Neige et Glace Master 2. Préambule Neige. Ghislain Picard Laboratoire de Glaciologie et Géophysique de l'environnement

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Neige et Glace Master 2. Préambule Neige. Ghislain Picard Laboratoire de Glaciologie et Géophysique de l'environnement"

Transcription

1 Neige et Glace Master 2 Préambule Neige Ghislain Picard Laboratoire de Glaciologie et Géophysique de l'environnement

2 Introduction Point de vue géographique: la neige, loin d'un phénomène isolé. Février Hémisphère nord: Continents km² Converture neigeuse continentale, février km2 Août il ne s'agit ici que des terres émergées!

3 Introduction On peut distinguer: - neige saisonnière continentale (~ km2). - neige permanente (névé) sur les calottes et les glaciers (~ km2). - neige sur la glace de mer (banquise) (~ km2)

4 Introduction Point de vue climat et biogéophysique: - acteur et spectateur du climat (interaction) rôle fondamental sur le bilan énergétique de l'atmosphère. rôle thermique sur le sol et la banquise. réacteur chimique et photochimique. - archive environnementale. - écologie et écophysiologie. - matériau / mécanique Point de vue anthropique: - ressource en eau. - risque: avalanche, sécurité routière,... - tourisme.

5 Plan des 4 cours neige Cours 1. Neige: formation, précipitation, métamorphisme et fonte. - formation & précipitation. - métamorphisme. - approche naturaliste. - phénonèmes physiques gouvernant le métamorphisme. - (fonte). - stratigraphie et classification des manteaux neigeux. Cours 2. Propriétés physiques de la neige, mesures et modélisation. - densité, taille de grains, conductivité thermique; température, albédo, perméabilité, humidité. - modélisation physique de la neige. Cours 3. Neige & climat. - climat neige: précipitation à l'échelle globale, influence de la température, bilan d'énergie de surface. - neige climat: rétroaction de l'albédo, isolation thermique. Cours 4. Visite du centre expérimental du Centre Etude de la Neige (Col de Porte). Note: ce cours s'appuie sur le cours des années passées par F. Dominé, LGGE

6 Plan des 4 cours neige Il manque certaines thématiques pourtant abordées à l'osug: - Chimie de la neige (LGGE). - Avalanches et structures (Cemagref, CEN). - Aspects biologique et écologique (LEICA).

7 Neige et Glace Master 2 Cours Neige 1 Neige: formation, précipitation, métamorphisme et fonte. Ghislain Picard Laboratoire de Glaciologie et Géophysique de l'environnement

8 Formation des cristaux de neige dans l'atmosphère Quelques images: Dendritique Source:

9 Formation des cristaux de neige dans l'atmosphère Quelques images: Plaquette Source:

10 Formation des cristaux de neige dans l'atmosphère Quelques images: Colonne creuse Source:

11 Formation des cristaux de neige dans l'atmosphère Quelques images: Colonne avec chapeau Source:

12 Formation des cristaux de neige dans l'atmosphère Classification Internationale et symbols: Qu'est-ce qui explique cette diversité et quelles sont les conditions de formation?

13 Formation des cristaux de neige dans l'atmosphère La recette de formation de la neige: NUAGE - de la vapeur en supersaturation. - un noyau de condensation. - de l'eau surfondue. - de la croissance cristalline. - de la coalescence ou du givrage. Q: Que savez-vous en gros? Parfaitement? Petit retour sur la physique des changements d'état...

14 Formation des cristaux de neige dans l'atmosphère Rappel sur les changements d'état de l'eau: Eau liquide Condensation Evaporation (liquide) 2260 kj/kg Vapeur d'eau (gaz invisible) Solidification 333 kj/kg Fusion Condensation (solide) Glace Sublimation Q: Que vaut la chaleur latente de sublimation? Pression de vapeur saturante: La pression (partielle) de la vapeur à l'équilibre p est la pression de vapeur saturante et ne dépend que de la température. Vapeur d'eau Eau Si par un moyen ou un autre: - on réduit la pression dans la boite, une partie de l'eau s'évapore. - on augmente la pression, une partie de la vapeur se condense. Q: Est-ce instantanné?

15 Formation des cristaux de neige dans l'atmosphère La pression de vapeur saturante varie uniquement en fonction de la température. Elle est gouvernée en première approximation par la relation de Clapeyron: Pour l'eau, par exemple : M = 0,018 kg/mol Lv = 2, J/kg p0 = 1013 mbar T0 = 273 K! approximatif!

