PRATIQUES GERIATRIQUES

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1 PRATIQUES GERIATRIQUES ETES-VOUS ATTACHES A LA CONTENTION?

2 Le concept Pinel vous permet de satisfaire aux besoins de contention de tous niveaux avec un seul système. Dans la contention d urgence, le patient agressif peut être immobilisé en sept points en moins de 10 secondes et ramené jusqu à un seul point à mesure qu il se calme. Les patients plus passifs, peuvent être maintenus au lit ou au fauteuil tout en conservant une grande mobilité dans le lit ou le fauteuil, jusqu au point de ne pas se rendre compte qu ils sont sous contention. Ce système s adapte à tous les types de besoins de contention des institutions, soins prolongés, urgence, psychiatrie, soins intensifs... Contention: du latin contentio = lutte

3 Définition selon l HAS «La contention physique dite passive est l utilisation de tous moyens, méthodes, matériels ou vêtements qui empêchent ou limitent les capacités de mobilisation volontaire de tout ou une partie du corps, dans le seul but d obtenir de la sécurité pour une personne qui présente un comportement estimé dangereux ou mal adapté.»

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6 En institution de personnes âgées 1 décès sur 1000 est dû à une contention Dont 58% lors du maintien au fauteuil 42% lors d une contention au lit

7 PREVALENCE DE LA CONTENTION Chez les plus de 65 ans en court séjour: de 18 à 22%. En institution de 19 à 84%!!! Au CHI : en court séjour environ 20% En EHPAD environ 11% (de jour) (enquête de prévalence sur un jour donné en avril 2007)

8 Nos «bonnes raisons» CHUTES AGITATION Chutes Déambulation 70 DEAMBULATION ACTES Agitation, troubles du comportement Soins médicaux (perf, sondes ) AUTRES NE SAIT PAS 10 0 HOPITAL EHPAD Chutes = 68% en hôpital / 50% en EHPAD Agitation= 14% en hôpital / 11% en EHPAD Ne sait pas= 11% en Hôpital / 10% en EHPAD

9 Et les moins bonnes On est obligé d employer ces moyens de contention parce qu on manque de personnel Faux : des études montrent que les patients ayant des contraintes exigent plus d heures de soins, et non pas moins. Les patients ne trouvent rien à redire au fait qu on les attache Faux : ceci est souvent le signe d une mauvaise évaluation de la part des professionnels ou de pressions venant de la famille. L emploi de dispositifs de contention met les soignants et l hôpital à l abri des poursuites judiciaires Faux : les affaires judiciaires concernent au contraire les cas de contentions abusives. 9

10 Les moyens de contention assurent la sécurité des résidents Faux : des études révèlent en fait qu ils engendrent des dommages physiques et psychologiques et qu ils peuvent même entraîner le décès. Il n existe rien pour remplacer les moyens de contention Faux : des solutions de remplacement, la plus recommandable est d agir sur l environnement plutôt que sur la personne. La contention n est employée qu en dernier ressort Faux : cela est contredit par le nombre élevé de cas où l on utilise des moyens de contrainte sans évaluation préalable 10

11 Ethique et Droit Prévention du risque Privation de liberté Article 3 de la déclaration universelle des droits de l homme: «Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne»

12 Loi du 4 Mars 2002 Art. L La personne malade a droit au respect de sa dignité. Art. L Les actes de prévention, d'investigation ou de soins ne doivent pas, en l'état des connaissances médicales, lui faire courir de risques disproportionnés par rapport au bénéfice escompté. Charte des personnes âgées dépendantes Article 2 Toute personne âgée dépendante doit conserver la liberté de communiquer, de se déplacer et de participer à la vie de la société.

