Développement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle,
|
|
- Gautier Olivier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Des secteurs professionnels et des territoires investis sur les conditions de travail et la qualité de vie au travail L Serge DELTOR Directeur de l ARACT LR Délégué régional de l ANACT Aider les secteurs et les territoires sur le champ de la qualité de vie au travail a qualité de vie au travail est un sujet fort du débat social actuel. Comment la qualité de vie au travail se joue-t-elle dans les entreprises? A quelles dimensions du fonctionnement de l entreprise renvoie-t-elle? Quels sont les leviers pour l améliorer? De quel accompagnement les entreprises ontelles besoin? Pour travailler sur ces questions, les acteurs relais des entreprises, que ce soit au niveau des secteurs professionnels ou au niveau des territoires, sont des interlocuteurs privilégiés des entreprises. L ARACT, outil d appui méthodologique sur le champ des conditions de travail et de la qualité de vie au travail, revient sur les accompagnements de ces acteurs et en tire des enseignements en matière de conduite de projet dans ce domaine. Pourquoi investir le champ des conditions de travail? Développement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle, conduite de nouveaux projets, santé au travail, transfert de connaissances entre jeunes et séniors, qualité de vie au travail : une palette large de questions qui traversent aujourd hui les entreprises car ayant un impact certain sur leur performance et leur attractivité. Les entreprises sont en effet confrontées au quotidien aux enjeux de conditions de travail de leurs salariés : comment gérer un arrêt de travail lié à un accident? Comment anticiper le départ en retraite d un salarié? Comment prendre en compte les alertes du médecin du travail? Comment s organiser dans le nouveau bâtiment? Comment anticiper l évolution des compétences en fonction des innovations technologiques et des mutations du marché? Pour faire face à ces différentes questions, les entreprises se sentent parfois isolées et manquent de repères pour construire des réponses adaptées à leur contexte et leur organisation. Pour répondre à ces préoccupations, les Partenaires Sociaux et les pouvoirs publics proposent des dispositifs pouvant aider les entreprises dans leur démarche : accord cadre, contrat de filière, charte régionale d un secteur professionnel, action collective conduite par une organisation professionnelle ou syndicale autant d outils qui permettent de travailler collectivement et d aborder la question des conditions de travail en lien avec celle de l efficacité de l entreprise. L ARACT Languedoc-Roussillon accompagne depuis plusieurs années des secteurs professionnels et des territoires avec pour objectifs communs à l ensemble de ces projets : comprendre les problématiques de conditions de travail qui se posent dans les entreprises concernées, définir avec chacune d elles des actions d amélioration adaptées, capitaliser et tirer des enseignements sur les démarches conduites, diffuser ces démarches à l ensemble des entreprises du secteur ou du territoire. 1
2 FICHE ACTION Exemples d appui de l ARACT à des secteurs professionnels et des territoires Spectacle Vivant Cinéma Audiovisuel Agroalimentaire Artisanat Transport Bâtiment Réparation automobile Boulangerie artisanale Service à la personne Aide à domicile Service à la personne Petite enfance Sanitaire et social Sanitaire et social Economie sociale et solidaire Tourisme Interprofessionnel Démarche territoriale Porteur de projet : Réseau en Scène Élaboration d une démarche GPEC Mise en place d une Commission régionale paritaire sur la prévention et les conditions de travail Porteur de projet : OPCALIM, LRIA, Coop de France Structuration d un plan régional prioritaire pour améliorer les conditions de travail dans le cadre de la Charte régionale IAA Porteur de projet : Commission Paritaire Régionale Interprofessionnelle de l Artisanat Mise en œuvre des actions de prévention des risques professionnels Porteur de projet : FNTR, OPCA Transport, OPTL Mise en œuvre d un plan d actions GPEC Etude prospective métiers et conditions de travail «Métiers de l exploitation» Porteur de projet : CAPEB Elaboration d un pack «conditions de travail» dans le cadre de la démarche compétence du secteur Porteur de projet : CNPA, AIPALS Repères pour prévenir les TMS dans les garages automobiles Porteur de projet : Fédération Régionale de la Boulangerie Artisanale Repères pour la conduite de projets d investissements (réaménagements des laboratoires et des espaces de vente) Porteur de projet : UNIFORMATION, Pleiades Emploi Services 34 Élaboration d une démarche d auto-diagnostic «Qualité de vie au Travail» Porteur de projet : Collectif Crèches 34 Démarche compétences et conditions de travail Elaboration d un guide d aide à la conception des espaces de travail Porteur de projet : URIOPSS Prévention des risques psychosociaux et des TMS Élaboration d un guide méthodologique sur la prévention des RPS Porteur de projet : UNIFAF Actions de GPEC Territoriale sur l Aude et la Lozère Elaboration d un guide d autodiagnostic «GPEC, où en est mon établissement?» Porteur de projet : CRES, CAP LR, URSCOP, URIOPSS, UREI Elaboration d un guide sur la qualité du travail et de l emploi Porteur de projet : Maison du Travail Saisonnier Agde, Conférence Régionale du Travail Prévention des risques et attractivité des entreprises (Hôtellerie restauration) Réalisation d une Bande Dessinée de sensibilisation à la prévention Porteur de projet : Centre de Ressources des Groupements d Employeurs (CRGE) Élaboration de démarches de prévention et d amélioration des conditions de travail adaptées aux caractéristiques des groupements d employeurs Porteur de projet : CBE des Cévennes, Pays Pyrénées Méditerranée, Pays Corbières Minervois Interventions dans le cadre de collectifs entreprises sur différents sujets de la qualité de vie au travail L ensemble de ces actions a bénéficié du soutien de la DIRECCTE LR, de la Région LR, du Fonds Social Européen. 2
