HYDROELECTRICITE ET IMPACTS SUR LES MILIEUX AQUATIQUES. Séminaire France Nature Environnement. Montpellier Septembre 2011
|
|
- Liliane Nadeau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 HYDROELECTRICITE ET IMPACTS SUR LES MILIEUX AQUATIQUES Séminaire France Nature Environnement Montpellier Septembre 2011
2 Onema et hydroélectricité Directive cadre sur l eau 23 octobre 2000 Directive sur les énergies renouvelables 27 septembre 2001 Espace de compatibilité entre hydroélectricité et préservation des milieux aquatiques (territorial et technique) L instruction d un dossier doit permettre de définir et dimensionner les prescriptions de l arrêté préfectoral garantissant la gestion équilibrée de la ressource en eau.
3 Consultation Onema Pré-dossier Onema Réception du dossier Complétude du dossier Onema Instruction du dossier = régularité et recevabilité Enquête publique Enquête administrative Onema Dossier régulier et complet CODERST Signature de l arrêté préfectoral - publication L instruction des dossiers constitue une étape essentielle à la définition de prescriptions contrôlables atténuant ou compensant les impacts.
4 Consulté par le service instructeur, l Onema émet un avis technique sur le volet milieu aquatique de l étude d impact - L état initial (niveau d investigation et validité des données) - L impact prévisible et les mesures d atténuation des impacts - Les mesures compensatoires - Les conditions d acceptabilité du projet - La pertinence et le caractère contrôlable des prescriptions du règlement d eau
5
6 PREVISION D IMPACT Incidences d une opération Modifications hydromorphologiques Modifications physico-chimiques Pertes de fonctionnalités du milieu ou pertes d aptitude du milieu à permettre l accomplissement du cycle biologique des espèces repère Réponses des indicateurs biologiques
7 Végétation aquatique Paramètres biologiques Macro-invertébrés benthiques Composition spécifique Abondances Composition spécifique Abondances Composition spécifique Ichtyofaune Abondances Structure classes d âge Peuplement théorique SDF CHA TRF VAI LOF BLN CHE GOU APR BAF ANG ABL
8 Les prescriptions de l AP doivent être suffisamment détaillées et surtout contrôlables! «Mesures d évitement» De nature préventive Localisation du barrage pour éviter ennoiement frayères «Mesures correctives ou d atténuation» De nature corrective Limiter entraînement des poissons dans une prise d eau De nature compensatoire «Mesures compensatoires» Rendre franchissable un obstacle existant situé à proximité Destinées à compenser l impact subsistant de l opération après mise en œuvre des mesures correctives dés lors qu il s avère significatif.
9 Impacts Ennoiement Débit minimal Eclusées Continuité biologique Montaison Dévalaison Continuité sédiments
10 Prévision d impact Ennoiement Modifications hydromorphologiques h Exemple du remous d un barrage V Granulométrie h=0.3m L h=5m 1 km Impact majeur en rivière courante Impact ne pouvant être corrigé Impact irréversible (> 40ans)
11 Continuité piscicole Dévalaison Risques d entraînement dans la prise d eau Risques d impact Devenir des poissons
12 Continuité piscicole Dommages subis par les poissons lors de leur passage à travers les turbines Sur les juvéniles de salmonidés (15-20 cm) Mortalité = f( Lp/D, Npales, Vit, dh) 100% 50% 20% 10% 2-5% Sur les anguilles : mortalités ( cm) : x 3/5
13 Continuité piscicole dévalaison Dispositifs de dévalaison 3 fonctions : arrêt guidage transfert aval (exutoire, by-pass) Barrières physiques Investissement Pertes de production Critères : espacement grilles adapté à l espèce : mm pour anguilles vitesses d'écoulement faibles (V<0.40m/s) guidage vers exutoire situé à proximité Difficulté à installer des grilles à 2 cm sur certaines prises d eau existantes Réduction de l espacement de 5 cm à 2 cm revient à augmenter la surface du plan de grilles de 2,5 fois
14 Continuité piscicole montaison Risques d impact et obstacle à la continuité piscicole - Exigences des espèces présentes - Situation et accessibilité des zones de frayères et des zones de croissance
15 Continuité piscicole montaison Diagnostic franchissabilité montaison Capacités de nage des espèces (vitesse, distance) Capacités de saut Conditions d écoulement (vitesses, hauteur d eau ) Obstacle sélectif ou infranchissable Franchissabilité en pourcentage du temps de la période de migration
16 Continuité montaison Respect de l obligation de moyens Contrôle obligation de moyens - Conformité aux plans du dossier Conformité du génie civil (tolérance au cm près) Mesures des dénivelés entre bassins Conformité des écoulements (tolérance 10% au dessus)
17 Infraction continuité piscicole montaison Modification réglage Causes de dysfonctionnement des ouvrages de franchissement Apparition chute aval infranchissable suite à affouillement Responsabilité???
