Protégeons ensemble l'air que nous respirons ETUDE DE LA QUALITE DE L'AIR EN PROXIMITE TRAFIC QUAI DES FONTAINES A VITRY-LE-FRANCOIS (51)

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1 Protégeons ensemble l'air que nous respirons ETUDE DE LA QUALITE DE L'AIR EN PROXIMITE TRAFIC QUAI DES FONTAINES A VITRY-LE-FRANCOIS (51) 7 Juin au 21 Juillet Novembre au 31 Décembre 21 Référence de l'étude : étude ES/PROX-VITRY-1/1-ED/EC SURVEILLANCE DE LA QUALITE DE L AIR EN CHAMPAGNE-ARDENNE MDA - 2 rue Léon PATOUX REIMS Cedex 2 Tél. +33 () Fax +33 () contact@atmo-ca.asso.fr - Website :

2 - Conditions de Diffusion : * Diffusion libre pour une réutilisation ultérieure des données dans les conditions ci-dessous: * Toute utilisation partielle ou totale de ce document devra porter la mention: "Source d'information ATMO CA- étude ES/PROX- VITRY-1/1-ED/EC". * Les données contenues dans ce document restent la propriété d'atmo Champagne-Ardenne. * ATMO Champagne-Ardenne n est en aucune façon responsable des interprétations, travaux intellectuels et publications diverses issus de ce document et pour lesquels elle n aurait pas donné d accord préalable. Personne en charge du dossier Service Technique Stéphane NOEL, Responsable technique Rédaction Eve CHRETIEN, Ingénieur d'études Vérification Emmanuelle DRAB, Directrice Approbation Emmanuelle DRAB, Directrice Rapport d'étude ES/PROX-VITRY-1/1-ED/EC

3 SOMMAIRE INTRODUCTION... 1 PRESENTATION DE L ETUDE... 2 I. POLLUANTS MESURES... 2 II. SITE DE MESURE... 3 RESULTATS DE L ETUDE... 6 I. CONDITIONS METEOROLOGIQUES... 6 II. EXPLOITATION DES RESULTATS... 7 II.1. DIOXYDE D AZOTE NO II.2. POUSSIERES FINES PM II.3. DIOXYDE DE SOUFRE SO II.4. MONOXYDE DE CARBONE CO II.5. BENZENE C 6 H CONCLUSION ANNEXE... 15

4 Introduction ATMO Champagne-Ardenne dispose en 21 sur la région de 11 stations fixes de fond, mesurant en continu les polluants réglementés en air ambiant, et permettant le suivi de l exposition moyenne de la population à la pollution atmosphérique sur les principales agglomérations de Champagne-Ardenne. Avec la parution le 21 mai 28 de la directive 28/5/CE, définissant les modalités de surveillance de la qualité de l air en Europe, l installation de stations en proximité trafic est devenue réglementaire en région. D autre part, la circulaire du 12 octobre 27 relative à l information du public sur les particules en suspension dans l air ambiant et l arrêté préfectoral 29-DIV-5-Qualité de l air du 12 janvier 29, intègrent la possibilité de prendre en compte les données issues de stations de proximité trafic en cas d épisode de pollution atmosphérique aux poussières. Dans ce contexte, ATMO Champagne-Ardenne a été sollicité par la ville de Vitry-le-François pour une évaluation de la qualité de l air à proximité du trafic en 21, afin de recueillir des informations sur les concentrations mesurées en situation d exposition maximale à la pollution automobile. Après une pré-évaluation des concentrations de dioxyde d azote, traceur de la pollution issue du trafic routier, menée en plusieurs endroits a priori les plus exposés de Vitry-le-François du 12 avril au 1 mai 21, le choix du site final pour accueillir l unité mobile s est dirigé vers le «Quai des Fontaines». Les mesures ont concerné des polluants émis en partie par le trafic routier : dioxyde d azote (NO 2 ), monoxyde de carbone (CO), poussières fines (PM 1 ), le dioxyde de soufre (SO 2 ), et le benzène (C 6 H 6 ). Afin de prendre en compte la variabilité des teneurs au cours de l année, l étude s est déroulée au cours de deux saisons différentes : - Période de mesures estivale : du 7 juin au 21 juillet 21, - Période de mesures hivernale : du 22 novembre au 31 décembre 21. Etude de la qualité de l air en proximité trafic «Quai des Fontaines» à Vitry le François (21) Page 1