3 Les clés d entrée pour engager une démarche collective d amélioration des conditions de travail Travailler collectivement sur l amélioration des conditions de travail est l occasion de progresser ensemble Si de bonnes conditions de travail constituent une finalité sur laquelle on peut se mettre d accord, cela ne veut pas dire que chacun ait la même représentation sur les causes impactant à la fois la santé des salariés et l efficacité des entreprises. Une action collective de ce type permet de partager des cadres de référence, incite à exprimer des points de vue différents afin d aboutir a des compromis d actions. Cette dynamique produit du débat, des compétences et de la construction collective de solutions opérationnelles. Ce type de démarche, adaptée à la réalité des entreprises, rompt leur isolement en favorisant de véritables échanges. Porter un autre regard sur le travail et la performance de l entreprise Travailler sur les conditions de travail, à partir d une approche large de ces questions, est une occasion d aborder ce qui fait difficulté dans le travail, les relations de travail, les compétences des salariés, l organisation de l entreprise, le management... Si chaque entreprise est particulière, certaines actions peuvent être mutualisées, partagées. Les impacts ne s arrêteront pas aux frontières des conditions de travail des salariés mais concerneront plus globalement la qualité, le fonctionnement du service ou de la production, les relations avec le public, etc. Développer les compétences des porteurs de projet Une organisation professionnelle, un pays qui développe une démarche collective d amélioration des conditions de travail voit ses compétences progresser sur ce sujet. Cela permet également un outillage méthodologique en matière de conduite de projet collectif ; des compétences utiles pour travailler sur d autres sujets. L ARACT Languedoc-roussillon : un acteur privilégié dans le domaine des conditions de travail L Association Régionale pour l Amélioration des Conditions de Travail est une organisation paritaire faisant partie du Réseau ANACT. Son rôle est d aider les porteurs de projet dans leur démarche. Cela peut consister à initier une démarche d amélioration des conditions de travail et à définir les modalités les plus adaptées pour la décliner, assurer un accompagnement méthodologique sur la conduite du projet, faire le lien avec d autres partenaires essentiels pour sa mise en œuvre, animer le réseau d intervenants, aider à capitaliser sur les enseignements de l action, les transférer sur l ensemble du secteur ou du territoire. L intérêt de lier compétences et conditions de travail La CAPEB propose depuis plusieurs années aux entreprises du BTP une démarche et des outils permettant de réfléchir aux évolutions des compétences de leurs salariés. Elle construit actuellement une déclinaison de ces outils afin d y intégrer la prévention et les conditions de travail, permettant une approche globale du fonctionnement des entreprises. Les boulangeries investissent Accompagner les boulangeries artisanales dans leurs projets d investissement en intégrant des enjeux de santé, d organisation et de performance, tel est l objectif d une expérimentation de la Fédération Régionale de la Boulangerie Artisanale. L action a permis l accompagnement de 10 entreprises, a élaborer et transférer un outil d aide à la conception des situations de travail, destiné aux boulangeries, aux fournisseurs et concepteurs d équipement. 3
4 FICHE ACTION Des étapes clés pour une démarche efficace Les étapes clés 1Initier une démarche 2Préparer la démarche 3Comprendre les besoins des entreprises en matière de conditions de travail Les points à aborder Pourquoi travailler collectivement sur l amélioration des conditions de travail? Recueillir les attentes des acteurs concernés Identifier et croiser les enjeux de chacun Définir les objectifs de la démarche Comment travailler ensemble? Constituer une équipe projet et/ou un comité de pilotage paritaire Partager un cadre de référence sur les problématiques traitées Définir les modalités de travail (rôle de chacun, étapes de la démarche, les contraintes et les leviers ) Préciser les sorties attendues Mobiliser les ressources nécessaires : quels contributeurs, quels financements pour soutenir l action? Sur quels facteurs agir? Identifier des entreprises volontaires souhaitant participer au projet en s assurant de leur engagement tout au long de l opération Réaliser un diagnostic dans les entreprises : - recueillir l expression des dirigeants et salariés (et leurs représentants lorsqu ils sont présents) - analyser des données utiles - observer des situations de travail - mettre en débat dans l entreprise le diagnostic réalisé pour l enrichir, le valider, le partager Organiser des temps d échanges collectifs entre entreprises et avec les acteurs du projet pour compléter le diagnostic A l origine de l action Des constats récurrents des médecins du travail, des indicateurs alarmants en matière de maladies professionnelles : un point de départ pour mettre en place un projet de prévention des TMS dans le secteur sanitaire et social. S entendre sur la méthode Les partenaires sociaux du spectacle vivant, cinéma et audiovisuel du Languedoc- Roussillon ont constitué une commission spécifique pour décliner des actions d améliorations des conditions de travail. Ses modalités de travail ont été définies dans le cadre d un séminaire paritaire. Comprendre pour agir Le secteur agroalimentaire a souhaité construire un plan régional d actions prioritaires en matière de prévention. Pour cela, ont été réalisés un diagnostic sectoriel chiffré et l analyse des besoins de 15 entreprises volontaires. 4
