Épuration des eaux usées STEP de Fribourg

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Épuration des eaux usées STEP de Fribourg"

Transcription

1 Épuration des eaux usées STEP de Fribourg Réalisation Marco Mirata / Folly Mario Laboratoire STEP

2 STEP de Fribourg

3 Sommaire Introduction Epuration des eaux usées Bases légales Evaluation de la pollution Aperçu de diverses installations Conclusion

4 Introduction Pourquoi doit-on épurer les eaux usées? Selon l Ordonnance sur la protection des eaux (OEaux) Art. 1: Le but est de protéger les eaux superficielles et les eaux souterraines contre les atteintes nuisibles et de permettre leur utilisation durable.

5 Introduction Les trois principales catégories d eaux polluées dans le réseau d eaux usées Les eaux des industries Les eaux des ménages Les eaux de ruissellement sur les surfaces imperméables

6 Introduction Notion d équivalent habitant (EH) Un EH correspond à une charge polluante organique biologiquement dégradable déterminée e par une demande biochimique en oxygène de 75g g O 2 /jour pendant 5 jours (DBO 5 ). L équivalent habitant permet le dimensionnement des stations d éd épuration en fonction de la charge polluante.

7 Introduction Cycle et pollution de l eau Source:

8 Epuration des eaux usées Prétraitement (physique) Traitement primaire (physique) Traitement secondaire (chimique & biologique) Traitement tertiaire (physique & biologique) Traitement des boues

9 STEP de Fribourg 11.Stockeur à boues 14.Traitements des odeurs 12.Gazomètre 10.Traitements des boues 6.Déphosphatation 2.Dessableurs Entrée 4.Décanteurs Primaires 5.Bassins D aération I 7.Bassins d aération II 3.Dégrillage fin 1.Dégrillage grossier 13.Traitements des eaux pluviales 9.Nitrification 8.Décanteurs finaux

10 Prétraitement Entrée des eaux usées Traitement eaux pluviales Dégrillage grossier Incinération Dessableurs Décharge inerte Dégrillage fin Incinération

11 Entrée des eaux usées Canal d entrée Bassins d eaux pluviales

12 Dégrillage grossier Rétention mécanique des déchets (papiers, fibres textiles, plastiques, ) de dimension > 15 mm Les déchets sont pressés et évacués en incinération

13 Dessableurs Extraction des eaux usées des sables et des particules minérales Permet d éviter l abrasion des pompes et conduites en aval Amélioration de la décantation du sable au fond du bassin par injection d air Le sable est régulièrement extrait pas des ponts racleurs

14 Dessableurs

15 Dégrillage fin Rétention mécanique de tous les petits corps étrangers (plastique, Q-tips, ) de dimension > 6,0 mm, pouvant perturber le fonctionnement des installations Les déchets sont pressés et évacués en incinération

16 Traitement primaire Entrée des eaux prétraitées Décantation primaire Boues fraîches vers traitement des boues

17 Traitement primaire Décantation primaire et flottation Séparation de toutes les matières insolubles (organiques et minérales) par décantation et flottation Extraction des boues fraîches par des pont racleurs

18 Traitement secondaire (boues activées) Recirculation de la nitrification Recirculation Filtrat et Centrifugat dénitrification Recirculation Bassins d aération Traitement des boues en excès déphosphatation Décantation finale

19 Traitement secondaire (boues activées)

20 Déphosphatation Provenance du phosphore: détergents d industriels, produits de nettoyage sous forme de phosphates principalement. Les phosphates jouent un rôle dans l eutrophisation des eaux. Fe (III) 3+ + PO 4 3- FePO 4 fer ( III ) Phosphates Phosphate de fer (III) ( précipite )

21 Déphosphatation Sulfate de fer (III) Préparation du sulfate de fer (III) Cuves de stockage du sulfate de fer (III) Dosage du sulfate de fer (III)

22 Elimination de la charge carbonée Traitement éliminant l essentiel des agents polluants carbonés biodégradables Dégradation aérobie de la charge carbonée par biomasse épuratrice Biomasse épuratrice: bactéries, protozoaires, Eau usée + biomasse + O 2 Eau épurée + biomasse + CO 2

23 Traitement biologique à boues activées

24 Traitement tertiaire nitrification recirculation vers boues activées Réseau d eau industrielle Sortie eaux épurées

25 Décantation finale Séparation par décantation de la biomasse composée de microorganismes et de phosphates précipités Aspiration des boues par siphonnage L excès de biomasse est traité avec les boues fraîches et le reste est recirculé

26 Nitrification Provenance des composés azotés: déjections humaines et animales. Elimination de l azote ammoniacal par bactéries nitrifiantes fixées sur matériaux filtrants (Nitrosomonas & Nitrobacter) Injection d air (traitement aérobie) Bassins nitrification Oxydation de l ammonium en nitrates NH O 2 Nitrobacter NO H + + H 2 0 Nitrosomonas Soufflantes nitrification Local nitrification

