Votre médecin vous a diagnostiqué une polyarthrite rhumatoïde (PR),

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Votre médecin vous a diagnostiqué une polyarthrite rhumatoïde (PR),"

Transcription

1

2 Votre médecin vous a diagnostiqué une polyarthrite rhumatoïde (PR), cette brochure décrit cette maladie, ses conséquences et les traitements disponibles aujourd hui pour la traiter. 2

3 Qu est-ce que la PR? Quels sont les signes de la maladie? Comment soigne-t-on la PR? 1 Une maladie inflammatoire chronique 2 Une maladie auto-immune 3 Une maladie plurifactorielle p 5 p 8 p 10 1 Les signes cliniques 2 Les signes biologiques 3 Les signes radiologiques p 13 p 14 p 15 1 Les traitements symptomatiques 2 Les traitements de fond 3 Les traitements locaux 4 Les traitements non médicamenteux p 16 p 18 p 19 p 20 3 Conclusion p 21

4 (1,2) Qu est-ce que la PR? 4

5 La polyarthrite rhumatoïde (PR) est le rhumatisme inflammatoire chronique le plus fréquent en France. Elle touche environ 1% de la population adulte et plus particulièrement les femmes. Bien que cette maladie puisse apparaître à n importe quel âge les premiers symptômes surviennent généralement entre 40 et 60 ans. (1,2) 1- Une maladie inflammatoire chronique (3,4) Rachis cervical Épaule La PR est une maladie inflammatoire chronique qui touche les articulations. Pour la majorité des personnes, elle affecte en premier lieu les articulations des mains, des poignets et de l avant-pied, de manière symétrique. Colonne vertébrale Hanche Poignet Coude Main Articulations fréquemment atteintes dans la PR Genou Articulations atteintes avec une fréquence modérée Articulations rarement atteintes dans la PR Avant-pied 5 Fig 1 : Représentation des articulations les plus touchées dans la PR

6 Qu est-ce qu une articulation? (4) Une articulation est l organe d union de 2 ou plusieurs os. Elle joue un rôle important dans la mobilité des membres. L articulation est constituée des extrémités des os, recouvertes de cartilage. Une capsule entoure l articulation, elle la protège et la maintient en place. La membrane synoviale recouvre l intérieur de la capsule, et secrète un liquide appelé le liquide synovial. Fig 2 : Représentation d une articulation normale Os Cavité articulaire contenant le liquide synovial Le liquide synovial apporte les éléments nutritifs nécessaires au cartilage et joue un rôle de lubrifiant entre les surfaces cartilagineuses en contact. Cartilage Le cartilage recouvre les extrémités osseuses. Il sert à faire glisser les os les uns avec les autres et sert de «rembourrage» pour amortir les chocs. Membrane synoviale La membrane synoviale recouvre l intérieur de la capsule articulaire à l exception du cartilage. Sa fonction essentielle est de fabriquer le liquide synovial. Capsule articulaire La capsule articulaire permet de maintenir les 2 os en contact. Elle est renforcée par des ligaments puissants. Os 6

7 Que se passe-t-il en cas de PR? (5) Au cours de la PR, il se produit une inflammation au niveau de la membrane synoviale (= synovite). Sous l effet de cette inflammation chronique, la membrane synoviale fabrique plus de liquide synovial que nécessaire. Le liquide s accumule, la membrane s épaissit, les articulations gonflent et deviennent douloureuses. Avec le temps, l inflammation endommage les structures articulaires, causant des fissures du cartilage qui aboutissent progressivement à sa destruction et des érosions de l os qui rendent l articulation moins fonctionnelle. Cartilage détruit Membrane synoviale enflammée épaissie Géodes (trous) Fig 3 : Représentation d une articulation touchée par la PR Os DOULEUR GONFLEMENT DES ARTICULATIONS DÉFORMATION DES ARTICULATIONS RAIDEUR Capsule articulaire Lésions hypertrophiques de l os Os 7

