Vers un nouvel atterrissage en douceur
|
|
- Coralie Bouchard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Trimestriel n 29 juillet 211 Vers un nouvel atterrissage en douceur Depuis le début de l année apparaissent des signes de tassement du marché résidentiel : recul des ventes, amorce de freinage des prix (qui restent toutefois en forte hausse), début de repli de la production de crédits habitat. Le marché a été très soutenu en 2 et ce freinage est en partie un effet de contrecoup. Que peut-on attendre sur les prochains trimestres? Le marché immobilier devrait rester assez soutenu. D abord, les «fondamentaux» favorables du marché vont continuer à jouer. Ensuite, l effet «valeur refuge» devrait demeurer très présent. Les incertitudes géopolitiques, économiques et financières restent fortes. En particulier, la crise persistante de la dette souveraine des pays périphériques européens alimente les inquiétudes des investisseurs et devrait conforter l attrait de l immobilier aux dépens des marchés boursiers et obligataires. Enfin, les avantages fiscaux sont légèrement rabotés mais restent incitatifs, notamment le dispositif Scellier. Ces éléments positifs vont compenser les effets d une conjoncture économique mitigée : croissance du PIB et hausse des revenus modérées, taux de chômage élevé, proche de 9,1% en 211 et,% en 212. La demande sera donc élevée mais va s infléchir. D abord, la solvabilité continue à se dégrader (les prix sont toujours très surévalués, d environ 2% dans l ancien début 211). Ensuite, les taux de crédit habitat ont commencé à remonter début 211 et ce mouvement va se poursuivre. D où un effet d éviction d une partie des acheteurs et des acquéreurs plus attentistes et plus exigeants sur les niveaux de prix. Parallèlement, l offre pourrait s élargir un peu. Les ventes de logements anciens pourraient ainsi se replier, de l ordre de % en 211 et % en 212 et les prix connaître des hausses très modérées, +% en 211 et +2% en 212. Une baisse des prix est même probable sur certains segments. On retrouverait une phase d atterrissage en douceur comparable à celle observée en En cas de remontée très marquée et très rapide des taux de crédit, une chute des ventes et une baisse généralisée des prix pourraient intervenir. Mais un tel scénario semble à ce stade assez peu probable. Sommaire Tendances récentes dans l ancien...2 Signes de tassement des ventes début Prix toujours en forte hausse...2 Tendances récentes dans le neuf...3 Repli des ventes de logements neufs début Légère reprise des mises en ventes et des stocks... Redémarrage des mises en chantier... Hausse des prix de vente des appartements neufs : correction graduelle du marché... Un rebond rapide, marqué et surprenant en 2... Des «fondamentaux» favorables... Trois facteurs exceptionnels : nouvel atterrissage en douceur...7 Indicateurs des marchés immobiliers français...9 Olivier ELUERE
2 Signes de tassement des ventes début 211 Les ventes se sont redressées vigoureusement en 2, après la forte baisse de Elles restent élevées début 211. Mais elles se replient au premier trimestre, notamment en Ile-de-France. En France, le nombre de transactions dans l ancien a atteint 72 en 2 (source : Conseil général de l environnement et du développement durable, d après les bases fiscales et notariales). Les ventes se sont ainsi redressées de 32% par rapport à 29. Ce rebond efface le repli des deux années précédentes, -17% en 2 et -12% en 29. Les ventes ont été particulièrement soutenues au quatrième trimestre, 2. Au premier trimestre 211, elles restent fortes, à 2 unités, en hausse de 13% sur un an, mais sont en léger repli par rapport au trimestre précédent. Les ventes de logements anciens ont pratiquement retrouvé les records de 2-26, 2 par an. En Ile-de-France, les ventes connaissent une sensible inflexion début 211. En 2, elles avaient été encore plus dynamiques que dans le reste de la France. Sur les appartements anciens, elles avaient atteint 113 unités, +36% sur un an, et retrouvé le niveau des pics de 2-26 (source : Notaires Paris Ile-de- France). Au premier trimestre 211, les ventes d appartements anciens se replient de 7% sur un an (et de 12% à Paris). La tendance est du même ordre pour les maisons anciennes, -9% sur un an. Ceci peut être en partie lié à la faiblesse de l offre nouvelle (les stocks étant très bas) mais traduit surtout une accalmie de la demande après une phase de ventes record fin 2. Prix toujours en forte hausse Les prix de l ancien restent sur une tendance très soutenue début 211. Selon les indices INSEE Notaires, les prix de l ancien se sont accrus de,7% sur un an au premier trimestre 211, soit un rythme toujours très soutenu et en freinage modéré après 9,% au quatrième trimestre 2. Les progressions sont plus soutenues pour les appartements (,1%) que pour les maisons (7,%). En province, les hausses de prix sont plus mesurées et en léger freinage, 7% environ sur un an, après % fin 2. En Ile-de-France, elles continuent à accélérer, à 13,6% sur un an après 12,%. A Paris, un nouveau record a été franchi, à 2,% après 1%. Au premier trimestre 211, le prix moyen du mètre carré des appartements anciens s élève à 7 7 à Paris, 27 en Petite Couronne et 3 en Grande Couronne. En rythme trimestriel, la hausse est toutefois plus modérée, 1,% t/t après 2,% au quatrième trimestre 2. De plus les prix tendent à se stabiliser, voire baisser légèrement sur certains segments, notamment les maisons anciennes : % t/t en Essonne, -,1% en Val d Oise, -,6% en Seine Saint Denis. Malgré ces premiers signes de stabilisation, les prix restent dans l ensemble en forte hausse. Le rebond de 2 et du début 211 a plus que compensé la baisse de 9% observée entre mi-2 et mi-29 et les prix dépassent les pics de mi-2. Ils restent ainsi clairement surévalués (cf. analyse page ). Les chiffres FNAIM indiquent une tendance encore soutenue au deuxième trimestre 211. Les prix sont en hausse de 3,3% t/t. En glissement annuel (T2 211/T2 2), ils sont en croissance de 6,%. Tendances récentes dans l ancien 2 2 France : Transactions de logements anciens nombre estimé par trimestre Graphique Nombre de transactions estimées Source : CGEDD, Notaires, Crédit Agricole S.A. 2 a/a France : Prix des logements anciens Graphique 2 - Variation sur un an, % - indice base T Source : INSEE, Notaires * indice Graphique 3 France : Appartements anciens vendus libres à Paris Source : Chambre des notaires Nombre de transactions N 29 juillet 211 2
