Infections urinaires (IU) liées aux soins
|
|
- Renaud Lamontagne
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Infections urinaires (IU) liées aux soins «Contrôle des urines» OMEDIT 18 juin 2015 Manuel ETIENNE Maladies infectieuses, GRAM (EA2656) CHU Rouen
2 Aucun
3 Rubrique : «docs» consensus et recommandations
4 Q1 : Comment définir et diagnostiquer les IUAS? Q2 : Qui faut-il traiter? Q3 : Comment faut-il traiter? Q4 : Comment prévenir les infections sur matériel de drainage urinaire?
5 Edmonde, 81 ans, réside depuis 2 mois en USLD (Unité de soins de Longue Durée). La famille vient vous signaler qu Edmonde a une infection urinaire (IU) car ses urines sont très nauséabondes. A. Edmonde a une infection urinaire liée aux soins B. L infection n est pas liée aux soins C. Vous leur répondez qu Edmonde n a pas d IU D. ECBU, si + = infection urinaire
6 Edmonde, 81 ans, réside depuis 2 mois en USLD (Unité de soins de Longue Durée). La famille vient vous signaler qu Edmonde a une infection urinaire (IU) car ses urines sont très nauséabondes. A. Edmonde a une infection urinaire liée aux soins B. L infection n est pas liée aux soins C. Vous leur répondez qu Edmonde n a pas d IU D. ECBU, si + = infection urinaire
7 La famille vient vous signaler qu Edmonde a une infection urinaire (IU) car ses urines sont très nauséabondes. 1. S agit-il d une IU? 2. Doit-on se considérer dans un contexte «lié aux soins»?
8 La famille vient vous signaler qu Edmonde a une infection urinaire (IU) car ses urines sont très nauséabondes. 1. S agit-il d une IU? Signes d IU : - en l absence de sonde urinaire, cf. IU communautaires - chez le sujet âgé : recherche des critères OBJECTIFS (Mc Geer), éliminer les infections d autres sites
9 La famille vient vous signaler qu Edmonde a une infection urinaire (IU) car ses urines sont très nauséabondes. 1. S agit-il d une IU? Signes d IU : - en l absence de sonde urinaire, cf. IU communautaires - chez le sujet âgé : recherche des critères OBJECTIFS (Mc Geer), éliminer les infections d autres sites
10 La famille vient vous signaler qu Edmonde a une infection urinaire (IU) car ses urines sont très nauséabondes. 2. Doit-on se considérer dans un contexte «lié aux soins»? «Au cours ou au décours d une prise en charge diag/thérap/préventive/éducative plutôt que selon le lieu de résidence Dans un délai compatible plutôt que > 48h > 48h après chirurgie au contact de l urine, en cas de présence d un dispositif endo-urinaire, ou <7j après son retrait.
11 Vous aidez Edmonde à mieux s hydrater, mais 3 jours plus tard, Edmonde devient fébrile. Un ECBU confirme une bactériurie >10 5 UFC/mL. A. Elle a très probablement une infection urinaire liée aux soins B. Traitement ATB C. L ECBU a une faible valeur prédictive positive d IU D. Toujours pas de traitement ATB
12 Vous aidez Edmonde à mieux s hydrater, mais 3 jours plus tard, Edmonde devient fébrile. Un ECBU confirme une bactériurie >10 5 UFC/mL. A. Elle a très probablement une infection urinaire liée aux soins B. Traitement ATB C. L ECBU a une faible valeur prédictive positive d IU D. Toujours pas de traitement ATB
13 Vous aidez Edmonde à mieux s hydrater, mais 3 jours plus tard, Edmonde devient fébrile. Un ECBU confirme une bactériurie >10 5 UFC/mL. 1/ nous ne sommes toujours pas dans un contexte lié aux soins 2/ ECBU : faible valeur prédictive positive dans ce contexte! (1 à 5% chez la femme jeune) 25-50% des femmes en institution 15-40% des hommes en institution Valeur prédictive positive de l ECBU < 20%! Dans ce contexte, l ECBU : stérile, écarte le diagnostic + n incite pas à instaurer un traitement ATB + guide le traitement s il est instauré
14 Vous aidez Edmonde à mieux s hydrater, mais 3 jours plus tard, Edmonde devient fébrile. Un ECBU confirme une bactériurie >10 5 UFC/mL. 3/ Long séjour ET > 65 ans ET T > 38 C ET Bactériurie 10 5 CFU/mL = IU dans moins de 10% des cas! Orr (1996) Am J Med(100), 71-7
