Chapitre 9. L évaluation des actions
|
|
- Judith Beausoleil
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chapitre 9 L évaluation des actions Introduction Comment déterminer la valeur des actions? Loi du prix unique : le prix d un actif financier doit être égal à la valeur actuelle des flux futurs auxquels a droit son propriétaire. Pour évaluer le prix d une action, il faut donc connaître : les flux futurs dont bénéficiera l actionnaire le coût des capitaux propres à utiliser pour actualiser ces flux futurs. Problème : les flux futurs sont très difficiles à estimer.
2 Plan 9.1. Prix, rentabilité et horizon de placement 9.2. Le modèle d actualisation des dividendes 9.3. Deux modèles alternatifs d évaluation actuarielle 9.4. L évaluation des actions par la méthode des comparables 9.5. Information, concurrence et prix des actions 9.1. Prix, rentabilité et horizon de placement Placement à un an Rendement, gain en capital et rentabilité Exemple 9.1 Placement sur plusieurs périodes
3 Placement à un an Rendement, gain en capital et rentabilité La rentabilité d une action doit être égale à la rentabilité espérée des placements alternatifs, disponibles sur le marché, de risque similaire.
4 Exemple 9.1 Prix et rentabilité des actions Les investisseurs anticipent dans un an : un dividende de 0,56 par action un cours de 45,50. La rentabilité espérée des placements de risque identique est de 6,80 %. Quel doit être le prix d une action? Quel est le rendement, le gain en capital et la rentabilité espérés? Placement sur plusieurs périodes
5 Placement sur plusieurs périodes 9.2. Le modèle d actualisation des dividendes Le modèle de Gordon-Shapiro (hypothèse de taux de croissance constant des dividendes) Exemple 9.2 L arbitrage entre dividende actuel et dividendes futurs Le cas des entreprises en expansion Les limites du modèle d actualisation des dividendes
6 Le modèle d actualisation des dividendes La valeur d une action est fonction de l espérance des dividendes futurs de l entreprise. Quels seront les dividendes futurs? L hypothèse la plus courante consiste à supposer que les dividendes croissent à un taux constant à long terme. Le modèle de Gordon-Shapiro Le scénario le plus simple consiste à supposer que le taux de croissance g des dividendes est constant à l infini.
7 Exemple 9.2. Évaluation d une action par le modèle de Gordon-Shapiro Dividendes prévus dans un an : 2,30 / action Coût des capitaux propres : 7 % Taux de croissance des dividendes : 2 % P =? Le coût du capital =>
8 L arbitrage entre dividende actuel et dividendes futurs Pour être capable de verser des dividendes futurs très élevés, une entreprise doit accepter de verser aujourd hui des dividendes plus faibles (et réciproquement). Un modèle de croissance simple d t le taux de distribution des dividendes L entreprise ne peut donc augmenter le dividende que de trois façons Augmenter le bénéfice ; Augmenter le taux de distribution des dividendes ; Hypothèse : d t est constant Réduire le nombre d actions en circulation (rachats d actions). Hypothèse : le nombre d actions en circulation est constant
9 Un modèle de croissance simple Exemple 9.3. Réduire les dividendes actuels pour financer la croissance Bénéfice espéré = 6 / action d t = 100 % P 0 = 60 Nouveau projet : Rentabilité attendue = 12 % ou 8 % d t = 75 % P =?
10 La croissance est-elle rentable? Une diminution des dividendes permettant de financer de nouveaux investissements fait augmenter le prix de l action ssi les nouveaux investissements ont une VAN positive. Le cas des entreprises en expansion Plusieurs raisons rendent impossible l utilisation du modèle précédent pour estimer la valeur des actions de ces (jeunes) entreprises. ces entreprises ne versent pas de dividendes quand elles sont jeunes ; leur taux de croissance n est pas constant. La forme générale du modèle d actualisation des dividendes peut néanmoins être utilisée, en distinguant différentes périodes.
11 Le cas des entreprises en expansion H : g se stabilise une fois que l entreprise est à maturité à la date N Exemple 9.4. Évaluation d une entreprise avec deux taux de croissance différents BPA 0 = 2. BPA augmente de 20 % par an jusqu à t = 4. Dans 4 ans : Le taux de croissance se stabilisera à son niveau de long terme = 4 % ; Le taux de distribution sera alors = 60 %. r CP = 8 %. => P 0 =?
12 Exemple 9.4. Évaluation d une entreprise avec deux taux de croissance différents Les limites du modèle d actualisation des dividendes Alstom début 2008 : Cours de bourse = 132,55 Dividende espéré = 1,5 Hypothèse : r CP = 12 % ; g = 11 % Hypothèse : r CP = 12 % ; g = 10 % => P 0 = 75!
13 Les limites du modèle d actualisation des dividendes Les dividendes futurs dépendent des bénéfices futurs, de d t et du nombre d actions en circulation. Les bénéfices dépendent à leur tour des charges d intérêts, elles-mêmes fonction de la dette de l entreprise. Le nombre d actions en circulation ainsi que d t dépendent de la propension de l entreprise à racheter ses propres actions. L endettement et les plans de rachat d actions sont des décisions quasi-discrétionnaires des dirigeants ; elles ne peuvent pas être anticipées de façon fiable Deux modèles alternatifs d évaluation actuarielle Le modèle d actualisation des dividendes augmenté Le modèle DCF La valeur de marché de l actif économique. Le coût moyen pondéré du capital La planification financière.