8 2- Une maladie auto-immune (6,7) La PR est une maladie auto-immune : un dérèglement du système immunitaire est responsable du déclenchement de la maladie. Qu est-ce que le système immunitaire? (8) Le système immunitaire est le système de défense de l organisme : il traque et essaie de se débarrasser des virus, des bactéries, des champignons, des parasites et des cellules tumorales. Il assure la survie de l organisme. Le système immunitaire est un système complexe qui met en jeu différents acteurs : - Les organes dits «lymphoïdes» qui regroupent les organes producteurs des cellules immunitaires (la moelle osseuse et le thymus) et les organes qui hébergent les cellules immunitaires (la rate, les ganglions lymphatiques, les amygdales). - Les cellules dites «immunocompétentes» avec notamment : les leucocytes, encore appelés globules blancs (GB). Ces cellules regroupent les macrophages, les polynucléaires neutrophiles et les lymphocytes qui jouent un rôle de défense majeur dans l organisme en neutralisant et/ou détruisant les agents étrangers. Ils sont également responsables de la production de petites molécules, les cytokines. Il existe 2 types de cytokines, les cytokines dites «pro-inflammatoires» impliquées dans le développement de la réponse inflammatoire et les cytokines dites «anti-inflammatoires». 8

9 Que se passe-t-il en cas de PR? (6) Pour une raison inconnue, le système immunitaire se dérègle, s emballe et devient auto-agressif vis-à-vis de ses propres constituants. Les cellules immunocompétentes sont produites en très grande quantité, ce qui entraîne une surproduction de cytokines pro-inflammatoires, responsable de la réponse inflammatoire au niveau des articulations et à long terme des destructions du cartilage et de l os. Fig 4 : Rupture d équilibre entre cytokines pro-inflammatoires et anti-inflammatoires cytokines pro-inflammatoires TNFα IL-6 IL-1 cytokines anti-inflammatoires IL-4 IL-10 INFLAMMATION 9

10 3- Une maladie plurifactorielle (9) Les causes exactes de la PR sont encore inconnues. La PR est une maladie plurifactorielle, en effet, de nombreux facteurs interviennent dans la survenue de la PR. Fig 5 : Représentation des facteurs impliqués dans la survenue de la PR Facteurs immunologiques Facteurs hormonaux PR Facteurs génétiques Facteurs psychologiques Facteurs environnementaux 10

11 11

12 Quels sont les signes de la maladie? 12

13 1- Les signes cliniques (1,10) Au début de la maladie (10) Les signes cliniques de la PR sont principalement dus à l inflammation. Le plus souvent, au début de la maladie, ils concernent les articulations du poignet et de la main. Ils se traduisent par une rougeur locale, un gonflement ou œdème et des douleurs. Des traitements agissent directement sur ces symptômes. Des signes généraux comme la fatigue ou l anémie peuvent également apparaître très précocement au cours de la maladie. Ces signes généraux sont également diminués par les traitements. Après plusieurs années d évolution (1) L évolution de la PR se fait par poussées. Une déformation et destruction des articulations vont apparaître après plusieurs années d évolution en l absence de traitement efficace. 13

14 2- Les signes biologiques (1) Des signes de la maladie peuvent se voir sur une prise de sang. Des marqueurs de l inflammation : la CRP (protéine C réactive) et la VS (vitesse de sédimentation) vont être recherchées par le médecin au début de la maladie puis tout au long de la maladie pour surveiller le syndrome inflammatoire qui signe l activité de la maladie. CRP/VS = signes d inflammation à suivre au cours de la PR 14

15 3- Les signes radiologiques (1,10,11) Un bilan radiologique est également réalisé à la recherche de signes d évolution de la maladie. Les anomalies radiographiques sont généralement d apparition rapide, dans les trois ans qui suivent le début de la maladie. A savoir Le diagnostic et le suivi de la PR se font sur : - les signes cliniques - la biologie - les signes radiologiques 15

16 Comment soigne-t-on la PR? 16

17 La prise en charge de la PR a évolué et est de plus en plus précoce. Les traitements de la PR ont pour objectif de : soulager la douleur, agir sur l inflammation, prévenir les destructions articulaires, préserver la fonction articulaire et améliorer la qualité de vie du patient. (12) Il est recommandé d instaurer le plus tôt possible un traitement de fond et de vérifier régulièrement son efficacité pour éviter l installation d atteintes articulaires et de handicap. Le traitement de la PR fait appel aux médicaments symptomatiques, de fond, locaux et aux mesures non médicamenteuses. (12) 1- Les traitements symptomatiques (1,12) Le traitement symptomatique a pour objectif de soulager les symptômes de la maladie comme la douleur. Il n influence pas le cours d évolution de la maladie. Les antalgiques Les médicaments antalgiques comme le paracétamol soulagent la douleur mais n agissent pas sur l inflammation. Les AINS Les anti-inflammatoires non stéroïdiens agissent à la fois sur la douleur et sur l inflammation. 17