18 Infraction continuité piscicole montaison Défaut d entretien : Embâcles Défaut de régulation du niveau d eau amont Engravement
19 Impact et Pertes de fonctionnalité Les grandes phases du cycle biologique Reproduction Eclosion Croissance Il s agit d évaluer l aptitude du milieu à satisfaire les exigences des espèces repère vis à vis de la reproduction, de l éclosion et de la croissance et d identifier le cas échéant les pertes de fonctionnalité.
20 Risques d impact en cas d infraction au débit minimal Evolution des paramètres «hauteur», «vitesse», «substrat» à l origine de pertes de fonctionnalité Impact sur les habitats de croissance (caches, abris en berge ) Disponibilité trophique (chute production macro-invertébrés) Hauteur d eau insuffisante pour permettre libre circulation dans le TCC
21 Impacts sur les habitats de reproduction Vitesse du courant insuffisante pour assurer une bonne oxygénation des œufs Colmatage granulométrie par raréfaction des crues dans le cas de barrage de retenue Variations brutales de débit (éclusées, chasses ) emportent ou assèchent frayères Truites de mer en train de frayer Cartgraphie des frayères
22 Causes des infractions de non respect du débit minimal Origine des infractions Intention délibérée 55% Défaut d entretien 20% Problème de conception 25%
23 Problème de conception des Dispositifs de restitution des débits réservés - Conception et caractéristiques géométriques et hydrauliques doit être adaptée adaptée aux variations du niveau d eau amont dans la gamme de débits comprise entre le débit minimum turbinable + débit réservé et le débit d équipement. niveau d eau amont régulé Proscrire les dispositifs par surverse en faible charge Echancrures profondes niveau d eau amont non régulé Orifice en forte charge Orifices successifs pour une passe à poissons
24 Continuité des sédiments : transit suffisant! Limiter l impact! Période de l année Conditions de débit amont Durée Débit de chasse Frayères chamboulées, ensablement, colmatage du substrat grossier altérant zones de croissance et zones de reproduction
25 Eclusées Impact fonction de la nature des peuplements et du rapport débit d éclusées sur débit réservé Mise à sec des zones de frayères suite aux variations de débit Piégeage des poissons Mesures d atténuation de ces impacts portent sur la valeur du débit minimal, la progressivité des éclusées, leur saisonnalité D é b it e n m 3 /s 2 1 a x E c lu s é e prise de charge baisse de charge p a lie r d e r e s t it u t io n 0 D u r é e in u te s 3 0 à d e m 3 0 m in u t e s P m a x 3 /m à m in u t e s P m a x in D u r é e t o t a le d e l'é c lu s é e Heure de m fin d'élusée 3 0 Heure de P m début d'élusée 1 9.5
26 Obligations : prescriptions contrôlables Celles relatives aux articles L (continuité écologique) et L (débit minimal) du code de l environnement et celles prévues par le cahier des charges concessions et règlements d eau annexés aux autorisations et décrets de concession. 1) Continuité écologique : cours d eau classés L et (art A9, C18) 2) Débit minimal : article L et (art A5, C17) 3) Autres points de contrôle - Niveau d eau amont (art A5, C17) - Débit dérivé (art A5, C17) - Vidanges, chasses (art C 21, A12, A13, A14) - Curages (art C 21, A16 - Suivi (art C 22) Article 2 Section aménagée Les eaux seront dérivées au moyen : d'un ouvrage situé à (7)... créant une retenue à la cote normale...ngf Elles seront restituées à la rivière... à (7)... à la cote... N.G.F La hauteur de chute brute maximale sera de... mètres (pour le débit dérivé autorisé). La longueur du lit court-circuité sera d'environ... mètres.