14 Le modèle d actualisation des dividendes augmenté Les conséquences des rachats d actions sur le modèle de Gordon-Shapiro : plus l entreprise rachète d actions, moins elle peut verser de dividendes ; en rachetant ses actions, l entreprise diminue le nombre de titres en circulation et augmente mécaniquement son bénéfice et son dividende par action. Le modèle d actualisation des dividendes augmenté Modèle d actualisation des dividendes : Modèle d actualisation des dividendes augmenté : L actualisation porte sur le montant total des dividendes et des rachats d action ; Le taux de croissance considéré est celui du bénéfice, plutôt que celui du BPA.
15 Exemple 9.6. Évaluation des actions en présence de rachats d actions Nombre d actions en circulation = 217 millions. Bénéfice espéré = 860 millions d euros. Taux de croissance des bénéfices = 7,5 %. Taux de distribution des bénéfices = 50 % (constant) 30 % sous forme de dividendes 20 % en rachats d actions Coût des capitaux propres est de 10 %. => P 0 =? Le modèle d actualisation des flux de trésorerie disponibles (modèle DCF) Valeur de marché de l actif économique = Valeur de marché des capitaux propres + Dette nette Modèle DCF
16 Le coût moyen pondéré du capital r CMPC est la rentabilité moyenne espérée que l entreprise doit offrir à ses investisseurs, pour rémunérer les risques. Si la dette de l entreprise est nulle, r CMPC = r CP. Cf. parties IV et V. avec Exemple 9.7. Le modèle DCF CA (2007) = 518 millions d euros. Le taux de croissance du CA sera de 9 % en 2008, puis baissera d un point par an jusqu à atteindre en 2011 le taux moyen de croissance du secteur, 4 %. L augmentation du BFR devrait être égale à 10 % de la variation du CA. L entreprise a 100 millions d euros de trésorerie et une dette de 3 millions d euros. Il y a 21 millions d actions en circulation. Le taux d imposition est de 33 %. Le coût moyen pondéré du capital est de 11 %. => Quelle est la valeur d une action début 2008?
17 Exemple 9.7. Le modèle DCF Les investissements compensent exactement les amortissements, ces deux postes peuvent donc être négligés. Modèle DCF et planification financière La valeur de l actif économique de l entreprise peut donc s interpréter comme la VAN totale que l entreprise obtiendra grâce à ses projets actuels et futurs. La VAN d un projet particulier est la contribution de ce projet à la valeur de l actif économique. Pour maximiser le prix d une action de l entreprise, il faut donc accepter tous les projets ayant une contribution positive aux FTD de l entreprise, c est-à-dire une VAN positive. Du fait de l incertitude la prévisions des FTD, une analyse de sensibilité s impose.
18 Exemple 9.8. Évaluation actuarielle et analyse de sensibilité Résultat d exploitation : 9 % 10 % du CA => P 0 =? En 2008, le résultat d exploitation est supérieur de 1 % 564,6 millions = 5,6 M par rapport à l exemple 9.7. Hausse des FTD de (1 0,33) 5,6 millions = 3,5 M. Une comparaison des modèles d évaluation actuarielle des actions
19 9.4. L évaluation des actions par la méthode des comparables Les multiples Le PER Les multiples de l actif économique Les autres multiples Les limites des multiples Comparaison avec les méthodes actuarielles Pour résumer : l évaluation des actions Le PER (price earning ratio, P/E) ou ratio de capitalisation des bénéfices PER = prix de l action / bénéfice par action PER = capitalisation boursière de l entreprise / bénéfice total (chapitre 2). La valeur d une entreprise peut donc être estimée en multipliant son bénéfice par action courant par le PER d entreprises comparables.
20 Le PER prévisionnel Comment calculé le PER? A partir du bénéfice passé au cours des 12 derniers mois en glissement (trailing PER)? ou à partir de son bénéfice prévisionnel anticipé pour les douze mois à venir (forward PER). Exemple 9.9. PER et évaluation des actions Herman : BPA = 1,38 Le PER moyen d entreprises similaires = 21,3. D après la méthode des multiples, quel est le prix de l action Herman? Quelles sont les hypothèses? Le prix de l action est calculé en multipliant le BPA par le PER des entreprises comparables. P 0 =?
21 Les multiples de l actif économique Multiples fondés sur la valeur de l actif économique plutôt que sur la valeur des capitaux propres. Lorsqu il s agit de comparer des entreprises dont l endettement diffère. Multiple d EBE, multiple de résultat d exploitation ou multiple des flux de trésorerie disponibles. Exemple : multiple d EBE Exemple Multiple de l actif économique et évaluation Rocques : BPA = 2,30 ; Dette = 125 M ; EBE = 30,7 M Nb. d actions en circulation = 5,4 millions. Matte : PER = 13,3 ; Dette = 0 ; Valeur de l actif économique / EBE = 7,4. Quelle est, d après les deux multiples, la valeur des actions Rocques? Quel estimation est la plus fiable?
