Communication Signalisation. Présenté par: M. Dehimat

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1 Communication Signalisation Présenté par: M. Dehimat 1

2 Généralités Répéteurs impliqué dans l Endocytose Récepteurs à la transferrine & récepteurs aux lipoprotéine faible densité Récepteurs extracellulaires (Surface) Régulation des récepteurs de surface Récepteurs intracellulaires Signalisation par des récepteurs hormonaux intracellulaire, Rôle de Ca++ dans la transduction des signaux Diffusion d ion et potentiel de membrane Régulation des récepteurs de surface Signalisation chez les plantes Défauts dans les voies de transduction du signal (Cas du Cancer) 2

3 Apprendre les déférentes voies de transduction du signal Comprendre la spécificité du complexe récepteurs-ligands dans l activation des voies de signalisation Classifier les récepteurs/ ligands selon leurs mode d activation et leurs localités dans la cellule Savoir le dégrée de sensibilité des voies de signalisation, aux altérations de l interruption du signal qui peuvent provoquer des tumeurs 3

4 4

5 Chez l homme et les autres organismes multicellulaires, des molécules signal spécifiques sont libres des cellules d un organe et sont perçue par les cellules d autres organes partout dans le corps, le message «molécule signal est présente» est converti en des changement spécifiques du métabolisme ou de l expression des gènes par l intermédiaire de réseaux souvent complexes désignés «voies de transduction du signal» Ces voies amplifient le signal initial er provoquent des changement dans les propriétés des molécules effectrices spécifiques 5

6 De petites domaines qui reconnaissent des résidus spécifiques sont présents dans beaucoup de protéines de signalisation et sont essentiels pour déterminer la spécificité des interaction Des gènes codant pour des composants de voies de transduction du signal qui contrôlent la croissance des cellules sont souvent mutés dans le cancer qui peuvent être mutés en forme (oncogène: qui sont activé de manière constitutive et indépendant des signaux) 6

7 Introduction L énorme capacité structurelle et fonctionnelle des organismes multicellulaire est due à leur capacité de cordonnier les réaction biochimique des divers cellules de l organisme entier La base de cette coordination est la communication intercellulaire qui permet à une cellule d influencer le comportement d autres cellules d une manière spécifique 7

8 A) Définition La communication cellulaire peut être définie de la manière suivante : ce sont des signaux moléculaires (ou messagers) émis par une cellule (dite émettrice) et reconnus par une autre cellule (dite réceptrice, sachant que la cellule émettrice peut être également la cellule réceptrice). La réception du signal extérieur est suivie d'un relais à l'intérieur de la cellule qui va conduire à l'amplification du signal induisant des effets moléculaires variés ainsi qu'un changement d'état de la cellule réceptrice. Ce processus est organisé dans le temps et discontinu. 8

9 Régulation cellulaire suite à un signal extracellulaire 9

10 Définitions 10

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25 Autres molécules informationnelles Les immunoglobulines Facteurs de croissance 25

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28 colony stimulating factors, leukemia inhibitory factor, stem cell factor, insulin-like growth factors 28

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31 Stratégies 31

32 Communication cellulaire 32

33 2. Le type autocrine La cellule sécrète un signal soluble qui agit sur un de ses propres récepteurs. La cellule émettrice est la cellule cible 33

34 3. Communication de cellule à cellule échange de molécules par le biais des jonctions communicantes. Transmission de signaux par le biais des cadhérines (cf cours adhérence cellulaire). Ligand attaché à la membrane de la cellule Y se lie au récepteur membranaire de la cellule X. 34

35 1) A proximité 1. Le type paracrine Les médiateurs sont : sécrétés à proximité de la cellule cible par les cellules voisines très rapidement détruits. 35

36 2) A distance 1. Le type endocrine Des cellules spécialisées sécrètent des molécules (hormones) qui sont larguées dans le sang circulant et se distribuent dans tout l'organisme. Mécanisme relativement lent (de plusieurs secondes à plusieurs heures). Compte tenu de la dilution des hormones, les cellules cibles doivent posséder des récepteurs de haute affinité (10-8 M). 36

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38 2. Transport synaptique Le corps du neurone est parfois situé très à distance de la cellule cible. Le neurone émetteur transmet le signal, par le biais d'un long prolongement cellulaire (l'axone), à la cellule cible. 38

