Autant de questions auxquelles ce nouveau bulletin Vent d Ouest devrait apporter des réponses. Nous vous en souhaitons une bonne lecture.
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- Paulette Lecours
- il y a 7 ans
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1 de l'air en Poitou-Charentes Poitou Charentes À travers ce nouveau hors-série, ATMO Poitou-Charentes souhaite faire le bilan de sa surveillance des pollens, ces petits grains microscopiques émis par les plantes pour se reproduire. ATMO Poitou-Charentes a commencé à surveiller les pollens en 1999 à. Depuis, l association a déployé trois autres capteurs. Le dernier en date a été installé cet été à Niort (Deux-Sèvres) puis à Ruffec (Charente). Les pollens présents dans l air constituent un enjeu majeur de santé publique. En effet, % de la population française souffre d allergies respiratoires, dont une partie est causée par ces pollens. En Poitou-Charentes, l apparition des pollens particulièrement allergisants de l ambroisie constitue une problématique nouvelle à prendre en compte dans les plans de gestion de la qualité de l air. Quels risques allergo-polliniques a-t-on enregistré en 1? Quel bilan peut-on dresser sur les 1 dernières années? Quelles actions entreprendre pour limiter l impact sanitaire des pollens allergisants? Autant de questions auxquelles ce nouveau bulletin Vent d Ouest devrait apporter des réponses. Nous vous en souhaitons une bonne lecture.
2 Poitou Charentes 1 Bulletin d'information sur la qualité de l'air en Poitou-Charentes Hors - Série Les pollens dans l air du Poitou - Charentes Publication : décembre 1 Sommaire Évaluer le risque d allergie aux pollens Bilan de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Bilan de la saison 1 Pollens et pollinose Gérer le risque d allergie aux pollens 3.4 6
3 Evaluer le risque d allergie aux pollens Depuis une dizaine d années, ATMO Poitou-Charentes surveille la pollution atmosphérique par les pollens en collaboration avec le RNSA (Réseau National de Surveillance Aérobiologique). Au total, quatre capteurs fonctionnent en parallèle de février à septembre. En effet, c est pendant cette période que la majorité des plantes émettent leurs pollens pour se reproduire. D un capteur en 1999 A l origine, cette surveillance a d abord été mise en place à La Rochelle, en Ensuite, deux autres villes chefs-lieux de la région, en 3 puis en 7, ont été équipées à leur tour. Cette surveillance est menée en collaboration avec les collectivités, l Agence Régionale de la Santé (ARS) et le Réseau National de Surveillance Aérobiologique (RNSA). À quatre capteurs en 1 Depuis cette année, ATMO Poitou-Charentes surveille la pollution atmosphérique par les pollens sur un 4 e site à Niort. Cette surveillance sera menée chaque année de février à juillet. Ensuite en fin d été le capteur sera déplacé en milieu rural, dans les zones où l ambroisie est davantage présente et donc les pollens d ambroisie a priori plus nombreux dans l air. En 1, c est la commune de Ruffec (nord Charente) qui a été choisie pour accueillir le capteur d août à septembre. Commune équipée d un capteur année d installation 1 e étape : compter les pollens Les capteurs de pollens sont placés en hauteur, de façon à couvrir une zone de à 3 km de rayon. Les effets strictement locaux de la végétation environnante sont ainsi atténués. Les particules présentes dans l air sont aspirées par le capteur puis se collent sur une bande de cellophane, fixée sur un tambour qui défile devant la fente d aspiration du capteur. Cette bande est exposée pendant une semaine. Ensuite, le technicien d ATMO Poitou- Charentes récupère le tambour exposé et le remplace par un tambour propre. Le capteur est alors de nouveau opérationnel. Dans les locaux d ATMO Poitou- Charentes, la bande est détachée de son support. Elle est découpée en sept segments égaux qui représentent les sept jours d exposition. Chaque segment est placé sur une lame de microscope et fixé à l aide d un réactif de montage coloré facilitant le repérage des grains de pollens et assurant la stabilité de la préparation dans le