22 Les autres multiples Il est possible d exprimer la valeur de l actif économique comme un multiple du CA suppose que les entreprises réalisent la même marge commerciale Multiples spécifiques à un secteur d activité un magasin de prêt-à-porter s évalue à l aide d un multiple de chiffre d affaires par m² de boutique une entreprise de téléphonie mobile ou de fourniture d accès Internet peut être comparée à ses concurrentes sur la base d un actif économique par abonné Les limites des multiples Deux entreprises ne sont jamais parfaitement identiques. Janvier 2006, les cours des actions Nike, Puma et Reebok étaient respectivement de 84,20 $, 312,05 $ et 58,72 $ pour une capitalisation boursière totale de 21,8, 5,1 et 3,5 milliards de $. Mais elles affichaient un rapport valeur comptable sur valeur de marché très différent : 3,59, 5,02 et 2,41. De même, elles affichaient des multiples de chiffre d affaires de : 1,43, 2,19 et 0,90. Différences de conventions comptables entre les pays Les comparables fournissent des informations relatives. Il est donc impossible de savoir si un secteur, dans son ensemble, est sur- ou sous-évalué Exemple : les entreprises de la «nouvelle économie» pendant la bulle Internet à la fin des années 1990)
23 Comparaison avec les méthodes actuarielles La méthode des multiples peut être considérée comme un raccourci. L inconvénient majeur réside dans l ignorance des différences entre entreprises «comparables». La source de création de valeur étant la capacité à offrir aux investisseurs des flux futurs élevés, la méthode des flux futurs actualisés peut être considérée comme étant plus robuste et mieux fondée que la méthode des multiples 9.5. Information, concurrence et prix des actions L information contenue dans les cours boursiers Concurrence et marchés efficients L hypothèse d efficience des marchés Information publique et facile à interpréter Information privée et/ou difficile à interpréter Conséquences de l hypothèse d efficience des marchés Les conséquences pour les investisseurs. Les conséquences pour les dirigeants d entreprise. L hypothèse d efficience des marchés et l absence d opportunités d arbitrage
Fondements de Finance
Programme Grande Ecole Fondements de Finance Chapitre 5 : L évaluation des actions Cours proposé par Fahmi Ben Abdelkader Version étudiants Mars 2012 Valorisation des actifs financiers 1 Les taux d intérêt
Plus en détailValoriser dans une optique de développement: réussir une levée de fonds
ENTREPRISE ET PATRIMOINE RDV TransmiCCIon 23 mai 2013 Valoriser dans une optique de développement: réussir une levée de fonds Conseil en fusions-acquisitions et ingénierie financière Intégrité indépendance
Plus en détailDISCOUNTED CASH-FLOW
DISCOUNTED CASH-FLOW Principes généraux La méthode des flux futurs de trésorerie, également désignée sous le terme de Discounted Cash Flow (DCF), est très largement admise en matière d évaluation d actif
Plus en détailL INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH»
193-202.qxp 09/11/2004 17:19 Page 193 L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH» Département analyse et prévision de l OFCE La rentabilité des entreprises s'est nettement redressée en 2003 et 2004. Amorcée aux
Plus en détailPRINCIPES ET APPROCHES DE L EVALUATION D ENTREPRISES
PRINCIPES ET APPROCHES DE L EVALUATION D ENTREPRISES Plan Introduction Partie 1: Rappel des principales méthodes d évaluation financière Partie 2: la méthode Discounted Cash Flow Partie 3: la méthode des
Plus en détailThéorie Financière 4E 4. Evaluation d actions et td d entreprises
Théorie Financière 4E 4. Evaluation d actions et td d entreprises Objectifs de la session 1. Introduire le «dividend discount model» (DDM) 2. Comprendre les sources de croissance du dividende 3. Analyser
Plus en détailComment valoriser une entreprise et sur quels critères? ISEC 22 novembre 2011 Evaluation d entreprises
1 Comment valoriser une entreprise et sur quels critères? ISEC 22 novembre 2011 Evaluation d entreprises Sommaire Préambule Comment bien évaluer une entreprise? Le diagnostic Le business plan L approche
Plus en détailCAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE
CAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE Eléments d appréciation du prix de rachat des CCI émis par la CRCAM d Aquitaine dans le cadre de l approbation par l'assemblée générale des sociétaires,
Plus en détailtable des matières PARtie i introduction Notations courantes... XXIII Les auteurs... XXV Avant-propos... XXVII Remerciements...
table des matières Notations courantes............................................................... XXIII Les auteurs......................................................................... XXV Avant-propos.......................................................................
Plus en détailLorsqu une entreprise a besoin de capitaux pour financer des projets à long terme, elle doit décider
Partie V Structure financière et valeur de l entreprise Chapitre 14 La structure financière en marchés parfaits Lorsqu une entreprise a besoin de capitaux pour financer des projets à long terme, elle doit
Plus en détailChapitre 3 L interprétation des documents financiers et la planification financière
Chapitre 3 L interprétation des documents financiers et la planification financière Réponses aux Questions et problèmes 1. Actif Passif Actif immobilisé Capitaux propres Machines 46 000 Capital social
Plus en détailComment évaluer une banque?