5 Présentation de l étude I. Polluants mesurés Conformément aux exigences de la directive 28/5/CE du 21 mai 28 concernant la qualité de l air ambiant, une période minimale de 14 % de l année soit 8 semaines est requise pour l évaluation annuelle des teneurs de polluants par méthode indicative. Pour cette étude, les mesures se sont réalisées sur 6 semaines en été et 6 semaines en hiver. Des polluants réglementés émis en partie par le transport routier ont été suivis: le dioxyde d azote, le monoxyde de carbone, le benzène, le dioxyde de soufre, et les poussières fines. Le tableau 1 récapitule les différents polluants suivis dans le cadre de cette étude, et pour chacun d entre eux, la méthode de mesure et la durée de l échantillonnage. Les sources et les effets de ces polluants figurent en ANNEXE 1. Polluants Méthode de mesure Durée Oxydes d azote (NO 2 +NO) Norme NF EN de juillet 25 Mesure en continu Monoxyde de carbone (CO) Norme NF EN de juillet 25 Mesure en continu Dioxyde de soufre (SO 2 ) Norme NF EN de juillet 25 Mesure en continu Poussières fines dont le diamètre est inférieur à 1 µm (PM1) Méthode par microbalance TEOM Benzène (C 6 H 6 ) Norme NF EN de novembre 25 Mesure en continu 8 semaines d échantillonnage Tableau 1 : Récapitulatif des polluants mesurés NOx, CO, SO 2, PM 1 Ces polluants sont mesurés en continu à l aide d analyseurs installés dans l unité mobile de surveillance de la qualité de l air d ATMO Champagne- Ardenne. La mesure des PM1 du site a été incluse au dispositif d alerte conformément à l arrêté préfectoral 29-DIV-5-Qualité de l air du 12 janvier 29, relative à l information du public sur les particules en suspension dans l air ambiant en cas d épisode de pollution atmosphérique. Benzène Le benzène est prélevé par la technique de l échantillonnage passif, basée sur l adsorption du polluant sur la cartouche de prélèvement de charbon Tube passif dans sa boîte de protection pour prélèvement benzène graphité 4 TM. Les échantillonneurs passifs de type «Radiello» sont analysés par GC/FID après désorption thermique par le Laboratoire Interrégional du Grand Est. Etude de la qualité de l air en proximité trafic «Quai des Fontaines» à Vitry le François (21) Page 2

6 II. Site de mesure Pré-évaluation des concentrations de dioxyde d azote sur des axes fréquentés Afin de déterminer la future zone d installation de l unité mobile, une étude exploratoire portant sur le dioxyde d azote, traceur de la pollution d origine automobile, a été déployée du 12 avril au 1 mai 21, en plusieurs axes de circulation de la ville. La technique de prélèvement utilisée est la méthode de l échantillonnage passif : Le dioxyde d azote transite dans un tube cylindrique en plexiglas de longueur 7 cm et de diamètre 1 cm qui contient à une extrémité, fermée par une capsule en polyéthylène colorée (ne laissant pas passer la lumière), 2 grilles en acier inoxydable imprégnées d une solution de triéthanolamine absorbant le NO 2. L autre extrémité est obturée par une seconde capsule, transparente, qui est retirée lors de l installation sur site. A l issue du prélèvement, le capteur est ensuite analysé par spectrométrie au sein du laboratoire d ATMO Champagne- Ardenne. Tube passif dans sa boîte de protection Les moyennes de dioxyde d azote mesurées au cours de cette étude figurent sur la Figure 1, page suivante. Les concentrations les plus élevées ont été mesurées au niveau de l avenue de Gaulle, de la rue St-Abdon, et du Quai des Fontaines. En conclusion, les axes entourant le centre-ville au nord-ouest figurent parmi les sites les plus exposés, et par conséquent appropriés à une étude plus poussée à l aide d une unité mobile. Etude de la qualité de l air en proximité trafic «Quai des Fontaines» à Vitry le François (21) Page 3

7 Figure 1 : Résultats de l évaluation du dioxyde d azote du 12 avril au 1 mai 21 Etude de la qualité de l air en proximité trafic «Quai des Fontaines» à Vitry-le-François (21) Page 4

8 Localisation de l unité mobile Après repérage au cœur de la zone d étude, un site a été choisi le long du «Quai des Fontaines», et permettant d allier les objectifs de l étude et les contraintes techniques (électricité). Cet axe constitue une artère périphérique du centre-ville de Vitry-le-François, permettant la jonction entre la nationale 44 et la nationale 4 (Cf. Figure 2). L unité mobile est dans une zone de densité de population supérieure à 3 hab au km 2 (Cf. ANNEXE 2). Caractéristiques du site Le tableau 2 regroupe les principales caractéristiques ce boulevard. Aucun comptage n est disponible au niveau de l axe, mais un comptage de la N4 effectué en 24 révélait 1662 véhicules légers et 234 poids lourds. Figure 2 : Localisation du site de mesure Longueur de la rue (L) Largeur moyenne de l axe (l) 4m 2m Tableau 2 : Principales caractéristiques de l axe étudié Le «Quai des Fontaines» est une 2*2 voies séparées par une allée d arbres, d une largeur de 2 m environ. L axe de circulation est bordé d un côté de bâtiments de hauteur hétérogène, et de l autre côté d un parking de stationnement. Photo de l unité mobile installée «Quai des Fontaines» Page 5

