REFUS SCOLAIRES À L ADOLESCENCE Etude portant sur 48 jeunes accueillis à l Espace Ados de Bourges (de 2005 à 2010)

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "REFUS SCOLAIRES À L ADOLESCENCE Etude portant sur 48 jeunes accueillis à l Espace Ados de Bourges (de 2005 à 2010)"

Transcription

1 REFUS SCOLAIRES À L ADOLESCENCE Etude portant sur 48 jeunes accueillis à l Espace Ados de Bourges (de 2005 à 2010) Michel Hénin pédopsychiatre médecin chef Catherine Alexandre pédopsychiatre Yannick Le Cleac h enseignant spécialisé directeur pédagogique

2 2

3 définition Ajuriaguerra 1974 : «il s agit d enfants et d adolescents qui pour des raisons irrationnelles, refusent d aller à l école et résistent avec des réactions d anxiété très vives ou de panique quand on essaie de les y forcer» variété importante de tableaux cliniques, de modalités évolutives et de processus psychopathologiques 3

4 Critères d inclusion des adolescents en refus scolaire vus par le service Critères qui ne sont pas forcément le motif de la première consultation mais qui apparaissent secondairement comme dominant le tableau : Détresse les jours d école aboutissant à l absentéisme répété Crises de colère, plaintes somatiques avant le départ Ceux qui s y rendent et qui quittent l école Ceux qui sont totalement absents Ceux qui refusent d aller à l école dans un contexte de toute puissance 4

5 Critères d exclusion Schizophrénie débutante Psychoses constituées dont psychoses schizoaffectives Toutes les pathologies constituées où l absentéisme est secondaire (dont le refus dans le cadre de troubles du comportement) Les jeunes insupportés en milieu scolaire du fait de leurs troubles (syndrome de Gilles de la Tourette, schizophrénie ) 5

6 Présentation du dispositif d accueil et de soins aux adolescents Population du Cher : habitants, population Bourges et communauté de communes : habitants CMP de Bourges CATTP de Bourges CASA (initialement centre de crise en 1998), ouvert à tous les adolescents du Cher + Indre Espace Ados (initialement appartement thérapeutique à visée éducative en 2001), ouvert à tous les adolescents du Cher + Indre 6

7 Équipe Espace Ados Initialement 4 éducateurs spécialisés + 7 aidessoignantes + ½ cadre socio-éducatif + ¼ psychologue + ¼ assistante sociale+ ¼ médecin psychiatre Actuellement 1 éducateur spécialisé + 4 infirmiers + 5 aides-soignantes + ½ cadre de santé + ¼ psychologue + ¼ assistante sociale+ ¼ médecin psychiatre (réparti sur 3 médecins) 7

8 Trajectoires de soins Accueil/ médecins psychiatres, psychologues, infirmiers, éducateurs spécialisés Régulation en équipe avec pose des indications thérapeutiques (stratégie du détour, pas de bras de fer direct avec le symptôme = pas de pression immédiate à la reprise scolaire) 8

9 Les chiffres d activité du Pôle 2000 enfants et adolescents suivis/an 700 jeunes de 12 à 18 ans suivis/an File active CASA 130 jeunes/an, DMS 20 jours File active Espace Ados 50 jeunes/an, DMS 45 jours 9

10 Les refus scolaires pris en charge par le Pôle Éducation nationale : pas d indicateur fiable, variabilité des indicateurs utilisés selon territoire et établissements Dans le service : recueil variable selon que le refus scolaire est considéré ou non comme motif initial de la consultation ou comme diagnostic secondaire (ex : soins débutant à la suite d une TS) 10

11 Les refus scolaires pris en charge par le Pôle (2) Évaluation approximative : +/- 90 ados en refus scolaire sur les 5 dernières années (soit 3 % de la file active totale pour les adolescents) 20 ado PEC exclusivement ambulatoire CMPA et CATTP Bourges 15 ado PEC exclusivement ambulatoire CMPA et CATTP St Amand et Vierzon 7 ado PEC exclusivement au CASA 48 ado PEC Espace Ados qui font l objet de la présente étude 11

12 Évolution dans le temps du nombre d adolescents en refus scolaire PEC à Espace Ados

13 Les refus scolaires pris en charge / Espace Ados au cours de leur trajectoire de soins Au cours de leur trajectoire de soins : en début de PEC, au milieu ou à la fin Tous les refus scolaires ne relèvent pas de l Espace Ados les refus scolaires peuvent être pris en charge en ambulatoire, à CASA avec éventuellement reprise scolaire depuis l hospitalisation, et à l Espace Ados dans un travail à plus long terme avec éloignement relatif de la famille 13

14 48 adolescents en refus scolaire pris en charge / Espaces Ados de 2005 à janvier 2010 Après hospitalisation à CASA et soins antérieurs (7) 15% Provenance directe après 1eres consultations (9) 19% Après hospitalisation au CASA (16) le passage se faisant par mutation d une unité à l autre 33% Au cours de soins déjà engagés (16) 33% 14

15 Commentaires / orientations Espace Ados Dispositif le plus utilisé en 2 nde voire 3 intention Situations dans lesquelles les soins ambulatoires ont été insuffisants Situations particulièrement lourdes au plan psychopathologique 15

16 Critères d admission à l Espace Ados des adolescents en refus scolaire (1) Ancienneté du refus scolaire Importance des perturbations relationnelles au sein de la famille du fait de ce refus Sentiment d impuissance des parents et perte de l espoir de reprise par le jeune lui-même Nécessité d un environnement soignant rapproché et éventuellement d un traitement médicamenteux surveillé 16