27 Nitrification

28 Dénitrification Recirculation de l eau épurée après nitrification dans une biologie anaérobie Réduction de la charge de NO 3- par transformation en N 2 au moyen d une source carbonée Réduction réalisée par bactéries hétérotrophes (Pseudomonas denitrificans,..)utilisant l oxygène du NO 3- comme accepteur final d électrons NO H e - Pseudomonas 1/2N 2 + 3H 2 0 denitrificans Biologie anaérobie

29 Sortie eaux épurées

30 Traitement des boues Boues en excès Boues fraîches Boues Flottantes Production de biogaz Pré-épaississement Digestion anaérobie Recirculation filtrat Boues Fraîches Importées Stockage Déshydratation recirculation centrifugat incinération des boues

31 Pré-épaississement Récupération des boues de la décantation primaire et de la décantation finale Les boues fraîches contiennent 0.5% de matière sèche Extraction de l eaul au moyen de tables d éd égouttage avec adjonction d un réactif de floculation Teneur en matières sèches après traitement env. 6 % Station de floculation Tables d égouttage

32 Pré-épaississement

33 Digestion anaérobie Stabilisation des boues par une digestion anaérobie Les boues digérées sont pratiquement inodores car la dégradation des matières organiques est fortement ralentie Production de gaz méthane (CH ) principalement 4 Les boues sont chauffées dans des digesteurs à une température de 35 C et brassées par injection périodique de gaz Temps de séjour minimum de : 22 jours

34 Digestion anaérobie Digesteurs (2x m 3 ) Gazomètre (2 500 m 3 )

35 Stockage des boues Volume m 3 18,00 m Stockeur à boues

36 Déshydratation des boues Déshydratation des boues digérées par centrifugation jusqu à une teneur de matières sèches s d environd 25 %

37 Utilisation du pouvoir calorifique Ecologie Coûts Incinération $$$ Exportation pour incinération $$$$ Technique de récupération $$$$

38 Bases légales Loi fédérale du 24 janvier 1991 sur la protection des eaux (LEaux) Ordonnance du 28 octobre 1998 sur la protection des eaux (OEaux) Les cantons représentés par les offices de protection de l environnement sont chargés de faire appliquer ces lois Les exploitations d épuration se doivent de respecter les exigences relatives à l OEaux Réalisation d analyses interstep périodique (selon EH) par les cantons et les exploitations

39 Evaluation de la pollution Selon l OEaux (an. 3), les exigences relatives au déversement d eaux polluées portent sur les paramètres suivants : Substances non dissoutes totales (MeS) Demande biochimique en oxygène (DBO 5 ) Carbone organique dissout (COD) Transparence (Snellen) Ammonium ( (N-NH 4+, N-NH 3 )) Nitrite (N-NO 2- ) Composés organohalogénés (AOX) Phosphore total (P tot ) Azote total

40 Substances non dissoutes totales (MeS) Principe Filtration sur membrane 0,45 µm de 100 ml d eau de sortie Normes > EH: 15 mg/l < EH: 20 mg/l But Détermination de la fraction de matière non dissoute dans l eau de sortie

41 Demande biochimique en oxygène (DBO 5 ) Principe (par dilution) La mesure de l oxygène de l échantillon s effectue au début et après 5 jours. L échantillon est stocké à l abri de la lumière, à 20 C. Normes Pour eau épurée > EH: 15 mg/l O 2 Taux d épuration 90% < EH: 20 mg/l O 2 Taux d épuration 90% But Détermination de la quantité d oxygène en mg/l consommée par les microorganismes présents dans un volume d échantillon durant 5 jours.

42 Carbone organique dissous (COD) Principe L échantillon en milieu acide est agité pour que le carbone inorganique (CO 2 & carbonate) soit libéré. L échantillon est ensuite oxydé, et le CO 2 formé, proportionnel au carbone organique dissous, est mesuré. Normes Pour eau épurée :> EH: 10 mg/l COD COD eaux épurées Taux d épuration 85% 100 x (1- ) COT eaux polluées But Mesure de la charge organique Analyse du carbone organique total (COT): échantillon non filtré Analyse du carbone organique dissous (COD): échantillon filtré sur membrane 0,45 µm

43 Demande chimique en oxygène (DCO) Principe Pour la mesure de la DCO, l échantillon est chauffé pendant 2 heures à 146 C avec la présence de bichromate de potassium (Cr 2 K 2 O 7 ), un oxydant puissant. Les composés organiques oxydables réduisents l ion chromate Cr 6+ en ion chrome Cr 3+ (vert). La coloration est proportionnelle à la DCO. Normes Analyse ne figurant plus dans l OEaux l car cette méthode m utilise des réactifs r très polluants comme le mercure, le chrome, etc remplacée e par le COT et COD. But Détermination de la matière organique et inorganique oxydable chimiquement. DCO 2.2 sur les eaux usées brutes DBO 5

44 Transparence (Snellen) Principe Détermination optique de la distance de vision des caractères de référence en vidant l échantillon d eau épurée à l aide du tube de Snellen. Norme Eau épurée: 30 cm But Détermination de la qualité optique de l eau épurée