15 Edmonde avait une rétention aiguë d urines. Elle a désormais une sonde urinaire à demeure. A. Un drainage sus-pubien aurait réduit le risque d IU B. Un changement mensuel diminue le risque d IU C. Le retrait de la sonde urinaire est envisagé chaque jour, réalisé en fin de nuit D. En cas d IU trop fréquentes, une prophylaxie par cotrimoxazole pourra être envisagée
16 Edmonde avait en fait une rétention aiguë d urines. Elle a désormais une sonde urinaire à demeure. A. Un drainage sus-pubien aurait réduit le risque d IU B. Un changement mensuel diminue le risque d IU C. Le retrait de la sonde urinaire est envisagé chaque jour, réalisé en fin de nuit D. En cas d IU trop fréquentes, une prophylaxie par cotrimoxazole pourra être envisagée
17 Edmonde avait en fait une rétention aiguë d urines. Elle a désormais une sonde urinaire à demeure. Le cathéterisme sus-pubien : améliore le confort diminue le risque de bactériurie diminue le nombre de re-cathétérisation MAIS Augmente la mortalité Expose à plus de complications (perforations digestives = 3%)
18 Edmonde avait en fait une rétention aiguë d urines. Elle a désormais une sonde urinaire à demeure. La sonde urinaire : 10% de colonisation à l insertion d un système clos 1 jour supplémentaire de SU = +3% de colonisation une rupture du système clos = risque d IU x 8 pas d intérêt démontré du choix latex/silicone sur prévention IU réduction des durées de sondage, réévaluation/j retrait en fin de nuit (bonnes conditions de repose si besoin ) Toujours aucune démonstration de l intérêt d un changement systématique
19 Edmonde a toujours sa sonde urinaire. Son arthrose de hanche la fait souffrir, un remplacement prothétique est programmé dans 6 jours. A. ECBU ATB Chirurgie B. Changement de SU ECBU ATB chirurgie C. Chirurgie (et procès si infection de site opératoire) D. Chirurgie (et c est tout)
20 Edmonde a toujours sa sonde urinaire. Son arthrose de hanche la fait souffrir, un remplacement prothétique est programmé dans 6 jours. A. ECBU ATB Chirurgie B. Changement de SU ECBU ATB chirurgie C. Chirurgie (et procès si infection de site opératoire) D. Chirurgie (et c est tout)
21 Edmonde a toujours sa sonde urinaire. Son arthrose de hanche la fait souffrir, un remplacement prothétique est programmé dans 6 jours. Aucun argument pour traiter! Ni dépistage Ni traitement des colonisations urinaires : -en l absence de contexte particulier ; -avant chirurgie orthopédique prothétique, cardio-vasculaire ; -en cas d immunodépression (transplantation organe solide, neutropénie, corticothérapie ) ; -en réanimation, même chez un porteur de sonde urinaire -avant changement de sonde urinaire, auto ou hétérosondage ; -en cas d urgenturie après RTUP, ou changement de sonde urétérale
22 Edmonde a toujours sa sonde urinaire. Son arthrose de hanche la fait souffrir, un remplacement prothétique est programmé dans 6 jours. Dépistage ET traitement des colonisations urinaires : - grossesse - chirurgie prévue au contact de l urine (ATB de J-2 à J+7 max) - savoir identifier les situations particulières
23 Edmonde a 1/ une sonde urinaire, 2/une hanche toute neuve, mais 3/ une compression extrinsèque de l uretère droit qui nécessite la pose d une sonde double J. A. ECBU ATB Chirurgie B. Changement de SU ECBU ATB chirurgie C. Chirurgie (et procès si infection de site opératoire) D. ECBU ATB changement de SU Chirurgie
24 Edmonde a 1/ une sonde urinaire, 2/une hanche toute neuve, mais 3/ une compression extrinsèque de l uretère droit qui nécessite la pose d une sonde double J. A. ECBU ATB Chirurgie B. Changement de SU ECBU ATB chirurgie C. Chirurgie (et procès si infection de site opératoire) D. ECBU ATB changement de SU Chirurgie
