Plantes invasives (partie 2) : L homme, son jardin et les plantes invasives
|
|
- David Bernier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Plantes invasives (partie 2) : L homme, son jardin et les plantes invasives La plupart des plantes invasives ont été introduites pour l ornement. Encore aujourd hui, elles sont présentes sur le marché de l horticulture. Elles sont utilisées dans les parcs, les jardins, les espaces verts, voire même en fleuristerie pour la conception de bouquets. Ces plantes sont appréciées car elles présentent une belle et abondante floraison, un feuillage aux formes et aux couleurs variées, elles poussent facilement autant d avantages qui ont séduit, et séduisent encore aujourd hui, tant les professionnels que les amateurs de jardinage. Quel rapport avec l horticulture ornementale? Les plantes ornementales font partie de notre quotidien. Du pépiniériste au jardinier amateur, nous sommes nombreux à les utiliser. Elles embellissent nos espaces verts, nos jardins et nos étangs d agrément, pour notre plus grand plaisir. Dans les jardins ou en vile, nous utilisons tous des plantes ornementales. C est d ailleurs un marché florissant: en 2000, la consommation des particuliers en plantes de pépinières se chiffrait à 345 millions d euros pour l ensemble de la Belgique. Photos: R. Roletschek et T. Halford Malheureusement, certaines plantes exotiques importées pour l ornement sont devenues invasives. C est le cas par exemple des trois espèces invasives les plus fréquentes le long de nos cours d eau (renouée du Japon, berce du Caucase et balsamine de l Himalaya), importées en Europe pour la première fois dans des jardins botaniques en 1825, 1817 et 1839 respectivement. Cela fait désormais partie de l histoire Les explorations de plantes sont devenues populaires au début du 19ème siècle. Les explorateurs avaient pour mission de ramener en Europe de nouveaux spécimens exotiques intéressant à cultiver pour nos jardins (figure 1). Ces pionniers croyaient bien faire en important ces nouvelles espèces, et personne ne pouvait prévoir à l époque ce qui allait se passer, à savoir que ces plantes allaient s échapper de nos jardins et s étendre dans la nature.
2 Solidago gigantea 1758 Cotoneaster horizontalis 1877 Aster lanceolatus 17ème siècle Prunus serotina 1623 Heracleum mantegazzianum 1817 Ludwigia grandiflora 1830 Buddleja davidii 1869 Fallopia japonica 1825 Myriophyllum aquaticum 1880 Figure 1 : Le transport de plantes a considérablement augmenté ces 200 dernières années, en particulier avec l engouement pour le jardinage depuis l époque Victorienne. De nombreuses espèces exotiques ont ainsi été introduites en Europe à différentes dates. De nos jours, ce processus augmente avec la mondialisation. Et pourtant si belles «Beautés fatales», «belles mais dangereuses», tels sont les termes utilisés (certes pas toujours appropriés) dans la littérature de vulgarisation pour décrire les plantes invasives. Car effectivement, ces plantes sont attractives par leurs fleurs, leurs fruits ou tout simplement leur feuillage. Ces caractéristiques esthétiques ont fait leur succès dans nos jardins. Certaines plantes sont toujours très appréciées par les professionnels de l horticulture. En voici quelques exemples: L aster de nouvelle Belgique (Aster novi-belgii) est une plante herbacée vivace cultivée en Europe depuis le 17ème siècle. Originaire d Amérique du Nord, elle est très appréciée pour sa floraison tardive, dont le pic survient vers le mois de septembre. C est une plante rhizomateuse utilisée en massifs pour recouvrir les parterres. Risque d invasion le long des cours d eau. Surtout invasif en Europe centrale et orientale. Photo: P. Brusselen
3 Le rhododendron pontique (Rhododendron ponticum) est un arbuste qui occupe une place importante dans les productions ornementales. Sa floraison spectaculaire et ses feuilles persistantes en font un arbuste de premier choix. De nombreux horticulteurs sont spécialisés dans les rhododendrons, dont il existe diverses espèces. Risque d invasion dans les landes sur sols acides. Très invasif dans les îles Britanniques. Photo : RPS Group L érable negundo (Acer negundo), est un arbre d ornement fréquemment planté dans les parcs et jardins. Il possède un feuillage lumineux et léger. De croissance rapide, c est une espèce rustique qui s accommode à tous les types de sols. Risque d invasion dans les forêts et les plaines alluviales, en particulier dans les pays d Europe centrale et orientale. Photo: JP. Grandmont Les trois espèces décrites ci-dessus sont naturalisées en Belgique. Elles sont reprises dans la liste des plantes invasives (ias.biodiversity.be). Elles peuvent s étendre dans certaines conditions rencontrées dans les milieux précités. Pour plus d information sur ces espèces, consultez les fiches descriptives sur le site Internet du projet AlterIAS. Quelle est la situation en Belgique? Aujourd hui, la majorité des plantes invasives sont disponibles sur le marché de l horticulture ornementale. En témoigne une analyse des catalogues horticoles réalisée en 2010 dans le cadre du projet AlterIAS (figure 2). 60 Liste noire Liste de surveillance Fréquence dans les catalogues Figure 2 : Présence des plantes invasives (plantes terrestres) dans les catalogues horticoles en Belgique. Analyse de 146 catalogues. Pour plus d information sur cette enquête, téléchargez le rapport sur (voir rubrique «publication en ligne»)
