LES URGENCES EN ORL. Les urgences hémorragiques. Les urgences respiratoires: dyspnées laryngées Les corps étrangers. Les ingestions de caustiques
|
|
- Raymond Doré
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LES URGENCES EN ORL Les urgences hémorragiques Les urgences respiratoires: dyspnées laryngées Les corps étrangers Les ingestions de caustiques
2 1 )Les urgences hémorragiques Prfois redoutables : Richesse de la vascularisation cervicofaciale Souvent hémorragie non extériorisée
3 A) Les épistaxis Anatomie: anastomose carotide interne et externe
4 Anatomie: anastomose carotide interne et externe
5 Clinique : Formes topographiques: Epistaxis antérieure: écoulement par les narines, hgie au niveau de la zone de Kisselbach Epistaxis postérieure: sphéno palatine et hgie sur la paroi pharyngée postérieure
6 Formes suivant l abondance: Faible abondance Moyenne abondance: mais parfois grave par sa répétition Grande abondance: svt méconnue car déglutie ou répétée Signes cliniques des formes graves : Choc hypovolémique:pâleur,sueurs Baisse TA, NFS, HT, HB. Groupe,rhésus, hospitalisation
7 Diagnostic étiologique 1 ) Epistaxis bénigne essentielle: Enfant, spontanément,après grattage, soleil: Rupture au niveau de la tache vasculaire de Kisselbach
8 2 ) Epistaxis secondaire de moyenne ou de grande abondance de cause locale Poussée d HTA +++, hgie postérieure Perturbation de l hémostase ++++: prise d anticoagulants, d aspirine, Hémophilie, thrombopathies, thrombopénies
9 Post chirurgicale: chirurgie endonasale, rhinoseptoplasties Traumatique: - étage antérieur de la base du crâne avec écoulement de LCR - massive et mortelle par rupture de la carotide interne dans le sinus caverneux
10 Causes plus rares: Fibrome naso pharyngien: tumeur du cavum du garçon entre 8 et 18 ans
11 Cancer du cavum Cancer de l ethmoide Maladie de Rendu Osler :angiomatose hémorragique héréditaire avec télangiectasies des muqueuses
12 Traitement Dans tous les cas faire moucher les caillots 1 ) Formes bénignes: Arrêt par compression ou petite mèche Hémostatique + cautérisation chimique, Calmer le malade, antibiothérapie
13 2 ) Formes moyennes ou graves Hospitalisation surtout si formes postérieures Calmer le patient Compensation du choc ++ Traitement de la cause : anticoagulants, plaquettes.
14 Traitement local: Méchage antérieur (Mérocel) ou tamponnement antérieur à la mèche grasse
15
16 Si récidive mise en place de ballonet hémostatique régulièrement dégonflé + antibiothérapie Si récidive embolisation radiologique, ou ligatures artérielles
17 B) Les autres hémorragies -Tumorales : rupture carotidienne sur cancer, indication de ligature de carotide externe ou d embolisation -Post opératoires: après amygdalectomie ou adénoïdectomie - Traumatiques: plaie par arme blanche
18 2 )Les urgences respiratoires: les dyspnées laryngées Aspect clinique Les dyspnées laryngées de l enfant Les dyspnées laryngées de l adulte
19 Aspect clinique des dyspnées laryngées - bradypnée inspiratoire avec tirage et cornage - tirage sus claviculaire, sus sternal ou intercostal
20 - tirage sus claviculaire, sus sternal -Troubles associés de la voix: cordes vocales:dysphonie sous glotte : voix conservée sus glotte: voix étouffée
21 Les dyspnées laryngées de l enfant Par fréquence: - enfant de 1 à 4 ans -nourrisson 1 ) L enfant de 1 à 4 ans: âge des laryngites dyspnéisantes a) la laryngite striduleuse (bénigne) Enfant enrhumé depuis qqes jours,se réveillant vers 23 h en dyspnée laryngée qui cède en qqes mn. Spasme laryngé due aux sécrétions pulmonaires et au relâchement musculaire ( spasme du sanglot)
22 b)la laryngite oedémateuse sous glottique: Début progressif avec dyspnée inspiratoire et Tirage, cornage avec voix claire,toux rauque aboyante caractéristique