25 Edmonde a 1/ une sonde urinaire, 2/une hanche toute neuve, mais 3/ une compression extrinsèque de l uretère droit qui nécessite la pose d une sonde double J. Chirurgie au contact de l urine = urines stériles - ECBU sans changement de SU préalable ; - Changement de SU 24h après le début d une antibiothérapie - Chirurgie 48h après le début de l antibiothérapie
26 Edmonde a 1/ une sonde urinaire, 2/une hanche toute neuve, mais 3/ une compression extrinsèque de l uretère droit qui nécessite la pose d une sonde double J, 4/de la fièvre qui impose de traiter en probabiliste! A. ATB large spectre car IU fréquemment polymicrobiennes B. Pas de sepsis grave : ATB après résultats de l ECBU C. Pipéracilline-Tazobactam en 1 ère intention D. Monothérapie d aminoside en cas d allergie aux béta-lactamines
27 Edmonde a 1/ une sonde urinaire, 2/une hanche toute neuve, mais 3/ une compression extrinsèque de l uretère droit qui nécessite la pose d une sonde double J, 4/de la fièvre qui impose de traiter en probabiliste! A. ATB large spectre car IU fréquemment polymicrobiennes B. Pas de sepsis grave : ATB après résultats de l ECBU C. Pipéracilline-Tazobactam en 1 ère intention D. Monothérapie d aminoside en cas d allergie aux béta-lactamines
28 Edmonde a 1/ une sonde urinaire, 2/une hanche toute neuve, mais 3/ une compression extrinsèque de l uretère droit qui nécessite la pose d une sonde double J, 4/de la fièvre qui impose de traiter en probabiliste! Infections majoritairement mono-microbiennes Entérobactéries = 2/3 E. Coli = 50%
29 Edmonde a 1/ une sonde urinaire, 2/une hanche toute neuve, mais 3/ une compression extrinsèque de l uretère droit qui nécessite la pose d une sonde double J, 4/de la fièvre qui impose de traiter en probabiliste! Infections majoritairement mono-microbiennes Entérobactéries = 2/3 E. Coli = 50%
30 Edmonde a 1/ une sonde urinaire, 2/une hanche toute neuve, mais 3/ une compression extrinsèque de l uretère droit qui nécessite la pose d une sonde double J, 4/de la fièvre qui impose de traiter en probabiliste! Infections majoritairement mono-microbiennes Entérobactéries = 2/3 E. Coli = 50%
31 Prévalence de la résistance élevée et en augmentation! 1/ IU non fébriles : Traitement différé, selon résultat ECBU 2/ IU fébriles : ECBU prélevé Traitement probabiliste spectre large Réduction spectre ++ selon ECBU!
32 Edmonde a des urines stériles avant la pose de la sonde JJ. En post-opératoire, elle a une température > 38 C, et une hyperleucocytose > 12 G/L A. ATB probabiliste large spectre car IU post-opératoire B. Pas de gravité = pas d ATB
33 Edmonde a des urines stériles avant la pose de la sonde JJ. En post-opératoire, elle a une température > 38 C, et une hyperleucocytose > 12 G/L A. ATB probabiliste large spectre car IU post-opératoire B. Pas de gravité = pas d ATB
34 Edmonde a des urines stériles avant la pose de la sonde JJ. En postopératoire, elle a une température > 38 C, et une hyperleucocytose > 12 G/L Forte incidence ( 10-20%) de Syndrome de Réponse Inflammatoire Systémique (SRIS) après chirurgie des voies urinaires sur urines stériles! Résolution du SRIS en 24h Surveillance clinique ++
35 Edmonde va mieux, elle doit néanmoins avoir une cystoscopie diagnostique. 1 Seule bonne réponse! A. ECBU pour traitement ATB post-op si fièvre B. Si ECBU+ : ATB C. Pas d ECBU D. C est comme on veut ou pas! Et inversement! ECBU (ou non) et ATB (ou non)
36 Edmonde va mieux, elle doit néanmoins avoir une cystoscopie diagnostique. A. ECBU pour traitement ATB post-op si fièvre??? B. Si ECBU+ : ATB C. Pas d ECBU, pas d ATB D. C est comme on veut ou pas! Et inversement! ECBU (ou non) et ATB (ou non)
37 Colonisation/ IU liée aux soins TAKE HOME MESSAGE 2002 : dans le doute, traiter par ATB 2015 = dans le doute, s abstenir de traitement ATB!
