Contexte conjoncturel. Indicateur du Climat des Affaires

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1 Tendances régionales Les entreprises en Rhône-Alpes Contexte conjoncturel Indicateur du Climat des Affaires Un indicateur du climat des affaires permet une lecture rapide et simplifiée de la situation conjoncturelle. Il résume par une variable synthétique l évolution des soldes d opinion qui présentent des évolutions similaires dans le temps. En hausse, il traduit une amélioration du climat conjoncturel ; en baisse, sa dégradation 100 = moyenne de longue période Industrie Services marchands ICA Rhône-Alpes ICA France moyenne ICA Rhône-Alpes ICA France Contexte national Après le léger redressement de 2013, le climat des affaires s est à nouveau tassé en 2014 dans tous les grands secteurs de l économie française. L activité est ainsi restée éloignée de son niveau moyen de longue période, notamment dans le secteur de la construction qui a connu une année 2014 particulièrement difficile. Ce ralentissement global de l économie réelle trouve sa source dans les difficultés consécutives à la crise financière ; il témoigne également des freins structurels à la relance de l activité en termes de compétitivité. Par ailleurs, la croissance de la Zone Euro n a pas été suffisante pour que nos partenaires économiques tirent vers le haut notre activité. En 2014, le PIB progresserait au même rythme qu en 2013 (+0,4 %). Seul le troisième trimestre a été marqué par un sursaut (+0,3 %), les autres trimestres étant restés atones. La contribution au PIB de la demande intérieure hors stocks serait de 0,3 % en 2014 après 0,5 % en La faible croissance de la consommation des ménages s est maintenue (+0,3 % en 2014 comme en 2013) malgré la progression du pouvoir d achat des ménages (+1,2 % en 2014) liée au ralentissement des prix à la consommation (+0,5 %). L investissement des entreprises est resté en repli (-0,2 % après -0,6 % en 2013) malgré les premiers effets du crédit d impôt compétitivité emploi. L investissement des ménages a reculé nettement (- 6,3 %) en raison de l attentisme sur le marché de l immobilier neuf. La variation de stocks a contribué positivement (+0,3 point), contrairement au commerce extérieur (-0,2 point). Sur les 11 premiers mois de 2014, le solde des échanges extérieurs de marchandises est resté nettement déficitaire, mais est un peu moins négatif qu en 2013 : la légère progression des exportations se cumule au léger recul des importations, sous l effet simultané du regain de croissance de nos partenaires commerciaux, du recul du prix du pétrole et de la baisse récente du taux de change de l euro. L emploi total s est stabilisé en 2014, entraînant une hausse du taux de chômage (10,4 % après 10,1 % en 2013) en raison de l augmentation de la population active. Les prix à la consommation ont peu progressé : +0,5 % en variation annuelle, après +0,9 % en Au cours de l année 2014, l inflation s est ralentie progressivement, sous l effet du recul des prix de certains produits alimentaires et manufacturés, et plus nettement du fait du repli des prix des produits pétroliers. En réaction à la faiblesse de l inflation la BCE a instauré des opérations de refinancement et de rachat de titres adossés à des crédits à l économie, et plus récemment des mesures d assouplissement quantitatif incluant l acquisition de titres de dette publique. Tous les graphiques de ce document sont réalisés à partir des données collectées par la Banque de France. Reproduction autorisée en citant la source.

2 Synthèse Industrie En 2014, le chiffre d affaires de l industrie régionale a très légèrement progressé après deux années consécutives de baisse. Cette progression n a pas été linéaire durant l année, un net rebond de l activité ayant eu lieu dès septembre 2014 sous l influence de la reprise de la demande étrangère. Elle n a pas non plus été homogène, certains secteurs ayant été plus porteurs que d autres. Les prévisions tablent sur une reprise plus franche en 2015, toujours davantage assise sur le marché extérieur que sur la demande domestique toujours en retrait. L emploi pourrait au mieux se stabiliser. Services marchands Dans la continuité de 2013, le chiffre d affaires dans les services marchands a progressé en 2014, tiré par le secteur de l édition et des services informatiques, et dans une moindre mesure par le transport routier de fret et la logistique. Comme prévu l année dernière, les effectifs ont profité de la confirmation de cette embellie, le secteur informatique ayant été le seul à recruter de façon quasi-continue tout au long de l année. Les prévisions d activité sont bien orientées, et si une progression substantielle des chiffres d affaires est prévue, les effectifs s étofferaient dans de moindres proportions. Construction Les perspectives dans le BTP, qui n étaient guère optimistes l année dernière, se sont confirmées a été une année difficile pour l ensemble du secteur mais plus particulièrement dans les travaux publics. Fin des grands travaux d infrastructure, stand-by de certains grands projets, frilosité des acquéreurs ont été les facteurs clés de cette tendance. Les rentabilités se sont également dégradées, les prix des devis ayant été revus à la baisse en raison de la pression concurrentielle. Les effectifs, temporaires en particulier, ont fait les frais de cette situation. Les chefs d entreprises manquent de visibilité mais n envisagent pas de reprise à court terme, en particulier dans les travaux publics. La stabilisation fiscale pourrait cependant favoriser la construction dans certaines zones urbaines afin de répondre à une demande nouvelle des investisseurs. Banque de France Les entreprises en Rhône-Alpes Page 2 sur 15