23 Dyspnée due à la présence ds la sous glotte d un œdème d origine virale sur un larynx de 3mm
24 Perturbation de l hématose progressive 4 stades de gravité - Situation non inquiétante: enfant peu agité Petite dyspnée et toux aboyante - Situation grave: enfant agité, dyspnée et toux - Situation très grave:tirage majeur, pâleur et immobilité de l enfant - Situation pré terminale: polypnée, cyanose et mort
25 Traitement de la laryngite oedémateuse sous glottique: Stades 1 et 2: Traitement à domicile corticothérapie (dexaméthasone) 1à 2 ampoules IM, + prednisone per os 1 à 2 mg /kg, antibiothérapie, Surveillance de l amélioration Stade 2 et 3: Transport SAMU, hospitalisation, Corticothérapie,aerosols d adrénaline, Si échec intubation
26 c) la laryngite sus glottique ou épiglottite: Rare, redoutable, il s agit d un abcès à Hémophilus influenzae de l épiglotte, après septicémie à hémophilus influenzae Clinique: Dyspnée laryngée, enfant assis en avant, Choc toxi infectieux Dysphagie + sialorrhée et voix étouffée Traitement : Samu, réanimation, intubation ou trachéotomie
27 d) Le croup laryngé (diphtérie) -Rare, le plus souvent après une angine Diphtérique -Coryza sanglant, fausses membranes ds le cavum, voix éteinte,dyspnée laryngée progressive, notion de contage e) Papillomatose laryngée: Infection virale laryngée
28 2 ) Le nourrisson: Chez le nourrisson à la dyspnée s associe un stridor laryngé ( bruit de gloussement de dindon) - à la naissance : paralysie laryngée uni ou bilatérale sténose laryngée congénitale kyste laryngé -plus tard ( jrs): stridor laryngé congénital ou laryngomalacie (hyperlaxité laryngée)
29 -2, 3 mois : Angiome sous glottique du nourrisson
30 Les dyspnées laryngées de l adulte La dyspnée laryngée est tardive: larynx plus grand, s associe une dysphonie Les tumeurs des VADS +++: cancers du larynx et du pharynx
31 Les paralysies laryngées bilatérales : - post thyroïdectomies, - neurologiques : centrales,vasculaires (Syndrome de Gerrhardt), SLA; Les traumatismes et sténoses laryngés: fractures du larynx, sténoses post intubation Les corps étrangers laryngés
32 Nouveauné < 6 mois Orientation diagnostique CAT par le praticien CAT par l ORL Stridor congénital : laryngomalacie (dyspnée rare) Stridor symptomatique : paralysie, malformation, kyste Angiome sous-glottique (après 1 mois) Spasme laryngé (spasme du sanglot) L enfant est en principe déjà hospitalisé Corticoïdes, hospitalisation +/- urgente Sédatif Laryngoscopie diagnostique Intubation, trachéotomie, résection Laryngoscopie, trachéotomie Enfa nt > 6 mois Laryngites aiguës Stridule use Oedéma teuse Diphtéri que Sousglottique Epiglottite Corps étranger laryngé (rare) Instillations nasales, sédatifs Corticoïdes IV, hospitalisation immédiate si dyspnée décompensée ou pas de résultats après 30mn Corticoïdes IV, hospitalisation urgente impérative Hospitalisation urgente Manœuvre de Heimlich, hospitalisation immédiate Intubation, corticoïdes Intubation ou trachéotomie, antibiotiques Isolement, laryngoscopie, sérothérapie, et antibiotiques Extraction Œdème d origine caustique, allergique Corticoïdes IV, hospitalisation si pas de résultats après 30mn Intubation ou trachéotomie Traumatisme externe ou interne (intubation) Hospitalisation urgente impérative Surveillance, intubation ou trachéotomie Papillomatose laryngée Demande de bilan ORL Laser, vaccin, trachéotomie Adulte Bénigne Tumeurs Maligne (pharyngo laryngée) Traumatisme externe ou interne (intubation) Paralysie laryngée bilatérale Corps étranger laryngé Laryngite œdémateuse, toxique, tuberculeuse Demande de bilan ORL Hospitalisation Demande de bilan ORL Hospitalisation immédiate impérative Corticoïdes IV, demande de bilan ORL Endoscopie, chirurgie +/- radiothérapie Surveillance +/- chirurgie Cordectomie postérieure Extraction Laryngoscopie