3 Tendances récentes dans le neuf Repli des ventes de logements neufs début 211 Au premier trimestre 211, les ventes de logements neufs (réservations, filière promoteurs, programmes d au moins cinq logements) se sont repliées assez nettement. Elles ont atteint 21 9 unités (chiffre cvs), en baisse de 17% sur un an et de 2% par rapport au trimestre précédent. Rappelons que, sur l ensemble de l année 2, 1 logements avaient été vendus, +,% par rapport à 29. Cette hausse succédait à un rebond de 3% en 29 et les ventes de neuf avaient retrouvé en 2 un niveau proche des records des années 2-27, 122 par an. Sur les douze derniers mois connus, les ventes atteignent 111 unités, + 3% sur un an. En Ile-de-France. les ventes du premier trimestre sont en recul de 21% sur un an et 17% par rapport au trimestre précédent. Mais le cumul sur les douze derniers mois reste très proche des points hauts de 2-27 et progresse de 3% sur un an. Les ventes dans le neuf restent donc globalement soutenues, mais marquent le pas sur les premiers mois de l année 211. Comme pour le logement ancien, ceci traduit un repli «mécanique» après des ventes record au second semestre 2 : certaines transactions avaient, en effet, été anticipées pour profiter au mieux du dispositif Scellier (qui devient moins avantageux à partir de 211, (cf. plus bas) et de taux de crédit très attractifs. De plus, en Ile-de-France, les stocks étant à des plus bas historiques, la faiblesse relative des ventes s explique en partie par le bas niveau de l offre nouvelle. Il est donc possible que les ventes remontent sur les prochains trimestres. Mais, sur l année 211, le volume des ventes sera très probablement en retrait par rapport à 2. Au regard des récentes enquêtes auprès des promoteurs, la demande de logements neufs à acheter diminue d ailleurs assez nettement depuis le début de l année. L effet valeur refuge va continuer à jouer clairement en 211. Mais les autres facteurs de soutien seront moins présents (cf. page pour plus de détail). le dispositif Scellier est revu en baisse en : ce dispositif, mis en place en 29, permettait une réduction d impôt de 2% (étalée à parts égales sur neuf ans) du montant de l investissement, dans la limite de 3 euros. L économie d impôt pouvait atteindre 333 euros par an. La réduction d impôt est ramenée à 22% en 211 et 1% en 212 pour les logements BBC («bâtiment basse consommation») ; et réduite à 13% en 211 et 9% en 212 pour les logements non-bbc. les taux d intérêt et les taux de crédit remontent graduellement depuis le début de l année et ce mouvement devrait se poursuivre. Les investisseurs, qui totalisaient les deux tiers du marché du neuf en 29-2, vont donc devenir un peu moins nombreux et plus hésitants. Parallèlement, la demande des acquéreurs classiques et notamment des primo-accédants devrait rester assez modeste (prix très élevés, hausse des taux), en dépit de la mise en place du nouveau PTZ Graphique France : Commercialisation de logements neufs milliers par trim Mises en vente Ventes France : Stocks de logements neufs * Graphique Stocks à vendre Stock en mois de vente (éch. dr.) milliers mois Graphique 6 France : Ventes et stocks de logements neufs ventes en milliers mois de vente Ventes Stocks en mois de vente N 29 juillet 211 3
4 Légère reprise des mises en vente et des stocks Les mises en vente de logements ont continué à se redresser au premier trimestre 211, 2 3 unités, en hausse de,2% sur un an. Sur l année 2, elles ont totalisé 1 unités, en net rebond par rapport à 29, + 1%. Les mises en vente étaient très basses en 29 (77 ), les promoteurs s étant montrés très prudents après la chute des ventes de 2. Les stocks étant revenus rapidement à la normale et la demande étant repartie, les promoteurs ont accrû leurs mises en vente. Ils restent toutefois vigilants. Les mises en vente restent nettement en deçà du niveau moyen annuel de 2-27, 36 par trimestre. Les stocks de logements neufs atteignent 63 logements au premier trimestre, et remontent un peu par rapport au trimestre précédent (9 ), le nombre de ventes ayant été inférieur à celui des mises en ventes au cours du trimestre. Sur un an, les stocks restent en baisse de 7%. Le ratio stocks/ventes, qui mesure le délai moyen d écoulement des stocks, atteint 7, mois en mars 211, contre 7, mois un an plus tôt. Il reste proche du niveau moyen de 2-2, 7,7 mois et nettement au-dessus du point bas de 2 (3, mois). Seulement 3% des stocks sont achevés ou en cours de construction, et 62% sont en projet. En Ile-de-France, en revanche, les stocks ont retrouvé leurs plus bas historiques, à,3 mois de vente. La demande reste soutenue et l offre nouvelle est très faible, du fait notamment des difficultés des promoteurs à mobiliser du foncier. L offre de logements neufs est structurellement insuffisante, ce qui tend à brider la demande. Redémarrage des mises en chantier Les promoteurs et constructeurs avaient été très prudents et réactifs pendant la crise de 2. Face à la chute des ventes et la nette remontée des stocks, ils avaient nettement réduit leurs mises en vente et leurs mises en chantier de logements en 2 et 29. Depuis quelques trimestres, la construction de logements se redresse, grâce à la bonne tenue de la demande et à des stocks ayant retrouvé leur moyenne de longue période. Ce mouvement, perceptible depuis fin 29 sur les permis de construire, se concrétise enfin sur les mises en chantier (qui réagissent avec un certain délai). Sur les trois derniers mois connus (février-avril), les mises en chantier rebondissent de 2% sur un an et les permis de construire de %. En cumul douze mois, les mises en chantier totalisent 379 unités, +12% sur un an et les permis de construire 73 unités, +% sur un an. Les mises en chantier demeurent toutefois nettement en deçà des records de 26-27, 6 unités par an. Hausse des prix de vente des appartements neufs Les prix des appartements neufs restent en hausse soutenue et ne montrent pas encore de signes de freinage. Ils se sont accrus de 6,% sur un an au premier trimestre 211, et de 2,% en Ilede-France. Sur les douze derniers mois comparés aux douze mois précédents, les prix ont été en hausse de 6% pour les appartements et de,9% en Ile-de-France. Cette hausse des prix est liée aux faibles niveaux des stocks, inférieurs à leur moyenne de longue période. Elle s explique aussi par la nécessité d amortir les hausses de coûts de production, avec la remontée des prix des matières premières et le poids des normes environnementales («bâtiment basse consommation»). Il s agit de prix «à la réservation» Graphique 7 France : Stocks de logements neufs (Ile-de-France) milliers mois Stocks à vendre Stocks en mois de vente (éch. dr.) Graphique France : Mises en chantier et permis de construire milliers, cumul 12m mises en chantier de logements permis de construire France : Prix des appartements neufs variation annuelle, % Graphique France Ile-de-France N 29 juillet 211