3 Industrie Rappel du contexte conjoncturel régional 2014 Production passée et prévisions (soldes d opinion CVS) Si l industrie régionale a présenté cette année des chiffres positifs, la reprise a été de moindre ampleur que ce qui avait été prévu l année dernière. L amélioration de l activité, très dépendante du niveau des exportations, a commencé à se dessiner seulement à partir du mois de septembre. La demande étrangère a donné à cette période quelques signes de reprise, inégaux cependant selon les secteurs, la demande domestique demeurant sans relief. Les taux d utilisation des capacités de production se sont globalement redressés, souvent par à-coups. Ils restent cependant très éloignés de leur moyenne de longue période. Si la reprise de l exportation se confirme, les chefs d entreprises envisagent une consolidation de la tendance de fin d année. Situation des carnets et des stocks de produits finis (soldes d opinion CVS) Après une chute significative au premier semestre, les carnets de commandes se sont progressivement redressés, de façon assez linéaire. Fin décembre, ils se rapprochaient de leur moyenne de longue période, loin cependant du niveau d avant crise. L effet export a été clairement déterminant dans cette inflexion De façon concomitante, les stocks se sont contractés et sont désormais à un niveau jugé normal. Banque de France Les entreprises en Rhône-Alpes Page 3 sur 15

4 Industrie Le chiffre d affaires Évolution du chiffre d affaires total 2014 / 2013 Le chiffre d affaires de l industrie a peu progressé cette année (+0.6%), mais est malgré tout devenu positif après deux années de baisse Les marchés export ont été les principaux moteurs de l activité, dans des proportions cependant moins importantes qu attendu. Les industries agroalimentaires, avec des performances honorables à l export (+5.8% cette année contre plus de 10% l année dernière) apportent une contribution conséquente à la tendance générale. La baisse des cours de certaines matières premières sur la durée (lait, sucre) a favorisé une reconstitution progressive des marges. Dans le matériel de transport, la petite remontée de 1,7% du chiffres d affaires doit être relativisée face à la baisse de près de 15% subie l an dernier. La construction de véhicules a souffert de l atonie de la demande globale. Les équipementiers, victimes d un premier semestre sans relief ont bénéficié d une reprise de la demande étrangère en fin d année. Le chiffre d affaires des équipements électriques, électroniques et informatiques, s est érodé malgré la progression des exportations. Dans la fabrication d autres produits industriels, aucune évolution marquante n a été notée. Évolution du chiffre d affaires dans les Autres Produits Industriels en 2014 Seules les activités de niches, répertoriées dans les autres activités industrielles, et tirées par la fabrication de matériel médical, de joaillerie et de cosmétiques, affichent une progression significative. Le faible redressement du secteur du matériel de transport est insuffisant pour en faire bénéficier les secteurs sous-traitants comme la plasturgie et la métallurgie, même si une amélioration a été notée en fin d année. L activité s est redressée dans le travail du bois et les industries du papier, mais l industrie pharmaceutique régionale affiche encore un recul de son chiffre d affaires pour la deuxième année consécutive pénalisée en particulier par les déremboursements et la poussée des médicaments génériques. Le secteur du textile affiche une très légère progression liée à la fabrication de textiles techniques mais aussi au secteur du luxe. Banque de France Les entreprises en Rhône-Alpes Page 4 sur 15

