PLACEMENTS FINANCIERS DES MENAGES 2011: DES EXCEDENTS EN RETRAIT MALGRE UNE CONTRIBUTION HISTORIQUE DES PRODUITS BANCAIRES
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- Juliette Brisson
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1 1 Numéro 170, avril 2012 PLACEMENTS FINANCIERS DES MENAGES 2011: DES EXCEDENTS EN RETRAIT MALGRE UNE CONTRIBUTION HISTORIQUE DES PRODUITS BANCAIRES Une collecte annuelle inférieure à sa moyenne de long terme, bien que fortement soutenue par les produits bancaires, l assurancevie ayant accéléré sa propre chute au dernier trimestre La collecte auprès des ménages 1 en produits bancaires et en contrats d assurance-vie s est élevée pour l année 2011 à environ 37,2 Milliards 2. En diminution de 53 % par rapport à la collecte record de 2010, elle est inférieure d environ 20 % à la collecte médiane que l on peut observer sur une période longue commençant en 1997 (46,4 Milliards ). Si au cours des neuf premiers mois, le rythme mensuel de collecte a été de +4,1 Milliards en CVS, celui-ci s est fortement contracté au dernier trimestre, à environ +100 Millions (CVS). Les contrats d assurance-vie ont enregistré en 2011 des rentrées nettes cumulées de 7,6 Milliards, en baisse de 85 % par rapport à 2010, soit le plus bas niveau enregistré depuis La faible collecte au cours des deux premiers trimestres, égale en cumulé à environ +10,7 Milliards (CVS), s est en effet réduite au cours du troisième trimestre à + 0,7 Milliard (CVS), puis est devenue négative au dernier trimestre à environ -3,8 Milliards (CVS). A l inverse, les excédents cumulés sur les produits bancaires s élèvent en 2011 à 29,6 Milliards, en hausse de 7 % par rapport à Ils représentent environ 80 % de la collecte hors titres des ménages, soit un pourcentage historique, la médiane pour ce ratio se situant à 26 % sur une période de long terme. Néanmoins, hors livrets A et bleu, la collecte sur les dépôts bancaires s est repliée de 50 % à 10,8 Milliards. 1 Particuliers plus Entrepreneurs Individuels au sens strict (hors associations et autres agents des administrations privées). 2 Selon nos estimations réalisées à partir des Statistiques Monétaires trimestrielles de la Banque de France, disponibles à ce jour jusqu à septembre 2011.
2 Assurance-vie : la poursuite de la baisse tendancielle du rendement des supports euros Le rendement 2011 des contrats d assurance-vie sur les supports euros s élève selon la FFSA à environ 3 % bruts après frais de gestion, soit environ 2,60 % après prélèvements sociaux 3, et 0,50 % après prélèvements sociaux et inflation. Parmi les principales causes de la baisse de ce rendement nous pouvons évoquer le maintien à un bas niveau des taux d'intérêt à long terme (3,32 % pour l OAT 10 ans en moyenne annuelle), après une année 2010 où les taux longs avaient été historiquement bas par rapport à leur moyenne de long terme (3,10 % en moyenne sur l année pour l OAT 10 ans contre 4,09 % en moyenne depuis 2000). L anticipation que la situation en matière de taux se poursuivrait largement en 2012 a pu également inciter les compagnies à modérer la rémunération des supports en euros (Le consensus de novembre 2011 prévoyait en effet pour l OAT 10 ans un niveau de taux de 3,1% pour février 2012, puis de 3,3% pour novembre 2012). La chute enfin des marchés boursiers au cours de l été, puis son maintien à un bas niveau jusqu à fin 2011 a également contribué à diminuer les résultats des compagnies d assurance sur la part de leurs actifs en actions. Produits bancaires : des taux d intérêt favorables aux livrets A Au cours des trois derniers mois de 1 année, le taux des livrets A et des LDD est resté inchangé à 2,25 %, la Banque de France ayant choisi de ne pas modifier ces taux réglementés lors de l échéance du 15 octobre. Sur l année, ces produits auront procuré un rendement moyen de 2,08 %, un niveau très proche de celui de l'inflation moyenne enregistrée en 2011 (+ 2,1 %). On notera également que, depuis août 2011, la rémunération nette des livrets A et des LDD est devenue légèrement supérieure à celle des PEL qui s élève à environ 2,15 %. La rémunération nette d impôts des comptes à terme inférieurs à 2 ans, toutes générations confondues, s est tassée d environ 5 points de base au cours du dernier trimestre, passant de 1,59 % à 1,54 %, en liaison avec la légère baisse des taux courts, l Euribor 3 mois notamment diminuant en moyenne de 8 points de base après prélèvements au cours de la période à 0,96 %. Pour autant, en dépit de ce contexte de tassement des taux courts au cours du dernier trimestre, les CSL ont vu leur rémunération nette globale toutes générations confondues augmenter en moyenne de 8 points de base à 1,36 %, sous l effet notamment des offres promotionnelles pour de courtes durées de la part des établissements. 3 Dans le cadre de retraits dont la partie «gains» est inférieure au plafond annuel de par personne, et de pour un couple, exonérée alors d IRPP. 2
