Morphologie mathématique 2
|
|
- Sandrine Carignan
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Morphologie mathématique RDMM - MR IMA UPMC P6
2 Morphologie Mathématique : Chapitre COMPLEMENTS THEORIQUES ET PRATIQUES FILTRAGE MORPHOLOGIQUE I Compléments théoriques et pratiques (a) Fondements algébriques (b) Algorithmes de base (c) Formalisme EDP (d) Aspects architecturaux II Filtrage morphologique (a) Filtres morphologiques (b) Analyse granulométrique (c) Filtres alternés séquentiels
3 Traitement d images linéaire : structure fondamentale Dans le cas du traitement d images linéaire, la structure fondamentale est celle d espace vectoriel. structure de base ESPACE VECTORIEL E espace vectoriel sur K opérateurs de base Ce sont ceux qui préservent la structure et commutent avec les lois de base : K, ( x, y) E : f( x) f( x) et f( x+ y) f( x) + f( y) isomorphismes d espace vectoriel Applications linéaires CONVOLUTIONS 3
4 Traitement linéaire : convolutions Filtre passe-bas Gradient vertical 4
5 Morphologie mathématique : structure fondamentale Dans le cas de la morphologie mathématique, la structure fondamentale est celle de treillis complet. structure de base TREILLIS COMPLET () Ensemble ordonné ( E, ) REFLEXIVE ANTI-SYMETRIQUE TRANSITIVE x x x y et y x x y x y et y z x z () Toute partie P de E admet : une borne sup une borne inf Sup : plus petit des majorants Inf : plus grand des minorants P P 5
6 Morphologie mathématique : opérateurs de base opérateurs de base Ceux qui préservent la structure... x y Φ( x) Φ( y) CROISSANCE...et commutent avec les lois de base : sup inf ( { xi} ) { Φ( xi )} ( { x }) { Ψ( x )} Φ Ψ i i DILATATION EROSION 6
7 Exemples de treillis complets Treillis des formules booléennes éléments : formules booléennes f,g,h relation d ordre : implication f g VRAI sup : OU logique inf : ET logique éléments extrêmes : FAUX Treillis ensembliste éléments : les parties d un ensemble S relation d ordre : inclusion S sup : Union inf : Intersection éléments extrêmes : Treillis des nombres éléments : nombres réels (ou nombres entiers) relation d ordre : (ordre total) + sup : max inf : min éléments extrêmes : 7
8 Exemples de treillis complets Treillis des fonctions éléments : les fonctions réelles ou numériques : ou f : S S R Z relation d ordre : f g x S, f ( x) g( x) { } sup : f i { } inf : f i définies par : ( { fi} )( x) { fi ( x) } ( { f })( x) { f ( x) } i i f g f g f g 8
9 Le principe de dualité Dans un treillis, les lois Sup et Inf jouent des rôles symétriques. On appelle involution l opérateur : E E qui permet d échanger leur rôle : P P et P P On dit que deux opérateurs Φ et Φ* sont duaux pour l involution si : Φ( x) Φ * ( x) 9
10 Exemples d involutions Treillis des formules booléennes Treillis des nombres NON logique : g g 0 0 opposé : 0 x -x Treillis ensembliste Complémentaire : S Treillis des fonctions dans [0,N] N f N - f : N f f X X c S \ X 0
11 Implantation des opérateurs de base Ex : élément structurant carré de coté c. Méthode triviale : DILATE (Image_IN X, Image_OUT Y,Elt_struct ) { Pour tout pixel p X { Y(p) 0; Pour tout b { Y(p) Y(p) OU X(p-b); } } } Complexité du calcul par pixel : c X δ ( X )
12 Elément structurant carré de coté c. Implantation des opérateurs de base c L L c/ fois (associativité de la dilatation) Complexité du calcul par pixel : 4c X δ ( X ) ( δ ( X )) δ ( X ) δ ( X ) δ δ ) (
13 Implantation des opérateurs de base Elément structurant carré de coté c. h v h v (décomposition des polyèdres de Steiner) Complexité du calcul par pixel : c X δ h ( X ) ( δ ( X )) δ ( X ) δ ( X ) δ δ v h ( ) v h 3
14 Erosions binaires et distances discrètes Pour les ensembles (images binaires), dans le cas où l élément structurant est une boule d une distance discrète, il est avantageux de calculer l érodé par seuillage de la transformée en distance : d ex : en effet : p ε ( X ) FX ( p) distance de la d transformée en distance FX : Z N 4-connexité c p a d( p, X ) d 4 ( a, b) xa xb + ya yb d de l ensemble X : Transformée en distance d 4 Erosion par une boule de d 4 4
15 Erosions binaires et distances discrètes ex : distance de la 8-connexité d 8 ( a, b) max( x x, y y ) a b a b Transformée en distance d 8 Erosion par une boule de d 8 5
16 Erosions binaires et distances discrètes ex : distance euclidienne (ou pseudo-euclidienne) d e ( a b) ( x x ) + ( y y ), a b a b Grâce aux techniques de calcul récursif de la transformée en distance, la complexité du calcul par pixel devient constante : (O()) Cf TP n Transformée en distance pseudo-euclidienne Erosion par une boule pseudo-euclidienne 6