5 Industrie Les effectifs Évolution des effectifs 2014 / 2013 Après la baisse significative de 2013, l emploi industriel s est encore replié en 2014 suivant peu ou prou l évolution de l activité, tous secteurs confondus. La réduction du volant de travailleurs intérimaires est particulièrement marquée, les effectifs permanents n ayant pas été, à ce jour, encore trop affectés, mais des ajustages avaient déjà eu lieu l année dernière. Évolution des effectifs totaux dans les Autres Produits Industriels en 2014 Les effectifs n ont pas toujours varié dans les mêmes proportions que les chiffres d affaires. Seul le secteur pharmaceutique présente une évolution corrélée. Les quelques hausses d effectifs dépassent à peine 1%, et concernent en général des contrats temporaires sauf dans les autres produits industriels où l effectif permanent a été renforcé. La rentabilité d exploitation Évolution de la rentabilité dans l ensemble de l industrie (solde d opinions bruts en %) 29% 32% 39% Malgré la baisse des chiffres d affaires, les rentabilités ne se sont pas significativement détériorées, les effectifs et les process de production ayant dans l ensemble été adaptés. C est dans l industrie agroalimentaire que l amélioration de la rentabilité a été la plus notable, phénomène lié en grande partie à la baisse du prix de certaines matières premières non répercutée en totalité sur les prix de vente. Augmentation Stabilité Diminution Banque de France Les entreprises en Rhône-Alpes Page 5 sur 15

6 Industrie Perspectives 2015 Évolution attendue du chiffre d affaires et des effectifs totaux La reprise de la demande étrangère à la fin du second semestre 2014 a permis de terminer l année sur une note positive et de fait, d envisager 2015 sous de meilleurs auspices, à condition que cette tendance se poursuive. Les effectifs ne devraient cependant pas progresser dans les mêmes proportions. Rentabilité attendue dans l ensemble de l industrie (soldes d opinion bruts en %) 10% Pour 2015, malgré la hausse attendue des chiffres d affaires, seul un maintien des rentabilités d exploitation est envisagé, tous secteurs confondus. 37% 53% Augmentation Moyenne Stabilité Diminution Moyenne Les investissements totaux Après s être stabilisés en 2013, les investissements se sont nettement infléchis. Tous les secteurs sont concernés à l exception de l industrie agroalimentaire, et une nouvelle fois des autres produits industriels dont les activités de niche impliquent fréquemment l utilisation de matériels à la pointe de l état de l art. L investissement devrait repartir en 2015 dans la majeure partie des secteurs à l exception de la métallurgie. L industrie agroalimentaire pourrait également faire une pause. Banque de France Les entreprises en Rhône-Alpes Page 6 sur 15

7 Industrie Tableaux synthétiques sectoriels 2014 et 2015 Fabrication de denrées alimentaires et de boissons 1 1 8,0% 6,0% - 2,9% 2,7% Matériels de transport 5,8% 9,8% -1,3% CA Total CA Export Effectifs 2014/2013 Prev 2015 Équipements électriques, électroniques, informatiques et autres machines ,3% 3,5% Autres produits industriels 2,4% 3,7% - CA Total CA Export Effectifs 2014/2013 Prev ,4% 3,5% 2,5% 2,9% 3,5% 3,3% 1,5% 0,5% 1,7% 1,4% 0,8% 2,5% 1,5% 2,2% -0,5% - -1,5% -0,9% - CA Total CA Export Effectifs 0,5% 0,5% 0,4% 0,3% 0,2% CA Total CA Export Effectifs 2014/2013 Prev /2013 Prev 2015 Banque de France Les entreprises en Rhône-Alpes Page 7 sur 15

8 Services marchands Rappel du contexte conjoncturel régional 2014 Activité passée et prévisions (soldes d opinion CVS) L activité dans les services marchands a progressé de 2,6% en 2014 après une augmentation globale de 1,8% l année dernière. Cette tendance a été linéaire durant l année avec un seul fort repli, en mai. L emploi a évolué de façon corrélée avec une progression de 2,8% des effectifs totaux et ce malgré une baisse globale des effectifs intérimaires de l ordre de 16%. Cette bonne orientation devrait perdurer en déc.-10 déc.-11 déc.-12 déc.-13 déc.-14 variations M-1 Act. prév Tendance L activité Évolution de l activité 2014 / ,0% - 4,6% En 2014, l activité dans le transport routier de fret a sensiblement progressé, portée essentiellement par la demande étrangère et les activités de logistique. Le secteur de l édition et activités informatiques a poursuivi la bonne orientation engagée l année dernière avec une hausse de CA de 4,6%. Les activités liées à l informatique (développement, conseil, consulting) ont été le moteur de cette progression. Le secteur de l ingénierie et des études techniques s est de nouveau replié, dans un contexte d amenuisement de la demande des donneurs d ordres du bâtiment et des collectivités territoriales. - -1,7% - Transport routier Edition et activités informatiques Ingénierie technique Banque de France Les entreprises en Rhône-Alpes Page 8 sur 15