16 Formation des cristaux de neige dans l'atmosphère Clapeyron: suppose que la chaleur latente est indépendante de la temperature Pour l'eau, par exemple : M = 0,018 kg/mol Lv = 2, J/kg p0 = 1013 mbar T0 = 273 K Formule d'antoine: Goff Gratch (valid T<0C) Voir ici: A FAIRE: tracer les courbes (langage/logiciel au choix) pour 3 équations différentes (au choix) et estimer la différence maximale dans la gamme [-50oC,0oC].

17 Formation des cristaux de neige dans l'atmosphère Cependant, dans l'atmosphère, on est souvent hors équilibre (supersaturation). Dans l'air très pur, la sursaturation peut atteindre 400% sans condensation liquide ou solide. Les noyaux de condensation aident à la formation des gouttes d'eau ou germes de glace, Dans l'atmosphère normale la sursaturation est maintenue faible par les noyaux de condensation. Vapeur en sursaturation Vapeur en sursaturation Réévaporation spontannée car rayon trop petit Noyau de condensation (poussière / aérosol) 0. Eau surfondue T=0C C 1. Condensation liquide sur l'aérosol Vapeur en sursaturation Glace 1bis. Congélation (solidification) Glace Eau surfondue 2. Condensation sur la glace et évaporation de l'eau surfondue

18 Formation des cristaux de neige dans l'atmosphère Ce phénomène est dù à la différence de pression partielle de l'eau et de la glace. 2) Vapor pressure over ice Goff Gratch equation Vapeur d'eau (Smithsonian Tables, 1984): Log10 ei = (273.16/T - 1) [12] Log10(273.16/ T) (1 - T/ ) Glace + Log10(6.1071) with T in [K] and ei in [hpa] Psat(surGLACE) < Psat(surEAU) 1) Vapor pressure over liquid water below 0 C Goff Gratch equation (Smithsonian Tables, 1984, after Goff and Gratch, 1946): Log10 ew = (373.16/T-1) Log10(373.16/T) [1] Vapeur d'eau ( (1-T/373.16) -1) ( (373.16/T-1) -1) + Log10( ) with T in [K] and ew in [hpa] Eau surfondue A FAIRE: Tracer ces deux courbes dans l'intervalle -50oC à 0oC. Comment varie la différence?

19 Formation des cristaux de neige dans l'atmosphère Q: Que se passe-t-il dans ce cas? Q: Est-ce spontanné? Vapeur d'eau Glace Eau surfondu e Rappel: Psat(surGLACE) < Psat(surEAU)

20 Formation des cristaux de neige dans l'atmosphère Ce phénomène est dù à la différence de pression partielle au dessus de l'eau et de la glace.

21 Formation des cristaux de neige dans l'atmosphère Comment la vapeur se condense sur le germe? Vapeur en sursaturation? Glace Petit retour sur la cristallographie.

22 Formation des cristaux de neige dans l'atmosphère Dans la glace naturelle (glace Ih) les atomes d'oxygène sont organisés en réseau héxagonal La forme à l'échelle macroscopique dépend de la face cristalline dont la croissance est favorisée

23 Formation des cristaux de neige dans l'atmosphère Face prismatique : plaquettes, étoiles, dendrites

24 Formation des cristaux de neige dans l'atmosphère Face basale : colonnes, aiguilles

25 Formation des cristaux de neige dans l'atmosphère La forme des cristaux dépend de la température... Colonnes ou aiguilles Plaquettes O C -4 C Cristaux dendritiques -8 C Balles de fusil -24 C

26 Formation des cristaux de neige dans l'atmosphère... et elle dépend de la sursaturation de l'atmosphère et en particulier de la présence d'eau surfondue (différence des pressions partielles entre glace et eau)

27 Formation des cristaux de neige dans l'atmosphère La recette de formation de la neige: NUAGE - de la vapeur en supersaturation. - un noyau de condensation. - de l'eau surfondue. - de la croissance cristalline. - de la coalescence ou du givrage. Q: Que savez-vous en gros? Parfaitement?

28 Formation des cristaux de neige dans l'atmosphère Le givrage de gouttelettes d'eau surfondue sur les flocons

29 Formation des cristaux de neige dans l'atmosphère la coalescence entre flocons

30 Formation des cristaux de neige dans l'atmosphère Dans le nuage, les particules ont des vitesses qui dépendent de leur taille, de leur forme et des courants ascendants. Les petites particules vont vite et remontent facilement dans les courants ascendants. Les moyennes vont lentement, interceptent les petites et remontent dans les courants ascendants. Les grosses tombent. Il pleut ou il neige en fonction de la température dans l'atmosphère jusqu'au sol.

31 Plan des 3 cours neige Cours 1. Neige: formation, précipitation, métamorphisme et fonte. - formation& précipitation. - métamorphisme. - approche naturaliste. - phénonème physique gouvernant le métamorphisme. - fonte. - stratigraphie et classification des manteaux neigeux.