4 L utilisation des espèces invasives pour l ornement joue un rôle central dans la dynamique d invasion. Des études ont d ailleurs démontré que le succès d invasion des plantes invasives est lié à leur fréquence sur le marché, leur durée de commercialisation mais aussi leur prix de vente. C est pourquoi les plantes invasives sont un enjeu de société, en plus d être un enjeu de biodiversité Des exotiques «qui se font la malle» Malgré leur apparente immobilité, les plantes ne sont pas des organismes statiques. Elles peuvent se déplacer. Une espèce plantée dans un jardin peut facilement se disséminer plus loin. La notion d «échappée des jardins» est une notion-clé pour comprendre le processus d invasion. En effet, nous l avons souligné à plusieurs reprises, les plantes invasives se sont d abord échappées des jardins ou des pépinières elles ont été cultivées (figure 3). C est ainsi que tout a commencé Figure 3 : Une plante exotique cultivée et multipliée en pépinière durant une longue période aura d autant plus de chances de s échapper un jour dans la nature. Dessin adapté de Mack R.N. (2005). Predicting the identity of plant invaders: future contributions from horticulture. Hortscience 40 (5): Ceci est particulièrement vrai pour les plantes invasives, qui présentent d importantes capacités de dispersion (croissance rapide, production d un grand nombre de graines, forte multiplication végétative). Plusieurs facteurs, naturels ou dus à l homme, contribuent à leur dissémination dans le paysage (table 1). Les plantations volontaires (dans un jardin, un espace vert, le long d une voirie) sont souvent à l origine d une invasion. Les graines sont ensuite dispersées par le vent ou par les oiseaux. Des fragments de plantes peuvent être transportés par les cours d eau ou par mouvement de terres. Table 1: Principaux facteurs de dispersion des plantes invasives Facteurs naturels Facteurs anthropiques Dispersion des graines (vent, oiseaux, rivières, ) Plantation ou ensemencement volontaire Dispersion de fragments de tiges ou de racines Dépôt de déchets verts Multiplication végétative (stolons, rhizomes, etc.) Transport de sols contaminés
5 Le faux-vernis du Japon (Ailanthus altissima) est un arbre d ornement utilisé dans les espaces verts. C est une espèce très dispersive qui produit beaucoup de graines (entre et ) contenues dans un fruit ailé disséminé par le vent. C est une plante pionnière colonisant les milieux secs et rocheux. Elle y pousse vite (jusqu à 4m/an) et est très compétitive car elle drageonne fortement.photos: M. Halford et M. Filipone La spirée blanche (Spiraea alba) est également une espèce plantée dans les parcs. C est un arbuste qui se multiplie uniquement de manière végétative (via les rhizomes et les boutures de tiges). L espèce est invasive dans les milieux humides et le long des cours d eau. Plantée près d une rivière, ses fragments de rhizomes peuvent être emportés par l eau et créer de nouvelles populations en aval. Photos: M. Halford et G. Motte Dès lors, au plus une espèce invasive est plantée le paysage, au plus on augmente la probabilité qu elle colonise un jour un milieu naturel favorable à son extension. Les milieux urbains jouent parfois le rôle de «réservoir» dans la dissémination des plantes invasives. De nombreuses espèces plantées en ville peuvent facilement être transportées de proche en proche puis s installer dans les milieux semi-naturels situés en dehors des centres urbains. Les voiries constituent à ce titre d importants couloirs de dispersion. A gauche : le buddleja (Buddleja davidii) est très répandu le long des voies ferrées. Les courants d air provoqués par le passage des trains véhiculent efficacement les quelques 3 millions de graines que peut produire un individu. A droite : le sénéçon sud-africain (Senecio inaequidens) est abondamment dispersé le long des routes par le trafic des véhicules. Photos : M. Halford et P. Colomb.
6 Et mon jardin dans tout ça? Les facteurs anthropiques (voir table 1) sont souvent à la source des invasions, en particulier les plantations volontaires dans les parcs et jardins. Fort heureusement, par de simples gestes, nous pouvons tous agir pour limiter la dissémination des plantes invasives. Voici quelques exemples de bonnes pratiques que nous pouvons appliquer dans nos jardins: 1. Connaître la liste des plantes invasives 2. Eviter de les planter (surtout les espèces de la liste noire) 3. Privilégier l utilisation de plantes alternatives non invasives 4. Ne pas jeter ses déchets verts dans la nature ou dans la rivière 5. Ne pas transporter de terres contaminées par des fragments de plantes invasives Ces quelques mesures préventives permettent de réduire efficacement les risques d invasion dans la nature. De telles mesures peuvent être regroupées dans un code de conduite auquel les utilisateurs de plantes ornementales peuvent souscrire. Le projet AlterIAS travaille à l élaboration d un tel code, valable pour les professionnels du secteur vert et pour les particuliers (les amateurs de jardins). Ce sera l objet d un prochain article M. Halford, C. Mathys, L. Heemers & G. Mahy Pour le projet AlterIAS AlterIAS [ ] est un projet coordonné par l Unité Biodiversité & Paysage de l Université de Liège Gembloux Agro-Bio Tech, en collaboration avec le Centre Technique Horticole de Gembloux et le Proefcentrum voor Sierteelt. Il est soutenu et cofinancé par le programme LIFE + de la Commission Européenne, ainsi que par les administrations régionales et fédérale en charge de la gestion de l environnement en Belgique (SPW, ANB, IBGE, SPF-Environnement).
