Recommandations / RCP ERC - CFRC SFMU 2015
|
|
- Marin Langevin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Collège de Médecine d Urgence de Bretagne 18 novembre 2015 Recommandations / RCP ERC - CFRC SFMU 2015
2 RCP en 2015 Résumé des modifications / recommandations 2010
3 RCP / ERC 2015 Pas de changement marquant par rapport aux recommandations 2010
4 RCP en 2010 Alerte RCP de base Défibrillation RCP spécialisée Suites de la RCP
5 RCP en 2010 Alerte RCP de base Défibrillation RCP spécialisée Suites de la RCP
6 RCP en 2015 Alerte RCP de base / DAE RCP Spécialisée Suites de la RCP et réhabilitation PYG-2014
7 RCP en 2015 Alerte RCP de base / DAE RCP Spécialisée Suites de la RCP et réhabilitation
8 RCP en 2010/15
9 RCP en Une réponse citoyenne sauve des vies
10 RCP en 2015 Alerte RCP de base / DAE RCP Spécialisée Suites de la RCP et réhabilitation
11 RCP B-DAE / ERC 2015 Résumé des modifications / recommandations 2010
12 Résumé des modifications / recommandations 2010 (1) o o o o RCP B-DAE / ERC 2015 Rôle capital de l ARM du «15» dans: Détection précoce de l AC RCP guidée par téléphone Envoi d un DAE de proximité Evaluation de la victime et alerte immédiate par le témoin en cas d inconscience et d absence de respiration normale. Dans ce cas, reconnaissance de l AC et nécessité d une RCP. Le témoin, comme l ARM, doit également évoquer l AC devant toute épisode convulsif, et scrupuleusement évaluer si une respiration normale est présente Le sauveteur doit réaliser les compressions thoraciques (CT) pour tout AC. Un sauveteur entraîné doit combiner CT et insufflations (insuffisance d arguments sur la ventilation pour changer nos pratiques)
13
14
15
16 RCP en 2015
17 RCP en 2015
18 RCP en 2015
19 RCP en 2015
20 o o RCP B-DAE / ERC 2015 Résumé des modifications / recommandations 2010 (2) Une RCP de grande qualité reste un élément essentiel pour l amélioration de la survie: Compressions entre 5 et 6 cm en moyenne pour un adulte avec un rythme entre 100 et 120 / min. Décompression complète et interruption réduite des compressions Lorsqu elles sont réalisées, insufflations d environ 1 sec. avec un volume suffisant pour soulever le thorax Séquence compressions/ventilation = 30:2 Interruption des compressions / insufflations < 10 sec. La défibrillation réalisée dans les 3-5 premières min. d un AC peut permettre une survie dans % des cas: Défibrillation précoce effectuée grâce à un DAE grand public. Programmes d accès aux DAE grand public pour tout lieu publique accueillant une forte densité de population
21 DAE en 2015
22 DAE en 2015
23 DAE en 2015
24 DAE en 2015
25 DAE en 2015
26 RCP B-DAE / ERC 2015 Résumé des modifications / recommandations 2010 (3) o Schéma de RCP de base adulte applicable en toute sécurité aux enfants présentant les mêmes signes d AC: profondeur des compressions chez l enfant = au moins d un tiers de la profondeur du thorax ( 4 cm chez le nourrisson et 5 cm chez l enfant) o Corps étranger entraînant une obstruction sévère des voies aériennes = urgence médicale nécessitant un traitement immédiat: en priorité «claques» dorsales en cas d échec, des compressions abdominales et si inconscience, RCP débutée immédiatement simultanément à l alerte
27 RCP en 2015
28 Algorithme de RCP de base (Reco. RCP - ERC/CFRC/SFMU 2015) Absence de réponse et absence de respiration normale Alerter le 15 Faire 30 compressions thoraciques Faire 2 insuflations Poursuivre RCP = 30:2 Dès le DAE sur place le brancher et suivre les instructions
29 RCP en 2015 Alerte RCP de base / DAE RCP Spécialisée Suites de la RCP et réhabilitation
30 RCP-S / ERC 2015 Résumé des modifications / recommandations 2010
31 RCP-S / ERC 2015 Recommandations pour la prévention de l ACIH Pas de changement par rapport aux recommandations 2010
32 o o o o RCP-S / ERC 2015 Résumé des modifications / recommandations 2010 (1) o Priorité à l organisation d une réponse adaptée à la prise en charge des détresses vitales et la prévention de l ACIH Priorité à la réalisation de CT de grande qualité ininterrompues sauf brièvement au cours de la RCP-S pour des interventions ponctuelles, comme un choc électrique Privilégier l utilisation d électrodes autocollantes pour réduire le délai avant le choc même si les palettes restent utilisables Pour le monitorage de la RCP-S, privilégier le capnogramme pour valider le positionnement de l intubation, monitorer la qualité de la RCP, et détecter précocement une RACS Il existe de multiples techniques de prise en charge des voies aériennes au cours de la RCP-S et il est souhaitable d avoir une approche raisonnée en fonction des particularités du patient et du niveau de compétence de l intervenant (= IOT / SMUR)