17 Opérateurs de base en niveaux de gris L implantation de l érosion par calcul de la fonction distance n est valable que pour les opérateurs ensemblistes. Existe-t-il des algorithmes pour le calcul de l érosion en niveaux de gris, dont la complexité soit indépendante de la taille de l élément structurant? OUI! Dans le cas d élément structurant D (segment), nous détaillons ci-dessous l algorithme de Van Herk : Soit X une image D à valeurs numériques : Soit un segment de taille K (K p +). Supposons qu on souhaite calculer l érosion de X par. On «partitionne» X en segment de taille K : L algorithme de Van Herk comprend 3 phases : 7
18 Van Herk / extrema récursifs par blocs X E E Phase () : for (i 0; i < W ; i++) if (i % K 0) E [i] X[i]; else E [i] min(e [i-],x[i]); Phase () : for (i W-; i > 0 ; i--) if (i % K 0) E [i] X[i]; else E [i] min(e [i+],x[i]); Rq : les calculs de E et de E sont indépendants et peuvent être réalisés en parallèle. 8
19 Van Herk / Calcul érosion/dilatation X E E E Phase (3) : for (i 0; i < W ; i++) E[i] min(e [i+k/],e [i-k/]); 9
20 Van Herk / Conclusion Complexité : 3 min/max quelque soit la longueur de l élément structurant. Adapté à un calcul séquentiel, mais compatible avec un parallélisme de données. Adaptable à des éléments structurants rectilignes de n importe quelle orientation. [Van Herk 9] 0
21 Opérations sur les ensembles de niveau Par définition, la dilatation (resp. l érosion) fonctionnelle par un élément structurant plan g peut être calculée à partir des dilatations (resp. érosions) des sections du sous-graphe (ensembles de niveau) par le support de g. n { x / f ( x i} SG ( f ) R ) i i i SG i(h) h SG (h) SG( f ) f SG( f ) U i R SGi ( f ) {} i SG ( h) U i R SG i ( h) SG( h) h ε ( f g {} i ) SG i ( f ) i f SG ( f ) g SGi ( h) ε supp( g ) ( SG ( f )) i
22 Invariance par changement de contraste Une conséquence de la propriété précédente est l invariance par changement de contraste : les opérateurs morphologiques commutent avec les anamorphoses, c est-à-dire les transformations croissantes des niveaux de gris : a o f f Φ( ao f ) ao f aoφ ( f ) Φ( ao f ) f Φ( f )
23 Invariance par changement de contraste Une transformation invariante par contraste (i.e. une transformation morphologique) doit respecter les relations d inclusion ( ordre) des ensembles de niveau. On montre que cela correspond à un déplacement de lignes de niveau (i.e. frontière des ensembles de niveau) dans la direction de leur courbure, et proportionnellement au module du gradient. Exprimé en termes d équations aux dérivées partielles (EDP), cela se traduit par une équation de la forme : I I I I I G(curv ( I ), t) x I xx x x I où l on note I t I I xy x y I y I yy y y I I xx I y I xy I x I y + I yy I x curv ( I ) div Avec : et avec G(x,y) continue et croissante par rapport à x. 3 I ( I + I ) x y I Dilatation : G(x,y) ; I Erosion : G(x,y) -; t I t I La courbure de I au point z est égale à l inverse du rayon du cercle osculateur à la courbe isophote en z, c est-à-dire à la courbe de niveau : I I(z) {(x,y) / I(x,y) I(z)} curv ( I )( z) z courbe isophote de valeur I(z) L intérêt du formalisme EDP est de fournir un cadre rigoureux aux transformations utilisant des éléments structurants infinitésimaux, mais également de généraliser les filtres (espaces d échelles) morphologiques (cf. Chap. 3). [Alvarez et al 9] 3
24 Morphologie mathématique : le point de vue architectural TRAITEMENT LINEAIRE additionneur 3 bits MORPHOLOGIE MATHEMATIQUE a b ALU Routines arithmétiques ibliothèque de fonctions numériques données : flottants a b a portes logiques données : entiers booléens La morphologie mathématique épouse les structures les plus intimes des calculateurs numériques. 4
25 La rétine TCL Rétine numérique : machine massivement parallèle à entrée optique Rétine TCL (ernard - Zavidovique - Devos 993) : Matrice de 65x76 éléments composés d un photocapteur et d une unité de calcul de 3 bits par pixel : Plan d acquisition V ACQUISITION binaire : V s bit T Comparaisonduniveaude charge d une photodiode au temps T par rapport au seuil V s t 5
26 La rétine TCL Translation (éventuellement complémentation) sur le plan Calcul du ET logique sur le plan Calcul de monôme conjonctif : ex : x x x 3 Plan d acquisition x 4 x 5 x 6 x 8 x 9 x 7 y x x x 3 x4 x x x x x y Plan ET détection de la présence d une configuration dans l image binaire : bits Transformée en tout-ou-rien ε ( X) ε ( X H M c ) 6
27 La rétine TCL TCL Traitement Combinatoire Local c U[ εh ( X) εm ( X )] i i i Union de transformées en tout-ou-rien : détection de la présence d une parmi un ensemble de configurations dans l image binaire : ex : x x x 3 Plan d acquisition x 4 x 5 x 6 x 8 x 9 x 7 y y j ~ xi i Plan ET z z yj j Plan OU forme disjonctive 3 bits machine booléenne universelle! 7
28 La rétine NSIP Rétine Pvlsar (Paillet - ernard - Mercier 997) : Matrice de 8x8 éléments composés d un photocapteur, d une unité de codage analogique numérique et d une unité de calcul de 5 bits par pixel : V ACQUISITION numérique : Acquisition numérique sur n bits V s NSIP (Near sensor Image Processing, Eklund - Aström 993) : Procédé de codage numérique par multiseuillage t T T 7 Comparaisonduniveaude charge d une photodiode aux n temps T i par rapport au seuil V s 8