After LIFE. Plan de Communication. LIFE + Information & Communication Projet AlterIAS. ALTERnatives to Invasive Alien Species 2014-2018
LIFE + Information & Communication Projet AlterIAS ALTERnatives to Invasive Alien Species Plan de Communication After LIFE 2014-2018 Disséminer l information dans le futur... LIFE08 INF/B/000052 Décembre
Plus en détailUne espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis
Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les
Plus en détailGESTION PREVENTIVE DES PLANTES EXOTIQUES ENVAHISSANTES : RAPPORT D ENQUETE 2011 AUPRES DES GESTIONNAIRES ET DES
GESTION PREVENTIVE DES PLANTES EXOTIQUES ENVAHISSANTES : RAPPORT D ENQUETE 2011 AUPRES DES GESTIONNAIRES ET DES CONCEPTEURS D ESPACES VERTS Emmanuel Delbart Sonia Vanderhoeven Nous tenons à remercier tous
Plus en détailDes alternatives aux invasives
Des alternatives aux invasives Plantons autrement Le jardin, un refuge pour la biodiversité Table des matières INTRODUCTION : Les plantes invasives, une menace pour la biodiversité... 3 LES PLANTES INVASIVES...
Plus en détailPetit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis
Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis L espace d un an suffit pour constater la richesse et la diversité des populations d insectes qui prospectent dans le moindre carré de jardin.
Plus en détailPERMIS DE LOTIR SITE TIVOLI BRUXELLES PRESCRIPTIONS. Rue de Wautier. Rue du Tivoli. Rue de Molenbeek. Rue Claessens. Rue Dieudonné Lefèvre
PERMIS DE LOTIR SITE TIVOLI BRUXELLES PRESCRIPTIONS URBANISTIQUES Rue du Tivoli Rue de Wautier Rue de Molenbeek Rue Claessens Rue Dieudonné Lefèvre AVRIL 2011 PERMIS DE LOTIR dressé par MSA en COllab.
Plus en détailUne nouvelle écologie des parcs et des jardins
Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Patrimoine vert bordelais et politique de développement et de gestion Ecologie : grands principes et applications
Plus en détailAssociation des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale,
Objectifs Association des convivialité, réunir les habitants autour du jardinage action sociale, création de jardins familiaux action environnementale, promouvoir un jardinage respectueux de l environnement
Plus en détailChapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux
Chapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux Comment font les végétaux pour s installer dans un nouveau milieu alors qu ils ne peuvent pas se déplacer? I/ L installation des végétaux dans un nouveau milieu
Plus en détailÉvaluation et analyse des parts de marché de la production horticole ornementale québécoise en serre et en pépinière Rapport final
Évaluation et analyse des parts de marché de la production horticole ornementale québécoise en serre et en pépinière Rapport final Mai 2010 Table des matières 1. Introduction...3 2. La méthodologie...4
Plus en détailFAVORISER LA BIODIVERSITÉ DANS LE CIMETIÈRE. Guillaume Larregle (Maison de l Environnement de Seine-et-Marne)
FAVORISER LA BIODIVERSITÉ DANS LE CIMETIÈRE Guillaume Larregle (Maison de l Environnement de Seine-et-Marne) LA TRAME VERTE ET BLEUE RECONSTITUER UN RÉSEAU DE CONTINUITÉS ÉCOLOGIQUES Permettre à la faune
Plus en détailVI) Exemple d une pépinière de plantes ornementales.
SOMMAIRE: Introduction. I) Définition d une pépinière. II) Objectifs de la pépinière. III) Définition d une pépinière horticole (pour espèces ornementales). IV) Implantation de la pépinière : IV.1) Le
Plus en détailLes Ateliers de Montguichet
Les Ateliers de Montguichet Etablissement et Service d aide par le travail E.S.A.T Les Ateliers de Montguichet - Etablissement et Service d Aide par le Travail, 7 avenue de Bellevue 93220 GAGNY 01.45.09.15.20
Plus en détailLe compost. Un petit écosystème au jardin
Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème
Plus en détailLabel participatif national «Arbres d Avenir Gestion écologique du patrimoine arboré»
Label participatif national «Arbres d Avenir Gestion écologique du patrimoine arboré» Tous droits réservés Chers amis des Arbres, Changeons, enfin, notre regard sur les espaces verts! C est avec plaisir
Plus en détailPlan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes?