33 ALS waveform capnography
34 Médicaments de l AC Drugs or Not drugs in 2015 CPR?
35 o o o o RCP-S / ERC 2015 Résumé des modifications / recommandations 2010 (2) Les recommandations concernant le traitement médicamenteux au cours de la RCP-S n a pas changé, mais il existe une plus grande incertitude concernant l efficacité des drogues dans le pronostic L utilisation en routine des dispositifs de CT mécaniques n est pas recommandée bien que ce soit une alternative acceptable quand les compressions manuelles de qualité ne sont pas réalisables ou à risque pour l intervenant L investigation ultrasonique peut avoir un intérêt pour détecter une étiologie curable à l AC Les techniques d assistance circulatoire extracorporelle peuvent avoir un intérêt comme mesure de sauvetage seulement pour des patients sélectionnés pour qui la RCP-S habituelle est un échec.
36 Choquable (FV/TV sans pouls) 1 choc (Réduire interruption RCP) Reprise immédiate RCP pdt 2 min (Réduire interruptions) Pendant la RCP Assurer la qualité des compressions thoraciques Réduire les interruptions de MCE Oxygéner Utiliser un capnogramme (courbe d EtCO 2 ) Compressions thoraciques continues après intubation Abord vasculaire (IV, IO) Adrénaline 1 mg / 4 min environ Amiodarone 300mg après 3 e CEE si FV Algorithme de RCP médicalisée (Reco. RCP - ERC/CFRC/SFMU 2015) Absence de réponse et absence de respiration normale RCP de base = 30:2 défibrillateur / cardioscope (Réduire interruptions RCP) Analyse du rythme RACS Traitement post-rcp immédiat Utiliser l approche ABCDE Objectif SpO 2 = % Objectif PaCO 2 = normale ECG 12 dérivations Traiter une cause déclenchante Contrôle d une température cible Non choquable (AESP/Asystole) Allo CSIH Reprise immédiate RCP pdt 2 min (Réduire interruptions) Traiter les causes réversibles Hypoxie Hypovolémie Hypo/perkaliémies Hypo/perthermies Envisager Echo(cardio)graphie Massage automatisé (/transfert) Angiographie/plastie ECMOthérapie Thromboses coro ou pulm. T. Pneunothorax Tamponnade cardiaque Toxiques
37 RCP-S / ERC 2015 Ce qui n est pas encore un AC Circonstances particulières d AC
38 RCP-S / ERC 2015 Ce qui n est pas encore un AC Circonstances particulières d AC
39 RCP-S / ERC 2015 Causes particulières d AC o 2 groupes: 4 «H» - 4 «T» o AC asphyxique: Pronostic péjoratif Ventilation prioritaire o AC/tr. métaboliques: Prévention agressive Algorithme / hyperkaliémie o Hypothermie: Réchauffement externe si stabilité CV Centre avec CEC si instabilité CV o Choc anaphylactique: adrénaline IM précoce o Nouvel algorithme / AC traumatique o CathLab sous RCP si indication et expertise o Fibrinolyse si AC/EP
40 Hypoxie Pneunothorax sous tension Tamponnade cardiaque Hypovolémie Algorithme pour AC Traumatique (Reco. RCP - ERC/CFRC/SFMU 2015) Envisager l arrêt de la RCP Pré-hospitalier: AC / Traumatisé Rechercher une cause non traumatique Improbable Evoquer toutes les causes réversibles 1- Contrôle d hémorragie extériorisée 2- Contrôle VA et optimisation O 2 3- Décompression thoracique bilatérale 4- Evacuation de tamponnade cardiaque 5- Contrôle chirurgical des hémorragies ou compression de l aorte proximale 6- Protocole de remplissage et de transfusion massive NON RACS OUI Probable Intra-hospitalier Faire/Continuer RCP-S Standard. Se limiter aux gestes de sauvetage. Réanimation du «Damage Contrôle». Transport rapide vers centre adapté. Contrôle définitif de l hémorragie Algorithme RCP-S Standard AC<10 min? Expertise? Equipement? Contexte? Envisager immédiatement thoracotomie de sauvetage