9 Résultats de l étude I. Conditions météorologiques Du fait du rôle important des conditions atmosphériques sur la dispersion, l abattement et la réactivité chimique des polluants, différents paramètres ont été suivis au cours de la campagne de mesures. La figure 3 récapitule la température moyenne, la pluviométrie, et la rose des vents issues de la station Météo-France de Saint-Dizier. Température moyenne journalière du 7/6 au 21/7/1 Source Météo-France : Station Saint-Dizier Température moyenne journalière du 22/11/1 au 31/12/1 Source Météo-France : Station Saint-Dizier C C /11 23/11 24/11 25/11 26/11 27/11 28/11 29/11 3/11 1/12 2/12 3/12 4/12 5/12 6/12 7/12 8/12 9/12 1/12 11/12 12/12 13/12 14/12 15/12 16/12 17/12 18/12 19/12 2/12 21/12 22/12 23/12 24/12 25/12 26/12 27/12 28/12 29/12 3/12 31/12 7/6 8/6 9/6 1/6 11/6 12/6 13/6 14/6 15/6 16/6 17/6 18/6 19/6 2/6 21/6 22/6 23/6 24/6 25/6 26/6 27/6 28/6 29/6 3/6 1/7 2/7 3/7 4/7 5/7 6/7 7/7 8/7 9/7 1/7 11/7 12/7 13/7 14/7 15/7 16/7 17/7 18/7 19/7 2/7 21/7 Pluviométrie journalière du 7/6 au 21/7/1 Source Météo-France : Station Saint-Dizier Pluviométrie journalière du 22/11/1 au 31/12/1 Source Météo-France : Station Saint-Dizier mm /6 8/6 9/6 1/6 11/6 12/6 13/6 14/6 15/6 16/6 17/6 18/6 19/6 2/6 21/6 22/6 23/6 24/6 25/6 26/6 27/6 28/6 29/6 3/6 1/7 2/7 3/7 4/7 5/7 6/7 7/7 8/7 9/7 1/7 11/7 12/7 13/7 14/7 15/7 16/7 17/7 18/7 19/7 2/7 21/7 mm /11 23/11 24/11 25/11 26/11 27/11 28/11 29/11 3/11 1/12 2/12 3/12 4/12 5/12 6/12 7/12 8/12 9/12 1/12 11/12 12/12 13/12 14/12 15/12 16/12 17/12 18/12 19/12 2/12 21/12 22/12 23/12 24/12 25/12 26/12 27/12 28/12 29/12 3/12 31/12 Rose des vents du 7 juin au 21 juillet 21 Source Météo-France - Station Saint-Dizier Rose des vents du 22 novembre 21 au 2 janvier 211 Source Météo-France - Station Saint-Dizier en m/s en m/s Figure 3 : Données météorologiques au cours des 2 campagnes de mesures 1 ère Période : 7 juin au 21 juillet 21 Du 7 juin au 13 juin, des perturbations pluvieuses se succèdent, puis fait suite un temps sec avec des températures excédentaires pour la saison jusqu au 11 juillet. Le temps est de nouveau dépressionnaire jusqu au 16 juillet. 2 nde Période : 22 novembre au 31 décembre 21 Excepté du 9 au 15 décembre et les 5 derniers jours du mois, les dépressions se sont succédées entraînant avec elles une pluviométrie importante et des averses de neige en décembre. En décembre, les températures minimales et maximales sont bien en-dessous des normales de saison. Excepté la deuxième quinzaine de décembre, où les conditions météorologiques ont été propices à l émission de polluants liés à l utilisation accrue du chauffage et défavorables à la bonne dispersion de ces derniers, les mesures se sont déroulées sous une météorologie globalement favorable à une bonne dispersion des polluants (pluviométrie importante, occurrence faible de phénomènes d inversions de température). Page 6