5 Les étapes clés 4Définir des actions d amélioration des conditions de travail 5 5Mettre en œuvre les actions définies 6Faire un retour d expériences Evaluer Les points à aborder Quelles actions communes d amélioration des conditions de travail? Capitaliser les enseignements sur l ensemble des diagnostics : les besoins et les difficultés exprimés, les pratiques à valoriser, les points récurrents Construire collectivement un plan d actions transférable aux entreprises du secteur ou du territoire : - quelles actions possibles? - quelles priorités? - quelles modalités de mise en œuvre? Comment décliner les actions? Identifier les modalités de déploiement les plus adaptées au secteur ou au territoire : - quelles cibles de transfert? - quels supports utiliser? - une phase d expérimentation du transfert est-elle nécessaire? Mettre en œuvre et accompagner ce transfert (réunions d information, formation, diffusion d un guide, visites des entreprises, etc.) Quels enseignements pour progresser, pérenniser? Recueillir l évaluation des entreprises, des acteurs contribuant au projet Ajuster si nécessaire les supports de transfert, ses modalités S interroger sur les suites utiles au projet, le devenir du comité de pilotage, son intérêt à travailler sur d autres sujets concernant l amélioration des conditions de travail Être innovant en matière d actions Deux exemples : - la diffusion d une bande-dessinée sur l évaluation des risques par la Maison du Travail Saisonnier du Cap d Agde, - l ingénierie et le pilotage de deux actions expérimentales dans le secteur du transport : Profession elles destinée aux femmes en charge des ressources humaines et Traffic Manager sur la professionnalisation des exploitants Le transfert, une étape stratégique Un transfert adapté à chaque projet : un guide méthodologique diffusé à l occasion d un colloque régional dans le secteur de l économie sociale et solidaire, des plaquettes différenciées pour les salariés et pour les employeurs afin de prévenir les TMS dans la réparation automobile Évaluer pour améliorer Un travail d évaluation du processus de transfert du guide sur la prévention des RPS dans le secteur sanitaire et social a été réalisé auprès des établissements concernés. Objectif : prendre en compte leur avis pour améliorer le guide 5
6 FICHE ACTION Améliorer les conditions de travail : les points de vigilance Le soutien de l ARACT à ces différents projets a permis d identifier les conditions de réussite de ce type d actions : Une approche des conditions de travail qui fait de la qualité de vie au travail un facteur clé de développement et de performance Ce qui nécessite une prise en compte globale des conditions de travail : la situation de travail, les caractéristiques des salariés, le statut de leur emploi, l organisation du travail, les relations de travail, les compétences, la santé au travail, la prévention des risques professionnels et la capacité de croiser ces élements avec divers indicateurs de performance. Partager au préalable les enjeux de conditions de travail Initier ce type de démarche nécessite préalablement de s entendre sur les enjeux à traiter, les objectifs à atteindre, la méthode pour travailler ensemble, l organisation du projet. Une démarche s inscrivant dans un dispositif existant Accord régional entre le secteur et l Etat, la Région, plan d actions paritaire, politique régionale d appui au secteur identifier le cadre est structurant pour la démarche d amélioration des conditions de travail et constitue un support pour l action permettant de mobiliser les acteurs du dispositif. Cela nécessite de clarifier deux aspects : celui du porteur de projet, acteur essentiel pour conduire, organiser, soutenir le projet et celui du financement de la démarche engagée. Une démarche proportionnée au secteur, au territoire Si les principales étapes d une démarche collective correspondent à une même logique, l action doit être construite de façon spécifique selon la configuration du secteur ou du territoire en termes d acteurs ressources, de modalités de participation des entreprises, de diffusion des connaissances acquises, d échéances du projet, etc. L amélioration des conditions de travail : une démarche paritaire à pérenniser Les conditions de travail renvoient à des sujets qui doivent être traités dans le cadre du dialogue social. La démarche à engager, pour être efficace, doit s inscrire dans cette dynamique, que ce soit au niveau de son pilotage ou au niveau de l action dans les entreprises. La pérennisation d une telle démarche paritaire est une condition nécessaire du succès. Comprendre pour agir Elaborer un plan d actions pertinent, adapté aux questions que se posent les entreprises n est possible qu à partir d une phase de diagnostic : quels facteurs doivent être ciblés dans les actions? Sur quelles questions agir en priorité? Il ne s agit pas de faire «pour» les entreprises mais «avec» les entreprises : les faire participer à la réflexion, aller sur le terrain pour comprendre leurs véritables enjeux. Se fixer des objectifs de sorties opérationnelles À quoi la démarche doit-elle aboutir pour véritablement impacter toutes les entreprises concernées? Définir les sorties concrètes du projet afin d assurer un transfert large et donc son utilité pour une majorité d entreprises, s anticipe dès la construction de la démarche. Pour en savoir plus ARACT LR Le Phénix - Bat 9 Le millénaire 1350 Avenue Albert Einstein MONTPELLIER aract.lr@anact.fr 6
7 Fonds pour l Amélioration des Conditions de Travail (FACT) Vous voulez Améliorer à la fois les conditions de travail de vos salariés et l efficacité de votre entreprise... Bénéficier d une aide financière pour réaliser votre projet Le FACT peut financer votre démarche. Quels sont les objectifs? Le Fonds pour l Amélioration des Conditions de Travail (FACT) est une aide publique aux entreprises et branches professionnelles. Il finance des actions d amélioration des conditions de travail et de prévention des risques professionnels au-delà des obligations réglementaires. Qui peut bénéficier d une subvention du FACT? Les entreprises et établissements de moins de 250 salariés. Plusieurs entreprises regroupées sur un territoire (ces entreprises peuvent appartenir au même secteur) pour traiter de manière collective, une action d amélioration des conditions de travail. Les organisations professionnelles ou interprofessionnelles de branches nationales ou leur représentation régionale ou locale. Les structures publiques ne sont pas concernées par ce dispositif. Quelles actions peuvent être financées par le FACT? Le FACT finance des projets répondant à une approche globale des conditions de travail prenant en compte les facteurs techniques, organisationnels et humains des conditions de travail. De manière plus précise, ces projets visent à améliorer des situations de travail insatisfaisantes. Ce sont des situations qui peuvent mettre en cause la santé des salariés, la qualité de vie au travail ou la performance de l entreprise tels que : - les troubles musculosquelettiques, - le stress et les risques psychosociaux, - les problèmes de maintien dans l emploi de travailleurs vieillissants, de