41 AC / Noyade en 2015 Absence de réponse et absence de respiration normale Appeler de l aide Et alerter le 15 Libérer les voies aériennes Faire 5 insuflations si possible avec O 2 Signes de vie? Débuter RCP = 30:2 Connecter le DAE et suivre les instructions Reco. RCP - ERC/CFRC/SFMU 2015
42 AC / Avalanche en 2015 Evaluer le patient dès son dégagement Lésions léthales ou corps gelé NON Durée d ensevelissement (température centrale) >60 min (<30 C) Signes de vie? NON Débuter RCP Monitorer ECG Voies aériennes libres? NON Envisager l arrêt de la RCP OUI 60 min ( 30 C) OUI Ne pas débuter la RCP Algorithme RCP-S standard FV/TV sans pouls/aesp OUI ou douteux Réchauffement invasif limité Doser la kaliémie >8 mmoles/l 8 mmoles/l Hôpital avec ECMO Reco. RCP - ERC/CFRC/SFMU 2015
43 RCP en 2015 Alerte RCP de base / DAE RCP Spécialisée Suites de la RCP et réhabilitation
44 Suites de la RCP/ ERC 2015 Résumé des modifications / recommandations 2010
45 Suites de la RCP/ ERC 2015 Résumé des modifications / recommandations 2010 o Priorité encore plus marquée pour une angiographie coronaire et une angioplastie après un AC de cause cardiaque probable o Contrôle ciblé de la température ( hypothermie) tjs essentiel mais un objectif de 36 C est aujourd hui possible (fourchette acceptable entre 32 et 36 C au lieu de C). La prévention de l hyperthermie reste essentielle o L évaluation du pronostic est maintenant sous-tendu à une stratégie multimodale et il est indispensable d avoir un recul suffisant pour évaluer la récupération neurologique et permettre l élimination de toute sédation o Un nouveau chapitre traitant de la réhabilitation post-ac a été ajouté. Les recommandations préconisent une prise en charge stricte des soins de suite, comprenant notamment une évaluation des déficits cognitifs et émotionnels potentiels
46
47
48
49 Traitement immédiat Algorithme coma Post-RCP post-racs 2015 Voies aériennes et ventilation Objectif SpO 2 = % Contrôle voies aériennes (intubation) Capnogramme Ventilation pour normocapnie Circulation ECG 12-dérivations Abord veineux fiable Objectif PAS > 100 mmhg Remplissage (cristalloïdes) pour normovolémie Monitorage de pression artérielle invasive Possibilité de vasopresseurs/inotropes Contrôle thermique Stabilité thermique entre C Sédation; contrôle du frisson Diagnostic et réanimation intra-hospitalière 1
50 Traitement immédiat Diagnostic d urgence Algorithme coma Post-RCP post-racs 2015 NON Envisager TDM cérébral et/ou thoracique Traiter les causes non cardiaques Voies aériennes et ventilation NON Circulation Contrôle thermique Cause cardiaque probable? Faire coronarographie+/- plastie PC Cause cardiaque? OUI OUI Admission en réanimation OUI Surélévation ST? NON 2 Envisager coronarographie/plastie Traitement en réanimation
51 Traitement immédiat Diagnostic Réhabilitation optimale Algorithme coma Post-RCP post-racs 2015 Voies aériennes et ventilation Circulation Contrôle thermique Cause cardiaque? Traitement en réanimation Température contrôlée (32-36 C) 24 h + prévention hyperthermie 72 h Maintien normoxie-normocapnie = ventilation protectrice Optimisation hémodynamique (PAM, lactate, ScvO 2, DC/IC, diurèse) Echocardiographie Maintien normoglycémie Diagnostic/traitement convulsions (EEG, sédation, anti-comitiaux) Evaluation du pronostic différé 72 h Prévention secondaire (Déf. Implant, altérations 2 aires, facteurs risque) 3 Suivi et Réhabilitation
52 Evaluation pronostique Retarder l évaluation à 72h post AC Evaluation pronostique multimodale