10 II. Exploitation des résultats NB : La comparaison des résultats de mesures sera réalisée avec ceux issus de l unité mobile installée en proximité trafic à Reims, et des stations dites «de fond 1» de Châlons-Champagne et de Saint-Dizier situées au plus près de Vitry-le-François. II.1. Dioxyde d azote NO 2 Profil de l étude et comparaison avec d autres sites de mesures Le graphique 1 présente l évolution des teneurs moyennes journalières en dioxyde d azote au niveau du site de mesure, ainsi qu au niveau de la station «trafic» de Reims et des stations urbaines de Châlons-en- Champagne et de Saint-Dizier. Evolution journalière du dioxyde d'azote 12 Vitry-Quai des Fontaines (trafic) Reims-Venise (trafic) Châlons-en-Champagne St-Dizier Campagne estivale Campagne hivernale 1 8 µg/m /6 9/6 11/6 13/6 15/6 17/6 19/6 21/6 23/6 25/6 27/6 29/6 1/7 3/7 5/7 7/7 9/7 11/7 13/7 15/7 17/7 19/7 21/7 22/11 24/11 26/11 28/11 3/11 2/12 4/12 6/12 8/12 1/12 12/12 14/12 16/12 18/12 2/12 22/12 24/12 26/12 28/12 3/12 Graphique 1 : Moyennes journalières en dioxyde d azote durant les deux campagnes La courbe d évolution des teneurs moyennes en dioxyde d azote du site trafic de Reims se détache de celles issues des autres sites de mesures, notamment au cours de la campagne estivale. Des valeurs hivernales plus élevées qu en été sont observées sur l ensemble des sites en particulier sur les 2 sites de fond (16% d augmentation pour le «Reims-Venise» et 42% pour «Quai des Fontaines-Vitry», contre 73% et 146 % respectivement pour «Saint-Dizier» et «Châlons-en-Champagne»). En situation de fond, les valeurs hivernales en dioxyde d azote sont habituellement plus élevées, et cela s explique par : - des conditions de dispersion des polluants moins favorables en hiver du fait de phénomènes d inversion thermique, - des températures plus basses en hiver impliquant l utilisation d une nouvelle source d émissions de dioxyde d azote : le chauffage, - un rayonnement solaire plus important et des températures plus élevées en été, entraînant une réactivité plus grande du dioxyde d azote qui se transforme en ozone. Dans le cas du site de Vitry, et encore plus de la rue de Venise à Reims, la proximité de la source de pollution atténue les effets de la dispersion et des réactions chimiques qui disposent d un temps plus limité pour se produire. 1 Une station de fond a pour objectif de suivre le niveau d exposition de la majorité de la population aux phénomènes de pollution atmosphériques dits de fond. Page 7

11 Le tableau 3 présente les concentrations moyennes et les maxima horaires enregistrés en dioxyde d azote au cours de l étude. NO 2 en µg/m 3 Moyenne étude Maximum horaire (moyenne 21) (maximum 21) Quai des Fontaines-Vitry Rue de Venise-Reims 55 (51) 25(28) Châlons-en-Champagne 22 (19) 76 (96) Saint-Dizier 21 (18) 7 (84) Tableau 3 : Moyennes et maxima horaires en dioxyde d azote au cours de l étude Avec 32 µg/m 3 de moyenne au cours de l étude et une pointe horaire à 123 µg/m 3, le site de proximité automobile «Quai des Fontaines» se situe entre les sites de «fond» et le site trafic de Reims. La comparaison des moyennes en dioxyde d azote sur la durée de l étude et sur l année 21 au niveau des 3 sites fixes montre que les résultats obtenus au cours de cette étude sont surestimés de 5 à 14%, en raison d émissions plus importantes au cours de la campagne hivernale. A contrario, ce tableau met en évidence une vraisemblable sous-estimation des niveaux horaires maximum «Quai des Fontaines» au cours de l étude ; si les mesures s étaient déroulées sur toute l année 29 sur ce site, des maxima horaires plus élevés auraient vraisemblablement été observés. Profils hebdomadaire et journalier des teneurs en dioxyde d azote Les graphiques suivants présentent l évolution moyenne des teneurs en dioxyde d azote au cours d une semaine type et au cours d une journée type sur l ensemble des sites. µg/m Profil journalier du dioxyde d'azote au cours de l'étude Reims-Venise Châlons-en-Champagne Saint-Dizier Vitry-Quai des Fontaines Profil hebdomadaire du dioxyde d'azote au cours de l'étude Vitry-Quai des Fontaines Saint-Dizier Châlons-en-Champagne Reims-Venise Dimanche Samedi Vendredi Jeudi Mercredi Mardi Lundi Graphiques 2 et 3 : Profils hebdomadaire et journaliers des teneurs en dioxyde d azote Ces graphiques mettent en évidence l influence du trafic routier sur les teneurs en dioxyde d azote. L évolution est similaire sur les quatre sites avec : - des niveaux moyens plus élevés en milieu de semaine, et les niveaux les plus bas le week-end, - des niveaux horaires moyens plus élevés durant les pointes de circulation du matin et du soir, et les valeurs les plus basses au cours de la nuit. Cependant, les 2 sites trafic se distinguent par des niveaux de concentration bien plus élevés, ainsi que par une variabilité des teneurs bien plus prononcée traduisant la proximité de la source automobile. µg/m 3 Page 8

