BULLETIN DE SANTE DU VEGETAL
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- Germaine Samson
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1 BULLETIN DE SANTE DU VEGETAL MELON ÉDITION SUD-OUEST - Hors Série BSV BILAN 216 D ISPOSITIF D ' ÉPIDÉMIOSURVEILLANCE Répartition spatiale des parcelles d'observations et des pièges L'évaluation du risque pour le melon est établie à partir des observations réalisées sur : 9 parcelles de référence (1 parcelle est définie par 1 date de plantation et 1 variété), reparties sur 2 zones de production différentes de Midi-Pyrénées, observées et notées par la Chambre d'agriculture de Tarn-et-Garonne, un réseau de parcelles flottantes suivi par la Chambre d agriculture de Tarn-etGaronne et le Groupe Technique Melon Sud Ouest (15 techniciens) qui rapportent leurs observations lors d'une réunion téléphonique hebdomadaire. Le groupe transmet des informations sur des parcelles flottantes réparties sur l'ensemble de la zone de production. 8 pièges à phéromones, communs au réseau BSV maïs, permettent de suivre en conditions réelles les dynamiques de populations des chenilles phytophages (pyrale, sésamie et Helicoverpa armigera) en Midi-Pyrénées. Action pilotée par le Ministère chargé de l'agriculture, avec l appui financier de l Office national de l'eau et des milieux aquatiques, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au financement du plan Ecophyto 218. Directeur de publication : Denis CARRETIER Président de la Chambre Régionale d'agriculture d Occitanie BP CASTANET TOLOSAN Cx Tel Dépôt légal : à parution ISSN en cours BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL MELON Édition Sud Ouest - Hors-Série BILAN 216 Page 1/4
2 Bioagresseurs Maladies C ARACTÉRISTIQUES Verticilliose Macrophomina phaseolina Didymella bryoniae Oidium Maladies des taches brunes Pourriture grise et sclérotinioses Mildiou Bactériose Ravageurs Taupins Pucerons Chenilles phytophages Autres Virus Grille physiologique DE LA CAMPAGNE Bilan climatique La campagne 216 est caractérisée par un printemps plus humide, surtout pour le mois de mars. Cependant peu de reports de plantations sont notés. Les premières récoltes sont plutôt tardives (cycle long et au-dessus des normales). Le mois de juillet est exceptionnellement «arrosé». La fin de campagne est estivale et permet de prolonger les récoltes jusqu'en octobre. Les reprises des plants sont correctes tout au long de la campagne. Températures et pluviométrie Comparaison aux données moyennes Source Météo France Site de Montauban - réalisation Chambre d'agriculture de Tarn et Garonne. mm 35 1 C sub-title Janvier Février Mars Pluviométrie 216 T moy Avril Mai Pluviométrie normale T moy norm. Juin T min T max norm. Juillet Août Septembre T max T min norm. BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL MELON Édition Sud Ouest - Hors-Série BILAN 216 Page 2/1 Récolte Grossissement du fruit 19 feuilles 5 feuilles Périodes d'observation Pythium Fusariose Dispositif de modélisation et réseau de stations météorologiques Les observations de parcelles sont complétées par des analyses prévisionnelles de l'évolution de plusieurs parasites : l'indice de risque climatique bactériose, établi par le CEFEL, est calculé à partir des données météorologiques de 2 stations : Moissac (St Laurent) et Montauban. le modèle mildiou MILMEL simule l'évolution du champignon à partir des données météorologiques de la station de Moissac (St Laurent). Plantation Stades Pépinière Des observations et notations sur les parcelles de référence sont réalisées par la Chambre d'agriculture de Tarn-et-Garonne, en respectant le protocole national à des fréquences de 7 à 15 jours. Ces observations sont complétées par les observations du Groupe Technique Melon Sud Ouest et de la Chambre d'agriculture de Tarn-etGaronne sur le réseau de parcelles flottantes. Tous les bio-agresseurs sont observés et évalués. Floraison mâle Protocoles d'observations et réseau d'observateurs
