FT. 03. Tubes hépariné, sec et EDTA : 1 ml de sang correctement prélevé et homogénéisé
|
|
- Georges Laviolette
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Tout le matériel de prélèvement mis à disposition par le laboratoire se conserve entre 4 et 25 en veillant à ne pas dépasser les dates de péremption. Après prélèvement, le prélèvement doit être pris en charge par le laboratoire idéalement dans les 2 heures et au plus dans les 4 heures, sauf cas particuliers détaillés dans la FT06. ETAT DE JEUNE : 12 heures de jeûne pour les explorations glucido-lipidiques, pour les cycles glycémiques, se référer à la prescription. Une étude récente du Pr Portugal autorise à toute heure pour la plupart des autres examens usuels en biochimie, hématologie sans conséquence pour les sérologies virales, bactériennes, parasitaires, les marqueurs tumoraux, allergie les urgences sont prélevées à toute heure sans se préoccuper de l état de jeûne. A.Prélèvement sanguin veineux standard : o o o 1. Vérification de l état de jeune selon les préconisations ci dessus. 2. Position : patient placé en décubitus dorsal, adossé au dossier sauf les enfants qui sont allongés 3. Technique : toutes sont autorisées, mais de préférence, la technique sous-vide Désinfection cutanée soigneuse à l alcool sauf lors du prélèvement d une alcoolémie, désinfection à la Bétadine Pose du garrot, ponction veineuse franche, ne pas prélever un bras porteur d'une voie veineuse. Remplissage des tubes dans l ordre suivant : citraté d hémostase (bouchon bleu), sec bouchon rouge ou jaune, hépariné (vert), EDTA (violet), puis autres tubes ( éventuellement Aprotinine (ACTH), puis relâcher le garrot. Penser à homogénéiser les tubes avec anticoagulant par retournements successifs (5 à 10 fois). Après avoir ôté le dernier tube du corps de pompe, retirer l aiguille, la clipser avec la sécurité et comprimer avec un morceau de coton puis appliquer un adhésif cutané. Éliminer l aiguille dans le container à aiguilles usagées et jeter les déchets dans les poubelles dont une réservée aux déchets septiques non piquants ni tranchants 4. Volumes nécessaires : voir schéma ci dessous Tubes hépariné, sec et EDTA : 1 ml de sang correctement prélevé et homogénéisé Tube citraté d hémostase : En raison du citrate diluant le sang, ce tube doit être rempli jusqu au trait correspondant au vide 2,7 ml. Noter sur le tube T (traité par AVK), NT (non traité), ou POP (Bilan préopératoire) Lors d une demande d hémostase préopératoire, on prélèvera 2 tubes afin de pouvoir contrôler une éventuelle anomalie, il en est de même pour une demande de facteurs isolés en hémostase ou d actes spécialisés. Les examens d hémostase spécialisés sont prélevés de préférence le matin au laboratoire (prise en charge rapide pour centrifugation), les tests d exploration de la fonction plaquettaire ne sont pas prélevés et confiés directement aux laboratoires hospitaliers spécialisés. Des abaques de remplissage sont utilisées au laboratoire à l enregistrement et aux postes techniques
2 o 5. Identification : nom, prénom du patient, date de prélèvement Cas particulier des groupes sanguins : Préliminaire indispensable :vérification de l'identité Par confrontation à un document administratif : carte identité, passeport, permis de conduire... Ce document est scanné dans la mesure du possible ou numéro vérifié, noté sur l'ordonnance et reporté dans le dossier d'enregistrement par la secrétaire. La prescription : La prescription peut comporter des renseignements cliniques et/ou contexte pathologique, obstétrical ayant motivé la demande : examen post transfusionnel, post injection de gamma globulines anti-rh1 (date, etc..) Ces données sont reprises sur la feuille de travail avec les éléments 1 à 5 (Cf ci-dessous) Le prélèvement : Au moment du prélèvement, après avoir fait décliner son identité au patient, une étiquette d'identification est apposée sur le tube par la personne qui a prélevé le patient et en sa présence. Les mentions portées par l'étiquette sont les suivantes : 1.le nom de naissance ou de famille 2.le prénom 3.le nom marital ou usuel