53 Approche multimodale o o o o o Examen clinique Au moins 1 fois / j Absence réflexes tronc (photomoteurs +++) = mauvais pronostic mais présence bon pronostic Attention! Eléments confondants (sédation /analgésie, IR/IH ) Réponse motrice / douleur = non fiable Myoclonies ± mauvais pronostic EEG Confirmation mauvais pronostic ( réactivité, «burst» suppression spt) Bonne valeur pronostique si EEG continue et réactivité présente Utilité / crises (état mal post-anoxique ± mauvais pronostic) PES Confirmation mauvais pronostic (absence réponse N20 bilatérale) Mauvaise valeur pronostique si N20 présents ENS (Enolase Neuro-Spécifique) Outil complémentaire Dosages répétés (24-72h) - Labo expérimenté IRM cérébrale Outil supplémentaire / Centre expérimenté +++
54 J 1-2 J 3-5 IRM EEG - ENS TDM PES Algorithme coma post-racs 2015 Arrêt cardiaque Contrôle de la température Rechauffement Exclure facteurs confondants (sédation résiduelle) Coma (GCS M=1-2) 72 h post RACS Réflexes pupillaires et cornéens = 0 et/ou Absence bilatérale de réponse corticale N2O / PES NON Attendre au moins 24 h + 2 ou plus des évènements: Episodes myocloniques 48 h post RACS Taux élevés de ENS ( mcg/l à 24 h) Bas voltage aréactif ou EME à l EEG Lésions anoxiques diffuses sur TDM ou IRM NON Pronostic incertain Suveillance et ré-évaluation OUI 4 Pronostic très probable (PFP<5%, IC 95%) OUI Pronostic très probable Stratégie d évaluation multimodale souhaitable
55 En pratique, dès le SMUR 1- Oxygénation Ventilation VA FiO 2 SpO % FR = 10 VC = 6-8 ml/kg Normocapnie 2- Optimisation de l hémodynamique selon étiologie PAM entre 65 et 90 mmhg 3- Orientation du patient et traitement étiologique 4- Contrôle ciblé de la température si pas CI Monitorage continu C 5- Contrôle glycémie 10 mmoles/l PYG-2015
56
Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque
Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque 24 ème Congrès de la Coordination des Infirmiers Anesthésistes et de Réanimation de Caen et sa Région Dr Buléon Clément Pôle Réanimation-Anesthésie-SAMU,
Plus en détailAtelier gestes d urgences
Atelier gestes d urgences L arrêt cardio-respiratoire Pré-test 1- Question à choix multiples: A- L arrêt cardio-respiratoire est plus souvent d origine respiratoire chez l enfant. B- L arrêt cardio-respiratoire
Plus en détailVous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à
Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailEquipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable
Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailDEMONSTRATION DE FONCTIONNEMENT DU DÉFIBRILLATEUR
DEMONSTRATION DE FONCTIONNEMENT DU DÉFIBRILLATEUR H e a r t S t a r t ( Philips ) Démonstration réalisée par les Docteurs Alain LIAGRE & Thierry LEDANT Membres du Conseil Syndical DOMAINE DE SAINT PIERRE
Plus en détailUrgence de terrain : conduite à tenir Actualisation de la réanimation cardio-pulmonaire
Urgence de terrain : conduite à tenir Actualisation de la réanimation cardio-pulmonaire Docteur Jean-Pierre PERTEK Chef de service d anesthésie réanimation L arrêt cardio-respiratoire est un événement
Plus en détail25/09/2014 CR : BRASSIER Julia. LEVERRIER Floriane L2 Médecine d'urgence (AFGSU) P. MICHELET 8 pages. Détresse vitale Arrêt cardiaque Alerte
25/09/2014 CR : BRASSIER Julia. LEVERRIER Floriane L2 Médecine d'urgence (AFGSU) P. MICHELET 8 pages Détresse vitale Arrêt cardiaque Alerte Plan A. Introduction B. Donner l'alerte I. L'alerte en milieu
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailRECOMMANDATIONS OFFICIELLES - DEFIBRILLATEURS AUTOMATISES EXTERNES
RECOMMANDATIONS OFFICIELLES - DEFIBRILLATEURS AUTOMATISES EXTERNES SOMMAIRE : Définitions DAE / DSA / DEA. Les accessoires recommandés. Notion de système d information pour les secours spécialisés. Les
Plus en détailCardiOuest Mail : info@cardiouest.fr - Téléphone : 02.30.96.19.53.