12 Comparaison à la réglementation Le tableau 4 confronte les résultats obtenus sur le site «Quai des Fontaines» à la réglementation en vigueur pour l année 21 (Décret n du 21 octobre 21). NO 2 en µg/m 3 Moyenne* Maximum horaire Quai des Fontaines-Vitry Réglementation Valeurs annuelles Valeurs horaires Objectif de qualité 4 Valeur limite 4 * Moyenne des concentrations moyennes de la première et de la seconde campagne Seuil d évaluation supérieur 32 Seuil d information et de recommandation 2 Tableau 4 : Réglementation pour le NO 2 (Décret n du 21 octobre 21) Seuil d alerte Avec une moyenne annuelle estimée de 32 µg/m 3, l objectif de qualité et la valeur limite de 21 en NO 2 ne sont pas dépassés. Le seuil d évaluation minimal est dépassé, et le seuil supérieur atteint mais non dépassé, seuil à partir duquel une combinaison de mesures fixes et de techniques de modélisation et /ou de mesures indicatives serait nécessaire pour l évaluation de la qualité de l air. Récapitulatif La figure 4 récapitule la situation de la concentration moyenne en dioxyde d azote mesurée lors de cette étude avec celles de l ensemble des stations fixes de Champagne-Ardenne, ainsi que celles issues d une campagne de mesure effectuée à Epernay en Figure 4 : Récapitulatif régional du NO 2 (Moyenne des 2 périodes de mesures) Page 9

13 II.2. Poussières fines PM 1 Profil de l étude et comparaison avec d autres sites de mesures Le graphique 4 présente l évolution des teneurs moyennes journalières en PM1 au niveau du site de mesure, ainsi qu au niveau de la station «trafic» de Reims et des stations urbaines de Châlons-en-Champagne et Saint-Dizier. Evolution journalière des PM1 8 7 Vitry-Quai des Fontaines (trafic) Reims-Venise (trafic) Châlons-en-Champagne St-Dizier Campagne estivale Campagne hivernale 6 µg/m /6 9/6 11/6 13/6 15/6 17/6 19/6 21/6 23/6 25/6 27/6 29/6 1/7 3/7 5/7 7/7 9/7 11/7 13/7 15/7 17/7 19/7 21/7 22/11 24/11 26/11 28/11 3/11 2/12 4/12 6/12 8/12 1/12 12/12 14/12 16/12 18/12 2/12 22/12 24/12 26/12 28/12 3/12 Graphique 4 : Moyennes journalières des PM1 durant les deux campagnes Les résultats du graphique montrent une évolution similaire des teneurs en poussières, entre les différents sites, avec des niveaux moyens plus élevés sur les sites à proximité du trafic routier. De même que pour le dioxyde d azote, une augmentation des concentrations hivernales est également constatée sur l ensemble des sites mais plus atténuée, entre 1 et 28 % en fonction du site. Les sites «trafic» connaissent les plus fortes augmentations. Le tableau 5 présente les concentrations moyennes en PM1 au cours de l étude. PM 1 en µg/m 3 Moyenne étude (moyenne annuelle 21) Moyenne maximale sur 24h au cours de l étude (moyenne maximale 21) Quai des Fontaines-Vitry Rue de Venise-Reims 33 (32) 69 (95) Châlons-en-Champagne 24 (23) 53 (88) Saint-Dizier 22 (21) 34 (77) Tableau 5 : Moyennes et maxima en PM1 au cours de l étude Les concentrations du site de Vitry se situent entre celles du site trafic de Reims et celles des stations de fond. A contrario du dioxyde d azote, la moyenne de l étude semble être très proche de celle de 21 : des concentrations élevées en avril lors d un pic de pollution aux poussières en Champagne-Ardenne, en dehors des périodes d études, limitent l effet des surémissions de la période hivernale sur la moyenne de l étude. Les moyennes maximales sur 24h ont été obtenues au cours de cette période. Page 1