3 4.le sexe FT la date de naissance du patient 6.le nom de la personne ayant effectué le prélèvement, la date et si possible l heure à domicile (informations transmises sur une fiche de prélèvement scannée ou dans le SIL) Instructions de prélèvement : si rien de précisé sur l'ordonnance : prélever 1 seule détermination ; la carte de groupe ne sera pas éditée (sauf si déterminations antérieures existantes dans le dossier patient) si demande de 2 déterminations sur l'ordonnance : prélever 2 déterminations par 2 préleveurs différents. Si ce n'est pas possible (domicile ou 1 seul préleveur sur le site), proposer la 2 e détermination différée (revient au labo ou à domicile). Une carte de groupe sera alors éditée. Cas particulier de la prescription RAI seule (grossesse, transfusion, cas général ) : les renseignements cliniques ont la même importance que pour un groupe mais la vérification d'identité revient au cas général avec la carte Vitale o 6. Conservation : Les tubes, l ordonnance et la fiche de transmission doivent être disposés sur un rack, ou dans la boite (pour les infirmières libérales) et conservés entre 4 et 25, le délai maximal entre l'heure de prélèvement et l'arrivée au laboratoire est de 4 h : certains prélèvements nécessitant une prise en charge plus rapide doivent être signalés le plus tôt possible au laboratoire (Cf FT06) B. Prélèvements sanguins veineux particuliers: Pédiatriques et «veines difficiles» Les parents le souhaitant peuvent appliquer un anesthésique local au pli du coude 30 minutes à une heure avant le prélèvement de leur enfant. Chez les enfants en bas age ayant une pression veineuse faible et chez les patients ayant un mauvais capital veineux, on dispose de seringues, d aiguilles de taille variable et de microperfuseurs à ailettes. Ces systèmes permettent via un raccord monté sur le corps de pompe ou directement en débouchant les tubes de les remplir dans les mêmes conditions qu au A. Précautions : l'ordre des tubes de remplissage reste le même que précédemment, si les tubes sont débouchés, ne pas intervertir les bouchons ni transvaser du sang d'un tube à l'autre. Prélèvements sur cathéter veineux laissé en place : Prélèvement effectué par un médecin biologiste au laboratoire Protocoles de test d hyperglycémie par voie orale : ne pas laisser sortir le patient pendant l'épreuve Cas général (femme non enceinte) : sauf prescription particulière et explicite du clinicien, une hyperglycémie chez un adulte se fait en donnant 75 g de glucose dans un verre d eau et 4 prélèvements sur 3 heures en mettant de préférence un cathéter. Chez un enfant, le protocole est identique en faisant absorber 1g/kg de glucose. Femme enceinte : se conformer à l ordonnance du prescripteur. Le plus fréquent étant : 75 g de glucose avec dosages à T0, T60 et T120
4 Prescription de cryoglobuline : dans les secondes qui suivent le prélèvement, celui-ci doit être placé dans une étuve à 37, donc impossible à domicile. C.Prélèvement pour temps de saignement YVY (Ivy incision): attention 2 types de brassard adulte ou enfant < 10 ans et examen HN 10 euro depuis le On pose sur le bras un brassard à tension que l on gonfle à une pression de 40 mm Hg qui sera maintenue pendant tout le test. Après désinfection de la face antérieure de l avant-bras au dessous du brassard (choisir une zone sans vaisseau apparent et sans poil), on pratique une incision avec un «Surgicutt». On éponge les berges de la plaie avec un buvard toutes les 30 secondes et on note sur la fiche interne le temps au bout duquel le saignement s arrête. Normalement, ce temps est inférieur à 8 minutes.( Hématologie de G Sebahoun, D Arnoux p386) D Surveillance thérapeutique : 1.1 AVK 1.Surveillance anticoagulant Indiquer T (traité) sur le tube, cela guidera la validation analytique de l' INR Nouveaux anticoagulants oraux : activité anti II : Pradaxa et Xarelto : il n'y a pas de surveillance préconisée systématique sauf chez un patient porteur de polypathologies. 1.2 Héparines : Surveillance plaquettaire 2 fois par semaine, sauf Arixtra qui a reçu l AMM depuis 2008 pour la non surveillance des plaquettes. Préciser au laboratoire le traitement et sa posologie : ex fraxiparine 0,3 à 8 h Tests de surveillance de l anticoagulation : TCA Héparinémie = activité anti Xa Traitement à visée préventive HBPM : habituellement pas de test de surveillance de l anticoagulation sauf hémorragie inexpliquée, insuffisance rénale légère à modérée, poids extrême (maigreur ou obésité) Traitement à visée préventive HNF : habituellement pas de test de surveillance de l anticoagulation sauf hémorragie inexpliquée Traitement à visée curative HBPM: Surveillance de l anticoagulation : 4 heures après une injection. Valeurs recommandées fonctions de chaque spécialité : Lovenox : 1à 1,4 UI, Innohep : 0.7 à 1 UI, Fragmine, fraxiparine, fraxodi : 0,8 à 1,4 UI. Certaines HBPM allongent de façon modérée le TCA Traitement à visée curative HNF: Traitement en sous cutanée : surveillance à mi chemin entre 2 injections (soit 4 à 6 heures après l injection ) selon le schéma à 2 ou 3 injections par jour.