27 Contrôle des prescriptions de l arrêté préfectoral d autorisation et des obligations relevant principalement des articles L et L Constat d infraction Matérialisation et origine de l infraction Nature de l impact Impact sur le milieu aquatique Intensité de l impact Linéaire concerné Durée de l impact Réversibilité de l impact Suites administratives et judiciaires
28 Le programme de mesures du SDAGE et le plan de contrôle sont les deux axes de la stratégie de reconquête du bon état écologique des masses d eau L Onema est engagé auprès du Préfet dans la préparation et la mise en œuvre du plan de Contrôle qui cible notamment les masses d eau en risque de non atteinte du bon état écologique L Onema a développé une démarche progrès appliquée aux contrôles intégrant des outils et les parcours de formations indispensable pour cette police très technique. L Etat français devra être en mesure de justifier de la mise en œuvre de contrôles des IOTA lors du rapportage DCE à l Europe
Restauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie. Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014
Restauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014 Stéphanie Poligot-Pitsch Olivier Nauleau DREAL Pays de la Loire DREAL Bretagne Qu est
Plus en détailAmélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron
PREFET DE l AVEYRON Amélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron Réunion d information des propriétaires et des exploitants Mercredi 10 décembre 2014 Pourquoi restaurer la continuité
Plus en détailDTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau
DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau olivier.correc@cstb.fr Nouveaux Documents Techniques Unifiés DTU 60.1 Plomberie sanitaire pour
Plus en détailDocuments d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau
Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau Thierry POLATO Agence Régionale de Santé Pays de la Loire Délégation territoriale de Maine-et-Loire
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détailCréation d une base de données sur les ouvrages hydrauliques à l échelle du bassin versant de la Vilaine
UNIVERSITE RENNES 2 HAUTE-BRETAGNE Département de Géographie Master 2 Géographie et Aménagement Spécialité Gestion Spécialité de Gestion l Environnement de l Environnement Création d une base de données
Plus en détailVANNES, VIS SANS FIN, POMPES D ASSÈCHEMENT DES MARAIS
La Directive Cadre sur l Eau (DCE, n 2000/60/CE) fixe comme objectif pour 2015 l atteinte du bon état ou du bon potentiel écologique des eaux de surface. Ces états écologiques sont appréciés par la qualité
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailSyndicat Intercommunal du Bassin Versant de la Seiche
Syndicat Intercommunal du Bassin Versant de la Seiche SIBV Seiche Chemin des bosquets L Orangerie 35 410 CHÂTEAUGIRON SUIVI BIOLOGIQUE SUR 4 STATIONS SUR LE BASSIN VERSANT DE LA SEICHE EN 2014 11/07/2014
Plus en détailcollection mise au point état initial et prévision d impact dans les documents d incidences milieu aquatique
collection mise au point milieu aquatique état initial et prévision d impact dans les documents d incidences 1 PRINCIPES DE LA DEMARCHE.. 10 1.1. CHAMP D APPLICATION.... 12 1.2. UNE DEMARCHE EN QUATRE
Plus en détailCOMMISSION THEMATIQUE «Protection des milieux aquatiques : cours d eau et zones humides»
COMMISSION THEMATIQUE «Protection des milieux aquatiques : cours d eau et zones humides» - 1-4 AVRIL 2013 MALICORNE-SUR-SARTHE COMPTE-RENDU DE REUNION Ordre du jour 1. Qu est ce qu un SAGE? Quel est le
Plus en détailNOTE DU SECRÉTARIAT TECHNIQUE DU SDAGE QU EST-CE QUE LE BON ÉTAT DES EAUX?
NOTE DU SECRÉTARIAT TECHNIQUE DU SDAGE QU EST-CE QUE LE BON ÉTAT DES EAUX? Mars 2011 Crédit photos : F. Abraham, F. Barratier, A. Cabot, L. Cadilhac, C. Lasnier, R. Lengereau, T. Marguet, M. Martini, B.
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détail25/02/2013. Le SIBV de la Seiche. Commission Professionnelle Agricole (CPA) Réunion n 1 22 février 2013 Piré-sur-Seiche
Le SIBV de la Seiche Commission Professionnelle Agricole (CPA) Réunion n 1 22 février 2013 Piré-sur-Seiche 1 PROGRAMME D ACTIONS Collectivités Particuliers Gestion des eaux pluviales Actions Industriels,
Plus en détailLES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.
L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détailConception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments
Conception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments Olivier CORREC Mél : olivier.correc@cstb.fr Contexte des réseaux d eau sanitaire Exigences générales : o Sécuriser la consommation
Plus en détailEffacement et reméandrement aux forges d Essarois CONTINUITÉ ÉCOLOGIQUE EN CÔTE D OR
Effacement et reméandrement aux forges d Essarois CONTINUITÉ ÉCOLOGIQUE EN CÔTE D OR Une synthèse des problèmes observés Une base de concertation entre associations, syndicats de rivières, élus et administrations
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailETUDE COMPARATIVE DES MODELISATIONS NUMERIQUE ET PHYSIQUE DE DIFFERENTS OUVRAGES D EVACUATION DES CRUES
ETUDE COMPARATIVE DES MODELISATIONS NUMERIQUE ET PHYSIQUE DE DIFFERENTS OUVRAGES D EVACUATION DES CRUES P.E. LOISEL, J. SCHAGUENE, O. BERTRAND, C. GUILBAUD ARTELIA EAU ET ENVIRONNEMENT Symposium du CFBR
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailLes mesures compensatoires des atteintes à la biodiversité en France
Les mesures compensatoires des atteintes à la biodiversité en France Paris, 22 septembre 2010 SIFEE Delphine MORANDEAU Chargée de mission biodiversité Ministère de l écologie, de l énergie, du développement
Plus en détailIntégration du référentiel hydrographique Bd Carthage dans le Système d Information de l agence de l eau Adour Garonne
Intégration du référentiel hydrographique Bd Carthage dans le Système d Information de l agence de l eau Adour Garonne point de vue sur l importance attributaire d un référentiel 1 Plan de la présentation
Plus en détailSchéma d Aménagement et de Gestion des Eaux du Clain --- Commission de travail "Gestion et valorisation des milieux aquatiques" N 2 ---
Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux du Clain --- Commission de travail "Gestion et valorisation des milieux aquatiques" N 2 --- Compte-rendu de la réunion du 24 mai 2011 - Vivonne Présents Collège
Plus en détailLes barrages sont-ils un bien pour l environnement?