Comment évaluer une banque? L évaluation d une banque est basée sur les mêmes principes généraux que n importe quelle autre entreprise : une banque vaut les flux qu elle est susceptible de rapporter dans
Plus en détailI La théorie de l arbitrage fiscal de la dette (8 points)
E : «Théories de la finance d entreprise» Master M1 Université Paris-Dauphine Thierry Granger Année Universitaire 2013/2014 Session 1 Aucun document, calculette autorisée Durée 1h30 Respecter la numérotation
Plus en détailECGE1314 - Finance d entrepise Scéance 2 : évaluation d actifs Professor : Philippe Grégoire Assistant : J.Clarinval
ECGE1314 - Finance d entrepise Scéance 2 : évaluation d actifs Professor : Philippe Grégoire Assistant : J.Clarinval Exercice 1 : Vous achetez une voiture 30.000 euros et vous empruntez ce montant sur
Plus en détailDossier 1 ETUDE DE CAS
DSCG session 2012 UE2 Finance Corrigé indicatif Dossier 1 ETUDE DE CAS 1. Evaluation de GRENELLE: 1.1. Valeur des fonds propres Vcp par la méthode des DCF Evolution du chiffre d affaires (TCAM : 6,7%)
Plus en détailRÉSULTATS ANNUELS 2013 Réunion financière du 5 mars 2014
RÉSULTATS ANNUELS 2013 Réunion financière du 5 mars 2014 Intervenants Jean Louis Bouchard Président Bruno Lemaistre Directeur Général Jean Philippe Roesch Directeur Général P. 1 Sommaire 1 2 3 4 5 6 Le
Plus en détailRecueil de formules. Franck Nicolas
Recueil de formules Nous avons répertorié dans cette section, les différentes formules expliquées tout au long de cet ouvrage, afin de vous permettre de trouver rapidement l opération que vous souhaitez
Plus en détailTable des matières. Avant-propos. Chapitre 2 L actualisation... 21. Chapitre 1 L intérêt... 1. Chapitre 3 Les annuités... 33 III. Entraînement...
III Table des matières Avant-propos Remerciements................................. Les auteurs..................................... Chapitre 1 L intérêt............................. 1 1. Mise en situation...........................
Plus en détailChapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 décembre 2014 à 14:22 Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? Ce chapitre ne fait plus partie du programme, mais il est conseillé de
Plus en détailAnalyse Financière Les ratios
Analyse Financière Les ratios Présenté par ACSBE Traduit de l anglais par André Chamberland andre.cham@sympatico.ca L analyse financière Les grandes lignes Qu est-ce que l analyse financière? Que peuvent
Plus en détailCORRIGES DES CAS TRANSVERSAUX. Corrigés des cas : Emprunts
CORRIGES DES CAS TRANSVERSAUX Corrigés des cas : Emprunts Remboursement par versements périodiques constants - Cas E1 Objectifs : Construire un échéancier et en changer la périodicité, Renégocier un emprunt.
Plus en détailValorisation d entreprise et théorie financière
Florence PIERRE avec la collaboration d Eustache Besançon Valorisation d entreprise et théorie financière 2004 ISBN : 2-7081-2980-5 PARTIE 2 Les déterminants boursiers et économiques de la valeur L objectif
Plus en détailEfficience de l actif de l entreprise
Solutions d assurance-vie Efficience de l actif de l entreprise Gérer. Profiter. Préserver. Une solution intelligente pour les professionnels : l assurance-vie permanente, un actif unique pouvant offrir
Plus en détailsofipaca UNIVERSITE D ORAN ES SENIA Michel POURCELOT 17-18 FEVRIER 2007 1
sofipaca UNIVERSITE D ORAN ES SENIA Michel POURCELOT 17-18 FEVRIER 2007 1 1 GENERALITES SUR LE CAPITAL INVESTISSEMENT LE CAPITAL DEVELOPPEMENT ET LE CAPITAL TRANSMISSION 17-18 FEVRIER 2007 2 2 DEFINITIONS
Plus en détailCommuniqué de presse 5 mars 2015
RESULTATS ANNUELS 2014 : DYNAMIQUE DE CROISSANCE CONFIRMEE Accélération de la croissance organique des ventes Nouvelle progression du résultat opérationnel courant de +10,6% Hausse du résultat net des
Plus en détailFISCALITÉ ET BUSINESS PLAN : DE LA DÉDUCTIBILITÉ DES CHARGES FINANCIÈRES
FISCALITÉ ET BUSINESS PLAN : DE LA DÉDUCTIBILITÉ DES CHARGES FINANCIÈRES Pierre Astolfi et Olivier Ramond SFEV Matinale du 17 avril 2013 INTRODUCTION (1/2) Depuis 2006, 4 enjeux en matière de construction
Plus en détailUn essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013
Un essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013 L objectif de cette note est de présenter une mesure de la ponction actionnariale. Son point de départ est un double
Plus en détailNETBOOSTER FR0000079683 ALNBT FAIR VALUE: 6,6
Marina Ilieva marina@nexfinance.fr www.nexresearch.fr 6 septembre 2006 NETBOOSTER FR0000079683 ALNBT FAIR VALUE: 6,6 Données boursières K 2005 2006e 2007e 2008e Dern. Cours 5,72 Chiffre d'affaires 8 901
Plus en détailLA THEORIE DE LA VALEUR DE L ENTREPRISE
LA THEORIE DE LA VALEUR DE L ENTREPRISE Laurent BATSCH Professeur de sciences de gestion Université PARIS-DAUPHINE, CEREG (umr cnrs) L évaluation d entreprise s appuie sur quelques concepts fondamentaux
Plus en détailThéorie Financière 2014-2015
Théorie Financière 2014-2015 1. Introduction Professeur Kim Oosterlinck E-mail: koosterl@ulb.ac.be Organisation du cours (1/4) Cours = Théorie (24h) + TPs (12h) + ouvrages de référence Cours en français
Plus en détailMETHODES D EVALUATION
METHODES D EVALUATION C.R.A. PANSARD & ASSOCIES Présentation du 27 septembre 2004 G. Lévy 1 METHODES D EVALUATION SOMMAIRE 1 Définition et approche de la «valeur» 2 - Les principales méthodes d évaluation
Plus en détailRÉSULTATS ANNUELS 2014
RÉSULTATS ANNUELS 2014 Chiffre d affaires de 48,5 Mds, en progression organique de + 4,7 % En France : - Fin du cycle de repositionnement tarifaire des enseignes discount (Géant et Leader Price) - Développement
Plus en détailUne approche rationnelle Investir dans un monde où la psychologie affecte les décisions financières
La gamme de fonds «Finance Comportementale» de JPMorgan Asset Management : Une approche rationnelle Investir dans un monde où la psychologie affecte les décisions financières Document réservé aux professionnels
Plus en détailCréation de valeur et capital-investissement
Sciences de gestion Synthèse de cours & exercices corrigés Création de valeur et capital-investissement Un panorama complet des méthodes traditionnelles et modernes de création de valeur (EVA, profit économique,
Plus en détailAOF. L analyse fondamentale. bourse. mini-guide. Comment investir en Bourse? Mai 2009
AOF mini-guide bourse «Comment investir en Bourse? L analyse fondamentale Mai 2009 L analyse fondamentale SOMMAIRE Les objectifs de l analyse fondamentale p. 4 Comment lire les comptes d une société cotée?
