La situation économique et financière

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1 Bulletin Institutionnel de SMA Gestion DOCUMENT RESERVE EXCLUSIVEMENT AUX CLIENTS PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF La situation économique et financière «Un certain nombre de participants ont émis la volonté de ralentir le rythme de rachats d actifs dès la réunion de juin si les informations économiques reçues d ici là montrent des preuves d une croissance suffisamment solide et durable» Compte-rendu de la réunion du comité de politique monétaire de la Fed, mai 2013 MAI 2013 Le Fed se prépare à resserrer alors que la BCE est contrainte à plus de soutien! La Fed, précurseur des politiques de «quantitative easing» (son bilan a dépassé les 3000 milliards de dollars en janvier, soit environ 20% du PIB américain), pourrait être la première banque centrale à ralentir son programme de soutien aux marchés. Si jusqu à présent, l institution poursuit ses achats de titres (pour un montant mensuel de 85 milliards de dollars), le compte rendu du dernier Comité de politique monétaire (FOMC) fait état de divergences entre certains membres quant à la poursuite de ces politiques. Ce discours semble pour l instant davantage tester la réaction des investisseurs vis-à-vis d un éventuel ralentissement du QE qu il ne le planifie réellement. A l inverse, la BCE réfléchit de son côté à un plan d action pour relancer le financement des PME de la Zone Euro. Malgré la baisse de son principal taux directeur à 0,5% en mai, les PME (notamment d Europe du Sud) font toujours face à une pénurie de crédit qui risque de mettre en péril la reprise économique. L institution s interroge sur la forme que pourrait prendre cette nouvelle aide : réactivation du marché des ABS? Rachat de créances douteuses de pays d'europe du sud afin de soulager la pression qui pèse sur leurs banques? Taux de rémunération négatif pour les dépôts des banques auprès de la BCE afin de stimuler la distribution de prêts? Baisse du taux d intérêt à 0,25% pour stimuler la demande? La Chine ralentit et inquiète La chute de l'indice PMI des directeurs d'achats du secteur manufacturier chinois sous le seuil des 50 en mai vient doucher les espoirs d'une reprise de la croissance au deuxième trimestre. Le FMI a confirmé cette crainte en abaissant sa prévision de la croissance chinoise pour 2013 de 8% à 7.75%. Selon l organisation internationale, la Chine devra donner «une impulsion décisive pour rééquilibrer et augmenter les revenus des ménages». Cette transition n est pas sans danger pour l activité du pays dont le modèle économique est basé sur les exportations et le faible coût de sa main d œuvre. La croissance n est pas le seul sujet d inquiétude des investisseurs. L endettement excessif menace désormais le pays. Le niveau global d endettement est difficile à chiffrer, tant la transparence et la fiabilité des indicateurs sont discutables. Il est néanmoins estimé par certains autour de 200% du PIB. Au-delà de ce niveau élevé, c est d une part, l inquiétante vitesse d endettement et d autre part, son faible effet positif sur la croissance, qui inquiètent. A cela s ajoute la nébuleuse du crédit «informel» («shadow banking») qui ne cesse de croître. Les marchés actions en hausse Les marchés actions ont poursuivi leur progression. En mai, le CAC 40 gagne +2,38%, l Eurostoxx 50 : +2,13%, le S&P500 +2,08% (portant sa performance cumulée depuis le début de l année à +14,34%). L indice américain renoue ainsi avec ses plus hauts historiques effaçant la totalité des pertes provoquées par la crise des subprimes Seul le marché actions japonais ralentit quelque peu la cadence (Nikkeï 225 : -4,32% en mai) après son spectaculaire rallye (+27,58% depuis le début de l année, Cf. Thème du mois). Les marchés actions émergents restent en revanche atones, (MSCI Marchés émergents : +0,15% en mai, -0,79% depuis le début de l année). Sur les marchés obligataires, les taux de la dette 10 ans ont légèrement remonté mais se maintiennent toujours à des niveaux extrêmement bas (1,51% pour le Bund allemand, 2,13% pour le Bond américain au 2/06/2013). Les marchés de dette privés sont relativement stables (aux Etats-Unis, spread de la catégorie Investissement : 114 points, et de la catégorie Spéculative : 459 points, en Zone Euro, spread de la catégorie Investissement : 166 points, et de la catégorie Spéculative : 462 points). Avertissement : Ce document non contractuel a été réalisé à titre d information et ne constitue pas un conseil d investissements. SMA Gestion (Groupe SMABTP), Agrément AMF N GP , avenue Emile Zola, Paris cedex 15 1