5 Traitement à la seringue électrique : peu importe le moment de la surveillance de l anticoagulation : mais attendre au moins 4 heures après le branchement pour atteindre le plateau thérapeutique) Les valeurs du TCA à atteindre = 1,5 à 3 fois le témoin selon la sensibilité du réactif utilisé. Les valeurs d' héparinémies à atteindre = 0,3 à 0.6 UI Cas particuliers : La prescription «recherche d anticoagulant circulant» : on doit prélever 2 tubes à coagulation et 1 tube sec Autres cas = Cf. catalogue en ligne Biomnis 2. Dosage de médicaments /sérologie de l hépatite A Pour les dosages de médicaments, le prélèvement se fait en général le matin avant la prise : Ex : lithium, tacrolimus, ciclosporine, dépakine, tégrétol, digoxine Noter sur le tube ou dans le dossier du malade : l heure du prélèvement, le traitement, la dernière prise pour être repris sur le compte rendu Pour hépatite A : anticorps totaux (IgG et IgM) en cas de vaccination prévue ou pour en vérifier son efficacité, IgM seule en cas de suspicion d hépatite virale 3. D'une façon générale noter tous les renseignements cliniques pris en salle de prélèvement ou à domicile sur le dossier du patient dans le SIL, ou sur les formulaires F62 ou F 67, ou sur les fiches de renseignements Biomnis. E.PRELEVEMENTS BACTERIOLOGIQUES ET PARASITO-MYCOLOGIQUES 1. ECBU Cas général: Recueil avant toute antibiothérapie (sauf en cas de contrôle post-antibiothérapie, attendre au moins 5 j après la fin du traitement), de préférence sur la 1ere miction du matin, ou sur des urines ayant séjourné au moins 4h dans la vessie. Toilette soigneuse avec une lingette antiseptique Recueil en milieu de jet dans un pot stérile ; percutage sur tube boraté dans les établissements de soins ou par les infirmières à domicile Identification du prélèvement Transport rapide au laboratoire : stabilité du pot 2h à température ambiante, 12h à +4 C ; stabilité du tube boraté 48h à température ambiante Modes de prélèvements particuliers : Nourrisson et jeune enfant : après désinfection de la vulve et du méat urinaire (ou du gland et prépuce), placer une poche collectrice stérile, laisser en place 1h maximum. Dès la miction terminée, le collecteur est retiré et les urines sont transvasées dans un flacon stérile. Patient incontinent: après désinfection, réaliser un sondage aller/retour extemporané chez la femme, ou poser un collecteur pénien (ex : péniflow) chez l'homme. Recueillir les urines dans un pot stérile.
6 Patient sondé à demeure : Ne jamais prélever dans le sac collecteur. Le recueil se fera par ponction après désinfection sur le site spécifique du dispositif de sonde. Désinfecter puis prélever des urines fraîches avec une aiguille et une seringue.transvaser dans un pot stérile. Urétérostomie (sans sonde) : après nettoyage soigneux de la stomie, on met en place un collecteur stérile et l'on procède comme pour le nourrisson. Cathétérisme urétéral (permet l'obtention d'urine provenant séparément du rein G et D) : après désinfection de l extrémité de la sonde, on recueille qqs millilitres d'urine dans un pot stérile. Contextes particuliers : Recherche de mycobactéries : examen de 2 e intention sur prescription spécifique, à demander en cas de leucocyturie aseptique, si le contexte clinique le justifie. Après toilette, recueillir la totalité de la 1ère miction du matin. Prélever 3 jours de suite. Suspicion d'infection urétrale ou prostatique : recueillir le 1 er jet des urines du matin dans un flacon stérile.(le massage prostatique n'est plus recommandé) Recherche de Chlamydia trachomatis, Neisseria gonorrhoeae ou de mycoplasmes urogénitaux : recueillir le 1 er jet des urines du matin dans un flacon stérile. 2. Recueil des urines de 24h Au lever : vider la totalité de la vessie dans les toilettes Pendant 24 heures : - Recueillir la totalité des urines dans le flacon jusqu à l heure indiquée au départ et le conserver si possible au réfrigérateur entre chaque miction. - Demander un flacon supplémentaire en cas de besoin pour ne pas dépasser le niveau de remplissage du flacon. - La première miction du second matin doit IMPERATIVEMENT être recueillie. Identifier le(s) flacon(s) avec votre nom et prénom si cela n a pas été fait par le laboratoire. La totalité des urines de 24 heures doit être acheminé au laboratoire dans les plus brefs délais. 3. Compte d'addis 3 heures avant le lever habituel : - Vider la totalité de la vessie dans les toilettes. - Boire un grand verre d eau (250ml). - Noter la date et l heure sur le flacon fourni par le laboratoire. - Se recoucher, rester allongé au repos et à jeûn pendant 3 heures.
7 3 heures après (le plus exactement possible) : - Uriner dans le flacon fourni par le laboratoire pour recueillir la totalité des urines. - Noter l heure sur le flacon. Identifier le flacon avec votre nom et prénom si cela n a pas été fait par le laboratoire. Le flacon doit être acheminé au laboratoire dans les plus brefs délais. Remarque : Dans l intervalle des trois heures, toutes les urines doivent être récupérées dans le flacon. 4. Examen bactériologique des selles ( coproculture / parasitologie /recherche de sang/ recherche de Clostridium difficile) Ces examens sont à effectuer, si possible, lors des épisodes diarrhéiques (sauf la recherche de sang). souhaitable de faire ces examens à distance de tout traitement. Il est Pour l examen parasitologique, s abstenir de prendre des médicaments à base de charbon ou d huile de paraffine pendant les 3 à 5 jours précédents et proscrire les purgatifs. Pour la recherche de sang et l examen parasitologique, le prélèvement peut être renouvelé 3 jours de suite. Pour la coproculture, le prélèvement doit être acheminé au laboratoire dans les plus brefs délais si les selles sont conservées à température ambiante. Ce délai peut être allongé jusqu'à 12 heures si le prélèvement est conservé à +4 c. Pour la recherche de Clostridium difficile, le prélèvement peut être conservé jusqu'à 72h à +4 C. Mode de recueil : Recueillir les selles dans le flacon stérile fourni par le laboratoire. Identifier le flacon avec votre nom et prénom si cela n a pas été fait par le laboratoire. Noter la date et l heure du recueil ainsi que les renseignements cliniques si possible : notion de diarrhée, voyage récent, fièvre sur F62 ou F67 5- Expectoration : examen des crachats Prélèvement à réaliser le matin au réveil : Faire un rinçage bucco-dentaire à l eau.
