Sondage sur les comportements à risque des jeunes

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1 Sondage sur les comportements à risque des jeunes 2011 Une analyse des comportements à risque chez les jeunes de l est de l Ontario [Type text]

2 TABLE OF CONTENT INTRODUCTION...3 MÉTHODOLOGIE...3 INFORMATION PERSONNELLE...4 PRÉVENTION DES BLESSURES...4 INTIMIDATION...6 SANTÉ MENTALE...7 NUTRITION...8 ACTIVITÉS PHYSIQUES...9 POIDS CORPOREL TABAC CONSOMMATION D ALCOOL MARIJUANA ET AUTRES DROGUES SANTÉ EN MATIÈRE DE SEXUALITÉ SERVICES DU BUREAU DE SANTÉ ASSOCIATIONS Associations liées à l intimidation Associations liées au saut du petit déjeuner Associations entre le poids corporel et la santé mentale Associations entre les comportements sédentaires et les résultats en matière de santé mentale Associations entre la santé mentale et les autres comportements à risque Associations liées aux présentations du BSEO DISCUSSION CONCLUSION... 27

3 Sondage sur les comportements à risque des jeunes 2011 INTRODUCTION L adolescence est une étape importante de la vie pour établir des comportements sains, et les jeunes de la région desservie par le Bureau de santé de l est de l Ontario (BSEO) ne sont pas à l abri des comportements à risque pour la santé. 1,2 Comme sa mission est de promouvoir et de protéger la santé et le bien-être des membres de sa collectivité par la prévention des maladies et des blessures, le BSEO a pour mandat, conformément aux Normes de santé publique de l Ontario 3 d effectuer une analyse épidémiologique des comportements à risque pour la santé pour les populations prioritaires, y compris les adolescents. Le but de cette étude était de fournir une évaluation mise à jour des comportements à risque pour la santé et des pratiques des adolescents de la région desservie par le BSEO. Nous voulions tout particulièrement déterminer la prévalence des comportements à risque pour la santé chez les élèves des écoles intermédiaires et secondaires pour évaluer s il y a de nouvelles tendances au chapitre des comportements à risque pour la santé et, enfin, pour produire des données fiables pouvant être utilisées pour la planification et l évaluation des programmes. MÉTHODOLOGIE Le Sondage sur les comportements à risque pour la santé (SCRS) de 2011 est une reprise du sondage de Il vise à mesurer tous les changements survenus ou les progrès réalisés depuis le dernier sondage et à évaluer toutes les nouvelles tendances au chapitre des comportements à risque pour la santé chez les élèves des écoles secondaires. Le sondage a été remis aux élèves de certaines classes de la 7 e à la 12 e année dans les cinq comtés de l est de l Ontario. Le SRSC a été mis au point à partir du modèle du CDC YRBS, qui surveille six types de comportements à risque pour la santé qui contribuent aux principales causes de décès et d incapacité chez les jeunes et les adultes, dont la prévention des blessures, la nutrition, l activité physique et le poids corporel, le tabagisme, la consommation d alcool, de marijuana et d autres drogues et la santé en matière de sexualité. De plus, le présent sondage comprenait des questions sur l intimidation, les sentiments de tristesse et les tentatives de suicide, de même que sur les services du BSEO. Ces ajouts à l actuel SCRS par rapport à la version de 2007 ont été incorporés pour améliorer et élargir la portée des comportements à risque évalués. Les données ont été recueillies de novembre 2010 à mars 2011 au moyen de sondages en milieu scolaire. Un échantillon aléatoire de deux classes de chaque année d études a été choisi 1 BSEO(2008). Sondage sur les comportements à risque des jeunes. Disponible à: 2 Springer AE, Selwyn BJ et Kelder SH. A descriptive study of youth risk behavior in urban and rural secondary school students in El Salvador. BMC International Health and Human Rights 2006, 6:3 3 Ministère de la Santé et des Soins de longue durée (2008). Normes de santé publique de l Ontario P a g e

4 à chaque école pour l administration du sondage à tous les élèves ayant consenti à participer, sauf dans les cas où il n y avait qu une année d études. Les élèves des classes choisies étaient admissibles une participation volontaire et anonyme. Au total, 49 écoles ont participé à l étude et l échantillon final comprenait répondants de la 7 e à la 12 e année. Pour obtenir l échantillon le plus représentatif possible, les données ont été pondérées (ajustées) en fonction de l année d études, du genre et du conseil scolaire. INFORMATION PERSONNELLE La proportion de garçons et de filles ayant répondu au sondage était presque égale (51 % et 49 % respectivement). Les distributions par genre et année d études (Figures 1 et 2 respectivement) indiquent les distributions attendues des répondants selon les proportions dans la population. Figure 1 Distribution par genre Figure 2 Distribution par année d études distribution Grade12 18% Grade7 14% Filles 49% Garçons 51% Grade11 18% Grade9 17% Grade8 15% Grade10 18% De plus, près de 60 % des répondants ont dit parler anglais à la maison, alors que 26 % ont dit parler français et 12 % anglais et français. PRÉVENTION DES BLESSURES Soixante pour cent (60 %) de tous les répondants ont déclaré qu ils portaient rarement ou jamais un casque pour faire du vélo (Figure 3). Plus de garçons (62 %) que de filles (58 %) ont déclaré qu ils portaient rarement ou jamais un casque. Le non-port du casque augmentait avec l âge (année d études) des participants. Les élèves plus âgés portent le casque moins souvent que les élèves plus jeunes lorsqu ils font du vélo.