11 décembre Arles Plan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes? Claire LAFON Benoit DUPUY Introduction
Plus en détailMise en place d un réseau d Arboretums pour une valorisation coordonnée des ressources ligneuses ex situ
ENGREF. Mise en place d un réseau d Arboretums pour une valorisation coordonnée des ressources ligneuses ex situ Stéphanie BRACHET Chargée des missions scientifiques ENGREF - Arboretum national des Barres
Plus en détailLA CAMPAGNE 2013. Relations de presse. Site Web. Pub télé. Médias sociaux. Concours grand public. Tournée du Québec et relations publiques
Bilan 2013 LA CAMPAGNE 2013 Site Web Relations de presse Médias sociaux Pub télé Concours grand public Tournée du Québec et relations publiques SITE WEB Le Jardin Saveur s ajoute aux 4 autres jardins:
Plus en détailDes haies pour demain
Collection «nature et forêts» n 1 Des haies pour demain Christiane Percsy Troisième édition revue et augmentée : Service public de Wallonie, 2008 Photos : C. & N. Percsy, excepté page 31, Commune de Lasne.
Plus en détail«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte»
«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» Silva Cell Module d enracinement pour arbres Application : - Le module Silva Cell crée un espace souterrain permettant l enracinement des arbres en ville.
Plus en détailL A T O U R D E P E I L Z Municipalité
V I L L E D E L A T O U R D E P E I L Z Municipalité PRÉAVIS MUNICIPAL No 25/2012 le 12 décembre 2012 Concerne : Demande d'un crédit de construction de 270'000.-- pour le remplacement des couches horticoles
Plus en détailComment prouver que les végétaux ont besoin d eau, de minéraux, d air et de lumière pour se développer normalement?
Comment prouver que les végétaux ont besoin d eau, de minéraux, d air et de lumière pour se développer normalement? La question que l on se pose : Les végétaux ont-ils besoin d eau, de minéraux, d air
Plus en détailVégétaux Exemples d individus
Végétaux Formation Biologie 2011 2012 Végétaux Exemples d individus Végétaux Embranchement Classification Description Reproduction Mode de vie Exemples d individu Végétaux Règne > Etymologie «Végetaux»
Plus en détailL évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se
PHYTOREM S.A. L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se Le BAMBOU-ASSAINISSEMENT Le Procédé Sol EFFLUENTS EXPORTATION VERS LA TIGE Chaume ou tige Pollution organique et minérale
Plus en détailParc naturel régional du Perche Maison du Parc- Courboyer 61340 Nocé 02 33 85 36 36 www.parc.naturel.perche.fr
Parc naturel régional du Perche Maison du Parc- Courboyer 61340 Nocé 02 33 85 36 36 www.parc.naturel.perche.fr Malle documentaire Jardin Pourquoi faire un jardin? Quel type de jardin mettre en place? Quelle
Plus en détailEdit. resp : Echevinat des Travaux
Les arbres de nos jardins Edit. resp : Echevinat des Travaux PRÉAMBULE : A la sainte Catherine, tout arbre prend racines!, dicton très bien connu des amoureux des jardins comme des autres. C est d ailleurs
Plus en détailLes abeilles à Bruxelles Défis et opportunités
Les abeilles à Bruxelles Défis et opportunités Présentation en vidéo-conférence Mois de l abeille urbaine à Montréal Marc Wollast marc.wollast@apisbruocsella.be www.apisbruocsella.be Apis Bruoc Sella Bruxelles
Plus en détailPhragmite envahissant Pratiques de gestion exemplaires
Phragmite envahissant Pratiques de gestion exemplaires 2011 ontario.ca/especesenvahissantes On peut faire référence à ce document ainsi : ministère des Richesses naturelles de l Ontario, Phragmite envahissant
Plus en détailUN CAS TRÈS PROBABLE DE MUTATIONS GEMMAIRES CHEZ LE PEUPLIER
REVUE FORESTIÈRE FRANÇAISE 33 UN CAS TRÈS PROBABLE DE MUTATIONS GEMMAIRES CHEZ LE PEUPLIER PAR J. CHARDENON ancien expert FAO La possibilité de mutations gemmaires a été supposée assez souvent mais il
Plus en détailConseils déco express Comment éclairer une pièce, décorer vos murs, habiller vos fenêtres?
Conseils déco express Comment éclairer une pièce, décorer vos murs, habiller vos fenêtres? Textes rédigés pour le site www.mmatravodeco.com Reportage : projet de décoration Bambù, Paris 14 e Photos : Béatrice
Plus en détailSchéma de culture empotage en février mars et élevage en serre à l abris du gel, avec ventilation
Schéma de culture empotage en février mars et élevage en serre à l abris du gel, avec ventilation Achillée : Très bien adaptée, fleuri en juin juillet Culture facile et très fournie Agastache : Floraison
Plus en détailLeader européen de l assurance pour l horticulture, le maraîchage et les pépinières
Gartenbau-Versicherung VVaG Succursale : 28 rue Schweighaeuser, B.P. 232 67006 Strasbourg Cedex Tél. 03 88 60 29 95 Fax 03 88 60 45 72 E-Mail : info@hortisecur.fr www.hortisecur.fr Leader européen de l
Plus en détailPlantes et animaux invasifs Biologie, répartition et problématique des principales espèces invasives végétales (néophytes) et animales (néozones)
Plantes et animaux invasifs Biologie, répartition et problématique des principales espèces invasives végétales (néophytes) et animales (néozones) introduites par l homme en Suisse Sommaire Introduction,
Plus en détailPassons aux épreuves pratiques : Après avoir défini le terme «Fossile», nous passons à leur observation à la loupe binoculaire.