33 3 ) Les corps étrangers des VADS Les corps étrangers trachéobronchiques Les corps étrangers pharyngooesophagiens Les ingestions de caustiques
34 A)Les corps étrangers trachéobronchiques Fréquence, enfant à partir de 4-5 ans C E végétaux : cacahuètes, amandes petits objets en plastique Clinique : tableau très stéréotypé Syndrome de pénétration: suffocation brutale, quinte de toux, cyanose spontanément résolutif, qq mn, il impose à lui seul une trachéoscopie
35 3 tableaux: Le CE trachéal Le CE enclavé ds une bronche Le CE laryngé
36 Le CE trachéal: Le CE est mobile dans la trachée, enfant assis,calme,quintes de toux avec épisode d asphyxie auscultation bruit de drapeau (va et vient du CE)
37 Le CE enclavé ds une bronche Accalmie après le syndrome de pénétration Clinique: Enfant vu tôt auscultation: abolition du murmure vésiculaire en général à droite percussion: tympanisme avec emphysème pulmonaire
38 Radiologie: Inspiration et expiration forcée Côté obstrué -poumon hyperclair, emphysème,horizontalisation des côtes, disparition de la trame pulmonaire -Refoulement du médiastin du côté sain expiration Inspiration
39 CE gauche
40 Clinique: Enfant vu tard > 1 mois Tableau d atélectasie pulmonaire: Fièvre, crépitants, diminution murmure vésiculaire Radiologie : Foyer pulmonaire, opacité systématisée déplacement du médiastin du côté malade
41 Clinique: Enfant vu très tard > 10 ans Tableau de DDB CE oublié ou non diagnostiqué
42 Le CE laryngé Plus svt l adulte, -blocknée au cours d un repas -extrême urgence manœuvre de Heimlich ou laryngoscope +extraction par pince de Magyll ou trachéotomie
43
44 B)Les corps étrangers pharyngo-oesophagiens Chez l enfant : Pièce de monnaie enclavée ds l hypopharynx Sialorrhée et aphagie Radiographie sans préparation visualise le CE Oesophagoscopie au tube rigide
45 Chez l adulte : CE ds l œsophage cervical sous la bouche os pointu, prothèses dentaires, risque de perforation oesophagienne et de Médiastinite Oesophagoscopie au tube rigide
46 Devenir des CE oesophagiens
47 C)Les autres CE CE narinaires : Rhinite unilatérale CE du conduit auditif externe: Spatule courbe, microscope,ag, insectes
48 4 )Les ingestions de caustiques -Accidentelles : 2 types de brûlures: chez l enfant de 2 à 8 ans ou le produit est recraché -risque fonctionnel : sténose oesophagienne -Produit de vaisselle : soude,eau de Javel -Endoscopie lésionnelle : oesophagoscopie
49 - Suicidaires: Ingestion massive de toxique Risque de perforation oesophagienne Et gastrique Clinique : Recherche de brûlures au niveau de la cavité buccale Oesophagoscopie: Bilan lésionnel de l oesophagite Calibrage oesophagien Traitement: Calibrage, dilatation itérative,prf oesophagoplastie
50
51
Item 313. Epistaxis (avec le traitement) Objectifs pédagogiques
Item 313. Epistaxis (avec le traitement) I. DIAGNOSTIC POSITIF ET DE GRAVITE II. LES DIAGNOSTICS DIFFERENTIELS : III. Conduite à TENIR, devant une épistaxis quelle que soit son importance. IV. TRAITEMENT
Plus en détailOTO-RHINO- LARYNGOLOGIE pharyx, larynx, cancer
OTO-RHINO- LARYNGOLOGIE pharyx, larynx, cancer IFSI Croix Rouge Dr Coulet Olivier Service ORL et chirurgie cervico-faciale Hôpital Laveran Cavité buccale / oropharynx Rappel anatomique rhinopharynx oropharynx
Plus en détailLes cancers des voies aérodigestives supérieures
INFORMATION & PRÉVENTION Les cancers des voies aérodigestives supérieures G R A N D P U B L I C Cancers des Voies Aérodigestives Supérieures (VADS) Généralités Sommaire > Localisation des cancers des VADS.....
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailCancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition
Plus en détailDocteur, j ai pris froid!