pénibilité du travail lié à l âge. La subvention peut concerner les différents volets d un projet Des prestations de conseil accompagnant des projets d amélioration des conditions de travail. La mise au point d outils méthodologiques favorisant de meilleures conditions de travail (démarche d évaluation des risques professionnels ). Des actions de capitalisation ou de valorisation des bonnes pratiques visant à en améliorer la diffusion. Des études techniques en vue de l introduction de nouveaux équipements de travail, aidant à l amélioration des conditions de travail. Quels sont les montants de l aide du FACT? Il existe 2 catégories d aides du FACT : Des aides à l accompagnement dans des projets d amélioration des conditions de travail. - Pour une entreprise : TTC par jour avec 15 jours maximum d intervention. - Pour un groupe d entreprises : TTC par jour avec 13 jours maximum d intervention par entreprise signataire. A cela, s ajoutent 2 jours maximum pour la coordination globale du projet. Pour ces deux modalités l aide du FACT permet de recourir à un consultant. - Pour une organisation professionnelle ou interprofessionnelle de branche : l aide est au maximum de 80 % du montant du coût global du projet, toutes aides publiques directes confondues. Dans ce cas, le FACT peut subventionner des actions de capitalisation et de transfert d expériences, ainsi que la diffusion d outils et de méthodes pour le secteur considéré. Une participation au financement d une étude technique réalisée dans le cadre d un projet d équipement de travail. - Le FACT finance 50 % maximum de la dépense prévisionnelle subventionnable, engagée par le demandeur. Cette subvention est plafonnée à par projet, toutes aides publiques confondues, y compris les aides prévues dans la catégorie précédente. 7
8 FICHE ACTION Quels sont les critères d éligibilité d un dossier? La nature des actions envisagées et leur impact sur l amélioration concrète des conditions de travail. La nature de la démarche. Celle-ci doit associer le personnel concerné et ses représentants s il en existe dans l entreprise. Le secteur d activité de l entreprise. Ces critères sont appréciés par l ANACT dans le cadre de la procédure d instruction de la demande. Comment déposer une demande d aide du FACT? L entreprise ou le porteur de projet, agissant pour le compte d un collectif d entreprises ou d une branche, adresse à l ANACT sa «Demande d Aide du FACT» (document à télécharger sur qui comporte notamment : - l identification de l entreprise, - les références du consultant, - le descriptif du projet, - l avis du CHSCT (à défaut des délégués du personnel) et/ou du comité d entreprise s ils existent dans l entreprise, - le budget prévisionnel du projet. À réception de la demande, l ANACT statue sur la recevabilité de votre projet et s engage à traiter votre dossier dans un délai de 30 jours (60 jours pour les actions de branche) à compter du moment où le dossier est complet. Les Directions Régionales du Travail, de l Emploi et de la Formation Professionnelle pourront être sollicitées, pour disposer d informations sur la situation de l entreprise sollicitant une aide du FACT (qualité du dialogue social, difficultés rencontrées ) ou pour donner un avis sur le projet. L ANACT instruit, conventionne et suit le déroulement de l action. L ARACT vous accompagne Les Aract sont des associations paritaires membres du réseau Anact. Elles sont à votre disposition pour vous assister dans l élaboration de votre projet et la formulation de votre demande. Votre contact ANACT 4, quai des Etroits Lyon Cédex 05 Tél. : Contact mission FACT : Françoise BERTOUX Tél. : Par mel : infofact@anact.fr Ou à l Association Régionale pour l Amélioration des Conditions de Travail (ARACT) de votre région : ARACT - LR Immeuble le Phénix - Bât 9 - Le Millénaire 1350, Avenue Albert Einstein MONTPELLIER Tel : Fax : aract.lr@anact.fr Le réseau des Aract ALSACE Actal - tél : AQUITAINE Aract Aquitaine - tél : AUVERGNE Aract Auvergne - tél : BASSE NORMANDIE Antenne Anact Basse-Normandie tél : BOURGOGNE Antenne Anact Bourgogne tél : BRETAGNE Aract Bretagne - tél : CENTRE Aract Centre - tél : CHAMPAGNE-ARDENNE Aract Champagne-Ardenne tél : CORSE Aract Corse - tél FRANCHE COMTE Fact - tél : GUYANE Aract Guyane - tél : HAUTE-NORMANDIE Aract Haute Normandie tél : ILE DE FRANCE Aract Ile de France - tél : LANGUEDOC ROUSILLON Aract Languedoc-Roussillon tél : LIMOUSIN Aract Limousin - tél : LORRAINE Aract Lorraine - tél : MARTINIQUE Aract Martinique - tél : MIDI PYRENEES Midact - tél : NORD PAS DE CALAIS Aract Nord-Pas-de-Calais tél : PAYS DE LA LOIRE Aract Pays de la Loire tél : PICARDIE Cestp-Aract Picardie - tél : POITOU CHARENTES Aract Poitou-Charentes tél : PROVENCE ALPES COTE D AZUR Act Méditerranée - tél : REUNION Arvise - tél : RHONE ALPES Aravis - tél : création graphique : ANACT - octobre 2010 Juin Réalisation ARACT LR 8
LE PLAN D ACTIONS RÉGIONAL POUR LE SECTEUR DE L AGROALIMENTAIRE :
La prévention des risques professionnels et l amélioration des conditions de travail LE PLAN D S RÉGIONAL POUR LE SECTEUR DE L AGROALIMENTAIRE : Un outil au service des entreprises et des salariés Dans
Plus en détailLa Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise
50 salariés et plus / groupes de distribution (GDSA) dans la Branche des Services de l Automobile GPEC La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise Anticiper les enjeux
Plus en détailBILANS REGIONAUX DE L EMPLOI
BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de
Plus en détailETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00
ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE Atelier de 14h30 16h00 Objectifs Identifier les zones en difficultés afin d éviter des fermetures De maintenir des effectifs suffisants dans les CFA
Plus en détailEvolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR
Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS
Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux
Plus en détailLa preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013
La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité
Plus en détailISF et intermédiation : Collecte 2009
ISF et intermédiation : Collecte 2009 juillet 2009 1 Contexte et méthodologie Contexte: L AFIC et l AFG ont conduit une enquête pour suivre l impact des mesures dites «ISF PME», et en particulier, pour