45 Ammonium ( (N-NH 4+, N-NH 3 )) Principe Combinaison de l ammonium avec le chlore du monochloramine. Le monochloramine réagit avec le salicylate pour former le 5-aminosalicylate. Le 5-aminosalicilate est oxydé par le catalyseur nitroprusside d ammonium. La coloration verte finale est proportionnelle à la concentration d ammonium. Norme Eau épurée: 2 mg/l N Taux d efficacité de traitement 90% N-NH + 4 eaux épurées N TK eaux brutes 100 x (1- ) But Détermination de l efficacité du traitement d épuration des composés azotés. N tk : azote Kjeldahl (N tk = N tot (NO 2, NO 3 ))

46 Nitrites (N-NO 2- ) Principe Les nitrites contenus dans l échantillon réagissent avec l acide sulfanilique pour former un sel de diazonium. Ce complexe, en présence d acide chromotripic forme une coloration rose proportionnelle à la concentration en nitrites. Normes Eau épurée: 0.3 mg/l N (valeur indicative) But Détermination de l efficacité du traitement d épuration des composés azotés. Paramètre critique pour la biocénose aquatique

47 Composés organohalogénés (AOX) Principe L échantillon est oxydé en milieu acide, le chlore libéré est transformé en chlorure (Cl - ) et ensuite complexé. La coloration obtenue est proportionnelle à la concentration d AOX Norme Eau épurée: 0,08 mg/l X But Détermination des composés halogénés absorbables, des pesticides et autres composés organiques provenant des eaux usées industrielles.

48 Phosphore total (P tot ) Principe L échantillon est oxydé en milieu acide afin de transformer le P organique en P minéral (orthophosphate: PO 4 3- ). Le PO 4 3- en solution réagit ave le molybdate d ammonium pour former l acide molybdophosphorique. Ce complexe est ensuite réduit par un acide aminé d une coloration bleue (phosphomolybdique) proportionnelle à la concentration en phosphore. Norme Eau épurée: 0,8mg/l P Taux d épuration par rapport aux eaux polluées brutes : 80% But Détermination de l efficacité du traitement d épuration des composés phosphorés. Paramètre critique pour l eutrophisation des eaux.

49 Aperçu de diverses installations Traitement de l air vicié Production d énergie avec moteur à gaz Types de pompes

50 Traitement de l air vicié Désodorisation de l air provenant des différents ouvrages de traitement des eaux usées et des boues sur des tours de lavage et des biofiltres Biofiltres Tours de lavage Tour de lavage

51 Production d énergie avec moteur à gaz Production d énergie électrique et thermique grâce au biogaz formé par la digestion anaérobie des boues Couvre jusqu à 45% des besoins en énergie électrique de la STEP Moteur à gaz

52 Type de pompes Pompe moineau Pompe centrifuge Pompe à membrane

53 Pompe moineau Pompe moineau pour extraction des boues ( 10 m 3 /h) V

54 Pompe centrifuge Pompes centrifuge pour eaux usées ( 360 m 3 /h) V

55 Pompe à membrane Pompe à membrane pour le dosage de réactifs

56 Conclusion Toute cette chaîne de traitement pour obtenir : Protection de l environnement Recyclage, récupération d énergie Taxe du pollueur payeur!

57 Questions?

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la

Plus en détail

Exemple du SATESE MAGE 42

Exemple du SATESE MAGE 42 LE LAGUNAGE Exemple du SATESE MAGE 42 Rapide état des lieux Perspectives d association avec le procédé Filtre Planté de roseaux LAGUNAGES DU DEPARTEMENT DE LA LOIRE Conception et dimensionnement Principaux

Plus en détail

Demande chimique en oxygène

Demande chimique en oxygène Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse

Plus en détail

PROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS

PROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS PROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS 1 I. OÙ TROUVER LES DONNÉES ET COMMENT LES ACQUÉRIR I. Où trouver les données et comment

Plus en détail

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des

Plus en détail

10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel

10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel 10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences

Plus en détail

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Plus en détail

QU EST-CE QUE LA CHLORATION?

QU EST-CE QUE LA CHLORATION? QU EST-CE QUE LA CHLORATION? Qu est-ce que la chloration? Des micro-organismes peuvent être trouvés dans des rivières, lacs et eau souterraine. Même si ce ne sont pas tous les micro-organismes qui peuvent

Plus en détail

SELLE Masse d'eau AR51

SELLE Masse d'eau AR51 SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E

www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E Solutions pour l analyse de l eau en ligne AnaSense Analyseur en ligne d AGV, des bicarbonates

Plus en détail

Puissant et écologique à la fois

Puissant et écologique à la fois Puissant et écologique à la fois La technologie innovante de désinfection et d oxydation à l ozone économique et écologique www.prominent.com L ozone Un puissant désinfectant La plus-value à la clé : une

Plus en détail

CONTRÔLE ANNUEL DES STATIONS D'ÉPURATION (STEP) MONITORING OF WASTE WATER TREATMENT PLANTS (WWTP)

CONTRÔLE ANNUEL DES STATIONS D'ÉPURATION (STEP) MONITORING OF WASTE WATER TREATMENT PLANTS (WWTP) Rapp. Comm. int. prot. eaux Léman contre pollut., Campagne 2010, 2011, 181-189. CONTRÔLE ANNUEL DES STATIONS D'ÉPURATION (STEP) MONITORING OF WASTE WATER TREATMENT PLANTS (WWTP) Campagne 2010 PAR Audrey