Plus en détailLes obligations. S. Chermak infomaths.com
Les obligations S. Chermak Infomaths.com Saïd Chermak infomaths.com 1 Le marché des obligations est un marché moins médiatique mais tout aussi important que celui des actions, en terme de volumes. A cela
Plus en détailPropriétés des options sur actions
Propriétés des options sur actions Bornes supérieure et inférieure du premium / Parité call put 1 / 1 Taux d intérêt, capitalisation, actualisation Taux d intéret composés Du point de vue de l investisseur,
Plus en détailRésultats annuels 2005
Résultats annuels 2005 SOMMAIRE Chiffres clés Activité 2005 - Crédit-Bail Immobilier/Location Longue Durée - Location simple Résultats 2005 Structure financière LOCINDUS en bourse Perspectives pour 2006
Plus en détailLISTE D EXERCICES 2 (à la maison)
Université de Lorraine Faculté des Sciences et Technologies MASTER 2 IMOI, parcours AD et MF Année 2013/2014 Ecole des Mines de Nancy LISTE D EXERCICES 2 (à la maison) 2.1 Un particulier place 500 euros
Plus en détailSOMMAIRE RÉSULTATS SEMESTRIELS 2011 PRÉAMBULE 2 PERFORMANCE COMMERCIALE 6 RÉSULTATS CONSOLIDÉS 9 STRUCTURE FINANCIÈRE 13 SQLI EN BOURSE 18
SOMMAIRE RÉSULTATS SEMESTRIELS 2011 PRÉAMBULE 2 PERFORMANCE COMMERCIALE 6 RÉSULTATS CONSOLIDÉS 9 STRUCTURE FINANCIÈRE 13 SQLI EN BOURSE 18 STRATÉGIE & PERSPECTIVES 21 CONCLUSION 28 1 RAPPEL DU POSITIONNEMENT
Plus en détailINTACT CORPORATION FINANCIÈRE ANNONCE SES RÉSULTATS DU DEUXIÈME TRIMESTRE DE 2010
Communiqué de presse TORONTO, le 5 août 2010 INTACT CORPORATION FINANCIÈRE ANNONCE SES RÉSULTATS DU DEUXIÈME TRIMESTRE DE 2010 Bénéfice net d exploitation par action en hausse de 34 % en raison de l amélioration
Plus en détailExcellente performance au premier semestre 2011 pour Sopra Group
Communiqué de Presse Contacts Relations Investisseurs : Kathleen Clark Bracco +33 (0)1 40 67 29 61 kbraccoclark@sopragroup.com Relations Presse : Virginie Legoupil +33 (0)1 40 67 29 41 vlegoupil@sopragroup.com
Plus en détailFORMATION. Finance Immobilière. Acquisition
Acquisition Equipes financières de foncières, fonds, promoteurs et investisseurs Revoir les fonctionnalités d Excel nécessaires à la modélisation Acquérir une culture financière indispensable à l audit
Plus en détailCalcul d analyse financière
Calcul d analyse financière Version du 1 er octobre 2014 Cette fiche s'adresse aux services de l État mandatés pour mener une analyse financière et est susceptible de contribuer à la définition du niveau
Plus en détailDOLLARAMA OBTIENT DE SOLIDES RÉSULTATS POUR LE DEUXIÈME TRIMESTRE ET ANNONCE UN FRACTIONNEMENT D ACTIONS ORDINAIRES À RAISON DE DEUX POUR UNE
Pour diffusion immédiate DOLLARAMA OBTIENT DE SOLIDES RÉSULTATS POUR LE DEUXIÈME TRIMESTRE ET ANNONCE UN FRACTIONNEMENT D ACTIONS ORDINAIRES À RAISON DE DEUX POUR UNE MONTRÉAL (Québec), le 11 septembre
Plus en détailPrincipes de Finance
Principes de Finance 11. Politique de dividende Daniel Andrei Semestre de printemps 2011 Principes de Finance 11. Dividendes Printemps 2011 1 / 39 Plan I Introduction II Les modalités de rémunération des
Plus en détailNorme comptable internationale 33 Résultat par action
Norme comptable internationale 33 Résultat par action Objectif 1 L objectif de la présente norme est de prescrire les principes de détermination et de présentation du résultat par action de manière à améliorer
Plus en détailPrincipes de Finance
Principes de Finance 9 et 10. Politique de financement Daniel Andrei Semestre de printemps 2011 Principes de Finance 9 & 10. Financement Printemps 2011 1 / 62 Plan I Introduction II La structure financière
Plus en détailINTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE
INTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE Avril 2013 EVALUATION D ENTREPRISE 1 Introduction en bourse Une introduction en bourse est avant tout une opération financière. Les avantages financiers de
Plus en détailPrincipes d octroi de crédit et rôle des garanties. Eric Schneider 25.01.2008
Principes d octroi de crédit et rôle des garanties Eric Schneider 25.01.2008 Introduction «Mieux vaut un bon crédit en blanc qu un crédit mal garanti» Vieil adage bancaire Responsabilité Principes d octroi
Plus en détailLexique. L actif sans risque a des flux certains car son émetteur ne peut pas faire faillite (un Etat solvable).