2 La gestion INTERVIEW DU MOIS Interview de Philippe DESURMONT Directeur Général de SMA Gestion Responsable de la gestion Actions et Matières premières Que pensez-vous des niveaux actuels des marchés actions des pays de l OCDE? Philippe DESURMONT : Nous n appréhendons pas les marchés financiers sur une base «top down». Nous privilégions une analyse individuelle des titres ce qui nous permet par aggrégation d obtenir une valorisation des indices boursiers (cf. graphique). En examinant l Eurostoxx 50 par exemple, nous constatons un renchérissement significatif des marchés actions européens, qui dépassent la borne haute de l intervalle de valorisations de la période De ce point de vue, les marchés actions européens présentent donc globalement peu d opportunités d achat à bon compte. Seules certaines entreprises cotées demeurent encore très abordables. Mais il s agit essentiellement de sociétés qui font face à des problèmes structurels (activité domestique confrontée à un environnement économique dégradé, marché structurellement en décroissance ) qui justifient en partie ces niveaux peu élevés de valorisation. Les marchés actions peuvent-ils encore progresser? PhD : Les tenants d une approche «top down», sur la base d indicateurs classiques type PER, jugent les marchés actions notamment européens peu chers dans une perspective historique. Selon eux, la marge de progression peut donc sembler importante et la hausse des marchés actions pourrait se poursuivre. Mais en y regardant de plus près, on constate que les marges opérationnelles des entreprises cotées sont aux plus hauts historiques. Les sociétés ont appris des crises précédentes et se sont déployées pour profiter de la croissance des pays émergents. Elles ont fait d importants efforts de gains de productivité, jouissent d un faible taux d imposition, de frais financiers historiquement bas et ont réussi à endiguer la progression des coûts salariaux. La question est donc celle de la pérennité des niveaux de marges atteints Le potentiel de hausse des marchés actions semble alors moins assuré. Quelles sont, selon vous, les perspectives de rentabilité à moyen terme des sociétés cotées des pays de l OCDE? PhD : On peut raisonnablement penser que dans les années à venir, les frais financiers et les taux impositions seront appelés à augmenter. Par ailleurs, l essentiel des gains de productivité (restructurations, désendettement ) est derrière nous. Les sociétés seront alors tributaires de la demande pour maintenir ou accroitre leurs marges. Or, le paradoxe est que pour stimuler la demande dans les pays de l OCDE, la consommation devra être soutenue par une hausse des salaires! Le gain pour les sociétés serait dès lors contrebalancé par la hausse des coûts salariaux! Ces éléments amèneront tôt ou tard une normalisation des valorisations et donc probablement une correction plus ou moins forte des marchés actions. Il est cependant difficile de se prononcer sur le timing de ces ajustements. 1,50 1,45 1,40 1,35 1,30 1,25 1,20 1,15 1,10 1,05 1,00 0,95 0,90 0,85 0,80 mai-09 juil-09 sept-09 nov-09 févr-10 Cours/Valeur d équilibre* de l Eurostoxx 50 avr-10 juin-10 sept-10 * Estimation selon la méthodologie de valorisation de SMA Gestion. La valeur d équilibre de l Eurostoxx 50 est obtenue par l aggrégation de celles de chaque titre qui le compose. Avertissement : Ce document non contractuel a été réalisé à titre d information et ne constitue pas un conseil d investissements. SMA Gestion (Groupe SMABTP), Agrément AMF N GP , avenue Emile Zola, Paris cedex 15 nov-10 janv-11 avr-11 juin-11 aout 2011 oct-11 janv-12 mars-12 mai-12 août-12 oct-12 déc-12 mars-13 mai-13 2

3 BATI ACTIONS INVESTISSEMENT - FR (I) - FR (P) Classification AMF Actions internationales Frais de gestion max Actif au 31/05/2013 2% TTC VL au 31/05/ , GESTION ACTIONS ZONE EURO mois YTD 1 an 3 ans 5 ans depuis volatilité 52 s création** BATI ACTIONS INVESTISSEMENT 2,09 11,23 32,46 36,28 25,53 44,49 10,34 Euro Stoxx 50 TR 3,26 7,32 38,14 17,56-13,02 13,77 16,18 ** 07/06/05 Bati Actions Investissement Euro Stoxx 50 BATI ACTIONS ARBITRAGE FR (I) FR (P) Classification AMF OPCVM Diversifié Frais de gestion max 2% TTC Actif au 31/05/ VL au 31/05/ , Bati Actions Arbitrage Eonia 1 mois YTD 1 an 3 ans 5 ans depuis volatilité 52 s création* BATI ACTIONS ARBITRAGE -0,57 2,07 2,66 ** ** 3,25 2,68 Eonia 0,01 0,02 0,14 ** ** 0,21 0,01 * 16/02/2012 Les chiffres cités ont trait aux années écoulées et les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures. Il est recommandé avant toute décision d'investissement de consulter les prospectus. Sources : Europerformances 3