5 Sondage sur les comportements à risque des jeunes 2011 Figure 3 Fréquence de l utilisation du casque en vélo, selon l année d études et le genre 100% 80% 60% 40% 20% 0% 81% 73% 67% 58% 62% 58% 60% 45% 33% 7e année 8e année 9e année 10e année 11e année 12e année Garçons Filles Total Rarement/Jamais Bien que la vaste majorité des élèves (95 %) aient admis porter la ceinture de sécurité toujours ou la plupart du temps, les élèves plus jeunes la portent plus souvent que les élèves plus âgés. Il y a encore de 1 % à 3 % des élèves qui portent rarement ou jamais la ceinture de sécurité lorsqu ils sont en voiture, et cette situation s applique davantage aux garçons qu aux filles (Figure 4). Figure 4 Fréquence de l utilisation de la ceinture de sécurité en voiture (passager), selon l année d études et le genre 8% 6% 4% 2% 0% 7e année 8e année 9e année 10e année 11e année 12e année Garçons Filles Total Quelques fois 1% 2% 5% 3% 3% 3% 4% 2% 3% Rarement/Jamais 1% 1% 3% 3% 3% 2% 3% 1% 2% À la question portant sur l utilisation de la ceinture de sécurité en tant que conducteur, la plupart des élèves de la 7 e à la 10 e année ont répondu ne pas conduire encore. Toutefois, la plupart de ceux qui avaient commencé à conduire portaient la ceinture de sécurité. De façon générale, le taux d élèves qui portent la ceinture de sécurité parfois, rarement ou jamais se situe entre 1 % et 3 % pour l ensemble de la population. Dans ce sondage, nous avons constaté que les répondants plus jeunes étaient moins susceptibles que les répondants plus âgés d être dans une voiture conduite par une personne ayant consommé de l alcool ou sous l influence de la marijuana ou d autres drogues illicites. Même si les filles étaient moins susceptibles que les garçons d être passagères dans une voiture 5 P a g e

6 conduite par une personne ayant consommé de l alcool (Figure 5), il n y avait pas de différence entre les genres pour la marijuana ou les autres drogues illicites. Figure 5 Fréquence de la présence à bord d une voiture ou d un autre véhicule conduit par une personne ayant consommé de l alcool, selon l année d études et le genre 25% 20% 15% 10% 5% 0% 7e année 8e année 9e année 10e année 11e année 12e année Garçons Filles Total 1 à 5 fois 10% 9% 10% 13% 17% 16% 13% 12% 13% 6 fois et plus 3% 3% 4% 4% 4% 3% 5% 2% 3% INTIMIDATION On parle d intimidation quand une personne taquine méchamment une autre personne, la menace, fait circuler des rumeurs à son sujet, la frappe, la bouscule ou la blesse volontairement et que la personne intimidée a du mal à se défendre. 1 Environ 25 % de nos jeunes ont déclaré avoir été intimidés à l école (Figure 6). Il n y avait pas de différence significative entre les proportions de garçons et de filles (24 % contre 26 % respectivement). Les répondants de la 12 e année, tant les garçons que les filles, étaient moins susceptibles d avoir été intimidés que les élèves des autres années d études. Figure 6 Victimes d intimidation ou de menaces à l école, selon l année d études et le genre Garçons Filles 25% 26% 28% 29% 26% 23% 28% 30% 27% 24% 19% 18% 24% 26% 7e année 8e année 9e année 10e année 11e année 12e année Total La Figure 7 indique la proportion de jeunes victimes de cyberintimidation, soit l intimidation par courriel, messages textes, réseaux sociaux ou autres sites Web. Selon ce sondage, les filles 1

7 Sondage sur les comportements à risque des jeunes 2011 étaient beaucoup plus susceptibles d être victimes de cyberintimidation que les garçons (24 % et 12 % respectivement). Dans les différentes années d études, le taux le plus élevé était chez les filles de la 10 e année (31 %). Figure 7 Cyberintimidation, par année d études et genre Garçons Filles 19% 9% 8% 22% 21% 15% 31% 13% 14% 27% 23% 24% 12% 12% 7e année 8e année 9e année 10e année 11e année 12e année Total SANTÉ MENTALE En réponse à la question «Au cours des 12 derniers mois, avez-vous déjà senti de la tristesse ou du désespoir au point de ne plus faire vos activités habituelles presque tous les jours pendant deux semaines ou plus?», les résultats du sondage indiquent qu une grande proportion (plus du quart) de la population des élèves des écoles intermédiaires et secondaires de l est de l Ontario déclarent avoir des symptômes dépressifs et sont, par conséquent, à risque de dépression (Figure 8). Pour tous les résultats en matière de santé mentale, la prévalence est plus élevée chez les filles que les garçons. Figure 8 Prévalence des résultats en matière de santé mentale, par genre Garçons Filles 32.6% 18.8% 7.9% 14.0% 9.4% 4.6% 6.1% 2.8% 0.5% 1.1% Tristesse Idées suicidaires Planification du suicide Tentatives de suicide ne nécessitant pas un traitement Tentatives de suicide nécessitant un traitement Lorsqu on examine les résultats en matière de santé mentale selon l année d études et le genre, il semble que les taux d idées suicidaires se situent de façon générale entre 7 % et 15 % 7 P a g e