32 Métamorphisme Un manteau de neige alpin est constitué de couches relativement homogènes en terme de forme des grains, taille des grains, densité, etc.

33 Métamorphisme Small rounded grains Clustered melt crystals Ice layer Photos Florent Dominé, LGGE

34 Métamorphisme

35 Métamorphisme L'évolution des grains dans le temps et les différents métamorphismes: Effet du vent Métamorphisme de neige sèche (isotherme et fort gradient). Métamorphisme de neige humide. Tous les métamorphismes modifient non seulement la forme des grains, mais aussi: la taille des grains (important pour les propriétés optiques). la cohésion (important en prévision avalanche). la densité....

36 Métamorphisme Effet du vent: densification, augmentation de la cohésion, petits grains. Effet mécanique Ventillation sublimation

37 Métamorphisme Effet du vent Toundra arctique

38 Métamorphisme Effet du vent Lac gelé, Nunavik, Québec

39 Métamorphisme Effet du vent Formation de sastrugi Erosion de sastrugi

40 Métamorphisme Effet du vent Les quelques sastrugi de Dome C, Antarctique.

41 Métamorphisme Effet du vent. Plateau Antarctique

42 Métamorphisme Effet du vent. Banquise.

43 Métamorphisme Effet du vent. Banquise.

44 Métamorphisme Effet du vent. Megadune

45 Métamorphisme Dos de baleine en Antarctique. Effet du vent???

46 Métamorphisme Métamorphisme de neige sèche. Grain fin Particule reconnaissable Grain anguleux Givre de profondeur Gobelet

47 Métamorphisme Métamorphisme de neige sèche. Grain fin Métamorphisme isotherme Particule reconnaissable Métamorphisme de gradient (thermique) Grain anguleux Givre de profondeur Gobelet

48 Métamorphisme Métamorphisme de neige sèche. Les gobelets peuvent se former en chainettes, avec des canaux de transport de vapeur parfaitement visibles. Le manteau devient anisotrope.

49 Métamorphisme Métamorphisme de neige humide Grain grossier

50 Métamorphisme Les phénomènes physiques qui gouvernent le métamorphisme: Action mécanique, frittage, saltation. Transport spontanné de vapeur, diffusion, convection, effet Kelvin, tension superficielle. Transport forcé de vapeur. Percolation d'eau liquide, capilarité. Q: Que connaissez-vous de ces phénomènes physiques?

51 Métamorphisme Diffusion de la vapeur (rappels, généralités). Forte humidité Gradient de vapeur Faible humidité Sens de diffusion de la vapeur d'eau Pvap > Psat Pvap < Psat Evaporation Condensation -> cristallisation

52 Métamorphisme Effet Kelvin. La tension superficielle modifie la pression de vapeur saturante: Psat=f(T) Psat > Psat(infini) Plat infini Evaporation de plus en plus facile Variations dues au rayon. Amplitude très exagérée Psat >> Psat(infini)

53 Métamorphisme Application à la neige en absence de gradient de vapeur imposé (vent calme, manteau isotherme) Pression vapeur homogène et proche de la saturation Psat > Pmoy Psat > Pmoy Psat < Pmoy Psat > Pmoy Grossissement des plus gros grains au détriment des petits: changement de la distribution de taille

54 Métamorphisme Le même phénomène se produit intra-grain non sphérique, en remplacant le rayon par le rayon local de courbure. 200 µm rc = 10 µm PH2O= Pa rc = 1000 µm PH2O= Pa PH2O gradient= 0.15 Pa/cm évolution T = -15 C

55 Métamorphisme Le même phénomène explique le frittage Grain sphérique en équilibre. Faible cohésion Action mécanique externe qui rapproche les grains: densification, passage d'un ski, marque à la main, vent,... Frittage par effet Kelvin

56 Métamorphisme Métamorphisme de neige sèche. Grain fin Métamorphisme isotherme Grossissement des grains Arrondissement des grains Frittage Particule reconnaissable Métamorphisme de gradient (thermique) Grain anguleux Givre de profondeur Gobelet

57 Métamorphisme Gradient de vapeur dù à un gradient de température. Atmosphère T= -22 C PH2O = 84 Pa PH2O gradient = 4 Pa/cm En Gradient Moyen 1m Forte diffusion de vapeur T= -15 C PH2O = 163 Pa En Gradient Fort Condensation cristallisation T= -3 C PH2O = 470 Pa Evaporation

58 Métamorphisme Gradient de vapeur dù à un gradient de température en surface. Conditions: Refroidissement radiatif de la neige pendant la nuit Atmosphère chaude et humide, brouillard, pas de vent Advection d'humidité