Lexique Actif sans risque L actif sans risque a des flux certains car son émetteur ne peut pas faire faillite (un Etat solvable) Action Valeur mobilière représentant une part de capital d une société Elle
Plus en détail5 raisons d investir dans des fonds d actions américaines
5 raisons d investir dans des fonds d actions américaines Avec toute la volatilité qui règne sur les marchés ces derniers temps, nombreux sont les investisseurs qui cherchent à diversifier leur portefeuille.
Plus en détailBonne tenue de l activité au premier semestre 2009
Paris, le 27 août 2009 Bonne tenue de l activité au premier semestre 2009 Croissance organique hors essence et effet calendaire de +1,3% Quasi-stabilité de la marge d EBITDA en organique Résistance des
Plus en détailL interprétation des documents financiers et la planification financière
73 CHAPITRE 3 L interprétation des documents financiers et la planification financière OBJECTIFS Comparer les visions économique et comptable de l entreprise. Montrer comment l information comptable peut
Plus en détailAu second semestre 2010 : Sur l année 2010 : Perspectives 2011 :
11.05 Valeo : résultat net de 365 millions d euros en 2010, soit 3,8 % du chiffre d affaires ; performance opérationnelle en avance sur le plan stratégique présenté en mars 2010 Au second semestre 2010
Plus en détailFiche. Le diagnostic financier. 1 Introduction. 2 Le contexte du diagnostic. A Les objectifs du diagnostic financier. B Les préalables du diagnostic
Le diagnostic financier Fiche 1 1 Introduction Le diagnostic financier permet d évaluer le potentiel de l entité. Il peut se faire en différentes occasions (achat d entreprise, placements, demande d emprunt,
Plus en détailLe WACC est-il le coût du capital?
Echanges d'expériences Comptabilité et communication financière Dans une évaluation fondée sur la méthode DCF, l objectif premier du WACC est d intégrer l impact positif de la dette sur la valeur des actifs.
Plus en détailCegedim : Un chiffre d affaires 2013 en léger recul en organique*
SA au capital de 13 336 506,43 euros R. C. S. Nanterre B 350 422 622 www.cegedim.com COMMUNIQUE DE PRESSE Page 1 Information Financière Trimestrielle au 31 décembre 2013 IFRS - Information Réglementée
Plus en détailLA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier
LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE 2 Section 1. Problématique de la gestion du risque de change Section 2. La réduction de l exposition de l entreprise au risque de change Section 3. La gestion du risque de
Plus en détailANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL
ANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL Il donne une vision plus économique, il présente la manière dont les emplois sont financés par les ressources. Il permet de mieux comprendre le fonctionnement de
Plus en détailAnnées 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 TOTAL 45 35 38 37 38 Moyenne europ. 42 37 37 36 34 Moyenne mond. 54 55 56 54 52
Quelques ratios boursiers couramment utilisés comme données de l élaboration du benchmarking du groupe Total : Total (avant les fusions avec Fina puis Elf) comparé aux moyennes des pétroliers (européenne
Plus en détailDividende au titre de l exercice 2013 Proposition de distribution d un dividende de 1,70 euros par action, en hausse de 13 %
14.08 En 2013, chiffre d'affaires de Valeo de 12 110 millions d'euros, en hausse de 9 % (à périmètre et taux de change constants), marge opérationnelle en hausse de 10 % à 795 millions d'euros, soit 6,6
Plus en détailChapitre 6 - Comment analyser des projets d investissement. Plan
Chapitre 6 - Comment analyser des projets d investissement Plan Maximisation et création de valeur Le concept de Valeur Actuelle Nette Les différents types d investissements Les critères du choix d investissement
Plus en détailPrésentation des termes et ratios financiers utilisés
[ annexe 3 Présentation des termes et ratios financiers utilisés Nous présentons et commentons brièvement, dans cette annexe, les différents termes et ratios financiers utilisés aux chapitres 5, 6 et 7.