Plus en détailUn dispositif d appui aux très petites entreprises
Spectacle vivant Un dispositif d appui aux très petites entreprises DA TPE-SV Votre entreprise a besoin de se développer? Elle emploie moins de cinq salariés? Vous pouvez bénéficier d un accompagnement
Plus en détailLa mobilité. Au service des Outre-mer
La mobilité Au service des Outre-mer L Agence de l Outre-mer pour la Mobilité (LADOM) est une agence d Etat au service des originaires et résidents des collectivités d outre-mer. LADOM a pour mission première
Plus en détailLe Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE
Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat (FSPOEIE) constitue
Plus en détailLa Région débloque plus de 1,3 million d euros spécifiquement dédiés à des actions anti-crise pour la formation des salariés et des entreprises
mardi 22 septembre 2009 La Région débloque plus de 1,3 million d euros spécifiquement dédiés à des actions anti-crise pour la formation des salariés et des entreprises Baptiste MAUREL 04 67 22 80 35 ///
Plus en détailLes projets d investissement en PME
Le point sur Les projets d investissement en PME Concilier performance économique et conditions de travail L investissement reste un moment clé du développement d une entreprise. C est l occasion de repenser
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE
Présentation du Programme PHARE Le programme PHARE : des gains pour la qualité de l offre de soins Le contexte du programme PHARE Les achats hospitaliers représentent 18 Md, second poste de dépenses des
Plus en détailLa Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013
CEBATRAMA La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local Bruges, le 3 juillet 2013 HÉRITIÈRE DES SERVICES FINANCIERS DE LA POSTE 100% Filiale à 100% du groupe La Poste La Banque Postale
Plus en détailPROGRAMME Prévention des TMS dans le Secteur de la Propreté
PROGRAMME Prévention des TMS dans le Secteur de la Propreté Démarche d accompagnement des entreprises de Propreté Démarche de sensibilisation des donneurs d ordre et architectes Page 1 sur 13 1. LES CHIFFRES
Plus en détailForm. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie
Form tion Magazine Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie spécial emploi Région Haute-Normandie Édito P 3 P 4 P 6 P 7 P 8 P 10 P 11 Engagé dans
Plus en détailAide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat
Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION
Plus en détailActions collectives et de branches. Exemples d actions financées par le FACT
Actions collectives et de branches. Exemples d actions financées par le FACT 1. Actions collectives CRESS Aquitaine Cible : 8 structures associatives de l économie sociale et solidaire Région : Aquitaine
Plus en détail21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5
21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 I TAUX AU PLUS BAS : et si ça continuait? II RENEGOCIATION DE CREDITS : les règles du jeu changent
Plus en détailObservatoire de l Eolien
Observatoire de l Eolien Analyse du marché et des emplois éoliens en France Colloque France Energie Eolienne 2 octobre 2014 Editorial France Energie Eolienne, porte-parole de l éolien, regroupe les professionnels
Plus en détailBilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie
Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et
Plus en détailRapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires
Rapport d activité 2014 Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires EN En 2014 3 668 emplois créés ou consolidés 907 projets accompagnés et 20,9 M mobilisés en Jean Jacques Martin Président
Plus en détailENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires
ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com Octobre 2013 1/52 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES
Plus en détailRésultats de l'appel à projets CréaMOOCs
Résultats de l'appel à projets CréaMOOCs www.enseignementsup-recherche.gouv.fr @sup_recherche / #1anFUN APPEL A PROJETS CREAMOOCS : DES RESULTATS QUI TEMOIGNENT D UNE FORTE IMPLICATION DES REGROUPEMENTS
Plus en détailLa Qualité de Vie au Travail, Pourquoi aujourd hui? C est quoi? Pour faire quoi? Comment? Jeudi 5 février 2015 Rencontre Prévention - STSM
La Qualité de Vie au Travail, Pourquoi aujourd hui? C est quoi? Pour faire quoi? Comment? Jeudi 5 février 2015 Rencontre Prévention - STSM Organisation générale Une association paritaire Un conseil d administration
Plus en détail3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT
3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 - L offre d hébergement Définitions Dans ce chapitre sont présentés les parcs d hébergement marchand et non marchand qui constituent l offre touristique française. Le
Plus en détailMICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL
ÉDUCATION FORMATION UDGET INSERTION ORMATION MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ 2012 EDUCATION INSERTION SOCIAL MESSAGE DE LA PRÉSIDENTE Florence RAINEIX Directrice générale de la Fédération
Plus en détailProgramme de formation des bénévoles et salariés de l ESS en Corse 2015
Programme de formation des bénévoles et salariés de l ESS en Corse 2015 Cahier des charges pour le dépôt des réponses À l attention des Organismes de Formation, Ajaccio, le 4 février 2015 Objet : Appel
Plus en détailMédiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance
Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Septembre 2010 1 SOMMAIRE 1. Présentation de la Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la soustraitance
Plus en détailBovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4
Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux
Plus en détailgérants d immeubles agents immobiliers syndics de copropriétés marchands de biens experts immobiliers
L i m m o b i l i e r v o u s o u v r e t o u t e s s e s p o r t e s gérants d immeubles agents immobiliers syndics de copropriétés marchands de biens experts immobiliers Bienvenue à l UNIS De plus en
Plus en détailAxes de travail et plan d action 2015
19 novembre 2014 Axes de travail et plan d action 2015 SOMMAIRE Introduction... 3 Partager l information sur les métiers, l emploi et la formation professionnelle en LR ; être plus utile et plus accessible...