59 Métamorphisme Métamorphisme de neige sèche. Grain fin Métamorphisme isotherme Métamorphisme de gradient (thermique) Particule reconnaissable Grain anguleux Givre de profondeur Gobelet

60 Métamorphisme Métamorphisme humide: Différent mécanisme selon la teneur en eau liquide (exprimé en % de volume ou de masse). Aux faibles teneurs en eau (<8%), on a 2 mécanismes: 1) identique au métamorphisme de neige sèche: essentiellement du transfert de vapeur (rapide car haute température!) 2) capilarité, l'eau occupe les interstices. Fusion Regel A forte teneur en eau, les grains sont entourés d'eau, on a: Effet de courbure, quand la temperature augmente, les petits grains fondent avant les gros (0.1mm fond à C en dessous du point de fusion). Ils fondent donc préférentiellement.

61 En résumé

62 En résumé

63 En résumé

64 En résumé

65 En résumé

66 Exemple de manteau alpin données F. Dominé, LGGE Des particules reconnaissables si une chute recente h, cm 175 Decomposing crystals Grains fins et faces planes essentiellement Small rounded grains Parfois du givre de profondeur dans les 20 cm du bas 0.35 Clustered melt crystals Ice layer

67 Exemple de manteau taiga

68 Exemple de manteau taiga données F. Dominé, LGGE Hauteur typique: 50 cm Fresh snow cm 50 Taiga Decomposing crystal 0.1 Particule reconnaissables, grains fins et faces plane Givre de profondeur sur la moitié basse. Faceted crystal Depth hoar

69 Exemple de manteau toundra

70 Exemple de manteau toundra données F. Dominé, LGGE Hauteur typique: 30 cm Faceted crystal cm 50 Tundra 0.2 Mixed forms 40 Des croûtes de vent très denses Wind crust Givre de profondeur sur la moitié basse Tundra Depth hoar

Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote.

Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. K4. Point triple de l azote I. BUT DE LA MANIPULATION Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. II. BASES THEORIQUES Etats de la matière La matière est constituée

Plus en détail

Les calottes polaires Isostasie Champ de température

Les calottes polaires Isostasie Champ de température 1 M2R STUE / Cours «Neige et Glace» Les calottes polaires Isostasie Champ de température F. Parrenin Laboratoire de Glaciologie et Géophysique de l'environnement Grenoble 2 L'isostasie sous-glaciaire Rigidité

Plus en détail

La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?

La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est

Plus en détail

La gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche

La gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine

Plus en détail

Transformations nucléaires

Transformations nucléaires Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :

Plus en détail

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie

Plus en détail

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par

Plus en détail

Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique?

Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

Grille de planification Expédition météo. Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10 minutes).

Grille de planification Expédition météo. Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10 minutes). Grille de planification Expédition météo Spécialiste de l atmosphère Spécialiste des vents Spécialiste des nuages Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10

Plus en détail

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément

Plus en détail

Cours Météo, Club Alpin Suisse, Section de Neuchâtel

Cours Météo, Club Alpin Suisse, Section de Neuchâtel Cours Météo, Club Alpin Suisse, Section de Neuchâtel Liens utiles pour les prévisions météorologiques http://meteo.chamonix.org/ 0900 55 21 65 (Haute Savoie) 0900 55 21 68 (Alpes romandes) Par SMS au numéro

Plus en détail

Chapitre 10 : Mécanique des fluides

Chapitre 10 : Mécanique des fluides Chapitre 10 : Mécanique des fluides 1. Pression hydrostatique Les fluides regroupent gaz et liquides. En général, on considère des fluides incompressibles. Ce n est plus le cas en thermodynamique. Un objet

Plus en détail

Que nous enseigne la base de données PAE?

Que nous enseigne la base de données PAE? Que nous enseigne la base de données PAE? Séminaire auditeurs PAE 8 juin 2009 Nicolas Heijmans, ir Division Energie et Climat CSTC - Centre Scientifique et Technique de la Construction 00/00/2006 Contenu

Plus en détail

Le séchage des ateliers :

Le séchage des ateliers : Le séchage des ateliers : Quelles technologies et quels coûts énergétiques? Jacques GUILPART- MF Conseil j. guilpart@mfconseil.fr 06 43 44 66 28 www.mfconseil.fr Adam TCHAÏKOWSKI, Dessica a.tchaikowski@dessica.fr

Plus en détail

août La météo Congrès provincial de l AEFNB Journée de perfectionnement professionnel

août La météo Congrès provincial de l AEFNB Journée de perfectionnement professionnel août La météo Congrès provincial de l AEFNB Journée de perfectionnement professionnel Bienvenue Tribond - La danse de la pluie L oeil dans la météo A yous que la météo fit dans mon programme Météo everywhere

Plus en détail

L'atmosphère est subdivisée en plusieurs couches qui ont pour nom troposphère, stratosphère, mésosphère et thermosphère.