CardiOuest Chaque jour en France, environ 200 personnes succombent d'un Arrêt Cardiaque Soudain (ACS). C'est 10 fois plus que le nombre de victime d'accident de la route. Faute d'intervention rapide, le
Plus en détailItem 185 : Arrêt cardiocirculatoire
Item 185 : Arrêt cardiocirculatoire Collège National des Enseigants de Réanimation Médicale Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...2 SPECIFIQUE :...2 I Définition...3 II Mécanismes
Plus en détailFormation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA)
Formation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA) Que devons nous savoir? Utiliser en toute sécurité un défibrillateur semi-automatique au cours de la réanimation cardio-pulmonaire Durée
Plus en détailWorks like you work. La solution pour l accès public à la défibrillation. Le secourisme facile
LIFEPAK CR Plus DEfibrillateur Works like you work. La solution pour l accès public à la défibrillation Le secourisme facile L arrêt cardiaque brutal frappe sans prévenir. LA MORT SUBITE Frappe sans prévenir.
Plus en détailConseil Français de Réanimation Cardio-pulmonaire (CFRC) Recommandations pour l organisation de programmes de défibrillation
Conseil Français de Réanimation Cardio-pulmonaire (CFRC) Recommandations pour l organisation de programmes de défibrillation automatisée externe par le public Conférence d Experts Coordonnateur : Pr P
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailinformations pratiques
COLLECTIVITÉS LOCALES Arrêt cardiaque informations pratiques avec le soutien de Arrêt cardiaque I Informations pratiques I 1 2 I L arrêt cardiaque L arrêt cardiaque est la première cause de mortalité des
Plus en détailDéfibrillateur Cardiaque Automatisé
Défibrillateur Cardiaque Automatisé Décret n 2007-705 du 4 mai 2007 : autorise toute personne, même non médecin, à utiliser un défibrillateur pour sauver des vies. Def-i Accessible au grand public, ce
Plus en détailquelques points essentiels
actualisation de la conférence d experts sur l intubation difficile: SFAR, SRLF, SFMU, ADARPEF, CARO et CARORL quelques points essentiels Ann Fr Anesth Reanim 2008;27:3-14 - ventilation au masque difficile
Plus en détailPREMIERS SECOURS EN ÉQUIPE DE NIVEAU 1
TECHNIQUE 9.1 MISE EN ŒUVRE D UN DAE 1. Justification La survie des personnes en arrêt cardio-respiratoire par fonctionnement anarchique du cœur est amélioré si une défibrillation est réalisée précocement.
Plus en détailManuel d utilisation du Défibrillateur automatisé externe (DAE)
Manuel d utilisation du Défibrillateur automatisé externe (DAE) IMPORTANT Lisez attentivement et intégralement le présent manuel d utilisation avant d utiliser l appareil pour la première fois. Les informations
Plus en détailUn choc pour une vie!
www.cardiouest.fr Un choc pour une vie! Spécialiste Défibrillateurs Formations 1ers Secours 6, rue Eugène Quessot 35000 RENNES Tél : 02 30 96 19 53 Mail : info@cardiouest.fr CardiAid est conçu pour rendre
Plus en détailUN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie
Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.