38 Solidarité avec mes consoeurs MERCI DE VOTRE ATTENTION
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections
Plus en détailMise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire
Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Murielle Galas, Gaëlle Dunoyer, Claude Olive, Rafaëlle Théodose, François Lengellé, Patrick Hochedez,
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailMise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine
Mise au point mars 2011 MAP Mise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine Sommaire ~ ~ ~ ~ ~ ~ d un traitement par aminosides
Plus en détailINFECTIONS URINAIRES CHEZ L ENFANT
INFECTIONS URINAIRES CHEZ L ENFANT Chantal LOIRAT Service de Néphrologie Pédiatrique Hôpital Robert Debré DIU Stratégies Thérapeutiques anti-infectieuses Jan 2007 AFS 2006-2007 1 INFECTION URINAIRE CHEZ
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailTraitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)
Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailLA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret. La recherche infirmière. Cas concret : où se déroule-t-il?
LA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret 2ème journée infirmier(e)s / sages-femmes Université des Sciences de la Santé 20 novembre 2004 Stéphanie OGER 1 La recherche infirmière
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailPour toutes questions supplémentaires, veuillez communiquer avec nous au 514 340-3540 poste 4129.
Journal urinaire À quoi sert un journal urinaire? Nous vous demanderons de remplir ce journal à deux reprises : avant et après les classes d exercices. Les données recueillies nous permettront de mieux
Plus en détailRevue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches
Revue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches LES REVUES SYSTÉMATIQUES Projet financé par l Agence de la santé publique du Canada Affilié à l Université McMaster Donna
Plus en détailJean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen
Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux
Plus en détailInfections nosocomiales
Infections nosocomiales NOUVELLES RECOMMANDATIONS 2001-2002 NORD-AMÉRICAINES CONCERNANT LA PRÉVENTION DES INFECTIONS SUR CATHÉTER Aux États-Unis, environ 145 millions de cathéters périphériques et 5 millions
Plus en détailINFECTIONS POST- TRAUMATIQUES SUR MATÉRIEL D'OSTÉOSYNTHÈSE. Accidentologie et épidémiologie bactérienne
INFECTIONS POST- TRAUMATIQUES SUR MATÉRIEL D'OSTÉOSYNTHÈSE Accidentologie et épidémiologie bactérienne SOMMAIRE Accidentologie Qualité de vie Conséquences médico-économiques Particularités épidémiologiques
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailEvaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux
Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation
Plus en détailPour JANVIER 2010 : EPREUVE ECRITE du DF1 :
Pour JANVIER 2010 : EPREUVE ECRITE du DF1 : DUREE 1H30 - Notation sur 20 (18 pts pour les questions et 2 pts pour la forme) ATTENTION : 4 questions sont proposées, vous ne devez traiter que 3 questions
Plus en détailDiagnostic et antibiothérapie. des infections urinaires bactériennes. communautaires de l adulte
SPILF 2014 Mise au point Texte court Diagnostic et antibiothérapie des infections urinaires bactériennes communautaires de l adulte dans son intégralité sans ajout ni retrait. 1 GROUPE DE TRAVAIL Pr François
Plus en détailLA HERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait
Plus en détailva être opéré d un hypospadias
Votre enfant va être opéré d un hypospadias Introduction Le chirurgien urologue pédiatrique vous a confirmé le diagnostic d hypospadias et expliqué les avantages ainsi que les risques et complications
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailIncontinence urinaire. DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris
Incontinence urinaire DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris INCONTINENCE URINAIRE : DEFINITION 2002 ICS (Internationnal Contience Society) : perte involontaire d urine, on distingue Symptôme : élément décrit
Plus en détailOffre santé 2015 FGMM-CFDT
SOMILOR - HARMONIE MUTUELLE Offre santé 2015 FGMM-CFDT Réservée aux adhérents régime général La FGMM-CFDT a négocié pour vous une complémentaire santé groupe SOMILOR-HARMONIE MUTUELLE. Bénéficiez de tous
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailParce que tout repose sur vous Reposez-vous sur nous pour votre couverture Prévoyance et Santé! Conjugo TNS : offre Prévoyance/Santé
www.alico.fr Document à caractère non contractuel Votre courtier Alico, l expert en assurance emprunteur et en prévoyance Alico est un acteur international de premier plan en assurances de personnes depuis
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détailPratique de l'antibioprophylaxie en chirurgie
Pratique de l'antibioprophylaxie en chirurgie Date de création du document 2008-2009 Table des matières 1 Principes généraux du choix d'un antibiotique pour l'antibioprophylaxie en chirurgie...1 1. 1 Introduction...