L'atmosphère est subdivisée en plusieurs couches qui ont pour nom troposphère, stratosphère, mésosphère et thermosphère. L'ATMOSPHERE N 1 Def : enveloppe gazeuse qui entoure la terre, sur quelques centaines de kilomètres Répartition verticale : Le gaz se raréfie avec l'altitude. 99% de la masse totale de l'atmosphère se

Plus en détail

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie

Plus en détail

C3. Produire de l électricité

C3. Produire de l électricité C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres

Plus en détail

Plan du chapitre «Milieux diélectriques»

Plan du chapitre «Milieux diélectriques» Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation

Plus en détail

METEOROLOGIE CAEA 1990

METEOROLOGIE CAEA 1990 METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les

Plus en détail

METEO n 1. !"#$%$&$'%() enveloppe gazeuse qui entoure la terre, sur quelques centaines de kilomètres. ( ( ( ( ( (

METEO n 1. !#$%$&$'%() enveloppe gazeuse qui entoure la terre, sur quelques centaines de kilomètres. ( ( ( ( ( ( n 1 "#%&'()*+,+ L atmosphère "#%&'%() enveloppe gazeuse qui entoure la terre, sur quelques centaines de kilomètres. ( ( ( ( ( ( *"+,-&&'%(./-&0,1/() Le gaz se raréfie avec l'altitude. 99% de la masse totale

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

Comment connaître les caractéristiques d un manteau neigeux?

Comment connaître les caractéristiques d un manteau neigeux? Chapitre 4. Comment connaître les caractéristiques d un manteau neigeux? 71 Chapitre 4 Comment connaître les caractéristiques d un manteau neigeux? Christophe Ancey L objet de ce chapitre est de donner

Plus en détail

Le CEL exprime la quantité d eau liquide condensée présente dans un mètre cube d air humide (g/m 3 )

Le CEL exprime la quantité d eau liquide condensée présente dans un mètre cube d air humide (g/m 3 ) QU EST CE QUE LE GIVRAGE? Le givrage est dû à la présence d eau sous forme liquide à des températures négatives. En impactant, elle se transforme en glace : il y a accrétion sur l avion. Tair < 0 C Fin

Plus en détail

B- Météorologie. En présence de cumulus alignés en bande parallèles vous prévoyez un vent: R : de même direction que les alignements

B- Météorologie. En présence de cumulus alignés en bande parallèles vous prévoyez un vent: R : de même direction que les alignements B- Météorologie Nuages Brouillard Les brouillards côtiers sont du type: R : brouillard d'advection Il y a brouillard dès que la visibilité est inférieure à: R : 1 km Les facteurs favorisant l'apparition

Plus en détail

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie

Plus en détail

Réunion de lancement du projet LEFE DEPHY2

Réunion de lancement du projet LEFE DEPHY2 Réunion de lancement du projet LEFE DEPHY2 Développement et Evaluation des PHYsiques des modèles atmosphériques BILAN 45 participants 25 CNRM, 12 LMD, 4 LGGE, 2LA, 1 LSCE, 1 GET 8-9-10 septembre 2014 Observatoire

Plus en détail

République Algérienne Démocratique et Populaire

République Algérienne Démocratique et Populaire République Algérienne Démocratique et Populaire الشعبية الجمهوریة الجزاي ریة الدیمقراطية Ministère de l enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Université 8 mai 45 Guelma التعليم العالي

Plus en détail

COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?

COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche

Plus en détail

L ÉNERGIE C EST QUOI?

L ÉNERGIE C EST QUOI? L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.

Plus en détail

Chapitre 11 Bilans thermiques

Chapitre 11 Bilans thermiques DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................

Plus en détail

AFFAIBLISSEMENT DÛ AUX NUAGES ET AU BROUILLARD

AFFAIBLISSEMENT DÛ AUX NUAGES ET AU BROUILLARD Rec. UIT-R P.84- RECOMMANDATION UIT-R P.84- AFFAIBLISSEMENT DÛ AUX NUAGES ET AU BROUILLARD (Question UIT-R /3) Rec. UIT-R P.84- (99-994-997) L'Assemblée des radiocommunications de l'uit, considérant a)

Plus en détail

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie

Plus en détail

VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE

VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE le climat et l'environnement du bâtiment Pourquoi ventiler? VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE La ventilation consiste à renouveler l air d une pièce ou d un bâtiment. Elle agit directement sur la température

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

Gaz moléculaire et formation stellaire dans les galaxies proches : maintenant et à l'époque ALMA Jonathan Braine