8 Expectorer ensuite dans le flacon stérile fourni par le laboratoire et le refermer soigneusement. Il doit s agir d une expectoration profonde et non pas d une simple production salivaire qui sera refusée. Identifier le flacon avec votre nom et prénom si cela n a pas été fait par le laboratoire et date et heure du recueil. Le flacon doit être acheminé au laboratoire immédiatement après le recueil. Sinon, conserver 12h maximum à température ambiante. Pour une fibroaspiration bronchique : un récipient particulier est disponible sur demande au laboratoire. 6- Prélèvement rhino-pharyngé (grippe, coqueluche) par un biologiste avec gants et masque chirurgical avant traitement prophylactique antigrippal (Tamiflu), dans les 48 h premières heures des signes cliniques du syndrome grippal ou dans le 1 er mois de la toux (coqueluche) position assise ou semi assise, tête en légère extension faire pénétrer l'écouvillon par l'orifice narinaire en visant le tragus homo latéral, jusqu'à buter sur la paroi antérieure du rhino-pharynx décharger l'écouvillon dans le milieu de transport Biomnis. 7- Test HELIKIT Ce test doit être réalisé : - 1 mois après l arrêt de toute antibiothérapie - 15 jours au moins : après l arrêt des antisécrétoires :inhibiteurs de la pompe à protons comme INEXIUM, LANZOR, MOPRAL, INIPOMP, PARIET, après arrêt des traitements anti-acide (GAVISCON, RENNIE, SMECTA, ACTAPULGITE, SILIGAZ,...) et des pansements gastrointestinaux depuis 24heures. En effet ces traitements interfèrent sur la présence d'helicobacter pylori pouvant rendre le test faussement négatif. Avant le prélèvement : Se procurer le test Heli-kit (réservé à l'adulte de plus de 15 ans)
9 Le jour du prélèvement : - Se munir du test Heli-Kit prescrit par le médecin - Se présenter après 12 heures de jeûne sans avoir mangé, bu et fumé. Si les consignes n ont pas été respectées, il est préférable de reporter le test. Il faudra environ 40 minutes pour la réalisation du prélèvement. 8- Spermogramme-spermocytogramme-spermoculture Le prélèvement doit être effectué après une abstinence sexuelle de 3 à 5 jours Lavage soigneux du gland et des mains au savon antiseptique. Recueillir la totalité de l éjaculat dans le flacon stérile mis à disposition par le laboratoire (Ne rien perdre du prélèvement ou le mentionner lors de l enregistrement du dossier). Laisser le prélèvement dans la salle et prévenir le secrétariat. S'il est réalisé à domicile, le rapporter dans l'heure en le maintenant au chaud. 9.Plaies De nombreux germes pathogènes à ce niveau sont fragiles. Utiliser un écouvillon Transwab Sur ce milieu, l'écouvillon peut être conservé 48h à température ambiante. Cas particuliers de foyers profonds : On peut être amené à pratiquer un prélèvement d un foyer infectieux profond, à l aide d un écouvillon standard ou mieux à l aide d une aiguille montée sur une seringue le vide à la main. 10. Prélèvements ORL et gynécologiques : Utiliser exclusivement les écouvillons Transwab ; 1 seul écouvillon par site de prélèvement suffit. Sur ce milieu, l'écouvillon peut être conservé 48h à température ambiante, SAUF pour les prélèvements gynécologiques : 24h maximum. 11. Chlamydiae trachomatis : prélever avec le kit fourni par Biomnis (prélèvement vaginal, urétral, 1 er jet urinaire, ou sperme) 12. Mycoplasmes urogénitaux : prélever avec écouvillon transwab ou 1 er jet urinaire ou prélèvement de sperme (conservation 12h à +4 C)
10 13. Paludisme : lors d un pic thermique, prélever un tube EDTA 14. Microfilaires :prélever un tube EDTA suivre la périodicité 15. Scotch test anal : Coller une bande adhésive de 10 cm environ sur la marge anale, la retirer puis la coller sur une lame de verre transparente fournie par le labo. Quand? avant toilette ou défécation, le matin Bilharzies urinaires : Les œufs peuvent être recherchés dans les dernières gouttes d'urine, et de préférence sur miction complète matinale, si possible après un effort physique prémictionnel (marche à pied, montée d'1 escalier, sautillemernt...) 