4 GESTION OBLIGATAIRE ZONE EURO BATI CREDIT PLUS - FR Classification AMF Frais de gestion max Actif au 31/05/ Obligations et autres titres de créances en euros 1% de l'actif net hors OPCVM VL au 31/05/ , Bati Crédit Plus Eonia Iboxx 1 mois YTD 1 an 3 ans 5 ans depuis création* volatilité 52 s Sensibilité BATI CREDIT PLUS 0,13 1,24 6,84 15,49 39,55 45,43 1,61 2,00 IBOXX Corporate Overall All T -0,20 1,77 8,98 19,16 37,27 36,06 2,50 4,38 EONIA capitalisé 0,01 0,03 0,11 1,46 4,65 9,24 0,01 *10/05/07 BATI TAUX FR Classification AMF OPCVM Diversifié Frais de gestion max 2% TTC Actif au 31/05/ VL au 31/05/ , Bati Taux Euro MTS 3-5 ans Eonia Iboxx 1 mois YTD 1 an 3 ans 5 ans depuis volatilité 52 s création* BATI TAUX 0,08 0,54 2,88 ** ** 3,97 0,79 Eonia 0,01 0,03 0,11 ** ** 0,22 0,01 EuroMTS 3-5 ans -0,57 1,05 6,54 ** ** 7,54 2,30 Iboxx -0,20 1,77 8,98 ** ** 11,51 2,50 * 15/02/2012 Les chiffres cités ont trait aux années écoulées et les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures. Il est recommandé avant toute décision d'investissement de consulter les prospectus. Sources : Europerformances 4

5 BATI MATIERES PREMIERES- FR (I) - FR (P) Classification AMF Diversifié Date de création : 14 juin 2012 Frais de gestion maximum 2,5% de l actif part I et 3% de l actif part P GESTION MATIERES PREMIERE Conformément à la réglementation AMF, nous ne pouvons diffuser les performances du fonds BATI MATIERES PREMIERES car il n a pas encore atteint un an d existence. Commentaires sur les marchés des matières premières : Sylvain BERTHELET, CFA, gérant analyste Matières Premières Aurélien BONNEVIOT, gérant analyste Matières Premières L environnement : En mai, les cours des matières premières sont restés sous pression. Les chiffres macro-économiques ont été contrastés mais les attentes d une croissance chinoise moins dynamique et d une reprise de l économie américaine dominent toujours. Dans ce contexte, les métaux précieux ont reperdu une bonne partie du terrain reconquis lors des dernières semaines d avril. Seul le palladium s est apprécié, probablement porté par des attentes d un marché en déficit et un marché automobile américain robuste. Le compartiment énergétique a présenté une tendance baissière. Si quelques inadéquations apparaissent au niveau local, l offre physique est relativement abondante sur le plan global. Les prix agricoles ont aussi baissé lors de cette même période. Il semble que ce soit un ajustement après avoir connu des hausses de prix marquées en début d année (produits tropicaux notamment) et des craintes de s les tardives en raison de la météo (grains américains particulièrement). Les métaux industriels ont paradoxalement affiché une petite reprise des cours mais celle-ci s effectue sur des niveaux bas quand on considère l historique récent. Les réductions de capacités annoncées n ont eu que peu d effet au regard des craintes de ralentissement de la consommation chinoise. Notre gestion : L environnement actuel est délicat : de nombreux opérateurs anticipent une réduction des interventions de la Réserve Fédérale sur les marchés de capitaux et donc un mouvement de raffermissement du dollar ce qui a tendance à nuire aux matières premières et notamment à l or ainsi qu autres valeurs dites «refuges». Le contexte actuel de recherche de rendement et de nette baisse de l aversion au risque renforce ce climat défavorable. Sur le moyen terme, nous pensons que le chemin vers une croissance durable et une solution à l endettement des Etats est encore étroit et que l hyperactivité des banques centrales (comme celle Banque du Japon récemment) implique aussi des risques. Aussi le compartiment des métaux précieux reste attractif sur longue période à nos yeux. Nous avons renforcé notre exposition au platine à des cours que nous avons jugés proches des coûts de production. Nous avons initié une ligne sur le café, les cours actuels reflètent des attentes de récolte importante mais nous semblent attractifs