Gaz moléculaire et formation stellaire dans les galaxies proches : maintenant et à l'époque ALMA Jonathan Braine Gaz moléculaire et formation stellaire dans les galaxies proches : maintenant et à l'époque ALMA Jonathan Braine Laboratoire d'astrophysique de Bordeaux Scénario de base Le gaz moléculaire se forme par

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

Rapport. sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair

Rapport. sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair N ISBN : 978-2-11-098012-0 Rapport sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair Bureau d Enquêtes et d Analyses

Plus en détail

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la

Plus en détail

EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES

EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES Questionnaire EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES SCP 4010-2 LE NUCLÉAIRE, DE L'ÉNERGIE DANS LA MATIÈRE /263 FORME C Version corrigée: Équipe sciences LeMoyne d'iberville, septembre 2006. QUESTION 1 (5 pts) 1. La

Plus en détail

SOMMAIRE. Chapitre I INTRODUCTION... 3

SOMMAIRE. Chapitre I INTRODUCTION... 3 SOMMAIRE Chapitre I INTRODUCTION... 3 Chapitre II ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE... 11 II.1. Structure de la glace.... 11 II.1.1. Différentes structures cristallines... 11 II.1.2. Structure de la glace hexagonale

Plus en détail

METEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM

METEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM METEOROLOGIE Aéroclub Besançon La Vèze F-SO au FL65 over LFQM Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1 L air L atmosphère terrestre L humidité La stabilité, l instabilité La convection/l advection Les masses d air

Plus en détail

La physique nucléaire et ses applications

La physique nucléaire et ses applications La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension

Plus en détail

La vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août

La vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août La vie des étoiles La vie des étoiles Mardi 7 août A l échelle d une ou plusieurs vies humaines, les étoiles, que l on retrouve toujours à la même place dans le ciel, au fil des saisons ; nous paraissent

Plus en détail

IFUCOME Sciences et Technologie en Cycle 3 6 0

IFUCOME Sciences et Technologie en Cycle 3 6 0 IFUCOME Sciences et Technologie en Cycle 3 6 0 La fusion gourmande... ou comment fondre de plaisir! Quitterions-nous le domaine des sciences pour une nouvelle rubrique culinaire? Ce serait, pour le moins,

Plus en détail

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4) PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com

Plus en détail

TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée

TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée EXERCICE I : PRINCIPE D UNE MINUTERIE (5,5 points) A. ÉTUDE THÉORIQUE D'UN DIPÔLE RC SOUMIS À UN ÉCHELON DE TENSION.

Plus en détail

Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer

Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Bernard Simon- janvier 2015 Météorologie Web : Attention aux modèles utilisés dans les prévisions: (maillage / relief pris en compte/

Plus en détail

Annexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets

Annexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets Annexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets ARTICLE 1 OBLIGATIONS GENERALES 1. La présente Annexe s'applique aux activités

Plus en détail

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

Météorologie. Comprendre les phénomènes météorologiques, et leur observation.

Météorologie. Comprendre les phénomènes météorologiques, et leur observation. Météorologie Comprendre les phénomènes météorologiques, et leur observation. Documentation Site Météo AQUOPS-CyberScol, 1995-2012 pour les Images et textes. Mise en page SRPM Guy Sommaire Notions de Météorologie

Plus en détail

La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation

La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation Quels rôles jouent les surfaces continentales dans le système climatique? Nathalie de Noblet-Ducoudré nathalie.de-noblet@lsce.ipsl.fr

Plus en détail

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine

Plus en détail

L eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.

L eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie. 1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les

Plus en détail

Évolution du climat et désertification

Évolution du climat et désertification Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture

Plus en détail

Centre de Développement des Energies Renouvelables Caractéristiques techniques des Chauffe-eau eau solaires M. Mohamed El Haouari Directeur du Développement et de la Planification Rappels de thermique

Plus en détail

Rayonnements dans l univers

Rayonnements dans l univers Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter

Plus en détail

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4

Plus en détail

IR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure

IR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure IR Temp 210 Thermomètre infrarouge Contenu 1. Spécifications...26 2. Touches et affichages...28 3. Utilisation...30 4. Entretien...31 5. Elimination des piles et de l appareil...31 6. Tableau de facteur

Plus en détail

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement

Plus en détail

Interactions des rayonnements avec la matière

Interactions des rayonnements avec la matière UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

Electrification statique - Problèmes et solutions L application des sources ionisantes. Auteur: Dr Mark G Shilton, CChem, MRSC. (Copie du document

Electrification statique - Problèmes et solutions L application des sources ionisantes. Auteur: Dr Mark G Shilton, CChem, MRSC. (Copie du document Electrification statique - Problèmes et solutions L application des sources ionisantes. Auteur: Dr Mark G Shilton, CChem, MRSC. (Copie du document présenté à la Conférence sur la sécurité et la fiabilité

Plus en détail

LE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.