5 : correction graduelle du marché Un rebond rapide, marqué et surprenant en 2 En 2, le marché immobilier a connu un rebond très marqué. Les ventes se sont accrues de 32% dans l ancien par rapport à 29, et de,% dans le neuf (promoteurs). Elles ont retrouvé des niveaux équivalents aux points hauts de Les prix se sont accrus de 9,% dans l ancien en glissement annuel et dépassent légèrement les points hauts de la mi-2. Le rebond du crédit habitat a été encore plus soutenu. La croissance de l encours de crédit habitat a atteint,2% sur un an en décembre 2, contre 3,6% fin 29. La production de crédit habitat (en cumul douze mois) a accéléré beaucoup plus fortement, en hausse de 77,% sur un an, du fait de la reprise du marché immobilier, mais aussi des opérations de remboursements anticipés/nouveaux prêts liés à la baisse des taux de crédit. Cette reprise est surprenante. D ailleurs, la France fait figure d exception en Europe, où la plupart des marchés immobiliers restent en phase de correction (Espagne, Royaume-Uni, Irlande) ou de stabilisation (Italie, Allemagne). La France a connu, comme la plupart de ses voisins, un boom immobilier soutenu de dix ans (199-27) avec une hausse cumulée des prix de 13% dans l ancien. La crise économique et financière de 2 a donné un coup d arrêt à ce cycle haussier. Mais la phase de correction a été courte et modérée. Les ventes (dans l ancien) ont baissé de 27% entre 27 et 29, mais les prix ne se sont repliés que de %, de mi-2 à mi-29. De plus, le marché s est redressé dès le second semestre 29. Or, dans les cycles immobiliers, les phases de repli sont en général longues et les mouvements de reprise graduels. En France, dans le cycle précédent, la baisse du marché a duré cinq ans ( ) et le redémarrage a été lent : il a fallu cinq ans pour que les ventes passent de 3 (199) à (2). Dans le cycle actuel, le repli a été bref et il n a fallu qu un an pour que les ventes passent de 9 (29) à près de (2). La reprise récente est donc clairement atypique. 6 2 France : Encours de crédits aux ménages Graphique montants croissance sur 12m (éch.dte) Source : BdF, Crédit Agricole S.A. 3 2 Mds Prix de l'immobilier résidentiel Indice base =T %a/a 2 Graphique UK Espagne France Irlande Sources : Halifax, Ministerio de Fomento, Fnaim, DS Des «fondamentaux» favorables Pour comprendre la spécificité de ce cycle, il faut d abord rappeler, au risque de se répéter, que les «fondamentaux» du marché immobilier français sont sains. D abord, la demande de logements est solide et soutenue par des facteurs structurels (démographie favorable, décohabitation, préparation de la retraite, désir d accession à la propriété, nombreuses incitations fiscales). Il n y a pas eu au cours des années récentes de comportements spéculatifs généralisés, à la différence de la période , où la présence des marchands de biens et des spéculateurs était significative. Ensuite, l offre de logements n est pas excessive, mais plutôt insuffisante, notamment en Ilede-France. Les promoteurs, échaudés par la crise immobilière du début des années 9, sont restés prudents et il n y a pas eu d excès en matière de construction. Enfin et surtout, la politique d octroi de crédit a été prudente, ce qui a évité la formation d une «bulle» du crédit, à la différence des pays anglo-saxons. L octroi d un prêt habitat est fondé sur la capacité de l emprunteur à rembourser son prêt et non pas sur la valeur du Graphique 12 France : Appartements anciens vendus libres à Paris Ventes variations de prix sur un an (éch. dr.) Source : Chambres des notaires % N 29 juillet 211
6 bien, le taux d effort 1 doit être limité à environ un tiers du revenu, les prêts sont majoritairement à taux fixe et l allongement des maturités est resté raisonnable. Les ratios de créances douteuses sont demeurés assez bas et un processus de «develeraging» marqué n était pas nécessaire. Le boom immobilier français de n est donc pas assimilable à une bulle spéculative classique, à la différence de la période , ce qui permet d expliquer la brièveté du mouvement de correction. Mais la reprise aurait dû être a priori lente et modérée. La croissance économique était molle, le taux de chômage élevé, 9,% début 2, et la solvabilité nettement dégradée. Au regard de la prime de risque sur un investissement immobilier ou du taux d effort théorique 1, les prix étaient, au point haut du cycle, fin 27, surévalués de 2%. Fin 29, ils restaient surévalués de 2%. Enfin, en phase de stabilisation ou d amorce de reprise du marché immobilier, les acheteurs sont en général plutôt prudents et attentistes France : Immobilier et Bourse Séries déflatées indices base T1 19 Graphique Sources : FNAIM, Notaires, Crédit agricole S.A. prix de l'ancien en France prix de l'ancien à Paris CAC (éch.dte) 3 2 Trois facteurs exceptionnels La reprise a été effectivement modérée au second semestre 29 (ventes en légère hausse, limitées à 6 en niveau annualisé, prix stables). Mais le marché s est nettement redressé en 2. La demande a été stimulée par trois facteurs exceptionnels, qui ont compensé les éléments négatifs décrits cidessus. Un effet «valeur refuge» marqué : face au manque de visibilité sur l environnement économique, à des marchés boursiers volatils et incertains et aux faibles rémunérations des placements financiers, l immobilier est apparu plus que jamais comme une valeur refuge. Selon diverses enquêtes, la part des investissements locatifs dans les achats de logement ancien serait passée de 12% environ en moyenne depuis dix ans à 17% environ en 2². L effet valeur refuge a joué pour les investisseurs, mais aussi pour les acheteurs «classiques». Les mesures de soutien fiscal, notamment le dispositif Scellier pour l investissement locatif dans le neuf, le prêt à taux zéro et le crédit d impôt pour les intérêts d emprunt. Le «verdissement» du Scellier et la suppression du crédit d impôt sur les intérêts d emprunt en 211 ont d ailleurs poussé certains acquéreurs à acheter avant la fin 2. Des taux de crédit habitat en baisse, et atteignant des plus bas historiques fin 2, 3,1% pour un prêt habitat à taux fixe de durée supérieure à un an (contre 3,9% fin 29 et,2% fin 2). D où une forte hausse des ventes, retrouvant presque le niveau des années du boom (2-26) : les investisseurs sont devenus nettement plus nombreux ; le nombre des acheteurs «classiques» s est également accrû, la surévaluation des prix étant à peu près compensée par la baisse des taux de crédit et par l effet valeur refuge France : Taux de crédit habitat moyennes trimestrielles en % Graphique taux moyen d'un crédit habitat à taux fixe (TEG) taux OAT ans Source : BdF, Crédit Agricole S.A. 2 2 Graphique France : Ventes et prix de logements anciens milliers Ventes variations de prix sur un an (éch. dr.) Source : CGEDD, notaires % Parallèlement, l offre était basse en France et très limitée en Ile- 1 Le taux d effort est la charge de remboursement annuelle d un crédit habitat (capital et intérêts) rapportée au revenu annuel du ménage acquéreur. Le taux d effort théorique est calculé aux conditions du marché (prix, taux, durée des crédits), mais en supposant que les acheteurs achètent toujours le même type de bien (en termes de surface et de standing). ² Il n y a pas de statistiques officielles sur la part des investissements locatifs dans le logement ancien, donc ces chiffres sont des estimations, basées sur diverses enquêtes, et à prendre avec prudence. N 29 juillet 211 6