Plus en détail

ACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-1663 rév. 5. Satisfait aux exigences de la norme NF EN ISO/CEI 17025 : 2005 Fulfils the requirements of the standard

ACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-1663 rév. 5. Satisfait aux exigences de la norme NF EN ISO/CEI 17025 : 2005 Fulfils the requirements of the standard Convention N 2393 Section Laboratoires ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE N 1-1663 rév. 5 Le Comité Français d'accréditation (Cofrac) atteste que : The French Committee for Accreditation

Plus en détail

Démarrage d une station de traitement biologique par nitrification/dénitrification Sans apport initial de boue activée

Démarrage d une station de traitement biologique par nitrification/dénitrification Sans apport initial de boue activée Démarrage d une station de traitement biologique par nitrification/dénitrification Sans apport initial de boue activée L application de la circulaire Voynet-Le pensec et la mise en place des programmes

Plus en détail

1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE

1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE Nom commercial Fournisseur Service des renseignements Renseignements en cas d'urgence Andermatt Biocontrol AG Stahlermatten 6,

Plus en détail

Catalogue. Analyse de l eau en laboratoire Instruments photométriques et électrochimiques, réactifs et services

Catalogue. Analyse de l eau en laboratoire Instruments photométriques et électrochimiques, réactifs et services Catalogue Analyse de l eau en laboratoire Instruments photométriques et électrochimiques, réactifs et services 2 PRÉSENTATION www.hach-lange.com Instruments de photométrie et d électrochimie, réactifs

Plus en détail

Physique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,

Physique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -, Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence

Plus en détail

EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON

EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement

Plus en détail

4. Conditionnement et conservation de l échantillon

4. Conditionnement et conservation de l échantillon 1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique

Plus en détail

ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey

ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey Août 2009 modifié Avril 2013 1 : Feuille décor imprimée ou teintée dans la masse, imprégnée de résine mélamine 2 : Surface de protection imprégnée

Plus en détail

CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT

CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT 1 Relations alimentaires entre les êtres vivants 1 1 Les chaines alimentaires. Une chaine alimentaire est constituée par une succession d êtres vivants

Plus en détail

Mesure de conductivité on-line. Mesurer Surveiller Régler. Mesure de conductivité on-line. Eaux d égout communales et eaux usées industrielles

Mesure de conductivité on-line. Mesurer Surveiller Régler. Mesure de conductivité on-line. Eaux d égout communales et eaux usées industrielles Mesure de conductivité on-line Mesurer Surveiller Régler La mesure de conductivité est un paramètre reconnu, dont on ne peut plus se passer en analyse moderne des process, des eaux et eaux usées. On utilise

Plus en détail

Energy Optimization System (EOS) Pour les stations d épurations

Energy Optimization System (EOS) Pour les stations d épurations Energy Optimization System (EOS) Pour les stations d épurations Water EOS par Schneider Electric Water EOS est une solution testée, validée et documentée. Elle est, dans cette version, dédiée et pré-définie

Plus en détail

Contexte : Objectif : Expérimentation :

Contexte : Objectif : Expérimentation : Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote

Plus en détail

La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre.

La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre. Contexte / Objectifs La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre. A titre d exemple, pour compenser les émissions

Plus en détail

Assainissement des campings. - 11 janvier 2011

Assainissement des campings. - 11 janvier 2011 Assainissement des campings - 11 janvier 2011 Etat des lieux de l assainissement non collectif (ANC) en Finistère Caractéristiques des eaux usées des campings Contexte et cadre réglementaire Les chiffres

Plus en détail

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance

Plus en détail

Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ) / Office National de l Assainissement (ONAS)

Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ) / Office National de l Assainissement (ONAS) Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ) / Office National de l Assainissement (ONAS) PROGRAMME DE GESTION DURABLE ET INTEGREE DE L EAU (SWIM) MISSION POUR L ETUDE D EVALUATION DE LA SITUATION

Plus en détail

ASSAINISSEMENT DES EAUX

ASSAINISSEMENT DES EAUX 1 TITRE BROCHURE Titre rapport Xxx ASSAINISSEMENT DES EAUX USéES Rapport d exploitation 2011 xxx Xxx Xxx Sommaire 2 Sommaire éditorial 2 Ressources humaines 4 SITUATION DES HABITANTS RACCORDéS 6 Volume

Plus en détail

Le ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc.