17 Critères d admission à l Espace Ados des adolescents en refus scolaire (2) Acceptation par l adolescent de son séjour sur l unité dans une perspective à terme de reprise scolaire Acceptation par la famille de la séparation relative (semaine et moitié des vacances scolaires) en échange d un soutien individualisé Adhésion de la famille et du jeune au contexte thérapeutique y compris prescription médicamenteuse 17

18 Critères de non admission Quand le diagnostic principal n est pas refus scolaire mais troubles des conduites, TOP, TDAH, état limite, personnalité psychopathique et sociopathique, abus et/ou dépendances à des toxiques Quand le refus scolaire est mobilisable à partir de l hospitalisation à CASA 18

19 Répartition âge/sexe Garçon (13) 27% 10 Fille (35) 73% ans (0) ans (1) ans (4) ans (9) ans (10) ans (10) Plus de 17 ans (4) 19

20 Niveau scolaire au décrochage 20 6 ème (2) 5 ème (2) SEGPA 5 (2) 4 ème (11) SEGPA 4 (2) 3 ème (8) SEGPA 3 (2) 2 de (9) 1 ère (4) Terminale (1) CAP (2) BEP (3)

21 Répartition âge/sexe et niveau scolaire commentaires Sur-représentation de filles/garçons dans notre échantillon (reflet file active générale) Sur-représentation des tranches d âge ans et plus de 17 ans décrochage dans la scolarité secondaire : 4, 3 et 2nde, = nombreux antécédents de passés scolaires difficiles avec des redoublements, = début fréquemment insidieux du refus scolaire à l adolescence (vs début brutal chez les plus jeunes = traitement ambulatoire) 21

22 Contexte familial Séparation parentale : 21/ 48 = 44 % Pathologie psychiatrique parentale : 17/48 = 35% dont 6 pères alcooliques Familles régies par un mythe symbiotique : 6/ 48 = 12,5% Jeunes adoptés : 3 /48 = 6,25 % Jeunes ayant subis des abus sexuels, des incestes, une maltraitance, des carences : 4/48 = 8 % Déménagement et transplantation : 3/48 = 6,25 % Décès d un proche : 6/48 = 12,5 % Placement ASE : 3/48 = 6,25 % et situations familiales complexes et particulièrement pathogènes : 7/48 = 14,5 % soit 20,25 % de situations sociales lourdes 22

23 Contexte familial Situation 1 Situation 2 Situation 3 Situation 4 Situation 1 Séparation parentale : (21) Situation 2 Pathologie psychiatrique parentale* (17) Situation 3 Familles régies par un mythe symbiotique (6) Situation 4 Jeune adopté (3) Situation 5 Jeunes ayant subis des abus sexuels, des incestes, une maltraitance, des carences (4) Situation 6 Déménagement et transplantation (3) Situation 7 Décès d un proche (6) Situation 8 Placement ASE (3) Situation 9 Situations familiales complexes et particulièrement pathogènes (7) *dont 6 pères alcooliques Situation 5 Situation 6 Situation 7 Situation 8 Situation 9 23

24 Contexte familial-commentaires Sur représentation des pathologies psychiatriques parentales (craintes de l enfant pour le parent livré à lui-même), des situations familiales complexes et hautement pathogènes, contexte de maltraitance et d abus : 28/48 = 58 % Fréquence non négligeable de familles symbiotiques dans lesquelles l école apparaît comme un danger : 6/48 = 12,5% Fréquence non négligeable de décès d un proche : 6/48 = 12,5 % 24

25 Autres facteurs précipitants Sont fréquemment constatés des facteurs précipitants comme une maladie physique même bénigne (gastro-entérites, angines, dents de sagesse, palpitations ) : 17/48 = 35 % Sont constatés également de conflits en milieu scolaire avec ou sans violences (racket) : 16/48 = 33 % 25

26 Conséquences A court terme Isolement Échec scolaire Conflits intra-familiaux A long terme Difficultés d insertion socioprofessionnelles Risque accru de troubles psychiatriques 26

27 Les classifications internationales CFTMEA : refus scolaires = phobie scolaire DSM : refus scolaires dans troubles anxieux de l enfance et de l adolescence reliés à l angoisse de séparation CIM 10 : refus scolaires dans troubles anxieux phobiques Notre point de vue : refus scolaire = dépasse le strict cadre des phobies et de l angoisse de séparation, nécessité de l individualiser 27

28 Diagnostics associés aux refus scolaires dans notre pratique 28

29 14 DIAG 1 12 DIAG 2 DIAG Anxiété généralisé 2 Anxiété de séparation 3 Trouble panique 4 Phobies spécifiques 5 Phobies sociales 6 PTSD 7 Hystérie de conversion 10 TDAH 11 TOP 12 Abus de substance 13 Trouble des conduites 14 Personnalité abandonnique état limite 15 Personnalité asociale 16 Personnalité évitante - histrionique 8 Dépression Difficultés d'aprentissage et/ou Centre Hospitalier George Trouble Sand des comportements 17 alimentaires 29 9 instrumentales et/ou Déficit intellectuel 18 Absence de troubles psychiatriques

30 Co-morbidité / TS avant entrée Espace Ados 14 TS : 13 filles et 1 garçon 12 TS médicamenteuses 2 TS par phlébotomie/scarifications 30

31 Diagnostics associés au refus scolaires dans notre pratique-commentaires (1) L anxiété de séparation et les phobies ne résument pas le refus scolaire L anxiété de séparation apparaît davantage chez les plus jeunes, en revanche phobie sociale et agoraphobie dominent chez les plus âgés Sur-représentation de la dépression en comorbidité avec TS 31