9 Services marchands Les effectifs Évolution des effectifs 2014 / 2013 L emploi dans les services aux entreprises a globalement progressé de 2,8%, Cette hausse est essentiellement portée par les activités d ingénierie informatique, seul secteur qui a recruté de façon continue toute l année. Cette hausse des effectifs totaux est d autant plus remarquable qu elle provient d un important recrutement de personnel permanent, l emploi intérimaire ayant fortement reculé. Malgré ses performances en termes d activité, le secteur du transport routier de fret n a pas embauché et a également réduit sensiblement son volant d intérimaires. A contrario, les effectifs de l ingénierie technique n ont pas suivi la baisse des CA. Les effectifs intérimaires ont été réduits dans de moindres proportions que les deux autres secteurs. La rentabilité d exploitation Rentabilité dans l ensemble des services (soldes d opinion bruts en %) 34,3% 18,2% 47,5% La rentabilité d exploitation est globalement bien orientée, certains secteurs comme le transport routier affichant de meilleures performances malgré une pression concurrentielle qui ne s est pas démentie. La baisse du prix du pétrole durant le dernier semestre a probablement joué un rôle non négligeable dans cette évolution. L édition, l informatique et l ingénierie technique ont davantage tendu vers une stabilisation de leurs marges, l informatique en particulier ayant recruté des personnels qualifiés à salaires élevés. Augmentation Moyenne Stabilité Diminution Moyenne Banque de France Les entreprises en Rhône-Alpes Page 9 sur 15

10 Services marchands Perspectives 2015 Évolution attendue du CA et des effectifs totaux 6,0% 5,0% 5,0% 3,2% La bonne orientation de l activité devrait se poursuivre en 2015 avec une progression substantielle du CA. Tous les secteurs sont concernés dans des proportions différentes : un effet de rattrapage est en particulier attendu dans l ingénierie technique. Les effectifs pourraient également progresser, dans des proportions moindres cependant, et quasiment uniquement dans l ingénierie informatique. CA Effectifs totaux Rentabilité attendue dans l ensemble des services (soldes d opinion bruts en %) 13,5% 47,1% 39,4% Les chefs d entreprises, sont plutôt optimistes quant à l évolution de leurs rentabilités en 2015, même s ils sont une majorité à anticiper une stabilité de leurs résultats d exploitation. Augmentation Moyenne Stabilité Diminution Moyenne Les investissements totaux Après la baisse significative de l investissement en 2014, surtout sensible dans le transport routier, une reprise est prévue, portée une nouvelle fois essentiellement par l informatique et dans une moindre mesure par l ingénierie technique. Banque de France Les entreprises en Rhône-Alpes Page 10 sur 15

11 Services marchands Tableaux synthétiques sectoriels 2014 et 2015 Transports routiers de fret Edition, activités informatiques 4,5% 3,5% 2,5% 3,2% 8,0% 7,0% 6,0% 5,0% 4,6% 7,4% 7,3% 6,1% 1,5% 0,5% 0,2% -0,5% CA -0,2% Effectifs CA Total Effectifs 2014/ / Ingénierie et études techniques 8,0% 7,0% 6,0% 5,0% ,7% CA total 7,3% 2,1% Effectifs 1,4% 2014/ Banque de France Les entreprises en Rhône-Alpes Page 11 sur 15