7 de-france. Les propriétaires de logements mis en location hésitaient à les mettre en vente : ces actifs sont jugés sûrs et rentables et ces vendeurs potentiels étaient peu attirés par des arbitrages en faveur de placements financiers. Les ménages désirant vendre un bien pour en acheter un autre sont restés prudents, par crainte de vendre à un prix jugé insuffisant et de ne pas trouver le bien adéquat du fait de la faiblesse de l offre. De plus, dans le neuf (promoteurs), l offre était très faible en Ilede-France, avec des stocks au plus bas Ceci a conduit à des hausses des prix marquées. Le déséquilibre offre-demande était encore plus net dans les grandes villes et notamment à Paris, avec des hausses de prix très accusées et des niveaux de surévaluation très importants (de l ordre de 3% à Paris) en % France : Taux d'effort théorique dans le logement ancien Graphique : nouvel atterrissage en douceur Après ce rebond un peu surprenant, le marché immobilier devrait peu à peu se stabiliser, voire se corriger un peu sur certains segments. Le premier trimestre 211 montre d ailleurs des signes de tassement : repli des ventes, léger freinage des prix (cf. pages précédentes). De plus, la production de crédits habitat est en léger repli. Le cumul douze mois reste en forte hausse mais ralentit à +9% en mai 211, contre +77% fin 2. Et le flux du dernier trimestre est en léger recul par rapport au trimestre précédent. Ceci est en partie lié à un effet de contrecoup après une fin d année 2 très dynamique. Que peut-on attendre sur les prochains trimestres? Le marché immobilier devrait rester globalement assez soutenu. D abord, les «fondamentaux» favorables du marché vont continuer à jouer. Ensuite, l effet «valeur refuge» devrait demeurer très présent. Les incertitudes géopolitiques, économiques et financières restent fortes. En particulier, la crise persistante de la dette souveraine des pays périphériques européens alimente les inquiétudes des investisseurs et devrait conforter l attrait de l immobilier aux dépens des marchés boursiers et obligataires. Et même si les taux à court terme remontent un peu, les placements monétaires demeurent assez peu attractifs. Par ailleurs, les avantages fiscaux sont un peu réduits mais restent importants : dispositif Scellier, qui permet une réduction d impôt significative pour les logements «bâtiment basse consommation», 22% du montant de l investissement en 211 et 1% en 212 ; mise en place d un PTZ renforcé. Ces éléments positifs vont en bonne partie compenser les effets d une conjoncture économique mitigée : la croissance tend à ralentir après un bon début d année, la hausse des revenus est modérée et le taux de chômage ne va se replier que très progressivement, vers 9,1% en 211 et,% en 212. La demande sera donc encore élevée. Mais elle devrait s effriter, pour deux raisons. D abord, la solvabilité continue à se dégrader (les prix sont toujours très surévalués, d environ 2% dans l ancien début 211). Ensuite, les taux de crédit habitat ont commencé à remonter début 211 : 3,3% en mai pour un prêt habitat à taux fixe de durée supérieure à un an, contre 3,1% en décembre. Ce mouvement va se poursuivre, compte tenu de la remontée annuité de crédit habitat/revenu Source : BdF, Notaires, calculs CA France : Prix des logements anciens et stocks de logements neufs Graphique Source : hausse des prix sur un an Fnaim, BdF stocks neuf en mois de vente (éch.dte inv) 6 2 % mois Graphique 1 France : Prime de risque sur l'investissement immobilier en France en % Prime de risque sur un investissement immobilier Source : Insee, BdF, Crédit Agricole S.A. N 29 juillet 211 7
8 prévue des taux trois mois et dix ans : le taux Euribor trois mois devrait remonter à 2,% fin 211 et 2,% fin 212, contre 1% fin 2, et les taux dix ans à,2%, puis,% (contre 3,3%). Face à des niveaux de prix très élevés, une remontée des taux de crédit peut avoir des effets marqués : effet d éviction d une partie des acheteurs, acquéreurs plus attentistes et plus exigeants sur les niveaux de prix. Parallèlement, l offre pourrait s élargir un peu. Les secondoaccédants reviennent peu à peu et, dans le neuf, l offre s élargit progressivement. D où un certain repli des ventes et un freinage des prix. On retrouverait une phase de soft landing (atterrissage en douceur) comparable à celle de : le boom immobilier était toujours très marqué, mais les taux de crédit habitat se sont accrus de pdb sur cette période (de,29% à,3% pour le TEG). Les ventes se sont érodées et les prix ont freiné à +% sur un an début 27 et +% début 2 contre à % par an entre 22 et 2. Les ventes de logements anciens pourraient ainsi se replier de l ordre de % en 211 et % en 212 et les prix connaître des hausses très modérées, + % en 211 et +2% en 212. Une baisse des prix est même probable sur certains segments. Dans le logement neuf, le mouvement serait comparable, avec un repli des ventes de % en 211 et % en 212 et des hausses de prix très mesurées, 3% par an. Si la remontée des taux de crédit s avérait très marquée et très rapide, une chute des ventes et une baisse généralisée des prix en résulteraient. Mais un tel scénario nous semble assez peu probable France : Taux de rendement locatif à Paris en % Graphique taux de rendement locatif initial taux des obligations Source : OLAP, BdF 2 France : Prix des logements anciens et taux de chômage Graphique 2 - hausse des prix sur un an taux de chômage (éch.dte inversée) Source : FNAIM, BdF 6 12 N 29 juillet 211