3 Stades phénologiques Les implantations des cultures précoces ne sont pas réalisées dans des conditions optimales. En effet, l'hiver doux n'a pas permis un travail du sol dans de bonnes conditions (pas d éclatements des mottes dus au gel) et les reprises par conditions humides ont amplifié les tassements de sol. Des hétérogénéités de développement peuvent être observées pour les plantations précoces et semiprécoces. En règle générale, les développements de plantes à partir du créneau plein champ saison resteront optimaux jusqu'à la fin de la campagne. Les cycles «plantation-récolte» de la campagne 216 sont longs sur les créneaux précoces puis ils se raccourcissent avec le retour du temps estival en août et en fin de campagne. En règle générale, les rendements sont moyens voire faibles pour les premiers créneaux. Ils sont très inférieurs à la campagne 215. B ILAN SANITAIRE DE LA CAMPAGNE Fréquence et intensité des attaques de bio-agresseurs détectés dans le réseau d'observations Campagne 215/216 La gravité de l'attaque combine donc la fréquence et l'intensité de l'attaque des parcelles touchées. Ces paramètres reflètent la pression sanitaire de l'année, sans prendre en compte la mise en œuvre des différentes stratégies de protection. Fréquence et intensité d'attaque Forte Moyenne Faible Nulle Fréquence Intensité Légende :Fréquence = régularité des dégâts observés - Intensité = gravité des dégâts observés Niveaux d'attaque de nul = à fort = 3 - Evolution de la pression par rapport à l année antérieure : ;+, - et = La campagne 216 est caractérisée, par des attaques de bio-agresseurs faibles à moyennes. Les seules exceptions pourraient être : Les pourritures sur fruits sont plus importantes ainsi que des attaques de sclérotinia. On observe une sensibilité variétale sur ce bio-agresseur. L oïdium, quoique apparaissant tardivement en août, est plus virulent que lors des deux dernières campagnes. Les attaques de pyrales et surtout sésamies sur fruits dés le vol de première génération sont plus importantes. Les attaques de sésamies sont plus importantes sur le deuxième vol. les piégeages d'helicoverpa sont toujours importants, surtout pour le piège du sud du réseau. Toutefois, aucun dégât significatif n est observé. Le fait marquant de la campagne restera la forte présence d oïdium, même si de façon générale les intensités restent moyennes (sauf sur les variétés sensibles). BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL MELON Édition Sud Ouest - Hors-Série BILAN 216 Page 3/1
4 M ALADIES Pythium (Pythium sp) Le risque pythium, excepté pour les conditions de plantations précoces de mars (semaines 12 et 13), reste faible pour toute la campagne 216. Les dégâts occasionnés, sur quelques parcelles, sont de faibles fréquences et intensités. Maladies des taches brunes (Cladosporium cucumerinum) et Bactériose (Pseudomonas syringae pv aptata) Pour la Cladosporiose, la pression est faible sauf sur des situations pédo-climatiques particulières (zones plus froides). Les premiers symptômes sont observés sur les parcelles du réseau de surveillance fin mai (BSV n 9). La fréquence et l'intensité des symptômes sont faibles. Des symptômes s'observent en juin sur feuilles et sèchent en fin de mois. Ils demeurent, sauf cas exceptionnels de faibles fréquences et intensités. A partir du mois de juillet, aucun nouveaux dégâts ne sont signalés sur le réseau de surveillance. Symptômes de cladosporiose - Photos CA 82 - De gauche à droite : sur feuille, sur jeune fruit, sur tige Pour la bactériose, un indice