32 Diagnostics associés au refus scolaires dans notre pratique-commentaires (2) À noter que la grande majorité des jeunes présentaient une anxiété de compétition liée soit à la dévalorisation (dépression), soit à des sentiments d incomplétude (personnalités névrotiques), voire les 2 L absence de troubles reste limité : 3 cas (biais de sélection par le fait que nous sommes un service de psychiatrie et que nous proposons l Espace Ados à des jeunes particulièrement en difficulté, exclusion de l école buissonnière simple) 32

33 1 ers diagnostics associés au refus scolaires dans notre pratique-commentaires Dépression Troubles de personnalité Troubles anxieux Difficulté cognitives et ou instrumentales TDAH, TOP TCA Troubles des conduites et abus de substances 33

34 2 d diagnostics associés au refus scolaires dans notre pratique-commentaires Dépression Anxiété de séparation Troubles des conduites et abus de substances, TOP, TDAH Personnalités histrioniques Anxiété généralisée Difficultés cognitives et instrumentales TCA 34

35 3 èmes diagnostics associés au refus scolaires dans notre pratique-commentaires Troubles des conduites et abus de substances Anxiété de séparation Troubles phobiques (essentiellement agoraphobie) Troubles panique 35

36 Prise en charge Pas de dossier MDPH, CNED exceptionnel 36

37 PEC du jeune (1) pas de reprise sous contraintes de la scolarité (certificat médical) en échange de l engagement dans les soins exposition graduelle (si absence totale : reprise de la scolarité après un temps de traitement suffisant, si anxiété importante : reprise graduelle en complétant progressivement l emploi du temps) 37

38 PEC du jeune (2) entretiens psychiatriques réguliers approche psychothérapique individuelle (psychodynamique et / ou TCC) et/ou groupale Approche rééducative (troubles de l apprentissage ou instrumentaux) approche institutionnelle de l Espace Ados (accompagnement physique et reprise progressive de l autonomie du jeune par rapport à la scolarité, incitation aux devoirs sans plus) traitements médicamenteux 38

39 PEC de la famille soutien individuel des parents (éviter l évitement), entretiens familiaux informels ou thérapies familiales structurées, échanges informels entre l équipe et les parents dans le cadre de l institution Travail sur les représentations de l école et des apprentissages (rejet école par les parents, pression scolaire, rapport des parents eux-mêmes à leur scolarité) 39

40 PEC : Travail avec l école Lien avec l établissement scolaire en accord avec l ado et avec ses parents (vie scolaire : principaux, proviseurs et équipe de vie scolaire ; professeurs principaux, infirmières scolaires via une infirmière de liaison) Mise en place d une reprise scolaire avec aménagement scolaire le cas échéant ou reprise à temps plein avec accompagnement des enseignants spécialisés du service, pas de complaisance, pas de certificat médical Travail individuel avec l adolescent pour déterminer les causes du refus scolaire (rapport aux autres : école, autorité, travail ou rapport au savoir) et soutenir, le cas échéant, son rapport au savoir 40

41 Hypothèses pour une réponse scolaire aux refus scolaires Phobie scolaire, refus scolaire, absentéisme : réalités diverses selon EN : absentéisme, décrochage (aucun indicateurs clairement définis) Dans le service, motif de la demande de consultation pouvant masquer le refus scolaire (tentative de suicide, expressions diverses de mal de vivre). 41

42 Premier temps Pour les enseignants : déterminer les causes exprimées en 1ère intention du refus. «j aime pas le collège, j aime pas les profs, je ne me sens pas bien, ça m intéresse pas, je sais pas, je comprends rien, c est dangereux etc..». En seconde intention, explorer les causes masquées : rapport au savoir, à la transmission, aux adultes, à l autorité et au pairs 42

43 Deuxième temps Rencontre des parents toujours en présence du jeune (préserver la relation d alliance avec le jeune) Identifier d éventuelles difficultés dans la relation du jeune et de sa famille à l école 43

44 Troisième temps Contact avec les équipes de vie solaire des collèges ou des lycées ainsi qu avec le prof principal avec l accord de l adolescent et de sa famille Avec pour finalité d évaluer les dysfonctionnements et de mesurer les perceptions différentes du jeune, de sa famille et de l école. 44

45 Ce n est qu à l issue de ces entretiens qu en collaboration avec les médecins les enseignants proposent une stratégie de soutien à la reprise scolaire. Les outils sont multiples 45

46 La boite à outils Renforcement disciplinaire Travail psychopédagogique Accompagnement au projet scolaire ou professionnel Mise en place d un réseau avec les équipes enseignantes et de vie scolaire. 46

47 La reprise scolaire Complète Progressive Réponses différenciées prenant en compte la singularité Reprise scolaire dans la plupart des cas avec ou sans orientation (recours au CNED exceptionnel) 47

48 PEC du jeune : psychopharmacothérapie Sans Médicament (9) 19% Neuroleptique (13) 20% Régulateur de l'humeur (5) 8% Antidépresseur (26) 40% Avec Médicament (39) 81% Anxiolytique (21) 32% 48

49 PEC du jeune : psychopharmacothérapie- commentaires Les IRS représentent le traitement de choix compte tenu de la représentation de la dépression et des troubles anxieux Peu d intérêt des anxiolytiques seuls Prescription des neuroleptiques significatives compte tenu de la représentation des troubles de la personnalité dans notre échantillon 49

50 Résultats Non informés (3) 6% En cours (1) Pas de reprise (6) 2% 13% CNED (2) 4% Reprise avec orientation (10)* 21% Reprise scolaire (26) 54% 50

51 Commentaires sur les échecs (facteurs de mauvais pronostic) Usage de toxiques Familles éclatées, non soutenantes et peu accessibles à une évolution Ancienneté du refus (remontant parfois à l école primaire) Contexte au moins incestuel Inhibition de la pensée (auto-sabotage de la pensée) 51