9 Indicateurs des marchés immobiliers français Résidentiel Non résidentiel Ancien Ventes Demande Prix Offre Construction Taux de vacance Valeur locative Neuf Achevé de rédiger le 22 juillet 211 Directeur de la Publication : Jean-Paul Betbèze Comité de Rédaction : Olivier Eluère Réalisation & secrétariat de rédaction : Fabienne Pesty Contact : publication.eco@credit-agricole-sa.com Crédit Agricole S.A. Pôle Études Économiques Groupe 77 PARIS Cedex Fax : +33 () Copyright Crédit Agricole S.A. ISSN : Cette publication reflète l opinion de Crédit Agricole S.A. à la date de sa publication, sauf mention contraire (contributeurs extérieurs). Cette opinion est susceptible d être modifiée à tout moment sans notification. Elle est réalisée à titre purement informatif. Ni l infor mation contenue, ni les analyses qui y sont exprimées ne constituent en aucune façon une offre de vente ou une sollicitation commerciale et ne sauraient engager la responsabilité du Crédit Agricole S.A. ou de l une de ses filiales ou d une Caisse Régionale. Le Crédit Agricole S.A. ne garantit ni l exactitude, ni l exhaustivité de ces opinions comme des sources d informations à partir desquelles elles ont été obtenues, bien que ces sources d informations soient réputées fiables. Ni Crédit Agricole S.A., ni une de ses filiales ou une Caisse Régionale, ne sauraient donc engager sa responsabilité au titre de la divulgation ou de l utilisation des informations contenues dans cette publication. Études Économiques Abonnez-vous gratuitement à nos publications électroniques N 29 juillet 211 9
FRANCE Immobilier résidentiel Évolutions récentes et perspectives 2015-2016
Trimestriel n /231 17 juillet 2 FRANCE Immobilier résidentiel Évolutions récentes et perspectives 2-216 Reprise ou stabilisation? Des signaux de reprise du marché sont apparus ces derniers mois. Il ne
Plus en détailImmobilier en France : Léger mieux dans le neuf en 2015
Trimestriel n 42 Octobre 214 Immobilier en France : Léger mieux dans le neuf en 21 Le marché résidentiel continue à se corriger lentement. La baisse reste modérée, beaucoup plus que dans la plupart des
Plus en détailLes crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014
Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression
Plus en détailObservatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014
Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de
Plus en détailObservatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013
Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de
Plus en détailDétention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?
1 Numéro 200, juin 2013 Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? I) Un taux de détention en baisse La détention au plus bas historique A la fin de l année 2012, seulement 48,6%
Plus en détailAmundi Immobilier. Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 2013. Tendances. Le contexte macroéconomique
Trimestriel 27 Janvier 214 nº2 Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 213 Tendances > Progressif redémarrage de l activité attendue au 4 e trimestre 213, mais l évolution du PIB devrait rester
Plus en détailL analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013
Paris, le 15 octobre 2013 COMMUNIQUE DE PRESSE L analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013 Un marché immobilier résidentiel caractérisé par une baisse
Plus en détailObservatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel. Janvier 2015
Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel Janvier 2015 Avertissement : les indicateurs mensuels repris dans le «Tableau de bord» ne deviennent définitifs
Plus en détailL année immobilière 2014
www. creditfoncier. com L année immobilière 2014 vue par le Crédit Foncier MARS 2015 synthèse Lors de sa traditionnelle conférence annuelle Les Marchés Immobiliers le 5 février 2015, le Crédit Foncier
Plus en détailLe marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.
Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien
Plus en détailLes SCPI dans l univers des placements
Les SCPI dans l univers des placements La performance des SCPI Les SCPI ont pour vocation de restituer au porteur de parts la performance de l immobilier d entreprise. Par rapport à l acquisition directe
Plus en détailPerformance des grands groupes bancaires français au 31 mars 2012
Performance des grands groupes bancaires français au 31 mars 2012 Mercredi 16 mai 2012 Sommaire : Introduction > Un premier trimestre 2012 impacté par des éléments exceptionnels > Une dynamique commerciale
Plus en détailLe 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes
Le 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes Le tableau de bord trimestriel Le bilan de l année 2014 Les taux des crédits immobiliers aux particuliers ENSEMBLE DES MARCHÉS - Prêts bancaires (taux
Plus en détailEvolution des risques sur les crédits à l habitat
Evolution des risques sur les crédits à l habitat n 5 février 2012 1/17 SOMMAIRE 1. PRINCIPALES CARACTÉRISTIQUES DE LA PRODUCTION... 4 2. ANALYSE DÉTAILLÉE DES INDICATEURS DE RISQUE... 8 2.1 Montant moyen
Plus en détailGraphique 3 Le marché des copropriétés existantes est nettement excédentaire
9 janvier 1 Cycle de l immobilier résidentiel au Québec : bien différent de celui du Canada L an dernier, le marché de l habitation au pays a continué de défier à la hausse les pronostics tant au niveau
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailL OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013
L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES 25 ème rapport annuel Tableau de bord Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 La photographie des ménages détenant des crédits que propose la 25 ième
Plus en détailÉtude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier
Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier Octobre 2014 Direction des Études Point de conjoncture logement SUR FOND DE MOROSITÉ, LES FRAGILITÉS DU MARCHÉ RÉSIDENTIEL S ACCENTUENT Alors que la France
Plus en détailSITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE
SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailCOMMENTAIRE. Services économiques TD LES VENTES DE VÉHICULES AU CANADA DEVRAIENT DEMEURER ROBUSTES, MAIS LEUR CROISSANCE SERA LIMITÉE
COMMENTAIRE Services économiques TD LES VENTES DE VÉHICULES AU CANADA DEVRAIENT DEMEURER ROBUSTES, MAIS LEUR CROISSANCE SERA LIMITÉE Faits saillants Les ventes de véhicules au Canada ont atteint un sommet
Plus en détailL INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH»
193-202.qxp 09/11/2004 17:19 Page 193 L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH» Département analyse et prévision de l OFCE La rentabilité des entreprises s'est nettement redressée en 2003 et 2004. Amorcée aux
Plus en détailLes paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013. 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison?
Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison? 2013 : scénarios pour l économie française Scénario central 80% de probabilité
Plus en détailZone euro Indicateur d impact du QE
N 1/263 1 er septembre 21 Zone euro Indicateur d impact du Avec l annonce d un programme étendu d achats d actifs non stérilisés (quantitative easing, ), portant essentiellement sur des titres souverains,
Plus en détailBulletin trimestriel de conjoncture n 59
Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 2 ème trimestre 2013 Repli accentué au 2 ème trimestre (-2%) du volume de travaux d entretienrénovation de logements Cette baisse d activité correspond à une baisse
Plus en détailCAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES
Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications
Plus en détailDans la plupart des économies avancées, les prix immobiliers ont fortement
Les prix immobiliers en France : une évolution singulière Mickaël Clévenot Division Synthèse conjoncturelle Dans la plupart des économies avancées, les prix immobiliers ont fortement augmenté entre 2000
Plus en détailL instabilité politique en Ukraine et en Grèce sont aussi des éléments qui peuvent continuer à perturber les marchés.
L année 2014 s achève, pour l indice boursier français, au niveau où elle a commencé, le CAC 40 a perdu - 0,5% sur l année, l indice européen (l Eurostoxx 50) a lui gagné + 2,82%, alors que l indice américain
Plus en détailEnquête annuelle sur le financement de l habitat en 2011
Enquête annuelle sur le financement de l habitat en 2011 n 8 juillet 2012 1 Résumé : Selon l Enquête annuelle sur le financement de l habitat, l encours total de prêts à l habitat des 16 établissements
Plus en détailSituation financière des ménages au Québec et en Ontario
avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur
Plus en détailMARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX
MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détailLe financement des professionnels de l immobilier par les banques françaises en 2013 n 34 septembre 2014
n 34 septembre 2014 Le financement des professionnels de l immobilier par les banques françaises en 2013 SOMMAIRE 1 LES MARCHÉS DES PROFESSIONNELS DE L IMMOBILIER EN 2013 5 1.1 Le marché de l'immobilier
Plus en détailDes solutions pour les seniors à revenus insuffisants
Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants IStock - FredFroese Source de croissance de d opportunités, le vieillissement de la population française constitue cependant un défi pour notre pays.
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détailFlash économique. Agglomération de Montréal. Faits saillants. Septembre 2011
Septembre 2011 Faits saillants Selon les données émises par la Chambre immobilière du Grand Montréal, la revente de résidences dans l agglomération de Montréal a atteint les 16 609 transactions en 2010,
Plus en détailCinq ans après le début de la crise financière, l économie
52 5 L immobilier d entreprise allemand et les investisseurs Par Marcus Cieleback, directeur de recherche, PATRIZIA Immobilien AG. 5.1/ SITUATION GÉNÉRALE Cinq ans après le début de la crise financière,
Plus en détailIMMOBILIER D ENTREPRISE
La transformation de bureaux en logements : un premier bilan PAR BRIGITTE JOUSSELLIN 1 Entre 1994 et 1998, plus de 500 000 m 2 de surfaces d activités ont été transformées en logements, permettant de résorber
Plus en détailLe logement en Europe
Le logement en Europe DONNÉES 2014, TENDANCES 2015 Contact presse Galivel & Associés 01 41 05 02 02 galivel@galivel.com Leader de l immobilier en Europe, ERA publie sa nouvelle étude sur les marchés du
Plus en détailCorefris RAPPORT ANNUEL 2011. Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France?
Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France? (DGTrésor) 1. Indépendamment de facteurs d offre et de demande, qui jouent indéniablement sur les prix,
Plus en détailL activité financière des sociétes d assurances
L activité financière des sociétes d assurances L année 2002 est de nouveau marquée par une forte baisse des marchés financiers. Celle-ci entraîne une diminution des plus-values latentes et des produits
Plus en détailMarchés immobiliers : conjoncture et perspectives
Marchés immobiliers : conjoncture et perspectives CB Richard Ellis 16 septembre 2008 Contexte économique Environnement international o L économie mondiale tourne au ralenti (incertitudes financières, inflation,
Plus en détailÉtude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier
Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier UN MARCHÉ LOCATIF QUI TOURNE AU RALENTI 2 e trimestre 2013 Direction des Études Point de conjoncture bureaux marché locatif L INÉVITABLE REPLI D ACTIVITÉ
Plus en détailL immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise
ÉTUDE EN BREF Octobre 2011 L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise Pour les investisseurs, l Europe de l immobilier de bureaux n est pas celle qui est délimitée par les accords
Plus en détailRÉSULTATS 2013 Excellente année de croissance profitable : chiffre d affaires et EBITDA ajusté historiques
COMMUNIQUE DE PRESSE RÉSULTATS 2013 Excellente année de croissance profitable : chiffre d affaires et EBITDA ajusté historiques Points clés Paris-Nanterre, le 18 février 2014 Chiffre d affaires net record
Plus en détailEnquête sur les perspectives des entreprises
Enquête sur les perspectives des entreprises Résultats de l enquête de l été 15 Vol. 12.2 6 juillet 15 L enquête menée cet été laisse entrevoir des perspectives divergentes selon les régions. En effet,
Plus en détailLe présent chapitre porte sur l endettement des
ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation
Plus en détail#Club Pierre. Marché des bureaux en Ile-de-France. 9 Juillet 2015 DTZ Research
#Club Pierre Marché des bureaux en Ile-de-France 9 Juillet 2015 DTZ Research Un 2 ème trimestre meilleur que le 1 er.. Demande placée de bureaux en Ile-de-France, en milliers de m² 3 000 2 500 2 000 1
Plus en détailÉtudes. Y a-t-il un risque de bulle immobilière en France?