Dr j ai pris froid: Objectifs Docteur, j ai pris froid! Jean-Paul Humair Avec la contribution de MC Kramer Colloque SMPR 21.12.2011 Connaitre l épidémiologie des infections des voies respiratoire sup (IVRS)
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailL'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes
L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailPOLYCOPIES DES COURS d ORL Faculté de médecine d Angers
POLYCOPIES DES COURS d ORL Faculté de médecine d Angers Pr Laccourreye 2 INTRODUCTION La réforme du 2 e cycle des études médicales a provoqué un «éclatement» de l enseignement de l otorhinolaryngologie.
Plus en détailQuestionnaire santé et soins médicaux pour les moins de 16 ans
_0_ An Vag Enq N adresse N individuel... Prénom Année de naissance (réservé enquêteur) Questionnaire santé et soins médicaux pour les moins de 6 ans Enquête sur la Santé et la Protection Sociale 00 Prénom
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailItem 308 : Dysphagie
Item 308 : Dysphagie Collège Français d'orl Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...4 SPECIFIQUE :...4 I Physiopathologie...5 II Sémiologie...5 II.1 Symptômes observés au cours
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailRecherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les cancers des voies aérodigestives supérieures
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers des voies aérodigestives supérieures G R A N D P U B L I C Janvier 2009 LES CANCERS DES VOIES AÉRODIGESTIVES
Plus en détailLa toux chronique de l adulte, démarche diagnostique
La toux chronique de l adulte, démarche diagnostique LES RECOMMANDATIONS Des recommandations ont été formulées à l instigation de la Société Française Oto-Rhino- Laryngologie et de la Chirurgie de la Face
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailUNIVERSITE DE PARIS ANNEE UNIVERSITAIRE 2006-2007 MEMOIRE EN VUE DE L OBTENTION DU DIPLOME INTERUNIVERSITAIRE DE PEDAGOGIE MEDICALE
UNIVERSITE DE PARIS ANNEE UNIVERSITAIRE 2006-2007 MEMOIRE EN VUE DE L OBTENTION DU DIPLOME INTERUNIVERSITAIRE DE PEDAGOGIE MEDICALE Création d un site Internet pédagogique à l usage des étudiants de DCEM2
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailTraitement chirurgical du reflux gastro-œsophagien et de la hernie hiatale
Relecture scientifique Société française Relecture juridique Médecins experts Relecture déontologique Médecins Conseil national de l ordre des médecins (CNOM) Relecture des patients Confédération interassociative
Plus en détailItem 308 : Dysphagie
Item 308 : Dysphagie Date de création du document 2008-2009 Table des matières 1 Définition...1 2 Deux types de dysphagie...2 3 Démarche diagnostique en cas de dysphagie oesophagienne... 3 3. 1 Étape 1
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailPRISE EN CHARGE DE L ENFANT QUI TOUSSE OU QUI A DES DIFFICULTÉS RESPIRATOIRES
PRISE EN CHARGE DE L ENFANT QUI TOUSSE OU QUI A DES DIFFICULTÉS RESPIRATOIRES Guide pour les pays à faibles revenus Deuxième Édition 2005 Union Internationale Contre la Tuberculose et les Maladies Respiratoires
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailo Non o Non o Oui o Non
Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence
Plus en détailPrise en charge de l atrésie choanale Choanal atresia management
Annales d Otolaryngologie et chirurgie cervico-faciale xxx (2008) xxx xxx CAS CLINIQUE AUX EXPERTS Prise en charge de l atrésie choanale Choanal atresia management P. Froechlich e, *, G. Roger a, N. Garabedian
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détailquelques points essentiels
actualisation de la conférence d experts sur l intubation difficile: SFAR, SRLF, SFMU, ADARPEF, CARO et CARORL quelques points essentiels Ann Fr Anesth Reanim 2008;27:3-14 - ventilation au masque difficile
Plus en détailDIVERTICULE PHARYNGO-OESOPHAGIEN (DPO) DE ZENKER À PROPOS DE QUATRE CAS J. MOALLA, L. BAHLOUL, B. HAMMAMI, I. CHARFEDDINE, A.