3 3,50 3,00 Taux nets d'imposition des principaux placements financiers du Marché de juin 2009 à décembre 2011 Rendements AV supports euros nets (estimation pour 2011) taux DAT > 2 ans net, yc PEL (sur stock) 2,50 Taux PEL net 2,00 Taux CAT< 2 ans net (sur stock) 1,50 Taux LA net 1,00 0,50 Taux CSL net Taux CEL net 2009/6 2009/8 2009/ / /2 2010/4 2010/6 2010/8 2010/ / /2 2011/4 2011/6 2011/8 2011/ /12 Sources : Banque de France, FFSA, DEVP Une collecte record sur les Livret A qui ont capté l essentiel de la collecte sur les produits bancaires En ce qui concerne les taux des comptes à terme supérieurs à 2 ans (CAT), la Banque de France, qui publie à ce jour seulement un taux global sur un agrégat qui regroupe ces produits avec les PEL, indique que le taux brut moyen pratiqué sur cet agrégat est passé de 3,18 % à fin septembre 2011, à 3,12 % à fin décembre 2011: le taux des PEL ayant été constant, il peut en être déduit que les établissements bancaires ont légèrement diminué la rémunération de leurs nouveaux CAT à plus de deux ans au cours du dernier trimestre. Le livret A des ménages enregistre en 2011 une collecte de 18,8 Milliards, soit 12,8 Milliards de plus qu en Le montant obtenu correspond à un niveau historique, supérieur à celui observé en 2008 (17,2 Milliards ). Le rythme de collecte mensuel au cours des trois derniers mois (1,45 Milliard en données CVS) a été légèrement inférieur au rythme moyen observable sur les 9 premiers mois de l année (1,6 Milliard en données CVS), en raison d un léger fléchissement en décembre. 3
4 LDD : des excédents quasi nuls Les LDD enregistrent in fine en 2011 une collecte quasiment nulle, après deux collectes négatives en 2009 et La tendance des épargnants à partir de 2009 à transférer une partie de leurs encours vers les livrets A semble s estomper à partir du deuxième trimestre Une réduction de la collecte négative des LEP ; La poursuite de retraits nets modérés sur les CEL et les Livrets jeunes La collecte négative sur les LEP en 2011 (-3,3 Milliards ) est restée significative par rapport à son niveau moyen des dix dernières années (- 1 Milliard ), même si cette collecte nette négative a continué de se réduire depuis 2009, les collectes de 2009 et 2010 ayant été respectivement de - 5,1 Milliards et - 4,8 Milliards. La rémunération de ce support en 2011, nette de prélèvements, a été relativement attractive pour ses ménages détenteurs, faiblement imposés (2,75 %). Pour autant elle a eu un effet limité par rapport à l arbitrage de ces derniers en faveur de la consommation, du remboursement de leurs crédits ou de leurs apports immobiliers. Par ailleurs, les Livrets jeunes et les CEL enregistrent chacun en 2011 une collecte négative de respectivement Millions et Millions, montants relativement proches de leur médiane sur 10 ans (égale respectivement à Millions et Millions ). 4
5 Des excédents relativement élevés sur les CSL, en liaison avec une politique commerciale active Les CSL (Livrets B) ont collecté en 2011 environ 12,1 Milliards, un montant en hausse de 22 % par rapport à Il s agit d un montant relativement élevé : la médiane sur 10 ans est de 11,15 Milliards et le record en 2003 s est établi à 16,7 Milliards. Les CSL ont offert en moyenne en 2011 une rémunération brute de 1,79 % et une rémunération nette de 1,21 %. Tandis que pour les livrets A ont offert une rémunération nette de 2,08 %, la bonne collecte 2011 sur ces produits complémentaires des livrets A a été obtenue par des offres commerciales promotionnelles significatives sur des durées courtes, et une attention commerciale renforcée au sein des établissements, dans le cadre de leur recherche de ressources bilancielles. Un repli de la collecte sur les PEL Les excédents cumulés à décembre 2011 des PEL se sont élevés à -1,5 Milliard, en diminution de 139 % par rapport à 2010 (+ 3,9 Milliards ). L attractivité des livrets - en particulier du livret A, dont le taux net de prélèvements est devenu supérieur à celui du PEL en août , a pu jouer en défaveur du PEL, dont les sommes déposées sont par ailleurs bloquées pendant quatre ans au minimum. On notera enfin que l option intrinsèque de la plupart des PEL, d emprunter au taux fixe de 4,2 %, a eu un effet négligeable par rapport à la concurrence des livrets, même si les taux des nouveaux crédits aux ménages pour l habitat de plus d un an se sont rapprochés de 4,2 % au cours de l année 2011, passant de 3,41 % à 3,97 %. 5