29 La rétine NSIP g mémoire numérique t SG(g) processeur élémentaire booléen PE PE PE PE ( f SG i ) Les traitements binaires effectués pendant l acquisition correspondent aux opérations ensemblistes effectuées sur les sections SG i (f) du sous-graphe de la fonction numérique f : i f t n { x / f ( x i} SG ( f ) R ) i et SG( f ) U i R SGi ( f ) { i} SG( f ) 9
30 e Partie : Filtrage morphologique analyse granulométrique Filtres morphologiques. Ouvertures et fermetures algébriques. Analyse granulométrique. Filtres alternés séquentiels. Pyramides et espaces d échelles morphologiques. 30
31 L approche morphologique du filtrage En traitement linéaire des images, filtrer, c est éliminer certaines composantes fréquentielles des images. Filtrage Convolution En morphologie mathématique, filtrer, c est simplifier l image en supprimant certaines structures géométriques (en général implicitement définies par un ou plusieurs éléments structurants). Le filtre morphologique simplifie l image en préservant la structure, mais il perd en général de l information ( Croissance). Le filtre morphologique est stable et possède une classe d invariance connue ( Idempotence). 3
32 Rappel : ouvertures et fermetures morphologiques l ouverture morphologique de X par. la fermeture morphologique de X par. ( ( ( X ) X o δ ( ε X X ( X ) X ε ( δ X X ( ( )) ( ) ( ( )) ( ) X ( X ) ( X ) CROISSANCE x y ( x) ( y) ( x) ( y) IDEMPOTENCE ( ( x) ) ( x) ( ( x) ) ( x) EXTENSIVITE L ouverture est anti-extensive : La fermeture est extensive : ( x) x x (x) 3
33 Filtres morphologiques x Un filtre morphologique est un opérateur ψ croissant et idempotent : y ψ ( x) ψ ( y) ψ ( ψ ( x) ) ψ ( x) On peut construire différentes familles de filtres morphologiques à partir des filtres de base, l ouverture et la fermeture morphologiques : Combinaisons sup/inf Opérateurs géodésiques Filtres morphologiques ouv / ferm morphologiques sup d ouv / inf de ferm ouv / ferm par reconstruction Ouv /Ferm algébriques filtres alternés séquentiels nivellements Granulométries 33
34 Ouvertures et fermetures algébriques Les ouvertures et fermetures algébriques généralisent les ouvertures et fermetures morphologiques. Uneouverture algébrique est un filtre morphologique anti-extensif. Unefermeture algébrique est un filtre morphologique extensif. ex : PROPRIETE Un sup d ouvertures morphologiques est une ouverture algébrique Un inf de fermetures morphologiques est une fermeture algébrique Image originale Ouverture morpholoqique par un segment vertical Ouverture morpholoqique par un segment horizontal Ouverture algébrique par union des deux ensembles 34
35 Granulométries L analyse granulométrique est l étude de la taille des objets fondée sur le principe du tamisage : sélection des objets par un ensemble de tamis de différentes tailles. Formellement, une granulométrie peut être définie par une famille d ouvertures : ( ) 0 telle que : 0 ex : ( ) + R Ouvertures par des boules euclidiennes de rayon ex : ( ) N Ouvertures par une suite croissante de boules discrètes 35
36 Granulométrie et anti-granulométrie La famille des opérateurs duaux (fermetures de taille croissante) est une anti-granulométrie : granulométrie anti-granulométrie 36
37 Fonction de distribution granulométrique Soit µ une mesure bornée sur un treillis E (aire, intégrale ) Pour x E, on note x (resp. x - ) l image de x par l opérateur de granulométrie (resp.d anti-granulométrie) d indice. On note µ ( x F x ( ) µ ( ) ) la fonction de distribution sur x de la granulométrie ( ) x 0 F x () anti-granulométrie original granulométrie 37
38 Spectre granulométrique Le spectre granulométrique est la dérivée de la fonction de distribution granulométrique : f ( ) F ( ) x x f x () anti-granulométrie original granulométrie 38
39 L analyse granulométrique Etude quantitative des images par la mesure de la contribution de chaque composante à l image globale : Traitement linéaire : Transformée de Fourier Composantes sinusoïdes complexes Morphologie mathématique : Analyse granulométrique Composantes famille de boules v Ln( F(u,v) ) f x () u Historiquement : une des premières application de la morphologie mathématique était l étude quantitative des sols poreux par analyse granulométrique de coupes microscopiques. 39
40 Théorème Matheron 988 Construction des filtres alternés L ensemble des filtres sur un treillis complet E forme un treillis I Soient ξ,ψ I De plus, on a l équivalence : tels que ξ ψ L ensemble ci-contre est un sous-treillis de I : ψξ ξψ ψξψ ξψ ξψξ ψξ ξψ dem : () filtres (idempotence) : ξψ ξξξψ ξψξψ ξψψψ ξψ () ordres : ψ ξψξ ξξξξψξ ξψξξψξ ξψψψψξ ξ ψξψ ψξ ξψξ ψψξ ψξ ψξξ ξ ξξξ ξψξ ψξψ ψψψ ψ ξψψ ξψ ξξψ (3) plus petit majorant : soit ζ un filtre tel que et alors ζ ξψ ζ ψξ ξψξ ζ ζζ ψξξψ ψξψ (4) équivalence : ξψ ψξψ ξψ ψξξ ψξ et ψξ ξψ ψξψ ξψψ ξψ ξξψ ψξψ 40
