Four chorkor, une nouvelle technologie pour le fumage de poissons dans le territoire de Lomela Lomela, Kasaï Oriental RD Congo

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1 Système d Information sur la Sécurité Alimentaire LOMELA RDC N 08 Lomela RDC Four chorkor, une nouvelle technologie pour le fumage de poissons dans le territoire de Lomela Lomela, Kasaï Oriental RD Congo Projet OSRO/DRC/206/EC Programme Intégré de Réponse à la Malnutrition et à l Insécurité Alimentaire en République Démocratique du Congo Avec le Soutien Financier de l Union Européenne Bailleur du Projet 1. Introduction Dans le cadre du projet OSRO/DRC/206/EC, «Programme intégré de réponse à la malnutrition et l insécurité alimentaire dans le territoire de Lomela», la pêche fait partie des activités de la production agricole et halieutique retenues en vue de lutter contre le fléau qui a frappé ce territoire depuis En effet, l enquête nutritionnelle du PRONANUT de cette année a relevé le taux de malnutrition aiguë global (MAG) à 17,2% et le taux de malnutrition sévère (MAS) à 3,6%. Etant donné que le territoire de Lomela regorge une potentialité hydrographique importante, la FAO à travers ce projet, a apporté un appui important d intrants de pêche en faveur de la population paysanne. Le but était d augmenter la production de poisson et d améliorer la sécurité alimentaire ainsi que les revenus familiaux des acteurs de la pêche. Les intrants de pêche ont été distribués à 500 bénéficiaires (pêcheurs) regroupés en associations structurées et organisées. Le four chorkor, une nouvelle technologie de fumage a été introduit pour améliorer la gestion post capture du poisson. Au total, 25 fours chorkors ont été construits par la FAO en faveur de ces associations. En outre, 27 autres fours chorkor ont été construits par les associations de pêcheurs à leur tour dans leurs biefs de pêche en vue d assurer la pérennité de l activité. Depuis cette intervention, de nombreuses études font état d une amélioration de la situation nutritionnelle et de la sécurité alimentaire, malgré des disparités à l intérieur et autour de certaines zones. Selon les enquêtes nutritionnelles initiales du projet PCIMA, mis en œuvre par PRONANUT/GRAINES dans trente trois zones de santé du Kasaï Oriental (districts sanitaires de Mweneditu, Kabinda, Mbuji- Mayi, Tshilenge et Sankuru), le district de Sankuru, qui comprend le territoire de Lomela, affiche un taux de malnutrition aiguë globale de 9,4% et 1,8% pour la malnutrition aiguë sévère.il se situe ainsi en meilleure position par rapport au district de Kabinda ( MAG 9,8%), de Tshilenge (MAG 10,6%) tandis que Mwene Ditu a le taux le plus élevé ( MAG 11,4%). La prévalence de la malnutrition chronique (taille/âge) des enfants de 6 à 59 mois au Sankuru est de 3,9 (soit 16,1%) une situation nettement plus acceptable face aux quatres strates ou des taux de prévalence excèdent 30%. Les résultats du 12éme cycle du cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC décembre 2014) confirment les progrès réalisés dans la zone de santé de Lomela( classifiée en phase 2 sous pression) et la stagnation en phase 3 crise alimentaire et des moyens d existence aiguë à Tshudi Loto. Enfin, les données SNSAP N 17 recueillies dans les zones de santé de Lomela et Tshudi Loto signalent la couleur jaune (c està-dire à suivre de près), comme dans les autres zones de la province. Ce progrès constaté par divers partenaires a été influencé par les opérations du programme intégré de réponse à la malnutrition et à l insécurité alimentaire en République Démocratique du Congo, notamment la structuration de cent soixante-deux associations (près de 14 OP) dont 3 OP des pêcheurs à travers les bassins de production de pêche. A l instant, la production par pêcheur par jour pendant la grande saison de pêche (Mai à Septembre) est passée de 1,5 kg avant le projet à 20-25Kg actuellement ; ce que justifie l amélioration