Plus en détailRéseau CAI Bpifrance L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE
L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE [Mise à jour : 10 mai 2014] 1 L équipe Siège UBIFRANCE Paris Michel Bauza Chef de Département UBIFRANCE siège, Paris Téléphone fixe 01 40 73 35
Plus en détailLes politiques régionales de soutien à l insertion par l activité économique
Mai 2014 Insertion par l activité économique PANORAMA Les politiques régionales de soutien à l insertion par l activité économique o Points de repère sur la place de l IAE dans les politiques régionales
Plus en détailLES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2
LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS Université Lille 2 Master STAPS «Grand Nord» - Entraînement et Optimisation de la Performance Sportive _ option Préparations
Plus en détailPolitique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens
au 1er Juin 2015 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale
Plus en détailPour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer
Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer Ce document est issu d une concertation entre la Fédération Nationale des Sociétés d
Plus en détailBienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre
Bienvenue à Loire-Centre Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Présentation Le Groupe BPCE 2 Un groupe puissant et solide Les groupes Banque Populaire et Caisse d Epargne se sont unis pour créer
Plus en détailau 1er novembre 2013
au 1er novembre 2013 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale
Plus en détailPrévenir et gérer l absentéisme
Prévenir et gérer l absentéisme Maroussia Krawec ARACT Ile de France UNION EUROPEENNE Fonds social Le réseau ANACT ARACT(s) ANACT + 26 ARACT L ARACT Île-de-France est une association paritaire avec : Une
Plus en détailblgpec : Où en est mon établissement? Sommaire :
2 Sommaire : INTRODUCTION / PRESENTATION La GPEC, pourquoi?... 3 La GPEC, c est quoi?... 4 La GPEC, comment?... 5 Les objectifs du guide... 6 Comment utiliser ce guide?... 7 LE GUIDE D AUTODIAGNOSTIC Projet
Plus en détail1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE
1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 2 1985 / 2009 : 25 ans de concours du crédit-bail au financement de l d entreprise* 1.Introduction : le crédit-bail,
Plus en détail"La santé des étudiants en 2009"
Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2009" 6ème Enquête Nationale Communiqué de presse. p 2 L USEM et les mutuelles étudiantes régionales.......... p 4 Présentation de l enquête santé... p 5 Méthodologie
Plus en détailIdentification : ERDF-NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14
3. ACCES RACCORDEMENT D Identification : -NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14 Version Date Nature de la modification Annule et remplace V.1.0 17/10/2013 Version initiale -NOI-RAC-02E V.2.7
Plus en détailLes prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards
Plus en détailFORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME
FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME ENTREPRISES, INVESTISSEZ DANS VOTRE AVENIR AVEC LA FORMATION PROFESSIONNELLE. FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME 1 SOMMAIRE INTRODUCTION
Plus en détailLa VAE à travers les régions. (information conseil et validation) Année 2012. études. Etude logo Proposition 4 bis
La VAE à travers les régions (information conseil et validation) Année 2012 études Etude logo Proposition 4 bis Décembre 2014 Sommaire NOTICE DE LECTURE p. 3 INFORMATION CONSEIL EN VAE Points relais conseil
Plus en détail9,8 % de l emploi 2,1 millions de salariés 203 000 établissements employeurs
DONNÉES AU 31/12/2006 SOURCE INSEE-CLAP 1 - DÉCEMBRE 2008 Panorama de l'économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Ce document est la première publication réalisée par l Observatoire national de l
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC
METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente
Plus en détailConstruction de logements
COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n 640 Mai 2015 Construction de logements Résultats à fin avril 2015 (France entière) OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Rappel À compter des
Plus en détailL épargne de tous au service de l intérêt général
L épargne de tous au service de l intérêt général 1 Pour la réussite de tous les projets Sommaire Un modèle unique et vertueux 4 Prêts au logement social et à la politique de la ville 7 Prêts au secteur
Plus en détailLe marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel
Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel Le nouveau paradigme de l IT IDC Visit us at IDC.com and follow us on Twitter: @IDC 2 L arrivée de nouvelles technologies insuffle
Plus en détailLa Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet 2010 -
La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région - Juillet 2010 - Votre besoin en Capital Vous êtes dirigeant (ou futur dirigeant) d entreprise et vous souhaitez : Créer ou
Plus en détailPAR THEMATIQUE. N THEME Présentation
PAR THEMATIQUE N THEME Présentation A B C D Apprentissage/alternance Formation continue Développement/ investissement Hygiène, sécurité, accessibilité Les conseillères du Service Apprentissage ont pour
Plus en détailDe nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements
COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n spécial Février 2015 De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Le SOeS diffuse
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 25 janvier 2013 Pour ce palmarès 2013, la CLCV et Mieux Vivre Votre Argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février
Plus en détailF.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000
F.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000 PARIS, le 11 Avril 2000 PROCES VERBAL REUNION AFFAIRES GENERALES DU 24 MARS 2000 Présents : MM. SIMON, MERIC, VILLEROT, MARLIOT, Mmes
Plus en détailLes entreprises et les acteurs socio-économiques face à la VAE. Actions, projets, animations des Cellules Régionales Inter-Services (CRIS)