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40 B) Principes de la communication cellulaire 1) Spécificité de diffusion Les cellules possèdent (ou non) le récepteur (noté R) ou message (noté A). Le message peut être diffusé soit : A toutes les cellules (ex : l'insuline) ou réservé à un ou plusieurs types très spécifiques de cellules (les cellules rénales). 40

41 2) Variabilité dans les récepteurs pour un même ligand Un même ligand est capable d'induire des réponses différentes d'une cellule ou d'un récepteur à l'autre Comme le montre si bien ce schéma : 41

42 Dans cet exemple, le messager agit comme facteur de croissance en augmentant le taux de cycline. Schéma descriptif de la régulation de différentes cellules suite à la réception d'un même signal 42

43 Il y a activation du récepteur transmembranaire après qu un facteur hydrosoluble s y est fixé. La protéine relais va se fixer sur ce récepteur transmembranaire et la protéine relais va changer de conformation puis va se fixer sur la région promoteur du gène cible qui active la transcription et conduisant à la synthèse de protéine. Les facteurs liposolubles se fixent sur le récepteur intracellulaire puis le couple récepteur intracellulaire-facteur liposoluble va sur le gène pour activer la transcription. 43

44 Lorsque le récepteur change de conformation, le récepteur ouvre par exemple un bouveau domaine et ce récepteur peut alors recruter une protéine (= croix rouge sur le schéma). Cette protéine va changer de conformation et va se phosphoryler où se désphosphoryler et va changer de conformation. La protéine (=croix rouge du schéma) est un facteur de transcription qui va se fixer sur la région promoteur d un gène et va se transloquer (= adresser au noyau) et alors on à une augmentation de la synthèse d ARNm. Lorsque le facteur liposoluble se fixe à une protéine porteuse qui se fixe à un récepteur liposoluble intracellulaire, le récepteur change de conformation puis l ensemble récepteur facteur liposoluble va dans le noyau et peut par exemple se lié au promoteur d un gène et permet la synthèse d ARNm. 44

45 3. Communication par des médiateurs gazeux Ils peuvent être : monoxyde d'azote NO ; oxyde de carbone CO...Ils traversent facilement les membranes cellulaires. Exemple : NO vasodilatation (rôle vasodilatateur de la nitroglycerine), relaxation des fibres musculaires lisses, neurotransmission. Les NO-synthases transforme l arginine en NO+ citruline. Ce NO active une enzyme nommé guanylate cyclase qui transforme le GMP en GMPc. 45

46 Récepteurs membranaires «Ligand» Milieu extracellulaire Membrane plasmique Cytosol R é c e p t e «Effecteur u primaire» r «Transduction» «2nd messager» «Effecteur secondaire» 46

47 Récepteurs membranaires Ehrlich, 1910 : «Pour qu une substance puisse agir, elle doit se fixer» R membranaires : protéines membranaires intrinsèques reconnaissant des molécules hydrophiles (peptides, protéines ) 3 Domaines : - Extracellulaire hydrophile (glycosylé) site de reconnaissance & fixation spécifique du ligand - Transmembranaire Séquence(s) hydrophobe(s) - Intracellulaire Domaine fonctionnel (Transduction) Mono / multimère 47

48 Récepteurs membranaires Ligand libre Récepteur Liaison de faible énergie L. hydrogène L. Van der Waals L. ioniques L. Hydrophobes Grand nombre Sensibles l environnement (ph, ions ) 48

49 Récepteurs membranaires Comment le signal extracellulaire est converti en signal intracellulaire? 49

50 Récepteurs membranaires Allostérie Milieu extracellulaire Messager extracellulaire Membrane plasmique Cytosol Messager intracellulaire 50

51 Récepteurs membranaires ou Coopération? VEGF-R 51

52 Récepteurs membranaires Tous les ligands sont-ils égaux devant un récepteur? 52

53 Ligands / Agonistes / Antagonistes Ligands Agoniste Antagoniste - Compétitifs - Non compétitifs «Agent qui se lie à un récepteur spécifique en induisant son activation» «Substance qui se lie à un récepteur spécifique sans provoquer son activation mais qui peut bloquer l action d un médiateur agoniste» Agoniste Signal intracellulaire Antagoniste Signal intracellulaire 53

54 Ligands / Agonistes / Antagonistes - Curare, -bungarotoxine - Tétracaïne et Proadifen 54

55 Récepteurs membranaires FGF FGF-R3 FGF-R3 - Cellules épithéliales (vessie, prostate) Chondrocytes - lignée B Prolifération Prolifération Carcinome Hypochondroplasie, Nanisme thanatophore 55