18 2- Les traitements de fond (1,12,13) Le traitement de fond a pour objectif de freiner la maladie, jusqu à atteindre la rémission qui correspond à une réduction importante de l activité de la maladie et donc une atténuation des symptômes cliniques, biologiques et radiographiques de la PR. L objectif des traitements de fond est également de prévenir les lésions articulaires et ainsi de limiter le handicap fonctionnel mais aussi de préserver la qualité de vie du patient. Ces traitements sont pris au long cours. Le médecin choisit un traitement de fond en fonction de la gravité de la maladie, des antécédents et des éventuelles contre-indications. Les traitements de fond conventionnels ou DMARD Les DMARDs, dont le méthotrexate, constituent les traitements de fond de référence de la PR. Ils sont généralement prescrits au début de la maladie. Ils peuvent être administrés par voie orale et se prendre tous les jours ; Il existe aussi des formes intra-musculaire ou sous-cutanée, pouvant être prescrites en cas de réponse insuffisante ou en cas d intolérance digestive. Lorsque le méthotrexate n est plus suffisamment efficace ou dans le cas de PR évolutive, le médecin peut décider d associer une biothérapie au méthotrexate. 18

19 Les biothérapies Les biothérapies sont de nouveaux traitements qui agissent de manière très ciblée sur les cytokines* (TNF, IL-1, IL-6) ou sur les lymphocytes afin de contrôler les mécanismes de l inflammation et ainsi prévenir les destructions articulaires. Ces médicaments sont administrés par voie sous-cutanée ou intraveineuse, au domicile du patient ou à l hôpital et sont prescrits par des spécialistes en rhumatologie ou en médecine interne. 3- Les traitements locaux (14,15,16,17) Les traitements locaux sont un complément des traitements médicamenteux pris par voie générale. Ils sont directement appliqués au niveau des articulations touchées. Ces traitements locaux sont réalisés par le rhumatologue et peuvent consister par exemple en des ponctions au niveau des articulations touchées (16) (soulagement rapide) ou en des injections (infiltrations) de corticoïdes au sein de l articulation inflammée. (16,17) * Cytokine : Il s'agit d'un ensemble de molécules produites par les cellules de l'immunité. Ces cytokines sont nombreuses et variables. Elles peuvent avoir une action proinflammatoire et donc participer à la réaction d'inflammation (TNF, IL-1, IL-6),d'autres contrôlent la formation des cellules immunitaires (IL-2,3,12,...) ou encore jouent un rôle dans la défense de l'organisme (interférons, chimiokines,...). (18) 19

20 4- Les traitements non médicamenteux (14,15,19) Les traitements non médicamenteux sont complémentaires des traitements médicamenteux et au même titre ils sont pris en charge à 100% par la sécurité sociale dans le cadre de l'ald (Affection de Longue Durée), protocole de soins que vous signerez avec votre médecin. (15,19) Il peut s agir de séances de kinésithérapie, ergothérapie, pédicurie-podologie, d éducation thérapeutique mais également d un aménagement de l environnement ou d interventions d un psychologue ou d un diététicien. Le port d'orthèses peut également être recommandé dans un but antalgique, fonctionnel ou correctif après évaluation clinique dans les indications suivantes (15) : - Immobilisation temporaire des articulations très inflammatoires ; - Stabilisation des articulations détruites ; - Correction de certaines déformations réductibles. L'ensemble de ces traitements non médicamenteux, comme les traitements médicamenteux, sont sur prescription de votre rhumatologue ou médecin traitant. (14,19) A savoir Points importants concernant le traitement de la PR pour éviter que la maladie n évolue : - Nécessité d un traitement précoce - Nécessité de prendre régulièrement son traitement comme indiqué par son médecin - Consulter son médecin en cas d apparition d effets indésirables - Consulter son médecin si apparition d une poussée ou en cas d évolution de la maladie 20