Les entreprises et les acteurs socio-économiques face à la VAE Actions, projets, animations des Cellules Régionales Inter-Services (CRIS) Février 2006 Remerciements Ce document est issue d un groupe de
Plus en détailGrenelle de l environnement BONUS ECOLOGIQUE
Grenelle de l environnement BONUS ECOLOGIQUE N 51243#03 Décret n 2010-1618 du 23 décembre 2010 modifiant le décret n 2007-1873 du 26 décembre 2007 instituant une aide à l acquisition des véhicules propres
Plus en détailLE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE. www.imogroup.com FINANCEMENT GESTION PROMOTION VENTE LOCATION ACHAT
RÉSEAU NATIONAL D'AGENCES IMMOBILIÈRES INDÉPENDANTES ACHAT VENTE GESTION LOCATION PROMOTION FINANCEMENT LE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE N É O, L ' A G E N T I M M O B I L I E R D E F A M I L
Plus en détailL obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 21 novembre 2012 à 14 h 30 «Pénibilité. Transition emploi-retraite. Elaboration de cas-types pour les projections.» Document N 6 Document de travail,
Plus en détailCHARTE NATIONALE DE COOPÉRATION POUR LE SOUTIEN ET L ACCOMPAGNEMENT DES ENTREPRISES DU SECTEUR AUTOMOBILE ET DE LEURS SALARIÉS 2012-2015
CHARTE NATIONALE DE COOPÉRATION POUR LE SOUTIEN ET L ACCOMPAGNEMENT DES ENTREPRISES DU SECTEUR AUTOMOBILE ET DE LEURS SALARIÉS 2012-2015 Charte Automobile 2008 et Charte Automobile 2012-2015 Les principales
Plus en détailPanorama. de l économie sociale et solidaire
Panorama de l économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Réalisée par l Observatoire National de l Economie Sociale et Solidaire, cette nouvelle édition du «Panorama de l économie sociale en France
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détailGroupements d employeurs
Groupements d employeurs Rapport d étude Sommaire Objectifs de l étude.. Page 3 Déroulement de l étude. Page 4 Les 3 groupements.. Page 5 Méthodologie.. Page 6 Caractéristiques des 3 groupements.. Page
Plus en détailListe des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil
Liste des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil Cette liste n est pas exhaustive. Le classement est effectué par ordre alphabétique de région (Alsace,
Plus en détailDépartement du Val-de-Marne. Charte départementale de partenariat sécurité routière. entre l État,
Département du Val-de-Marne Charte départementale de partenariat sécurité routière entre l État, la Caisse Régionale d Assurance Maladie d Ile-de-France (CRAMIF) et la profession du transport routier de
Plus en détailLA LUTTE CONTRE LES DISCRIMINATIONS DANS LES CONTRATS DE VILLE DU LANGUEDOC-ROUSSILLON
PREFET DE LA REGION LANGUEDOC ROUSSILLON Direction régionale de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale Pôle Cohésion sociale Territoriale Montpellier, le 19 juin 2015 Dossier suivi par Rodolphe
Plus en détailVous voulez une expérience qui compte? Rejoignez-nous en alternance.
Vous voulez une expérience qui compte? Rejoignez-nous en alternance. «A La Poste, j ai pu à la fois apprendre un métier et suivre une formation adaptée et rémunérée, au sein d un grand groupe.» HUGO -
Plus en détailcafé, restaurant & salon de thé DOSSIER DE CANDIDATURE franchise
DOSSIER DE CANDIDATURE franchise 1. DEMANDEUR PHOTO ÉTAT CIVIL Nom Prénom Date de naissance Lieu de naissance / / Adresse Code postal Téléphone fixe Fax Ville tél portable: E-mail Situation familiale :
Plus en détailLa qualité de l emploi dans l économie sociale et solidaire: analyse et enjeux. une enquête en Alsace et en Lorraine
La qualité de l emploi dans l économie sociale et solidaire: analyse et enjeux Les associations et la question de la qualité de l emploi: une enquête en Alsace et en Lorraine Etude réalisée pour la DIIESES
Plus en détailListe des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013
12/07/2013 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33
Plus en détailObservatoire de l équipement audiovisuel des foyers
Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers 1 er semestre 2013 Réalisé par 1 Édito L Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers succède à l Observatoire de l équipement des foyers pour
Plus en détailUn profil singulier. écoute, performance et innovation, Des réponses adaptées. Un peu d histoire pour éclairer le présent
Profondément humain Un peu d histoire pour éclairer le présent Créée depuis 1999 en région Rhône-Alpes par des mutuelles interprofessionnelles partageant les mêmes valeurs mutualistes de solidarité, de
Plus en détailrepères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis
repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme
Plus en détailListe des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015
02/09/2015 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33
Plus en détailCAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» SESSION PLENIERE DES 19 ET 20 JUIN 2014
CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» I.Contexte : Convaincue de l intérêt stratégique de l innovation pour le renforcement de la compétitivité des entreprises, la a lancé un appel
Plus en détailMobiliser les entreprises : un nouveau défi pour les acteurs de l insertion
Mobiliser les entreprises : un nouveau défi pour les acteurs de l insertion Léopold GILLES Directeur du Département «Evaluation des politiques sociales» - CREDOC SOMMAIRE RAPPEL : entreprises solidaires
Plus en détailPrésentation UNIFAF / Réforme de la Formation Professionnelle Continue / Les dispositifs UNIFAF
Réunion d information UDAF du Gard 23 mars 2015 Présentation UNIFAF / Réforme de la Formation Professionnelle Continue / Les dispositifs UNIFAF Créée : MAJ : 24/06/2014 19/03/15 Sommaire 1 : UNIFAF 2 :
Plus en détailENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité
Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2013 Version définitive Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47
Plus en détailLES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013
LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 Étude réalisée pour Imagerie Santé Avenir 2013 CEMKA-E VAL 43,
Plus en détailLES SERVICES A LA PERSONNE EN ARTOIS COMM.