Le ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Le ph, c est c pas compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Conseiller en serriculture Des réponses r aux questions C est quoi et pourquoi c est c important? Conséquences d un d débalancementd? Comment

Plus en détail

VERITAS TUNISIE CATALOGUE ANALYSES LABORATOIRE

VERITAS TUNISIE CATALOGUE ANALYSES LABORATOIRE VERITAS TUNISIE CATALOGUE ANALYSES LABORATOIRE Agro-alimentaire et Environnement SOMMAIRE Page Introduction 1 Analyses microbiologiques 5 Microbiologie des aliments 6 Microbiologie des eaux 7 Microbiologie

Plus en détail

5. Matériaux en contact avec l eau

5. Matériaux en contact avec l eau Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte

Plus en détail

Retours d expérience du SATESE 37

Retours d expérience du SATESE 37 Les filières d épuration pour les petites collectivités Retours d expérience du SATESE 37 Syndicat d Assistance Technique pour l Epuration et le Suivi des Eaux d Indre et Loire Domaine d activité papillon

Plus en détail

A B C Eau Eau savonneuse Eau + détergent

A B C Eau Eau savonneuse Eau + détergent 1L : Physique et chimie dans la cuisine Chapitre.3 : Chimie et lavage I. Les savons et les détergents synthétiques 1. Propriétés détergentes des savons Le savon est un détergent naturel, les détergents

Plus en détail

Une solution parfaitement adaptée

Une solution parfaitement adaptée INFORMATIONS ANALYSE EN CONTINU DES NITRATES NISE SC / NITRATAX SC NOUVEAU! ME SU RE DES N I T R AT ES EN LIGNE Une solution parfaitement adaptée Sondes de nitrate utilisant les technologies UV et électrodes

Plus en détail

GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF

GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Actualisé 22/02/2008 - FL GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Un bon entretien de votre spa comporte 2 étapes indissociables : le traitement mécanique et le traitement chimique. TRAITEMENT

Plus en détail

Région du lac de Gras

Région du lac de Gras E. Davey and W. Puznicki le 3 août 1997 Division de la gestion des eaux Affaires indiennes et du Nord canadien, Yellowknife (T. N.-O.) Résumé Dans ce rapport, on présente les résultats d'une étude sur

Plus en détail

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015 Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence

Plus en détail

DAIRYMAN aux Pays-Bas

DAIRYMAN aux Pays-Bas DAIRYMAN aux Pays-Bas Frans Aarts, Wageningen-UR 15 October 2013 Le secteur laitiers Néerlandais: Une place importante Une production intensive 65% des surfaces agricoles dédiées à la production laitière

Plus en détail

FICHE DE DONNEE SECURITE

FICHE DE DONNEE SECURITE Degy Anti-fourmis 28/03/12 page1/6 FICHE DE DONNEE SECURITE 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PREPARATION ET DU FOURNISSEUR Désignation commerciale: DEGY ANTI-FOURMIS Utilisation de la préparation : Produit

Plus en détail

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4) PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com

Plus en détail

Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide.

Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide. Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES Guide d entretien Aillevans - Athesans Etroitefontaine - Autrey Le Vay - Beveuge - Bonnal

Plus en détail

L assainissement des eaux usées en agglomération parisienne : principes et procédés SCIENCES ET TECHNIQUES / COLLÈGE ET LYCÉE LIVRET PÉDAGOGIQUE

L assainissement des eaux usées en agglomération parisienne : principes et procédés SCIENCES ET TECHNIQUES / COLLÈGE ET LYCÉE LIVRET PÉDAGOGIQUE L assainissement des eaux usées en agglomération parisienne : principes et procédés LIVRET PÉDAGOGIQUE Préambule L assainissement se définit comme l ensemble des techniques de collecte, de transport et

Plus en détail

33-Dosage des composés phénoliques

33-Dosage des composés phénoliques 33-Dosage des composés phénoliques Attention : cette manip a été utilisée et mise au point pour un diplôme (Kayumba A., 2001) et n a plus été utilisée depuis au sein du labo. I. Principes Les composés

Plus en détail

Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet

Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet A Introduction : ) Définitions : Titre Alcalimétrique (T.A.) : F m / L T.A. T.A.C. Définition : C'est le volume d'acide (exprimé en ml) à 0,0 mol.l

Plus en détail

Photométrie. Série photoflex. Polyvalence. Tests en tubes sans code-barre. Tests poudre

Photométrie. Série photoflex. Polyvalence. Tests en tubes sans code-barre. Tests poudre Photométrie Mesurer tout simplement WTW propose les photomètres adaptés à vos applications et les tests correspondants. Les appareils et les kits de test sont parfaitement harmonisés (mise en mémoire de

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

Burette TITRONIC Titrateurs TitroLine

Burette TITRONIC Titrateurs TitroLine Burette TITRONIC Titrateurs TitroLine 22 rue de l'hermite 33520 BRUGES Tél. 05 56 16 20 16 - Fax 05 56 57 68 07 info-devis@atlanticlabo-ics.fr - www.atlanticlabo-ics.fr Un pas en avant pour la titration

Plus en détail

CM2E 2014. Colloque Martinique Energie Environnement. Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation

CM2E 2014. Colloque Martinique Energie Environnement. Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation CM2E 2014 Colloque Martinique Energie Environnement Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation M. Torrijos, Laboratoire de Biotechnologie de l Environnement, INRA-LBE,

Plus en détail

COMMENTAiRES/ DECISIONS

COMMENTAiRES/ DECISIONS Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N

Plus en détail

La technologie écologique rend la vie plus harmonieuse

La technologie écologique rend la vie plus harmonieuse La technologie écologique rend la vie plus harmonieuse SAS RECYCL EAU au capital de 30 294,88 contact@recycleau.fr 150 avenue des Ferrailles N SIRET : 515 330 009 00017 www.recycleau.fr 84800 Isle sur