56 Récepteurs membranaires Exemples VEGF-B VEGF-A 1 ligand x récepteurs & x ligands 1 récepteur Membrane plasmique Cytosol VEGF-R1 VEGF-R2 Tie-2 Cellule endothéliale 56

57 Récepteurs membranaires 1 récepteur plusieurs ligands 1 ligand plusieurs récepteurs 1 ligand + 1 récepteur plusieurs effets (cellules) Effet cellulaire = F (récepteur, ligand, type cellulaire) Sans oublier les interactions entre les voies de signalisation!!! 57

58 La liaison d'un récepteur et de son ligand est : hyperaffine (reconnaissance du ligand parmi des millions de molécules de l'environnement) spécifique (liaison très préférentielle pour un ligand) réversible (ce qui permet la désactivation du R) Il peut y avoir X récepteurs ayant des actions ou des spécificités tissulaires différentes pour une même hormone. 58

59 Récepteurs membranaires Récepteurs membranaires À activité enzymatique Sans activité enzymatique RTK RTP Canaux Couplés R (RYK) (RYP) ioniques Prot G cytokines 59

60 Récepteurs membranaires Récepteurs membranaires À activité enzymatique Sans activité enzymatique RTK RTP Canaux Couplés R (RYK) (RYP) ioniques Prot G cytokines 60

61 Récepteurs membranaires Récepteurs membranaires À activité enzymatique Sans activité enzymatique RTK RTP Canaux Couplés R (RYK) (RYP) ioniques Prot G cytokines 61

62 Récepteur canaux ionique-dépendants Peuvent être classés : 1. Soit canal ionique et récepteur ne 2. Soit le canal ionique est couplé à font qu un (A) : ce sont les un récepteur (B): ce sont les récepteurs canaux ionique (RCI) récepteurs couplés à des canaux ou récepteurs ionotropique, le ionique (RCCO) ou récepteurs ligand pouvant être extracellulaire métabotropique, la liaison au ( le plus souvent récepteur, le plus souvent un neurotransmetteur ) ou récepteur couplé aux protéines G intracellulaire ( un ion : Na +, k+ ( ou RCPG), pouvant être : Ca++, ou une petite molécules Directe par les p G elle-même o(gs, Gi p,ex, ATP), et Gbg) indirecte par un second messager ou une protéine kinase dépendent du RCPG ou d un récepteur membranaire (RM) 62

63 Récepteur canal ionique Canal ionique = pore aqueux Ionotropique transport passif d ions (sens gradient électrochimique) Métabotropique 63

64 Récepteur canal ionique Ionotropique Métabotropique Acétylcholine Nicotinique Muscarinique (muscle squelettique) (muscle cardiaque) Glutamate NMDA, AMPA, kainate mglur GABA GABAA GABAB (Ac. -amino butyrique) Autres Sérotonine Adrénaline (β-adr.) 64

65 Récepteur canal ionique Récepteurs cholinergiques Ionotropique Type Métabotropique nicotinique Nom muscarinique rapide Conduction Lente SNC (10 %) + SNP Cell. Musc. Sq. Expression S.N. Expression périphérique SNC (90 %) + SNP Musc. card., Cell. Endo. 7 Sous-types 5 Excitateur Effet Excitateur / Inhibiteur 65

66 Récepteur nicotinique Structure pentamérique : 2, ou Monomère : 4 hélices (M1-M4) 66

67 B - RECEPTEURS A 7 DOMAINES TRANSMEMBRANAIRES 67

68 Stimuli sensoriels Photons Ions (molécules olfactives, (rhodopsine Ca++ gustatives, phéromones) des batonnets) Petites molécules endogènes - acides aminés (acide glutamique et -amino-butyrique) - amines (acétylcholine, adrénaline, noradrénaline, dopamine, histamine, mélatonine, sérotonine) - nucléosides (adénosine) et nucléotides (ADP, ATP, UTP) - lipides (anandamide, leucotriènes, Platelet Activating Factor, prostaglandines, thromboxane A2) Protéines - glucagon - hormones glycoprotéiques (thyrotropine TSH, lutropine LH, follitropine FSH, choriogonadotropine HCG) - protéases (thrombine) 68