2 Système d Information sur la Sécurité Alimentaire N 08 Lomela RDC 2 de la situation de sécurité alimentaire et des revenus des ménages bénéficiaires. 2. Description des intrants de pêche (apport du projet) Intrants avant le projet. Dans le but d établir un lien clair entre le comportement des acteurs de la pêche, les pratiques de celle-ci et les menaces constatées sur la pérennité des ressources halieutiques (RH), le présent projet FAO avait auparavant évalué toutes les pratiques de pêche utilisées dans la zone ; répertorier les techniques de pêche selon les moyens utilisés et procéder à l analyse de chaque technique et pratique, même celles d emblée jugées favorables de sorte à relever les impacts de différentes pratiques de la pêche. Si certaines pratiques sont néfastes par leur nature même (tel que l empoisonnement des eaux par les plantes ichtyotoxiques et autres), globalement, toutes les pratiques de pêche occasionnent des effets destructeurs sur les ressources halieutiques (HR), si elles sont employées durant la période de fermeture de pêche. C est pendant ce temps que la plupart des poissons sont dans leur période de reproduction. D une façon générale, les pêcheurs sont assez bien informés des pratiques qui ont un effet néfaste sur la pérennité des ressources halieutiques. Cela ne suffit pas à les dissuader de les appliquer. En effet, outre l ignorance, le manque d intrants de pêche, l absence totale de contraintes et de sanctions constituent les faiblesses principales qui favorisent l amplification du recours à ces pratiques. Il y a donc lieu de travailler dans le sens d éliminer les faiblesses afin de promouvoir les pratiques qui sont plus favorables. L apport de La FAO tient compte de la législation et de la réglementation nationale de pêche en vigueur. Par ailleurs, les kits proposés de nappes de filets de mailles différentes et des hameçons de taille différente tiennent compte des diversités de captures réalisées généralement constituées de poissons de zones profondes, intermédiaires et de surface ainsi que de zones forestières inondées. Cela permet d une part, d éviter la surexploitation de ressources ichtyologiques et d autre part, à la même strate donnée à tous les bénéficiaires pour répondre aux préoccupations environnementales d une assistance responsable pour une gestion durable de ressource halieutiques. Distribution par la FAO des Kits individuels de pêche à Lomela centre 3. Ménage bénéficiaires : 500 MB La FAO a fourni des intrants pêches à 500 ménages bénéficiaires de pêcheurs artisanaux en vue d augmenter la production, améliorer la sécurité alimentaire ainsi que leurs revenus familiaux. Le kit était composé de 4 nappes de filets, 2 bobines de fils pour cordage d hameçons et assemblage de nappes de filets, 2 boîtes d hameçons et 4 ralingues. Outre la distribution des intrants le projet a assuré la construction d un four chorkor par association. Les 500 bénéficiaires identifiés ont été regroupés en 25 associations composées de 20 membres chacune. Un appui des intrants de pêche a été fait aux associations. En effet, le kit était composé de 29 nappes de filet, 37 bobines de fil, 33 ralingues et 10 boîtes d hameçons. Les leaders de ces 25 associations ainsi que les agents IPAPEL avaient bénéficié d une formation en technique de fumage des poissons et de la construction des fours chorkors. Au total, 258 personnes dont 226 hommes et 32 mareyeuses ont suivi cette formation. 4. Formation en techniques de construction des unités améliorées de fumage des poissons Le poisson est une denrée alimentaire périssable qu il faut bien conserver quand il est enlevé de son milieu naturel. Malheureusement, en RDC, les pêcheurs et mareyeuses enregistrent un manque à gagner important dû aux pertes post capture, de l ordre de 35% de la production. Les techniques utilisées pour le traitement et la conservation du poisson sont encore rudimentaires et ne permettent pas de livrer sur le marché des produits de bonne qualité. Dans la zone du projet, le fumage du poisson est couramment pratiqué et la population aime bien consommer du poisson fumé. Mais le poisson fumé comporte des parties dont certaines sont excessivement sèches ou carbonisées, d autres encore

3 Système d Information sur la Sécurité Alimentaire N 08 Lomela RDC 3 humides et d autres sont enfin humides. Toutes ces parties de poisson fumé sont souvent attaquées par les insectes ichtyophages et par des moisissures, ce qui entraîne une réduction de sa valeur commerciale. La construction d unités améliorées de transformation et de conservation aide à améliorer la qualité du poisson destiné à la consommation du ménage et à la commercialisation, et augmente sa valeur marchande sur le marché. Formation en techniques de construction des unités de fumage des poissons à Lomela centre Poissons frais pêchés à Tshula Otenga (75 Km de Lomela) A Lomela centre, le formateur a construit 5 fours chorkors expérimentaux avec la participation active de tous les bénéficiaires. Pour les autres sites, les bénéficiaires ont euxmêmes construit les fours chorkors sous la supervision du formateur. Cette méthodologie a permis aux participants d assimiler la technologie de construction des fours chorkor, de fumage des poissons. Elle est un gage pour assurer la pérennité acquise du projet et favoriser l extension des fours chorkor avec les matériaux locaux dans d autres bassins de production de pêche. La production halieutique augmente et se diversifie : La production attendue était de tonnes. A ce stade, la production réelle serait de 120 tonnes à la première année, 1385 tonnes à la deuxième année, 110 tonnes à la troisième ; soit une production totale de tonnes avant la fin du projet. Pour ce, les objectifs de la production halieutique dépasseront la prévision d ici la fin du projet. Cette production a permis aux pêcheurs l achat de tôles (construction de maisons semi durables), achat des vélos et des motos. Fumage des poissons par l association de pêcheurs de Sthula _ Otenga ( 75 Km de LOmela) Ainsi en janvier février 2014 : une formation visant à améliorer les techniques traditionnelles de fumage et de conservation du poisson par l utilisation du four chorkor a été organisée. Cette formation sur les techniques de construction d unités améliorées de fumage du poisson avait été plus pratique que théorique. Au total, trente trois personnes, membres des associations communautaires, des techniciens, des leaders et des techniciens des associations partenaires ainsi que les agents de l inspection de l agricultures, pêche et élevage du territoire de Lomela impliqués dans le projet ont été formées. Le CPA/ pêche formateur avait assuré cette formation pendant 2 jours à Lomela avant de se poursuivre sur le terrain en vue d appuyer la construction des fours chorkor dans chaque site associatif des bénéficiaires. Mr Jean Okenda et Marc Diwo en route vers Lodja pour la vente