Plus en détailLe sevrage de la trachéotomie
Le sevrage de la trachéotomie Journée de formation «infirmière» et «kinésithérapeute» SKR. Maison de la réanimation Paris 01 / 06 / 2012 Dr G.Beduneau Réanimation Médicale CHU ROUEN gaetan.beduneau@chu-rouen.fr
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailINDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT
INDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT I. PROMOTEUR Agence nationale d accréditation et d évaluation en santé. II. SOURCE Recommandations de pratique clinique de 1997 sur les «Indications de l adénoïdectomie
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailLe Centre Hospitalier Universitaire de Reims
Basse-Normandie Champagne-Ardenne Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims RECRUTE DEUX PRATICIENS EN ANESTHÉSIE-RÉANIMATION À TEMPS PLEIN Missions : Renseignements & candidatures : 03 26 78 74 44
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailÉtudes. Coût de la chirurgie d une hernie discale
Études Coût de la chirurgie d une hernie discale 1 Table des matières 03 Objectif 04 Introduction 05 Données et méthodologie 06 Caractéristiques des hospitalisations 09 Profil de la population hospitalisée
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailOffre santé 2014 FGMM-CFDT
SOMILOR - HARMONIE MUTUELLE Offre santé 2014 FGMM-CFDT Réservée aux adhérents régime général La FGMM-CFDT a négocié pour vous une complémentaire santé groupe SOMILOR-HARMONIE MUTUELLE. Bénéficiez de tous
Plus en détailPrise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus
Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier
Plus en détailCas clinique infection ORL
Cas clinique infection ORL... 1 Infections ORL... 2 Angine à streptocoque béta hémolytique du groupe A (SGA)... 2 Otite moyenne purulente... 3 Sinusites purulentes... 4 Cas cliniques bronchites... 4 Bronchites
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailLA PROTHESE TOTALE DE GENOU
LA PROTHESE TOTALE DE GENOU Introduction : La destruction du cartilage est fréquente au niveau du genou qui est une articulation très sollicitée et soumise à tout le poids du corps. La conséquence de cette
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie
Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailINFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie
INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée
Plus en détailRééducation de la rééducation de l Incontinence Urinaire de l homme : Résultats. Guy Valancogne
Rééducation de la rééducation de l Incontinence Urinaire de l homme : Résultats Guy Valancogne Depuis la fin des années 90 : études pour le cas spécifique de l incontinence masculine, - certaines d entre
Plus en détailREFERENTIEL DU CQPM. TITRE DU CQPM : Electricien maintenancier process 1 OBJECTIF PROFESSIONNEL DU CQPM
COMMISION PARITAIRE NATIONALE DE L EMPLOI DE LE METALLURGIE Qualification : Catégorie : B Dernière modification : 10/04/2008 REFERENTIEL DU CQPM TITRE DU CQPM : Electricien maintenancier process 1 I OBJECTIF
Plus en détailPrésentation générale du Programme
Contexte Le Propias fait suite à Plan stratégique national 2009-2013 de prévention des infections associées aux soins Programme national de prévention des infections nosocomiales 2009-2013 (Propin) Programme
Plus en détailINCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailL AMYGDALECTOMIE. Chirurgie d un jour Programme-clientèle santé de la femme et de l enfant. Pour vous, pour la vie