de risque climatique (IRC) peut être calculé, pour une situation donnée, à partir des données météorologiques journalières issues d une station météo. Le risque de développement de la maladie est calculé en fonction de plusieurs paramètres : températures minimale et moyenne, amplitude thermique et pluviométrie. Le dépassement d'une valeur seuil déterminée pour ces 4 paramètres permet de calculer un niveau risque «bactériose» quantifié selon une échelle variant de (risque très faible) à 4 (risque très fort). L'IRC est calculé du début mai à fin septembre. in d ice d e r isq u e b a cté r io se (p o u r 2 p o st e s m é té o ) n o t e d e l'in d ice d e r isq u e ( à 4 ) c u m u ls 4 r isq u e s M o iss a c c u m u ls 4 r isq u e s M o n ta u b a n 3,5 S y m p tô m e s B a c t é r io s e s it e d e M o issa c 3 2,5 2 1,5 1,5 1/5 8/5 15/5 22/5 29/5 5/6 12/6 19/6 26/6 3/7 1/7 17/7 24/7 31/7 7/8 14/8 21/8 28/8 4/9 11/9 18/9 25/9 d ate s A l exception de quelques cas ponctuels, Peu de dégâts de bactériose sur fruits ont été relevés en 216. Des symptômes sur feuilles ont été notés selon les périodes mais peu de symptômes sur fruits. BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL MELON Édition Sud Ouest - Hors-Série BILAN 216 Page 4/1
5 Les premiers symptômes de bactériose sont notés début mai sur des stades jeunes (12-15 feuilles) sous des chenilles découvertes. D'autres symptômes sont notés fin mai (BSV n 9) puis début juin avec des intensités variables de faibles à fortes en fonction des situations de parcelles. Les symptômes sont «actifs» tout au long du mois de juin. Des dégâts sur fruits sont constatés avec les premières récoltes de juillet. Leur intensité et fréquence sont faibles. D'autres symptômes sur feuilles et fruits, toujours de faible intensité, seront observés mi août (BSV n 2) et de façon ponctuelle pour la fin de campagne. Puis de nouveaux symptômes sur fruits sont observés en fin de campagne (septembre) lors de nuits fraîches mais dont les températures n'étaient pas inférieures à 12 C. Symptômes de bactériose sur feuille et fruit Photos CA 82 Pourriture grise (Botrytis cinerea) et sclérotinioses (Sclerotinia sclerotiorum) Les premiers symptômes de sclérotinia sont signalés sur feuilles et fruits début juin (BSV n 11). Les symptômes sont plus nombreux que lors de la dernière campagne. Les symptômes sont observés jusqu'à mi-juillet. Les symptômes de pourriture grise sont plus nombreux pour cette campagne. Symptômes de sclérotinia sur tiges et jeune fruit Photos CA 82 Mildiou (Pseudoperonospora cubensis) Le mildiou est présent depuis la 5ème année consécutive, même si les symptômes sont peu intenses en 216. Les premiers cas sont suspectés mi-juin sur le réseau (BSV n 12). Une analyse envoyée au LDA 33 confirme la nature de l agent pathogène à l origine des symptômes. D'autres cas sont signalés à partir de la troisième décade de juin (BSV n 13). Un autre cas sera signalé fin juillet sur des conditions particulières de parcelle irriguée par aspersion et positionnée sur un bas fond de coteau. D'autres cas de faibles intensités et fréquences sont observés début août (BSV n 19 et 2). Par la suite, avec l installation plus durable d'un temps estival, aucun autre cas ne sera signalé. L'évaluation du risque mildiou est complétée par les informations issues du modèle MILMEL, dont les données sont disponibles à partir du mois d'avril (parcelles sans couvertures temporaires). La prévision est BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL MELON Édition Sud Ouest - Hors-Série BILAN 216 Page 5/1