4 Système d Information sur la Sécurité Alimentaire N 08 Lomela RDC 4 Réduire la pression sur les forêts ou le bois est récolté pour le fumage du poisson ; Réduire les pertes post capture des poissons par la possibilité de traiter rapidement de plus grandes quantités à la fois ; Mr Joseph Shimba vient de construire sa maison L introduction de cette nouvelle technique de séchage de poissons a permis de soutenir les efforts des pêcheurs par la rentabilisation de la production et la réduction sensible des pertes post captures. Cette nouvelle technologie permet d améliorer de façon significative et durable les conditions de vie des populations riveraines touchées directement ou indirectement par le projet. Etant donné que la technique de séchage amélioré du poisson devient une activité économique beaucoup plus rentable dans la zone, la population se l approprie en construisant elle même des fours chorkors. C est dans ce contexte que 52 fours chorkors (25 dont 15 à doubles compartiments et 10 à un simple compartiment) ont été construits lors de la formation, 27 autres dont 16 à double compartiments et 11 à simples compartiments construits par les pêcheurs eux mêmes sur une prévision de 25 fours soit un résultat de 108% jusqu à ce jour. Au terme de ce projet, la FAO s attend à ce que cette nouvelle technologie améliore d avantage les moyens de subsistance et nutritionnels des populations de ce territoire en touchant également les territoires voisins (Lodja et Kole). 5. Avantages comparatifs de la conservation des poissons par four chorkor Comparativement à la conservation traditionnelle, cette technologie améliorée de fumage des poissons a permis de : Faciliter le travail et la manipulation des poissons pendant le traitement grâce l usage des claies ; Atténuer la pénibilité du travail du fumoir traditionnel par la réduction du besoin en bois de chauffe et de l émission de la fumée ; Réduire la durée de fumage à ½ jour au lieu de 6 pour les fours traditionnels ; Améliorer la quantité des produits à consommer et à livrer sur le marché ; Augmenter les revenus des acteurs locaux du secteur de la pêche ; Méthode améliorée de fumage de poisson Nadine, mareyeuse contente de la vente réalisée Conclusion Le four chorkor constitue une véritable innovation pour la conservation des poissons dans le territoire de Lomela. Cela se fait à faible consommation de bois réduisant ainsi la pression sur l environnement. En outre, la technologie fournit les poissons de bonne qualité et qui se conservent longtemps. Elle a été accueillie avec grande satisfaction par les bénéficiaires. La vulgarisation de la construction et de l utilisation de ces fours fumoirs a permis d améliorer la qualité et la quantité de poissons transformés et conservés.

5 Système d Information sur la Sécurité Alimentaire N 08 Lomela RDC 5 Recommandations et Suggestions A l issu de cette innovation, nous pouvons émettre des recommandations suivantes : Continuer d organiser les acteurs du secteur pêche de Lomela en associations paysannes structurées pour une meilleure gestion des installations mises en place ; Organiser des coopératives de transformation et de conservation des poissons et un circuit de vente des poissons qui réduiront le nombre d intermédiaires et permettront aux producteurs d être plus directement en contact avec les consommateurs ; Organiser des formations sur la comptabilité et la gestion à l intention de ceux qui seront désignés pour diriger des centres de transformation de poissons (centres qui devront être créés avec des équipements implantés comme des noyaux) ; Introduire et organiser d autres ateliers de formation sur le salage et le séchage de poisson car ces techniques sont également très pratiquées par les riverains que nous avons visités ailleurs ; Organiser des échanges d expériences entre les acteurs du secteur pêche et ceux des autres contrées : Boendé, Mbandaka et Kole. Que chaque ménage puisse facilement en ériger chez lui un four chorkor pour le fumage à domicile des poissons, viandes et autres produits agricoles et d élevages. Contact 936, Boulevard 30 Juin, Rond Point Batetela B.P Kinshasa I FAO-CD@fao.org / Concours Rédactionnel Donatien Muyunga : Donatien.Muyunga@fao.org François Wandja : François.Wandja@fao.org Directeur de Publication NDIAGA Gueye Représentant Pays

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