23 L AMYGDALECTOMIE Chirurgie d un jour Programme-clientèle santé de la femme et de l enfant Pour vous, pour la vie L amygdalectomie Cette brochure vous aidera à comprendre ce qu est l amygdalectomie L
Plus en détailI Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :
ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante
Plus en détailINFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU
INFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU Votre état nécessite la réalisation d'une ostéotomie au niveau du genou. Cette fiche est destinée à vous en expliquer les grands principes, le but et les bénéfices
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailPRENOM NOM DE L ENTREPRISE DATE DU STAGE METIER
NOM DATE DU STAGE METIER PRENOM NOM DE L ENTREPRISE L ENTREPRISE L ENTREPRISE Dates du stage :... Nom de l entreprise :.. Adresse de l entreprise :...... Que fait-on dans cette entreprise?. Combien de
Plus en détailSuivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation
SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de
Plus en détailTableau des garanties Contrats collectifs
Assurances santé conformes à la Convention du travail maritime, 2006 Tableau des garanties Contrats collectifs Conformité à la Convention du travail maritime (MLC) 2006 La conformité avec la Convention
Plus en détailPLAN EXPERT TNS. Prévoyance : En pourcentage de la base des garanties, de 1 à 4 plafonds annuels de la Sécurité Sociale
PLAN EXPERT TNS Type de contrat Cotisations et assiette de prestations Garanties Capital décès / PTIA Prévoyance complémentaire des Experts Partenaires Prévoyance : En pourcentage de la base des garanties,
Plus en détailLa complémentaire santé pour tous : chef d entreprise, ce que vous devez savoir!
La complémentaire santé pour tous : chef d entreprise, ce que vous devez savoir! AGAMY 25/06/15 Par Philippe BARRAUD, Inspecteur Collectives AXA ENTREPRISES & Dominique THIERY, Agent AXA Patrimoine & Prévoyance
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailBrochure d information destinée au patient. Comment pratiquer l auto-sondage intermittent?
Brochure d information destinée au patient Comment pratiquer l auto-sondage intermittent? Sommaire de la brochure Ce guide complète les informations qui vous ont été données par le médecin et l infirmière.
Plus en détailCONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:
CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail
Plus en détailInfections urinaires chez l enfant
Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailLes Cahiers QSE I) LES ENJEUX D UN SYSTÈME DE MANAGEMENT INTÉGRÉ QUALITÉ - SÉCURITÉ ENVIRONNEMENT. 1) Introduction...6-7. 2) Contexte...
I) LES ENJEUX D UN SYSTÈME DE MANAGEMENT INTÉGRÉ QUALITÉ - SÉCURITÉ ENVIRONNEMENT 1) Introduction...6-7 2) Contete...8 à 10 3) Des enjeu Qualité, Sécurité, Environnement qui sont liés...11 4) Intérêts
Plus en détailCONSULTATION LIVRE VERT DE LA COMMISSION EUROPEENNE. CONTRIBUTION DE WINAMAX Opérateur de Poker en ligne en France
CONSULTATION LIVRE VERT DE LA COMMISSION EUROPEENNE CONTRIBUTION DE WINAMAX Opérateur de Poker en ligne en France PROPOSITION REDIGEE PAR XS CONSEIL ID REGISTER XS CO137752272 31 JUILLET 2011 --------------------
Plus en détailPrécautions standard et complémentaires : quelles mesures pour quels patients?
