Le RCIU. Yolande Caroit-Cambazard Service Gynécologie-Obstétrique CHU NANTES

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Le RCIU. Yolande Caroit-Cambazard Service Gynécologie-Obstétrique CHU NANTES"

Transcription

1 Le RCIU Yolande Caroit-Cambazard Service Gynécologie-Obstétrique CHU NANTES

2 A. Définition Courbes de croissance

3 1. Définitions Petit poids pour l âge gestationnel : PAG : poids inférieur au 10 ème percentile Petit poids pour l âge gestationnel sévère : < au 3 ème percentile

4 1. Définitions RCIU : petit poids pour l âge gestationnel associé à des arguments en faveur d un défaut de croissance pathologique : arrêt ou infléchissement de la croissance de manière longitudinale (au moins 2 mesures à 3 semaines d intervalle)

5 1. Définitions DONC : Petit poids pour l âge gestationnel : «PAG» est recommandé pour l ensemble des petits poids RCIU est recommandé pour les authentiques retards de croissance

6 Fœ tus petit pour l âge gestationnel «PAG»: < 10p RCIU : altération pathologique de croissance 4500 Poids en g Faire disparaître du vocabulaire: Hypotrophe Harmonieux/ disharmonieux Symétrique/ asymétrique 10 ème p PAG < 3 ème percentile: PAG sévère Age gestationnel

7

8 2. Remarques Dans les situations de PAG, l existence de signes d altération du bien-être fœtal (diminution des MA, anomalies du Doppler, oligoamnios) doit faire évoquer un RCIU

9 2. Remarques Les enfants PAG : - constitutionnellement petits - ou authentiques RCIU avec un risque périnatal

10 2. Remarques RCIU : altération pathologique de la croissance avec risques MIU Complications néonatales Complications à distance

11 3. Courbes Variations en f(sexe fœtal, taille et poids maternels en début de grossesse, parité et origine ethnique) Importance du sexe fœtal ++++

12 3. Courbes Les courbes ajustées vont permettre de reclasser certains PAG en RCIU avec un excès de risque de décès périnatal => meilleure identification des fœtus à risque d issue néonatale défavorable

13 3. Courbes Utilisation des courbes de croissance ajustées en échographie de référence

14 3. Courbes En dépistage, les courbes ajustées doivent faire l objet d une évaluation dans des régions pilotes

15 Les courbes de poids de naissance sont inadaptées pour les petits AG (Défaut de repérage des PAG) Privilégier les courbes de croissance in utero

16 Chaque fœtus a un potentiel de croissance propre Influencé par: - Sexe fœtal - Poids maternel - Taille maternelle - Parité Poids en g En dépistage: 500 Age gestationnel Utilisation de courbes de croissance in utero non ajustées Evaluation des courbes individualisées dans régions pilotes En diagnostic: Utilisation de courbes individualisées

17 B. Facteurs de risque

18 1. Maternels Origine ethnique : afro-américain, asiatique X 2 à 3 Age > 35 ans X 3 / ans (risque majoré après 40 ans) Niveau socio-économique défavorable X < 2

19 2. Pathologie maternelle HTA chronique X 2 Diabète avec atteinte vasculaire X 6 IMC < 18,5 kg/m2 ou obésité X < 2

20 3. Toxiques Tabac X 2 à 3 à partir de 10 cigarettes par jour (effet-dose) : l arrêt du tabac en début de grossesse permet de revenir au risque des patientes non tabagiques Alcool X 2 (plus de 3 verres par jour) Addictions X 3

21 4. ATCD obstétricaux ATCD PAG X 4 Primiparité et grande multiparité (> 8) X 2 Pré-éclampsie X 5 à 12 en f(sévérité) HTA gravidique X 2 Gémellité (surtout après 30 SA)

22 C. Prévalence

23 1. Fréquence 8.9 % en 2010 : PAG sur l ensemble des naissances vivantes

24 D. Conséquences à long terme

25 1. Impact de la prématurité Dissocier les effets à moyen et long terme dus au RCIU et/ou au PAG des effets dus à la prématurité

26 2. In utéro Le périmètre crânien : paramètre anténatal important et indépendant de l âge gestationnel en terme de pronostic neurologique

27 2. In utéro Corticoïdes : 1 cure entre 24 et 33 SA + 6 j : Améliorent le pronostic

28 2. In utéro Sulfate de magnésium chez la mère avant la naissance : effet neuroprotecteur prouvé à 2 ans chez le prématuré < 32 SA

29 2. In utéro Toxiques : facteur indépendant d anomalie du développement neurologique à moyen et long terme

30 2. In utéro RCIU : Déterminant majeur de la morbi-mortalité néonatale : MIU X 4 et risque augmente avec la sévérité (X 6 quand PAG < 3 ème percentile)

31 3. Post-natal Comorbidités néonatales (sévérité prématurité, retard de croissance extra-utérin, modalités nutritionnelles, croissance de rattrapage) => devenir neurologique évolution vers un syndrome métabolique à l âge adulte.