21 Conclusion La PR est un rhumatisme inflammatoire qui évolue par poussées et qui, non pris en charge, peut être responsable d un handicap fonctionnel du fait de la destruction des articulations. Afin de prévenir ces complications, il est important de bien suivre les conseils donnés par votre rhumatologue et de respecter sa prescription. Les progrès thérapeutiques effectués ces dernières années ont permis d améliorer sa prise en charge. La PR n est pas une fatalité, des traitements efficaces existent aujourd hui. Pour de plus amples informations, ou pour toutes autres questions n hésitez pas à en parler avec votre médecin. 21

22 Bibliographie 1 - Perlemuter L. Polyarthrite rhumatoïde in Nouveau cahier de l infirmière. Ed Masson, 4 ème édition, Issy-les-Moulineaux p Sany J. Données épidémiologiques in Polyarthrite Rhumatoïde de l adulte. Ed John Libbey Eurotext, Paris p Polyarthrite rhumatoïde in Larousse Médical. Ed Larousse Médical p Perlemuter L. Articulations in Nouveaux cahiers de l infirmière. Ed Masson, 4 ème édition, Issy-les-Moulineaux p Sany J. Polyarthrite rhumatoïde à la phase d état, manifestations articulaires in Polyarthrite rhumatoïde de l adulte. Ed John Libbey Eurotext, Paris p Sany J. Polyarthrite rhumatoïde à la phase d état, immunopathologie in Polyarthrite rhumatoïde de l adulte. Ed John Libbey Eurotext, Paris p Auto-immunité in Larousse Médical. Ed Larousse Médical p Système immunitaire in Larousse Médical. Ed. Larousse Médical p Sany J. Pathogénie in Polyarthrite rhumatoïde de l adulte. Ed John Libbey Eurotext, Paris p Sany J. Polyarthrite rhumatoïde au début in Polyarthrite rhumatoïde de l adulte. Ed John Libbey Eurotext, Paris p

23 11 - Sany J. Evaluation in Polyarthrite rhumatoïde de l adulte. Ed John Libbey Eurotext, Paris p Haute Autorité de Santé. Polyarthrite rhumatoïde, diagnostic et prise en charge initiale, recommandations. Septembre Rémission in Larousse Médical. Ed Larousse Médical p Haute Autorité de Santé. Polyarthrite Rhumatoïde, Synthèse des recommandations. Septembre Haute Autorité de Santé. Polyarthrite Rhumatoïde : aspects thérapeutiques hors médicaments et chirurgie - aspects médico-sociaux et organisationnels. Recommandations. Mars Sany J. Evaluation in Polyarthrite rhumatoïde de l adulte. Ed John Libbey Eurotext, Paris p Haute Autorité de Santé. Polyarthrite Rhumatoïde, prise en charge en phase d état, recommandations. Septembre HAS, Guide affection de longue durée : la prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde. décembre p 2,5. 23

24 Chugai Pharma France Tour Franklin, La Défense quartier Boieldieu Paris La Défense cedex Roche 52, boulevard du Parc Neuilly-sur-Seine cedex Information médicale et pharmaceutique : Tél. : Fax. : hôpital 00017/ROAC/ Établi le 04/03/2010

La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde

La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant

Plus en détail

L arthrose, ses maux si on en parlait!

L arthrose, ses maux si on en parlait! REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une

Plus en détail

La polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue?

La polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue? Association Française des Polyarthritiques & des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques 9, rue de Nemours - 75011 Paris E-mail : afp@nerim.net - www.polyarthrite.org Tél. : 01 400 30 200 - Fax : 01 400

Plus en détail

La maladie de Still de l adulte

La maladie de Still de l adulte La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée

Plus en détail

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde 1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose

Plus en détail

La prise en charge de votre spondylarthrite

La prise en charge de votre spondylarthrite G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre spondylarthrite Vivre avec une spondylarthrite Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce

Plus en détail

Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012

Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012 Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Le syndrome SAPHO Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique

Le syndrome SAPHO Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie

Plus en détail

I Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :

I Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie : ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante

Plus en détail

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles

Plus en détail

http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.0/fr

http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.0/fr http://portaildoc.univ-lyon1.fr Creative commons : Paternité - Pas d Utilisation Commerciale - Pas de Modification 2.0 France http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.0/fr Université CLAUDE BERNARD

Plus en détail

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du

Plus en détail

Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV

Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission

Plus en détail

Analyse pharmaco-économique des anti-tnf alpha dans le traitement de la Polyarthrite Rhumatoïde en France.