69 CYCLE DES PROTEINES G 69

70 EFFECTEURS DES PROTEINES G Nombreuses isoformes de chacune des sous-unités Gas/Gai Gaq Gao Amines b-adrénergiques Acétylcholine Acétylcholine Hormones parathyroïdiennes Amines a-adrénergiques Amines a-adrénergiques Glucagon [+] [-] Neuromédiateurs Neuromédiateurs vasopressine Adénylate cyclase Phospholipase C Canaux Ca++ Canaux K+ Transducine ATP AMPc PIP2 IP3 (Ca++) (PKA) DAG (PKC) Phosphodiesterase 70

71 GaS GLUCAGON Amines β adrénergiques L activation des effecteurs/le niveau de 2nd messager nd est la résultante d un équilibre Exemple de l AMPc Adenylate cyclase Gai Acetylcholine Amines a adrénergiques + INSULINE Activation / inhibition Réponse cellulaire 71

72 LES RECEPTEURS A 7 DOMAINES TRANSMEMBRANAIRES Voies relayant le signal : effecteurs des proteines G G Ligand Récepteur PIP2 PKC Protéine DAG PLC Gaq Gas/i AC ATP P Protéine IP3 AMPc PKA ou Protéine Ca++ RE Ca++ Ca++ IP4 Protéine P Ca++ Calmoduline Ca++ Ny CAM-kinases Protéine PKA Protéine P Activée ou inhibée CREB CRE (camp response element) P 72

73 Récepeteurs-enzyme Ex: R tyrosine kinase (TK) qui sont comme dans le cas 3 de l image précédente. 6 familles. Tous ont un domaine TK dans leur portion C- Terminale intra cytoplasmique. 1 seul domaine transmembranaire. Récepteurs TK se lient au ligand (noté L). Soit les récepteurs existent sous forme de dimères, soit ils se dimérisent au moment de la liaison au L. Modification de conformation qui se transmet au domaine intra cellulaire activation du domaine catalytique et chaque récepteur phosphoryle une tyrosine de son partenaire Recrutement de mol de signalisation qui se lient aux tyrosines phosphorylées activation d'autres molécules puis signal de dimérisation du ligand 73

74 Exemple : angiogenèse, multiplication des vaisseaux en réponse à l'hypoxie (= diminution d O2)L hypoxie favorise la production de VGEF qui sera libéré dans le cytosol le VEGF va dimériser le récepteur et activer une phosphorylation. 74

75 Peuvent être activés en même temps ou non par deux récepteurs et deux ligands différents. Peuvent se combiner par activation de deux R et conduire à un effet cellulaire. 75

76 Transduction du signal 76

77 Libération du signal 1. Exocytose Des ligands hydrophiles stockés dans les vésicules sont libérés par exocytose contrôlée (cf exemple thyroïde, cours lysosomes). La plupart des ligands sont hydrophiles. 2. Shedding = Clivage. Le clivage se fait par une protéase de la partie extracellulaire d'une protéine transmembranaire, qui libère un ligand actif. On a dit que le stimulus était limité dans le temps, il existe donc des mécanismes chargés d'inactiver le ligand. 77

78 Processus d'inactivation 1. Dégradation par des phénomènes enzymatiques. 2. Recapture 78

79 3. Shedding Des protéines clivent le domaine extracellulaire du récepteur, ce qui entraine la libération d'un récepteur soluble qui peut lier le ligand dans le milieu extracellulaire sans effets sur la cellule, le R ne lui étant plus attaché. 4. Activation d'une protéine inhibitrice 5. Endocytose récepteur dépendant 79

80 4) Rétro-contrôle (feed-back) De manière directe ou indirecte, le changement de l'état cellulaire induit par la réception d'un signal affecte en retour l'émission du signal. Feed back négatif : inhibition du signal de départ Feed back positif : amplification du signal de départ 80

81 Communication cellulaire 81

82 Rôles Les cellules d'un organisme pluricellulaire doivent communiquer les uns avec les autres pour : le développement et l'organisation des tissus contrôler leur croissance réguler leur fonction Ces facteurs de communication extérieurs : influent sur la survie induisent la mort ou la prolifération des cellules modifient leur fonction 82