32 3. Post-natal La mortalité néonatale est plus importante chez les PAG, et plus sévère si le PAG est précoce et sévère

33 4. Petite enfance La plupart des enfants rattrapent le poids à 6 mois et la taille à 1an : tenir compte de la tailla cible familiale

34 4. Petite enfance Score neuro-développemental à 2 ans est plus faible surtout RCIU : développement meilleur quand allaitement maternel

35 5. Moyenne enfance Risques plus élevés de déficits cognitifs mineurs, de symptômes d hyperactivité, d inattention à 5 ans et de difficultés scolaires à 8 ans.

36 6. Jeune adulte PAG : Augmentation des maladies cardio-vasculaires HTA Intolérance glucidique Diabète Dyslipidémie Obésité

37 6. Jeune adulte Le rattrapage staturo-pondéral pourrait être un facteur supplémentaire dans la survenue de l HTA

38 6. Jeune adulte La prématurité augmente de façon indépendante le risque d HTA et d augmentation du LDL cholestérol

39 6. Jeune adulte Risque plus élevé de déficit cognitif avec test de performance intellectuelle plus bas et difficultés scolaires

40 6. Jeune adulte Pas de répercussion en termes de qualité de vie, d insertion professionnelle, ni d estime de soi

41 7. Jeunes parents Possibilité d un effet transgénérationnel Etudes chez l animal avec modifications épigénétiques possibles au niveau des gonades sexuelles

42 E. Modalités de dépistage

43 ! Clinique : Hauteur utérine! Ec hographie:! Paramètres CTE (courbes référence CFEF)! Utiliser l estimation de poids fœ tal (avec percentile) 4500 Poids en g Age gestationnel Hadlock 3 paramètres log10 EPF = 1, ,0107 PC + 0,0438 PA + 0,158 LF (PA x LF)

44 1. Dépistage clinique HU garde sa place à partir de 22 SA Une HU anormale justifie une échographie supplémentaire

45 2. Dépistage échographique Vérifier la date de début de grossesse : elle repose sur la longueur crâniocaudale entre 11 et 14 SA Précision de +/- 3 jours

46 2. Dépistage échographique Paramètres recommandés : Périmètre céphalique Périmètre abdominal : paramètre le plus pertinent pour le dépistage Longueur fémorale Ces mesures doivent être reportées sur les courbes de référence adaptées (Collège français d échographie fœtale CFEF)

47 2. Dépistage échographique Estimation du poids fœtal : formule d HADLOCK Pour 95 % des patientes, l estimation de poids fœtal a une erreur maximale de +/- 20 % : pour 5 % des patientes, l écart entre le poids estimé et le poids réel est plus de 20 %

48 2. Dépistage échographique Utiliser l estimation du poids fœtal en dépistage dans un but de performance, mais aussi d homogénéisation des pratiques

49 2. Dépistage échographique L estimation du poids fœtal a l avantage de permettre un langage commun avec les pédiatres et de faciliter la communication avec les parents (informer sur la marge d erreur)

50 2. Dépistage échographique Le compte-rendu d échographie doit préciser le percentile de l EPF

51 2. Dépistage échographique Pour contribuer au diagnostic de RCIU, si la répétition de l examen est nécessaire, l intervalle minimum est de 3 semaines Cet intervalle peut être plus faible si l EPF est importante dans la décision d une éventuelle extraction foetale

52 F. Bilan étiologique du RCIU

53 1. Généralités Fonction du contexte : Terme Sévérité de l anomalie biométrique Autres données échographiques Souhait des parents

54 1. Généralités Buts : Modifier la prise en charge de la grossesse en cours et post-natale Diminuer la morbi-mortalité périnatale à long terme

55 1. Généralités Bilan clinique et paraclinique : 2 objectifs principaux Evaluer la vitalité fœtale et les possibilités de poursuite de la grossesse dans des conditions de sécurité pour la mère et le fœtus Etablir l origine de ce PAG