LE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que

Plus en détail

PHYSIQUE Discipline fondamentale

PHYSIQUE Discipline fondamentale Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et

Plus en détail

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET

Plus en détail

36% T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE

36% T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE 36% DE CRÉDIT D'IMPÔTS Loi de finance 2011 T.Flow Un système révolutionnaire 2 en 1 Seul

Plus en détail

Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide

Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide J.B. Campen Wageningen UR Glastuinbouw, Wageningen xxx 2007 Rapport xxx 2007 Wageningen, Wageningen UR Glastuinbouw Tous

Plus en détail

Profils verticaux de la couverture nuageuse, de ses propriétés et des aérosols: données du lidar CALIOP et du radar CLOUDSAT (DARDAR) de 2006 à 2012

Profils verticaux de la couverture nuageuse, de ses propriétés et des aérosols: données du lidar CALIOP et du radar CLOUDSAT (DARDAR) de 2006 à 2012 T1.3 (Tropics) Diurnal cycle of cloud cover in the tropical regions: combined use of geostationary satellite, A-Train measurements and lidar/radar ground station measurements. Coordination : G. Sèze (LMD)

Plus en détail

Circulation générale et météorologie

Circulation générale et météorologie Circulation générale et météorologie B. Legras, http://www.lmd.ens.fr/legras I Instabilités convectives de l'atmosphère humide (supposés connues: les notions de température potentielle sèche et d'instabilité

Plus en détail

Panorama de l astronomie

Panorama de l astronomie Panorama de l astronomie 7. Les étoiles : évolution et constitution des éléments chimiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gaël Cessateur & Gilles Theureau, Lab Phys. & Chimie de l Environnement

Plus en détail

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)

Plus en détail

Questions fréquentes. Citations des présentes questions : Lors de la citation d un groupe de questions, donner la référence suivante :

Questions fréquentes. Citations des présentes questions : Lors de la citation d un groupe de questions, donner la référence suivante : Extraits du Rapport accepté par le Groupe de travail I du Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat mais non approuvé dans les détails Questions fréquentes Citations des présentes

Plus en détail

CAMPING-CAR. La chaleur douce et silencieuse

CAMPING-CAR. La chaleur douce et silencieuse CAMPING-CAR La chaleur douce et silencieuse Une technologie écologique pour votre bienêtre. Le système Alde à eau caloporteuse vous procure un confort inégalé. Au-delà d'une chaleur homogène et silencieuse,

Plus en détail

Humidimètre sans contact avec mémoire + Thermomètre IR

Humidimètre sans contact avec mémoire + Thermomètre IR Manuel d utilisation Humidimètre sans contact avec mémoire + Thermomètre IR Modèle MO295 mbar GPP RH% 01 MEM STORE MO295 Introduction Nous vous félicitons d avoir fait l acquisition de l humidimètre Extech

Plus en détail

Baccalauréat STI2D et STL spécialité SPCL Épreuve de physique chimie Corrigé Session de juin 2014 en Polynésie. 15/06/2014 http://www.udppc.asso.

Baccalauréat STI2D et STL spécialité SPCL Épreuve de physique chimie Corrigé Session de juin 2014 en Polynésie. 15/06/2014 http://www.udppc.asso. Baccalauréat STI2D et STL spécialité SPCL Épreuve de physique chimie Corrigé Session de juin 2014 en Polynésie 15/06/2014 http://www.udppc.asso.fr Une entreprise de BTP (Bâtiment et Travaux Publics) déménage

Plus en détail

Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ

Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent

Plus en détail

Chapitre 1: Facteurs d'échelle

Chapitre 1: Facteurs d'échelle Chapitre 1: Facteurs d'échelle Des considérations générales sur la taille des objets ou des êtres vivants et leur influence sur différents paramètres, permettent d'établir simplement quelques lois ou tendances,

Plus en détail

FORMATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ETOILE

FORMATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ETOILE Comment une étoile évolue-t-elle? Comment observe-t-on l'évolution des étoiles? Quelques chiffres (âges approximatifs) : Soleil : 5 milliards d'années Les Pléiades : environ 100 millions d'années FORMATION

Plus en détail

Correction ex feuille Etoiles-Spectres.

Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800

Plus en détail

Semi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29

Semi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29 Expérience n 29 Semi-conducteurs Description Le but de cette expérience est la mesure de l énergie d activation intrinsèque de différents échantillons semiconducteurs. 1 Montage expérimental Liste du matériel

Plus en détail

Sommaire. Séquence 2. La pression des gaz. Séance 1. Séance 2. Séance 3 Peut-on comprimer de l eau? Séance 4 Je fais le point sur la séquence 2

Sommaire. Séquence 2. La pression des gaz. Séance 1. Séance 2. Séance 3 Peut-on comprimer de l eau? Séance 4 Je fais le point sur la séquence 2 Sommaire La pression des gaz Séance 1 Comprimer de l air Séance 2 Mesurer la pression d un gaz Séance 3 Peut-on comprimer de l eau? Séance 4 Je fais le point sur la séquence 2 24 Cned, Physique - Chimie

Plus en détail

La Plateforme GALA. Un projet régional structurant. avec le pôle Cancer-Bio-Santé pour la recherche et l'innovation en galénique CPER 2007-2013

La Plateforme GALA. Un projet régional structurant. avec le pôle Cancer-Bio-Santé pour la recherche et l'innovation en galénique CPER 2007-2013 La Plateforme GALA Un projet régional structurant CPER 2007-2013 avec le pôle Cancer-Bio-Santé pour la recherche et l'innovation en galénique Labellisé en avril 2009 Plateforme GALA : quel rôle? Principe

Plus en détail

PROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES

PROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES PROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES Destinés essentiellement à protéger contre les salissures, les vêtements de travail permettent également de valoriser l image des entreprises (personnalisation

Plus en détail

BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie

BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie La gestion responsable des eaux pluviales : UNE SOLUTION ACTUELLE POUR UN AVENIR DURABLE L eau est une ressource essentielle à toute forme de vie sur Terre.

Plus en détail

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases

Plus en détail

Pourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments

Pourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments Thème Pourquoi isoler? Pourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments Les indications, illustrations, informations

Plus en détail

Rt 5. L isolant Thermo-réfléchissant. Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! 6.1 10.2. www.thermosulit.be. Système de recouvrements plats

Rt 5. L isolant Thermo-réfléchissant. Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! 6.1 10.2. www.thermosulit.be. Système de recouvrements plats 6. 0. L isolant Thermo-réfléchissant Rt 5 m²k/w (Rapport CIM 0/007) Système de recouvrements plats Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! www.thermosulit.be Découvrez Thermosulit Thermosulit 6. et 0.

Plus en détail

Annexe 3 Captation d énergie

Annexe 3 Captation d énergie 1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,

Plus en détail

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes). SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,

Plus en détail

METEOROLOGIE. Test : Les NUAGES.

METEOROLOGIE. Test : Les NUAGES. METEOROLOGIE. Test : Les NUAGES. -II- Nuages & précipitations. 1 - La vapeur d'eau se présente sous forme : a) d'un gaz blanchâtre b) de petites gouttelettes d'eau en suspension dans l'air c) d'un gaz

Plus en détail

ACTIVITÉ. Configuration de la pression en surface. Matériel. Pointage et analyse de la pression aux stations sur cartes météorologiques.

ACTIVITÉ. Configuration de la pression en surface. Matériel. Pointage et analyse de la pression aux stations sur cartes météorologiques. ACTIVITÉ Configuration de la pression en surface Lorsque vous aurez complété cette activité, vous devriez être en mesure de : Dessiner des lignes d'égale pression (isobares) pour présenter la configuration

Plus en détail

Remeha ZentaSOL. La nouvelle norme en matière de simplicité, design et rendement

Remeha ZentaSOL. La nouvelle norme en matière de simplicité, design et rendement Remeha ZentaSOL La nouvelle norme en matière de simplicité, design et rendement ZentaSOL Système de chauffe-eau solaire Remeha ZentaSOL L'énergie solaire est la source de chaleur la plus écologique et

Plus en détail

Eau chaude à partir de demain plus qu il n en faut

Eau chaude à partir de demain plus qu il n en faut SYSTEME DE VENTILATION A CONDUIT UNIQUE Eau chaude à partir de demain plus qu il n en faut LIMODOR-Plus se charge de couvrir vos besoins quotidiens en eau chaude LIMODOR-PLUS La ventilation confort au

Plus en détail

Le polissage par laser

Le polissage par laser B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 Le polissage par laser Contexte Un traitement de surface est généralement réalisé dans le but d améliorer les caractéristiques

Plus en détail

Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)

Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) 1. A la découverte de la radioactivité. Un noyau père radioactif est un noyau INSTABLE. Il se transforme en un noyau fils STABLE

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES ~--------------~~-----~- ----~-- Session 2009 BREVET DE TECNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES U22 - SCIENCES PYSIQUES Durée: 2 heures Coefficient : 3 Les calculatrices

Plus en détail

THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ

THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ B. AMANA et J.-L. LEMAIRE 2 LIQUEFACTION D'UN GAZ Cette expérience permet d'étudier la compressibilité et la liquéfaction d'un fluide en fonction des variables P,

Plus en détail