52 40 Évolution : reprise en fonction de la durée du séjour Effectif cumulé Effectif distinct à 1 sem 1 à 3 sem 3 sem à 3 mois 3 mois à 6 mois 6 mois à 1 année scolaire effectif cumulé Effectif Avec Ré-orientation > 1 année scolaire 52

53 commentaires / durées de séjour : Pas très utile au delà de 3 mois pour ceux qui n ont pas encore repris En revanche intérêt à soutenir ceux qui ont repris dans la durée, éventuellement en ambulatoire 53

54 Perspectives psycho-pathologiques (1) : Perspective attachementiste : notion de base de sécurité, d attachement sécure qui rend possible ou non l exploration. notion de havre de sécurité qui rend possible ou non les «navettes» en cas de difficultés Bowlby (1978-attachement et pertes) : schèmes interactionnels dans le «refus de l école» : Schème A craintes du parent pour lui même Schème B craintes de l enfant pour sa FA Schème C craintes de l enfant pour lui même Schème D craintes de la FA pour l enfant Prédominance du schème A, aspects transgénérationnels++ 54

55 Perspectives psycho-pathologiques (2) : Difficultés d accès au symbolique : savoir, s avoir, ça voir Moi-peau et enveloppes psychiques défaillantes Perspective transgenérationnelle Perspective traumatique 55

Calendrier des formations INTER en 2011

Calendrier des formations INTER en 2011 Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement

Plus en détail

TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC)

TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) Comprendre, prévenir et prendre en charge la clinique du mouvement et de l agir de l enfant Pierre Delion 1. Actualité Les enfants sont préoccupants sur ce point

Plus en détail

Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés

Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement

Plus en détail

2013-2014. psychologie. UFR des Sciences de l Homme

2013-2014. psychologie. UFR des Sciences de l Homme 2013-2014 DU LYCÉE À L UNIVERSITÉ psychologie UFR des Sciences de l Homme OBJECTIFS de la formation Vous êtes intéressé par les études de psychologie? A l Université Bordeaux Segalen, cette formation s

Plus en détail

Quand le corps devient objet de l autre

Quand le corps devient objet de l autre Quand le corps devient objet de l autre (Hypersexualisation, pornographie, prostitution à l heure des technologies de l information et de la communication) Robert Courtois Clinique Psychiatrique Universitaire

Plus en détail

Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.

Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer

Plus en détail

Guide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite

Guide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,

Plus en détail

Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009

Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif

Plus en détail

Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003

Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions

Plus en détail

ASSOCIATION ARISSE INSTITUT MEDICO-EDUCATIF ARMONIA Avec prise en charge de jour et d internat séquentiel LIVRET D ACCUEIL

ASSOCIATION ARISSE INSTITUT MEDICO-EDUCATIF ARMONIA Avec prise en charge de jour et d internat séquentiel LIVRET D ACCUEIL ASSOCIATION ARISSE INSTITUT MEDICO-EDUCATIF ARMONIA Avec prise en charge de jour et d internat séquentiel LIVRET D ACCUEIL Directeur: Chef de Service Éducatif Assistante de Direction Accueil - Secrétariat

Plus en détail

IMAGES ET REALITES DE LA SANTE MENTALE EN POITOU-CHARENTES

IMAGES ET REALITES DE LA SANTE MENTALE EN POITOU-CHARENTES Association Régionale Poitou-Charentes pour l Information Médicale et l Epidémiologie en Psychiatrie (ARPCIMEP) Observatoire Régional de la Santé de Poitou-Charentes (ORSPEC) IMAGES ET REALITES DE LA SANTE

Plus en détail

Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004

Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Objectifs : indiquer les objectifs de prévention du Service départemental de Protection Maternelle et

Plus en détail

Guide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant

Guide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant Guide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant Guide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant MYLÈNE GINCHEREAU M.SC. PSYCHOÉDUCATION

Plus en détail

«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»

«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» «Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture

Plus en détail

Comment se constitue la personnalité? Un bébé heureux a-t-il le plus de chances de devenir un adulte heureux?

Comment se constitue la personnalité? Un bébé heureux a-t-il le plus de chances de devenir un adulte heureux? Philippe Scialom 1 Un bébé heureux a-t-il le plus de chances de devenir un adulte heureux? La petite enfance est une période beaucoup plus déterminante qu on ne pourrait le penser : tout ce que va vivre

Plus en détail

Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.

Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale

Plus en détail

Stress des soignants et Douleur de l'enfant

Stress des soignants et Douleur de l'enfant 5e rencontre francophone Suisse et France voisine de la douleur chez l enfant Stress des soignants et Douleur de l'enfant Céline ROUSSEAU-SALVADOR Psychomotricienne - Psychologue Clinicienne Service d

Plus en détail

Programme d Enseignement EPTHECC «Enseignement de la Psychopathologie et des Thérapies Comportementales et Cognitives»

Programme d Enseignement EPTHECC «Enseignement de la Psychopathologie et des Thérapies Comportementales et Cognitives» Programme d Enseignement EPTHECC «Enseignement de la Psychopathologie et des Thérapies Comportementales et Cognitives» SOMMAIRE Pages Présentation de la Formation EPTHECC 2 Les objectifs de la Formation

Plus en détail

Troubles du comportement de l enfant et de l adolescent

Troubles du comportement de l enfant et de l adolescent 1 ère partie : Modules transdisciplinaires - Module 3 : Maturation et vulnérabilité - Objectif 39 : Troubles du comportement de l enfant et de l adolescent Rédaction : JP Visier, M Maury et P Bizouard

Plus en détail

Les procédures médico-légales d hospitalisation

Les procédures médico-légales d hospitalisation Les procédures médico-légales d hospitalisation D. CAILLOCE SAMU 87 Contexte de l hospitalisa0on sous contrainte (1) Par%cularité de la discipline psychiatrique où le malade n a pas forcément conscience