temps. Le capteur de pollens est généralement localisé en hauteur, sur un toit À l intérieur du capteur, les pollens se collent sur le tambour 7 lames de comptage des pollens : une lame pour chaque jour de la semaine Les pollens sont visibles au microscope optique credit-photo : G Sulmont RNSA 1999 Niort Ruffec 1 L analyse pollinique consiste en l examen direct au microscope optique de la bande qui est relevée chaque semaine même jour, même heure. Chaque semaine, un technicien compte les pollens récoltés e étape : évaluer le risque allergique lié aux pollens ATMO Poitou-Charentes envoie chaque semaine ses comptages polliniques au RNSA. Le RNSA les utilise pour calculer le Risque Allergique d Exposition aux Pollens (RAEP), en tenant compte du potentiel allergisant de chaque type de pollen (cf. page ). Le RAEP est caractérisé par un chiffre variant sur une échelle de (risque nul) à (risque très élevé). 3 e étape : commenter les résultats ATMO Poitou-Charentes surveille les pollens présents dans l air des quatre départements Chaque site de mesure des pollens est suivi par un médecin référent. Ce médecin commente chaque semaine les comptes polliniques. Il établit aussi un bulletin clinique décrivant les symptômes de ses patients. Cela permet au RNSA d établir un index pollinique par médecin et par ville, révélateur de l exposition aux pollens.
4 Zoom sur le châtaignier à : des pollens qui viennent de loin Chaque année, ATMO Poitou-Charentes relève des pollens de châtaignier dans les prélèvements rochelais. Pourtant, le sol calcaire de n est pas favorable au développement de cet arbre. D'après l'inf (Inventaire National Forestier) et les CRPF (Centres Régionaux de la Propriété Forestière) du Poitou-Charentes et Vendée, les zones d'abondance du châtaignier les plus proches de sont les collines vendéennes (Pouzauges, Chantonnay), la Saintonge centrale et le sud-est des Deux-Sèvres. Le littoral vendéen présente aussi des châtaigniers, mais en moindre quantité. L'étude des pollens de châtaignier prélevés à en fonction des directions de vent, de 1999 à 9, montre qu'ils proviennent principalement du nord / nord-est. Il s'agit certainement de pollens provenant des châtaigniers de Vendée. En effet, les pollens de châtaignier présentent un diamètre proche de 1 µm, qui facilite leur dispersion sur des territoires de plusieurs dizaines de kilomètres. Cette année, le nombre de pollens de châtaignier à est comparable à celui de l'an passé. Une différence toutefois : l'arrivée de pollens de châtaignier a été enregistrée principalement par vent de nord-ouest, ce qui indique une provenance du littoral vendéen. Il faut toutefois relativiser l'importance des pollens de châtaignier à. En effet, cette espèce présente un potentiel allergique faible ( sur une échelle de ) et sa présence en Charente-Maritime est plus limitée que sur les autres villes surveillées. Rose de pollution par les pollens de châtaignier à de 1999 à 9 Sur la base de la surveillance réalisée depuis plusieurs années et des indices allergo-polliniques calculés chaque semaine par le RNSA, des calendriers polliniques peuvent être établis pour, et. Pour chaque plante allergisante, ces calendriers représentent le risque allergique maximal hebdomadaire, de janvier à septembre. En février, la saison pollinique débute par les pollens d arbres Les premiers pollens captés en février et mars sont ceux émis par les arbres. Dans notre région, ce sont surtout le cyprès, le noisetier, le frêne et l aulne qui provoquent les risques allergiques les plus élevés pendant ces deux mois. Ces pollens sont peu à peu remplacés en avril et mai, par ceux du bouleau et du chêne, et du platane dans une moindre mesure. Sur les trois villes de la région, connaît davantage de risques d allergie dus aux pollens des arbres. En particulier, le chêne et le bouleau peuvent provoquer certaines années des risques allergiques très élevés au printemps. Bilan de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Fleurs et feuilles de chêne pédonculé D avril à juillet, les graminées s imposent comme le facteur de risque allergique principal