Du Saucats au Lissandre : Une histoire d eau Projet mené par des cinquièmes du Collège Paul Emile Victor de Branne. Dès notre arrivée, nous découvrons un musée et tentons de définir le terme «Réserve»
Plus en détailNe brûlons plus nos déchets verts à l air libre!
En savoir QUIZZ + Plan de Protection de l Atmosphère des Bouches-du-Rhône 1 2 3 4 J ai le droit de brûler mes déchets de tonte de pelouse en petite quantité dans ma cour non exposée à la route. Mes déchets
Plus en détailBrochure 01/10 Cartographie «végétation» des corridors électriques en forêt
Cartographie «végétation» des corridors électriques en forêt 1 Brochure 01/10 Cartographie «végétation» des corridors électriques en forêt Plus d informations sur www.life-elia.eu Le projet LIFE ELIA bénéficie
Plus en détailHERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE. enseignants des établissements à programme français de Maurice
HERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE par et pour les élèves et les par et pour les élèves et les enseignants des établissements à programme français de Maurice Un herbier numérique collaboratif? Une
Plus en détailLes Jardins Butchart Promenade et Découvertes (6-7e Annee)
Les Jardins Butchart Promenade et Découvertes (6-7e Annee) Cherche la pancarte qui dit Start Here (=Commencez ici) et continue de marcher jusqu à ce que ce que tu vois la pancarte Upsteps to Sunken Garden
Plus en détailPRESENTATION DES ACTIVITES DE MR BEAUCHAMP ET DE SES ASSOCIES.
PRESENTATION DES ACTIVITES DE MR BEAUCHAMP ET DE SES ASSOCIES. Mr BEAUCHAMP et ses associés font de la promotion immobilière au travers de 2 structures principalement : PROMOTION IMMOBILIERE :SARL BPM
Plus en détailAujourd hui, le C.A.T accueille 130 personnes handicapées adultes, et propose différentes prestations aux entreprises et à la clientèle privée :
E. E.S.A.T. «LA GRANGE AU BOIS» 24 bis, Av. Raymond Poincaré, 77400 LAGNY-SUR-MARNE Tél. : 01 60 94 23 00 Fax : 01 60 94 22 39 E.mail : cat.lagrangeaubois@wanadoo.fr Implanté sur la commune de Montévrain,
Plus en détailTout au long de l année
Objectifs Familiariser les élèves avec le relevé d informations sur un journal de bord. Apprendre aux élèves à utiliser des instruments d observation scientifiques. Réaliser des dessins d observations
Plus en détailDOMAINE «ENVIRONNEMENT EXTERNE»
DOMAINE «ENVIRONNEMENT» DOMAINE : ENVIRONNEMENT EMPLOI-REPERE : EMPLOYE(E) D ENTRETIEN ET PETITS TRAVAUX (A) HOMME-FEMME TOUTES MAINS (A) Les conditions de réalisation de l intervention (lieu, équipements,
Plus en détailLes sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol?
Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Introduction La vie végétale et animale, telle que nous la connaissons, n'existerait pas sans la terre fertile qui forme à la
Plus en détailPays Rhin-Vignoble -Grand Ballon
Pays Rhin-Vignoble -Grand Ballon Schéma Régional de Cohérence Écologique (SRCE) Réunion commission EauBiodiversité-Déchets 22 janvier 2015 DGALN - Direction de l'eau et de la Biodiversité 1 Ordre du jour
Plus en détailConditions de trading ... Conditions générales de. vente et de livraison des. Pépinières Ebben
Conditions de trading... Conditions générales de vente et de livraison des Pépinières Ebben Sommaire Conditions de trading Les Pépinières Ebben sont une entreprise familiale qui transmet depuis la première
Plus en détailCABINES TÉLÉPHONIQUES
CABINES TÉLÉPHONIQUES 3e C ATALOGUE DU M OBILIER U RBAIN I N F O R M A T I O N MOBILIERS PUBLICITAIRES F3 9 mupi senior mât et poutre acier - caisson a l u m i n i u m bleu RAL 5004 gris RAL 9007 gris
Plus en détailLes potagers Neerstalle
Les potagers Neerstalle Une initiative de Marc COOLS, Échevin de l Environnement et des Propriétés communales, avec le soutien du Collège des Bourgmestre et Échevins d Uccle Une action menée par le Service
Plus en détailGUIDE D UTILISATION DE I-PHOTO
GUIDE D UTILISATION DE I-PHOTO 1 INTRODUCTION Objectif du tutoriel : Il doit vous permettre de faire le tri parmi les photos que vous avez obtenues lors d une phase de terrain et de les «traiter» avant
Plus en détailStratégies marketing. Augmenter sa créativité en période de changement. Journée d information sur les cultures ornementales en serre Novembre 2009
Stratégies marketing Augmenter sa créativité en période de changement Journée d information sur les cultures ornementales en serre Novembre 2009 La présentation Marketing en temps de crise Quelques principes
Plus en détailDernière chance de participer au concours de photo du Comité ZIP Les Deux Rives
Dernière chance de participer au concours de photo du Comité ZIP Les... 1 sur 2 2008-09-18 13:54 Sujet : Dernière chance de participer au concours de photo du Comité ZIP Les Deux Rives De : Guy Guilbert
Plus en détailOMBTOD 1123. Villa - OMBTOD 1123 - Italie» Ombrie» Todi 8 Personnes - 4 Chambres. Description de la propriété
Villa - OMBTOD 1123 - Italie» Ombrie» Todi 8 Personnes - 4 Chambres Description de la propriété Belle villa indépendante, située en haut d'une colline, qui domine les vallées et les collines et qui offre
Plus en détailEtat de la connaissance de la biodiversité. sur la commune de Pantin
Direction des Espaces Verts Mars 2011 Etat de la connaissance de la biodiversité sur la commune de Pantin Depuis sa création, le Département de la Seine-Saint-Denis a mobilisé ses moyens et fédéré les
Plus en détailCHOU BIOLOGIQUE. Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires
CHOU BIOLOGIQUE Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires Essai de plein champ conditions expérimentales 1 Auteurs : Christian ICARD (Ctifl-SERAIL), Nadine
Plus en détailLe Pavé Mosaïque. Temple?» C est la question que je me posais la première fois que je vis le Pavé Mosaïque à
Le Pavé Mosaïque «Mais à quel jeu jouent donc les francs maçons sur cet échiquier dessiné à même le sol du Temple?» C est la question que je me posais la première fois que je vis le Pavé Mosaïque à la
Plus en détailNOTRE PERE JESUS ME PARLE DE SON PERE. idees-cate
NOTRE PERE JESUS ME PARLE DE SON PERE idees-cate 16 1 L'EVANGILE DE SAINT LUC: LE FILS PRODIGUE. Luc 15,11-24 TU AS TERMINE LE LIVRET. PEUX-TU DIRE MAINTENANT, QUI EST LE PERE POUR TOI? Un Père partage
Plus en détailEnjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes
Annexe 3 Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes Cette annexe présente les enjeux environnementaux ayant été définis comme prioritaires en Poitou-Charentes. Une série de cartes
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détailBien choisir sa variété de maïs ensilage
Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention
Plus en détailsens de dragon, ou de serpent. Worm n a donc pas généralement en ce contexte le sens zoologique restreint de ver, même si dans la légende du Lambton
sens de dragon, ou de serpent. Worm n a donc pas généralement en ce contexte le sens zoologique restreint de ver, même si dans la légende du Lambton worm que mentionne Stoker, le dragon est bien décrit
Plus en détaillettre edito mai Le 11 mars dernier, Falienor est devenue une filiale du groupe canadien Premier Tech. L alliance 1 Premier Tech, 90 ans de passion 2
mai 2013 lettre d informatiions l ALLIANCE L alliance 1 Premier Tech, 90 ans de passion 2 L'alliance de la recherche Premier Tech 3... à l'expertise Falienor 4 Un dynamisme reconnu 5 Actualités 6 Le 11
Plus en détailun certain recouvrement Michaële Andrea Schatt Parc du palais de Compiègne
un certain recouvrement Michaële Andrea Schatt Parc du palais de Compiègne La floraison tardive et luxuriante de dahlias à l automne dans le Petit Parc du Palais de Compiègne laisse la place de novembre
Plus en détailAméliorer l organisation et la communication interne à l office de tourisme
Les engagements La qualité est devenue une priorité de l'ensemble des acteurs du tourisme ainsi que de l Etat qui s engagent dans différents processus de qualité pour améliorer l'image de la France auprès
Plus en détailConstitution d'un réseau écologique sur la commune de Muttersholtz
Identité du territoire Structure porteuse de l'action : Ligue pour la Protection des Oiseau Alsace Entrée Thématique Agriculture Espèces et habitats naturels Milieu aquatiques et humides Localisation :
Plus en détailAtelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable. S e p t e m b r e 2 0 0 8
Atelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable S e p t e m b r e 2 0 0 8 Le PADD : un Projet Politique Le PADD : un Projet Politique L e S C O T, u n o u t i l a
Plus en détail- Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants - Lecture de textes documentaires
Titre de l atelier : Les vers de terre Domaines d activité Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants Lecture de textes documentaires Motsclés Vers de terre Vie du sol Compétences
Plus en détailFiche technique sur la stabilisation des rives
Fiche technique sur la stabilisation des rives L érosion est un phénomène naturel, qui participe à l équilibre dynamique des cours d eau. Il est par ailleurs souvent amplifié par les interventions humaines.