sur le moyen terme. Nous avons en revanche coupé notre position sur le sucre. Malgré des prix bas, il est probablement nécessaire d attendre encore avant de se repositionner sur ce marché toujours en net excédent. Matières premières agricoles Métaux précieux 31/05/13 Δ mois Δ /05/13 Δ mois Δ 2013 Blé (USc/bu) 705,50-2,3% -9,3% Or ($/once) 1392,60-5,4% -16,9% Maïs (USc/bu) 662,00-3,1% -5,2% Argent ($/once) 22,24-7,9% -26,3% Soja (USc/bu) 1510,00 2,9% 6,4% Platine ($/once) 1461,80-3,0% -5,0% Café (USc/lb) 127,05-5,9% -11,6% Palladium ($/once) 751,05 7,6% 6,8% Sucre (USc/lb) 16,55-6,3% -15,2% Coton (USc/lb) 79,36-7,2% 5,6% Métaux industriels Energie 31/05/13 Δ mois Δ /05/13 Δ mois Δ 2013 Cuivre ($/t) 7309,00 3,6% -7,8% Pétrole - Brent ($/b),39-1,9% -9,6% Aluminium ($/t) 1906,00 1,9% -8,1% Pétrole - WTI ($/b) 91,97-1,6% 0,2% Nickel ($/t) 14825,00-3,7% -13,1% Gaz Naturel ($/b) 3,98-8,3% 18,9% Zinc ($/t) 1927,00 3,2% -7,4% Essence ($/Gal) 277,89-0,8% -1,2% Plomb ($/t) 2201,00 8,6% -5,5% Mazout ($/b) 279,21-2,8% -8,3% Etain ($/t) 20900,00 2,6% -10,7% Gasoil ($/Gal) 844,75-0,1% -8,9% Les chiffres cités ont trait aux années écoulées et les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures. Il est recommandé avant toute décision d'investissement de consulter les prospectus. Sources : Europerformances 5

6 Le Thème du mois L OFFENSIVE JAPONAISE DE MONSIEUR ABE En 2013, le Japon semble plus que jamais décidé à tourner la page de la déflation. Le nouveau gouvernement de M. Abé affiche un programme ambitieux mais pas sans conséquence pour le reste du monde. Le Japon, une économie en déflation chronique et surendettée L éclatement de la bulle boursière et immobilière en 1990 a fait sombrer le Japon dans la «Décennie Perdue». Ainsi, entre 1990 et 2000, le pays a connu une croissance du PIB négative, une hausse du chômage, des faillites d établissements financiers ainsi qu une très forte augmentation de l endettement public. La banque centrale du Japon (BoJ) a essayé de relancer la croissance avec une politique monétaire de «taux zéro» couplée à des plans de relance mais sans succès. Plus de 20 ans plus tard, les résultats se font toujours attendre, la croissance demeure atone et l inflation est quasi nulle. Ces politiques ont par ailleurs conduit à la très forte dégradation des comptes publics : endettement public = 212% du PIB (fin 2012) et déficit public = -9,9% du PIB (fin 2012). Contrairement à certains membres de la Zone Euro, le Japon ne subit pas la pression des marchés pour rétablir sa situation financière (sa dette étant dans sa quasi-totalité financée par l épargne domestique). Néanmoins, pour réduire son endettement et renouer avec une croissance durable et auto-entretenue, le pays, de par son modèle économique, est dépendant de la croissance et du commerce mondial. qui voit sa balance commerciale tomber dans le rouge. L industrie constitue une composante significative du PIB domestique (28%) et les exportations japonaises ont permis au pays, entre 1980 et 2010, de dégager de très importants excédents commerciaux. Mais depuis quelques années, l attractivité des produits japonais se réduit. D une part, la compétitivité «coût» s est fortement érodée à l international avec l appréciation du yen ( alimentée par la politique de «taux zéro» pratiquée bien avant ses partenaires commerciaux). D autre part, la compétitivité «hors coût» des produits japonais s est nettement détériorée (l industrie électronique par exemple a perdu son leadership sur de nombreux marchés). Parallèlement, l arrêt du nucléaire (conséquence de Fukushima) a provoqué une forte augmentation des importations d énergie. En conséquence, la balance commerciale japonaise est devenue déficitaire depuis Si la situation perdure, c est la capacité du Japon à auto financer ses déficits publics qui serait remise en cause, et ce d autant que le vieillissement de la population devrait à l avenir réduire le taux d épargne des ménages. Face à cette situation très problématique à moyen terme, un nouveau gouvernement a été élu (décembre 2012) sur la base d un programme de politique économique très agressif. «Abenomics» Déterminé et ambitieux, le nouveau chef du gouvernement, M. Abé, veut sortir à tout prix son pays de la déflation. Baptisé «Abenomics», son programme de redressement comprend des mesures de relance de l'investissement par la dépense publique, et des injections massives de liquidités (1.400 milliards de dollars dans l'économie en deux ans!!) conduites par la Banque du Japon, pour mettre fin à 15 ans de déflation. Le nouveau gouverneur de la BoJ, M. Kuroda a ainsi relevé son objectif d inflation à 2% (contre une inflation constatée de -0,70% actuellement) et a annoncé vouloir «faire tout ce qui est possible pour vaincre la déflation». A court terme, force est de constater que les investisseurs semblent convaincus! Le marché actions japonais s offre un puissant rallye depuis l été 2012 ( Nikkeï 225 : +55,3% entre le 24/07/2012 et le 31/05/2013). De plus, la volonté affichée d affaiblir le yen a conduit à une forte dépréciation de la monnaie (-24,2% face à l euro, -17,7% face au dollar entre le 30/09/2012 et le 31/01/2013) qui devrait stimuler les exportations A elles seules, les mesures de stimulations budgétaires et monétaires ne suffiront pas à faire repartir durablement la demande interne et à redresser l économie japonaise. Elles doivent s accompagner de réformes structurelles, longues et difficiles à mettre en place, et qui ne sont pas garanties de succès (M. Abé doit les annoncer au cours du mois de juin). De plus, rétablir la compétitivité des exportations avec la politique monétaire de la BoJ et la dépréciation du yen risque de se faire au détriment de nombreux pays (Corée du Sud, Taïwan, Allemagne ). Si le plan de M. Abé échouait, il est fort à parier que le Japon n aura réussi qu à exporter sa déflation au reste du monde. A terme, c est donc le risque d une guerre des monnaies qui plane, et plus généralement, d une dégradation du climat coopératif. 6 Avertissement : Ce document non contractuel a été réalisé à titre d information et ne constitue pas un conseil d investissements. SMA Gestion (Groupe SMABTP), Agrément AMF N GP , avenue Emile Zola, Paris cedex 15

7 Nous contacter SMA Gestion 114, avenue Emile Zola Paris cedex 15 Ralph BOUCHONNET Alix TOLEDANO Avertissement SMA Gestion a apporté le plus grand soin à la synthèse des informations qui ont permis l élaboration du présent document. Ces informations ont été obtenues auprès de sources considérées comme fiables, toutefois, aucune garantie n est donnée quant à la fiabilité ou au caractère complet de ces informations. Ce document s adresse aux clients professionnels au sens de la directive MIF. Ce document non contractuel a été réalisé à titre d information et ne constitue pas un conseil d investissement. Les informations contenues dans ce document ne sauraient être considérées comme une recommandation d investissement, ou une incitation de quelque nature que ce soit à investir, ni comme une offre d achat, de vente ou de souscription d instruments financiers. Les opinions qui y figurent reflètent le sentiment de SMA Gestion au moment de sa parution et sont susceptibles de changer sans avis préalable. Elles ne sauraient toutefois constituer un quelconque engagement ou garantie de SMA Gestion. Les performances affichées sont celles des OPCVM (source Europerformance), elles ne tiennent pas compte des frais liés aux supports sur lesquels ils sont souscrits. Les chiffres cités ont trait aux années écoulées et les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures. Il est rappelé qu il appartient à chacun de vérifier l adéquation de l investissement avec la situation patrimoniale et personnelle de chaque investisseur potentiel et de consulter le prospectus de chaque OCPVM avant toute souscription (prospectus disponible sur le site de l AMF : ou sur le site internet de SMA Gestion). Le dernier rapport annuel, qui comporte des informations en termes de risques, de commissions et de coûts, peut être obtenu sur simple demande écrite à l adresse suivante : SMA Gestion 114, avenue Emile Zola Paris Cedex 15. Dans le cadre de sa politique de responsabilité sociétale et conformément aux conventions signées par la France, SMA Gestion exclut des fonds, qu'elle gère directement, toute entreprise impliquée dans la fabrication, le commerce et le stockage de mines antipersonnel et/ou d'armes à sous munitions. Toute reproduction partielle ou totale de ce document est interdite, sans l autorisation préalable de SMA Gestion, sous peine de poursuites. Édité par SMA Gestion, Société de Gestion de Portefeuille au capital de euros, 114 avenue Émile Zola, Paris Cedex 15. Agrément AMF N GP97 133, RCS Paris

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