Plus en détail

troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.

troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail. Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité

Plus en détail

Journée de conférences plénières le mardi 17 mars, 9h 17h, Centre Pablo Neruda, Nîmes Journée forum / ateliers le vendredi 20 mars, 9h - 17h, Centre

Journée de conférences plénières le mardi 17 mars, 9h 17h, Centre Pablo Neruda, Nîmes Journée forum / ateliers le vendredi 20 mars, 9h - 17h, Centre Journée de conférences plénières le mardi 17 mars, 9h 17h, Centre Pablo Neruda, Nîmes Journée forum / ateliers le vendredi 20 mars, 9h - 17h, Centre Pablo Neruda, Nîmes Des actions en parallèle tout au

Plus en détail

DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers)

DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) Chère Consœur, Cher Confrère, Ces renseignements médicaux

Plus en détail

SOINS ET ACCOMPAGNEMENTS. Professionnels de la psychiatrie. www.psycom.org

SOINS ET ACCOMPAGNEMENTS. Professionnels de la psychiatrie. www.psycom.org SOINS ET ACCOMPAGNEMENTS Professionnels de la psychiatrie www.psycom.org Professionnels de la psychiatrie SOMMAIRE Organisation des soins psychiatriques Professionnels de la psychiatrie Psychiatre et pédopsychiatre

Plus en détail

LYCEE GRANDMONT Avenue de Sévigné 37000 TOURS Tel : 02.47.48.78.78 Fax : 02.47.48.78.79 Site : www.grandmont.fr

LYCEE GRANDMONT Avenue de Sévigné 37000 TOURS Tel : 02.47.48.78.78 Fax : 02.47.48.78.79 Site : www.grandmont.fr LYCEE GRANDMONT Avenue de Sévigné 37000 TOURS Tel : 02.47.48.78.78 Fax : 02.47.48.78.79 Site : www.grandmont.fr Dans un parc de 17 ha 2160 élèves 560 internes 9 sections post-bac 21 classes de terminale

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,

Plus en détail

Le décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.

Le décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V. Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS

Plus en détail

Pièces à joindre RENTREE 2015-2016. Qui peut bénéficier de la bourse de lycée?

Pièces à joindre RENTREE 2015-2016. Qui peut bénéficier de la bourse de lycée? INFORMATIONS PRATIQUES A DESTINATION DES FAMILLES Ouverture de la campagne de bourse de lycée RENTREE 2015-2016 Pièces à joindre Qui peut bénéficier de la bourse de lycée? Où peut- on retirer un formulaire

Plus en détail

Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises

Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises 1 Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises Luca Fumagalli Adjoint au chef du Service des établissements spécialisés et délégué du canton au groupe d accompagnement

Plus en détail

Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée?

Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Hélène Le Brun, conseillère septembre 2007 D-11815 Centrale des syndicats du Québec

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Esprit critique et dérives psychologique

Esprit critique et dérives psychologique Esprit critique et dérives psychologique L'esprit critique et l'autodéfense intellectuelle... Psy : clés d interprétation de notre environnement La construction et la transmission du savoir recouvre des

Plus en détail

EGK-Voyage Votre protection d assurance globale pour les voyages et les vacances

EGK-Voyage Votre protection d assurance globale pour les voyages et les vacances EGK-Voyage Votre protection d assurance globale pour les voyages et les vacances +41 44 283 33 93 www.egk.ch EGK-Voyage: frais de guérison Prestations Frais de guérison non couverts à l étranger en complément

Plus en détail

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS

Plus en détail

Introduction. Pourquoice livre?... Comment utiliser ce livre?... Que contient ce manuel?... Chapitre 1

Introduction. Pourquoice livre?... Comment utiliser ce livre?... Que contient ce manuel?... Chapitre 1 " Table des matières Introduction Pourquoice livre?... Comment utiliser ce livre?... Que contient ce manuel?... 7 8 8 Chapitre 1 Connaître les bases de l'affirmation de soi et de la communication Les comportements

Plus en détail

Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008

Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008 Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie

Plus en détail

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé

Plus en détail

Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants. Premiers résultats. Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE

Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants. Premiers résultats. Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants Premiers résultats Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE Objectifs de l enqul enquête Mieux identifier la souffrance psychique

Plus en détail

HABITAT INDIGNE, SOUFFRANCE PSYCHIQUE. ET DEFENSES DELIRANTES DANS LES EXCLUSIONS (internes et externes) Lyon, 2014

HABITAT INDIGNE, SOUFFRANCE PSYCHIQUE. ET DEFENSES DELIRANTES DANS LES EXCLUSIONS (internes et externes) Lyon, 2014 HABITAT INDIGNE, SOUFFRANCE PSYCHIQUE ET DEFENSES DELIRANTES DANS LES EXCLUSIONS (internes et externes) Lyon, 2014 Les évolutions récentes Remplacer «incurie» par «abandon» Abandon de soi, de son soin

Plus en détail

Une échelle d évaluation semistructurée. B. Gravier

Une échelle d évaluation semistructurée. B. Gravier Une échelle d évaluation semistructurée : la HCR-20 B. Gravier Exemple de jugement clinique structuré: The Historical Clinical Risk Management 20 item scale HCR - 20 Echelle utilisée par les cliniciens

Plus en détail

Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents

Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Rencontre francophone internationale sur les inégalités sociales de santé

Plus en détail

Les drogues POUR EN SAVOIR PLUS. 1. L avis du psychologue. 2. Les risques et leur prévention. Quelques chiffres

Les drogues POUR EN SAVOIR PLUS. 1. L avis du psychologue. 2. Les risques et leur prévention. Quelques chiffres Les drogues POUR EN SAVOIR PLUS 1. L avis du psychologue La consommation de drogues, qu elles soient licites (alcool, tabac) ou illicites (cannabis, crack, etc.), fait partie des conduites à risques fréquemment

Plus en détail

Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?

Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.

Plus en détail

FICHE D URGENCE * ECOLE JEAN MOULIN - LE BARCARES - Nom - Prénom de l enfant : Classe :.Date de naissance :..

FICHE D URGENCE * ECOLE JEAN MOULIN - LE BARCARES - Nom - Prénom de l enfant : Classe :.Date de naissance :.. FICHE D URGENCE * ECOLE JEAN MOULIN - LE BARCARES - Nom - Prénom de l enfant : Classe :.Date de naissance :.. Nom et adresse des parents ou du représentant légal :... N et adresse du centre de sécurité

Plus en détail

Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» MSP

Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» MSP Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» EDS CHS MSP MSP «La Traversée» Anémones 1 - Anémones 2-45 lits 30 lits Chênes - 45 lits Dont - Circuits de soins internés 25 lits - Circuit de

Plus en détail

Nouvelles addictions. Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie

Nouvelles addictions. Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie Nouvelles addictions comportementales Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie Item N 77. Addictions comportementales Diagnostiquer, évaluer le retentissement

Plus en détail

Un seul droit de la famille pour toutes les femmes.

Un seul droit de la famille pour toutes les femmes. 2 Protection de l enfance et droit de la famille FR 002 LE DROIT DE LA FAMILLE ET LES FEMMES EN ONTARIO Un seul droit de la famille pour toutes les femmes. Renseignez-vous sur vos droits. Protection de

Plus en détail

I. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE

I. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE I. LE CAS CHOISI Gloria est une élève en EB4. C est une fille brune, mince avec un visage triste. Elle est timide, peureuse et peu autonome mais elle est en même temps, sensible, serviable et attentive

Plus en détail

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme

Plus en détail

ATELIER 2: Les «bénéfices psychologiques» de l ETP: psychothérapie, thérapie cognitivocomportementale. quels équilibres?

ATELIER 2: Les «bénéfices psychologiques» de l ETP: psychothérapie, thérapie cognitivocomportementale. quels équilibres? 12èmes Journées Régionales d échanges en Education du Patient EDUCATION DU PATIENT : «Entre bénéfices possibles et attendus.vers de nouveaux équilibres» jeudi 29 et vendredi 30 novembre 2012 ATELIER 2:

Plus en détail

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures

Plus en détail

Projet clinique express

Projet clinique express d; CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE MONTMAGNY- L ISLET 4 juillet Vol 1, Numéro 1 Dans ce numéro : Un nouvel outil d information Le projet clinique 2 Les membres du comité 2 Perte d autonomie liée

Plus en détail

Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185

Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185 Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185 RESUMÉ ANONYMISÉ DE LA DÉCISION Décision relative à une Recommandation Domaines de compétence de l Institution : Défense des droits de l'enfant, Droits

Plus en détail

SUPPLEMENT AU DIPLÔME

SUPPLEMENT AU DIPLÔME SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des

Plus en détail

SERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES. Livret d Accueil - 1 -

SERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES. Livret d Accueil - 1 - SERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES Livret d Accueil - 1 - Sommaire Contrat de soins p 3 Contrat de séjour d occupation de l appartement Règlement intérieur d occupation de l appartement p 6 Fiche sociale

Plus en détail

PLAN D ACTIONS PSYCHIATRIE & SANTE MENTALE 15-09-2003 page 1 / 106 PLAN D ACTIONS POUR LE DEVELOPPEMENT DE LA PSYCHIATRIE

PLAN D ACTIONS PSYCHIATRIE & SANTE MENTALE 15-09-2003 page 1 / 106 PLAN D ACTIONS POUR LE DEVELOPPEMENT DE LA PSYCHIATRIE PLAN D ACTIONS PSYCHIATRIE & SANTE MENTALE 15-09-2003 page 1 / 106 PLAN D ACTIONS POUR LE DEVELOPPEMENT DE LA PSYCHIATRIE ET LA PROMOTION DE LA SANTE MENTALE Philippe CLERY-MELIN, Vivianne KOVESS, Jean-Charles

Plus en détail

d infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en

d infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de

Plus en détail

Projet de loi n o 21 (2009, chapitre 28)

Projet de loi n o 21 (2009, chapitre 28) PREMIÈRE SESSION TRENTE-NEUVIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 21 (2009, chapitre 28) Loi modifiant le Code des professions et d autres dispositions législatives dans le domaine de la santé mentale et

Plus en détail

9.11 Les jeux de hasard et d argent

9.11 Les jeux de hasard et d argent 9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,

Plus en détail

I. Qu est ce qu un SSIAD?

I. Qu est ce qu un SSIAD? 1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation

Plus en détail

le Service d Accompagnement à la Vie Sociale Fondation Maison des Champs

le Service d Accompagnement à la Vie Sociale Fondation Maison des Champs LIVRET D ACCUEIL le Service d Accompagnement à la Vie Sociale Fondation Maison des Champs 23, rue du docteur potain 75019 Paris 01 53 38 62 50 Portraits des membres du groupe d expression du SAVS par Catel

Plus en détail

LES CENTRES-MEDICO-PSYCHO-PEDAGOGIQUES (CMPP)

LES CENTRES-MEDICO-PSYCHO-PEDAGOGIQUES (CMPP) CREAI CENTRE LES CENTRES-MEDICO-PSYCHO-PEDAGOGIQUES (CMPP) EN REGION CENTRE EN 2008 Volet 1 l activité des CMPP FICHES PAR DEPARTEMENT Etude réalisée par le CREAI Centre : Séverine DEMOUSTIER, Conseillère