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE. Sèvres, le 28 avril 2015
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Sèvres, le 28 avril 2015 Progression de la croissance Internet à +4,1%, chiffre d affaires consolidé en légère baisse et renforcement des partenariats avec les grands acteurs du web
Plus en détailLa Banque Nationale divulgue des résultats record au premier trimestre de 2014
COMMUNIQUÉ PREMIER TRIMESTRE 2014 La Banque Nationale divulgue des résultats record au premier trimestre de 2014 L information financière contenue dans le présent document est basée sur les états financiers
Plus en détailLes clés de l évaluation. Hervé Bardin
Les clés de l évaluation Hervé Bardin Evaluation d entreprise : principes généraux Evaluation d entreprise : principes généraux Que veut-on évaluer? Contexte de l évaluation Typologie des méthodes d évaluation
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.3 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)
Plus en détailNature et risques des instruments financiers
1) Les risques Nature et risques des instruments financiers Définition 1. Risque d insolvabilité : le risque d insolvabilité du débiteur est la probabilité, dans le chef de l émetteur de la valeur mobilière,
Plus en détailDécouvrir la Bourse et le Marché Financier GLOSSAIRE
Découvrir la Bourse et le Marché Financier GLOSSAIRE Actions Actions à dividende prioritaire Action de concert Actionnaire majoritaire Actionnaire minoritaire Actions ordinaires Actionnariat salarié Administrateurs
Plus en détailRapport de gestion annuel Exercice terminé le 31 décembre 2013
Rapport de gestion annuel Exercice terminé le 31 décembre 2013 Le présent rapport de gestion relatif aux résultats, à la situation financière et aux flux de trésorerie de Industries Lassonde inc. se doit
Plus en détailLES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1
LES SIIC et la retraite Étude réalisée par Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF Les SIIC et la retraite 1 23 juin 2014 2 Les SIIC et la retraite La retraite est, avec l emploi et
Plus en détailNOTICE D INFORMATION
FCP A FORMULE PULPEA ELIGIBLE AU PEA NOTICE D INFORMATION Forme Juridique de l'opcvm : F.C.P. Etablissements désignés pour recevoir les souscriptions et les rachats : Agences des CAISSES REGIONALES de
Plus en détailExercices & cours de Gestion en vidéo - BTS MUC. Liste des formules. (Consultez également «Liste des tableaux»)
Liste des formules (Consultez également «Liste des tableaux») Table des matières LES CALCULS COMMERCIAUX... 4 Le coefficient multiplicateur... 4 Montant de TVA... 4 TVA collectée... 4 TVA déductible...
Plus en détailRapport financier du premier trimestre de 2013-2014
Rapport financier du premier trimestre de -2014 Pour la période terminée le Financement agricole Canada Financement agricole Canada (FAC), dont le siège social se trouve à Regina, en Saskatchewan, est
Plus en détailDCG session 2010 UE4 Finance d entreprise Corrigé indicatif. Dossier 1 - Diagnostic financier
DCG session 2010 UE4 Finance d entreprise Corrigé indicatif Dossier 1 - Diagnostic financier 1. Intérêt des tableaux de flux de trésorerie - Analyse de l évolution de la trésorerie Les tableaux de flux
Plus en détailGuide de l investisseur
Guide de l investisseur Sommaire 2 Les principes d investissement 5 Les différentes formes d investissement 6 Les obligations 16 Les actions 24 Les fonds d investissement 36 Les produits dérivés 42 Les
Plus en détailPérennisation de l entreprise. Participation au contrôle de gestion
btsag.com 1/15 26/09/2011 Pérennisation de l entreprise Auteur : C. Terrier; mailto:webmaster@btsag.com ; http://www.btsag.com Utilisation: Reproduction libre pour des formateurs dans un cadre pédagogique
Plus en détailRésultats de l exercice clos au 31 Août 2013 (Période du 1 er Septembre 2012 au 31 Août 2013) Résultat net pénalisé par la faiblesse de l activité
Communiqué de presse La Fouillouse, le lundi 9 décembre 2013 Résultats de l exercice clos au 31 Août 2013 (Période du 1 er Septembre 2012 au 31 Août 2013) Résultat net pénalisé par la faiblesse de l activité
Plus en détailNote:... Q1 :... Q2 :... Q3 :... Q4 :... Bonus :... Total :...
FACUL S HAUS US COMMRCIALS L'UNIVRSI LAUSANN Professeurs :. Andrei C. Bobtcheff Matière : Principes généraux de finance Session : té Informations générales: o ocumentation autorisée. o Calculatrices autorisées
Plus en détailCalcul d une provision technique en assurance vie dans le cadre de Solvabilité 2. Le cas des contrats d épargne : les approches «markedto model»
Calcul d une provision technique en assurance vie dans le cadre de Solvabilité 2 Le cas des contrats d épargne : les approches «markedto model» Luca De Dominicis formation Sepia 10 juin 2008 Sommaire 1.