Plus en détail

COMPARAISON DE DEUX MÉTHODES D ANALYSE POUR LA MESURE DU PHOSPHORE EN MILIEU AQUATIQUE

COMPARAISON DE DEUX MÉTHODES D ANALYSE POUR LA MESURE DU PHOSPHORE EN MILIEU AQUATIQUE COMPARAISON DE DEUX MÉTHODES D ANALYSE POUR LA MESURE DU PHOSPHORE EN MILIEU AQUATIQUE Décembre 2006 Dépôt légal Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2006 ISBN-13 : 978-2-550-48684-8 (PDF) ISBN-10

Plus en détail

BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie

BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie La gestion responsable des eaux pluviales : UNE SOLUTION ACTUELLE POUR UN AVENIR DURABLE L eau est une ressource essentielle à toute forme de vie sur Terre.

Plus en détail

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise

Plus en détail

STI2D ANALYSE COMPARATIVE DE CYLE DE VIE TERRAIN EN GAZON NATUREL OU SYNTHETIQUE

STI2D ANALYSE COMPARATIVE DE CYLE DE VIE TERRAIN EN GAZON NATUREL OU SYNTHETIQUE STI2D ANALYSE COMPARATIVE DE CYLE DE VIE TERRAIN EN GAZON NATUREL OU SYNTHETIQUE Caractéristiques des terrains étudiés Complétez le schéma ci- dessus et le tableau ci- dessous Unité fonctionnelle A partir

Plus en détail

Gestion moteur véhicules légers

Gestion moteur véhicules légers Module 8 Gestion moteur véhicules légers Orientation véhicules légers Diagnosticien d'automobiles avec brevet fédéral Orientation véhicules utilitaires Modules 7 à 9 Modules 10 à12 Modules 1 à 6 UPSA,

Plus en détail

"COMMUNICATION SCIENTIFIQUE EXCEPTIONNELLE"

COMMUNICATION SCIENTIFIQUE EXCEPTIONNELLE "COMMUNICATION SCIENTIFIQUE EXCEPTIONNELLE" La loi d'épuration expérimentale TILLIÉ-TURCO Deux chercheurs niçois, spécialistes de la valorisation des Déchets Industriels Réutilisables - les "D.I.R" comme

Plus en détail

TITRONIC et TitroLine. Les nouveaux titrateurs et burettes

TITRONIC et TitroLine. Les nouveaux titrateurs et burettes TITRONIC et TitroLine Les nouveaux titrateurs et burettes Un pas en avant pour la titration Si vous cherchez l innovation: SI Analytics vous propose ses nouveaux TitroLine 6000 et 7000 et ses nouvelles

Plus en détail

Indicateurs de ph Tests qualitatifs Tests semi-quantitatifs. Tests rapides pour plus de 40 substances MACHEREY-NAGEL

Indicateurs de ph Tests qualitatifs Tests semi-quantitatifs. Tests rapides pour plus de 40 substances MACHEREY-NAGEL Indicateurs de ph Tests qualitatifs Tests semi-quantitatifs Tests rapides pour plus de 40 substances MACHEREY-NAGEL MACHEREY-NAGEL Bienvenue MACHEREY-NAGEL, entreprise indépendante, fondée en 1911, son

Plus en détail

MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE

MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE (Radiateurs et planchers chauffants) Brevet de désembouage N 0116861 EURO FILTR'EAUX 18/22 RUE D ARRAS - F 92000 NANTERRE TÉL. : (33) 01 30 94 37 60 FAX

Plus en détail

ne définition de l arbre.

ne définition de l arbre. LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement

Plus en détail

Les piscines à usage collectif Règles sanitaires. à usage collectif

Les piscines à usage collectif Règles sanitaires. à usage collectif Déclaration d ouverture La déclaration d ouverture d une piscine (accompagnée d un dossier justificatif) est à adresser en 3 exemplaires à la mairie d implantation de l établissement et un exemplaire en

Plus en détail

LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships.

LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships. les pneus sont sécuritaires LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Réutiliser un vieux pneu dans un Earthship, où il devient une ressource utile et passe le reste de son temps dans

Plus en détail

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH 4 e Rencontres de l eau 20 mars 2015, UNIL Nathalie Menétrey Hydrobiologiste Bureau d étude aquatique et

Plus en détail

Version: 1.0 Date de révision: 22.12.2014. 1. Identification de la substance/ du mélange et de la société/ l'entreprise

Version: 1.0 Date de révision: 22.12.2014. 1. Identification de la substance/ du mélange et de la société/ l'entreprise 1. Identification de la substance/ du mélange et de la société/ l'entreprise 1.1 Identificateur de produit Nom commercial : 1.2 Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et utilisations

Plus en détail

(Ordonnance sur le Livre des aliments pour animaux, OLALA) Le Département fédéral de l économie (DFE) arrête:

(Ordonnance sur le Livre des aliments pour animaux, OLALA) Le Département fédéral de l économie (DFE) arrête: Ordonnance sur la production et la mise en circulation des aliments pour animaux, des additifs destinés à l alimentation animale et des aliments diététiques pour animaux (Ordonnance sur le Livre des aliments

Plus en détail

Qu'est-ce que la biométhanisation?