14 Profils hebdomadaire et horaire Les graphiques suivants présentent l évolution moyenne des teneurs en PM1 au cours d une semaine type et au cours d une journée type sur l ensemble des sites. Profil journalier des PM1 au cours de l'étude Profil hebdomadaire des PM1 au cours de l'étude µg/m Reims-Venise Châlons-en-Champagne Saint-Dizier Vitry-Quai des Fontaines Dimanche Samedi Vendredi Jeudi Mercredi Mardi Lundi Vitry-Quai des Fontaines Châlons-en-Champagne Saint-Dizier Reims-Venise µg/m 3 Graphiques 5 et 6 : Profils hebdomadaire et journaliers des teneurs en PM1 Ces graphiques mettent en exergue une influence du trafic routier sur les teneurs en poussières fines essentiellement le matin. Les variations de concentrations au cours de la journée sont moins marquées que pour le dioxyde d azote, les sources de PM1 étant multiples. Des niveaux moyens plus élevés en milieu de semaine, et les niveaux les plus bas le dimanche. Comparaison à la réglementation Le tableau 6 confronte les résultats obtenus à la réglementation existante pour les PM1. PM1 en µg/m 3 Moyenne Moyenne maximale sur 24h Quai des Fontaines-Vitry Réglementation Valeurs annuelles Moyenne sur 24h Objectif de qualité 3 Valeur limite 4 Seuil d évaluation supérieur 28 Seuil d information et de recommandation 8 Tableau 6 : Réglementation pour les PM1 (Décret n du 21 octobre 21 et l arrêté préfectoral 29-DIV-5-Qualité de l air du 12 janvier 29) Avec 28 µg/m 3, la concentration moyenne en PM1 au cours de cette étude est restée en deçà de l objectif qualité de 3 µg/m 3, et a fortiori de la valeur limite de 4 µg/m 3. Des dépassements ponctuels de la valeur correspondant au SIR pourraient avoir lieu lors de conditions météorologiques défavorables à une bonne dispersion des polluants. Le seuil d évaluation minimal est dépassé et le seuil supérieur atteint mais non dépassé, seuil à partir duquel une combinaison de mesures fixes et de techniques de modélisation et /ou de mesures indicatives serait nécessaire pour l évaluation de la qualité de l air. Page 11

15 Récapitulatif La figure 5 récapitule la situation de la concentration moyenne en PM1 mesurée lors de cette étude avec celles de l ensemble des stations fixes de Champagne-Ardenne, ainsi que celles issues d une campagne de mesure effectuée à Epernay en 29. Figure 5 : Récapitulatif régional des PM1 (Moyenne des 2 périodes de mesures) II.3. Dioxyde de soufre SO 2 Le tableau 7 présente les teneurs moyennes en dioxyde de soufre au cours de l étude sur le site de Vitry, ainsi que des stations urbaines de Châlons-en-Champagne et Saint-Dizier. SO 2 en µg/m 3 Moyenne étude Maximum horaire (Moyenne annuelle 21) (Maxima horaire sur 21) Quai des Fontaines-Vitry 1 9 Châlons-en-Champagne 1 (1) 5 (14) Saint-Dizier 1 (1) 17 (22) Réglementation Objectif qualité 5 Seuil d information et de recommandation 3 Tableau 7 : Réglementation pour le S2 (Décret n du 21 octobre 21 Les teneurs sont très faibles sur l ensemble des sites de mesures et très largement en-dessous des valeurs réglementaires. II.4. Monoxyde de carbone CO Le tableau 8 présente les teneurs moyennes en monoxyde de carbone au cours de l étude sur le site de Vitry, ainsi que pour comparaison ceux obtenus au niveau du site trafic de Reims. CO en mg/m 3 Moyenne étude Maximum journalier (Moyenne annuelle 21) sur 8 heures glissantes Quai des Fontaines-Vitry Rue de Venise-Reims.41 (.39).9 (1.44) Réglementation - Valeur limite 1 * Moyenne des concentrations moyennes de la première et de la seconde campagne Tableau 8 : Résultats de l étude et réglementation pour le CO (Décret n du 21 octobre 21) Les maxima sont restés bien en deçà du seuil réglementaire des 1 mg/m 3 au cours de cette étude. Page 12

16 II.5. Benzène C 6 H 6 Le tableau 9 présente les résultats obtenus en benzène sur le site de Vitry, ainsi que pour comparaison ceux obtenus au niveau du site trafic de Reims. Benzène en µg/m 3 Moyenne Quai des Fontaines-Vitry.8* Rue de Venise-Reims 1.6** Réglementation Valeurs annuelles Objectif de qualité Valeur limite 2 5 * Moyenne des concentrations moyennes de la première et de la seconde campagne (15/6 au 15/7 et 22/11 au 2/12) **Moyenne des concentrations journalières du 23/1 au 9/12 Tableau 9 : Réglementation pour le benzène (Décret n du 21 octobre 21) La concentration en benzène au niveau du site trafic de Reims est 2 fois plus élevée que sur le site de Vitry. Un trafic plus intense, mais surtout une densité de population plus importante à l origine des émissions provenant du secteur résidentiel (chauffage) expliquent cette différence. Néanmoins, la valeur limite et l objectif qualité sont respectés en benzène sur les 2 sites au cours de cette étude. Page 13