Cas Clinique RESUME Le DPO est une pathologie rare (1% de la pathologie oesophagienne [1,2]). Elle est définie comme une hernie de la muqueuse postérieure de l œsophage à travers les fibres du muscle constricteur
Plus en détailCancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca
Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Vous venez d apprendre que vous avez un cancer Une
Plus en détailLa vaccination, une bonne protection
Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie
Plus en détailApplications Manométriques de la SWS
Applications Manométriques de la SWS G. Desuter MD, MS, FACPE Service ORL et Chirurgie Cervico-Faciale Cliniques universitaires St-Luc, Bruxelles Constat de départ Vidéofluorographie de déglutition et
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailExemple de Projet d Accueil Individualisé ELEVE CONCERNE
Exemple de Projet d Accueil Individualisé Circulaire projet d accueil n 2003-135 du 08/09/2003 (Bulletin Officiel n 34 du 18/9/2003) Circulaire restauration scolaire n 2001-118 du 25/06/2001(BO Spécial
Plus en détailREHABILITATION DE LA FRICHE INDUSTRIELLE DE L ESTAQUE. Surveillance médico-professionnelle des entreprises intervenantes
REHABILITATION DE LA FRICHE INDUSTRIELLE DE L ESTAQUE Surveillance médico-professionnelle des entreprises intervenantes Dr BAJON-THERY Dr COURJARET Dr SURET Dr DEWITTE Dr MICHOT Surveillance médico-professionnelle
Plus en détailhttp://www.aroma-zone.com - contacts@aroma-zone.com
HUILE ESSENTIELLE DE BASILIC TROPICAL Revigorante et vitalisante, tonique puissante du système nerveux. Digestive, antispasmodique. Stress, fatigue, dépression, insomnie Flatulence, indigestion, nausée,
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailItem 262 : Migraine et algie de la face
Item 262 : Migraine et algie de la face Collège Français d'orl Date de création du document 2010-2011 Table des matières * Introduction... 1 1 Classification des céphalées (International Headache Society,
Plus en détailItem 262. Migraine et algie de la face. Objectifs pédagogiques
Item 262. Migraine et algie de la face I. CLASSIFICATION DES CEPHALEES II. MIGRAINE III. ALGIES VASCULAIRES DE LA FACE IV. NEVRALGIES V. CEPHALEES ASSOCIEES A UNE DOULEUR DE LA FACE (DENTAIRE, SINUSIENNE,
Plus en détailChapitre 2 : Respiration, santé et environnement.
Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailModules optionnels. Passer à l acte en implantologie
Passer à l acte en implantologie Modules optionnels est un cycle de formation basé sur des travaux pratiques de chirurgie implantaire, permettant de confirmer les acquis théoriques. À l issue du cursus,
Plus en détailMaurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC
Séance plénière 2 : La collaboration interprofessionnelle entre médecins et infirmières Nous examinerons durant cette séance les questions clés liées à la collaboration interprofessionnelle entre médecins
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailCertificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale
Certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale Guide Reconnaissance par la SSO du statut de praticien généraliste Le certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailCentre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37
Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D.711-9-1 1 (Décret
Plus en détailABREGE D HEPATO-GASTRO-ETROLOGIE- 2ème édition - Partie «Connaissances» - Octobre 2012 par la CDU-HGE - Editions Elsevier-Masson
Chapitre 36 : Item 308 Dysphagie I. Définition II. Deux types de dysphagie III. Démarche diagnostique en cas de dysphagie œsophagienne IV. Dysphagies lésionnelles V. Dysphagies fonctionnelles OBJECTIF
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailFonctions non ventilatoires
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 11 : Fonctions non ventilatoires Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailLes fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org.
