOR OPÉRATIONNEL POLICE Genève, le 13 mai 2009 Rapport mensuel Avis de précaution Message urgent GRIPPE A H1N1 Recommandations

Plus en détail

Fiche de données de Sécurité

Fiche de données de Sécurité Page: 1/6 ETIQUETTE DU PRODUIT ETIQUETAGE (d'usage ou CE): Concerné Phrases de risque : Conseils de prudence : F+ Extrêmement inflammable R-12 Extrêmement inflammable. S-2 Conserver hors de la portée des

Plus en détail

Les Arbres décisionnels

Les Arbres décisionnels Les Arbres décisionnels Les aides à la décision plainte-traitement (ou arbres décisionnels ) sont tirés de travaux effectués dans le cadre de l Organisation Mondiale de la Santé. Ils sont destinés à soutenir

Plus en détail

PROJET PEDAGOGIQUE Formation conduisant au

PROJET PEDAGOGIQUE Formation conduisant au INSTITUT DE FORMATION FILIERE AMBULANCIER PROJET PEDAGOGIQUE Formation conduisant au DIPLOME D ETAT D AMBULANCIER Juin à Novembre 2013 Directrice, Cadre supérieur de Santé : Agnès MISSAULT Infirmières

Plus en détail

RECOMMANDATIONS OFFICIELLES - DEFIBRILLATEURS AUTOMATISES EXTERNES

RECOMMANDATIONS OFFICIELLES - DEFIBRILLATEURS AUTOMATISES EXTERNES RECOMMANDATIONS OFFICIELLES - DEFIBRILLATEURS AUTOMATISES EXTERNES SOMMAIRE : Définitions DAE / DSA / DEA. Les accessoires recommandés. Notion de système d information pour les secours spécialisés. Les

Plus en détail

ACCIDENT TECHNOLOGIQUE

ACCIDENT TECHNOLOGIQUE EXERCICE ACCIDENT TECHNOLOGIQUE EN ZONE INDUSTRIELLE SUD À CHALON-SUR-SAONE RISQUE CHIMIQUE ET TOXIQUE le 14 novembre 2012 DOSSIER DE PRESSE SOMMAIRE 1 - Communiqué de presse 2 - Description de l'évènement

Plus en détail

1. LES ESTIMATIONS DE COÛTS DOIVENT ÊTRE EXHAUSTIVES ET FOURNISSENT AINSI UNE VUE D ENSEMBLE

1. LES ESTIMATIONS DE COÛTS DOIVENT ÊTRE EXHAUSTIVES ET FOURNISSENT AINSI UNE VUE D ENSEMBLE Les rejets radiologiques massifs diffèrent profondément des rejets contrôlés Ludivine Pascucci-Cahen, Momal Patrick Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN), 31 av. Division Leclerc, 92260

Plus en détail

2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques

2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques 2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques Les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès au Canada. Bien que leur incidence ait diminué au cours des dernières

Plus en détail

Intoxications collectives en entreprise après incendies de locaux Proposition d une conduite à tenir

Intoxications collectives en entreprise après incendies de locaux Proposition d une conduite à tenir Intoxications collectives en entreprise après incendies de locaux Proposition d une conduite à tenir Dr Fariborz Livardjani Samu de l'environnement (Strasbourg) Dr Véronique Robe AIMT du Bas -Rhin Mai

Plus en détail

Protégeons-nous ensemble!

Protégeons-nous ensemble! Grippe saisonnière. Protégeons-nous ensemble! Informations importantes pour vous et votre famille. www.sevaccinercontrelagrippe.ch www.ofsp.admin.ch B C Qu est-ce que la grippe saisonnière et quels en

Plus en détail

BDL2, BDL3 Enviro Liner Part A. Dominion Sure Seal FICHE SIGNALÉTIQUE. % (p/p) Numéro CAS. TLV de l' ACGIH 28182-81-2 70-100 Non disponible

BDL2, BDL3 Enviro Liner Part A. Dominion Sure Seal FICHE SIGNALÉTIQUE. % (p/p) Numéro CAS. TLV de l' ACGIH 28182-81-2 70-100 Non disponible FICHE SIGNALÉTIQUE 1. PRODUIT CHIMIQUE ET IDENTIFICATION DE L'ENTREPRISE Adresse du fournisseur/distributeur : Dominion Sure Seal Group of Companies 6175, chemin Danville, Mississauga (Ontario) Canada,

Plus en détail

Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique

Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Une hépatite est une inflammation du foie causée soit par des substances toxiques (médicaments,

Plus en détail

Accidents nucléaires De Three Mile Island à Fukushima

Accidents nucléaires De Three Mile Island à Fukushima FORMATION CONTINUE DES ENSEIGNANTS EN GÉOGRAPHIE DU CYCLE D'ORIENTATION SUR LA THÉMATIQUE DU NUCLÉAIRE Accidents nucléaires De Three Mile Island à Fukushima Walter Wildi FACULTE DES SCIENCES, UNVERSITE

Plus en détail

Formation obligatoire d adaptation à l emploi

Formation obligatoire d adaptation à l emploi Cycle de formation Praxis Conforme à l arrêté du 16 juillet 2009 Formation obligatoire d adaptation à l emploi Agent de service mortuaire Madame, Monsieur, Depuis l arrêté du 16 juillet 2009 relatif à

Plus en détail

André Perny. Chef d exploitation Ambulancier diplômé ES Ambulance Région Bienne SA. Instructeur Sim Code P Instructeur cours EFÜ2 / ELG

André Perny. Chef d exploitation Ambulancier diplômé ES Ambulance Région Bienne SA. Instructeur Sim Code P Instructeur cours EFÜ2 / ELG André Perny Chef d exploitation Ambulancier diplômé ES Ambulance Région Bienne SA Instructeur Sim Code P Instructeur cours EFÜ2 / ELG FFG: fête fédérale de gymnastique Bienne Incendies et accidents de

Plus en détail

Fiche de données de sécurité

Fiche de données de sécurité Produit TRANSOIL 140 Page 1/6 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Non concerné 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA

Plus en détail

LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE

LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE Tous les jours, des milliers de Néo-Brunswickois travaillent près de produits chimiques dangereux. Même si

Plus en détail

Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur

Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)

Plus en détail

Gold Expat CFE. Nos points forts:

Gold Expat CFE. Nos points forts: Vous vivez ou partez vivre à l étranger? Une assurance expatriation est primordiale pour vous protéger vous et votre famille. Partez vivre à l étranger en toute confiance! Mondassur vous propose une assurance

Plus en détail

RESPONSABILITÉ INDEMNITAIRE

RESPONSABILITÉ INDEMNITAIRE RESPONSABILITÉ INDEMNITAIRE (CIVILE ET ADMINISTRATIVE) Pr Scolan Clinique de médecine légale RESPONSABILITÉ CIVILE Introduction Obligation de répondre devant la justice d un dommage et de le réparer Délictuelle

Plus en détail

Bio nettoyage au bloc opératoire

Bio nettoyage au bloc opératoire Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence

Plus en détail

Défibrillation et Grand Public. Méd-Cl JAN Didier Médecin chef Méd-Cne PIVERT Pascaline

Défibrillation et Grand Public. Méd-Cl JAN Didier Médecin chef Méd-Cne PIVERT Pascaline Défibrillation et Grand Public Méd-Cl JAN Didier Médecin chef Méd-Cne PIVERT Pascaline Quelques chiffres (1) 50 à 60 000 décès en France par mort subite dont la moitié font suite à l apparition d une tachycardie

Plus en détail