Selon la définition de Joseph Stiglitz, on peut qualifier de «bulle spéculative» un état du marché dans lequel «la seule raison pour laquelle le prix est élevé aujourd hui est que les investisseurs pensent
Plus en détailMarché immobilier en Ile-de-France
Marché immobilier en Ile-de-France Contexte des marchés locatifs et de l investissement Virginie Houzé Directeur Etudes et Recherche France 18 juin 2015 Paris? Liquidité & Risque Liquidité & risque 10
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailAnalyse du marché de l investissement des commerces en France. commerces. 3 ème trimestre 2012
Analyse du marché de l investissement des commerces en France commerces 3 ème trimestre 2012 L essentiel du marché 1 Ce qu il faut retenir Après un début d année relativement calme, le marché de l investissement
Plus en détailLe financement de l habitat en 2013
Le financement de l habitat en 2013 n 32 Juillet 2014 1 SOMMAIRE 1. CARACTÉRISTIQUES DU MARCHÉ DES CRÉDITS À L HABITAT 6 1.1. Reprise de l activité dans un contexte de baisse des prix 6 1.2. Fort rebond
Plus en détail3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties
IEOM RAPPORT ANNUEL 2008 3C HAPITRE 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties 54 3 < L ÉVOLUTION MONÉTAIRE EN 2008 L ÉVOLUTION
Plus en détailPrésenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget
Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%
Plus en détailUn climat des affaires conforté
JUILLET 2015 Un climat des affaires conforté Même si une part toujours importante de TPE/PME enregistre un recul du chiffre d affaires, le bilan du 2 e trimestre marque une amélioration sensible, confirmée
Plus en détailÉtude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier
Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier UN MARCHÉ LOCATIF QUI TOURNE AU RALENTI 3 e trimestre 2013 Direction des Études Point de conjoncture bureaux marché locatif FORTE DÉCÉLÉRATION SUR LES GRANDES
Plus en détailLE MARCHE LOCATIF DES BUREAUX FRANCILIENS IL FAUT SAVOIR GARDER RAISON
LE MARCHE LOCATIF DES BUREAUX FRANCILIENS IL FAUT SAVOIR GARDER RAISON Un vent d optimisme nouveau commence à souffler sur le marché francilien de la location de bureaux. Le volume des transactions s est
Plus en détailL ADIL Vous Informe. Le prêt relais
ADIL des Hauts de Seine L ADIL Vous Informe Le prêt relais Sur un marché immobilier qui tend à se réguler, faire coïncider la date de vente avec celle de l achat d un bien devient difficile. De nombreux
Plus en détailETUDE COMPARATIVE INVESTISSEMENT IMMOBILIER LOGEMENTS / COMMERCES / BUREAUX
Page 1 ETUDE COMPARATIVE INVESTISSEMENT IMMOBILIER LOGEMENTS / COMMERCES / BUREAUX 1 Introduction La présente étude a pour objet de mettre en concurrence lʼinvestissement dans un ou plusieurs appartements,
Plus en détailLe Baromètre MLS du marché résidentiel. Faits saillants. Province de Québec. 2 e trimestre 2010
Province de Québec Le Baromètre MLS du marché résidentiel Faits saillants Premier ralentissement des ventes en cinq trimestres Seuls quelques centres urbains sont parvenus à être dynamiques Remontée dans
Plus en détailNouveaux taux d intérêt garantis pour les plans de pension souscrits par une entreprise Questions & Réponses
Nouveaux taux d intérêt garantis pour les plans de pension souscrits par une entreprise Questions & Réponses Employee Benefits Institute 1. Quels seront les nouveaux taux d intérêt garantis par AXA Belgium
Plus en détail4. Quels sont les investissements réalisés par les fonds de private equity?
1. Qu est ce que le private equity? Le private equity ou capital investissement désigne une forme spécifique d investissement institutionnel dans des entreprises privées avec comme objectif de financer
Plus en détailRésultats annuels 2014 23 janvier 2015
Sommaire Points clés Résultats financiers 2014 Marché et perspectives 2 Points clés Résultats 2014 en ligne avec les objectifs annoncés «chiffre d affaires sensiblement comparable à celui de 2013 et marge
Plus en détailINTACT CORPORATION FINANCIÈRE ANNONCE SES RÉSULTATS DU DEUXIÈME TRIMESTRE DE 2010
Communiqué de presse TORONTO, le 5 août 2010 INTACT CORPORATION FINANCIÈRE ANNONCE SES RÉSULTATS DU DEUXIÈME TRIMESTRE DE 2010 Bénéfice net d exploitation par action en hausse de 34 % en raison de l amélioration
Plus en détailConférence de presse 26 février 2009. Groupe Banque Populaire. Résultats 2008
Conférence de presse 26 février 2009 Groupe Banque Populaire Résultats 2008 Avertissement Cette présentation peut inclure des prévisions basées sur des opinions et des hypothèses actuelles relatives à
Plus en détailÉtudes. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages
Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages Depuis 25 ans, la structure de l épargne financière des ménages a été singulièrement modifiée par l essor
Plus en détailCoup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL
Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Au Canada, en vertu de la loi, les prêteurs assujettis à la réglementation fédérale et la plupart des institutions financières assujetties à une
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailL assurance française : le bilan de l année 2012
L assurance française : le bilan de l année 2012 1 L assurance française : le bilan de l année 2012 1 2 L environnement économique et financier : accalmie et incertitude Le bilan d activité : résistance
Plus en détailCOMMENTAIRE LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Services économiques TD
COMMENTAIRE Services économiques TD mai LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Faits saillants Le fait que la Banque du Canada ait récemment indiqué que les taux d intérêt pourraient
Plus en détailDans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude
localnova OBS Observatoire des finances locales des Petites Villes de France novembre # Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude financière prospective
Plus en détailLa fiscalité française source d attractivité pour les non-résidents propriétaires d une résidence secondaire?