41 ξ Exemple de filtres alternés ψ On prend : (ouverture morphologique) (fermeture morphologique) élément structurant I 4
42 Filtres alternés séquentiels ( ) 0 * Soit une granulométrie, et ( ) 0 l anti-granulométrie associée Alors les opérateurs suivants : Θ Ξ ( ) sont des filtres, dits filtres alternés séquentiels associés à la granulométrie 0 Propriétés d absorption : Θ Ξ Θ Θ Ξ Ξ mais mais Θ Ξ Θ Ξ Θ Ξ Serra 988 4
43 43 Filtres alternés séquentiels : démonstration des propriétés Filtre morphologique (idempotence) : ) ( (*) (*) et donc d où et Propriétés d absorption : ( )( )( ) ( )( ) Θ Θ Θ ( )( )( ) Θ Θ Θ + +
44 Application à la réduction du bruit Les filtres alternés séquentiels conduisent à une bonne réduction du bruit grâce à une élimination progressive des pics et des creux de faible surface. Original Application directe du filtre alterné 4 φ 4 Ξ Ξ Ξ 5 Ξ 8 44
45 Application à la réduction du bruit Original f(x) en d : Somme f(x)+ε(x) ruit ε(x) Application directe du filtre alterné φ 5 5 Θ Θ 3 Θ 4 Θ 5 45
46 Espace d échelle morphologique Une granulométrie induit un espace d échelle (scale-space), qui fournit une représentation des images à différents niveaux de détail. 46
47 Espace d échelle, EDP et filtrage morphologique Le filtrage morphologique peut être exprimé dans le formalisme des Equations aux Dérivées Partielles (EDP). Ici la simplification progressive de l image se traduit par un phénomène de diffusion. Le respect du principe d invariance par changement de contraste implique la contrainte suivante sur la forme de l équation : L une des équations de diffusion invariante par changement de contraste la plus simple dans le formalisme EDP est la diffusion par courbure moyenne I t I G(curv( I), t) (G(x,y) x) avec G(x,y) continue et croissante par rapport à x. curv ( I )( z) courbe isophote de valeur I(z) z diffusion par courbure moyenne I t I curv( I) 47
Traitement bas-niveau
Plan Introduction L approche contour (frontière) Introduction Objectifs Les traitements ont pour but d extraire l information utile et pertinente contenue dans l image en regard de l application considérée.
Plus en détailMaster IMA - UMPC Paris 6 RDMM - Année 2009-2010 Fiche de TP
Master IMA - UMPC Paris 6 RDMM - Année 2009-200 Fiche de TP Préliminaires. Récupérez l archive du logiciel de TP à partir du lien suivant : http://www.ensta.fr/~manzaner/cours/ima/tp2009.tar 2. Développez
Plus en détailGéométrie discrète Chapitre V
Géométrie discrète Chapitre V Introduction au traitement d'images Géométrie euclidienne : espace continu Géométrie discrète (GD) : espace discrétisé notamment en grille de pixels GD définition des objets
Plus en détailChapitre VI. Connexions et fonctions numériques
Chapitre VI Connexions et fonctions numériques Concepts : -> Extension aux fonctions -> Opérateurs connexes -> Géodésie numérique -> Nivellements et auto-dualité Applications : -> Etude des extrema ->
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailDe même, le périmètre P d un cercle de rayon 1 vaut P = 2π (par définition de π). Mais, on peut démontrer (difficilement!) que
Introduction. On suppose connus les ensembles N (des entiers naturels), Z des entiers relatifs et Q (des nombres rationnels). On s est rendu compte, depuis l antiquité, que l on ne peut pas tout mesurer
Plus en détailFONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)
FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité
Plus en détailRelation d ordre. Manipulation des relations d ordre. Lycée Pierre de Fermat 2012/2013 Feuille d exercices
Lycée Pierre de Fermat 2012/2013 MPSI 1 Feuille d exercices Manipulation des relations d ordre. Relation d ordre Exercice 1. Soit E un ensemble fixé contenant au moins deux éléments. On considère la relation
Plus en détail3 Approximation de solutions d équations
3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle
Plus en détailINTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE
INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE Le schéma synoptique ci-dessous décrit les différentes étapes du traitement numérique
Plus en détailNotes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables
Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Guy Desaulniers Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2014 Table des matières
Plus en détailM2R IMA UE CONF Présentation
M2R IMA UE CONF Présentation L objectif de l UE «Conférences» est de : 1. Présenter des applications du traitement d images dans divers domaines industriels ou académiques. 2. Apporter des compléments
Plus en détailVision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007
Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses Guillaume Martinez 17 décembre 2007 1 Table des matières 1 Le projet 3 1.1 Objectif................................ 3 1.2 Les choix techniques.........................