Au cours du printemps, les graminées fleurissent. Les personnes allergiques à leurs pollens peuvent être très gênées car les risques oscillent souvent entre 4 et sur une échelle de. C est ce qu on appelle communément le rhume des foins. Le pic de risque allergique dû aux graminées intervient de mi-mai à fin juin. Graminées En août et septembre, l ambroisie clôture la saison des allergies polliniques La saison des pollens allergisants se termine par la floraison de l ambroisie, de mi-août à mi-septembre. Cette plante est particulièrement allergisante. Dans notre région, c est en Charente que sont relevés les taux de pollens d ambroisie les plus importants. En savoir plus ATMO Poitou-Charentes. Relevés polliniques, ARS (Agence Régionale de la Santé) Poitou-Charentes, Poitou-Charentes Nature, RNSA. Réseau National de Surveillance Aérobiologique, crédit-photo : crédit-photo : RNSA crédit-photo : Laurent Mollé et Michel Caillon Ambroisie à feuille d armoise Calendriers polliniques du Poitou-Charentes herbes arbres herbes arbres herbes arbres Risque allergique nul très faible moyen élevé très faible élevé Mois Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Semaine Cyprès Noisetier Frêne 1 1 Aulne Peuplier Saule 1 Bouleau Chêne Platane 1 1 Charme Châtaignier Graminees Oseille Urticacees Armoise Plantain Ambroisie 1 (données 7 1) : un risque plus élevé d allergie aux pollens d ambroisie qu à et Mois Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Semaine Cyprès Noisetier Frêne 1 Aulne Peuplier Saule Bouleau 1 Chêne 1 1 Platane 1 Charme Châtaignier Graminees Oseille Urticacees Armoise 1 1 Plantain Ambroisie 1 1 (données 1 1) : les graminées sont les plantes occasionnant le plus de risque d allergie à Mois Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Semaine Cyprès Noisetier 1 Frêne 1 1 Aulne 1 1 Peuplier Saule Bouleau Chêne 1 Platane 1 1 Charme 1 1 Châtaignier Graminees Oseille Urticacees 1 1 Armoise Plantain Ambroisie 1 (données 3 1) : un risque plus élevé d allergie aux pollens de bouleau et de chêne qu à et Rose de pollution par les pollens de châtaignier à en 1 3 4
5 Moins de risque d allergie aux pollens cette année En 1, la région Poitou-Charentes a connu des risques allergiques moins élevés que la normale. Ainsi, aucun risque allergo-pollinique maximal (niveau ) n a été détecté. Toutefois, des risques allergiques élevés (niveau 4) ont été constatés de mai à juillet, en raison des pollens de graminées. nombre de semaines présentant un risque allergique moyen à très élevé (RAEP de 3 à ) risque allergique Le nouveau capteur de Niort De juin à juillet, le nouveau capteur de Niort a donné des résultats de pollens très semblables à ceux des trois autres grandes villes de la région. Ainsi, Niort a présenté des risques allergopolliniques de 3 ou 4 jusque mi-juillet, en raison des pollens de graminées. Ensuite le risque allergique est devenu faible. Zoom sur l ambroisie Cette année, le nombre de grains de pollens d ambroisie est redescendu aux niveaux d avant 9. Comme les années passées, la Charente a enregistré davantage de pollens d ambroisie que les autres départements. Notons que pour sa 1 e année de fonctionnement, le capteur de Ruffec a présenté des résultats très proches de ceux d. Distants d une trentaine de kilomètres, ces deux capteurs sont influencés dans les mêmes proportions par l ambroisie. nombre de grains d'ambroisie/m 3 /an Moins de risque d allergie aux pollens en Poitou-Charentes cette année qu'en 9 février mars avril mai juin juillet août septembre En 1, les risques allergiques les plus élevés (niveau 4) ont été constatés surtout de mai à juillet. En cause : les pollens de graminées Ruffec En Charente ( et Ruffec), les pollens d ambroisie sont plus nombreux qu à et Bilan de la saison 1 Niort Ruffec Les bulletins cliniques des médecins référents (Dr Petit) Sur la région d la saison pollinique a débuté dans la deuxième semaine de février avec les pollens de noisetier. Cependant les manifestations cliniques correspondantes ont rapidement régressé avec un temps pluvieux. Le pollen de cyprès a dominé les comptages à partir de