Octobre 2014 Les barrages sont-ils un bien pour l environnement? Document rédigé par Bernard Chocat (LGCIE INSA Lyon) L essentiel Depuis l origine de la civilisation les hommes ont tenté de contrôler les
Plus en détailMANUEL DE RESTAURATION HYDROMORPHOLOGIQUE DES COURS D EAU
MANUEL DE RESTAURATION HYDROMORPHOLOGIQUE DES COURS D EAU Philippe Adam et Nicolas Debiais Jean-René MALAVOI Ingénieur Conseil DIRECTION DE L EAU, DES MILIEUX AQUATIQUES ET DE L AGRICULTURE (DEMAA) SERVICE
Plus en détailDemande préalable pour un projet de création ou de modification d'un plan d'eau
Demande préalable pour un projet de création ou de modification d'un plan d'eau Les plans d'eau peuvent avoir des usages différents à savoir agrément, défense contre l'incendie, élevage de poissons, irrigation,
Plus en détailLa menace des ruptures de digues
CTC Rhône moyen 3 mai 2010 Fiabilisation des digues sur le Rhône moyen La menace des ruptures de digues Plusieurs brèches apparues dans les digues de Camargue lors des crues de 1993, 1994, 2002 et 2003
Plus en détailLA VILLE ET SON ASSAINISSEMENT. L essentiel
Certu Centre d études sur les réseaux, les transports, l urbanisme et les constructions publiques LA VILLE ET SON ASSAINISSEMENT Principes, méthodes et outils pour une meilleure intégration dans le cycle
Plus en détailet entretenir les rivières? Mauvaises pratiques à éviter Bonnes pratiques à suivre
3 3 Comment gérer et entretenir les rivières? Mauvaises pratiques à éviter Bonnes pratiques à suivre 75 Préambule Bonnes ou mauvaises pratiques d entretien, Comment s y retrouver? L entretien d une rivière
Plus en détailwww.cpie.fr La morphologie des cours d eau Sensibiliser des usagers des cours d eau à l entretien des berges CPIE Bugey-Genevois
www.cpie.fr DOSSIER CPIE EN ACTION Sensibiliser des usagers des cours d eau à l entretien des berges CPIE Bugey-Genevois La morphologie des cours d eau (hydromorphologie) Principes physiques, approche
Plus en détailLe Plan Départemental de l Eau
de l Eau CG1/PIADDT/DAE/MD-LS-9/05/009 de l Eau Son organisation schématique va s appuyer sur : 1. Les infrastructures existantes d intérêt départemental,. Les schémas directeurs territoriaux, 3. Des maillages
Plus en détailINTRODUCTION... 2 CALENDRIER... 3 TRAVAUX DE L ANNEE 2004... 4 BUDGET REALISE 2004... 8 ANNEXES... 10
Rapport d avancement des travaux de lla Commiissiion Localle de ll Eau du bassiin du Loiiret ANNÉE 2004 INTRODUCTION... 2 CALENDRIER... 3 TRAVAUX DE L ANNEE 2004... 4 BUDGET REALISE 2004... 8 ANNEXES...
Plus en détailREGLEMENT D ASSAINISSEMENT PLUVIAL
REGLEMENT D ASSAINISSEMENT PLUVIAL Règlement d assainissement pluvial du Grand Toulouse 1 SOMMAIRE CHAPITRE I - DISPOSITIONS GENERALES...3 ARTICLE 1 - OBJET DU REGLEMENT...3 ARTICLE 2 - DEFINITION DES
Plus en détailMon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide.
Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES Guide d entretien Aillevans - Athesans Etroitefontaine - Autrey Le Vay - Beveuge - Bonnal
Plus en détailPlan Local d Urbanisme - AEU
Plan Local d Urbanisme - AEU Maître d ouvrage Ville de Dieppe Parc Jehan Ango - BP 226 76203 DIEPPE Cedex 7.1 - Les annexes sanitaires Arrêté le : 23 mai 2013 Approuvé le : Elaboration du PLU de la ville
Plus en détailASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF
ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Bases juridiques et dernières évolutions règlementaires Séminaire des animateurs territoriaux, le 26 juin 2012 Ludiana KORTH, chargée d étude juridique
Plus en détailSchéma général d assainissement du Grand Lyon
Schéma général d assainissement du Grand Lyon 2015-2027 ORIENTATIONS ET ENJEUX Introduction générale Le Code général des collectivités territoriales oblige les collectivités de plus de 2 000 habitants
Plus en détailSystèmes d utilisation de l eau de pluie dans le bâtiment Règles et bonnes pratiques à l attention des installateurs
Systèmes d utilisation de l eau de pluie dans le bâtiment Règles et bonnes pratiques à l attention des installateurs Sommaire PARTIE 1 ASPECTS RÉGLEMENTAIRES ET FINANCIERS 4 1. 1. Aspects réglementaires
Plus en détailÉCOLOGIE, ENVIRONNEMENT
STATISTIQUES ÉCOLOGIE, ENVIRONNEMENT REPERTOIRE D EMPLOIS Sur les 78 diplômés entrant dans le champ d enquête (de nationalité française et en formation initiale), 66 ont répondu au questionnaire soit un
Plus en détailL ombre commun dans le canton de Vaud
Centre de conservation de la faune et de la nature Inspection de la pêche Chemin du Marquisat 1 1025 St-Sulpice Service des forêts, de la faune et de la nature www.dse.vd. vd.ch T 021 557 86 30 F 021 557
Plus en détailBien aborder un projet SharePoint 2013
Bien aborder un projet SharePoint 2013 Bien aborder un projet SharePoint 2013 Les Thématiques :» Vue d ensemble des fonctionnalités SharePoint» Les Nouveautés de SharePoint 2013» Infrastructure : bonnes
Plus en détailCISSE INF EAU N 13. Edito du vice -président. Dans ce numéro
CISSE INF EAU N 13 Bulletin d information du bassin de la Cisse 1er trimestre 2015 Votre Cisse Inf eau change de style Après 2 ans et demi d existence, et pour anticiper l évolution de la chartre graphique
Plus en détailDEMANDE DE CERTIFICAT D AUTORISATION IMPLANTATION D UNE STRUCTURE DE CONTRÔLE
4005, rue de la Garlock Sherbrooke (Québec) J1L 1W9 Tél : (819) 821-2163 Téléc. : (819) 821-0060 info@aqua-berge.com www.aqua-berge.com DEMANDE DE CERTIFICAT D AUTORISATION IMPLANTATION D UNE STRUCTURE
Plus en détailComment valoriser sa toiture plate en milieu urbain
Séminaire Bâtiment Durable : Comment valoriser sa toiture plate en milieu urbain 27/03/2015 Bruxelles Environnement Comment valoriser les eaux pluviales grâce à sa toiture? Maggy Hovertin MATRIciel Objectifs
Plus en détailBureau de la Commission Locale de l Eau. Olivet le 25 novembre 2014
Bureau de la Commission Locale de l Eau Olivet le 25 novembre 2014 1. Portage du contrat territorial 2. Projets 2015 / Formations 2015 3. Points divers Ordre du jour 1. Portage du contrat territorial Portage
Plus en détailVOIRIE ACCESSIBLE Véronique IMBAULT Décembre 2011
VOIRIE ACCESSIBLE Véronique IMBAULT Décembre 2011 Plan Rappels règlementaires Cheminements et trottoirs Escaliers Équipements et mobilier urbains Traversée de chaussée Feux de circulation permanents Emplacements
Plus en détailMise en sécurité des ascenseurs. Guide d aide à la décision
Mise en sécurité des ascenseurs Solutions techniques pour répondre à l obligation réglementaire de précision d arrêt et maintien à niveau des ascenseurs Utilisation des variateurs électriques de vitesse
Plus en détailExemple du SATESE MAGE 42
LE LAGUNAGE Exemple du SATESE MAGE 42 Rapide état des lieux Perspectives d association avec le procédé Filtre Planté de roseaux LAGUNAGES DU DEPARTEMENT DE LA LOIRE Conception et dimensionnement Principaux
Plus en détailCOMPTE-RENDU. Réunion du Bureau de la CLE SAGE BLV
COMPTE-RENDU Réunion du Bureau de la CLE SAGE BLV Mardi 20 janvier 2015 à 16h00 à Beaurepaire Ordre du jour de la réunion 1. Approbation du compte-rendu du Bureau de la CLE du 1 er décembre 2014 2. Préparation
Plus en détail«Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat».
«Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat». Philippe USSEGLIO-POLATERA Université Paul Verlaine Metz UMR-CNRS 746 - LIEBE
Plus en détailFORMATION ECLAIRAGE PUBLIC
FORMATION ECLAIRAGE PUBLIC DIR Centre Est Mâcon 22/10/07 1 La norme éclairage NF EN 13 201 Avant : Recommandations AFE : référence pour la profession Février 2005: Application de la norme Éclairage NF
Plus en détailRèglement du Service Public d assainissement non collectif (SPANC)
Règlement du Service Public d assainissement non collectif (SPANC) Adopté par le Conseil de Communauté le 11 juillet 2005 et révisé le 12 septembre 2011 TABLES DES MATIÈRES Chapitre I Dispositions générales
Plus en détailÉTUDES SUR L EAU N 86 MODALITÉS TECHNIQUES DU CONTRÔLE DES INSTALLATIONS D ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF DES HABITATIONS INDIVIDUELLES
É D I T O R I A L assainissement non collectif concerne les immeubles, et notamment les L maisons d habitation individuelles, non raccordés à un réseau public de collecte des eaux usées. La directive européenne
Plus en détailCONSTRUCTION DE 31 LOGEMENTS 852 Avenue de Dunkerque 59160 Lomme
CONSTRUCTION DE 31 LOGEMENTS 852 Avenue de Dunkerque 59160 Lomme Réunion Publique du 20 Décembre 2013 Intervenants: Gildas ROBIC, Directeur Général Adjoint Habitat David Ponchel, Responsable Développement
Plus en détailPlan de gestion des poissons migrateurs - plagepomi - 2010-2014. bassin Rhône-Méditerranée. Préfet coordonnateur de bassin Rhône-méditerranée
Plan de gestion des poissons migrateurs - plagepomi - 2010-2014 bassin Rhône-Méditerranée Préfet coordonnateur de bassin Rhône-méditerranée La rédaction de ce plan a été pilotée par le secrétariat du comité
Plus en détailOBLIGATION D INSTALLATION D UN GARDE-CORPS
2 CHAPITRE OBLIGATION D INSTALLATION D UN GARDE-CORPS 2.1. CAS GÉNÉRAL L installation d un garde-corps est obligatoire lorsque la hauteur de chute comptée à partir de la zone de stationnement normal (ZSN)
Plus en détailLa principale cause du développement
LES AUTRES thèmes LA MAÎTRISE DU RISQUE LEGIONELLES Gestion de la problématique Legionella dans les réseaux d eau chaude sanitaire : conception, maintenance et surveillance biologique Jacques Naitychia,
Plus en détailPrésentation. Qui peut participer? Vous pouvez désigner un collègue ou une équipe, ou proposer votre propre candidature.
Dites-nous comment vous contribuez à améliorer l expérience de nos clients et inscrivez-vous pour avoir la chance de gagner un voyage fantastique pour deux personnes! Présentation Qu est-ce que le concours
Plus en détailLe chantier compte 4 étapes :
02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton
Plus en détailStatistiques 0,14 0,11
Statistiques Rappels de vocabulaire : "Je suis pêcheur et je désire avoir des informations sur la taille des truites d'une rivière. Je décide de mesurer les truites obtenues au cours des trois dernières
Plus en détail«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE
«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-f & P4-f - 185/180 - Standard P2-f & P4-f - 170/165 - Compact P2-f & P4-f - 200/195 - Confort MODELE H DH P2f-4f - 185/180 - Standard 340 171 P2f-4f - 170/165 - Compact
Plus en détailCENTRALES HYDRAULIQUES
CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des
Plus en détail3Typologie des opérations. 1Postulats et principes. 2Les principaux dysfonctionnements MANUEL DE RESTAURATION HYDROMORPHOLOGIQUE DES COURS D EAU
MANUEL DE RESTAURATION HYDROMORPHOLOGIQUE DES COURS D EAU 1Postulats et principes généraux des opérations de restauration 2Les principaux dysfonctionnements à l origine des opérations de restauration 3Typologie
Plus en détailPhénomènes dangereux et modélisation des effets
Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE
Plus en détailNOMENCLATURE DES OPERATIONS SOUMISES A AUTORISATION OU A DECLARATION EN APPLICATION DES ARTICLES L. 214-1 A L. 214-3 DU CODE DE L ENVIRONNEMENT
NOMENCLTURE ES OPERTIONS SOUMISES UTORISTION OU ECLRTION EN PPLICTION ES RTICLES L. 214-1 L. 214-3 U COE E L ENVIRONNEMENT TBLEU E L RTICLE R. 214-1 U COE E L ENVIRONNEMENT (PRTIE REGLEMENTIRE) Consolidée
Plus en détailMémento. pour partir en montagne l été en. sécurité. www.sports.gouv.fr
Mémento pour partir en montagne l été en sécurité www.sports.gouv.fr Avant une sortie Choisissez une activité à votre mesure. Choisissez votre itinéraire en fonction de vos capacités (ne pas se surestimer,
Plus en détailLe 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie
Le 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie Les aides aux activités économiques Franck LEROY Responsable du Service Investissements Collectivités et Industrie Direction Seine Aval
Plus en détailSommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...