5 ème journée des référents en antibiothérapie Précautions standard et complémentaires : quelles mesures pour quels patients? Philippe Berthelot, Unité d hygiène inter hospitalière, Service des Maladies
Plus en détail3: Clonage d un gène dans un plasmide
3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par
Plus en détail«Actualités et aspects pratiques de l antisepsie»
Symposium Pharma «Actualités et aspects pratiques de l antisepsie» Modérateur : Joseph Hajjar Quelle antisepsie pour quel acte? Dr Olivia KEITA-PERSE Centre Hospitalier Princesse Grace Monaco Antisepsie
Plus en détailL'assurance santé en toute simplicité
L'assurance santé en toute simplicité C'est en accompagnant chaque jour des millions d'assurés que Generali a compris qu'il était important d'offrir une gamme de produits santé pour chaque moment de la
Plus en détailMONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013
MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE Dary Croft 9 mai 2013 Plan Épidémiologie en chir. non-cardiaque Aspects techniques de l ECG Rappel critères ECG de l'ischémie Principe de monitoring per-op
Plus en détailFaq 1 - Mener l interrogatoire et l examen clinique d un enfant fébrile
Fièvre aiguë de l enfant (et de l adulte : non traité) Critères de gravité d un syndrome infectieux Auteurs : J. Gaudelus, M.Voisin Objectifs : Objectifs terminaux Diagnostiquer une fièvre aiguë chez l
Plus en détailINTRODUCTION GENERALE :
DÉPARTEMENT DE MÉDECINE INTERNE La Chaux-de-Fonds Rue de Chasseral 20 2300 La Chaux-de-Fonds tél. 032 967 27 28 / 032 967 27 32 fax 032 967 27 29 PD Dr D. Genné, méd.-chef de service Dr H. Zender, méd.-chef
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailSession Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr
Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les
Plus en détailFièvre sans foyer chez l enfant de moins de 3 mois
Fièvre sans foyer chez l enfant de moins de 3 mois Dr Sophie Blumental Service de Maladies Infectieuses Pédiatriques Hôpital Universitaire des Enfants Reine Fabiola Bruxelles INTRODUCTION Fièvre = symptôme
Plus en détailLes coûts des prises en charge à l hôpital en médecine, chirurgie et obstétrique
Les coûts des prises en charge à l hôpital en médecine, chirurgie et obstétrique 2012 Sommaire Introduction 3 Notes de lecture 4 1. L ENC : objectifs et modalités de l étude 6 1.1. Qu est-ce que l Etude
Plus en détailL EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE
L EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE Depuis plus de 10 ans, l association Actis dentaire formation a pour objectif de former des praticiens à la chirurgie orale, parodontale et implantaire. L expérience pour
Plus en détailProgramme de formation continue en Chirurgie Orthopédique et Traumatologie de l Appareil Moteur
Programme de formation continue en Chirurgie Orthopédique et Traumatologie de l Appareil Moteur - 1. Bases légales et réglementaires Le présent règlement a pour base la loi fédérale sur les professions
Plus en détailMinistère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier. Portfolio de l étudiant
Ministère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier Annexe VI Portfolio de l étudiant Nom et prénom de l étudiant : Institut de formation en soins : Date d entrée dans la formation : Nom et prénom
Plus en détailMédecine en 2014. Médecine en 2014. Exigences techniques
Pierre Bonnet, Félix Scholtes - Université de Liège - Sciences biomédicales Michel Raze - Centre Hospitalier Universitaire de Liège Stéphane Safin - Université de Paris 8 - laboratoire Paragraphe-C3U Médecine
Plus en détailBMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation
Plus en détailrecommandations pour les médecins de famille
BPCO: recommandations pour les médecins de famille BPCO: recommandations pour les médecins de famille Dr. med. Werner Karrer, Prof. Dr. med. Jörg D. Leuppi Les médecins de famille jouent un rôle central
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailTRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE. Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne
TRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne DEFINITION! Incontinence urinaire (IU) : perte involontaire des urines par l urètre, survenant en dehors de la miction et pouvant
Plus en détailSimulation en santé. Outil de gestion des risques. Avril 2014. Dr MC Moll 1
C E N T R E H O S P I T A L I E R U N I V E R S I T A I R E D ' A N G E R S Simulation en santé Outil de gestion des risques 1 La Simulation : définition 2 Le terme «simulation en santé» correspond à l
Plus en détailAu Crédit Mutuel, un crédit réfléchi et ça, guide. clarté. crédits. conso
Au Crédit Mutuel, JE M engage dans un crédit réfléchi et ça, ça change tout. guide clarté crédits conso guide clarté crédits conso SOMMAIRE Le crédit réfléchi page 4 Financer vos projets page 6 Regrouper
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailLes fistules obstétricales sont des communications anormales entre les voies urinaires ou digestives et l'appareil génital. ou d une manœuvre abortive
ROLE DE LA SAGE FEMME DANS LA PREVENTION, LE DIAGNOSTIC ET ORIENTATION DES FISTULES Présenté par Mme Atchoumi Annie Hortense Sage-femme DU épidémiologie-bordeaux CHU de Yaoundé Introduction Définition
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détail