56 1. Généralités Etre en lien avec le CPDPN Bilan d autant plus large que l anomalie est sévère et précoce Si anomalies Doppler fœtales ou une symptomatologie vasculaire maternelle => Prise en charge URGENTE

57 2. Etiologies A. Facteurs maternels : Jeune âge ou âge élevé ATCD RCIU Malformation utérine Malnutrition, faible poids de naissance, faible gain pondéral pendant la grossesse Niveau socio-économique défavorisé Anomalies du taux d hémoglobine Altitude Prise médicamenteuse Tabagisme, addictions, toxiques, irradiations Stress, pénibilité travail Maladies chroniques maternelles

58 2. Etiologies B. Facteurs placentaire et cordonal : Troubles de la placentation (mauvaise invasion trophoblastique, décollement, infarctus, villite ) Anomalie chromosomique (mosaïque) confinée au placenta Anomalie cordonale : insertion velamenteuse

59 2. Etiologies C. Facteurs fœtaux : Facteurs génétiques (origine ethnique, facteurs familiaux) Anomalie chromosomique Associations malformatives et causes syndromiques Maladies osseuses constitutionnelles Infections (toxo, syphilis, CMV ) : 5 à 15 % des cas Grossesses multiples

60 3. CAT 1. Confirmer la réalité de l anomalie biométrique (début de grossesse, courbes) 2. Compléter les données anamnestiques 3. Examen clinique 4. Evaluation échographique du fœtus et des annexes : rechercher autres anomalies du fœtus, du liquide amniotique, du placenta et des Doppler, EPF 5. Sérologie CMV facile

61 3. CAT 6. Arguments pour un prélèvement invasif : anomalie biométrique précoce et/ou sévère association à une quantité augmentée de liquide amniotique association à une/des anomalies morphologiques absence d anomalie Doppler absence d autre cause évidente parents désireux d un diagnostic prénatal résultats susceptibles de modifier la prise en charge

62 ! Selon contexte, demande des parents et si susceptible de modifier la prise en charge! Homogénéisation des pratiques en lien avec CPDPN

63 4. Donc Eliminer une cause fœtale grave Rechercher une cause vasculaire qui nécessitera une surveillance accrue maternelle et foetale

64 G. Surveillance anténatale, prise en charge et indications de naissance en cas de RCIU vasculaire

65 1. Surveillance anténatale Adaptée à la sévérité du RCIU l âge gestationnel explorations vélocimétriques

66 2. Outils de la surveillance RCF avec Oxford : caractère objectif et reproductible de la VCT Doppler ombilical : outil de première ligne : son utilisation est associée à une amélioration de la santé des RCIU Association avec Doppler cérébral Doppler veineux quand RCIU < 32 SA Maternité adaptée à la situation

67 3. Modalités de surveillance et prise en charge Pas d indication d hospitalisation systématique Une cure de corticoïdes est recommandée quand RCIU et extraction fœtale possible avant 34 SA Sulfate de magnésium en cas de naissance avant SA dans les heures précédant la naissance

68 3. Modalités de surveillance et prise en charge Surveillance de la croissance fœtale doit respecter un intervalle d au moins 15 j, idéalement 3 semaines Si Doppler ombilical normal : surveillance tous les jours avec Doppler cérébral et biométrie Si Doppler anormal avec diastole positive : surveillance une à plusieurs fois par semaine

69

70 3. Modalités de surveillance et prise en charge Si diastole nulle ou reverse flow au Doppler ombilical : hospitalisation corticoïdes RCF x 3 par jour échographie 2 x par semaine

71 4. Indications de la naissance 1 er tableau : avant 32 SA impact de la prématurité induite est majeur justifie d envisager un traitement conservateur, même en cas de Doppler ombilical pathologique un arrêt de la croissance isolé n est pas une indication d extraction

72 4. Indications de la naissance 1 er tableau : avant 32 SA index de pulsatilité du ductus venosus (canal d Arantius) > 95 ème percentile et les anomalies du RCF (VCT < 3 ms ou rythme peu oscillant ou décélérations répétées) : critères indépendants de naissance des RCIU < 32 SA : la naissance doit être envisagée lorsqu un de ces 2 paramètres est anormal de manière persistante