1 Sommaire INTRODUCTION... 2 1/ Le contexte général de la commune...3 2/ L état des réseaux...3 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...3 4/ Les solutions retenues par la commune...5 CONCLUSION Carte
Plus en détailRÈGLEM ENT DU S.P.A.N.C. SERVICE PUBLIC D ASSAINISSEM ENT NON COLLECTIF COMMUNAUTÉ DE COMMUNES JURA SUD
RÈGLEM ENT DU S.P.A.N.C. SERVICE PUBLIC D ASSAINISSEM ENT NON COLLECTIF COMMUNAUTÉ DE COMMUNES JURA SUD 87 Avenue de Saint Claude - 39260 Moirans-en-Montagne - Tél. : 03.84.42.61.20 Fax : 03.84.42.38.03
Plus en détailSociété Marocaine d assurance à l exportation CONSORTIUM D EXPORTATION. jeudi 12 janvier 2012 1
Société Marocaine d assurance à l exportation CONSORTIUM D EXPORTATION jeudi 12 janvier 2012 1 La SMAEX Un outil d accompagnement des Consortiums d exportation dans un monde en profonde mutation 2 Conséquences
Plus en détailDIVISION DE BORDEAUX Bordeaux, le 13 septembre 2011. Inspection n INSSN-BDX-2011-0839 du 23 au 25 août 2011 Retour d expérience Fukushima
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE BORDEAUX Bordeaux, le 13 septembre 2011 Référence courrier : CODEP-BDX-2011-049254 Référence affaire : INSSN-BDX-2011-0839 Monsieur le directeur du CNPE de Civaux BP 64
Plus en détailSOMMAIRE 1. CONSIDERATIONS GENERALES... 3
SOMMAIRE 1. CONSIDERATIONS GENERALES... 3 1.1 PORTEE DU PPR... 3 2. EXPLICATIONS CONCERNANT LES REGLES DE CONSTRUCTION UTILISEES DANS LE REGLEMENT... 5 2.1 FAÇADES EXPOSEES... 5 2.2 HAUTEUR PAR RAPPORT
Plus en détailde frayères SUR LE RUISSEAU SAINT-VAAST
RESTAURATION Création de frayères SUR LE RUISSEAU SAINT-VAAST Masse d eau AR13 La Canche Canche classée «cours d eau à migrateurs» au titre de l article L.432-6 et en liste 2 du L.214-17 du code de l environnement
Plus en détailDe la restauration écologique au génie écologique
De la restauration écologique au génie écologique synthèse documentaire Réalisée par : Robert Laugier, ingénieur consultant indépendant robert-laugier@orange.fr, http://laugier.robert.free.fr/ Février
Plus en détailCLOE SYSTEM. Description : Code C100 Vasque d'angle fermée 2 côtés avec bonde et siphon
Fiches techniques the acrylic solid surface Poids net : 115 kg environ Poids brut : 155 kg environ Trop-plein : compris Débit 40 litres/min Capacité eau (jusqu'au trop-plein) : 250 l environ Réglage des
Plus en détailBILAN DU TRANSFERT DES AMPHIBIENS
ZAC du quartier de l école Polytechnique BILAN DU TRANSFERT DES AMPHIBIENS ZAC DU QUARTIER DE L ECOLE POLYTECHNIQUE Commune de Palaiseau Juillet 2014 7C785 Table des matières Table des matières... 2 Liste
Plus en détailEvaluation du Contrat de rivières en Arve et Rhône
Evaluation du Contrat de rivières en Arve et Rhône Synthèse finale Synthèse des phases 1, 2, 3, 4 et 5 de l étude Avril 2012 Sommaire Déroulement de l étude Rappel du cadre de l évaluation Rendu des phases
Plus en détailPLAN DE GESTION ANGUILLE DE LA FRANCE
PLAN DE GESTION ANGUILLE DE LA FRANCE Application du règlement R(CE) n 1100/2007 du 18 septembre2007 VOLET NATIONAL 3 février 2010 1 INTRODUCTION 5 I. PRESENTATION DES UNITES DE GESTION ANGUILLE (UGA)..