Plus en détailLe PEA : pour épargner dans un cadre fiscal avantageux (1)
Page 1 sur 5 Le PEA : pour épargner dans un cadre fiscal avantageux (1) Le Plan d Epargne en Actions (PEA) est une enveloppe fiscale destinée à recevoir des placements en actions européennes. Il n impose
Plus en détailAvertissement sur les risques liés aux instruments financiers Clients professionnels
Avertissement sur les risques liés aux instruments financiers Clients professionnels 07/10/2014 Le présent document énonce les risques associés aux opérations sur certains instruments financiers négociés
Plus en détailFinance pour Manager non financier. Formation
Page 1/5 Formation Référence : Durée 1 : 2 semaines Date : Du 02 au 13 Novembre 2015 Type de formation : Inter-Entreprise Lieu : INTERNALE CONSULTING-CASABLANCA (MAROC) Prix et modalités de paiement Le
Plus en détailOù investir en 2014? Grand colloque sur la gestion des actifs des caisses de retraite
Où investir en 2014? Grand colloque sur la gestion des actifs des caisses de retraite Optimisation de la politique de placement : vers quelles classes d actifs se tourner? Stéphan Lazure Conseiller principal
Plus en détailFinancer la transmission de votre entreprise
Financer la transmission de votre entreprise Laurent Genest Directeur principal, Transfert d entreprises Banque Nationale Claude Lafond Directeur principal, Investissements Caisse de dépôt et placement
Plus en détailL augmentation de capital
L augmentation de capital Pr C. Cadiou L augmentation de capital social est une opération courante de la vie des sociétés. C est une procédure visant à renforcer les fonds propres, rubrique essentielle
Plus en détailPortfolio Management Simulation Manuel
Portfolio Management Simulation Manuel Règles du jeu Bourse Action Obligation Option Risque Avenue Beauregard 11 1700 Fribourg e bsu@unifr.ch http://bsu.unifr.ch Table des matières Règles du jeu PMS...
Plus en détailDCG session 2008 UE6 Finance d entreprise Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER
DCG session 2008 UE6 Finance d entreprise Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER Première partie : Les outils du diagnostic financier proposés dans cette étude 1. Calculer les soldes intermédiaires
Plus en détailLes opérations à effet de levier - LBO. Isabelle Martinez Master CCA2
Les opérations à effet de levier - LBO Isabelle Martinez Master CCA2 Définition Un LBO ou Leveraged Buy Out est le rachat des actions d'une entreprise par un ou plusieurs fonds d investissement spécialisés.
Plus en détailLA COMPTABILITE DE COUVERTURE EN IFRS DEMYSTIFIEE **** IMA France 5 février 2008 Xavier Paper et Patrick Grinspan. Paper Audit & Conseil 1
LA COMPTABILITE DE COUVERTURE EN IFRS DEMYSTIFIEE **** IMA France 5 février 2008 Xavier Paper et Patrick Grinspan Paper Audit & Conseil 1 Sommaire 1. Définition de la relation de couverture 2. Le swap
Plus en détailEXAMEN DE CERTIFICATION. Unité de valeur 2 CORRIGÉ. Marchés financiers, gestion des valeurs mobilières et des produits financiers.
Association Française des Conseils en Gestion de Patrimoine Certifiés CGPC Membre du Financial Planning Standards Board (PFSB) Association déclarée loi du 1 er juillet 1901 (et textes subséquents) EXAMEN
Plus en détailLES OPERATIONS SUR LE MARCHÉ DES CHANGES. Finance internationale, 9 ème éd. Y. Simon & D. Lautier 1
LES OPERATIONS SUR LE MARCHÉ DES CHANGES Finance internationale, 9 ème éd. Y. Simon & D. Lautier 1 Couverture : Protéger des créances ou des dettes (commerciales ou financières) contre le risque de variation
Plus en détailLE CONT- RAIRE DE SEUL AU MONDE
LE CONT- RAIRE DE SEUL AU MONDE Seul au monde? C est le sentiment que chacun éprouve quand il s agit de préparer l avenir, protéger ses proches, anticiper les risques de la vie. Le contraire de seul au
Plus en détailA Toute Vitesse (FR0010050773 MLATV) FAIR VALUE : 12
Guy Cohen guy@nexfinance.fr www.nexresearch.fr 30 août 2006 A Toute Vitesse (FR0010050773 MLATV) FAIR VALUE : 12 Données boursières Compte de résultat, M 2005 2006 e 2007 e 2008e Dern. Cours 7,70 Chiffre
Plus en détailLe financement adossé de l immobilier en gestion de patrimoine : une modélisation simple
Le financement adossé de l immobilier en gestion de patrimoine : une modélisation simple Laurent Batsch ahier de recherche n 2005-01 Le financement adossé est une des modalités de financement de l investissement
Plus en détailProfil Financier du CAC 40
26 JUIN 2012 1 Profil Financier du CAC 40 Présentation du 26 juin 2012 Sommaire Présentation générale «Profil CAC 40» 4 Indicateurs clés 8 Structure financière 14 Valorisation boursière 17 Analyse des
Plus en détailIMPOSITION DES INTÉRÊTS, DES DIVIDENDES ET DES GAINS EN CAPITAL A CHYPRE LOIS ET DÉCRETS
IMPOSITION DES INTÉRÊTS, DES DIVIDENDES ET DES GAINS EN CAPITAL A CHYPRE LOIS ET DÉCRETS Loi relative à l impôt sur le revenu (amendement) de 2005 Loi relative à la contribution spéciale à la défense (amendement)
Plus en détailACTIONS ET OBLIGATIONS Les placements financiers en quelques mots
Aperçu des actions et des obligations Qu est-ce qu une action? Une action est une participation dans une entreprise. Quiconque détient une action est copropriétaire (actionnaire) de l entreprise (plus
Plus en détail