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

Ma vie Mon plan. Cette brochure appartient à :

Ma vie Mon plan. Cette brochure appartient à : Ma vie Mon plan Cette brochure est pour les adolescents(es). Elle t aidera à penser à la façon dont tes décisions actuelles peuvent t aider à mener une vie saine et heureuse, aujourd hui et demain. Cette

Plus en détail

PSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE

PSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE UNIVERSITE MONTPELLIER 1 DIPLOME UNIVERSITAIRE PSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE Option A: Psychosomatique, thérapies de relaxation. Option B: Psychosomatique et psychothérapies

Plus en détail

Fiche d information à l intention des parents. Volet 2 Les options résidentielles

Fiche d information à l intention des parents. Volet 2 Les options résidentielles Centre de réadaptation en déficience intellectuelle de Québec (CRDI de Québec) 7843, rue des Santolines Québec (Québec) G1G 0G3 Téléphone : 418 683-2511 Télécopieur : 418 683-9735 www.crdiq.qc.ca Fiche

Plus en détail

DOCUMENTATION CLINIQUE D UNE CHUTE D UN PATIENT

DOCUMENTATION CLINIQUE D UNE CHUTE D UN PATIENT Jacques Butel - Nadiat Donnat - Jeanne Forestier - Céliane Héliot - Anne Claire Rae Forum prévention des chutes 2010 DOCUMENTATION CLINIQUE D UNE CHUTE D UN PATIENT 1 Recueil données Formulaire de signalement

Plus en détail

DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES

DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice

Plus en détail

LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8. Code de vie du «137»

LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8. Code de vie du «137» LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8 Code de vie du «137» Bienvenue parmi nous! Ce code de vie est conçu pour expliquer le fonctionnement du «137». Étant donné que cet

Plus en détail

Le retour au travail après une absence prolongée en

Le retour au travail après une absence prolongée en Le retour au travail après une absence prolongée en raison de trouble mental transitoire: des pistes d'encadrement de la démarche. Marie-José Durand, PhD, Professeure titulaire, Directrice du CAPRIT Les

Plus en détail

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES

Plus en détail

L école maternelle et le socle commun de connaissances et de compétences

L école maternelle et le socle commun de connaissances et de compétences L école maternelle et le socle commun de connaissances et de compétences Animation pédagogique Mise en œuvre du LPC 87 Un principe majeur! L école maternelle n est pas un palier du socle commun de connaissances

Plus en détail

LE MARKETING SOCIAL ET

LE MARKETING SOCIAL ET LE MARKETING SOCIAL ET LA PRÉVENTION DE LA MALTRAITANCE MARIE-HÉLÈNE GAGNÉ 6ème Colloque québécois sur la maltraitance envers les enfants et les adolescents Montréal, 29 octobre 2013 LE FARDEAU DE LA MALTRAITANCE

Plus en détail

Dép. 75 «Enfant présent»

Dép. 75 «Enfant présent» Dép. 75 «Enfant présent» PRESENTATION DE L ACTION Intitulé, ancienneté et lieu d implantation Créée en 1987, l association Enfant Présent, dispositif multi-accueil à caractère préventif, dispose de plusieurs

Plus en détail

A - Nomenclature des préjudices de la victime directe

A - Nomenclature des préjudices de la victime directe ANNEXE NOMENCLATURE DES PREJUDICES RESULTANT D UNE ATTEINTE A LA PERSONNE A - Nomenclature des préjudices de la victime directe 1 ) Préjudices patrimoniaux a) Préjudices patrimoniaux temporaires (avant

Plus en détail

LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE

LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE AD'PROSANTE : DES FORMATIONS POUR LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE AD'PROSANTE - GROUPE SOFT FORMATION 84, Boulevard de la Corderie 13007 Marseille Tél : 04.91.15.71.03 Fax : 04.91.81.52.62 1 NOTRE OFFRE

Plus en détail

Maison d accueil Jean Bru

Maison d accueil Jean Bru Maison d accueil Jean Bru Etablissement spécialisé dans la prise en charge de jeunes filles ayant vécu des actes incestueux ou subi des violences sexuelles. Formation, information, prévention et recherche

Plus en détail

«SOINS ET PSYCHOSE : QUESTION DE TEMPS»

«SOINS ET PSYCHOSE : QUESTION DE TEMPS» «SOINS ET PSYCHOSE : QUESTION DE TEMPS» Les 8 et 9 mai 1998 LE CORUM MONTPELLIER Organisé par l association ISADORA et le Centre psychothérapique Saint Martin de Vignogoul Atelier E Président : P. FAUGERAS

Plus en détail

Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015

Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015 Maison de l Enfance et de la Jeunesse 2 route de Keroumen 29480 Le Relecq Kerhuon 02 98.28.38.38 02.98.28.41.11 E-Mail : mej@mairie-relecq-kerhuon.fr Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans)

Plus en détail

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau

Plus en détail

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin

Plus en détail

CONDUCTEUR ÂGÉ. Dr Jamie Dow. Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec LLE. Dr Jamie Dow

CONDUCTEUR ÂGÉ. Dr Jamie Dow. Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec LLE. Dr Jamie Dow LLE CONDUCTEUR ÂGÉ Dr Jamie Dow Conseiller médical en sécurité routière Service des usagers de la route Janvier 2011 Dr Jamie Dow Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec

Plus en détail

ANNUAIRE SANTE. Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires

ANNUAIRE SANTE. Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires ANNUAIRE SANTE Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires IREPS : Instance Régionale d Education et de Promotion de la Santé Poitou-Charentes (4 antennes

Plus en détail

PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON

PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON Pourquoi une structure innovante pour jeunes adultes autistes dits «évolués»? L association Sésame-Autisme Rhône-Alpes souhaite offrir aux

Plus en détail

Projet Pédagogique. - Favoriser la curiosité intellectuelle par le partage des connaissances, des cultures et des échanges.