13 REFERENTIEL HAS OCTOBRE 2000 Critère 1 = Prescription motivée dans le dossier Critère 2 = Appréciation du rapport bénéfice- risque Critère 3 = Surveillance programmée (prévention des risques) Critère 4 = Information du patient et de sa famille (voire consentement) Critère 5 = Matériel de contention approprié Critère 6 = Installation du patient (intimité et dignité) Critère 7 = Lever la contention aussi souvent que possible Critère 8 = Activités proposées au patient Critère 9 = Evaluation toutes les 24 heures Critère 10 = Prescription renouvelée et motivée toutes les 24 heures

14 Les risques de la contention La chute : ce qui est un comble! En USLD le nombre de chutes graves augmente chez les patients attachés (17% versus 5% chez les «non attachés) En SSR 25% versus 10% Selon les études les chutes «non graves» sont plus élevées chez le patient non contenu Perte de la masse osseuse, de la masse musculaire, de l activité physique, contractures, chute par dessus les barrières

15 Les autres dangers de la contention Perte de la marche, de l autonomie Troubles trophiques, escarres Constipation, globe vésical Incontinence urinaire et/ou fécale Diminution masse musculaire et osseuse Rétractions Infections nosocomiales Et en cas d incendie??? Colère, inconfort, révolte, agressivité, douleur, épuisement Lésions plexus brachial, thrombose veines axillaires, neuropathies par compression STRANGULATION - ASPHYXIE

16 Le recours à la contention doit rester l exception et faire l objet d une prescription médicale, suite à une démarche multidisciplinaire. Les alternatives à la contention ont montré leur efficacité et doivent faire l objet d une réflexion institutionnelle par la formation continue du personnel

17 RECOMMANDATIONS DE PRATIQUE POUR LA MISE EN PLACE D UNE CONTENTION Risque de chute, agitation, troubles du comportement, déambulation excessive EVALUATION recherche des causes environnementale individuelle NON Ce trouble est il dangereux pour le sujet ou pour les autres? OUI INTERVENTIONS Traitement de la cause Tenter des alternatives à la contention : physiques, physiologiques, occupationnelles, psychologiques, environnementales. Ne pas utiliser les contentions OUI Efficacité des moyens d interventions NON Contentions 17

18 Les risques liés à l'agitation, la confusion, et les propositions d'alternatives à la contention physique 18

19 Les risques liés à l'agitation, la confusion, et les propositions d'alternatives à la contention physique (1) Causes médicales Ne pas négliger les causes médicales d une agitation ou d une confusion qui nécessiteraient un traitement rapide vérifier l'adaptation du traitement médicamenteux (médications multiples, interactions médicamenteuses) rechercher des signes de douleur, de troubles du sommeil, de dépression, d'hyperthermie Corriger les éventuels déficits sensoriels 19

20 Les risques liés à l'agitation, la confusion, et les propositions d'alternatives à la contention physique (2) Adaptation de l environnement Diminuer les stimuli auditifs Éviter la présence de personnes au comportement perturbateur 20

21 Les risques liés à l'agitation, la confusion, et les propositions d'alternatives à la contention physique (3) Accompagnement de la personne Organiser des temps de présence des soignants auprès du patient Solliciter si possible la présence des proches Repérer les habitudes du patient et respecter son rythme de vie Respecter les phases de sommeil, habitudes alimentaires, zones d'intérêt Favoriser le contact relationnel Faire en sorte que le patient connaisse les soignants Rappeler son nom et sa fonction autant que de besoin L'informer de la présence continue de l'équipe soignante Adopter une attitude calme et rassurante 21

22 Les risques liés à la déambulation «excessive» et les propositions d'alternatives à la contention physique 22

23 Les risques liés à l'agitation, la confusion, et les propositions d'alternatives à la contention physique (1) Raisons médicales Ne pas négliger les raisons médicales d une déambulation qui nécessiteraient un traitement rapide Nouveau traitement médicamenteux Absorption de certains médicaments Anxiété Douleur 23

24 Les risques liés à l'agitation, la confusion, et les propositions d'alternatives à la contention physique (2) Adaptation de l environnement Améliorer la sécurité des lieux Aménager des espaces de déambulation sécurisés 24