Plus en détailCorrection du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 2007
Correction du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 7 EXERCICE points. Le plan (P) a une pour équation cartésienne : x+y z+ =. Les coordonnées de H vérifient cette équation donc H appartient à (P) et A n
Plus en détailStructures algébriques
Structures algébriques 1. Lois de composition s Soit E un ensemble. Une loi de composition interne sur E est une application de E E dans E. Soient E et F deux ensembles. Une loi de composition externe
Plus en détailProgrammation linéaire
1 Programmation linéaire 1. Le problème, un exemple. 2. Le cas b = 0 3. Théorème de dualité 4. L algorithme du simplexe 5. Problèmes équivalents 6. Complexité de l Algorithme 2 Position du problème Soit
Plus en détailSystème binaire. Algèbre booléenne
Algèbre booléenne Système binaire Système digital qui emploie des signaux à deux valeurs uniques En général, les digits employés sont 0 et 1, qu'on appelle bits (binary digits) Avantages: on peut utiliser
Plus en détailLes algorithmes de base du graphisme
Les algorithmes de base du graphisme Table des matières 1 Traçage 2 1.1 Segments de droites......................... 2 1.1.1 Algorithmes simples.................... 3 1.1.2 Algorithmes de Bresenham (1965).............
Plus en détailFonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples
45 Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples Les espaces vectoriels considérés sont réels, non réduits au vecteur nul et
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailChapitre 0 Introduction à la cinématique
Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à
Plus en détailImage d un intervalle par une fonction continue
DOCUMENT 27 Image d un intervalle par une fonction continue La continuité d une fonction en un point est une propriété locale : une fonction est continue en un point x 0 si et seulement si sa restriction
Plus en détailL analyse d images regroupe plusieurs disciplines que l on classe en deux catégories :
La vision nous permet de percevoir et d interpreter le monde qui nous entoure. La vision artificielle a pour but de reproduire certaines fonctionnalités de la vision humaine au travers de l analyse d images.
Plus en détailInformation. BASES LITTERAIRES Etre capable de répondre à une question du type «la valeur trouvée respecte t-elle le cahier des charges?
Compétences générales Avoir des piles neuves, ou récentes dans sa machine à calculer. Etre capable de retrouver instantanément une info dans sa machine. Prendre une bouteille d eau. Prendre CNI + convocation.
Plus en détailLogique binaire. Aujourd'hui, l'algèbre de Boole trouve de nombreuses applications en informatique et dans la conception des circuits électroniques.
Logique binaire I. L'algèbre de Boole L'algèbre de Boole est la partie des mathématiques, de la logique et de l'électronique qui s'intéresse aux opérations et aux fonctions sur les variables logiques.
Plus en détailDécouverte du logiciel ordinateur TI-n spire / TI-n spire CAS
Découverte du logiciel ordinateur TI-n spire / TI-n spire CAS Mémento Ouvrir TI-Nspire CAS. Voici la barre d outils : L insertion d une page, d une activité, d une page où l application est choisie, pourra
Plus en détailCalcul différentiel sur R n Première partie
Calcul différentiel sur R n Première partie Université De Metz 2006-2007 1 Définitions générales On note L(R n, R m ) l espace vectoriel des applications linéaires de R n dans R m. Définition 1.1 (différentiabilité
Plus en détailNotes du cours MTH1101N Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables
Notes du cours MTH1101N Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Fausto Errico Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2012 Table des matières
Plus en détailCours3. Applications continues et homéomorphismes. 1 Rappel sur les images réciproques
Université de Provence Topologie 2 Cours3. Applications continues et homéomorphismes 1 Rappel sur les images réciproques Soit une application f d un ensemble X vers un ensemble Y et soit une partie P de
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Maths MP Exercices Fonctions de plusieurs variables Les indications ne sont ici que pour être consultées après le T (pour les exercices non traités). Avant et pendant le T, tenez bon et n allez pas les
Plus en détailCapacité d un canal Second Théorème de Shannon. Théorie de l information 1/34
Capacité d un canal Second Théorème de Shannon Théorie de l information 1/34 Plan du cours 1. Canaux discrets sans mémoire, exemples ; 2. Capacité ; 3. Canaux symétriques ; 4. Codage de canal ; 5. Second
Plus en détailOptimisation, traitement d image et éclipse de Soleil
Kléber, PCSI1&3 014-015 I. Introduction 1/8 Optimisation, traitement d image et éclipse de Soleil Partie I Introduction Le 0 mars 015 a eu lieu en France une éclipse partielle de Soleil qu il était particulièrement
Plus en détailOpérations de base sur ImageJ
Opérations de base sur ImageJ TPs d hydrodynamique de l ESPCI, J. Bico, M. Reyssat, M. Fermigier ImageJ est un logiciel libre, qui fonctionne aussi bien sous plate-forme Windows, Mac ou Linux. Initialement
Plus en détailSystèmes de transmission
Systèmes de transmission Conception d une transmission série FABRE Maxime 2012 Introduction La transmission de données désigne le transport de quelque sorte d'information que ce soit, d'un endroit à un
Plus en détailComment tracer une droite représentative d'une fonction et méthode de calcul de l'équation d'une droite.
Comment tracer une droite représentative d'une fonction et méthode de calcul de l'équation d'une droite. Introduction : Avant de commencer, il est nécessaire de prendre connaissance des trois types de
Plus en détailLA PHYSIQUE DES MATERIAUX. Chapitre 1 LES RESEAUX DIRECT ET RECIPROQUE
LA PHYSIQUE DES MATERIAUX Chapitre 1 LES RESEAUX DIRECT ET RECIPROQUE Pr. A. Belayachi Université Mohammed V Agdal Faculté des Sciences Rabat Département de Physique - L.P.M belayach@fsr.ac.ma 1 1.Le réseau
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détailFonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre
IUFM du Limousin 2009-10 PLC1 Mathématiques S. Vinatier Rappels de cours Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre 1 Fonctions de plusieurs variables
Plus en détailArithmétique binaire. Chapitre. 5.1 Notions. 5.1.1 Bit. 5.1.2 Mot
Chapitre 5 Arithmétique binaire L es codes sont manipulés au quotidien sans qu on s en rende compte, et leur compréhension est quasi instinctive. Le seul fait de lire fait appel au codage alphabétique,
Plus en détailCorrection du baccalauréat S Liban juin 2007
Correction du baccalauréat S Liban juin 07 Exercice. a. Signe de lnx lnx) : on fait un tableau de signes : x 0 e + ln x 0 + + lnx + + 0 lnx lnx) 0 + 0 b. On afx) gx) lnx lnx) lnx lnx). On déduit du tableau
Plus en détailFonctions de deux variables. Mai 2011
Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs
Plus en détailRésolution d équations non linéaires
Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique
Plus en détailIntégration et probabilités TD1 Espaces mesurés
Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés 2012-2013 1 Petites questions 1) Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? 2) Si F et G sont deux tribus, est-ce que F G est toujours une tribu?
Plus en détailIntégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé
Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé 2012-2013 1 Petites questions 1 Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? Réponse : Non, car le complémentaire de ], 0[ n est pas ouvert.
Plus en détailAxe " Génie des Procédés", centre SPIN, Ecole des Mines de Saint-Etienne ECOLE DES MINES SAINT-ETIENNE ANALYSE D IMAGE
ANALYSE D IMAGE 1. PRESENTATION DE L ANALYSE D IMAGE. 4 1.1. OJECTIF ET BUT DE L ANALYSE D IMAGE 4 1.2. PRINCIPE 4 1.2.1. FORMATION DE L IMAGE NUMERIQUE 4 1.2.2. TRANSFORMATION DE L IMAGE NUMERIQUE EN
Plus en détailProjet Matlab/Octave : segmentation d'un ballon de couleur dans une image couleur et insertion d'un logo
Projet Matlab/Octave : segmentation d'un ballon de couleur dans une image couleur et insertion d'un logo Dans ce projet, nous allons réaliser le code qui permet d'insérer sur une image, un logo sur un
Plus en détailINF 232: Langages et Automates. Travaux Dirigés. Université Joseph Fourier, Université Grenoble 1 Licence Sciences et Technologies
INF 232: Langages et Automates Travaux Dirigés Université Joseph Fourier, Université Grenoble 1 Licence Sciences et Technologies Année Académique 2013-2014 Année Académique 2013-2014 UNIVERSITÉ JOSEPH
Plus en détailExamen optimisation Centrale Marseille (2008) et SupGalilee (2008)
Examen optimisation Centrale Marseille (28) et SupGalilee (28) Olivier Latte, Jean-Michel Innocent, Isabelle Terrasse, Emmanuel Audusse, Francois Cuvelier duree 4 h Tout resultat enonce dans le texte peut
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailProjet de Traitement du Signal Segmentation d images SAR
Projet de Traitement du Signal Segmentation d images SAR Introduction En analyse d images, la segmentation est une étape essentielle, préliminaire à des traitements de haut niveau tels que la classification,
Plus en détailQuantification Scalaire et Prédictive
Quantification Scalaire et Prédictive Marco Cagnazzo Département Traitement du Signal et des Images TELECOM ParisTech 7 Décembre 2012 M. Cagnazzo Quantification Scalaire et Prédictive 1/64 Plan Introduction
Plus en détailUtilisation d informations visuelles dynamiques en asservissement visuel Armel Crétual IRISA, projet TEMIS puis VISTA L asservissement visuel géométrique Principe : Réalisation d une tâche robotique par
Plus en détailCapes 2002 - Première épreuve
Cette correction a été rédigée par Frédéric Bayart. Si vous avez des remarques à faire, ou pour signaler des erreurs, n hésitez pas à écrire à : mathweb@free.fr Mots-clés : équation fonctionnelle, série
Plus en détailAlgèbre binaire et Circuits logiques (2007-2008)
Université Mohammed V Faculté des Sciences Département de Mathématiques et Informatique Filière : SMI Algèbre binaire et Circuits logiques (27-28) Prof. Abdelhakim El Imrani Plan. Algèbre de Boole 2. Circuits
Plus en détailSouad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/
Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation
Plus en détailJ AUVRAY Systèmes Electroniques TRANSMISSION DES SIGNAUX NUMERIQUES : SIGNAUX EN BANDE DE BASE
RANSMISSION DES SIGNAUX NUMERIQUES : SIGNAUX EN BANDE DE BASE Un message numérique est une suite de nombres que l on considérera dans un premier temps comme indépendants.ils sont codés le plus souvent
Plus en détailCours de mathématiques
DEUG MIAS premier niveau Cours de mathématiques année 2003/2004 Guillaume Legendre (version révisée du 3 avril 2015) Table des matières 1 Éléments de logique 1 1.1 Assertions...............................................
Plus en détailAlgorithmique I. Augustin.Lux@imag.fr Roger.Mohr@imag.fr Maud.Marchal@imag.fr. Algorithmique I 20-09-06 p.1/??