8 de la 7 e à la 12 e année, et que de telles idées sont plus fréquemment déclarées par les filles que les garçons. Dans le même ordre d idées, les taux de planification du suicide se situent de façon générale entre 4 % et 10 % durant ces années, et les filles sont ici aussi plus susceptibles de déclarer cette expérience que les garçons. Les filles étaient plus susceptibles de faire une tentative de suicide nécessitant ou non un traitement médical (Figure 9). Figure 9 Prévalence des tentatives de suicide, par année d études et genre Tentatives de suicide ne nécessitant pas un traitement Tentatives de suicide nécessitant un traitement 9% 8% 6% 6% 4% 4% 4% 4% 2% 3% 2% 2% 1% 1% 1% 2% 1% 0% 1% 1% 1% 0% 0% 0% Filles Garçons Filles Garçons Filles Garçons Filles Garçons Filles Garçons Filles Garçons 7e année 8e année 9e année 10e année 11e année 12e année NUTRITION Dix pour cent (10 %) des élèves ont déclaré ne jamais ou presque jamais prendre de petit déjeuner. D un autre côté, 48 % des élèves ont déclaré prendre un petit déjeuner tous les jours (Figure 10). Figure 10 Fréquence du petit déjeuner Jamais/presque jamais 10% 1 à 2 fois par semaine 15 % 5 fois ou plus 13 % 3 à 4 fois par semaine 14 % Chaque jour 48 % La Figure 11 indique les proportions des réponses «Je ne prends jamais ou presque jamais de petit déjeuner», selon l année d études et le genre. Les élèves de 11 e et 12 e année sont plus

9 Sondage sur les comportements à risque des jeunes 2011 susceptibles de ne jamais prendre de petit déjeuner (13 %). La proportion pour les filles de toutes les années d études combinées est de 11 % alors qu elle est de 9 % pour les garçons. Figure 11 Je ne prends jamais ou presque jamais de petit déjeuner, par année d études et genre 9% 9% 6% 5% Garçons Filles 14% 12% 12% 13% 13% 10% 11% 6% 9% 11% 7e année 8e année 9e année 10e année 11e année 12e année Total Pour le dîner, seulement 3 % des répondants ont déclaré ne jamais ou presque jamais prendre de repas du midi. Soixante-cinq pour cent (65 %) des élèves prennent quotidiennement le repas du midi (Figure 12). Figure 12 - Fréquence du repas du midi Jamais/presque jamais 3 % Chaque jour 65 % 1 à 2 fois par semaine 5 % 5 fois ou plus 17 % 3 à 4 fois par semaine 10 % Quand on a demandé aux participants si des choix d aliments santé étaient offerts à la cafétéria de l école, 49 % ont répondu par l affirmative, alors que 17 % ont répondu qu il n y avait pas de choix d aliments santé à la cafétéria de l école. ACTIVITÉS PHYSIQUES La catégorisation du temps passé à faire de l activité physique repose sur le dernier cycle du SCRJ (2007) et sur l ancien Guide d'activité physique canadien pour une vie active saine. 1 Les codes sont attribués comme suit : pas d activité physique = 0 heure par jour; en dessous du niveau recommandé = moins de 1,5 heure par jour; niveau recommandé ou au-delà = 1,5 à 7 heures par jour; réponse inappropriée = plus de 7 heures par jour P a g e

10 Dans le cadre du présent sondage, les trois activités physiques les plus populaires étaient le hockey, le volleyball et la marche ou marche rapide. La Figure 13 révèle que les garçons sont plus susceptibles que les filles de faire le niveau recommandé d activité physique ou au-delà (42 % et 39 % respectivement). Les garçons sont aussi plus susceptibles que les filles de fournir une réponse inappropriée (plus de 7 heures par jour). Figure 13 Temps consacré à l activité physique, par genre Garçons Filles 33% 42% 42% 39% 12% 12% 13% 7% Jamais Inférieure à la recommandation Correspond ou depasse Répondu incorrectement Quand on parle des activités sédentaires (c.-à-d. utiliser l ordinateur, jouer à des jeux vidéos, regarder la télévision, faire de la lecture non liée à l école ou au travail), la Figure 14 indique que 58 % des jeunes de l est de l Ontario consacrent habituellement de trois à sept heures par jour à des activités sédentaires. Les garçons sont plus susceptibles que les filles de fournir une réponse inappropriée (c.-à-d. plus de 7 heures par jour). Figure14 Temps consacré aux activités sédentaires, par genre Garçons Filles 57% 59% 3% 2% 13% 16% 27% 23% < 1heure/jour 1-3 heures/jour 3-7 heure/jour Réponse inappropriée POIDS CORPOREL On a questionné les participants sur la perception qu ils ont de leur poids corporel. Dans cette autoévaluation, 63 % ont dit avoir à peu près le bon poids (Figure 15), 24 % des élèves se sont

11 Sondage sur les comportements à risque des jeunes 2011 décrits comme ayant un léger ou un important surpoids et, étonnamment, 14 % ont dit avoir une légère ou une importante insuffisance pondérale. Les filles étaient plus susceptibles de se décrire comme ayant un léger ou un important surpoids (27 %) que les garçons (20 %). Figure 15 Perception du poids corporel par les répondants, par genre Garçons 64% 61% Filles 1% 1% 14% 10% 18% 24% 2% 3% Très maigre Légèrement maigre Poids normal Léger surpoids Beaucoup de surpoids Ces perceptions autodéclarées du poids corporel diffèrent légèrement de l indice de masse corporelle (IMC) calculé au moyen du système de classification de l OMS, fondé sur la grandeur et le poids autodéclarés (Figure 16). Il y a un grand écart dans la perception du fait d avoir une insuffisance pondérale (13 %, Figure 15) et la mesure d insuffisance pondérale de l IMC (3 %, Figure 16). Il est intéressant de constater que même si les filles se perçoivent comme ayant un léger ou un important excédent de poids (27 % de filles contre 20 % des garçons, Figure 15), ce sont en fait les garçons qui ont le plus souvent un excédent de poids ou qui sont obèses (34 % des garçons contre 26 % des filles, Figure 16). Ces résultats laissent entendre que les filles sont souvent plus susceptibles que les garçons d être insatisfaites de leur corps et d avoir une image corporelle négative. Figure 16 Indice de masse corporelle (IMC) mesuré à partir des catégories de l OMS, par genre Garçons Filles 62% 71% 3% 2% 22% 16% 12% 10% Maigreur (dénutrition) Poids normal Surpoids Obésité Quand on leur a demandé s ils essayaient de faire quelque chose au sujet de leur poids, on a constaté de grandes différences entre les garçons et les filles quant à leurs buts liés au poids 11 P a g e