12 BTP La production totale Évolution de la production totale 2014 / 2013 La baisse d activité amorcée l année dernière s est amplifiée en 2014 sous l influence conjuguée d une diminution des mises en chantier dans l immobilier et de celle des ordres dans les travaux publics. Les deux sous-secteurs du bâtiment sont impactés pratiquement dans les mêmes proportions. L arrivée à leur terme de certains grands projets d infrastructure de la région lyonnaise en particulier, conjuguée à la baisse des dotations budgétaires aux collectivités territoriales ont provoqué un repli marqué de l activité dans les travaux publics. Les effectifs Évolution des effectifs totaux -5,0% -1-15,0% -4,1% -12,8% - -2,5% -4,4% Les effectifs totaux ont suivi pratiquement dans les mêmes proportions la baisse des chiffres d affaires, mais c est essentiellement le travail temporaire qui a pâti du déficit d activité ,0% -3-35,0% Gros œuvre Second œuvre TP -29,5% Eff totaux Dont interimaires La rentabilité d exploitation Rentabilité dans le BTP (soldes d opinion bruts en %) 40,2% 28,4% La rentabilité s est globalement dégradée sous l effet conjugué du manque de commandes et d une plus forte pression concurrentielle. 31,4% Augmentation Moyenne Stabilité Diminution Moyenne Banque de France Les entreprises en Rhône-Alpes Page 12 sur 15

13 BTP Perspectives 2015 Évolution attendue de la production totale et des effectifs dans le BTP -0,5% - -1,5% - -0,4% Dans un contexte de faible visibilité, les prévisions ne sont guère optimistes pour l ensemble du secteur, même si la situation dans le bâtiment pourrait s améliorer, grâce au repositionnement des investisseurs sur les programmes neufs. Mais les travaux publics pourraient poursuivre leur repli face à l amenuisement des grands chantiers d infrastructure sur la région en L emploi, et en particulier les effectifs permanents, à peu près épargnés en 2014, devraient souffrir de cette mauvaise tendance. -2,5% - Production totale -2,6% Effectifs totaux Rentabilité attendue dans l ensemble du BTP (soldes d opinion bruts en %) 29,1% 12,5% 58,4% Dans un contexte de fort repli de l activité, la majorité des chefs d entreprises prévoit toutefois un maintien des marges, encore étroites, dans la totalité du secteur. Augmentation Moyenne Stabilité Diminution Moyenne Les investissements totaux 5,0% -5,0% -1-15,0% -1 0,5% Les investissements, déjà en baisse l année dernière dans le bâtiment, ont poursuivi leur chute, gros œuvre et second œuvre confondus. Cette tendance devrait se pérenniser en 2015 dans de moindres proportions cependant. Stable cette année dans les travaux publics, l investissement sera en recul très net en ,0% -16,8% Bâtiment 2014/ TP -19,8% Banque de France Les entreprises en Rhône-Alpes Page 13 sur 15

14 BTP Tableaux synthétiques sectoriels 2014 et 2015 BÂTIMENT Gros œuvre Second œuvre TRAVAUX PUBLICS Banque de France Les entreprises en Rhône-Alpes Page 14 sur 15

15 Méthodologie Méthodologie Cette enquête rapide est réalisée en début d année par la Banque de France auprès d un échantillon composé de entreprises ou établissements rhônalpins appartenant à l industrie, aux services marchands et au BTP. Les données individuelles reçues ont été agrégées selon la Nomenclature d Activités Française 2008 (NAF 2). Présentation de l échantillon La Banque de France tient à remercier, pour leur précieux concours, les entreprises ou établissements qui ont accepté de participer à cette enquête. Autres produits industriels : Terminologie - Textile : Textiles, habillement, cuir, chaussures - Bois Papier : Travail du bois, industries du papier et imprimerie - Ind. chimiq. : Industrie chimique - Ind. pharma. : Industrie pharmaceutique - Plasturgie : Produits en caoutchouc, plastique, et autres - Métallurgie : Métallurgie et fabrication de produits métalliques - Autres : Autres industries manufacturières, réparation, installation Retrouvez LA CONJONCTURE EN RHÔNE-ALPES, TENDANCES RÉGIONALES sur le site Internet de la Banque de France Si vous souhaitez être averti de la mise en ligne mensuelle de notre publication par l'envoi d'un message électronique, nous vous remercions de nous envoyer un courriel à l'adresse suivante : 0497-emc-ut@banque-france.fr en précisant votre nom, la dénomination et l'adresse de votre entreprise. Suivez en temps réel l actualité de la Banque de France sur Twitter : «Aucune représentation en reproduction, même partielle, autre que celles prévues à l'article L et 3 a du code de la propriété intellectuelle ne peut être faite de la présente publication sans l'autorisation expresse de la Banque de France ou, le cas échéant, sans le respect des modalités prévues à l'article L dudit code». Banque de France Les entreprises en Rhône-Alpes Page 15 sur 15

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