73 4. Indications de la naissance 2ème tableau : après 32 SA naissance ou expectative si reverse flow ou diastole nulle permanente sur le Doppler ombilical : naissance à envisager à 34 SA si Doppler ombilical anormal avec diastole positive : nécessité d une surveillance renforcée, mais une surveillance ambulatoire est possible

74

75 4. Indications de la naissance 3ème tableau : à partir de 37 SA naissance en fonction de : EPF, liquide amniotique Doppler voie d accouchement à décider au cas par cas

76 H. Place de l IMG et des soins palliatifs

77 1. Quand discuter d une IMG? Contexte vasculaire 1. Pronostic maternel vital en jeu (prééclampsie sévère) 2. Pronostic fœtal très compromis < 24 SA ou EPF < 500g Collaboration obstétrico-pédiatrique et information du couple

78 2. Quelles solutions? 1. Expectative avec évolution vers une MIU, avec un délai difficilement prévisible ne pas utiliser le terme «abandon thérapeutique»!

79 2. Quelles solutions? 2. Prise en charge active avec extraction fœtale, évaluation postnatale et possibilité d évolution secondaire vers accompagnement avec soins palliatifs. Mais risques maternels avec césarienne parfois corporéale

80 2. Quelles solutions? 3. IMG Indication fœtale ou maternelle Présentation au CPDPN, sauf urgence maternelle

81 3. Critères pronostiques? 1. Age gestationnel 2. Evaluation échographique : EPF Dynamique de croissance Doppler fœtaux Signes d hypoxie chronique

82 4. Les parents 1. Informations (couple obstétricopédiatrique) 2. Ecoute 3. Disponibilité 4. Empathie 5. Accompagnement 5. Suivi psychologique

83 I. Modalités de naissance

84 1. Où? 1. Maternité adaptée Type IIb ou III < 1500g < SA ou pathologie fœtale associée

85 2. Comment? Le recours à la césarienne systématique n est pas recommandée

86 2. Comment? Césarienne le plus souvent, quand terme précoce ou anomalies sévères du Doppler ombilical, mais pas de contre-indication à la voie basse si conditions favorables

87 2. Comment? Pas d argument pour contre-indiquer la réalisation d un déclenchement même avant terme et/ou col défavorable

88 2. Comment? Sur col défavorable, prostaglandines ou ballonnet intracervical peuvent être utilisés, sauf situations à haut risque (terme précoce et/ou reverse flow au Doppler ombilical)

89 2. Comment? Après maturation, surveillance d au moins 2 heures

90 2. Comment? Extraction instrumentale ou épisiotomie non systématiques

91 3. Siège Pas de contre-indication à la voie basse chez une patiente en travail avec fœtus RCIU en siège Accord voie basse à évaluer en f( importance RCIU et conditions obstétricales)

92 4. Anesthésie Anesthésie loco-régionale préférable en cas de voie basse ou césarienne Maintien de la TA

93 J. Devenir précoce et prise en charge néonatale du nouveau-né petit

94 1. Bilan étiologique Examen clinique complet Mesure du périmètre céphalique : pronostic neurologique Examens complémentaires en fonction du bilan anténatal et de l orientation vers une pathologie extravasculaire

95 1. Bilan étiologique Caryotype? CGH Array? ETF? CMV urinaire?

96 2. Complications Augmentation de la morbimortalité Risque de mortalité 2 à 4 fois plus élevé

97 2. Complications Périnatales : anoxo-ischémie Postnatales précoces hypothermie hypoglycémie Postnatales tardives : dysplasie bronchopulmonaire hypertension pulmonaire entéropathie

98 3. CAT Anticiper : appel du pédiatre facile à la naissance A la naissance : lutte contre l hypothermie, surveillance glycémie capillaire et alimentation rapide

99 K. Examen du Placenta en Anatomie pathologique

100 1. Quand? Systématiquement en cas de RCIU < 3 ème percentile

101 2. Comment? Avec des renseignements bien remplis déroulement de la grossesse accouchement enfant

102 3. résultats Si pathologie vasculaire : infarctus artériopathie déciduale

103 3. résultats Autres pathologies placentaires : anomalies de cordon villites et intervillites

104 L. Prévention du RCIU

105 1. Avant une 1 ère grossesse Avoir un IMC pré-conceptionnel < 30 kg/m² et > 18 kg/m² Arrêt du tabac, alcool, drogues Limiter les grossesses multiples en PMA Avoir les grossesses entre 20 et 40 ans