17. Hémoculture : Préparation du matériel : Utiliser une seringue de 10 ml munie d une aiguille de bon diamètre ( > ou égal à 0,7 mm) ou une tubulure munie d un adaptateur Préparer un flacon d hémoculture conservé à température ambiante : 1 flacon suffit par prélèvement, il permet les cultures aero et anaerobie Ôter l opercule vert et désinfecter soigneusement l orifice en caoutchouc de couleur marron (compresse imbibée de Bétadine ou alcool) Pratiquer le prélèvement veineux avec les précautions d usage en insistant sur la désinfection soigneuse de la peau à l alcool En cas de prélèvement avec une seringue on transfère secondairement dans le flacon d hémoculture En cas de prélèvement avec la tubulure, on pique directement l extrémité de l adaptateur dans le flacon d hémoculture Noter soigneusement sur le flacon le nom, prénom, date et heure du prélèvement et VVC ou VVP si origine disponible. Prévenir le laboratoire pour récupérer les prélèvements : les flacons sont à placer dans une petite étuve à +37 dans l établissement permettant d attendre 24 heures à + 35 la venue du personnel du laboratoire. 18. Recherche de BMR : Se fait préférentiellement à partir d'un écouvillonnage rectal : prélever 2 écouvillons type Transwab Peut éventuellement se faire à partir d'un échantillon de selles. Cas particulier de la recherche de SARM en préopératoire / orthopédie : se fait par écouvillonnage nasal (1 écouvillons type Transwab par narine)
11 F. Élimination des déchets : Les déchets potentiellement infectieux (coton, écouvillon souillés..) ainsi que les piquants/ tranchants doivent être éliminés selon la procédure en vigueur : PR11 Le reste : papier non confidentiel, plastique non usagé peut être éliminé avec les ordures ménagères G. Prescription d'analyse complémentaire : Le laboratoire ne conserve pas d échantillon biologique au delà de la fin de la journée de travail (19 h en semaine et 12 le samedi) sauf pour les sérologies infectieuses et marqueurs tumoraux ( obligation légale de 12 mois). L ajout d analyse est donc possible en dans ces intervalles de temps avec l accord d une secrétaire voire d un biologiste
12 Liste détaillée des analyses, méthodes: Biochimie Biochimie : colorimétrie : glycémie, urée, créatinine, cholestérol, HDL, LDL,triglycérides, calcium, magnésium, phosphore, acide urique,réserve alcaline, protide, TGO, TPG,GGT, PAL, bilirubine, amylase, CPK,, lipase, LDH, Biochimie potentiométrie : ionogramme Biochimie turbidimétrie : CRP,albumine, transferrine, ferritine, préalbumine, IGG IGA IGM totales, digoxine, latex Biochimie électrophorèse en gel: sérum et urine, immunofixations HPLC :HBA1C Immunologie : Polarisation de fluorescence ou microplaque : Sur VIDAS Biomérieux : testostérone, progestérone, CA 125,CA199, cortisol sérique et urine, EBV, CMV, hépatite A ( Ac totaux), IGE totale Sur cardiac reader H 232 : myoglobine Sur immuno Cap100 / RAST,Phadiatop, trophatop, ADNA, ECT, CARDG, CCP, B2GPI, anti transglutaminase IGA En microplaques: sérologie chlamydiae, calcitonine, En test unitaire : sérologie coqueluche, herpès Chimiluminescence : FSH, LH, E2, BHCG, PROLACTINE, DHAS, TSH, FT4, FT3, B12, FOLA, DEPAKINE, troponine, NT probnp, PTH, CTX, hépatite A(IgM), B, C, HIV, rubéole, toxoplasmose, marqueurs tumoraux (PSA total et libre, ACE, CA153), vit D (D2+D3), tégrétol, AAT, TPO Agglutination : Waaler rose, rotavirus, adenovirus, BW Hématocytologie : cytochimie : NF, reticulocytes : Photométrie capillaire : VS Immunohématologie : groupe RAI, coombs Coagulation : méthode chronométriques : TP TCA fib, facteur II, V, VII, X, recherche d anticoagulant circulant, DDimère Bactériologie : cytologie automatisée ou microscopique, ensemencement manuel, identification et antibiogramme sur VITEK2 NF PLAQUETTES VS RETICULOCYTES HBA1C
13 GROUPES SANGUINS et COOMBS DIRECT Tacrolimus charges virales (HIV, HBV,HCV) GLYCEMIE UREE CREAT BILAN LIPIDIQUE BILAN HEPATIQUE RESERVE ALCALINE CALCIUM MAGNESIUM PHOSPHORE A.URIQUE PROTIDES AMYLASE LIPASE CPK LDH CRP ALBUMINE TRANSFERRINE FERRITINE MYOGLOBINE IONO, IGE,Digoxine, latex, PPIH,PREALBUMINE FSH LH OESTRADIOL BHCG PROLACTINE DHAS TSH T4L T3L B12 FOLATES TROPONINE BNP PTH HEPATITES A B C HIV RUBEOLE TOXO CMV EBV CHLAMYDIAE COQUELUCHE HERPES SYPHILIS WAALER ROSE DOSAGE DE MEDICAMENTS autre que digoxine ELECTROPHORESE DES PROTEINES IMMUNOFIXATION IGG IGA IGM IGE AC ANTINUCLEAIRES ANTI DNA ANTI ENA ANTI CCP AC ANTI CARDIOLIPINES, antib2gpi, anti transglutaminase TESTOSTERONE PROGESTERONE VITAMINE D B2MICROGLOBULINE OROSOMUCOIDE HAPTOGLOBINE AC ANTI-THYROIDIENS CALCITONINE CORTISOL PHADIATOP TROPHATOP RAST RAI PSA CA125 CA199 CA153 ACE TP TCA FIBRINE DDIMERES AT3 HEPARINE ANTICOAGULANTS CIRCULANTS
14 GLYCEMIE Sur TUBE fluoré si domicile ou établissement de soins ACTH : tube aprotinine à transporte dans les plus brefs délais au labo POUR TOUT ACTE SPECIALISE CONTACTER LE LABORATOIRE Site BIOMNIS ou CATANACERBA en ligne
La version électronique fait foi
Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailSemaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!»
Semaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!» Vous avez été X à prendre le risque d entrer dans notre chambre des erreurs, à présent découvrez les erreurs ou risques potentiels
Plus en détailMODULAR ANALYTICS EVO Un univers de Fiabilité, de Puissance et de Flexibilité
MODULAR ANALYTICS EVO Un univers de Fiabilité, de Puissance et de Flexibilité Roche Diagnostics 2, avenue du Vercors - BP 59 38242 MEYLAN Cedex Tél. : +33 (0)4 76 76 30 00 Fax : +33 (0)4 76 76 30 01 www.rochediagnostics.fr
Plus en détailNETTOYAGE ET CONDITIONNEMENT DU MATERIEL DE SOINS EN VUE DE LA STERILISATION
NETTOYAGE ET CONDITIONNEMENT DU MATERIEL DE SOINS EN VUE DE LA STERILISATION OBJECTIFS SPECIFIQUES : ENUMERER SANS ERREUR LES ELEMENTS QUI COMPOSENT LE MATERIEL COURANT DE SOINS EXPLIQUER CHACUNE DES TECHNIQUES
Plus en détailSemaine Sécurité des patients
Bienvenue dans le «mystère de la chambre des erreurs»! Découvrez le tableau de synthèse des réponses du matériel nécessaire à la mise en place de la chambre des erreurs ainsi que les réponses attendues
Plus en détailBilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida.
Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. L.Aribi, F.Kaouane, S.Oukid, C.Boucherit, M.K.Benlabiod, Y.M.Bouchakor, M.T.Abad
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailSOINS INFIRMIERS EN HEMODIALYSE
SOINS INFIRMIERS EN HEMODIALYSE PLAN I) Rappels d anatomie physiologie II) IRC: Définition Traitement: hémodialyse, dérivation péritonéale, greffe III) Hémodialyse Définition Principes Législation IV)
Plus en détailSources bibliographiques :
AP-HM LBM 00PREP01D004 Date d application: 2014-06-16 Version : 3 Rédaction : ALBANESE Brigitte, AILLAUD Marie Françoise, ARNOUX Dominique Validation : MORANGE Pierre, DIGNAT-GEORGE Françoise Approbation
Plus en détailSECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR
SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR II-0 INDEX SECTION II Pages Section relative au préleveur Heures d ouvertures des laboratoires pour clients externes Requête régionale II-2 II-2 II-3 Informations requises
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailSurveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM)
Hématologie biologique (Pr Marc Zandecki) Faculté de Médecine CHU 49000 Angers France Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM) 1. Structure et mode d'action
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailMANUEL DE PRELEVEMENT. Groupe BiopyrénéesLab. MQ MU PRE 001 Version 2. Mise à jour : 24/12/2014
MQ MU PRE 001 Version 2 Mise à jour : 24/12/2014 MANUEL DE PRELEVEMENT Groupe BiopyrénéesLab Ce document ne peut être reproduit sans l autorisation du laboratoire Page 2 sur 92 Réalisé par : Dr D. HEYRAUD
Plus en détailSommaire des documents de la base documentaire 15189 v2012 01/11/2013
La base documentaire a été complètement révisée pour être en conformité avec cette version 2012 de l ISO 15189. La cartographie des différents processus du LBM a également été modifiée (suppression du
Plus en détailTableau pour la conservation et le transport des spécimens à l externe
1. OBJECTIF : Ce document comprend un tableau indiquant les informations nécessaires la conservation des spécimens, à l externe. Il comprend aussi un tableau indiquant les informations nécessaires pour
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailpoints Les actes de biologie médicale : analyse des dépenses en 2008 et 2009
d é c e m b r e 2 0 1 0 - n u m é r o 3 3 points de r e p e r e Le suivi du codage des actes de biologie médicale, qui permet de connaître la structure des dépenses de biologie pour les actes réalisés
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailPROTOCOLE SONDAGE VESICAL
DOMAINE : SOINS N version : 1 PROTOCOLE SONDAGE VESICAL Date application : 18/09/2009 8page(s) (R/V) Rédaction / date Validation / date Approbation / date Diffusion / date Actualisation / date A LECOQ/
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailRIVAROXABAN ET TESTS DE BIOLOGIE MEDICALE
RIVAROXABAN ET TESTS DE BIOLOGIE MEDICALE Ce texte est une mise au point d Octobre 2012, dont le contenu sera revu en fonction de l avancement des connaissances Rédacteurs : Isabelle Gouin-Thibault 1,
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailTest direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct)
Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct) Mise en évidence par le réactif de Coombs polyspécifique d une fixation des anticorps (Igs) ou des fractions du complément (C3d) sur les hématies du
Plus en détailInformation au patient
Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailCibles Nouveaux ACO AVK. Fondaparinux HBPM HNF. Xarelto. Eliquis Lixiana. Pradaxa PARENTERAL INDIRECT ORAL DIRECT. FT / VIIa.