Plus en détailMaïs grain irrigué. Synthèse variétale 2014
Maïs grain irrigué Synthèse variétale 2014 Les récoltes 2013 comme celles de 2012 se sont faites sur des sols trempés et tardivement. L hiver très doux, très humide, en absence totale de gel n a pas permis
Plus en détailConception d un CD interactif : simulation d une sortie en écologie végétale
Conception d un CD interactif : simulation d une sortie en écologie végétale A. El Ghorfi *, M. Boulanouar *, M. Cheggour*, N. Zahid ** * Département de biologie, ENS Marrakech ** Département d informatique,
Plus en détailLumières Publiques. Directeur commercial de la société Forclum (Force et Lumière). ENTRETIEN AVEC ROGER BEGOC
Lumières Publiques ENTRETIEN AVEC ROGER BEGOC Directeur commercial de la société Forclum (Force et Lumière). CAHIERS DE MÉDIOLOGIE : Une ou deux heures ont suffi, lors des tempêtes des 26 et 27 décembre
Plus en détail«Quand le territoire devient source d inspiration et souffle d expression créative : Présentation du Festival Art-Pierre-Terre»
«Quand le territoire devient source d inspiration et souffle d expression créative : Présentation du Festival Art-Pierre-Terre» Cet exposé vous est présenté par Liliane Gordos,Stéphanie Natalis, Bernadette
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE Borne électrique test. Installation de la 1 ère borne de rechargement électrique test à Arras
DOSSIER DE PRESSE Borne électrique test Installation de la 1 ère borne de rechargement électrique test à Arras SOMMAIRE UN PREMIER TEST 4 L UN DES TEMPS FORTS DES RENCONTRES CLIMAT 6 UN PROJET DE VILLE
Plus en détailRosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut
Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des
Plus en détail1 - Ne pas interdire le stationnement sur la chaussée. C'est la meilleure solution.
Protection des trottoirs contre le stationnement Jacques ROBIN Deux solutions qui peuvent être complémentaires : 1 - Ne pas interdire le stationnement sur la chaussée. C'est la meilleure solution. 2 -
Plus en détailCommune d Yvorne LA MUNICIPALITÉ REGLEMENT DU CIMETIERE D YVORNE
Commune d Yvorne LA MUNICIPALITÉ REGLEMENT DU CIMETIERE D YVORNE Art. 1 Le Service des inhumations et des incinérations ainsi que la police du cimetière rentrent dans les attributions de la Municipalité,
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détailNous recensons ci-dessous, de la manière la plus exhaustive possible, l ensemble des éléments qui ont ou vont nécessiter une intervention :
Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les Conseillers, L année 2013, pas encore terminée, nous a déjà réservé son lot de surprises : froid, humidité constante, pluies abondantes suivies, dans le
Plus en détailSOMMAIRE CARTE DES JARDINS. Se repérer & liste des jardins... p3 LES JARDINS PAR DÉPARTEMENT
Éditorial La promenade au jardin Pour leur 13 e édition, les Rendez-vous aux jardins vous proposent de découvrir «La promenade au jardin». Source de rêveries et de découvertes, la promenade au jardin est
Plus en détailGranulés anti-limaces : pas sans risques!
Granulés anti-limaces : pas sans risques! Conseils pratiques pour une utilisation et un stockage corrects et sans danger pour vos animaux domestiques Comment utiliser et stocker sans danger les granulés
Plus en détailm biles jardins Les by SINEU GRAFF dans votre ville pour la ville & les territoires de demain
Les jardins m biles by SINEU GRAFF dans votre ville Un design intelligent pour la ville & les territoires de demain CHARENTON-LE-PONT Place avec aménagement style historique PLUS D'INFOS Flashez avec votre
Plus en détailexcellence environnementale fiche - action Utilisation d un broyeur de branches sur les chantiers espaces verts
excellence environnementale Des pratiques pour l'excellence environnementale en région Poitou-Charentes fiche - action Utilisation d un broyeur de branches sur les chantiers espaces verts A partir de l
Plus en détailCE1 et CE2. Le journal des. Une nouvelle maîtresse. Actualité. Loisirs. Culture
Le journal des CE1 et CE2 Vendredi 13 mars 2003 Une nouvelle maîtresse Après les vacances de février (c est à dire depuis le lundi 24 février 2003), nous avons eu une nouvelle maîtresse qui s appelle Aurélie.
Plus en détailDébroussailler autour de sa maison : «une obligation»
Guide du débroussaillement règlementaire aux abords des constructions dans le département de Vaucluse Débroussailler autour de sa maison : «une obligation» 2 ème édition Le débroussaillement vous protège,
Plus en détailDésherbage maïs. Synthèse 2014. Présentation des essais. Le protocole
Désherbage maïs Synthèse 2014 Cette synthèse regroupe les résultats de 9 essais du réseau de désherbage maïs Poitou-Charentes Vendée. L animation du réseau et la synthèse des données brutes sont assurés
Plus en détailTrait et ligne. La ligne avance, Elle indique une direction, Elle déroule une histoire, Le haut ou le bas, la gauche et la droite Une évolution.