106 1. Avant une 1 ère grossesse Consultation pré-conceptionnelle multidisciplinaire chez les patientes à risque (diabète, lupus, greffée rénale ) évaluer les risques adapter les traitements programmer la grossesse quand pathologie stable

107 2. Au cours de la grossesse 1. En dehors d une maladie chronique : Respecter les objectifs de poids en fonction de l IMC préconceptionnel avec prise de poids optimale : IMC < 18.5 kg/m² : kg 18.5 < IMC < 24.9 kg/m² : kg 25 kg/m² < IMC < 30 kg/m² : kg IMC > 30 kg/m² : 5-9 kg

108 2. Au cours de la grossesse 1. En dehors d une maladie chronique : Arrêt tabac et autres addictions Pas de repos systématique La supplémentation systématique en fer ne diminue pas le risque de RCIU

109 2. Au cours de la grossesse 2. En cours de maladie chronique : Si diabète, maintenir les objectifs glycémiques, en évitant les hypoglycémies Si HTA chronique : TA ne doit pas être trop basse, ce qui impose parfois l arrêt du traitement anti-hypertensif pendant la grossesse

110 3. En cas de grossesse après ATCD RCIU 1. Rechercher un syndrome des antiphospholipides (anti-cardiolipines, anticoagulant circulant, anti-bêta2- GP1) si RCIU sévère ayant entraîné une naissance avant 34 SA

111 3. En cas de grossesse après ATCD RCIU 2. Pas d argument pour rechercher d autres thrombophilies

112 3. En cas de grossesse après ATCD RCIU 3. Un délai de 18 à 23 mois, entre 2 grossesses, semble être associé à un taux plus faible de RCIU

113 3. En cas de grossesse après ATCD RCIU 4. Place de l Aspirine : Recommandé chez les femmes ayant des ATCD de prééclampsie < 34 SA et/ou RCIU < 5 ème percentile dont l origine vasculaire est probable A prendre le soir ou au moins 8 heures après le réveil, avant 16 SA, à la dose de 100 à 160 mg/j

114 4. En cas de grossesse à haut risque sans ATCD RCIU 1. Place de l Aspirine : Pas d argument pour prescription systématique en prévention primaire dans les pathologies à risque augmenté de RCIU : HTA chronique, diabète, lupus, néphropathie chronique, drépanocytose.

115 M. Conclusion

116 Ne pas oublier Importance de la consultation préconceptionnelle Visite post-natale avec obstétricien en cas d ATCD de RCIU

117 Merci!

118 Merci!

Biométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -

Biométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) - Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure

Plus en détail

HTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice

HTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive

Plus en détail

Grossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours

Grossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions

Plus en détail

Maternité et activités sportives

Maternité et activités sportives Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations

Plus en détail

Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET

Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005 Tabac et Grossesse M. COLLET Tabac et grossesse Problème majeur de santé publique 25 à 33 % des femmes fument pendant la grossesse Nombreuses conséquences obstétricales

Plus en détail

Atelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale

Atelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement

Plus en détail

Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2

Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Objectifs : Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Diagnostiquer et connaître les principes de prévention et de prise en charge de l hypertension

Plus en détail

Suivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées

Suivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées Suivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées Grossesse a priori «normale» Quelle prise en charge? Sécurité médicale RPC EBM Opinion des usagers

Plus en détail

Hématome rétro-placentaire ( HRP )

Hématome rétro-placentaire ( HRP ) Hématome rétro-placentaire ( HRP ) L hématome rétroplacentaire (HRP) ou abruptio placentae correspond au décollement prématuré d un placenta normalement inséré (DPPNI). La lésion anatomique est formée

Plus en détail

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de

Plus en détail

ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE

ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation

Plus en détail

PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE

PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE Royaume du Maroc Ministère de la Santé PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE Fin du Compte à rebours 2015 Avec l appui de Contexte En souscrivant aux

Plus en détail

Femmes enceintes ayant une complication au cours de leur grossesse : transferts en urgence entre les établissements de santé

Femmes enceintes ayant une complication au cours de leur grossesse : transferts en urgence entre les établissements de santé RECOMMANDATION DE BONNE PRATIQUE Femmes enceintes ayant une complication au cours de leur grossesse : transferts en urgence entre Méthode «Recommandations pour la pratique clinique» RECOMMANDATIONS Novembre

Plus en détail

Indications de la césarienne programmée à terme

Indications de la césarienne programmée à terme Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire

Plus en détail

Les Jeudis de l'europe

Les Jeudis de l'europe LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER

Plus en détail

L agénésie isolée du corps calleux

L agénésie isolée du corps calleux L agénésie isolée du corps calleux Agénésie calleuse Dysgénésie du corps calleux La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus

Plus en détail

F us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou

F us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant

Plus en détail

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de

Plus en détail

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE

Plus en détail

Module 2. De la conception à la naissance

Module 2. De la conception à la naissance Module 2. De la conception à la naissance ITEM 17. Principales complications de la grossesse Diagnostics différentiels d une hémorragie génitale Hématurie Rectorragie Diagnostics différentiels de l HTA

Plus en détail

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

Le VIH et votre cœur

Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

LA TRES GRANDE PREMATURITE:QUEL PRONOSTIC POUR L ENFANT? DELABY BEATRICE COURS DES ROUEN LE 9 MARS 2005

LA TRES GRANDE PREMATURITE:QUEL PRONOSTIC POUR L ENFANT? DELABY BEATRICE COURS DES ROUEN LE 9 MARS 2005 LA TRES GRANDE PREMATURITE:QUEL PRONOSTIC POUR L ENFANT? DELABY BEATRICE COURS DES ROUEN LE 9 MARS 2005 LA TRES GRANDE PREMATURITE DEFINITION - La très grande prématurité se définit comme une naissance

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.

Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement

Plus en détail

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

Infection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet

Infection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

LES CONSÉQUENCES. tricales. Juridiques

LES CONSÉQUENCES. tricales. Juridiques LES CONSÉQUENCES Médicales, Gynécologiques et Obstétricales tricales Juridiques Les complications Complications médicales m immédiates Hémorragie (section art clitoridienne) : cataclysmique ou secondaire

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Incontinence anale du post-partum

Incontinence anale du post-partum Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop

Plus en détail

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue

Plus en détail

Les fistules obstétricales sont des communications anormales entre les voies urinaires ou digestives et l'appareil génital. ou d une manœuvre abortive

Les fistules obstétricales sont des communications anormales entre les voies urinaires ou digestives et l'appareil génital. ou d une manœuvre abortive ROLE DE LA SAGE FEMME DANS LA PREVENTION, LE DIAGNOSTIC ET ORIENTATION DES FISTULES Présenté par Mme Atchoumi Annie Hortense Sage-femme DU épidémiologie-bordeaux CHU de Yaoundé Introduction Définition

Plus en détail

GROSSESSE et lupus/sapl

GROSSESSE et lupus/sapl GROSSESSE et lupus/sapl Nathalie Costedoat-Chalumeau Centre de référence maladies autoimmunes et systémiques rares Service Médecine Interne Hôpital Cochin Paris Rappels et définitions Critères cliniques

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

Le VIH et votre apparence physique

Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude

Plus en détail

Organisation du suivi dans le cadre d un réseau

Organisation du suivi dans le cadre d un réseau Organisation du suivi dans le cadre d un réseau Mandovi Rajguru Pédiatre Maternité Hôpital Bichat Claude Bernard Journée des pédiatres de maternité GENIF 04 Juin 2009 Introduction Constitution d un réseau

Plus en détail

Les différentes maladies du coeur

Les différentes maladies du coeur Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par

Plus en détail

Fondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre

Fondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,

Plus en détail

Conférence de Presse 11/09/2013. «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg»

Conférence de Presse 11/09/2013. «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg» Conférence de Presse 11/09/2013 «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg» La Santé Périnatale au Luxembourg Etat des lieux Présentation de deux rapports : Surveillance de la Santé

Plus en détail

TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND

TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules

Plus en détail

Conférence de consensus THROMBOPHILIE ET GROSSESSE PRÉVENTION DES RISQUES THROMBOTIQUES MATERNELS ET PLACENTAIRES

Conférence de consensus THROMBOPHILIE ET GROSSESSE PRÉVENTION DES RISQUES THROMBOTIQUES MATERNELS ET PLACENTAIRES Avec la participation de : Conférence de consensus THROMBOPHILIE ET GROSSESSE PRÉVENTION DES RISQUES THROMBOTIQUES MATERNELS ET PLACENTAIRES Vendredi 14 mars 2003 - Institut Pasteur Paris TEXTE DES RECOMMANDATIONS