25 Les risques liés à l'agitation, la confusion, et les propositions d'alternatives à la contention physique (3) Accompagnement de la personne Améliorer et faciliter l orientation du sujet : lui présenter le service et l'agencement des locaux (salle à manger, couloirs, toilettes, salle de soins, bureau infirmier) lui indiquer où se situent les interrupteurs et leur fonctionnement expliquer le déroulement d'une journée (horaire des repas et de la présence du personnel) 25

26 Les risques liés à l'agitation, la confusion, et les propositions d'alternatives à la contention physique (4) Réorienter le patient calmement Accompagnement de la personne Capter l'attention du patient par des barrières visuelles : Mettre des photos, posters, télévision, miroirs sur les issues L'installer près d'une fenêtre ou dans un lieu où son attention peut être captée 26

27 Le risque de chute et les propositions d'alternatives à la contention physique 27

28 Le risque de chute et les propositions d'alternatives à la contention physique (1) Raisons médicales Ne pas négliger les raisons médicales qui nécessiteraient un traitement rapide : Hypotension orthostatique, troubles de la glycémie, troubles du sommeil Dépression, déshydratation, pathologies cardio-vasculaires Revoir les différentes associations médicamenteuses 28

29 Le risque de chute et les propositions d'alternatives à la contention physique (2) Adaptation de l environnement et du mobilier dans la chambre Enlever tout équipement inutile (meuble et autre) Augmenter l'éclairage (une personne âgée a besoin d'un éclairage deux à trois fois supérieur à un adulte, notamment en cas de cataracte) Mettre un matelas de gymnastique près du lit en cas de chute Lit bas recommandé (moins de 45 cm de hauteur) Enlever les roulettes de la table de nuit, de l'adaptable Bloquer les roulettes du lit en permanence, le mettre en position basse Mettre des repères temporels (calendrier, horloge) 29

30 Le risque de chute et les propositions d'alternatives à la contention physique (3) Accompagnement de la personne âgée Inciter à l'activité physique, à la marche, à l'autonomie Informer du rythme de passage des soignants Proposer des activités occupationnelles Quand le patient est réveillé, l'accompagner aux toilettes plusieurs fois dans la journée et une ou deux fois dans la nuit 30

31 Le risque de chute et les propositions d'alternatives à la contention physique (4) Lors des déplacements Assister la personne lors des déplacements Fournir des aides techniques (sur élévateur de toilettes, barres d'appui) Vérifier l'utilisation de chaussures adaptées, fermées S'assurer de l'utilisation des lunettes de vue, aide auditive, aide à la marche Indiquer à la personne les lieux et endroits à risque (sols glissants, escaliers) Encourager la personne à prendre appui sur les barres des couloirs 31

32 Le risque de chute et les propositions d'alternatives à la contention physique (5) Lors de l installation au lit ou au fauteuil Mettre le fauteuil où le patient le souhaite Stabiliser lit ou fauteuil (bloquer les roulettes) Installer confortablement la personne (vêtement et position) Adapter l'inclinaison du fauteuil ou la hauteur du lit pour faciliter le passage en position debout Adapter les accoudoirs à une hauteur qui permet au patient de prendre appui Ne pas mettre d'objets devant le fauteuil qui gêneraient les transferts Installer les effets personnels et familiers près du patient (montre, lunettes, photos ) Expliquer l'utilité et l'utilisation du système d'appel Ne pas laisser le patient en position assise trop longtemps 32

33 Le risque de chute et les propositions d'alternatives à la contention physique (6) Lors des transferts Ne pas tracter la personne, mais se placer à côté d'elle pour l'aider, afin d'éviter le réflexe de rétropulsion Apprendre à la personne à se lever et s'installer au fauteuil en prenant appui sur les accoudoirs 33

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36 Merci de votre écoute

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