Accidents hémorragiques aux nouveaux anticoagulants Gérard Audibert Anesthésie Réanimation CHU de Nancy Remerciements au Pr A. Steib GIHP Cibles Nouveaux ACO ORAL DIRECT FT / VIIa PARENTERAL INDIRECT AVK
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique?
Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Références : Pr Samama Journée de Biologie Praticienne Décembre 2011 I. Gouin-Thibault Journée de Biologie Clinique 2012
Plus en détailTests rapides de dépistage
Tests rapides de dépistage Maladies infectieuses Marqueurs cardiaques Marqueurs de tumeurs Grossesse Rhumatologie Allergies Drogues > Pour un diagnostic rapide et économique > Résultats exacts et fiables
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailStelara (ustekinumab)
Les autorités de santé de l Union européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament Stelara de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimisation des risques en Belgique, dont cette information
Plus en détailLE DIRECTEUR GENERAL DE LA SANTE LE DIRECTEUR DE L'HOSPITALISATION ET DE L'ORGANISATION DES SOINS
MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Direction générale Paris, de la santé Sous direction de la politique des produits de santé (SD3) Sous direction de la qualité du système
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailVous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K)
Ce carnet a été réalisé sous la coordination de l Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Vous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K) Carte à découper
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences?
Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Emmanuel Andrès Service de Médecine Interne Diabète et Maladies métabolique Clinique Médicale B - CHRU de Strasbourg Remerciements au Professeur
Plus en détailVIH : Parlons-en franchement!
VihCouv_vert(2011_02) 08/02/11 13:27 Page1 DESSINS PHILIPPE DELESTRE VIH : Parlons-en franchement! VIH : Parlons-en franchement! LE VIH C EST QUOI? Le VIH est un virus. C est le virus du Sida. VIH ÇA VEUT
Plus en détailPlanches pour le Diagnostic microscopique du paludisme
République Démocratique du Congo Ministère de la Santé Programme National de Lutte Contre le Paludisme Planches pour le Diagnostic microscopique du paludisme Ces planches visent à améliorer le diagnostic
Plus en détailE03 - Héparines non fractionnées (HNF)
E03-1 E03 - Héparines non fractionnées (HNF) Les héparines sont des anticoagulants agissant par voie parentérale. 1. Modalités d u tilisation Mode d action : l héparine est un cofacteur de l antithrombine
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 10 mars 2010
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 10 mars 2010 ARIXTRA 1,5 mg/0,3 ml, solution injectable en seringue pré-remplie - Boîte de 2 (CIP : 363 500-6) - Boîte de 7 (CIP : 363 501-2) - Boîte de 10 (CIP : 564
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailAblation de sutures. Module soins infirmiers
Ablation de sutures Module soins infirmiers Equipe enseignante de l IFSI du Centre Hospitalier de ROUBAIX Diaporama réalisé par : Stéphane Dubus, Formateur I. Définition Il s agit d ôter les sutures cutanées
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailLes Arbres décisionnels
Les Arbres décisionnels Les aides à la décision plainte-traitement (ou arbres décisionnels ) sont tirés de travaux effectués dans le cadre de l Organisation Mondiale de la Santé. Ils sont destinés à soutenir
Plus en détailUne forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux
27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailKARDEGIC 75 mg, poudre pour solution buvable en sachet-dose Acétylsalicylate de DL-Lysine
KARDEGIC 75 mg, poudre pour solution buvable en sachet-dose Acétylsalicylate de DL-Lysine Veuillez lire attentivement cette notice avant d'utiliser ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailChambres à cathéter implantables
Chambres à cathéter implantables Pas de conflits d intérêt avec le sujet traité APHAL Formation PPH Jeudi 19 mars 2015 Sébastien GEORGET Pharmacie Centre Psychothérapique de Nancy Définition (1) Définition
Plus en détailEn considérant que l effet anticoagulant du dabigatran débute dans les 2 heures suivant la prise du médicament :
Informations sur le dabigatran (Pradaxa md ) Préambule : Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du dabigatran (Pradaxa md ). L
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux (NOAC)
Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement
Plus en détailBIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie
Vous avez appris qu une anomalie a été détectée lors de votre mammographie. Afin d investiguer cette anomalie, le radiologue a pris la décision d effectuer une biopsie par aspiration sous stéréotaxie.