Qu'est-ce que la biométhanisation? Qu'est-ce que la biométhanisation? La biométhanisation consiste en une série d'opérations de dégradations biologiques de matières organiques qui se produisent en l'absence d'oxygène. Les produits résultants

Plus en détail

PH Moins 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/DU MÉLANGE ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE. Postbus 12 5373 ZG Herpen Pays-Bas +31 (0) 486 416 959

PH Moins 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/DU MÉLANGE ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE. Postbus 12 5373 ZG Herpen Pays-Bas +31 (0) 486 416 959 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/DU MÉLANGE ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE Nom de product Acide phosphorique 59% Article no. Substance/préperation substance L utilisation de la substance ajustement du ph

Plus en détail

Le développement durable peut-il se passer d engrais minéraux?

Le développement durable peut-il se passer d engrais minéraux? Avec la participation i de l Le développement durable peut-il se passer d engrais minéraux? Philippe EVEILLARD UNIFA Union des Industries de la Fertilisation Le développement durable et l agriculture :

Plus en détail

LA STRATEGIE CARBONE DU GROUPE OCP Saïd Mouline Conseiller du Président CONFERENCE NATIONALE LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES AU MAROC: DEFIS ET OPPORTUNITES RABAT, 11-12 février 2009 50% des réserves du Monde

Plus en détail

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51

Plus en détail

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important

Plus en détail

TP n 1: Initiation au laboratoire

TP n 1: Initiation au laboratoire Centre Universitaire d El-Tarf Institut des Sciences Agronomiques 3 ème année Contrôle de Qualité en Agroalimentaire TP n 1: Initiation au laboratoire Introduction L analyse de la matière vivante au laboratoire

Plus en détail

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et

Plus en détail

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».

Plus en détail

L eau à l intérieur des bâtiments: aspects règlementaires

L eau à l intérieur des bâtiments: aspects règlementaires L eau à l intérieur des bâtiments: aspects règlementaires 01 La règlementation concernant la qualité des eaux destinées à la consommation humaine s applique sans restriction aux installations d eau à l

Plus en détail

M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y

M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y 15 Octobre 1954 BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES GEOPHYSIQUES

Plus en détail

FICHE DE DONNÉES DE SECURITÉ Demand CS

FICHE DE DONNÉES DE SECURITÉ Demand CS 01. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIÉTÉ Nom commercial Code produit Usage envisagé LAMB97201 A UTILISER COMME INSECTICIDE UNIQUEMENT Le produit doit être utilisé conformément à l'étiquette Apparence

Plus en détail

SOFTSOAP LIQUID HAND SOAP PUMP SEA MINERAL / SAVON HYDRATATANT POUR LES MAINS POMPE MINERAL MARIN

SOFTSOAP LIQUID HAND SOAP PUMP SEA MINERAL / SAVON HYDRATATANT POUR LES MAINS POMPE MINERAL MARIN SECTION 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Nom du produit : SOFTSOAP LIQUID HAND SOAP PUMP SEA MINERAL / SAVON HYDRATATANT POUR LES MAINS POMPE MINERAL MARIN Numéro de la FS 200000028817 No.-CAS

Plus en détail

Traitement des sols fins compactés : contribution à la reconnaissance des conditions défavorables

Traitement des sols fins compactés : contribution à la reconnaissance des conditions défavorables Traitement des sols fins compactés : contribution à la reconnaissance des conditions défavorables d à la prise Thèse Tangi Le Borgne Directeur de thèse : F. Masrouri (LAEGO) Conseillers d étude : O. Cuisinier

Plus en détail

Maximum Yield Technology. Maximum Yield Technolog technologie à rendement maximal

Maximum Yield Technology. Maximum Yield Technolog technologie à rendement maximal MYT Business Unit Zweckverband Abfallbehandlung Kahlenberg (ZAK) Bergwerkstraße 1 D-77975 Ringsheim Téléphone : +49 (0)7822 8946-0 Télécopie : +49 (0)7822 8946-46 E-mail : info@zak-ringsheim.de www.zak-ringsheim.de

Plus en détail

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3 Nr. Article- Produit : 48785 Page: Page 1 En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032 Zürich; Tél. des Urgences: ( jour et nuit) 145 ou +41 (0)44 251 51 51.

Plus en détail

2 C est quoi la chimie?

2 C est quoi la chimie? PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc

Plus en détail

LES FUMIERS DE BOVINS LAITIERS : UNE RESSOURCE QUI SE GÈRE

LES FUMIERS DE BOVINS LAITIERS : UNE RESSOURCE QUI SE GÈRE LES FUMIERS DE BOVINS LAITIERS : UNE RESSOURCE QUI SE GÈRE CONFÉRENCIÈRE Suzelle Barrington COLLABORATEURS Daniel Massé Claude Laguë Michel Fortier Denis Côté CPAQ-1997 SYMPOSIUM SUR LES BOVINS LAITIERS