6 Une décollecte des PEP proche de celle de 2010 Un retour global vers les comptes à terme et une collecte plutôt élevée Les PEP ont enregistré en 2011 une collecte négative de 3,2 Milliards, en réduction de 6 % par rapport à la collecte négative de 2010 (- 3,4 Milliards ). Les retraits ne se sont pas accélérés en 2011 comme sur les supports euros d assurance-vie, la rentabilité historique des stocks étant a priori globalement plus élevée. Les Comptes à terme enregistrent en 2011 une collecte d environ 4,3 Milliards toutes durées confondues, après une collecte négative de près de 1 Milliard en Par l ampleur de sa hausse, il s agit du second poste de collecte après celui des Livrets A. Les banques ont fait des efforts commerciaux importants pour orienter l épargne des ménages vers ces supports, afin notamment de satisfaire au mieux leurs exigences prudentielles nouvelles en matière de liquidité «Bâle III». Pour ce produit dont les collectes sur les dix dernières années ont été assez volatiles, - leur moyenne s élevant à environ 1 Milliard et leur écart type à 12,1 Milliards -, les placements nets réalisés y ont été plutôt élevés. Une collecte d Assurance-vie en diminution drastique, vers un plus bas historique En 2011, les excédents des placements des ménages en assurance-vie (cotisations - prestations) se sont élevés à environ 7,6 Milliards, en baisse de 43,5 Milliards, soit de 85 % par rapport à Il s agit d un plus bas historique observable sur longue période. Source: FFSA 6
7 Des excédents en très forte baisse sur les supports euros, et en légère baisse sur les supports UC Les cotisations se sont élevées à 124 Milliards, en baisse par rapport à 2010 de 19,9 Milliards, soit de 14 %. Parallèlement, les prestations, d un montant de 116,4 Milliards, ont augmenté par rapport à 2010 de 23,6 Milliards, soit de 25 %. Source: FFSA Sur les supports, la baisse des cotisations a été de 18,1 Milliards, tandis que la hausse des prestations a été de 25,3 Milliards. Outre la concurrence du livret A, la baisse régulière des rémunérations des supports jusqu en 2011, l anticipation d une nouvelle diminution des rendements en 2011, ainsi que les incertitudes macro-économiques, notamment celles liées aux dettes souveraines, ont influencé une partie significative des détenteurs. Sur les supports en UC, la collecte a légèrement diminué, de 100 Millions, les cotisations diminuant de 1,7 Milliard, mais les prestations diminuant d un montant proche, égal à 1,6 Milliard. Les pertes sur ces supports ont en effet été relativement modérées en 2011 (- 5,2 %) par rapport à celles des différents indices notamment du CAC 40 (- 17 %), 7
8 Source: FFSA On notera qu au cours du premier trimestre 2012, la collecte nette est restée négative, bien qu à un niveau moins important qu au dernier trimestre 2012, à environ - 2 Milliards. Collecte nette, cotisations, prestations et encours d assurance-vie à mars 2012 Une faible collecte in fine sur les dépôts à vue (Source : FFSA) Les dépôts à vue enregistrent en 2011 des excédents de + 2,8 Milliards, en diminution de 86 % par rapport à Au cours du dernier trimestre notamment, les ménages ont retiré de leurs DAV environ 3,5 Milliards (CVS). Le niveau de la collecte 2011 s avère significativement inférieure à la tendance de long terme observée depuis l année 2000 ( +10,2 Milliards ). 8
9 Les encours des dépôts à vue, après une hausse ininterrompue depuis janvier 2009, montrent au cours de l année 2011 une première consolidation au profit des autres produits de bilan. Ils s élèvent à fin 2011 à 266 Milliards, soit 24,5 % des encours des produits bancaires. Achevé de rédiger le 20 avril 2012 par Matthieu GOUDE matthieu.goude@bpce.fr 9
10 1 Placements financiers des ménages : Encours et Excédents* en Millions Excédents Fin 2009 Excédents Fin 2010 Encours 2009 Excédents 2009 Encours 2010 Cumul du 1er janvier à fin Excédents 2010 Var. Exc. 2009/2010 Encours 2011 Excédents 2011 Var. Exc. 2010/2011 Total placements financiers hors titres % % Total Produits bancaires NS % Total Produits bancaires Hors Livrets A et Bleu % % Dépôts à vue % % Total Livrets NS % Livrets soumis à l'impôt (Livret B - CSL) NS % Total Livrets défiscalisés % NS Livrets A et Bleu % % Livrets de développement durable (LDD) % % Livrets d'épargne populaire (LEP) % % Livrets Jeunes % % Total Epargne-Logement % % Comptes d'épargne-logement (CEL) % % Plans d'épargne-logement (PEL) NS % Total Placements à échéance % % Comptes à terme Toutes Durées % NS Plans d'épargne Populaire (PEP) % % Autres comptes d'épargne % NS Bons de caisse nd nd nd nd nd nd nd nd nd nd Total Assurance-vie (supports et UC) % % Cotisations % % Prestations % % Assurance-vie supports en % % Cotisations % % Prestations % % Assurance-vie supports en UC NS % Cotisations % % Prestations ,5% % Sources: Statistiques Monétaires Banque de France Mensuelles, FFSA, Dir. Etudes Veille et Prospective * Excédents: Variations d'encours nettes d'intérêts et de plus/moins values
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