Plus en détail

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme

Plus en détail

la grossesse de la grossesse Ce qui a précédé Les débuts Les conditions de «mise en route» de la grossesse

la grossesse de la grossesse Ce qui a précédé Les débuts Les conditions de «mise en route» de la grossesse FICHE ACTION N o 1 Ce qui a précédé la grossesse Les débuts de la grossesse Comprendre pour agir Les conditions de «mise en route» de la grossesse D après l enquête nationale périnatale 2003 (1), quand

Plus en détail

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de

Plus en détail

Les Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est

Plus en détail

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7

Plus en détail

À compter de 2010 les codes du chapitre XVI ne doivent plus être employés au-delà de 2 ans. Créé le 1 er Mars 2011

À compter de 2010 les codes du chapitre XVI ne doivent plus être employés au-delà de 2 ans. Créé le 1 er Mars 2011 FASCICULE VI AFFECTIONS DU NOUVEAU-NÉ Emploi des codes du chapitre XVI Le chapitre XVI est celui de Certaines affections dont l origine se situe dans la période périnatale. La définition de la période

Plus en détail

La maladie de Berger Néphropathie à IgA

La maladie de Berger Néphropathie à IgA Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer

Plus en détail

Échographie obstétricale

Échographie obstétricale - Support de Cours (Version PDF) - Échographie obstétricale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/03/11 Université Médicale Virtuelle Francophone 1/38 - Support de Cours

Plus en détail

Les avantages du programme complémentaire santé Meuhedet Adif

Les avantages du programme complémentaire santé Meuhedet Adif Les avantages du programme complémentaire santé Meuhedet Adif Chers adhérents, C est avec le souci de procurer un mieux-être à ses adhérents que Meuhedet a mis au point son programme complémentaire santé

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on

Plus en détail

ANDRIANASOLO Andomalala Ravonirina

ANDRIANASOLO Andomalala Ravonirina ANDRIANASOLO Andomalala Ravonirina ASPECTS EPIDEMIO-CLINIQUES DES PREECLAMPSIES SEVERES A L HOPITAL UNIVERSITAIRE DE GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE DE BEFELATANANA EN 2009 Thèse de Doctorat en Médecine UNIVERSITE

Plus en détail

PRÉVENTION EN FAVEUR DE L ENFANT ET DE L ADOLESCENT

PRÉVENTION EN FAVEUR DE L ENFANT ET DE L ADOLESCENT Guide Pratique Protection de l enfance PRÉVENTION EN FAVEUR DE L ENFANT ET DE L ADOLESCENT grandir parents respecter prévenir devoirs écouter mieux-être protéger PRÉVENTION EN FAVEUR DE L ENFANT ET DE

Plus en détail

La déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure

La déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure Troubles périnéaux du post-partum La déchirure T. Linet La déchirure Les risques Entre 2 et 6 % de périnée complet mais TRES sous diagnostiqué car ± rupture du sphincter interne sur périnée semblant intact

Plus en détail

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité

Plus en détail

CRITERES DE REMPLACEMENT

CRITERES DE REMPLACEMENT ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires

Plus en détail

ÉVALUATION DE L INTÉRÊT DU DÉPISTAGE DE L INFECTION À CYTOMÉGALOVIRUS CHEZ LA FEMME ENCEINTE EN FRANCE

ÉVALUATION DE L INTÉRÊT DU DÉPISTAGE DE L INFECTION À CYTOMÉGALOVIRUS CHEZ LA FEMME ENCEINTE EN FRANCE ÉVALUATION DE L INTÉRÊT DU DÉPISTAGE DE L INFECTION À CYTOMÉGALOVIRUS CHEZ LA FEMME ENCEINTE EN FRANCE Septembre 2004 Service évaluation technologique Service évaluation économique Septembre 2004 Évaluation

Plus en détail

Céphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS

Céphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées

Plus en détail

Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012.

Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012. Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012. HISTORIQUE Période de DESCRIPTION : -Ictère, Anasarque 1609 Louyse BOURGEOIS

Plus en détail

DROITS A L ASSURANCE MATERNITE

DROITS A L ASSURANCE MATERNITE I. Ouverture des droits DROITS A L ASSURANCE MATERNITE Les conditions d ouverture des droits tant aux prestations en nature qu aux prestations en espèce de l assurance maternité s apprécient soit au début

Plus en détail

E x t rait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétri q u e

E x t rait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétri q u e CNGOF_MAJ_TITRES.qxp 17/12/09 17:26 Page 1 (1,1) COL L ÈGE N ATIONAL DES GYNÉ COLOGUES E T OBS TÉ TRICIENS FR A NÇ A IS Président : Professeur J. L a n s a c E x t rait des Mises à jour en Gynécologie

Plus en détail

CONTRACEPTION DU POST-PARTUM ET VISITE POST-NATALE

CONTRACEPTION DU POST-PARTUM ET VISITE POST-NATALE CONTRACEPTION DU POST-PARTUM ET VISITE POST-NATALE Présenté par JAOUEN Léna DIU Suivi gynécologique LE SCANFF Ghislaine DIU Périnalité Addictions Contraception du post-partum Une constatation: 5 % des

Plus en détail

d e s Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique

d e s Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique COL L ÈGE N ATIONAL DES GYNÉ COLOGUES E T OBS TÉ TRICIENS FR A NÇ A IS Président : Professeur F. P u e ch EXTRAIT d e s Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique Publié le 10 décembre 2010 N o t a. Le

Plus en détail

Le diabète en pédiatrie

Le diabète en pédiatrie Le diabète en pédiatrie Dre Isabelle Bouchard Pédiatre Clinique de diabète pédiatrique du CHUL Janvier 2012 Objectifs 1) Connaître les différences physiopathologiques entre le diabète type 1 et type 2

Plus en détail

Alcool et grossesse :

Alcool et grossesse : Alcool et grossesse : comment en parler? Actualisation des connaissances Repères pour la pratique professionnelle pour : une démarche d information auprès de toutes les femmes un accompagnement des femmes

Plus en détail

COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE

COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT

Plus en détail

S o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique

S o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3

Plus en détail

Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV

Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission

Plus en détail

Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant

Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement

Plus en détail

REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES

REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES

Plus en détail

Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon)

Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Intervention personnalisée à tous les stades de la Maladie Rénale Chronique Prévention de la progression de la maladie rénale Consultation

Plus en détail

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. 1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

«DIRE» UNE ECHOGRAPHIE A 12 SEMAINES D AMENORRHEE. Laurence Hamou Interne CHU ROUEN

«DIRE» UNE ECHOGRAPHIE A 12 SEMAINES D AMENORRHEE. Laurence Hamou Interne CHU ROUEN «DIRE» UNE ECHOGRAPHIE A 12 SEMAINES D AMENORRHEE Laurence Hamou Interne CHU ROUEN INTRODUCTION 3 échographies obstétricales recommandées au cours d une grossesse normale. Idéalement réalisée entre 11

Plus en détail

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller

Plus en détail

LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE

LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé

Plus en détail

Une sage-femme vous accompagne...

Une sage-femme vous accompagne... Département Mère/ Enfant Chef du département: Dr Thomas D. Centre hospitalier Etterbeek-Ixelles Rue Jean Paquot, 63 1050 Ixelles 02/641 41 11 Une sage-femme vous accompagne... Un film sur la maternité

Plus en détail

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION

Plus en détail

19 thèmes dans 10 villes

19 thèmes dans 10 villes SATISFAIRE À VOS OBLIGATION DE DPC FACILEMENT GRÂCE AU CNGOF DPC réalisés par le CNGOF et financée par l Agrément CNGOF : 11 75 32 07 175 - FMC 100 098 Indemnité de 345 par jour et prise en charge hôtellerie

Plus en détail

phase de destruction et d'élimination de débris

phase de destruction et d'élimination de débris LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale

Plus en détail

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau

Plus en détail

Laetitia SELLAM. Mémoire pour l obtention du DES de pédiatrie. CHU Clermont Ferrand. 9 octobre 2009

Laetitia SELLAM. Mémoire pour l obtention du DES de pédiatrie. CHU Clermont Ferrand. 9 octobre 2009 Devenir à court terme des prématurés nés entre 24 SA et 26 SA: l expérience Clermontoise Mémoire pour l obtention du DES de pédiatrie 9 octobre 2009 Laetitia SELLAM CHU Clermont Ferrand Introduction Amélioration

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

Contraception après 40 ans

Contraception après 40 ans Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception

Plus en détail

Céphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS

Céphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine

Plus en détail

IMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES

IMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs

Plus en détail

INCONTINENCE URINAIRE

INCONTINENCE URINAIRE INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour

Plus en détail

MIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.

MIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique. MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques

Plus en détail

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général

Plus en détail