Les fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org. Les maladies invalidantes Repères sur l asthme généralités
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailLe problème de la première ou nouvelle. céphalée. Il faudra avant tout :
Les céphalées Le problème de la première ou nouvelle Il faudra avant tout : céphalée Rechercher des signes d alarme Rechercher avant tout le caractère secondaire de la céphalée Signes d alarme Début après
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailDossier Administratif du Patient
Handident Franche-Comté CHBM - service ORL (Docteur LEGER) Cadre réservé Handident FC N adhérent au réseau Handident FC 2, rue du Docteur Flamand 25209 MONTBELIARD Cedex Dossier Administratif du Patient
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailQuestionnaire Médical
Nom et prénom(s) de l élève: Date de naissance: Questionnaire Médical Ce formulaire est à compléter, avant de commencer l année scolaire, pour les nouveaux élèves ainsi que pour les élèves poursuivant
Plus en détailL'imputabilité et l'état antérieur dans le dommage corporel
L'imputabilité et l'état antérieur dans le dommage corporel Pr. Chadly Ali Service de Médecine Légale Hôpital Universitaire-Faculté de Médecine de Monastir Chadly.ali@rns.tn Introduction : L'imputabilité
Plus en détailItem 145. Tumeurs de la cavité buccale et des voies aérodigestives. Objectifs pédagogiques
Item 145. Tumeurs de la cavité buccale et des voies aérodigestives supérieures. I. EPIDEMIOLOGIE II. TRAITEMENT III. DIAGNOSTIC ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE IV. SUIVI POST-THERAPEUTIQUE V. PREVENTION VI.
Plus en détailANALYSER et PROTÉGER.
1/ Analyser et Protéger Alerter 2/ Secourir. 3/ PLS Inconscience 4/ RCP Réanimation cardio-pulmonaire 5/ Malaises plaies 6/ brûlures traumatisme noyade ANALYSER et PROTÉGER. Être rapide et calme 1/ Analyser
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailMIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.
MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailSEMIOLOGIE RESPIRATOIRE
SEMIOLOGIE RESPIRATOIRE RENNES SEPTEMBRE 2005 1 INTRODUCTION En octobre 1987 paraissait un «polycopié» intitulé «SEMIOLOGIE RESPIRATOIRE» rédigé par le groupe Enseignement de la Société de Pneumologie
Plus en détailGastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy
Service de Chirurgie Viscérale Centre Hospitalier de Saint Malo Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy Chère Patiente, Cher Patient, Vous devez être opéré(e) en raison de votre forte
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailBPCO * La maladie respiratoire qui tue à petit feu. En France, 3,5 millions de personnes touchées dont 2/3 l ignorent. 17 000 morts chaque année...
BPCO * La maladie respiratoire qui tue à petit feu. *Bronchopneumopathie chronique obstructive. En France, 3,5 millions de personnes touchées dont 2/3 l ignorent. 17 000 morts chaque année... Fondation
Plus en détailRéférentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité :
Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : DERMATOLOGIE ET VENEROLOGIE ADC - Acte de chirurgie BAFA005 1 (I, O) BAFA006 1 0 Exérèse non transfixiante de lésions multiples
Plus en détailLe protecteur buccal : tout à fait génial!
Le scellement des puits et fissures : bien sûr! Les crevasses des surfaces masticatrices emprisonnent facilement les débris d aliments et les bactéries, favorisant ainsi la carie. Dès que les premières
Plus en détailComment ça va? Quand ça ne va pas. 4 comment ça va?
Comment ça va? 1 Voici quatre dialogues. Dites à quelle situation de communication correspond chacun d eux. Situation a) : consultation chez un médecin. Situation b) : salutations dans la rue, par simple
Plus en détailSituation Agent Schéma posologique*
Le besoin d une antibioprophylaxie pour la prévention d une endocardite infectieuse et d une infection hématogène à la suite d une arthroplastie doit être envisagé sur une base individuelle et en collaboration
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailF. LAVRAND CHIRURGIE INFANTILE HOPITAL DES ENFANTS CHU BORDEAUX
F. LAVRAND CHIRURGIE INFANTILE HOPITAL DES ENFANTS CHU BORDEAUX Excès s de croissance des cotes et des cartilages causant soit une dépression d (PECTUS EXCAVATUM) soit une protrusion (PECTUS CARINATUM)
Plus en détailPLAQUETTE D INFORMATION
Mutuelle du personnel du groupe Société Générale PLAQUETTE D INFORMATION Registre National des Mutuelles N 784 410 805 Juillet 2010 Comment calculer un taux de remboursement de Mutuelle? Les remboursements
Plus en détailTout sur la toux! La toux est une des principales causes de. La classification de la toux. Les caractéristiques de la toux selon son étiologie
Tout sur la toux! Mise àj our Louis-Philippe Boulet, MD, FRCPC, FCCP La classification de la toux La toux est une des principales causes de morbidité et un des plus fréquents motifs de consultation médicale.
Plus en détail