12 corporel. Même si les filles étaient plus susceptibles que les garçons de répondre qu elles tentaient de perdre du poids (46 % contre 22 %), les garçons étaient plus susceptibles que les filles de répondre qu ils voulaient prendre du poids (24 % contre 5 %). TABAC On a demandé aux participants s ils avaient déjà fumé une cigarette entière. Bien que la plupart des élèves aient dit n avoir jamais fumé, 19 % ont répondu par l affirmative. L âge auquel la plupart d entre eux avaient fumé une première cigarette entière se situait entre ans (37 %) et 15 ans ou plus (32 %) (Figure 17). Figure 17 Proportion d élèves ayant déjà fumé et âge de la première expérience Jamais fumé 79 % Déjà fumé 19 % ans 37 % 15 ans 32 % Inconnu 2 % ans 16 % 9-10 ans 5 % 8 ans 5 % Quand on leur a demandé la fréquence de l usage du tabac au cours des 30 derniers jours, 50 % des élèves ont déclaré être fumeurs actuels (quotidiens ou occasionnels) (Figure 18). Les garçons étaient plus susceptibles que les filles d être fumeurs actuels. Les élèves plus jeunes étaient plus susceptibles d être fumeurs occasionnels (48 % en 7 e année), alors que les élèves plus âgés étaient plus susceptibles d être fumeurs quotidiens (25 % en 11 e année; 21 % en 12 e année). Figure 18 Combien de journées avez-vous fumé des cigarettes au cours des 30 derniers jours (personnes ayant déjà fumé seulement)? Fumeur quotidien (>=20 jours au cours des 30 derniers jours) Fumeur occasionnel (1~19 jours) 48% 40% 34% 29% 31% 32% 28% 30% 25% 24% 17% 19% 21% 22% 18% 20% 10% 8% 7e année 8e année 9e année 10e année 11e année 12e année Garçons Filles Total

13 Sondage sur les comportements à risque des jeunes 2011 La façon par laquelle les élèves se procurent leurs cigarettes est un sujet de grand intérêt. Les garçons étaient plus susceptibles de les acheter en magasin, alors que les filles étaient plus susceptibles de les emprunter à quelqu un, et de les recevoir ou de les prendre d un membre de la famille. Quand on leur a demandé si quelqu un avait déjà refusé de leur vendre des cigarettes, seulement 5 % des fumeurs ont répondu «Oui» (17 % de ceux ayant essayé d en acheter). On a demandé à tous les élèves quel usage leurs amis et membres de la famille faisaient du tabac. Les résultats ont indiqué que les fumeurs actuels étaient plus susceptibles d avoir des amis fumeurs que des amis non fumeurs. Dans le même ordre d idées, les fumeurs avaient aussi tendance à avoir plus de membres de la famille fumeurs que non fumeurs. De plus, les parents, les frères et les sœurs semblaient avoir une plus grande influence sur les comportements liés au tabac que la parenté plus éloignée (grands-parents, tantes et oncles). On a questionné les fumeurs actuels sur leur désir de cesser de fumer. La majorité (58 %) ont indiqué vouloir cesser de fumer. Il est intéressant de constater qu à la question portant sur la raison de leur souhait d arrêter de fumer, près de la moitié des répondants (53 % de garçons et 54 % des filles) ont indiqué qu il s agissait d un choix fondé sur l amélioration de leur santé. De plus, les garçons étaient plus susceptibles que les filles de dire vouloir économiser de l argent. Enfin, on a questionné les élèves sur leur exposition à la fumée secondaire à la maison et dans les endroits publics. Les résultats variaient selon leur usage du tabac; une plus grande proportion d exposition à la fumée secondaire à la maison a été constatée chez les élèves qui fumaient la cigarette (Figure 19). Cela n est pas étonnant, puisque plus de fumeurs ont aussi déclaré que des membres de leur famille fumaient. Figure 19 Proportion de répondants exposés à la fumée secondaire à la maison au cours de la semaine précédant le sondage 73% 67% Déjà fumé Jamais fumé Total 41% 19% 11% 13% 9% 4% 5% 28% 9% 13% 3% 3% 3% 0 jour 1 à 2 jours 3 à 4 jours 5 à 7 jours Pas certain 13 P a g e

14 CONSOMMATION D ALCOOL La proportion d élèves consommant de l alcool (63 %) était plus élevée que celle des élèves n en consommant pas (37 %). Parmi les autres comportements liés à la consommation d alcool déclarés, il y a le fait d avoir déjà consommé une boisson alcoolisée à l école (15 %) et d avoir déjà conduit une voiture après avoir pris de l alcool (7 %). Un nombre légèrement plus élevé de garçons (65 %) que de filles (61 %) avaient déjà consommé au moins une boisson alcoolisée (Figure 20). Pour chaque augmentation de l année d études, il y a une augmentation de la proportion de réponses «Oui» pour chacun des comportements liés à la consommation d alcool, tant chez les garçons que chez les filles. Plus particulièrement, rendus en 12 e année, la plupart des élèves avaient pris un verre avant l âge légal de consommation d alcool. Figure 20 Élèves ayant déjà pris au moins une boisson alcoolisée, par année d études et genre Garçons Filles 26% 16% 38% 33% 60% 51% 88% 91% 90% 73% 78% 83% 65% 61% 7e année 8e année 9e année 10e année 11e année 12e année Total L âge le plus courant pour commencer à boire de l alcool n a pas changé depuis 2007; l âge de pointe de l initiation se situant à ans (28 % en 2011 et 2007). La consommation occasionnelle excessive d alcool se définit comme la consommation de cinq verres d alcool ou plus de suite. Au cours des 30 jours précédant le sondage, 40 % des buveurs avaient eu au moins un épisode de consommation occasionnelle excessive d alcool, alors que 60 % n avaient eu aucun épisode du genre au cours du dernier mois (Figure 21).

15 Sondage sur les comportements à risque des jeunes 2011 Figure 21 Fréquence de la consommation occasionnelle excessive d alcool au cours des 30 derniers jours Non 60% Oui 40% 1-2 fois 23% 3-5 fois 9% 6-9 fois 5% 10 fois ou + 3% MARIJUANA ET AUTRES DROGUES Compte tenu de l inclusion d un plus grand nombre de jeunes de l école intermédiaire dans le présent cycle du SCRJ, une plus grande proportion de la population (75 % contre 65 %) n avait jamais essayé la marijuana comparativement à la population du sondage de 2007 (Figure 22). Parmi les 25 % d utilisateurs de la marijuana, les élèves qui en avaient fait usage à 20 occasions ou plus formaient 40 % de la population. Parmi les élèves ayant déclaré une fréquence quelconque d usage de la marijuana, ou en ayant pris au moins une fois dans leur vie, la majorité (48 %) se décrivaient comme étant des utilisateurs occasionnels, alors qu une grande proportion (36 %) se sont dits non-utilisateurs et que les autres (16 %) se qualifiaient d utilisateurs réguliers (Figure 23). Figure 22 Élèves ayant déjà pris de la marijuana Jamais pris 75 % Déjà pris 25 % fois 12 % 3-9 fois 24 % 1-2 fois 24 % 20 fois ou + 40 % Figure 23 Type d utilisateurs de marijuana user considered 36% 16% 48% Utilisateur régulier de marijuana Utilisateur occasionnel de marijuana Nonutilisateur 15 P a g e

16 L âge auquel la plupart des élèves ont commencé à fumer de la marijuana était 15 ans (28 %). Les filles étaient plus susceptibles que les garçons de commencer entre l âge de 14 et 15 ans, et les garçons étaient plus susceptibles que les filles de commencer plus tôt, à l âge de 13 ans. On a classé les méthodes d obtention de la marijuana chez les utilisateurs, et les trois principales sont l obtention par l entremise des amis, l obtention par l achat ou l obtention par l emprunt à quelqu un d autre (Figure 24). Figure 24 Méthode d obtention de la marijuana (chez les utilisateurs) 57% 40% 19% 12% 6% 7% Un ami me l a donnée Je l ai achetée Je l ai empruntée à quelqu un Quelqu un l a achetée pour moi Je l ai prise d un membre de ma famille Je l ai obtenue d une autre façon L endroit où la marijuana est utilisée révèle une tendance similaire à celle qui ressortait des données du dernier cycle du sondage, soit l utilisation la plus fréquente se produisant (66 %) chez un ami. L utilisation au travail (7 %) se situe près du bas de la liste (Figure 25). Figure 25 Endroit où est utilisée la marijuana (chez les utilisateurs) 66% 39% 33% 27% 20% 7% 11% Chez un ami À des événements sociaux Dans des endroits publics (p. ex. parc, rue) À la maison À l école Au travail Autre Les amphétamines/méthamphétamines et l ecstasy étaient les deux autres drogues les plus utilisées après la marijuana. Entre 2007 et 2011, l utilisation de l OxyContin a augmenté de 1 % à 1,9 %, celle du Rohypnol de 0,3 % à 1 % et celle de la kétamine de 0,4 % à 0,8 %.

17 Sondage sur les comportements à risque des jeunes 2011 SANTÉ EN MATIÈRE DE SEXUALITÉ Les élèves des écoles catholiques ont été exemptés de cette portion du sondage. Quatre-vingt pour cent (80 %) des élèves ont déclarés avoir déjà reçu de l enseignement à l école sur les infections transmissibles sexuellement (ITS), dont le VIH, alors que 8 % des élèves n en étaient pas certains (Figure 26). Même si, initialement, il semble que moins d élèves obtiennent leur information sur la santé en matière de sexualité à l école en 2011 qu en 2007, il est plus probable que cette tendance soit attribuable à l inclusion d un plus grand nombre d élèves plus jeunes (7 e et 8 e année) dans le présent cycle du sondage. De plus, comparativement à 2007 (42 %), une plus petite proportion de la population d élèves de cette étude (30 %) a déclaré avoir déjà eu des rapports sexuels (Figure 27). Figure 26 Déjà eu de l enseignement sur les ITS à l école Figure 27 Déjà eu des rapports sexuels Doute 8 % Non 12 % Oui 30 % Oui 80 % Non 70 % Il y a eu une augmentation constante de la proportion d élèves ayant déclaré être sexuellement actifs, soit de 4 % en 7 e année à 54 % en 12 e année (Figure 28). Seuls les participants ayant répondu «Oui» à cette question ont été inclus dans l analyse des autres questions. Figure 28 Proportion d élèves ayant eu des rapports sexuels, par année d études et genre Garçons Filles 57% 52% 51% 44% 5% 3% 11% 9% 22% 12% 29% 28% 31% 29% 7e année 8e année 9e année 10e année 11e année 12e année Total 17 P a g e

18 L âge le plus fréquent des premiers rapports sexuels était 16 ans; les garçons ont le plus souvent déclaré 16 ans (31 %) et les filles, 15 ans (30 %). Il y avait légèrement plus de garçons (23 %) que de filles (19 %) qui avaient vécu leurs premiers rapports sexuels à 14 ans. La plupart des élèves actifs sexuellement avaient eu des rapports sexuels avec un partenaire, soit au cours de leur vie (56 %) ou au cours des trois derniers mois (70 %). La 8 e année faisait exception, puisque la plupart des élèves (40 %) avaient eu des rapports sexuels avec deux partenaires au cours de leur vie. Ils étaient donc plus nombreux que les 37 % qui avaient eu un partenaire sexuel dans cette année d études, et que les 19 % qui avaient eu deux partenaires rendus en 12 e année. Si l on examine l usage de l alcool ou des drogues avant les rapports sexuels, la plupart ne l avaient «jamais» fait, alors qu une plus petite proportion d élèves prenaient part à ces activités à risque élevé «toujours ou la plupart du temps». Pour ce qui est de la fréquence des filles enceintes ou des garçons ayant causé une grossesse, la plus grande proportion de répondants n ayant aucune grossesse était en 7 e année (100 %); il y avait une grossesse en 10 e année (11 %) et deux grossesses ou plus en 8 e année (9 %) (Figure 29). Figure 29 Fréquence des filles enceintes ou des garçons ayant causé une grossesse (chez les élèves actifs sexuellement), par année d études 1 fois 2 fois et plus 11.4% 8.8% 5.9% 4.2% 6.9% 2.1% 2.7% 3.0% 0.0% 0.0% 0.0% 0.0% 7e année 8e année 9e année 10e année 11e année 12e année Les trois méthodes les plus utilisées pour prévenir la grossesse ou les ITS lors des derniers rapports sexuels étaient les mêmes que pour le cycle précédent du sondage : condoms (77 %), contraceptifs oraux (50 %) et méthode du retrait (12 %).

19 Sondage sur les comportements à risque des jeunes 2011 SERVICES DU BUREAU DE SANTÉ On a questionné tous les participants sur leur participation aux présentations ou activités du BSEO et sur leurs opinions à ce sujet. Seuls les élèves qui ont dit avoir participé à une activité ou à une présentation ont répondu aux questions liées à l utilité de ces activités ou présentations. De façon générale, 74 % des élèves avaient participé à des activités ou à des présentations du BSEO. Parmi eux, 55 % avaient trouvé les présentations utiles. Les taux de participation aux présentations du BSEO se situaient entre 9 % et 44 %. Les taux les plus élevés étaient pour les présentations sur le tabac (44 %), l activité physique (39 %), la santé en matière de sexualité (38 %) et l estime de soi (35 %). À l opposé, les taux les plus faibles (moins de 10 %) étaient pour le Comité école en santé (9 %) et l activité SurVivons à notre bal (9 %). ASSOCIATIONS Associations liées à l intimidation Les Figures 30 et 31 indiquent l association entre la cyberintimidation et la santé mentale (dont les sentiments de tristesse et le suicide). Nous pouvons voir que la cyberintimidation a d importantes répercussions sur la santé mentale tant pour les filles que les garçons. Par exemple, 58 % des filles qui ont été victimes de cyberintimidation ont déclaré avoir senti de la tristesse ou du désespoir au point de ne plus faire leurs activités habituelles presque tous les jours pendant deux semaines ou plus. Le taux est de 25 % pour les filles qui n ont pas été victimes de cyberintimidation (Figure 31). Nous pouvons aussi constater que la cyberintimidation a des répercussions plus sérieuses sur la santé mentale pour les filles que pour les garçons. Figure 30 Cyberintimidation et santé mentale, garçons 37.9% Victime d intimidation Non 16.4% 17.3% 6.5% 11.1% 3.7% 1.3% 0.4% Tristesse Idées suicidaires Planification du suicide Tentatives de suicide nécessitant un traitement 19 P a g e

20 Figure 31 Cyberintimidation et santé mentale, filles Victime d intimidation Non 57.7% 24.8% 27.5% 17.5% 9.7% 6.9% 3.0% 0.5% Tristesse Idées suicidaires Planification du suicide Tentatives de suicide nécessitant un traitement Les répercussions de l intimidation à l école sur la santé mentale sont assez similaires à celles de la cyberintimidation. Les élèves qui avaient été victimes de cyberintimidation ou d intimidation à l école étaient plus susceptibles de ne pas prendre de petit déjeuner que ceux qui n en avaient pas été victimes (Figure 32). L effet est assez similaire pour les deux types d intimidation, mais les répercussions sont plus sérieuses pour les filles que pour les garçons. Figure 32 Intimidation et saut du petit déjeuner Ne prend jamais ou presque jamais de petit déjeuner Prend le petit déjeuner 41% 24% 23% 10% 17% 6% 1.5% 0.7% Tristesse Idées suicidaires Planification du suicide Tentatives de suicide nécessitant un traitement L expérience de l intimidation est fortement liée à certains comportements à risque, dont le tabagisme, la consommation d alcool, de marijuana et d autres drogues et les rapports sexuels. Les Figures 33 et 34 indiquent les répercussions de la cyberintimidation sur les comportements à risque. Chez les filles qui ont été victimes de cyberintimidation, 36 % ont fait usage de la marijuana et 43 % ont déclaré avoir eu des rapports sexuels. Ces taux sont beaucoup plus

21 Sondage sur les comportements à risque des jeunes 2011 élevés que les 18 % et 24 % respectivement pour les filles qui n ont pas été victimes de cyberintimidation. La différence est également marquée pour les garçons (Figure 34). Figure 33 Prévalence des comportements à risque et cyberintimidation, filles 16% 6% 42% 35% 36% 18% 15% 5% 43% 24% Fumeuse actuelle Consommation Déjà fait usage de la excessive d alcool au marijuana cours des 30 derniers jours Déjà fait usage des drogues (autre que la marijuana) Déjà eu des rapports sexuels Victime d intimidation Non Figure 34 Prévalence des comportements à risque et cyberintimidation, garçons 17% 10% 47% 41% Victime d intimidation 34% 25% Non 12% 8% 38% 30% Fumeur actuel Consommation Déjà fait usage de la excessive d alcool au marijuana cours des 30 derniers jours Déjà fait usage des drogues (autre que la marijuana) Déjà eu des rapports sexuels L intimidation à l école est différente de la cyberintimidation. Pour les filles, la prévalence des comportements à risque est liée à l intimidation à l école, alors que pour les garçons, il n y avait pas de différences importantes (Figures 35 et 36). 21 P a g e

22 Figure 35 Prévalence des comportements à risque et intimidation à l école, filles Victime d intimidation Non 14% 6% 41% 36% 30% 20% 13% 5% 37% 26% Fumeuse actuelle Consommation Déjà fait usage de la excessive d alcool au marijuana cours des 30 derniers jours Déjà fait usage des Déjà eu des rapports drogues (autre que sexuels la marijuana) Figure 36 Prévalence des comportements à risque et intimidation à l école, garçons Victime d intimidation Non 38% 43% 29% 26% 28% 32% 11% 10% 8% 8% Fumeur actuel Consommation excessive d alcool au cours des 30 derniers jours Déjà fait usage de la marijuana Déjà fait usage des Déjà eu des rapports drogues (autre que sexuels la marijuana) À la Figure 37, nous pouvons voir que l IMC a peu de répercussions sur la prévalence de la cyberintimidation, tant chez les filles que chez les garçons. Quand il s agit de l intimidation à l école, le taux augmente avec l IMC pour les filles, mais diminue pour les garçons. Figure 37 Prévalence de l intimidation, selon les catégories de l IMC Garçons Filles 10% 24% 26% 26% 24% 24% 26% 22% 16% 12% 19% 32% Poids normal Surpoids Obésité Poids normal Surpoids Obésité Cyberintimidation Intimidation à l école

23 Sondage sur les comportements à risque des jeunes 2011 La Figure 38 indique la prévalence de la cyberintimidation liée à l utilisation de l ordinateur. Tant pour les filles que les garçons, le taux de la cyberintimidation augmente avec l augmentation du temps passé à l ordinateur. Figure 38 Prévalence de la cyberintimidation, selon le temps passé à l ordinateur Garçons Filles 36% 43% 21% 15% 10% 12% 13% 23% <1 heure/jour 1-3 heures/jour 3-7 heures/jour Réponse inappropriée Associations liées au saut du petit déjeuner Les élèves qui ne prennent pas de petit déjeuner presque tous les jours étaient plus susceptibles d avoir les comportements à risque suivants : consommer plus de repas et collations minute et moins de produits céréaliers, de fruits, de légumes et de produits laitiers; avoir un excédent de poids ou être obèses et ne pas suivre les niveaux recommandés d activité physique; fumer, consommer de l alcool ou des drogues illicites et être actifs sexuellement. Il y a un lien important entre la prévalence de tous les résultats en matière de santé mentale et le saut du petit déjeuner, comme l indique le Tableau 1. Table 1: Association entre le saut du petit déjeuner et la santé mentale Never /almost never eat breakfast Eat breakfast Sentiments de tristesse ou de désespoir 41% 24% Idées suicidaires 23% 10% Planification du suicide 17% 6% Tentative de suicide nécessitant un traitement 1.5% 0.7% 23 P a g e

24 Associations entre le poids corporel et la santé mentale Les participants obèses étaient plus susceptibles que les élèves de toutes les autres catégories de l IMC de se sentir tristes ou désespérés (31,8 %), de penser sérieusement à une tentative de suicide (15 %), de planifier leur tentative de suicide (9,8 %) et de faire une tentative de suicide nécessitant un traitement (1,6 %). Le gradient entre l IMC et les idées suicidaires est indiqué à la Figure 39. Figure 39 Association entre le poids corporel et les idées suicidaires 15.10% 10.20% 10.30% 6% Maigreur (dénutrition) Poids normal Surpoids Obésité Associations entre les comportements sédentaires et les résultats en matière de santé mentale Une note sommaire a été calculée à partir de quatre activités sédentaires (jeux vidéo, ordinateur, lecture et télévision ou films) pour déterminer s il y a une corrélation avec les résultats en matière de santé mentale. Il y avait un lien statistiquement significatif entre la note obtenue pour les activités sédentaires combinées et la tristesse, de façon générale et pour chaque genre. La proportion de répondants qui se sentaient tristes augmentait avec l augmentation du temps consacré aux activités non physiques. Une plus grande proportion de filles ont déclaré ressentir de la tristesse à tous les niveaux d activités sédentaires excédant une heure (Figure 40).

25 Sondage sur les comportements à risque des jeunes 2011 Figure 40 Prévalence de la tristesse, selon le nombre d heures moyen d activités sédentaires (par jour) et le genre Garçons Filles 16.2% 14.1% 24.2% 23.5% 17.2% 9.5% 26.7% 28.3% 10.2% 13.5% 21.2% 32.2% <1 heure/jour 1-2 hrs/jour 2-3 hrs/jour 3-4 hrs/jour 4-5 hrs/jour 5+ hrs/jour Pour les associations entre les activités sédentaires combinées et les résultats liés au suicide, les liens ne sont pas aussi clairs. Chez les garçons, des niveaux accrus d idées suicidaires et de planification du suicide correspondaient au niveau le plus faible d activité sédentaire, < 1 heure/jour, alors que chez les filles, il y avait une légère augmentation de la proportion ayant répondu «Oui» à la planification du suicide pour la catégorie de cinq heures ou plus par jour (Figure 41). Figure 41 Prévalence de la planification du suicide, selon le nombre d heures moyen d activités sédentaires (par jour) et le genre Garçons Filles 13.2% 3.8% 1.4% 3.0% 0.3% 6.8% 7.4% 6.9% 4.5% 2.1% 3.9% 8.1% < 1 heure/jour 1-2 heures/jour 2-3 heures/jour 3-4 heures/jour 4-5 heures/jour 5 heures ou +/jour Associations entre la santé mentale et les autres comportements à risque Les figures 42 et 43 indiquent les répercussions du tabagisme et de la consommation occasionnelle excessive d alcool sur la santé mentale. Tant pour les filles que les garçons, mais particulièrement pour les filles, les fumeurs actuels étaient plus susceptibles d avoir des problèmes de santé mentale. Toutefois, il n y avait pas de différence significative pour la consommation occasionnelle excessive d alcool. Il n y avait pas de lien non plus entre l état de santé mentale et la consommation régulière d alcool. D autres comportements à risque, dont 25 P a g e

26 l usage de la marijuana et d autres drogues et les rapports sexuels, ont des répercussions similaires au tabagisme sur la santé mentale. Figure 42 Répercussions du tabagisme sur la santé mentale 56% Fumeur Non-fumeur 31% 17% 31% 18% 7% 33% 12% 10% 4% 24% 8% 2% 7% 0% 1% Garçons Filles Garçons Filles Garçons Filles Garçons Filles Tristesse Idées suicidaires Planification du suicide Tentative de suicide nécessitant un traitment Figure 43 Répercussions de la consommation occasionnelle excessive d alcool sur la santé mentale, chez les élèves ayant déjà consommé de l alcool Consommation massive au moins une fois Aucune consommation massive au cours des derniers 30 jours 47% 40% 23% 23% 11% 9% 21% 17% 7% 5% 14% 11% 1% 1% 2% 2% Garçons Filles Garçons Filles Garçons Filles Garçons Filles Tristesse Idées suicidaires Planification du suicide Tentative de suicide nécessitant un traitment Associations liées aux présentations du BSEO Les présentations du BSEO sur le tabac, l activité physique et l image corporelle ont eu des répercussions positives sur les comportements des élèves. Par exemple, pour les présentations sur l estime de soi et une saine sexualité, la Figure 44 indique que les élèves présentant ces comportements à risque étaient plus susceptibles de participer aux présentations connexes.

27 Sondage sur les comportements à risque des jeunes 2011 Figure 44 Associations liées aux présentations du Bureau de santé 65.8% 52.4% Participation à la présentation 59.0% 46.6% 29.5% 23.5% Non-participation 37.3% 26.6% 60.2% 55.5% Renoncement au tabac et présentation sur le tabagisme Tristesse et présentation sur l estime de soi Niveau élevé d activité physique et présentation sur l activité physique Rapports sexuels et présentation sur la santé en matière de sexualité Planification d une perte de poids et présentation sur l image corporelle DISCUSSION L âge de l initiation à de nombreux comportements à risque (tabagisme, alcool, drogues et rapports sexuels) se situait entre 13 et 16 ans, souvent entre la 8 e et la 11 e année. Cette étude a examiné de façon préliminaire les associations entre de nombreux comportements à risque mis en parallèle. Les limites liées à l utilisation de données transversales comprennent l incapacité de supposer la temporalité (une hypothèse de causalité) à partir de ces liens. De plus, malgré la fiabilité de test-retest chez les élèves de toutes ces années d études, il y a des problèmes potentiels de fiabilité liés à l autodéclaration des données par ce groupe d âge. 1 CONCLUSION Les résultats présentés dans le présent document laissent entendre qu il y a encore du travail à faire pour accroître la sensibilisation des élèves aux comportements favorisant la sécurité et la santé, particulièrement chez les élèves plus âgés. Nous espérons que ces données aideront à renforcer et à appuyer le travail des infirmières de santé publique, des éducateurs en promotion de la santé, des enseignants et des administrateurs qui travaillent avec les jeunes dans les écoles. Ce travail peut aussi être utilisé pour informer les parents qui font face à ces attitudes, comportements et pratiques à la maison et les planificateurs et évaluateurs de programmes qui conçoivent les services visant à répondre aux besoins actuels des élèves, des membres ou groupes de la communauté en général. Il peut aussi être utilisé pour informer les élèves eux-mêmes. 1 Messias E, Castro J, Saini A, Usman M, Peeples D. Sadness, Suicide, and Their Association with Video Game and Internet Overuse among Teens: Results from the Youth Risk Behavior Survey 2007 and Suicide and Life- Threatening Behavior 2011; 41(3): P a g e

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