Projet Pédagogique. - Favoriser la curiosité intellectuelle par le partage des connaissances, des cultures et des échanges. Projet Pédagogique La scolarité vise à aborder les apprentissages en prenant en compte les compétences de chacun afin de permettre l épanouissement de tous. La communauté éducative propose donc un enseignement

Plus en détail

Parent avant tout Parent malgré tout. Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille.

Parent avant tout Parent malgré tout. Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille. Parent avant tout Parent malgré tout Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille. Edition: Addiction Suisse, Lausanne 2012 Que vous soyez directement concerné-e ou que

Plus en détail

Livre Blanc des mutuelles étudiantes de proximité

Livre Blanc des mutuelles étudiantes de proximité Livre Blanc des mutuelles étudiantes de proximité PROPOSITIONS POUR AMÉLIORER LA SANTÉ ÉTUDIANTE LA SECURITÉ SOCIALE DES ÉTUDIANTS Le réseau national des mutuelles étudiantes de proximité MEP ı MGEL ı

Plus en détail

ECOLE PRIMAIRE QUERAL ECOLE MATERNELLE CHARLES PERRAULT ECOLE DU CHAT PERCHE SAINT-ROCH

ECOLE PRIMAIRE QUERAL ECOLE MATERNELLE CHARLES PERRAULT ECOLE DU CHAT PERCHE SAINT-ROCH COMMUNE DE PONTCHATEAU REGLEMENT INTERIEUR DES RESTAURANTS SCOLAIRES MUNICIPAUX ECOLE PRIMAIRE QUERAL ECOLE MATERNELLE CHARLES PERRAULT ECOLE DU CHAT PERCHE SAINT-ROCH Le présent règlement, adopté par

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS SOLIDARITÉS

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS SOLIDARITÉS MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE SOLIDARITÉS PROFESSIONS SOCIALES Arrêté du 18 mai 2009 relatif au diplôme d Etat d éducateur technique spécialisé

Plus en détail

Comment se déroule le droit de visite et d hébergement d un parent en cas de fixation de la résidence habituelle chez l autre parent?

Comment se déroule le droit de visite et d hébergement d un parent en cas de fixation de la résidence habituelle chez l autre parent? Comment se déroule le droit de visite et d hébergement d un parent en cas de fixation de la résidence habituelle chez l autre parent? Lorsque l enfant vit au domicile de l un de ces parents, ce qui est,

Plus en détail

CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE

CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE 12 rue aux raisins - 62600 BERCK SUR MER 03.21.89.44.01 - Fax : 03.21.89.44.82 Le mot d

Plus en détail

Description des résidants dans les IHP et les MSP

Description des résidants dans les IHP et les MSP I RAPPORT NATIONAL RPM 1999 Description des résidants dans les IHP et les MSP Données d admission D après le tableau 1 A (p.1), au 30 juin 1999, les initiatives d habitation protégée comptaient 2853 résidants

Plus en détail

1. Procédure d admission

1. Procédure d admission Direction générale de l action sociale SD2/SD3 Document de travail MESURE 18 : HEBERGEMENT DES MALADES JEUNES ADMISSION D UNE PERSONNE AGEE DE MOINS DE 60 ANS DANS UN ETABLISSEMENT POUR PERSONNES HANDICAPEES

Plus en détail

Fondation d Auteuil Etablissements Saint-Roch

Fondation d Auteuil Etablissements Saint-Roch St-Rochok.qxp 07/11/2007 10:39 Page 1 Midi-Pyrénées Fondation d Auteuil Etablissements Saint-Roch Durfort-Lacapelette (82) St-Rochok.qxp 07/11/2007 10:39 Page 2 La Fondation d Auteuil Œuvre d Eglise, fondation

Plus en détail

Les dispositifs d écoute de la souffrance psychique des jeunes. Etat des lieux des ressources en région Rhône- Alpes

Les dispositifs d écoute de la souffrance psychique des jeunes. Etat des lieux des ressources en région Rhône- Alpes Les dispositifs d écoute de la souffrance psychique des jeunes Etat des lieux des ressources en région Rhône- Alpes 2 SOMMAIRE Positionnement de l'étude réalisée par le CRAES CRIPS sur les points écoute

Plus en détail

Plan de la présentation

Plan de la présentation Quand la maladie vient compliquer la transition de l adolescence vers le merveilleux monde des adultes Développement d une clinique pour adolescents greffés Marie-France Vachon, M.Sc.Inf., CPON, CSIO,

Plus en détail

Définition trouble psychosomatique. TROUBLES PSYCHOSOMATIQUES Item 289. Définition trouble psychosomatique. Définition trouble psychosomatique

Définition trouble psychosomatique. TROUBLES PSYCHOSOMATIQUES Item 289. Définition trouble psychosomatique. Définition trouble psychosomatique Définition trouble psychosomatique TROUBLES PSYCHOSOMATIQUES Item 289 La médecine psychosomatique est l étude des perturbations psychiques d ordre affectif et des troubles viscéraux qui en constituent

Plus en détail

Pôle de compétence en promotion de la santé région Centre en Promotion de la Santé en Région Centre. Salon des formations en promotion de la santé

Pôle de compétence en promotion de la santé région Centre en Promotion de la Santé en Région Centre. Salon des formations en promotion de la santé Fédération Régionale des Acteurs FRAPS Pôle de compétence en promotion de la santé région Centre en Promotion de la Santé en Région Centre Salon des formations en promotion de la santé Mardi 20 janvier

Plus en détail

Les Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail