Sponsoring vs pseudo-parrainage : «qui influence qui?» : une première réponse par les théories de la publicité concurrentielle
|
|
- Eric Boivin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Sponsoring vs pseudo-parrainage : «qui influence qui?» : une première réponse par les théories de la publicité concurrentielle Stéphan Fuchs& UT de QuimperDépartement Techniques de Commercialisation 2 rue de l université Quimper stephan.fuchs@wanadoo.fr Sections de rattachement : 06 Secteur : Secondaire / Tertiaire RÉSUMÉ.à partir d une expérimentation menée auprès d une population d étudiants d une université française, cette recherche s est attachée à montrer que les théories de la publicité concurrentielle peuvent contribuer à la compréhension du fonctionnement du pseudo-parrainage et du sponsoring, lorsque les deux techniques sont utilisées ensemble, par des annonceurs rivaux, pour communiquer en prenant appui sur un même événement. Les résultats tendent à montrer que, dans le contexte de communication que provoque la rencontre des concurrents, chaque catégorie d annonceurs subit l influence de la présence de l autre, sans qu il puisse être désigné un vainqueur ou un perdant à cette confrontation, en termes de mémorisation explicite ou de notoriété. MOTS-CLÉS : publicité concurrentielle, sponsoring, pseudo-parrainage, mémorisation explicite, notoriété, expérimentation. 1. Introduction Le sponsoring peut être défini comme «une technique qui consiste, pour toute organisation, à créer ou à soutenir directement un événement socio-culturellement indépendant d elle-même et à s y associer médiatiquement, en vue d atteindre des objectifs de communication marketing» (Derbaix et Lardinoit, 1994). Particulièrement adapté aux contraintes de la communication contemporaine, le sponsoring exerce une action positive sur la notoriété de la marque, sur l attitude des parties prenantes à son égard et sur l image de marque (Tribou, 2007 ; Walliser, 2006). 1
2 Depuis quelques années, le pseudo-parrainage 1 concurrence le sponsoring, lorsque ce dernier devient inaccessible ou peut être facilement contourné. Le pseudo-parrainage peut être défini comme «une technique qui consiste (pour une organisation) à prendre appui sur un événement (ex : une manifestation sportive, un festival culturel, une foire, un salon, un forum, etc.) pour communiquer, sans pour autant être un annonceur accrédité par ses ayants droit» (Fuchs, 2003). En d autres termes, le pseudo-parrain vient disputer - à moindre frais et en toute légalité - l exclusivité acquise par le sponsor, sans acquitter de droits auprès des propriétaires de l événement. En agissant ainsi, le pseudo-parrainage met souvent en concurrence des marques appartenant à la même catégorie de produits (ex : Coca-Cola vs Pepsi-Cola, Nike vs Adidas). Cette situation provoque un effet de contexte. Or les situations de communication concurrentielles sont réputées pour diminuer l efficacité publicitaire. A ce jour, les conséquences qui résultent de la mise en œuvre du sponsoring et du pseudo-parrainage par des annonceurs rivaux à l occasion d un même événement sont mal connues ; les recherches ayant été consacrées au seul examen, de l une ou de l autre des techniques. Cette communication se propose donc de relater l examen de la rencontre sponsoring/pseudo-parrainage, pour des marques familières 2 appartenant à la même catégorie de produits. L analyse est effectuée via une expérimentation, sur un indicateur de l efficacité communicationnelle : la mémorisation explicite du nom de la marque. Les oscillations du niveau de la notoriété de chaque marque, selon le contexte de communication, sont aussi examinées. Les théories de la publicité concurrentielle («competitive advertising») sont mobilisées pour expliquer les résultats. 2. Revue de la littérature et propositions de recherche 2.1. Publicité concurrentielle, interférence concurrentielle et mémorisation explicite des annonces publicitaires Inscrite parmi les techniques de communication persuasive, la publicité concurrentielle examine les situations où il existe une concurrence entre des annonces - celle-ci pouvant concerner un ou plusieurs éléments (ex : le slogan, l exécution publicitaire, un ou plusieurs attribut(s) du produit) -, diffusées sur le même support (ex : un événement) ou à l occasion de la même séquence de communication (ex : un 1 Son équivalent anglo-saxon est «ambush marketing». 2 Dans les travaux effectués en publicité concurrentielle, une marque familière est définie comme une marque ayant une forte notoriété et qui figure régulièrement parmi celles qui sont les plus citées, quand l interrogation porte sur les membres de sa catégorie de produits. 2
3 tunnel publicitaire). La publicité concurrentielle étudie plus particulièrement les mécanismes et les effets que provoque cette concurrence au moment de l encodage, du traitement et de la récupération des items en mémoire. L impact de la publicité concurrentielle est principalement évalué en termes d attitude, de comportement et de mémorisation explicite. La majorité des recherches menées dans le domaine de la publicité concurrentielle a traité du cas de marques appartenant à la même catégorie de produits. Les résultats montrent de façon homogène la présence d un phénomène particulier qui réduit le niveau de rappel et de souvenir du nom de la marque, des attributs de la marque, du slogan de la marque, etc. Décrit comme une interférence, le phénomène peut rendre plus difficile, la récupération d une donnée précise disponible en mémoire. Parfois d ailleurs, la tentative échoue (McGeough, 1931 ; Melton et Irwin, 1940). L inaccessibilité n est pas imputable à l écoulement du temps depuis le dernier contact. Elle est du à la compétition entre nouvelles et anciennes données en mémoire, particulièrement lorsque celles-ci sont conceptuellement similaires (Bettman, 1979 ; Percy et Rossiter, 1980 ; Bagozzi et Silk, 1983) au niveau des attributs du produit (Keller, 1987 ; Burke et Srull, 1988) ou de l exécution publicitaire (Kumar, 2000). L interférence concurrentielle ne provoque pas forcément un résultat défavorable. Elle peut être bénéfique pour la mémorisation explicite d une nouvelle caractéristique introduite dans le panier d attributs du produit (Jewell et Unnava, 2003), ou l apprentissage du slogan de la marque (Dahlén et Rosengren, 2005) Effet de l interférence concurrentielle sur la mémorisation explicite du nom des marques familières La familiarité avec une marque reflète un certain niveau d expérience directe et indirecte avec un produit. Les connaissances admises en publicité concurrentielle suggèrent que l intensité de l interférence varie selon le degré de familiarité envers la marque. Effectivement, il a été montré à plusieurs reprises que son impact est le plus fort pour les annonces de marques non familières (Keller, 1987, 1991 ; Burke et Srull 1988 ; Laroche et al. 2006). Par contre, les résultats ne sont pas homogènes pour les annonces de marques familières : parfois épargnées par le phénomène (Kent et Allen, 1994 ; Laroche et al. 2006), parfois touchées (Kumar et Krishnan 2004). La modération de l interférence concurrentielle imputée à la familiarité de la marque peut laisser penser que celle-ci va aussi réduire le phénomène pour ce qui concerne la récupération en mémoire du nom de la marque. Cependant, les consommateurs se trompent souvent au profit de la marque proéminente dans la catégorie de produits. L erreur d attribution serait imputable à la plus grande robustesse du lien entre l annonce publicitaire et la catégorie de produits, par rapport à celui entre la publicité et 3
4 le nom de marque. L affirmation repose sur un constat simple : les consommateurs connaissent mieux les caractéristiques communes d une catégorie de produits, que les propriétés particulières de chacune des marques qui la composent. L erreur d attribution serait également due au degré de familiarité de la marque ; le lien entre la publicité et le nom de marque étant moins solide pour des marques moyennement familières et par conséquent, plus sensibles au phénomène d interférence concurrentielle (Kent et Kellaris, 2001). En disputant l exclusivité acquise par le sponsor, le pseudo-parrain provoque souvent une situation où deux marques ou plus, appartenant à la même catégorie de produits, se retrouvent à communiquer à propos d un même événement ou d un même élément en rapport. Souvent, il s agit de marques très connues du grand public, qui trouvent en l événement, un nouvel espace pour exprimer leur rivalité, dans un paysage de communication hautement concurrentiel. Selon les résultats trouvés en publicité concurrentielle, la familiarité de la marque devrait atténuer, sans pour autant rendre résistant à l interférence concurrentielle, lorsque qu une récupération du nom des marques est sollicitée dans un contexte de communication concurrentielle de type intra catégorie de produits. L hypothèse suivante est formulée : (H1) : un contexte de communication concurrentielle affecte le niveau de la mémorisation explicite du nom des marques familières appartenant à la même catégorie de produits. Trouver ou pas une différence significative en termes de mémorisation explicite ne renseigne pas sur la situation individuelle de chacune des marques (sic. sa notoriété). Il est soutenable de supputer que l agrégation de paires de marques (pour les besoins de l expérimentation) puisse atténuer l influence respective sur chacune d elles, voire même masquer des réactions individuelles très différentes. La littérature ne renseigne pas à ce propos car les tests ont souvent concernés une paire de marques. Ce qui précède amène donc à poser la question de recherche suivante (QR) : l effet de contexte affecte-t-il de la même manière (sens, intensité) la notoriété de chacune des marques familières? 3. Méthodologie Le contexte dans lequel apparaît la marque cible est manipulé. Celle-ci apparaît soit dans une situation de communication sans concurrence, en présence de trois autres marques appartenant à trois catégories de produits différentes, soit dans un environnement concurrentiel, en présence d une seconde marque de sa catégorie de produits et de deux autres marques de deux autres catégories de produits. Un diaporama Power Point consacré à la coupe du monde de rugby (IRB-France 2007) a servi de support. Le plan du site web officiel de la manifestation a été adapté aux besoins de l expérimentation. Le document comprenait vingt quatre diapositives. 4
5 Chaque diapositive comptait quatre marques 3 placées chacune dans un coin de l écran ; deux informations relatives à la manifestation et ses participants (textes et photos), placées au centre de l écran ; le logo de l événement (IRB France 2007), positionné entre deux marques et déplacé trois fois (toute les six diapositives) durant le diaporama, pour souligner pendant la même durée «l association» de chacune des marques avec l événement. Il n est fait mention nulle part et à aucun moment du statut de la marque à l égard de l événement (pseudo-parrain vs sponsor). Les marques et le logo de la manifestation étaient visibles pendant tout le diaporama. L information relative à l événement était modifiée en partie à chaque diapositive. Si bien que son contenu était renouvelé en totalité au bout de quatre. Chaque diapositive était exposée pendant dix secondes. L individu était invité à regarder chacune d elles en concentrant son attention sur les informations relatives à la manifestation. Dans ce contexte, les annonceurs ont probablement été traités comme des données secondaires, ce qui correspond certaines des situations rencontrées en sponsoring et en pseudo-parrainage (Fleck-Dousteyssier, 2006). Près de cent cinquante étudiants ont été mobilisés pour cette étude à l automne Chaque participant a visionné la maquette du site web de la coupe du Monde de rugby (IBR France 2007). Seul le rappel (variable dépendante) a été collecté. Pour cette tâche, les participants étaient priés d inscrire le nom des marques qu ils avaient vu dans le document présenté. Ensuite, ils répondaient à une série de questions servant d informations de contrôle. L étudiant avait cinq minutes après la diffusion du diaporama pour répondre aux questions. Pour tester les paires de marques, trois groupes d étudiants ont été formés. L affectation à un groupe a été effectuée au hasard. Chaque groupe était interrogé sur une combinaison différente 4. Chacune des trois situations de communication était composée de deux marques concurrentes (C) au niveau de la catégorie de produits et de deux marques (NC) appartenant à deux autres catégories de produits. Cinq catégories de variables ont été utilisées pour vérifier l homogénéité des trois groupes : les caractéristiques personnelles, la proximité relationnelle avec chacune des marques, la neutralité envers la marque, l implication durable pour le rugby, 3 Les marques ont été sélectionnées dans le cadre d une série de pré-tests visant notamment à tester leur familiarité auprès d un public composé d étudiants, ainsi que leur adéquation avec l événement. 4 Groupe A : SNCF (C), Air France (C), Mastercard (NC), VEDIORBIS (NC) ; groupe B : VISA (C), Mastercard (C), SNCF (NC), Manpower (NC) ; groupe C : VEDIORBIS (C), Manpower (C), VISA (NC), Air France (NC). 5
6 l implication situationnelle pour la coupe du monde de rugby IRB France Il n a pas été observé de différences significatives entre les trois groupes. 4. Résultats et discussion Le nombre de marques nommé spontanément est en moyenne de 3,05 (E. type : 1,01). Peu d erreurs de citations sont relevées. Le nombre de marques correctement identifié (MSC) est en moyenne de 2,97 (E. type : 1,02). Effet de l interférence concurrentielle sur la MSC du nom des marques familières : un niveau de rappel plus élevé est observé pour les marques familières exposées dans un contexte concurrentiel (MSC = 1,59 (E. Type = 0,71) vs MSC = 1,39 (E. Type = 0,65)). La différence n est cependant pas suffisante pour qu elle soit statistiquement significative (t = 1,734 ; ddl : 138 ; sig : 0,084). L hypothèse H1, selon laquelle un contexte de communication concurrentielle affecte le niveau de la mémorisation explicite du nom des marques familières appartenant à la même catégorie de produits est rejetée. Notoriété des marques familières et situation de communication : dans un environnement non concurrentiel, la notoriété des marques familières se situe entre 64 % et 87 %. Elle oscille entre 61 % et 86 % dans un environnement concurrentiel. Deux des trois paires ont le même niveau de notoriété dans le contexte non concurrentiel (catégorie cartes bancaires et catégorie transports collectifs). Cinq des six marques ont une notoriété comprise entre 63 et 73 % en situation non concurrentielle (sauf VEDIOBIS : 87 %). En examinant les scores obtenus par marque selon le contexte de communication, il est observé des évolutions significatives pour cinq des six marques familières. Mastercard et VEDIORBIS et ont un score plus élevé dans une situation non concurrentielle. A contrario, SNCF, VISA et Manpower ont un score plus élevé dans un contexte concurrentiel. Notoriété des marques familières selon le statut de l annonceur et le contexte concurrentiel : pour deux des trois sponsors testés, la notoriété est plus élevée dans un contexte concurrentiel (SNCF : 82 % contre 68 % ; VISA : 86 % contre 72 %). Le résultat opposé est observé pour le troisième sponsor (VEDIORBIS : 80 % contre 87 %). La variation de la notoriété des pseudo-parrains n est pas homogène, ni en sens, ni en intensité. Mastercard a un taux plus élevé en situation non concurrentielle (73 % contre 61 %). Manpower obtient le résultat inverse (64 % contre 86 %). Et aucun effet significatif n est observé pour Air France (68 %). L effet de contexte n affecte donc pas de la même manière (sens et intensité) la notoriété des marques (QR). L expérimentation ne tranche pas clairement concernant l impact réel de l interférence concurrentielle sur le rappel du nom des marques familières, même si sa présence ne peut être remise en question. Son effet est par ailleurs assez inattendu, car il améliore la notoriété en situation de concurrence pour la moitié des marques familières. 6
7 Enfin, les oscillations de sens contraire qui affectent la notoriété des marques, selon le contexte concurrentiel, donne une première explication plausible au dessein de H1. 5. Implications, limites et conclusion Sur le plan conceptuel et théorique, le recours à la publicité concurrentielle s est révélé une démarche pertinente pour enrichir les connaissances concernant le fonctionnement du sponsoring et du pseudo-parrainage, lorsque ces deux techniques sont utilisées ensemble par des annonceurs rivaux, pour communiquer en prenant appui sur un même événement. Par ailleurs, il semble que les mécanismes qui interagissent sur le sponsoring et le pseudo-parrainage dans un contexte de communication concurrentielle fonctionnent de la même manière (pour la mémorisation explicite des marques familières). Ce constat justifie a posteriori l utilisation de la publicité concurrentielle pour étudier la mise en œuvre conjointe des deux techniques. Sur le plan managérial, deux marques familières, appartenant à la même catégorie de produits et qui communiquent sur le même événement, subissent toutes les deux l influence de la présence de l autre. Et contrairement à une idée répandue, le pseudoparrainage ne nuit pas forcément au sponsoring. Egalement, le sponsoring ne sort pas toujours vainqueur de la confrontation, au motif qu il peut revendiquer explicitement son association avec l événement. La démarche rapportée comporte plusieurs faiblesses. D abord, l expérimentation a souvent un caractère assez artificiel, et le fait d interroger uniquement une population d étudiants accentue encore cette caractéristique. Ensuite, la méthodologie adoptée reflète l expression de choix qui conditionnent en partie le résultat obtenu. Le fonctionnement mis en évidence et les effets relevés ne valent donc que pour des marques familières et des annonces prenant la forme d une information quasi implicite. Enfin, l événement dont il est question ici ne sert que de filigrane, alors qu en réalité, ce facteur peut modifier l état émotionnel du répondant lors de l encodage ; une caractéristique qui peut avoir des conséquences lors d une sollicitation mémorielle ultérieure. Dans cette recherche, l effort a porté sur la compréhension du fonctionnement du pseudo-parrainage et du sponsoring, en ayant recours aux théories développées en publicité concurrentielle. Le résultat de l expérimentation tend à montrer que dans le contexte de communication concurrentielle, chaque catégorie d annonceurs subit l influence de la présence de l autre, sans qu il puisse être désigné un vainqueur ou un perdant à cette confrontation. A partir de ces premières conclusions, l effort de recherche doit être intensifié, afin de mieux cerner les véritables enjeux de la mise en œuvre simultanée des deux techniques de communication, à l occasion d un même événement. D autres formes de rencontres doivent donc être étudiées à l aide des travaux menés en publicité 7
8 concurrentielle. D autres champs de recherches doivent aussi être mobilisés pour analyser les mécanismes qui conduisent à la persuasion. Enfin, des mesures doivent être réalisées sur d autres indicateurs d efficacité que la mémorisation explicite, afin de plus complètement appréhender les effets que génère le contexte de communication concurrentielle. Beaucoup d opportunités s offrent donc aux chercheurs en marketing intéressés par le sujet. Bibliographie Bagozzi R. et Silk A. (1983), Recall, recognition et the mesasurement of memory fort print advertisements, Marketing Science, 2 (Spring), Bettman J. (1979), Memory factors in consumer chois, Journal of Marketing, 43, Burke R. et Srull T. (1988), Competitive Interference and Consumer Memory for Advertising, Journal of Consumer Research, 15, Juin, Cornwell B., Humphreys M., Maguire A., Weeks C. et Tellegen C. (2006), Sponsorship-Linked Marketing: The Role of the Articulation Memory, Journal of Consumer Research, décembre. Dahlén M. et Rosengren S. (2005), Brand affect slogans affect brands? Competitive interference, band equity and the brand-slogan link, Brand Management, 12, 3, Derbaix C., Gérard P. et Lardinoit T. (1994), Essai de conceptualisation d une activité éminemment pratique : le parrainage, Recherche et Applications en Marketing, 9, 2, p Fleck-Dousteyssier N. (2006), Effet du parrainage sur les réponses cognitives et affectives du consommateur envers la marque : le rôle de la congruence, thèse en sciences de gestion, ESSEC. Fuchs S. (2003), Le pseudo-parrainage, une autre façon de faire du parrainage?, Décision Marketing, 32, Fuchs S. (2006), Efficacité du parrainage : déterminants de la mémorisation des parrains pour l audience directe d un événement, Actes de l Association Française du Marketing, Nantes, 21. Hoek J. (2005), Ambush Marketing: Research and Management Implications, in Global Sport Sponsorship, Johan Amis and Bettina Cornwell, eds, Oxford: Berg. Jewell R. et Rao Unnava (2003), When Competitive Interference Can Be Benefical, Journal of Consumer Research, 30, Keller K. (1987), Memory factors in advertising: The effect of advertising retrieval cues on brand evaluations, Journal of Consumer Research, 14, Kent R. et Allen C. (1994), Competitive Interference Effects in Consumer Memory for Advertising: The Role of Brand Familiarity, Journal of Marketing, 58, juillet, Kent R. et Kellaris J. (2001), Competitive interference effects in memory for advertising: are familiar brands exempt?, Journal of Marketing Communications, 7,
9 Kumar A. (2000), Interference Effects of Contextual Cues in Advertisements on Memory for Ad Content, Journal of Consumer Psychology, 9, 3, Kumar A. et Krishnan S. (2004), Memory Interference in Advertising: A Replication and Extension, Journal of Consumer Research, 30, Laroche M., Cleveland M., Maravelakis I. (2006), Competitive advertising interference and ad repetition effects: comparing high-share and low-share brands, International journal of advertising, 25(3), Mazoyer M. et Quester P. (2006), Un cadre d analyse de l efficacité du pseudo-parrainage, CEROG, IAE, Université Paul Cézanne, Cahier de Recherche n 768. McGeough J. (1932), Forgetting and the law of disuse, Psychological Review, 39, Melton A. et Irwin J. (1940), Influence of degree of interpolated learning on retroactive inhibition and the overt transfer of specific responses, American Journal of Psychology, 53, Percy L. et Rossiter J. (1980), Advertising strategy, New York, Praeger. Tribou G. (2007), Sponsoring sportif, Economica, Paris. Walliser B. (2006), Le parrainage, sponsoring et mécénat, Dunod. 9
Parrainage sportif des banques françaises : Une approche par la congruence
Parrainage sportif des banques françaises : Une approche par la congruence Odile CHANUT 1, Dominique BONET FERNANDEZ 2 et François DURANT 3 Résumé Dans un environnement de plus en plus concurrentiel, les
Plus en détailCommunication d Entreprise (Comm) Automne 2014
CHAIRE DE MARKETING Communication d Entreprise (Comm) Automne 2014 La communication [d entreprise] est l ensemble des signaux émis par l entreprise en direction de ses différents publics, c est-à-dire
Plus en détailMODERATOR EFFECT OF CONGRUENCE ON THE TRANSFER IMAGE: THE CASE OF PARTICIPATION SPONSORSHIP AND CREATION SPONSORSHIP
MODERATOR EFFECT OF CONGRUENCE ON THE TRANSFER IMAGE: THE CASE OF PARTICIPATION SPONSORSHIP AND CREATION SPONSORSHIP TUNISIE TUNIS CHEDLIA FITOURI KAOUTHER SAIED BEN RACHED 1 Chedlia FITOURI: Doctorante,
Plus en détailJour 1. Origines et évolution du marketing
Jour 1 Origines et évolution du marketing Origines et évolution du marketing Jour 1 Cette journée est consacrée à la présentation de la discipline au travers de trois sous-thèmes : l histoire du marketing,
Plus en détailEtudier la présence médiatique d une compétition? Calculer les retombées médias de vos partenaires durant une saison sportive?
Media Monitoring Etudier la présence médiatique d une compétition? Calculer les retombées médias de vos partenaires durant une saison sportive? Mesurer la valorisation financière des marques associées?
Plus en détailAnnée universitaire 2010-2011 EUROPEAN BUSINESS SCHOOL MBA
Année universitaire 2010-2011 EUROPEAN BUSINESS SCHOOL MBA Master of Business Administration Management du Sport Ecole Européenne de Management reconnue par l Etat. Etablissement d Enseignement Supérieur
Plus en détailLe guide du Branded Content
Le guide du Branded Content Avril 2015 Adresse : Performance Consumer Group 192 Avenue Charles De Gaulle 92200 Neuilly-sur-Seine Contact : Yann Lejas (Sales Executive) Email : yann.lejas@performance-cg.com
Plus en détailImpact de la marque de service et des associations à la marque sur le processus de tangibilisation des services : proposition de recherche
Impact de la marque de service et des associations à la marque sur le processus de tangibilisation des services : proposition de recherche Christophe Sempels Université catholique de Louvain Institut d
Plus en détailLa Menace du Stéréotype
La Menace du Stéréotype Fabrice GABARROT Bureau M6158 - Uni Mail Université de Genève 40, Bld du Pont d'arve CH-1205 Genève SUISSE Courriel : Fabrice.Gabarrot@pse.unige.ch Les stéréotypes sont, pour simplifier,
Plus en détailLes processus d action du sponsoring et la mesure de son impact.
2 ème chapitre : Les processus d action du sponsoring et la mesure de son impact. Ce chapitre est consacré à la compréhension du processus d action du sponsoring et a son corollaire l évaluation de l impact
Plus en détailMedia : moyen de communication
Media : moyen de communication La transmission d un message peut se faire au moyen de différents outils tels que l image (photo, vidéo), le son (musique, voix), le texte (affiche), mais aussi l événement,
Plus en détailComment trouver une idée de recherche
Comment trouver une idée de recherche Alain d'astous École des HEC Au cours des ans, j'ai noté que les étudiants à qui l'on demande de réaliser une recherche ont de la difficulté à trouver une idée intéressante
Plus en détailSEARCH MARKETING DISPLAY & SOCIAL ADVERTISING
SEARCH MARKETING DISPLAY & SOCIAL ADVERTISING Mieux vaut faire une seule chose et la faire bien. Le cœur de métier d Ad s up est le Search Engine Advertising. Grâce à notre équipe expérimentée et au développement
Plus en détailL IMPACT DES RESEAUX SOCIAUX SUR LES COMPORTEMENTS DES JEUNES CONSOMMATEURS
Magdalena Grębosz Jacek Otto Ecole Polytechnique de Lodz, Pologne L IMPACT DES RESEAUX SOCIAUX SUR LES COMPORTEMENTS DES JEUNES CONSOMMATEURS L Introduction L Internet est actuellement le plus grand réseau
Plus en détailEtude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise
Etude de marché Selon l Agence Pour la Création d Entreprise (APCE), 70% des cas de défaillance ont pour origine la mauvaise qualité des études de marché, que celles-ci soient mal réalisées ou de manière
Plus en détailINTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1
LES FICHES OUTILS RESSOURCES HUMAINES L évaluation 360 Feed-back INTRODUCTION Aujourd hui les ressources humaines sont considérées par les entreprises comme un capital. La notion de «capital humain» illustre
Plus en détailCONSEILS POUR LA REDACTION DU RAPPORT DE RECHERCHE. Information importante : Ces conseils ne sont pas exhaustifs!
CONSEILS POUR LA REDACTION DU RAPPORT DE RECHERCHE Information importante : Ces conseils ne sont pas exhaustifs! Conseils généraux : Entre 25 et 60 pages (hormis références, annexes, résumé) Format d un
Plus en détailLe Marketing Mobile, des marques
Le Marketing Mobile, le nouvel Eldorado communicationnel des marques RAPPEL Engage your customers NO YES > L émergence des smartphones et des tablettes a bouleversé la vie quotidienne des Français : 47%
Plus en détailDÉCISION DEC022/2015-A001/2015 du 1 er juillet 2015
DÉCISION DEC022/2015-A001/2015 du 1 er juillet 2015 du Conseil d administration de l Autorité luxembourgeoise indépendante de l audiovisuel concernant une autosaisine à l encontre du service de radio RTL
Plus en détailL évaluation de la performance de la communication media
L évaluation de la performance de la communication media Pascal ROOS Enseignant en BTS Management des Unités Commerciales Lycée Edmond Rostand, Saint Ouen l Aumône (95) «Je sais qu un dollar de publicité
Plus en détailau monde alors que l homme déraisonnable pensait que le monde devait s adapter à lui, ce
«Shaw disait que l homme raisonnable était celui qui savait qu il fallait s adapter au monde alors que l homme déraisonnable pensait que le monde devait s adapter à lui, ce qui faisait que le monde appartenait
Plus en détailChapitre 1 Comprendre l évolution du marketing
Chapitre 1 Comprendre l évolution du marketing Ce que vous allez apprendre Définir le marketing et comprendre son rôle Comprendre les différentes évolutions du marketing Comprendre les nouveaux enjeux
Plus en détailAnalyse. Comment stimuler la confiance en soi des aînés par rapport à l apprentissage des nouvelles technologies?
Analyse Comment stimuler la confiance en soi des aînés par rapport à l apprentissage des nouvelles technologies? À découvrir dans cette analyse Sans motivation, il n y a pas d apprentissage. Et l un des
Plus en détailLe marketing stratégique
Chapitre2 Le marketing stratégique I. La démarche stratégique La démarche marketing comporte trois phases : analyse, planification et mise en œuvre. II. Le diagnostic stratégique Le diagnostic stratégique
Plus en détailLES DÉPENSES DES ANNONCEURS EN 2013 ET LES PRÉVISIONS POUR 2014
LES DÉPENSES DES ANNONCEURS EN 2013 ET LES PRÉVISIONS POUR 2014 TOTttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttt tttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttt tttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttt
Plus en détailCommunication et Marketing de l expert-comptable et du commissaire aux comptes
Séminaire ECF Communication et Marketing de l expert-comptable et du commissaire aux comptes Christian LAVAL CL Communication Franck DIET Expert Infos «Hier» Ordonnance 19/09/1945 Art. 23 «Toute publicité
Plus en détailLE DISPLAY RÉVOLUTION. De l achat d espace publicitaire classique à la gestion d audience ciblée. Janvier 2012 LIVRE BLANC ACXIOM.
LIVRE BLANC ACXIOM LE DISPLAY EN PLEINE RÉVOLUTION De l achat d espace publicitaire classique à la gestion d audience ciblée Janvier 2012 Frédéric GRELIER Directeur Europe développement produits Acxiom
Plus en détailLa crise économique vue par les salariés français
La crise économique vue par les salariés français Étude du lien entre la performance sociale et le contexte socioéconomique Baggio, S. et Sutter, P.-E. La présente étude s intéresse au lien entre cette
Plus en détailREGLEMENT DU JEU «PARIS CHALLENGE LIGUE»
REGLEMENT DU JEU «PARIS CHALLENGE LIGUE» ARTICLE 1 : ORGANISATION DU JEU Le PMU, Groupement d'intérêt Economique immatriculé au Registre du Commerce et des Sociétés de PARIS sous le n SIREN 775 671 258,
Plus en détailLe Focus Group. - Bases de données, personnes ayant déjà participé à des expériences et acceptant de participer à des études ultérieures.
Le Focus Group I. Définition «Le Focus groupe est une discussion de groupe ouverte, organisée dans le but de cerner un sujet ou une série de questions pertinents (Kitzinger, Markova, & Kalampalikis, 2004).
Plus en détailIBM Social Media Analytics
IBM Social Media Analytics Analysez les données des média sociaux afin d améliorer vos résultats commerciaux Les points clés Développez votre activité en comprenant le sentiment des consommateurs et en
Plus en détailLa salle de classe en ligne de l Apprentissage en ligne :
La salle de classe en ligne de l Apprentissage en ligne : 5 les cinq meilleurs outils pour l engagement des apprenantes et apprenants L importance de motiver les étudiantes et étudiants envers leurs cours
Plus en détailAnalyse RH. Génération Y : comment recruter efficacement?
Analyse RH Génération Y : comment recruter efficacement? Introduction Les changements économiques survenus ces quinze dernières années ont impacté la population active et par conséquent les attentes des
Plus en détailHospitality Awards 2012 Meilleure opération de communication
Hospitality Awards 2012 Meilleure opération de communication hotelbb.com Rejoignez-nous sur une problématique STRATéGIE : Faire de b&b hôtels, une marque «brand friend» Quelle communication de challenger
Plus en détailJean-Mathieu Fallu Candidat au doctorat en marketing, HEC Montréal. Proposition de thèse
1 Jean-Mathieu Fallu Candidat au doctorat en marketing, HEC Montréal Proposition de thèse L adoption de comportements spontanés et de comportements délibérés de consommation socialement responsable : Une
Plus en détailERGONOMIE ET OPTIMISATION DU TAUX DE CONVERSION D UN SITE INTERNET Partie 1/2
Lorraine ERGONOMIE ET OPTIMISATION DU TAUX DE CONVERSION D UN SITE INTERNET Partie 1/2 Attirer des visiteurs sur un site internet, c est bien ; les transformer en clients, c est mieux! Cette phrase semble
Plus en détailEtude de marché APG SGA Best Practice. Poster Performance Index 2000 2013 Les affiches ont un impact durable
Etude de marché APG SGA Best Practice Poster Performance Index 2000 2013 Les affiches ont un impact durable Etude de marché APG SGA Best Practice En 1997, dans le cadre de son programme de recherche, APG
Plus en détailCEM: les comptes d épargne médicale
CEM: les comptes d épargne médicale 1. Situation Le financement du système suisse de santé est à l évidence en passe de devenir un des sujets les plus discutés au cours du siècle. Comme dans la plupart
Plus en détailLe Rectorat de la Haute école spécialisée de Suisse occidentale, vu la Convention intercantonale sur la haute école spécialisée de Suisse occidentale,
Le Rectorat de la Haute école spécialisée de Suisse occidentale, vu la Convention intercantonale sur la haute école spécialisée de Suisse occidentale, du 26 mai 2011, vu le règlement relatif à la formation
Plus en détailKaizen Marketing Group Web Agency. Kaizen Marketing. - Stéphanie Héline-
Kaizen Marketing - Stéphanie Héline- 1 Référencement Web Paris 26 Juin 2013 Faire de la pub c est bien 12 Répondre à une requête c est mieux! 3 Comment recherchez-vous? Source : Google - 2012 Importance
Plus en détailLe retour des maîtres d EPS, provocation ou réalité?
L éducation physique à l école : Le retour des maîtres d EPS, provocation ou réalité? Avril 2009 -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Plus en détailIdentification des incontournables à la démarche Lean
Identification des incontournables à la démarche Lean Analyse des résultats 7/09/2010 Barbara Lyonnet, Laboratoire SYMME, Université de Savoie barbara.lyonnet@univ-savoie.fr 1. Introduction Toute entreprise
Plus en détailListe des cours BAC+3 BAC+5 en Management & Leadership
Liste des BAC+3 BAC+5 en Management & Leadership No 1 Math Mathématique 1 1 Mathématiques 1 Statistiques 1 No Mathematics 1 Statistics 1 5 ENG 120 en anglais, 2 1112 1113 Anglais pour le Leadership 2 Préparation
Plus en détailLIVRE BLANC COMMUNICATIONS MARKETING ET CRM
LIVRE BLANC COMMUNICATIONS MARKETING ET CRM LIVRE BLANC COMMUNICATIONS MARKETING ET CRM 2 À PROPOS De nos jours, il est essentiel pour les entreprises de définir une stratégie marketing précise et efficace.
Plus en détailCOM 300 / CHAPITRE 7: COMMUNICATION HORS MEDIAS: RELATIONS PUBLIQUES. Mme. Zineb El Hammoumi
COM 300 / CHAPITRE 7: COMMUNICATION HORS MEDIAS: RELATIONS PUBLIQUES Mme. Zineb El Hammoumi SOMMAIRE Relations publiques / Relations presse Définition, objectifs, cibles Moyens des Relations Publiques:
Plus en détailHIVER 2004 MÉTHODOLOGIE DE LA RECHERCHE EN MARKETING MRK - 65384
Professeur : Raoul Graf FSA-Université Laval Pavillon Palasis Prince Bureau 2413 Tél. : 418 656 2131 ext. 2688 Courriel : Raoul.Graf@mrk.ulaval.ca HIVER 2004 MÉTHODOLOGIE DE LA RECHERCHE EN MARKETING MRK
Plus en détailLe rôle de l imagerie mentale dans la compréhension des réponses des internautes
Le rôle de l imagerie mentale dans la compréhension des réponses des internautes Lilia Khrouf Doctorante, Ecole Supérieure de Commerce de Tunis/IAE de Nantes, Unité de Recherche Méthodes Marketing/ Laboratoire
Plus en détailL ATTRIBUTION EN MARKETING DIGITAL
Online Intelligence Solutions L ATTRIBUTION EN MARKETING DIGITAL Par Jacques Warren WHITE PAPER WHITE PAPER A Propos de Jacques Warren Jacques Warren évolue en marketing digital depuis 1996, se concentrant
Plus en détailLa solution FRANCHISES FIDELITY CARD
La solution FRANCHISES FIDELITY CARD Entre les coupons papiers peu valorisants et les systèmes informatiques centralisés trop lourds, existe-t-il un système de fidélisation qui vous corresponde parfaitement,
Plus en détailPrincipes d AdWords. Quelques mots de présentation. Une audience large : les réseaux de ciblage. Réseau de recherche
3 Principes d AdWords Les deux premiers chapitres de ce livre, plutôt généraux, ont présenté l univers d Internet et de la publicité en ligne. Vous devriez maintenant être convaincu de l intérêt d une
Plus en détailPartie 2 : Des leçons pour l entrepreneur
Partie 2 : Des leçons pour l entrepreneur 5.6 De nouveaux métiers Le développement des communautés et des univers virtuels a favorisé la création de nouveaux métiers «online», spécifiques à la gestion
Plus en détailEVALUATION DE LA QUALITE DES SONDAGES EN LIGNE : CAS D UN SONDAGE D OPINION AU BURKINA FASO
EVALUATION DE LA QUALITE DES SONDAGES EN LIGNE : CAS D UN SONDAGE D OPINION AU BURKINA FASO Auteur Baguinébié Bazongo 1 Ingénieur Statisticien Economiste Chef de l Unité de recherche à l Institut national
Plus en détailNormes de référence. Comparaison. Commande cognitive Sentiments épistémiques Incarnés dépendants de l activité
Séminaire Sciences Cognitives et Education 20 Novembre 2012 Collège de France L importance de la Métacognition: Joëlle Proust Institut Jean-Nicod, Paris jproust@ehess.fr http://joelleproust.org.fr Plan
Plus en détailDOSSIER DE SPONSORING WEB Site web de l Union Basket Sud Toulousain
DOSSIER DE SPONSORING WEB Site web de l Union Basket Sud Toulousain Union Basket Sud Toulousain allée des sports ROQUETTES 31120 Site web : http://www.ubst-basket.fr/accueil E-mail : pierre.ubst@sfr.fr
Plus en détailJean-Philippe DANGLADE
Jean-Philippe DANGLADE Professor of Marketing Research Coordinator / Scientific Advisor BP 921 13288 Marseille cedex 9 France PROFESSIONAL +33 4 91 82 73 34 jean-philippe.danglade@kedgebs.com EXPERIENCES
Plus en détailMise en évidence des dimensions affective et symbolique du transfert. d image en parrainage : Louis Vuitton et la Coupe de l America.
Mise en évidence des dimensions affective et symbolique du transfert d image en parrainage : Louis Vuitton et la Coupe de l America. Stéphane Ganassali Maître de Conférences Institut de Management de l
Plus en détailPRESSE EDITION COMMUNICATION STRATEGIE DE MIGRATION VERS LE WEB MOBILE
PRESSE EDITION COMMUNICATION STRATEGIE DE MIGRATION VERS LE WEB MOBILE Stratégie de distribution de la presse numérique Page 2 Distribution numérique, négocier et monétiser. Page 3 Adaptation du contenu
Plus en détailUn climat des affaires incertain
AVRIL 2015 Un climat des affaires incertain Au premier trimestre, 39 % des TPE-PME rhônalpines ont observé une baisse de chiffre d affaires par rapport à la même période de 2014 et seulement 24 % une hausse.
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n o 3054 Convention collective nationale IDCC : 925. DISTRIBUTION ET COMMERCE
Plus en détailCONDITIONS COMMERCIALES 2015.
ETABLISSEMENT PUBLIC DE TELEVISION DIRECTION COMMERCIALE CONDITIONS COMMERCIALES 2015. I. Les conditions tarifaires : Le tarif libellé en dinar Algérien est applicable aux annonceurs régis par le droit
Plus en détailPARRAINAGE, PUBLICITE ET
Observatoire des stratégies marketing pour les produits du tabac PARRAINAGE, PUBLICITE ET PROMOTION DES PRODUITS DU TABAC DANS LES EVENEMENTS CULTURELS ET SPORTIFS Résumé des résultats Juin 2014 Proposition
Plus en détailPRÉPARATION DU STAGE A L ÉTRANGER
PRÉPARATION DU STAGE A L ÉTRANGER Vous êtes chargés d effectuer un stage à l étranger en vue de réaliser principalement des missions commerciales dans un pays étranger : vers un autre pays ; vers la France
Plus en détailConnectez-vous à vos participants. 30 Avril 2010
Connectez-vous à vos participants 30 Avril 2010 Agenda Objectifs Créer la notoriété de votre course Pourquoi Internet? Rassembler les communautés Générer des inscriptions en ligne Construire sa propre
Plus en détailSOMMAIRE. 4 Foire aux questions... 31
MaCommune.com Objet : Ce document est une présentation du projet MaCommune.com : site internet dédié et entièrement adapté aux mairies (www.macommune.com) 1 SOMMAIRE 1 Introduction... 3 1.1 Un site adapté...
Plus en détailUne approche à multiples niveaux en matière de sécurité des cartes de paiement
Une approche à multiples niveaux en matière de sécurité des cartes de paiement Une approche à multiples niveaux en matière de sécurité des cartes de paiement SANS PRÉSENCE DE LA CARTE 1 Une récente étude
Plus en détailCONDITIONS GENERALES D UTILISATION
1 CONDITIONS GENERALES D UTILISATION CHAMPS D APPLICATION : Les présentes conditions d utilisation ont pour objet de définir les modalités d utilisation pour les éditeurs de blogues du site Made in blog
Plus en détailAppel à l action relativement au chômage, au sous-emploi et à la pénurie de main-d œuvre qualifiée
Appel à l action relativement au chômage, au sous-emploi et à la pénurie de main-d œuvre qualifiée Introduction Les diplômés des universités et des collèges du Canada sont confrontés à des taux inacceptables
Plus en détailChaque étape est à prendre en considération. Recommandation pour une meilleure approche de l'attribution
Chaque étape est à prendre en considération Recommandation pour une meilleure approche de l'attribution Vue d'ensemble Avec l avènement de la publicité en ligne vint la promesse d une nouvelle ère digitale,
Plus en détailLICENCE PROFESSIONNELLE
LICENCE PROFESSIONNELLE Composante : IUT Domaine : Droit, économie, gestion Mention : E-Commerce et Marketing numérique Parcours : Marketing et commerce sur internet Numéro d accréditation : 20150290 Régime
Plus en détaild évaluation Objectifs Processus d élaboration
Présentation du Programme pancanadien d évaluation Le Programme pancanadien d évaluation (PPCE) représente le plus récent engagement du Conseil des ministres de l Éducation du Canada (CMEC) pour renseigner
Plus en détailECONOMICS AND MANAGEMENT
L université chez soi! Bachelor of Science (B Sc) in ECONOMICS AND MANAGEMENT BRANCHES D ÉTUDES : ECONOMIE POLITIQUE ET GESTION D ENTREPRISE Formation universitaire compatible avec un emploi, une famille,
Plus en détailLes. carnets. de la. déon. La distinction entre publicité et journalisme. Directive. Les carnets de la déontologie
Les Les carnets de la déontologie carnets Directive de la La distinction entre publicité et journalisme déon Adoptée par le Conseil de déontologie journalistique le 15 décembre 2010 Directive La distinction
Plus en détailRègles de bonne conduite applicables à toutes les villes désireuses d obtenir l organisation des Jeux Olympiques. Article 1 : CHAMP D APPLICATION
Règles de bonne conduite applicables à toutes les villes désireuses d obtenir l organisation des Jeux Olympiques Texte adopté par la commission exécutive du CIO, Lausanne, 7 février 2007 Article 1 : CHAMP
Plus en détailGemalto annonce le dépôt d une offre publique d achat entièrement en numéraire sur Wavecom
Gemalto annonce le dépôt d une offre publique d achat entièrement en numéraire sur Wavecom Une acquisition qui permet à Gemalto de se développer sur le marché en croissance du «Machine-to-Machine» (M2M)
Plus en détailI/ENSEIGNEMENT GENERAL : 200 H
Cycle Mastère 1 Européen de la FEDE en Communication Spécialité Stratégies Publicitaires et Communication numérique Diplôme Européen délivré par la Fédération Européenne des Ecoles 2 ; www.fede.org NIVEAU
Plus en détailLE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION
LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION Face à une rationalisation croissante du secteur social et médico-social, accentuée par les effets de crise, comment un directeur de structure
Plus en détailLa théorie de la catégorisation : un concept de psychologie cognitive en marketing.