Plus en détailTronc Artériel Commun
Tronc Artériel Commun Cardiopathie congénitale conotroncale. 1.4% des cardiopathie congénitales. (1/10000) CIV Diagnostic anténatal Souvent associé à un 22q11. Anomalies associées Définition EMBRYOLOGIE
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailDéfibrillation et Grand Public. Méd-Cl JAN Didier Médecin chef Méd-Cne PIVERT Pascaline
Défibrillation et Grand Public Méd-Cl JAN Didier Médecin chef Méd-Cne PIVERT Pascaline Quelques chiffres (1) 50 à 60 000 décès en France par mort subite dont la moitié font suite à l apparition d une tachycardie
Plus en détailArrêt cardiaque : nouvelles recommandations
Arrêt cardiaque : nouvelles recommandations Introduction : Vincent Bounes, Jean-Louis Ducassé, SAMU 31, Hôpitaux de Toulouse. La mort subite reste un problème majeur de santé publique dans les pays industrialisés
Plus en détailÉquipements de secours.
Information produit Équipements de secours. Défibrillateurs et oxygène médical pour chaque besoin. 2 Équipements de secours Table des matières PanGas Healthcare 4 Powerheart G DAE Powerheart G Équipement
Plus en détailMonitoring non invasif dans l état de choc
Monitoring non invasif dans l état de choc Congrès AER - Lyon 2013 Pr Carole SCHWEBEL Réanimation Médicale - CHU Grenoble Inserm 1039 Radiopharmaceutiques Biocliniques mon intervention ne présente aucun
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailPro. EPN- Education Nationale Initiation grand public ACR et DAE Page - 1 -
Pro EPN- Education Nationale Initiation grand public ACR et DAE Page - 1 - SOMMAIRE Page de garde page : 1 Sommaire page : 2 Fiche pratique page : 3 Programme page : 4 Progression pédagogique pages : 6
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailL INFIRMIER (ERE) DIPLOME(E) D ETAT SEUL DEVANT UNE
RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES L INFIRMIER (ERE) DIPLOME(E) D ETAT SEUL DEVANT UNE SITUATION DE DETRESSE MEDICALE Société Française de Médecine d Urgence Décembre 2011 1 INTRODUCTION La Société Française
Plus en détailMinistère de l intérieur, de l outre-mer et des collectivités territoriales
! Ministère de l intérieur, de l outre-mer et des collectivités territoriales Recommanda)ons DE LA DIRECTION DE LA SÉCURITÉ CIVILE relatives!!! à l initiation du grand public à la prise en charge de l
Plus en détailLes défibrillateurs POWERHEART G3
Au cœur de la réanimation Les défibrillateurs POWERHEART G3 Linde: Living healthcare* 2 Les défibrillateurs POWERHEART G3 La gamme de défibrillateurs POWERHEART Afin de compléter son offre de matériels
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailLe Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales
Le Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales Le Kin-AP est une évaluation qui se déroule à travers un parcours comprenant différentes stations qui simulent les tâches que le technicien ambulancier-paramédic
Plus en détailMémoire pour l obtention du Diplôme. de Médecine Agricole
14 rue Auguste Comte 37000 Tours 02 47 66 61 07 Institut National de Médecine Agricole Mémoire pour l obtention du Diplôme de Médecine Agricole Défibrillation automatique externe Réglementation, équipement
Plus en détailROLE IADE EN NEUROANESTHESIE. (C.Muller 2005)
ROLE IADE EN NEUROANESTHESIE. (C.Muller 2005) PLAN : - Lieux d exercice. - Rappel des notions essentielles à connaître en NeuroAnesthésie. - Rôle IADE. - Cas particulier de l enfant. LIEUX D EXERCICE.