Trait et ligne I La ligne me fascine. Le trait qui relie ou qui sépare Qui déchire le néant et marque une trace Qui me fait entrer dans l univers des signes. La ligne avance, Elle indique une direction,
Plus en détailRésumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011
Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Brigitte Duval, agronome (MAPAQ Nicolet) et Geneviève Labrie, Ph.D. (CÉROM) en collaboration avec Joëlle Cantin, stagiaire, Mathieu
Plus en détailCatalogue formation 2015. Le réseau FREDON-FDGDON, un partenaire natur ellement expert pour vos besoins de formation
Catalogue formation 2015 Le réseau FREDON-FDGDON, un partenaire natur ellement expert pour vos besoins de formation SOMMAIRE 2 Qui sommes-nous? 3 Informations générales 4 à 8 Inscription 4 Frais d inscription
Plus en détailSAVEZ-VOUS planter les PORTES OUVERTES AU POTAGER BIOLOGIQUE DE TASSIN LA DEMI-LUNE. Lyon et sa région - hprogres.fr.
WWW. hprogres.fr Lyon et sa région - SUPPLÉMENT AU PROGRES DU JEUDI 26 FEVRIER 2004 Apprendre à jardiner à Tassin-la-Demi-Lune «Coté Jardins», potager biologique, organise ce dimanche à Tassin-la-Demi-Lune,
Plus en détailTraits fonctionnels : concepts et caractérisation exemples des prairies Marie-Laure Navas, Eric Garnier, Cyrille Violle, Equipe ECOPAR
Traits fonctionnels : concepts et caractérisation exemples des prairies Marie-Laure Navas, Eric Garnier, Cyrille Violle, Equipe ECOPAR Ecole Chercheurs AgroEcologie 5-8 Juin 2012 1 Diversité spécifique
Plus en détailPLAN DE SITUATION C'est le plan qui localise votre terrain PCMI 1. SAINT DENIS - Bellepierre Parcelle AY 592. Ech : 1/ 2000 ème
PERMIS DE M. X. Plan de situation. Plan de masse 3. Coupe 4. Notice descriptive. Façades et plan de toiture. Insertion graphique 7. Photo dans le paysage proche 8. Photo dans le paysage lointain Mise à
Plus en détailParcs et jardins en Poitou-Charentes
Ministère de la Culture et de la Communication Parcs et jardins en Poitou-Charentes Indication des horaires à l année Document gratuit Éditorial... Éditorial... Terre, terrain, territoire, trois termes,
Plus en détailJeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur
Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant
Plus en détailLes compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique
Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Conception, rédaction, réalisation : Parménion/RFF - Crédit photos : Biotope, CREN Poitou-Charentes, Ecosphère, RFF Impression
Plus en détailCongrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal
Congrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal Julien St-Laurent, M.Sc.Env. Spécialiste environnement Direction de l Aménagement, gestion et développement durable
Plus en détailAuxiliaires. Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels
Auxiliaires Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels Mouches Blanches L un des ravageurs les plus communs dans de nombreuses cultures. Lors d une forte attaque, la mouche blanche peut s avérer
Plus en détailBibliothèque Royale Albert 1er
Bibliothèque Royale Albert 1er Description du projet Ce projet a pour but de valoriser des espaces plats et inutilisés (toit, terrasse ou autre) par la création de potagers écologique (sans pesticide,
Plus en détailLivret d animations Sarthe Nature Environnement
Livret d animations Sarthe Nature Environnement La fédération d associations Sarthe Nature Environnement vous présente les animations pouvant être proposées par l animatrice et les bénévoles. Activités
Plus en détailDocument d Objectifs des sites Natura 2000 FR 9110108 et FR 9101435 «Basse Plaine de l Aude» Table des Annexes
Table des Annexes Annexe I : Procédure de désignation des sites Natura 2000 (ZPS et SIC). Annexe II : Composition du comité de pilotage. Annexe III : Exemple de cahier de pâturage tournant Manade. Annexe
Plus en détailFÊTE DE LA SCIENCE 2005 (Village des Sciences)
FÊTE DE LA SCIENCE 2005 (Village des Sciences) Présentation des applications de réalité virtuelle et augmentée présentées par le Laboratoire LISA les samedi 15 et dimanche 16 octobre 2005 à l Ecole Supérieure
Plus en détailVisite de la Bitassion Patawa
Visite de la Bitassion Patawa Thème : Découverte pédagogique d une entreprise de l agro-tourisme. Public visé : Elèves des écoles, et des établissements scolaires, associations et particuliers. Partenaires
Plus en détailÉcole du Paysage et de l'horticulture
Convention de stage École du Paysage et de l'horticulture 14480 Saint Gabriel Brécy Concernant l'élève : Nom : Prénom : Date de naissance : En classe de : CAPA Seconde BAC Pro Dans l'option : Productions
Plus en détail