La théorie de la catégorisation : un concept de psychologie cognitive en marketing. Aurore INGARAO CERMAT IAE de Tours Université de Tours La théorie de la catégorisation : un concept de psychologie cognitive
Plus en détailUne formation continue du Luxembourg Lifelong Learning Center / www.lllc.lu MASTER MARKETING ET COMMUNICATION DES ENTREPRISES
Une formation continue du Luxembourg Lifelong Learning Center / www.lllc.lu MASTER MARKETING ET COMMUNICATION OCTOBRE 2015 L économie luxembourgeoise est dite fragile étant donné qu elle dépend surtout
Plus en détailCLEAR CHANNEL MONITOR. L efficacité de vos campagnes en Publicité Extérieure analysée sous toutes leurs composantes
CLEAR CHANNEL MONITOR ou L efficacité de vos campagnes en Publicité Extérieure analysée sous toutes leurs composantes Mieux comprendre le média, réussir vos campagnes! Fort de partenaires référents dans
Plus en détailMASTER MARKETING VENTE, SPÉCIALITÉ MARKETING STRATÉGIQUE DES PRODUITS ET DES MARQUES
MASTER MARKETING VENTE, SPÉCIALITÉ MARKETING STRATÉGIQUE DES PRODUITS ET DES MARQUES RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Droit, Economie, Gestion Présentation Les
Plus en détailPrésenta>on. 201, rue de Vaugirard - 75015 Paris - 01.53.58.36.36 uniteamsport.fr
Présenta>on 201, rue de Vaugirard - 75015 Paris - 01.53.58.36.36 uniteamsport.fr Une Agence Conseil en Marke1ng Communica1on et Ac1va1on des consommateurs par le sport 2 Quelques chiffres qui nous qualifient
Plus en détailSTAGE DE RUGBY- DOSSIER D INSCRIPTION JUILLET 2015
1/10 STAGE DE RUGBY- DOSSIER D INSCRIPTION JUILLET 2015 LE STAGIAIRE Nom :... Prénom :... Date de naissance :. /. /. Tel portable :... E-mail :... Adresse :... LE STAGE DE RUGBY (1) Dates de stage pour
Plus en détailDe ces définitions qui précèdent, Quels liens pouvons nous relever entre ces deux notions? La force de vente et la communication
De nos jours, la force de vente et la communication apparaissent comme des fers de lance de toute entreprise. En effet leur prise en compte engendre des chiffres d affaires notoires. La force de vente
Plus en détailTARIFS ET CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE 2015
LA REGIE DES ECRANS PREMIUM TARIFS ET CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE 2015 APPLICABLES AUX SITES WEB, AUX APPLICATIONS SUR MOBILE ET TABLETTE ET AUX SERVICES DE TELEVISION DE RATTRAPAGE Applicables au 1er
Plus en détailInternet et promotion de la santé. Lise Renaud, Ph.D. Directrice de COMSANTE, UQAM
Internet et promotion de la santé Lise Renaud, Ph.D. Directrice de COMSANTE, UQAM Plan Moyen incontournable : information et comportement Facteurs favorisant l utilisation d Internet Efficacité des interventions
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Administration et gestion des entreprises de l Université de Versailles Saint- Quentin-en-Yvelines - UVSQ Vague E 2015-2019 Campagne
Plus en détailSPECIALISTE EN MARKETING SPORTIF. Formation professionnelle préparant au Diplôme SAWI de Spécialiste en marketing sportif.
SPECIALISTE EN MARKETING SPORTIF Formation professionnelle préparant au Diplôme SAWI de Spécialiste en marketing sportif powered by 1 SAWI - garantie d excellence Facteurs déterminants permettant de choisir
Plus en détailPROGRAMME INTERNATIONAL POUR LE SUIVI DES ACQUIS DES ÉLÈVES QUESTIONS ET RÉPONSES DE L ÉVALUATION PISA 2012 DE LA CULTURE FINANCIÈRE
PROGRAMME INTERNATIONAL POUR LE SUIVI DES ACQUIS DES ÉLÈVES QUESTIONS ET RÉPONSES DE L ÉVALUATION PISA 2012 DE LA CULTURE FINANCIÈRE TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 3 QUESTION NIVEAU 1: FACTURE... 4
Plus en détail«COMMENT PROSPECTER ET FIDÉLISER VOS CLIENTS GRÂCE À LA COMMUNICATION ET AU MARKETING DIRECT?»
«COMMENT PROSPECTER ET FIDÉLISER VOS CLIENTS GRÂCE À LA COMMUNICATION ET AU MARKETING DIRECT?» Sommaire 1. Introduction : les clients, les Médias et la Publicité 2. Construire une Stratégie de Communication
Plus en détail8030.308 Master Européen en Communication
8030.308 Master Européen en Communication Spécialité Stratégies Publicitaires et Communication numérique 8030.3081 Référentiel de formation A - Objectifs et emplois visés : L objectif de ce Master Européen
Plus en détailDR. MATHIEU LAJANTE. Maître de Conférences en Marketing. Fonctions. Formations universitaires. Responsabilités administratives
DR. MATHIEU LAJANTE Maître de Conférences en Marketing IGR-IAE de Rennes (Université de Rennes 1) et Laboratoire CREM (UMR CNRS 6211) 11, Rue Jean Macé CS 70803 35708 RENNES Cedex 7 E-mail : mathieu.lajante@univ-rennes1.fr
Plus en détailWomen s State of the Media Democracy 2012 L observatoire international des usages et interactions des médias
Women s State of the Media Democracy 2012 L observatoire international des usages et interactions des médias Women s Forum - Deauville - Octobre 2012 Présentation de l étude Women s State of the Media
Plus en détaildu petit investisseur belge s est profondément modifiée. L éventail des choix s est élargi et les coûts ont fortement
INVESTIRMONEYTALK DIFFÉRENCES DE TARIFS ENTRE COURTIERS EN LIGNE Investir au meilleur prix Avec la venue des courtiers en ligne, il est devenu plus facile et souvent moins cher d investir en Bourse. Mais
Plus en détailLA NOTATION STATISTIQUE DES EMPRUNTEURS OU «SCORING»
LA NOTATION STATISTIQUE DES EMPRUNTEURS OU «SCORING» Gilbert Saporta Professeur de Statistique Appliquée Conservatoire National des Arts et Métiers Dans leur quasi totalité, les banques et organismes financiers
Plus en détailLittlelessConversation ETUDE MODE MASCULINE
LittlelessConversation ETUDE MODE MASCULINE Mutation des comportements, nouvelles influences, LLC vous livre ses premières analyses sur votre univers. JUIN2010 Une Étude LittlelessConversation AgenceConseilenCommunication
Plus en détaillendrevie levy ca tor 11 e édition à l ère numérique accédez aux compléments en ligne testez vos connaissances en ligne
mer lendrevie levy 11 e édition ca tor tout le marketing Tout à l ère le marketing numérique à l ère numérique accédez aux compléments en ligne testez vos connaissances en ligne Réalisation de la couverture
Plus en détailL Intelligence Compétitive 2.0 pour le pilotage des projets e-marketing
L Intelligence Compétitive 2.0 pour le pilotage des projets e-marketing Soutenance de Thèse de Doctorat en Sciences de l Information et de la Communication Sébastien Bruyère 18 octobre 2010 Contexte général
Plus en détailConsumer. Fiche Synthètique. Journey. Enquête sur les parcours d achat Secteur Fournisseurs d accès à internet (FAI)
Fiche Synthètique Consumer Journey Enquête sur les parcours d achat Secteur Fournisseurs d accès à internet (FAI) Juillet 2013 1 Le secteur des télécommunications a subi des modifications qui ont permis
Plus en détail