Analyse pharmaco-économique des anti-tnf alpha dans le traitement de la Polyarthrite Rhumatoïde en France. Synthèse Bibliographique en Biologie et Biotechnologie Janvier 2012 Analyse pharmaco-économique des anti-tnf alpha dans le traitement de la Polyarthrite Rhumatoïde en France. Problématique : Jusqu où la

Plus en détail

Item 182 : Accidents des anticoagulants

Item 182 : Accidents des anticoagulants Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008

SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008 SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes

Plus en détail

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise. Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 novembre 2009

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 novembre 2009 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 novembre 2009 LEDERTREXATE 5 mg, solution injectable B/1 ampoule de 2 ml (Code CIP : 315 012-5) LEDERTREXATE 25 mg, solution injectable B/1 ampoule de 1 ml (Code CIP

Plus en détail

Genou non traumatique

Genou non traumatique Epidémiologie Genou non traumatique Laure Brulhart (Paola Chevallier) 25 37% des patients >50 ans souffrent de gonalgie 50% restriction dans les AVQ 33% consultent leur généraliste Facteurs associés avec

Plus en détail

Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se

Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées

Plus en détail

Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie

Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux

Plus en détail

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé

Plus en détail

Lymphome non hodgkinien

Lymphome non hodgkinien Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque

Plus en détail

Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?

Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,

Plus en détail

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Plus en détail

Item 123 : Psoriasis

Item 123 : Psoriasis Item 123 : Psoriasis COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition...3 II Épidémiologie du rhumatisme

Plus en détail

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence

Plus en détail

o Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre

o Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des

Plus en détail

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux

Plus en détail

Accidents des anticoagulants

Accidents des anticoagulants 30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER

Plus en détail

TRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE

TRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE TRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE RÉVOLUTION DES PRINCIPES DE TRAITEMENT Mise à disposition de nouvelles molécules Traitements de fond classiques ( Méthotrexate, Salazopyrine ) : plus efficaces

Plus en détail

Introduction générale

Introduction générale Introduction générale Touchant près de 600 nouvelles personnes chaque année en France, la leucémie myéloïde chronique est une maladie affectant les cellules du sang et de la moelle osseuse (située au cœur

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

L ANGINE. A Epidémiologie :

L ANGINE. A Epidémiologie : L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

DON DE SANG. Label Don de Soi

DON DE SANG. Label Don de Soi DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7

Plus en détail

Recommandation Pour La Pratique Clinique

Recommandation Pour La Pratique Clinique Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de

Plus en détail

COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS

COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 Nom : Modèles et références retenus : Fabricant : Demandeur : Données disponibles

Plus en détail

Item 123. Psoriasis. Insérer les T1. Objectifs pédagogiques

Item 123. Psoriasis. Insérer les T1. Objectifs pédagogiques 20 Item 123 Psoriasis Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un psoriasis. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. COFER Connaître les particularités cliniques,

Plus en détail

Le don de moelle osseuse :

Le don de moelle osseuse : DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui

Plus en détail

Après l intervention des varices. Informations et conseils sur les suites du traitement. Réponses aux questions fréquemment posées

Après l intervention des varices. Informations et conseils sur les suites du traitement. Réponses aux questions fréquemment posées Brochure à l attention du patient Après l intervention des varices Informations et conseils sur les suites du traitement Réponses aux questions fréquemment posées Les suites de l intervention En résumé

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

et l utilisation des traitements biologiques

et l utilisation des traitements biologiques et l utilisation des traitements biologiques Choisir le meilleur traitement pour retrouver la qualité de vie que vous êtes en droit d avoir Les agents biologiques (biothérapies) Étant les plus récents

Plus en détail

SUPPLEMENT AU DIPLÔME

SUPPLEMENT AU DIPLÔME SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des

Plus en détail

QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC?

QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC? QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC? On vous a diagnostiqué une leucémie myéloïde chronique (LMC) et il se peut que vous ayez déjà débuté un traitement. Le traitement de la LMC dépend largement

Plus en détail

Douleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013

Douleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013 Douleurs des mains Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements C.Zenklusen septembre 2013 Causes de douleurs aux mains Articulations (origine articulaire) Nerfs (origine nerveuse)

Plus en détail

L anémie hémolytique auto-immune

L anémie hémolytique auto-immune L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à

Plus en détail

Spondylarthrite juvénile. Dr Sandrine Lacassagne Hôpital Necker 25 Novembre 2010

Spondylarthrite juvénile. Dr Sandrine Lacassagne Hôpital Necker 25 Novembre 2010 Spondylarthrite juvénile Dr Sandrine Lacassagne Hôpital Necker 25 Novembre 2010 Formes de spondylarthrite de l adulte (1) Spondylarthrite ankylosante: critères de New York modifiés Sacroiliite radiologique

Plus en détail

Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers

Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante

Plus en détail

Leucémie Lymphoïde Chronique

Leucémie Lymphoïde Chronique Sur la Leucémie Lymphoïde Chronique Coordination : Pierre Feugier, Nancy Avec le soutien de Sur la Leucémie Lymphoïde Chronique Sommaire Qu est-ce que la leucémie lymphoïde chronique?..........................

Plus en détail

La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral

La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre

Plus en détail

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021

Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021 Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:

Plus en détail

ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER

ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie

Plus en détail

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin

Plus en détail

Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques

Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques France MARCHAND Nagi MIMASSI Psychologue clinicienne stagiaire doctorante Praticien hospitalier Consultation des douleurs chroniques

Plus en détail

Item 121 : Polyarthrite rhumatoïde

Item 121 : Polyarthrite rhumatoïde Item 121 : Polyarthrite rhumatoïde COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...5 SPECIFIQUE :...5 I Polyarthrite rhumatoïde

Plus en détail

La maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes

La maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes Artérite temporale Artérite à cellules géantes La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

Solva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale

Solva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale Solva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale Cours de la formation continue dans les thérapies manuelles Pour ceux qui veulent ajouter des techniques efficaces,

Plus en détail

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext

Plus en détail

Les rhumatismes inflammatoires. Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante

Les rhumatismes inflammatoires. Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante Les rhumatismes inflammatoires Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante Arthrite Rhumatoïde (RA) Voorstelling van de ziekte Arthrite Rhumatoïde Inflammation chronique des

Plus en détail

Bulletin n 10 2014. Cher adhérent, cher donateur,

Bulletin n 10 2014. Cher adhérent, cher donateur, Bulletin n 10 2014 Cher adhérent, cher donateur, La maladie crée souvent une situation de stress aussi il nous a semblé nécessaire de préciser les différentes étapes du parcours de soins afin de faciliter

Plus en détail

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?

Plus en détail

Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool)

Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool) Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool) F. FLAISLER Service de Rhumatologie Groupe Hospitalo-Universitaire CAREMEAU, Nîmes OSTÉOPOROSE DEFINITION AFSSAPS «Maladie diffuse

Plus en détail

Performance des organisations Santé au travail

Performance des organisations Santé au travail LA PRÉVENTION DES TMS ET DES ACCIDENTS DE TRAVAIL LIÉS A LA MANUTENTION DE CHARGES Centre de Gestion du Tarn et Garonne Le 4 octobre 2012 Performance des organisations Santé au travail SOMMAIRE Performance

Plus en détail

Guide. Parcours. Guide à l usage des professionnels de santé confrontés à des. patients traités par anti-tnfa. bon usage anti-tnfα

Guide. Parcours. Guide à l usage des professionnels de santé confrontés à des. patients traités par anti-tnfa. bon usage anti-tnfα Parcours bon usage anti-tnfα Guide Guide à l usage des professionnels de santé confrontés à des patients traités par anti-tnfa Rhumatismes inflammatoires chroniques Maladies inflammatoires chroniques de

Plus en détail

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les

Plus en détail

Des déficiences présentes

Des déficiences présentes Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?

Plus en détail

Problèmes locomoteurs

Problèmes locomoteurs VOLUME 2 Aspects cliniques Chapitre 10 Problèmes locomoteurs Problèmes locomoteurs 343 Problèmes locomoteurs J.P. Praet, T. Mets Les problèmes locomoteurs sont fréquents et le deviennent de plus en plus

Plus en détail

SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL

SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL

Plus en détail

L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS

L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace

Plus en détail

Comment la proposer et la réaliser?