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailo Non o Non o Oui o Non
Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence
Plus en détailLe cœur est compliqué et il est aussi un organe que travaille très fort (Heart Attack,
Le cœur est compliqué et il est aussi un organe que travaille très fort (Heart Attack, 2003), et c est la seule sorte de muscle qui peut se contracter régulièrement sans fatigue; tandis que les autres
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailMémoire pour le Diplôme Inter Universitaire de Pédagogie Médicale. Par Valeria Martinez. Titre. Nouveau programme d enseignement des urgences à
Universités Paris Descartes, Pierre et Marie Curie, Paris Sud et Paris-Est Créteil Val de Marne Mémoire pour le Diplôme Inter Universitaire de Pédagogie Médicale Par Valeria Martinez Titre Nouveau programme
Plus en détailComprendre la mort cérébrale
Comprendre la mort cérébrale Imprimeur de la Reine pour l Ontario, 2010. Adaptation et reproduction autorisées. 1 Comprendre la mort cérébrale Il est difficile d imaginer une expérience plus douloureuse
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détailANALYSER et PROTÉGER.
1/ Analyser et Protéger Alerter 2/ Secourir. 3/ PLS Inconscience 4/ RCP Réanimation cardio-pulmonaire 5/ Malaises plaies 6/ brûlures traumatisme noyade ANALYSER et PROTÉGER. Être rapide et calme 1/ Analyser
Plus en détailDéfibrillateur Philips HeartStart HS1 Grand Public
Pour permettre à tout le monde d agir dans les moments extraordinaires Défibrillateur Philips HeartStart HS1 Grand Public * Du sens et de la simplicité Tout le monde peut, à tout tout lieu, être victime
Plus en détailFORMATION SAUVETEUR SECOURISTE DU TRAVAIL
FORMATION SAUVETEUR SECOURISTE DU TRAVAIL «Au-delà de l obligation réglementaire, un enjeu de prévention» EVOLUTION DES PROGRAMMES DE SST Des textes récents des ministères chargés de la santé et de l intérieur
Plus en détailTechnologie de sauvetage
Technologie de sauvetage Technologie de sauvetage pour l'infarctus L'infarctus SCA, la première cause de décès aux États-Unis et en Europe, est un état dans lequel le cœur n'est plus en mesure de pomper
Plus en détailUn nouveau défi pour tous...présenté par J.Piguet
FORMATION CONTINUE Pour Plongeur Un nouveau défi pour tous...présenté par J.Piguet Suivez cette image et vous le trouverez ici à ou là Dans une armoire. Mais pas encore assez souvent hélas! FORMATION CONTINUE
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détailGroupe 1 somnovni 12/12/14
Recommandations HAS 2014! Pas encore parues indications VNI! Indication VNI en cas d une hypoventilation alveolaire = Hypercapnie : " PtCO2 nocturne > 50 mmhg " Et/ou d une PaCO2 diurne > 45 mmhg! Cas
Plus en détailLes définitions des saignements ACS/PCI
Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions classiques et leurs limites Les nouvelles définitions Des éléments pour de futures définitions François SCHIELE, CHU de BESANCON Définition «classique»,
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailTAP-PAR. Test d aptitudes physiques pour paramédics. Description du test
TAP-PAR Test d aptitudes physiques pour paramédics Description du test INTRODUCTION Le travail de paramédic nécessite une capacité physique supérieure à celle de la population moyenne. En effet, ceux-ci
Plus en détailPoints s a illa n ts de s L ign e s directric e s 2010
OINTS SAILLANT LIGNES DIRECTRICES RCR SUC Points s a illa n ts de s L ign e s directric e s 2010 en matière de réanimation cardiorespiratoire et de s oin s d' u r gen c e cardiov a s c u la ir e de l'
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailCe document est destiné à vous permettre de découvrir l offre de formation du Centre d enseignement des soins d urgence du Bas-Rhin (CESU 67).
Cher Client, Ce document est destiné à vous permettre de découvrir l offre de formation du Centre d enseignement des soins d urgence du Bas-Rhin (CESU 67). Rattaché au pôle d anesthésie réanimations chirurgicales
Plus en détailLES FORMATIONS CONTINUéES
8.1. Hygiène dans les cuisines collectives Module I : Formation de base reprenant la réglementation et les exigences légales dans le secteur alimentaire ainsi que les bonnes pratiques d hygiène Economes,
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailGuide de l administrateur
AED Plus Entièrement Automatique Guide de l administrateur Automatique 9650-0311-02 Rev. C La date d édition du Guide de l'administrateur ZOLL AED Plus entièrement automatique, Révision C, est avril 2011.
Plus en détailKen Bell s Sommaire des Abréviations
Ken Bell s Sommaire des Abréviations AUG: CSAM: DSA: PUI: RCP: RIA: SCR: Arrêt Urgence Général CERN Safety Alarm Monitoring Défibrillateur Semi-Automatique Plan Urgence D Intervention Réanimation Cardio-Pulmonaire
Plus en détailNouvelles problématiques liées à l hypothermie thérapeutique après arrêt cardiaque
Réanimation (2009) 18, 223 238 MISE AU POINT Nouvelles problématiques liées à l hypothermie thérapeutique après arrêt cardiaque Rising questions related to therapeutic hypothermia after cardiac arrest
Plus en détailLES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE. Comité pédagogique SAP SDIS 43
LES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE Comité pédagogique SAP SDIS 43 DEFINITIONS Electrisation: manifestations physiopathologiques liées au passage du courant dans l organisme Electrocution: décès par électrisation
Plus en détailE. PERROT 1, J.C. AYMARD 2, J. LEVRAUT 3. 1. Prise en charge initiale d un polytraumatisé
Chapitre 111 La gestion du transport d un traumatisé grave. Comment optimiser? E. PERROT 1, J.C. AYMARD 2, J. LEVRAUT 3 1. Prise en charge initiale d un polytraumatisé Le polytraumatisé est un blessé grave
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailtroubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.
Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité
Plus en détailPRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI)
PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI) 2 Défibrillateur Automatique Implantable SOMMAIRE Introduction Indications Principe du DAI Historique Composants et structure
Plus en détailLa situation des arrêts cardiaques dans le département
La situation des arrêts cardiaques dans le département Depuis 5 ans, près de 5 interventions de sapeurs-pompiers par semaine pour arrêt cardiaque dans le Maine-et-Loire Dans le Maine-et-Loire, de 2005
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailHôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle
Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan
Plus en détailGuide des définitions des maladies graves
Guide des définitions des maladies graves Assurance maladies graves Sun Life La vie est plus radieuse sous le soleil Guide des définitions des maladies graves Ce guide vous aidera à comprendre les maladies,
Plus en détailLe monitoring réinventé
Document destiné aux professionnels de la santé Moniteur de surveillance série CSM-1901 Le monitoring réinventé * L'écran Web est une image de composition Nihon Kohden crée le moniteur du futur Optimisation
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailPrise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus
Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier
Plus en détailPRÉVENTION ET SECOURS CIVIQUES
Recommanda)ons DE LA DIRECTION GÉNÉRALE DE LA SÉCURITÉ CIVILE ET DE LA GESTION DES CRISES relatives à l unité d enseignement PRÉVENTION ET SECOURS CIVIQUES de niveau 1 L unité d enseignement «Prévention
Plus en détail2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques
2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques Les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès au Canada. Bien que leur incidence ait diminué au cours des dernières
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailFICHE TECHNIQUE CARACTERISTIQUES TECHNIQUES DE L'AEDPLUS
RENSEIGNEMENTS GENERAUX La réponse aux questions suivantes n'est pas valorisée Nom commercial du produit ZOLL AEDPlus Lieu(x) de fabrication pays U.S.A. Date de la 1ère commercialisation mois/année Juin
Plus en détailDéfinitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant
Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie MC. Votre assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie MC Votre assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailOr 4 victimes sur 5 qui survivent à un arrêt cardiaque ont bénéficié de ces gestes simples pratiqués par le premier témoin.
La mort subite est la conséquence d un arrêt cardiaque et respiratoire. Elle survient soudainement chez un individu qui se livre à ses occupations habituelles : au travail, en faisant ses courses, mais
Plus en détailFormations à la sécurité Obligations de l employeur
Formations à la sécurité Obligations de l employeur 1 2Sommaire Introduction 3 Obligation liée à la formation à la sécurité incendie 4 Mise en oeuvre des extincteurs 5 Equipier de 1 ère intervention 6
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détail