Plus en détailLe Livre des Infections Sexuellement Transmissibles
Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et
Plus en détailNOTICE : INFORMATIONS DESTINÉES A L UTILISATEUR. Firazyr 30 mg solution injectable en seringue pré-remplie Icatibant
B. NOTICE 1 NOTICE : INFORMATIONS DESTINÉES A L UTILISATEUR Firazyr 30 mg solution injectable en seringue pré-remplie Icatibant Veuillez lire attentivement l intégralité de cette notice avant d utiliser
Plus en détailHémorragies cérébrales et nouveaux anticoagulants
Hémorragies cérébrales et nouveaux anticoagulants Gérard Audibert Anesthésie Réanimation CHU de Nancy Remerciements au Pr A. Steib GIHP BHR, Boeringer, LFB, Fresenius-Kabi, Integra-Neurosciences Patient
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailInformations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md )
Informations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md ) Préambule Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailATTENTES DE L ÉQUIPE & MFP
B R O C H U R E 2 0 1 2 US52 HÉMATOLOGIE À L ATTENTION DES ÉTUDIANT(E)S EN SOINS INFIRMIERS z Bienvenue à l US52 z Le 52,qu est-ce que c est? L unité 52 est un service d hospitalisation d hématologie adulte.
Plus en détailInfections urinaires chez l enfant
Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous
Plus en détailGuide de Mobilisation. de cellules souches pour mon. Autogreffe AVEC LE SOUTIEN DE. Carnet d informations et de suivi pour le patient et sa famille
Guide de Mobilisation de cellules souches pour mon Autogreffe Carnet d informations et de suivi Carnets pour d informations le patient et sa et famille de suivi pour le patient et sa famille AVEC LE SOUTIEN
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailAntiagrégants plaquettaires Anticoagulants
Antiagrégants plaquettaires Anticoagulants Céline Moch Docteur en pharmacie Cours infirmier 30 octobre 2012 Epidémiologie En 2011, environ 4% de la population française affiliée au régime général de la
Plus en détailExposé sur la Transfusion Sanguine
Sommaire : I Histoire de la transfusion sanguine A/ Découverte des groupes sanguins B/ Premières transfusions sanguines C/ Les journées du sang II Les groupes sanguins A/ Les différents groupes B/ Déterminer
Plus en détailCRPP. Syndrome MYH9. Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires. Livret destiné au patient
CRPP Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires Syndrome MYH9 Macrothrombocytopénies constitutionnelles liées à MYH9 (Anomalie de May-Hegglin, Syndrome de Sebastian, d Epstein, de Fechtner, d Alport-like
Plus en détailPICT DOSAGE DES ANTICOAGULANTS 1. PEFAKIT PICT. Dosage chronométrique. PEFAKIT PiCT. PEFAKIT PiCT Calibrateur HNF. PEFAKIT PiCT Contrôles HNF
Dosage chronométrique PICT 1. PEFAKIT PICT Nombre de tests 8-505-01 coffret 80 3 flacons d activateur (2 ml) 3 flacons de réactif Start (2 ml) Mesure des anticoagulants par méthode chronométrique. 1 2
Plus en détailBrochure d information destinée au patient. Comment pratiquer l auto-sondage intermittent?
Brochure d information destinée au patient Comment pratiquer l auto-sondage intermittent? Sommaire de la brochure Ce guide complète les informations qui vous ont été données par le médecin et l infirmière.
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 janvier 2006 ADVATE 1500 UI, poudre et solvant pour solution injectable 1 flacon(s) en verre de 1 500 UI - 1 flacon(s) en verre de 5 ml avec matériel(s) de perfusion(s)
Plus en détailEVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD
EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections
Plus en détailLES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire. Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015
LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015 1 SOINS DE BOUCHE ENTRETIEN DES PROTHESES DENTAIRES L état bucco-dentaire est souvent préoccupant
Plus en détailSuivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants
Suivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants M.M. Samama, M-H. Horellou, C. Flaujac, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F. Depasse Biomnis - Ivry sur Seine TFPI TFPI
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble
ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble Définition d un AES Sang ou liquide biologique potentiellement contaminant Sécrétions vaginales / sperme
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailJORF n 0060 du 12 mars 2009. Texte n 18
Le 16 mars 2009 JORF n 0060 du 12 mars 2009 Texte n 18 ARRETE Arrêté du 10 février 2009 fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations matérielles affectés aux transports sanitaires
Plus en détailGestion de la crise sanitaire grippe A
Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe
Plus en détailINFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE
INFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE Votre médecin vous a prescrit une coloscopie. Afin que vous soyez parfaitement informé(e) sur l examen, ses indications, sa préparation indispensable, etc., nous
Plus en détailSe préparer à une angiographie artérielle
Se préparer à une angiographie artérielle Table des matières Sujet Page Qu est-ce que l athérosclérose?... 1 Durcissement graduel des artères (athérosclérose)... 2 Pourquoi dois-je subir une angiographie
Plus en détailPRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE
PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium
Plus en détailDIABÈTe De TYPe 1 Petit guide pour les parents et les enfants.
DIABÈTe De TYPe 1 Petit guide pour les parents et les enfants. Guide pour comprendre et aborder sereinement l apparition du diabète de type 1. Sommaire Le contrôle glycémique 04 Qu est-ce que le taux d
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailQuestionnaire Médical
Nom et prénom(s) de l élève: Date de naissance: Questionnaire Médical Ce formulaire est à compléter, avant de commencer l année scolaire, pour les nouveaux élèves ainsi que pour les élèves poursuivant
Plus en détailCe que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant)
Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant) 3 mai 2009, 15 h HNE Sur cette page : Que dois-je faire si je contracte ce nouveau virus et que
Plus en détail