6 évaluée sur plusieurs dates de plantation et à partir des données météorologiques du site de St Laurent - Moissac. Pour 216,le modèle MILMEL annonçait des risques faibles à forts en fonction des dates de plantation et des périodes. note d'attaque mildiou ( à 4 ) parcelle "iso risque" 3,5 3, 2,5 2, 1,5 1,,5, 17-May 2-Jun 6-Jun 13-Jun 17-Jun 2-Jun 11-Jul 22-Jul 25-Jul 28-Jul 1-Aug 8-Aug 17-Aug 23-Aug 3-Aug Symptômes notés sur une échelle de à 4 Présence de symptômes de mildiou à partir de mi juin sur site St Laurent Cefel parcelle à risque Présence de mildiou jusqu à fin juillet mais de faible intensité Épidémie spontanée de mildiou à partir de début août Symptômes de mildiou sur feuilles Photos CA 82 Oïdium (Podosphaera xanthii, Golovinomyces cichoracearum var. cichoracearum) La campagne 216 est une campagne avec une pression forte d oïdium, même si les intensités restent moyennes. Les premiers symptômes sont observés très tôt, sur quelques parcelles du réseau. Sur ces parcelles, l'inoculum primaire provient du plant (origine Espagne). Sur le réseau, un premier cas est signalé en juin (BSV n 11). Puis les autres cas sur variétés sensibles ne sont signalés que fin juillet (BSV n 18). A partir de cette période, l'oïdium se développe avec des fréquences et intensités variables selon les parcelles. De l'oïdium est observé même sur les variétés IR Px 3-5. Cette race reste encore prédominante. Symptômes d'oïdium sur feuille BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL MELON Édition Sud Ouest - Hors-Série BILAN 216 Page 6/1
7 Dépérissement de plantes (Fusarium oxysporum sp melonis, Verticilium dahliae) Les premiers cas de dépérissement de plantes ont été suspectés dés le mois de mai (BSV n 8). Des cas sont signalés tout le mois de juin. Quelques faibles cas peuvent être observés en juillet. Une autre «vague» de symptômes, assez importante sur certaines parcelles, apparaît fin août début septembre. La pression 216 est plus importante que celle de 215 avec des cas analysés sur melon greffés sur melon (porte greffe Magnus et Dinero) et sur variétés IR Fom 1-2. Fusariose dégats au champ - Photo CA82 Fusariose vaisseaux «bouchés» - Photo LDA33 Didymella et Macrophomina (Didymella bryoniae et Macrophomina phaseolina) Ces deux pathogènes ont été identifiés sur des parcelles du réseau (identification par le laboratoire CG33-LDA33). Les symptômes de ces deux bio-agresseurs sont proches et demandent une confirmation par l'analyse. Le Didymella est plus souvent observé sur plants greffés. L incidence des symptômes de Didymella est équivalente à celle observée en 215. Des symptômes sur fruits sont observés sans créer de pertes importantes en parcelles. Le macrophomina a été identifié par des analyses en laboratoire. Des symptômes, aux collets des plantes ont été souvent observés. Son développement en 216 est plus important dés la mise en place de conditions chaudes et sèches (août et septembre). Didymella sur tiges - Photo CA82 Didymella sur fruit - Photo AgriPro Capel Macrophomina sur tiges - Photo CEFEL Autres maladies D'autres champignons ont été observés de façon ponctuelle et analysés par le LDA 33 : Phomopsis sclérotioides, Rhizoctonia solani, Thielaviopsis basicola et Rhizopus. BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL MELON Édition Sud Ouest - Hors-Série BILAN 216 Page 7/1
8 R AVAGEURS Taupins et autres insectes du sol Les dégâts de taupins sur plants sont faibles, excepté sur les parcelles à risque, les reprises de plants ayant été rapides dans l'ensemble. En revanche, des dégâts sur fruits sont toujours observés en stations de conditionnement. Les dégâts sont présents sur la face en contact avec le sol. Les autres ravageurs du sol sont peu présents cette campagne. Dégâts de taupins sur fruit - Photo CA 82 Pucerons Les premiers ailés sont signalés mi-mai (BSV n 7). Les premiers foyers sont signalés sur des parcelles du réseau au mois de mai (BSV n 8). Les