LES SERVICES A LA PERSONNE EN ARTOIS COMM. Direction du Développement Economique et Emploi Artois Comm. Le 4 juin 2010 ARTOIS COMM. PRESENTATION D ARTOIS COMM. LES CARACTERISTIQUES DU TERRITOIRE : La Communauté
Plus en détailFORMATION PROFESSIONNELLE LES CLEFS DE LA RÉFORME
FORMATION PROFESSIONNELLE LES CLEFS DE LA RÉFORME ENTREPRISES DE 300 SALARIÉS ET PLUS, INVESTISSEZ DANS VOTRE AVENIR AVEC LA RÉFORME DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE. LES ENJEUX MAJEURS POUR LES ENTREPRISES
Plus en détailRecettes de fonctionnement et capacité d'épargne
1 - Recettes réelles de fonctionnement/population Recettes réelles de fonctionnement : total des recettes de la colonne mouvements réels de la balance générale en section de fonctionnement. Evaluation
Plus en détailLes enjeux du quotidien
Les enjeux du quotidien LES FRANCAIS ET LES JEUX D ARGENT EN LIGNE Sondage réalisé pour : La Presse quotidienne Nationale, Régionale, Urbaine Gratuite et la Presse Hebdomadaire Régionale ATTENTION EMBARGO
Plus en détailPlate-forme RSE. Commissariat Général à la stratégie et la prospective
Plate-forme RSE Commissariat Général à la stratégie et la prospective «La Région Languedoc-Roussillon accélérateur de compétitivité et de responsabilité sociale pour les entreprises» Josick Paoli Directrice
Plus en détailObservatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014. Département Télécom et Equipement Novembre 2014
Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014 Département Télécom et Equipement Novembre 2014 Rappel Méthodologique Modes de réception TV À partir de 2014 : Niveau national et régional Enquête
Plus en détailD o s s i e r D e P r e s s e
D o s s i e r D e P r e s s e Ouverture à Lyon de la première Maison des Emplois de la Famille La Maison des Emplois de la Famille Le Groupe IRCEM La FEPEM IPERIA, l Institut Maison des Emplois de la Famille
Plus en détailAUTO-DIAGNOSTIC Pour les entreprises de 50 à 299 salariés couvertes par un accord de branche étendu
AUTO-DIAGNOSTIC Vous avez un projet de recrutement? Vous souhaitez identifier vos compétences clés? Vous voulez anticiper un départ en retraite? Votre entreprise est couverte par un accord de branche étendu
Plus en détailMutualisation des compétences
Premières Rencontres richesses humaines associatives 2 & 3 décembre 2014 ATELIER PROSPECTIF Mutualisation des compétences DEFINITIONS Mutualisation La mutualisation se définit comme la synergie entre deux
Plus en détailN 13 S É N A T. 30 octobre 2014 PROJET DE LOI
N 13 S É N A T SESSION ORDINAIRE DE 2014-2015 30 octobre 2014 PROJET DE LOI relatif à la délimitation des régions, aux élections régionales et départementales et modifiant le calendrier électoral. (procédure
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détailPrévenir les Troubles Musculo Squelettiques
Prévenir les Troubles Musculo Squelettiques De la théorie à la pratique, l action de la CRAMIF Dominique Beaumont- Arnaud Asselin CRAMIF 18 octobre 2008 SFMW 1 CRAMIF Prévention des Risques Professionnels
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détailMAISONS FAMILIALES RURALES. Moniteur-Monitrice. Mieux connaître. les Maisons en Familiales Rurales
MAISONS FAMILIALES RURALES Mieux connaître Moniteur-Monitrice les Maisons en Familiales Rurales UNMFREO Septembre 2007 >Sommaire > > > «Plus qu une profession, une carrière éducative» Les Maisons Familiales
Plus en détailREGION HAUTE-NORMANDIE
Évaluation des effets d une fusion de la Région Haute-Normandie et de la Région Basse-Normandie REGION HAUTE-NORMANDIE Évaluation des effets d une fusion de la région Haute-Normandie et de la région Basse-Normandie
Plus en détailDossier de Presse. Contact : Luc Petit Tél. : 06 07 28 92 33 E-mail : lpetit@forces.fr. FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville
Dossier de Presse Contact : Luc Petit Tél. : 06 07 28 92 33 E-mail : lpetit@forces.fr FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville Historique Jean-Paul Debeuret, diplômé d'expertise comptable,
Plus en détailInformatisation des données transfusionnelles
Informatisation des données transfusionnelles Dr Marie-France Angelini Tibert Coordonnateure régionale d hémovigilance Réunion - Mayotte Objectifs Optimiser et sécuriser les circuits Optimiser et sécuriser
Plus en détailENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité
Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com
Plus en détail