17 Conclusion A la demande de Vitry-le-François, ATMO Champagne-Ardenne a mis en place en 21 une étude en proximité trafic le long du «Quai des Fontaines», à l aide d une unité mobile du 7 juin au 21 juillet et du 22 novembre au 31 décembre 21. Les polluants suivis ont été le dioxyde d azote (NO 2 ), le monoxyde de carbone (CO), les poussières fines (PM1), le benzène et le dioxyde de soufre (SO 2 ). L étude avait pour objectif de recueillir des informations en situation d exposition maximale à la pollution issue du trafic routier. Au cours de la période de mesures hivernales, les conditions météorologiques ont été propices à l émission de polluants issus du secteur résidentiel (chauffage) en raison de températures exceptionnellement froides. Une surestimation des concentrations annuelles des polluants a été constatée au regard des résultats obtenus à partir des stations fixes de «fond» de mesures en continu sur toute l année 21. Les niveaux de pollution observés au niveau du site de Vitry-le-François ont été plus élevés que ceux enregistrés par les stations de fond de la région, mais plus faibles que ceux du site de mesures «trafic» de Reims. Deux polluants se distinguent par des niveaux susceptibles de dépasser ponctuellement les valeurs correspondant aux seuils d information et de recommandation : - le dioxyde d azote : La moyenne annuelle estimée de 32 µg/m 3 est en-dessous de la valeur limite annuelle (4 µg/m 3 ). Aucun dépassement horaire n a été observé mais les périodes de mesure n ont pas été représentatives des maxima de l année. - les poussières fines : La concentration moyenne estimée en PM1 de 28 µg/m 3 est restée en deçà de la valeur limite de 4 µg/m 3, mais un risque de dépassement de l objectif qualité fixé à 3 µg/m 3, n est pas à exclure. Le seuil d information et de recommandation (8 µg/m 3 sur 24h) est également susceptible d être atteint. Enfin en ce qui concerne le monoxyde de carbone, le dioxyde de soufre et le benzène, les valeurs sont bien endeça des valeurs réglementaires. L étude spécifique sur le dioxyde d azote menée au préalable de la campagne de mesures sur quelques sites trafic de la ville de Vitry le François, durant 1 mois, a mis en évidence d autres points susceptibles d être touchés par la même problématique que celle du «Quai des Fontaines»». Il pourrait alors être envisageable d identifier sur l ensemble de la ville de Vitry le François, la population susceptible d être exposée à de fortes concentrations de polluants en appliquant un outil de modélisation fine de la pollution urbaine. Ce dernier permettra également de simuler des scénarios visant à abaisser les niveaux de pollution sur ces zones et donc de vérifier l efficacité des actions proposées. Page 14

18 ANNEXE ANNEXE 1 : Description et impact sanitaire des composés étudiés ANNEXE 2 : Densité de population Page 15

19 ANNEXE 1 : SOURCE ET EFFET DES POLLUANTS MESURES Dioxyde d azote NO 2 Sources Le monoxyde d azote (NO) et le dioxyde d azote (NO 2 ) sont émis lors des phénomènes de combustion. Le NO 2 est issu de l oxydation du NO. En Champagne-Ardenne, les sources principales sont le transport routier à 55% puis l agriculture à 2%. Le pot catalytique a permis, depuis 1993, une diminution des émissions des véhicules à essence. Par ailleurs, l entrée en vigueur de la norme EURO III pour les poids lourds en 22 et la norme EURO IV en 25 pour les véhicules particuliers accompagnée d une stabilité du parc roulant contribue également à cette diminution. 49% 12% 1% % 14% 24% TRANSFORMATION ENERGIE INDUSTRIE MANUFACTURIERE RESIDENTIEL TERTIAIRE AGRICULTURE TRANSPORT ROUTIER AUTRES TRANSPORTS Emissions de NOx en Champagne-Ardenne (ATMO Champagne-Ardenne A25-M21-Secten-v1) Effets sur la santé et sur l environnement Le dioxyde d azote est un gaz irritant pour les bronches. Chez les asthmatiques, il augmente la fréquence et la gravité des crises. Chez l enfant, il favorise les infections pulmonaires. Le dioxyde d azote participe au phénomène des pluies acides, à la formation de l ozone troposphérique, dont il est l un des précurseurs, à l atteinte de la couche d ozone stratosphérique et à l effet de serre. Poussières fines PM1 Sources Les particules ou poussières en suspension liées à l activité humaine proviennent majoritairement d activités industrielles très diverses (sidérurgie, incinération ), des transports (gaz d échappement, usure, frottements ) et du secteur résidentiel (chauffage, ). Leur taille et leur composition sont très variables. Les particules sont souvent associées à d autres polluants (HAP). Dans cette étude sont mesurées les poussières de diamètre inférieur à 1 micromètres (PM 1). 3% 2% 12% 8% TRANSFORMATION ENERGIE INDUSTRIE MANUFACTURIERE RESIDENTIEL TERTIAIRE 55% 2% AGRICULTURE TRANSPORT ROUTIER AUTRES TRANSPORTS Emissions de PM 1 en Champagne-Ardenne (ATMO Champagne-Ardenne A25-M21-Secten-v1) Effets sur la santé et sur l environnement Selon leur taille (granulométrie), les particules pénètrent plus ou moins profondément dans l arbre pulmonaire. Les particules les plus fines peuvent, à des concentrations relativement basses, irriter les voies respiratoires inférieures et altérer la fonction respiratoire dans son ensemble. Certaines particules ont des propriétés mutagènes et cancérigènes. Les effets de salissure des bâtiments et des monuments sont les atteintes à l environnement les plus perceptibles. Page 16

20 Benzène C 6 H 6 Sources Le benzène appartient à la famille des Composés Organiques Volatils (COV), hydrocarbures aromatiques monocycliques. En France métropolitaine, le benzène provient essentiellement du secteur résidentiel et tertiaire en particulier du fait de la combustion du bois, suivi du transport routier. Effets sur la santé et sur l environnement Le benzène a des effets sur le système nerveux, les globules et plaquettes sanguines pouvant provoquer une perte de connaissance. Il est reconnu comme étant une substance cancérigène. Il participe à la formation de l ozone troposphérique Monoxyde de carbone CO Source Gaz inodore, incolore et inflammable, le monoxyde de carbone se forme lors de la combustion incomplète de matières organiques (gaz, charbon, fioul, carburants, bois). Dans les années 8-9, le principal secteur d émission de monoxyde de carbone était le transport routier. Puis sa contribution a diminué grâce à l utilisation des pots catalytiques à compter de 1993 pour les véhicules essences et 1997 pour les véhicules diesel. Les trois secteurs contribuant le plus aux émissions de monoxyde de carbone sont le résidentiel/tertiaire, l industrie manufacturière et le transport routier. Effets sur la santé et sur l environnement Le monoxyde de carbone se fixe à la place de l oxygène sur l hémoglobine du sang, conduisant à un manque d oxygénation de l organisme (cœur, cerveau ). Les premiers symptômes sont des maux de tête et des vertiges. Ces symptômes s aggravent avec l augmentation de la concentration en CO (nausée, vomissements ) et peuvent, en cas d exposition prolongée, conduire au coma et à la mort. Le monoxyde de carbone participe également aux mécanismes de formation de l ozone troposphérique. Dans l atmosphère, il se transforme en dioxyde de carbone et contribue à l effet de serre. Dioxyde de soufre SO 2 Source La sectorisation des sources émettrices de dioxyde de soufre montre que plus de la moitié (52%) des émissions sont liées à l activité industrielle manufacturière. Il ne faut pas négliger d autre part les contributions du chauffage résidentiel et tertiaire et de l agriculture avec respectivement 23 % et 12%. Effets sur la santé et sur l environnement Le SO 2 est un irritant des muqueuses, de la peau et des voies respiratoires supérieures. Il provoque toux et gène respiratoire. Il agit en synergie avec d autres substances, notamment avec les particules fines. Comme tous les polluants, ses effets sont amplifiés par le tabagisme. Le SO 2 se transforme en acide sulfurique au contact de l humidité de l air et participe ainsi aux phénomènes des pluies acides. Il contribue également à la dégradation de la pierre et des matériaux de monuments de notre patrimoine. 23% 12% 3% 2% 8% 52% TRANSFORMATION ENERGIE INDUSTRIE MANUFACTURIERE RESIDENTIEL TERTIAIRE AGRICULTURE TRANSPORT ROUTIER AUTRES TRANSPORTS Emissions de SO 2 en Champagne-Ardenne (ATMO Champagne-Ardenne A25-M21-Secten-v1) Page 17

21 ANNEXE 2 : DENSITE DE POPULATION Page 18

22 Protégeons ensemble l'air que nous respirons - ATMO Champagne-Ardenne 2 rue Léon Patoux REIMS Cedex 2 Tél Fax contact@atmo-ca.asso.fr

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