pucerons (Aphis gossypii et autres...) se développent fin mai et les auxiliaires sont présents (coccinelles adultes au départ). Les foyers semblent éradiqués fin juin (BSV n 13). Les auxiliaires sont bien développés et les fortes chaleurs contribuent à réduire le développement des foyers. La campagne 216 est une année à pression moyenne. Chenilles phytophages Crispation du feuillage par une attaque de pucerons Photo CA 82 Pour la sésamie (Sesamia nonagrioides), le risque a été présent une bonne partie de la campagne. Les dégâts sur fruits sont plus importants cette campagne, surtout sur le vol de seconde génération.(bsv n 25). Sésamie : adulte (à gauche) et larve (à droite) - Photos Arvalis Pour la pyrale (Ostrinia nubilalis), le risque est évalué sur la base des informations issues des réseaux de piégeage maïs Midi-Pyrénées. Le réseau melon dispose en plus de 6 pièges à phéromones positionnés sur des parcelles de melons en zone à risque (proche parcelle maïs). Les résultats des piégeages alimentent en retour le réseau «maïs». Les pics de vols ont été prévus entre le 15 et le 22 juin (semaines 24 et 25) pour le premier, autour du 16 août (semaine 33) pour le second (cf BSV grandes cultures, édition maïs). Les deux vols ont été plus tardifs que l'année précédente. Des dégâts de pyrales sur fruits ont été observés dès le vol de première génération. La fréquence des dégâts reste faible pour les 2 vols. BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL MELON Édition Sud Ouest - Hors-Série BILAN 216 Page 8/1
9 Relevés pièges pyrales - Réseau SBT melon Sud Ouest cumul hebdomadaires - 5 Nombre de captures - Lauzerte Lauzerte La Chapelle Monbequi Montalzat Cézac Sem 38 Sem 37 Sem 36 sem 35 sem 34 sem 33 sem 32 sem 31 sem 3 sem 29 sem 28 sem 27 sem 26 sem 25 sem 24 sem 23 sem 22 Nombre de captures hebdo - Autres sites 2 6 Belfort du Quercy Pyrale : Adulte (à gauche) et larve (à droite) Photos Arvalis Pour Heliothis (Helicoverpa armigera), 2 pièges ont été suivis sur les secteurs de Bessens et de Montalzat. En 216, les captures sont importantes, surtout sur le piège situé sur le sud de la zone de surveillance. Cependant, aucun dégât n'a été observé sur le réseau de surveillance. Relevés pièges Héliothis - Réseau SBT melon Sud Ouest cumul hebdomadaires Monbequi Sud 82 Montalzat Nord 82 Sem 38 Sem 37 Sem 36 sem 35 sem 34 sem 33 sem 32 sem 31 sem 3 sem 29 sem 28 sem 27 sem 26 Larve Helicoverpa armigera Photos Arvalis Autres ravageurs Des ravageurs ont été observés façon ponctuelle comme la mouche des semis, les méligèthes, les cloportes. Les mouches de semis ont été peu présentes. BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL MELON Édition Sud Ouest - Hors-Série BILAN 216 Page 9/1
10 A UTRES OBSERVATIONS Virus (CABYV, CMV, WMV...) : Des dégâts de virus, transmis par les pucerons, ont été observés, avec des fréquences et des intensités faibles à fortes selon les parcelles. Limaces : A noter présence de limaces ou loches lors des périodes humides. Grille physiologique : La grille physiologique est moins présente lors de la campagne 216. Adventices : Les levées d'adventices ont été fréquentes et favorisées par les conditions humides du printemps et du début de l été. REPRODUCTION DU BULLETIN AUTORISÉE SEULEMENT DANS SON INTÉGRALITÉ (REPRODUCTION PARTIELLE INTERDITE) Ce BSV Bilan Melon Sud-Ouest a été préparé par l'animateur filière melon de la Chambre d'agriculture du Tarn-et-Garonne et élaboré sur la base des observations réalisées, tout au long de la campagne par la CAPEL, le CEFEL et la Chambre d'agriculture du Tarn-et-Garonne. BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL MELON Édition Sud Ouest - Hors-Série BILAN 216 Page 1/1
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