Algorithmique I Augustin.Lux@imag.fr Roger.Mohr@imag.fr Maud.Marchal@imag.fr Télécom 2006/07 Algorithmique I 20-09-06 p.1/?? Organisation en Algorithmique 2 séances par semaine pendant 8 semaines. Enseignement
Plus en détailLa programmation linéaire : une introduction. Qu est-ce qu un programme linéaire? Terminologie. Écriture mathématique
La programmation linéaire : une introduction Qu est-ce qu un programme linéaire? Qu est-ce qu un programme linéaire? Exemples : allocation de ressources problème de recouvrement Hypothèses de la programmation
Plus en détailPlan du cours 2014-2015. Cours théoriques. 29 septembre 2014
numériques et Institut d Astrophysique et de Géophysique (Bât. B5c) Bureau 0/13 email:.@ulg.ac.be Tél.: 04-3669771 29 septembre 2014 Plan du cours 2014-2015 Cours théoriques 16-09-2014 numériques pour
Plus en détailAnalyse de la vidéo. Chapitre 4.1 - La modélisation pour le suivi d objet. 10 mars 2015. Chapitre 4.1 - La modélisation d objet 1 / 57
Analyse de la vidéo Chapitre 4.1 - La modélisation pour le suivi d objet 10 mars 2015 Chapitre 4.1 - La modélisation d objet 1 / 57 La représentation d objets Plan de la présentation 1 La représentation
Plus en détailLa Licence Mathématiques et Economie-MASS Université de Sciences Sociales de Toulouse 1
La Licence Mathématiques et Economie-MASS Université de Sciences Sociales de Toulouse 1 La licence Mathématiques et Economie-MASS de l Université des Sciences Sociales de Toulouse propose sur les trois
Plus en détailG.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction
DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner
Plus en détailChapitre 7. Statistique des échantillons gaussiens. 7.1 Projection de vecteurs gaussiens
Chapitre 7 Statistique des échantillons gaussiens Le théorème central limite met en évidence le rôle majeur tenu par la loi gaussienne en modélisation stochastique. De ce fait, les modèles statistiques
Plus en détailAutomatique Linéaire 1 Travaux Dirigés 1A ISMIN
Automatique Linéaire 1 Travaux Dirigés Travaux dirigés, Automatique linéaire 1 J.M. Dutertre 2014 TD 1 Introduction, modélisation, outils. Exercice 1.1 : Calcul de la réponse d un 2 nd ordre à une rampe
Plus en détailUNE REPRESENTATION GRAPHIQUE DE LA LIAISON STATISTIQUE ENTRE DEUX VARIABLES ORDONNEES. Éric TÉROUANNE 1
33 Math. Inf. Sci. hum., (33 e année, n 130, 1995, pp.33-42) UNE REPRESENTATION GRAPHIQUE DE LA LIAISON STATISTIQUE ENTRE DEUX VARIABLES ORDONNEES Éric TÉROUANNE 1 RÉSUMÉ Le stéréogramme de liaison est
Plus en détailI - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES
I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et
Plus en détailINF6304 Interfaces Intelligentes
INF6304 Interfaces Intelligentes filtres collaboratifs 1/42 INF6304 Interfaces Intelligentes Systèmes de recommandations, Approches filtres collaboratifs Michel C. Desmarais Génie informatique et génie
Plus en détailExercices Corrigés Premières notions sur les espaces vectoriels
Exercices Corrigés Premières notions sur les espaces vectoriels Exercice 1 On considére le sous-espace vectoriel F de R formé des solutions du système suivant : x1 x 2 x 3 + 2x = 0 E 1 x 1 + 2x 2 + x 3
Plus en détailContinuité d une fonction de plusieurs variables
Chapitre 2 Continuité d une fonction de plusieurs variables Maintenant qu on a défini la notion de limite pour des suites dans R n, la notion de continuité s étend sans problème à des fonctions de plusieurs
Plus en détailUne introduction aux codes correcteurs quantiques
Une introduction aux codes correcteurs quantiques Jean-Pierre Tillich INRIA Rocquencourt, équipe-projet SECRET 20 mars 2008 1/38 De quoi est-il question ici? Code quantique : il est possible de corriger
Plus en détailTransmission d informations sur le réseau électrique
Transmission d informations sur le réseau électrique Introduction Remarques Toutes les questions en italique devront être préparées par écrit avant la séance du TP. Les préparations seront ramassées en
Plus en détailOscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté
Chapitre 4 Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté 4.1 Introduction Les systèmes qui nécessitent deux coordonnées indépendantes pour spécifier leurs positions sont appelés systèmes à
Plus en détailLes étapes du traitement de l analyse d image
Les étapes du traitement de l analyse d image La capture image brute Prétraitement niveaux de gris Segmentation image binaire Post-traitement régions d intérêts Amélioration Publication Quantification
Plus en détailAlgorithmique et Programmation, IMA
Algorithmique et Programmation, IMA Cours 2 : C Premier Niveau / Algorithmique Université Lille 1 - Polytech Lille Notations, identificateurs Variables et Types de base Expressions Constantes Instructions
Plus en détailApproximations variationelles des EDP Notes du Cours de M2
Approximations variationelles des EDP Notes du Cours de M2 Albert Cohen Dans ce cours, on s intéresse à l approximation numérique d équations aux dérivées partielles linéaires qui admettent une formulation
Plus en détailNumérisation du signal
Chapitre 12 Sciences Physiques - BTS Numérisation du signal 1 Analogique - Numérique. 1.1 Définitions. Signal analogique : un signal analogique s a (t)est un signal continu dont la valeur varie en fonction
Plus en détailCCP PSI - 2010 Mathématiques 1 : un corrigé
CCP PSI - 00 Mathématiques : un corrigé Première partie. Définition d une structure euclidienne sur R n [X]... B est clairement symétrique et linéaire par rapport à sa seconde variable. De plus B(P, P
Plus en détailDOCM 2013 http://docm.math.ca/ Solutions officielles. 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10.