83 C) Codage et émission du signal 1) Synthèse, transport, stockage 1. Les ligands hydrophiles (ex : insuline)le ligand peut être de nature peptidique mais pas toujours (comme par exemple l'adrénaline). Il est stocké après sa synthèse dans le cytoplasme de cellules spécialisées. Sa sécrétion est déclenchée par un signal extracellulaire. Il est ensuite transporté sous forme libre dans le plasma (car il ne peut pas traverser la membrane plasmique). Il se lie enfin à un récepteur spécifique membranaire sur la cellule cible. Durée d'action : courte. 83

84 F) Modalités de transmission du signal 1) Transmission membranaire 1. Généralités sur les récepteurs membranaires Glycoprotéine transmembranaire (un ou plusieurs domaines). Monomère ou dimère (fixation du ligand => dimérisation). La fixation du ligand (hydrosoluble) induit la modification de forme sur récepteur. se transmet à travers les portions transmembranaires démasque les fonctions biochimiques au niveau du domaine intracellulaire (activité enzymatique de type kinase, ouverture d'un canal ionique, liaison à une protéine G) le 84

85 3. Les seconds messagers Ce sont des molécules intracellulaires activées par l'activation d'un récepteur suite à la liaison avec son ligand qui activent d'autre molécules à leur tour (cascade d'activation) => effet final du ligand sur comportement cellulaire. Elles participent à l'amplification du signal. Plusieurs types, Ex : IP3, AMPc (AMP cyclique). 85

86 SECOND MESSAGERS Ca

87 SCHEMA GENERAL DE LA TRANSDUCTION DU SIGNAL SIGNAL /LIGAND diffusion (molécules liposolubles / hydrosolubles) contact cellule/cellule Spécificité Sensibilité RECEPTION /RECEPTEUR Récepteurs nucléaires Pompes/canaux ioniques Récepteurs à 7TM Récepteurs-enzymes Sensibilité TRANSDUCTION /EFFECTEURS AMPLIFICATION REPONSE /CIBLE Intégration Enzyme : - synthèse 2nd messager (AMPc, DAG, IP3) - commutateur moléculaire (cascade enzymatique, phosphorylation) Canal/pompe : 2nd messager Ca++ Activité des protéines Gènes Canaux ioniques, TERMINAISON / RETROCONTROLE 87

88 RECEPTEURS A 7TM : EXTINCTION DU SIGNAL Diminution de la concentration en agoniste (ex : fente synaptique / acetylcholinesterases) Activité GTPase des protéines G Désensibilisation par phosphorylation Internalisation Retrocontrole négatif 88

89 Comment ça déroule la cascade du signal?! Exemples de complexe macromoléculaire permettant la transmission du signal vers l'intérieur de la cellule 89

90 Pr. K. Gharzouli Bioch Physiol Exp 17 90

91 Protéine de signalisation = "COMMUTATEUR" protéique Pr. K. Gharzouli Bioch Physiol Exp 18 91

92 Récepteurs intracellulaires 92

93 Les ligands hydrophobes Le ligand est souvent de nature lipidique. Sa sécrétion est également déclenchée par un signal extracellulaire. Durée de vie : longue. Il sont transportés par des protéines porteuses (PP) plasmatiques spécialisées (binding protein). Le complexe hormone PP se dissocie près de la cellule cible. L'hormone traverse la membrane plasmique. L'hormone se lie avec une haute affinité à un R cytologique ou nucléaire de nature protéique. 93

94 Réseau de protéines de signalisation intracellulaire Pr. K. Gharzouli Bioch Physiol Exp 15 94

95 Récepteurs intracellulaires Ex : les récepteurs des hormones steroïdes. A l'état de repos ( L non fixé sur le R) une protéine inhibitrice est fixée à l'endroit du site de liaison récepteur ADN (Heat Shock Protein 90). Lors de l'activation (L lié au site de liaison) la P inhibitrice HSP90 se détache du R. Le complexe L R est transféré dans le noyau (translocation). Il se dimérise avec une molécule homologue. Et se fixe à l'adn sur une séquence de reconnaissance de P nucléotides (ERH : élément de réponse à l'hormone).* Le site régulateur est situé en amont des gènes (facteurs de transcription). 95

96 Des médicaments anti-hormonaux prennent la place des hormones naturelles sur les récepteurs (ex : anti-oestrogènes, cancer du sein ) Antagonistes : même affinité ou affinité supérieure au ligand naturel mais la liaison n'est pas suivie d'activation du récepteur. On a des séquences consensus dans tous les gènes sensibles à la testostérone. 96

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