Plus en détailBECOME inclue stratégie, innovation et marketing pour générer le développement des entreprises.
BECOME est une action collective complète et globale qui aide les entreprises de Poitou-Charentes à créer et commercialiser de nouveaux produits et services à forte valeur ajoutée écologique et économique.
Plus en détailPROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE
Département Calvados Institution Interdépartementale du Bassin de l Orne PROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE RT DSD 10015EZ phase1-017
Plus en détailEtablissement Public d Aménagement de la Meuse et de ses Affluents
n 4 juillet 2006 Sommaire : Plan d'actions et de Prévention des Inondations : Expérimentation du logiciel Osiris Meuse Lancement de l'étude globale du bassin amont de la Meuse Lancement de l'étude hydraulique
Plus en détailBrochure technique. Escaliers. bpa Bureau de prévention des accidents
Brochure technique Escaliers bpa Bureau de prévention des accidents Les escaliers remplissent depuis toujours la même fonction: ils permettent de passer confortablement d un niveau à un autre. En revanche,
Plus en détailCahier des charges pour la fourniture d éléments numériques. version 2014
Cahier des charges pour la fourniture d éléments numériques version 2014 Despesse Imprimerie 58 rue de la Forêt - 26000 Valence Tél. 04 75 42 43 21 - Fax 04 75 42 15 49 - E.mail : imprimerie@despesse.fr
Plus en détailde faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.
9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation
Plus en détailThème Techniques : 9. Mécanique et maintenance industrielle. 10. Electricité, électronique, électrotechnique et automatisme
Thème Techniques : 9. Mécanique et maintenance industrielle 10. Electricité, électronique, électrotechnique et automatisme 11. Qualité et gestion de la production 12. Hydraulique 13. Organisation industrielle
Plus en détailCARNET D'ENTRETIEN D'UNE INSTALLATION D'ASSAINISSEMENT AUTONOME
CARNET D'ENTRETIEN D'UNE INSTALLATION D'ASSAINISSEMENT AUTONOME SOMMAIRE Comment fonctionne un système d'assainissement non collectif? A vérifier régulièrement Le planning d'entretien La vidange de la
Plus en détailSOUTERRAINE FRANCE-ESPAGNE UNE PREMIÈRE TECHNOLOGIQUE MONDIALE
L INTERCONNEXION ÉLECTRIQUE SOUTERRAINE FRANCE-ESPAGNE UNE PREMIÈRE TECHNOLOGIQUE MONDIALE 2 15 1. France-Espagne, un projet d intérêt européen L interconnexion électrique entre la France et l Espagne
Plus en détailApports des solutions SIG métiers dans la gestion des réseaux d'assainissement
Rencontres Nationales de l'assainissement Collectif Apports des solutions SIG métiers dans la gestion des réseaux d'assainissement Estelle Burckel Directeur Réseaux & Hubert Lorang Directeur de Projets
Plus en détailData loggers SOFREL LT/LT-US Solutions réseaux d eaux usées
Data loggers SOFREL LT/LT-US Solutions réseaux d eaux usées Les data loggers SOFREL LT et LT-US ont été conçus pour la surveillance des réseaux d eaux usées et pluviales (collecteurs, déversoirs d orage,
Plus en détailBaccalauréat technologique annale zéro
éduscol Baccalauréat technologique STI2D Enseignements technologiques transversaux Annale zéro n 2 (Coefficient 8 Durée 4 heures) Aucun document autorisé Calculatrice autorisée ÉTUDE DU BARRAGE DU MONT
Plus en détailLes techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel
Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise
Plus en détailLes compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique
Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Conception, rédaction, réalisation : Parménion/RFF - Crédit photos : Biotope, CREN Poitou-Charentes, Ecosphère, RFF Impression
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailEquipement d un forage d eau potable
Equipement d un d eau potable Mise en situation La Société des Sources de Soultzmatt est une Société d Economie Mixte (SEM) dont l activité est l extraction et l embouteillage d eau de source en vue de
Plus en détailTOPAS PMW-basic Compteur d eau chaude
TOPAS PMW-basic Compteur d eau chaude Application L assortiment TOPAS PMW-basic couvre un large champ d applications dans le secteur d eau chaude. Sa technologie novatrice vous offre une foule de possibilités,
Plus en détailLe suivi de la qualité. Méthode MSP : généralités
Le suivi de la qualité La politique qualité d une entreprise impose que celle maîtrise sa fabrication. Pour cela, elle doit être capable d évaluer la «qualité» de son processus de production et ceci parfois
Plus en détailLES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC
LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour le bassin Rhône Méditerranée,
Plus en détail3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit
P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations
Plus en détail