A1 Trouvez l entier positif n qui satisfait l équation suivante: Solution 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10. En additionnant les termes du côté gauche de l équation en les mettant sur le même dénominateur
Plus en détail1 Complément sur la projection du nuage des individus
TP 0 : Analyse en composantes principales (II) Le but de ce TP est d approfondir nos connaissances concernant l analyse en composantes principales (ACP). Pour cela, on reprend les notations du précédent
Plus en détailEtude de fonctions: procédure et exemple
Etude de fonctions: procédure et exemple Yves Delhaye 8 juillet 2007 Résumé Dans ce court travail, nous présentons les différentes étapes d une étude de fonction à travers un exemple. Nous nous limitons
Plus en détailUtilisation du logiciel ImageJ gratuit
Utilisation du logiciel ImageJ gratuit on peut récupérer sur le lien suivant : http://rsbweb.nih.gov/ij/ à partir duquel ce résumé très bref (!!) a été élaboré Lancer ImageJ Vous avez une fenêtre qui s'ouvre
Plus en détailChapitre 10 Arithmétique réelle
Chapitre 10 Arithmétique réelle Jean Privat Université du Québec à Montréal INF2170 Organisation des ordinateurs et assembleur Automne 2013 Jean Privat (UQAM) 10 Arithmétique réelle INF2170 Automne 2013
Plus en détailChaine de transmission
Chaine de transmission Chaine de transmission 1. analogiques à l origine 2. convertis en signaux binaires Échantillonnage + quantification + codage 3. brassage des signaux binaires Multiplexage 4. séparation
Plus en détailLES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION
LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION ) Caractéristiques techniques des supports. L infrastructure d un réseau, la qualité de service offerte,
Plus en détailTOUT CE QU IL FAUT SAVOIR POUR LE BREVET
TOUT E QU IL FUT SVOIR POUR LE REVET NUMERIQUE / FONTIONS eci n est qu un rappel de tout ce qu il faut savoir en maths pour le brevet. I- Opérations sur les nombres et les fractions : Les priorités par
Plus en détailDifférentiabilité ; Fonctions de plusieurs variables réelles
Différentiabilité ; Fonctions de plusieurs variables réelles Denis Vekemans R n est muni de l une des trois normes usuelles. 1,. 2 ou.. x 1 = i i n Toutes les normes de R n sont équivalentes. x i ; x 2
Plus en détailConstruction d un cercle tangent à deux cercles donnés.
Préparation au CAPES Strasbourg, octobre 2008 Construction d un cercle tangent à deux cercles donnés. Le problème posé : On se donne deux cercles C et C de centres O et O distincts et de rayons R et R
Plus en détailCalculer avec Sage. Revision : 417 du 1 er juillet 2010
Calculer avec Sage Alexandre Casamayou Guillaume Connan Thierry Dumont Laurent Fousse François Maltey Matthias Meulien Marc Mezzarobba Clément Pernet Nicolas Thiéry Paul Zimmermann Revision : 417 du 1
Plus en détail8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles. f : R 2 R (x, y) 1 x 2 y 2
Chapitre 8 Fonctions de plusieurs variables 8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles Définition. Une fonction réelle de n variables réelles est une application d une partie de R
Plus en détailThéorème du point fixe - Théorème de l inversion locale
Chapitre 7 Théorème du point fixe - Théorème de l inversion locale Dans ce chapitre et le suivant, on montre deux applications importantes de la notion de différentiabilité : le théorème de l inversion
Plus en détailDétection des points d intérêt et Segmentation des images RGB-D. Présentée par : Bilal Tawbe. Semaine de la recherche de l UQO
Détection des points d intérêt et Segmentation des images RGB-D Présentée par : Bilal Tawbe Semaine de la recherche de l UQO 25 Mars 2015 1. Introduction Les méthodes de détection de points d intérêt ont
Plus en détailRelation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire
CHAPITRE 3 Relation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire Parmi les analyses statistiques descriptives, l une d entre elles est particulièrement utilisée pour mettre en évidence
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours
Exo7 Continuité (étude globale). Diverses fonctions Exercices de Jean-Louis Rouget. Retrouver aussi cette fiche sur www.maths-france.fr * très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile *****
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable
Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I
Plus en détailProgrammes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles
Programmes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles Filière : scientifique Voies : Mathématiques, physique et sciences de l'ingénieur (MPSI) Physique, chimie et sciences de l ingénieur (PCSI) Physique,
Plus en détailCalcul intégral élémentaire en plusieurs variables
Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement
Plus en détailModèles à Événements Discrets. Réseaux de Petri Stochastiques
Modèles à Événements Discrets Réseaux de Petri Stochastiques Table des matières 1 Chaînes de Markov Définition formelle Idée générale Discrete Time Markov Chains Continuous Time Markov Chains Propriétés
Plus en détail