Plus en détail

Vulcano Pièges Fourmis

Vulcano Pièges Fourmis FDS Conforme au règlement 1907/2006/CE et 1272/2008/CE 16-12-10- Page 1/5 FICHES DE DONNEES DE SECURITE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Produit : Utilisation : Fournisseur : Vulcano Pièges

Plus en détail

D-6416-2010. Le système de détection de gaz pour votre bâtiment : protection et sécurité DRÄGER VARIOGARD

D-6416-2010. Le système de détection de gaz pour votre bâtiment : protection et sécurité DRÄGER VARIOGARD D-6416-2010 Le système de détection de gaz pour votre bâtiment : protection et sécurité DRÄGER VARIOGARD 2 La technologie pour la vie Depuis plus de trente ans, Dräger développe, produit et commercialise

Plus en détail

La baignade en piscine est un plaisir

La baignade en piscine est un plaisir La baignade en piscine est un plaisir et doit le rester. C est également un facteur d attrait touristique dans notre région. Cependant une piscine mal gérée et mal entretenue peut être la source d inconfort

Plus en détail

VILLE DE QUÉBEC RÈGLEMENT R.V.Q. 416 RÈGLEMENT SUR LA QUANTITÉ ET LA QUALITÉ DES EAUX USÉES

VILLE DE QUÉBEC RÈGLEMENT R.V.Q. 416 RÈGLEMENT SUR LA QUANTITÉ ET LA QUALITÉ DES EAUX USÉES VILLE DE QUÉBEC RÈGLEMENT R.V.Q. 416 RÈGLEMENT SUR LA QUANTITÉ ET LA QUALITÉ DES EAUX USÉES Avis de motion donné le 18 août 2003 Adopté le 2 septembre 2003 En vigueur le 6 août 2004 NOTES EXPLICATIVES

Plus en détail

Document SODEXO Réservé à un usage pédagogique LE CONTEXTE. Limiter les impacts des opérations de nettoyage et de désinfection.

Document SODEXO Réservé à un usage pédagogique LE CONTEXTE. Limiter les impacts des opérations de nettoyage et de désinfection. Equipements durables Limiter les impacts des opérations de nettoyage et de désinfection LE CONTEXTE Règlementaire Selon la loi du 13 juillet 1992, tout producteur ou détenteur d'un déchet est tenu d'en

Plus en détail

FICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ conformément au Règlement (CE) nº1907/2006 REACH Nom : KR-G KR-G

FICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ conformément au Règlement (CE) nº1907/2006 REACH Nom : KR-G KR-G KR-G Page 1 de 5 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE 1.1 Identificateur de produit : Nom du produit : KR-G 1.2 Utilisations identifiées pertinentes de la substance

Plus en détail

ETUDE DU RESAU HYDRAULIQUE DE LA STATION BIOLOGIQUE DE PAIMPONT

ETUDE DU RESAU HYDRAULIQUE DE LA STATION BIOLOGIQUE DE PAIMPONT ETUDE DU RESAU HYDRAULIQUE DE LA STATION BIOLOGIQUE DE PAIMPONT Auteurs : BERLEMONT Denis DUCROCQ Mélodie LAUTERS Marion PRIOUL Benoît THINZILAL Florence 08 /04 /2006 Sommaire Résumé... 4 A. INTRODUCTION...

Plus en détail

Rapport général «Etat initial»

Rapport général «Etat initial» Cabinet Cabanes 15 Avril 2008 Révision : 2. 4 ASSISTANCE A MAITRISE D OUVRAGE POUR LA PROCEDURE DE CHOIX DU NOUVEAU MODE DE GESTION DU SERVICE PUBLIC DE L EAU Rapport général «Etat initial» Sous rapport

Plus en détail

Production mondiale d énergie

Production mondiale d énergie Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum

Plus en détail

Fiche d application. 7 octobre 2013 1.0

Fiche d application. 7 octobre 2013 1.0 MINISTÈRE DE L ÉGALITÉ DES TERRITOIRES ET DU LOGEMENT MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Diagnostic de Performance Energétique Fiche d application Date Version 7 octobre

Plus en détail

LV51. Sunlight Professional Soft. Adoucissant professionnel pour tout type de linge. Description. Propriétés principales.

LV51. Sunlight Professional Soft. Adoucissant professionnel pour tout type de linge. Description. Propriétés principales. Sunlight Professional Soft Adoucissant professionnel pour tout type de linge LV51 Description Sunlight Professional Soft est un adoucissant spécialement formulé pour une utilisation en blanchisserie industrielle

Plus en détail

LA A RESPIRATION CELLULAIRE

LA A RESPIRATION CELLULAIRE Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles

Plus en détail

SERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière

Plus en détail

Liquides oraux : et suspensions. Préparations liquides pour usage oral. Solutions

Liquides oraux : et suspensions. Préparations liquides pour usage oral. Solutions Préparations pharmaceutique Cours de en 2ème petites Année quantités de Master en Pharmacie Liquides oraux : solutions, Préparation sirops pharmaceutique et suspensions en petites quantités Section des

Plus en détail

FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC

FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC 1/5 FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC Identification de la préparation 1. Identification de la préparation de l entreprise Nom commercial: FUMESAAT 500 SC Identification Produit : éthofumésate 500 SC Substance

Plus en détail