Comment la proposer et la réaliser? RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme

Plus en détail

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte Mars 2012 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour faciliter la discussion sur

Plus en détail

La prise en charge de votre maladie de Parkinson

La prise en charge de votre maladie de Parkinson G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie de Parkinson Vivre avec une maladie de Parkinson Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous

Plus en détail

Don de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé

Don de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison

Plus en détail

Parmi ces recommandations, la cure thermale tient une place prépondérante dans le traitement et la prise en charge de la maladie.

Parmi ces recommandations, la cure thermale tient une place prépondérante dans le traitement et la prise en charge de la maladie. CHAINE THERMALE DU SOLEIL - S.A.S au capital de 8.129.638,30 - SIREN 310 968 540 - APE 741 j - Directeur de la publication : Biche Barthélémy - Coordination édition : Anne Mascarou Photos : Chaîne Thermale

Plus en détail

Collection Soins infirmiers

Collection Soins infirmiers Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic

Plus en détail

Diabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques

Diabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les

Plus en détail

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans) La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.

Plus en détail

Communiqué. Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis POUR PUBLICATION IMMÉDIATE

Communiqué. Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis POUR PUBLICATION IMMÉDIATE POUR PUBLICATION IMMÉDIATE Communiqué Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis Media: Sylvie Légaré (514) 832-7268 Abbott Gabrielle Collu 514)

Plus en détail

Les nouveaux traitements du psoriasis

Les nouveaux traitements du psoriasis Les nouveaux traitements du psoriasis Ci-après, vous trouverez 3 articles, parus récemment, parmi d'autres tout aussi intéressants, dans notre bulletin trimestriel Pso Magazine: - un extrait de l'exposé

Plus en détail

Trucs du métier. L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis. clinicien@sta.ca. Avez-vous un truc? Son épidémiologie et son expression

Trucs du métier. L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis. clinicien@sta.ca. Avez-vous un truc? Son épidémiologie et son expression L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis Trucs du métier Son épidémiologie et son expression Le psoriasis est une maladie cutanée inflammatoire chronique qui touche de 1 % à 3 % de la population

Plus en détail

Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil

Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions

Plus en détail

Nouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette forme rare et sévère d arthrite

Nouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette forme rare et sévère d arthrite Communiqué de presse Bâle, 18 avril 2011 La FDA homologue Actemra dans le traitement de l arthrite juvénile idiopathique systémique (AJIS) Nouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette

Plus en détail

METHODE D APPLICATION DE L OSTÉOPATHIE. Liste des 155 modèles thérapeutiques du Référentiel RÉÉQUILIBRATION FONCTIONNELLE Méthode SOLÈRE

METHODE D APPLICATION DE L OSTÉOPATHIE. Liste des 155 modèles thérapeutiques du Référentiel RÉÉQUILIBRATION FONCTIONNELLE Méthode SOLÈRE METHODE D APPLICATION DE L OSTÉOPATHIE Liste des 155 modèles thérapeutiques du Référentiel RÉÉQUILIBRATION FONCTIONNELLE Méthode SOLÈRE Notre formation a pour objet la diffusion de connaissances dans le

Plus en détail

Anatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13

Anatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13 Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière

Plus en détail

Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions

Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions De quoi se compose le système immunitaire? Chaque jour, des substances étrangères, appelées

Plus en détail

Sang, plasma, plaquettes...

Sang, plasma, plaquettes... Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors

Plus en détail

PRECISION ÉLIMINATION DE L INFLAMMATION. mensuel PRECISION

PRECISION ÉLIMINATION DE L INFLAMMATION. mensuel PRECISION mensuel Nouvelles sur la recherche, l éducation et la défense du dossier de l arthrite : juin/juillet 2014 ÉLIMINATION DE L INFLAMMATION Dans ce numéro du Mensuel JointHealth, nous regardons de plus près

Plus en détail

Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy

Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan

Plus en détail

Risques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire

Risques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire Risques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire Mireille Loizeau Cours DIUST Paris Descartes-20 janvier 2015 1 Définition et facteurs de risque 2 Définition Contraintes bio-mécaniques,

Plus en détail