Page 1 sur 5 Communiqué de presse Le 28 août 2014 6ème ÉDITION DE L OBSERVATOIRE BNP PARIBAS INTERNATIONAL BUYERS «Investing & Living abroad» 2014 La fiscalité française source d attractivité pour les
Plus en détailLe crédit bancaire. Le crédit bancaire est décisif pour la reprise. La banque est une organisation. Bimestriel - N 141 Mai-Juin 2010
Bimestriel - N 11 Mai-Juin 2 Le crédit bancaire Le crédit bancaire est décisif pour la reprise 1 Les cycles du crédit et de l activité en zone euro : quelles perspectives après la crise financière? 3 Les
Plus en détailLe Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises
27 mars 2008 Le Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises Résultat net part du groupe : 2 730 M Produit net bancaire : 10 568 M Coefficient
Plus en détailCONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance
CONJONCT URE estre NOTE DE conjoncture TRIMESTRIELLE de L APEC N Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance Les recruteurs font toujours preuve de prudence dans leurs
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailInvestissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue?
28 avril 2015 Investissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue? Beaucoup d espoir repose sur les entreprises du centre du pays pour permettre à la croissance économique de
Plus en détailRESULTATS ET ACTIVITE 2013 DE LA BANQUE POSTALE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 25 février 2014 RESULTATS ET ACTIVITE 2013 DE LA BANQUE POSTALE Portée par ses activités de crédits, La Banque Postale poursuit son développement et enregistre des résultats
Plus en détailLes difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient
PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détailLe scandale de l immobilier d entreprise dans un contexte de crise du logement
Le scandale de l immobilier d entreprise dans un contexte de crise du logement Décembre 2012 Introduction Alors que, consciente des problèmes graves de logement et d hébergement auquel est confronté notre
Plus en détailÉdito FRANCE NOTE DE CONJONCTURE. 1er trimestre 2012 FRANCE. www.colliers-keops.fr
1er trimestre 2012 FRANCE FRANCE NOTE DE CONJONCTURE Édito Depuis plusieurs mois, le secteur de l immobilier d entreprise subit une double pression. D un côté, le scénario d une croissance molle s impose
Plus en détailLa Banque Postale, une banque «pas comme les autres»
La Banque Postale, une banque «pas comme les autres» Direction Marketing crédit 2011 Plan de l intervention Le financement de l accession, perspectives 2012 Présentation de la Banque Postale L offre crédit
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailLe marché informatique en France 2011 et tendances 2012
Le marché informatique en France 2011 et tendances 2012 Juin 2012 Sextant Expertise 27, Boulevard des Italiens 75002 Paris Tél. : 01 40 26 47 38 www.sextant-expertise.fr Société inscrite à l ordre des
Plus en détailECONOTE N 18. Société Générale Département des études économiques FRANCE : POURQUOI LE SOLDE DES PAIEMENTS
N 18 JUIN 213 ECONOTE Société Générale Département des études économiques FRANCE : POURQUOI LE SOLDE DES PAIEMENTS COURANTS SE DÉGRADE-T-IL DEPUIS PLUS DE 1 ANS? Le solde extérieur courant de la France
Plus en détailD immobilier. en ile-de-france. Un marché du logement à plusieurs vitesses? www.notaires.paris-idf.fr. Février 2014
D immobilier en ile-de-france Un marché du logement à plusieurs vitesses? Février 2014 www.notaires.paris-idf.fr sommaire introduction 4 partie 1 se loger en île-de france 6 660 000 nouveaux habitants
Plus en détailActionnaires. Lettre d information. 32,6 Md. 1 Md 78,90. Rencontre avec Gilles Benoist, Directeur général. Chiffres clés au 31/12/2009
Numéro 42 Avril 2010 Lettre d information Actionnaires Rencontre avec Gilles Benoist, Directeur général Grâce à l ensemble de nos partenaires, nous avons développé l activité sur toutes les zones où nous
Plus en détailBulle ou pas bulle? 1. Qu'est ce qu'une bulle immobilière? 2. Comment se forme une bulle? 3. Comment détermine t on si il y a une bulle?
Bulle ou pas bulle? 1. Qu'est ce qu'une bulle immobilière? Une bulle immobilière est caractérisée par une hausse rapide de la valeur des biens immobiliers. Elle caractérise un écart important et persistant
Plus en détailQuels placements. pour votre argent? Septembre 2013. Etude réalisée par. pour
6500 6000 5500 5000 4500 4000 Quels placements 3500 3000 2500 2000 pour votre argent? Etude réalisée par pour Septembre 2013 Sommaire 1. Notre démarche 3 2. Les points-clés 4 3. Les placements étudiés
Plus en détailChoc pétrolier et pause conjoncturelle en France
Choc pétrolier et pause conjoncturelle en France Direction des Études Économiques http://kiosque-eco.credit-agricole.fr Juillet 8 1 Sommaire 1. Environnement international 1.1. La crise financière reléguée
Plus en détailBonne tenue de l activité au premier semestre 2009
Paris, le 27 août 2009 Bonne tenue de l activité au premier semestre 2009 Croissance organique hors essence et effet calendaire de +1,3% Quasi-stabilité de la marge d EBITDA en organique Résistance des
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailAussi dans ce numéro Les ventes de copropriétés perdent de leur élan Depuis un certain temps, la copropriété nous avait habitués à des hausses relativement soutenues des transactions MLS au Québec. Mais
Plus en détailASSISES DE L INVESTISSEMENT DIAGNOSTIC
ASSISES DE L INVESTISSEMENT DIAGNOSTIC Bpifrance ASSISES DE L INVESTISSEMENT 1 SYNTHESE L insuffisance de l investissement des entreprises, tant en volume qu en productivité, fait peser des menaces sur
Plus en détail