la troisième semaine de février en l absence de signes cliniques. Les pollens de noisetier et les premiers pollens de frêne ont été ressentis par les personnes sensibles. La situation est restée la même jusqu à la mi-mars avec toujours une importante quantité de pollens de cyprès. Fin mars les pluies ont été de retour jusqu à la mi-avril. Ensuite les pollens de chênes ont été dominants et responsables de quelques symptômes jusqu à la fin avril. Les pollens de graminées ont fait une timide apparition à la mi-mai pour augmenter rapidement et provoquer une gêne croissante chez les personnes allergiques. Le retour des pluies a limité ces effets à partir du début du mois de juin jusqu en troisième semaine. Il y a eu ensuite un petit rebond des graminées mais avec peu de manifestations cliniques. Les agriculteurs s étaient dépêchés de finir leurs fenaisons dans un créneau de beau temps. À la mi-juillet, la messe était dite pour les allergiques. Ils n ont plus eu de manifestation gênante. Les pollens d urticacées présents dans la première quinzaine d août n ont pas été ressentis de manière significative. Les pollens d ambroisie apparus à la mi-août sont restés à de petits niveaux jusqu à la fin septembre sans avoir été source de symptômes d allergie. En définitive la fin de l hiver et le printemps dans son ensemble ont été pluvieux. Le ressenti des patients allergiques aux divers pollens a été d intensité moyenne sur des périodes réduites. Le malheur de ceux qui attendaient impatiemment le beau temps a fait le bonheur relatif des allergiques. Niort (Dr Latappy) La saison pollinique 1 a entraîné une symptomatologie modérée avec, pour les pollens de graminées, un pic au moment du week-end de la Pentecôte (-4 mai) ; les pollens d'arbres (bouleau, noisetier, frêne) avaient été cependant plus gênants en début de saison. (Dr Chapuis) La saison pollinique 1 aura été marquée dans son ensemble par des recueils relativement modérés, et une symptomatologie clinique en proportion. La saison a commencé très progressivement, avec 4 pollens recueillis pour la semaine 6 contre 119 en 8. Le frêne a atteint son maximum en mars, sans apporter cette année de symptomatologie notable. Le cyprès a été présent comme chaque année de février à juin, avec un maximum en mars très supérieur aux données de ces dernières années. Il ne semble pas être responsable dans la région d'une symptomatologie importante. Le bouleau a connu une floraison sur trois semaines d avril, responsable de rhinites et de conjonctivites essentiellement. Chêne et platane sont ensuite passés inaperçus. Ce sont les graminées qui ont pris la suite, avec un pic atteint mi mai, et un recueil qui est resté faible : le taux maximum, 49 taxons, est le plus faible enregistré depuis. Il est d ailleurs très régulièrement décroissant depuis 6. Un certain nombre de polliniques a été très agréablement surpris du peu de gêne ressentie. Les autres, plus sensibles, ont malheureusement conservé une gêne importante, avec rhinites et conjonctivites en mai, un second pic en juin générateur d asthme. Les semaines de chaleur début juillet ont vu la fin des signes cliniques chez la plupart des polliniques sensibles aux graminées, l été a été marqué de peu de signes cliniques. Peu de pollens d herbacées ont été recueillis au cours de l été : des urticacées sur les deux mois d été, plantain et chénopode en août, très peu de pollens d armoise, dans l ensemble sans symptomatologie réellement individualisable. Les recueils de pollens d ambrosia restent anecdotiques, même si les observations sur le terrain permettent de retrouver des plants. Les tests réalisés systématiquement ne mettent pas en évidence de sujets originaires de la région sensibilisés à l'ambrosia. Elle ne semble donc pas représenter pour l instant ici de réel danger clinique. (Dr Calvignac-Gloaguen) Ce sont les pollens de noisetiers, suivis de près par l'extrême abondance des taxons de cyprès, qui seront responsables des premières pollinoses observées et d'un risque allergique plutôt modéré. En avril, avec le recueil du très sensibilisant pollen de bouleau, le risque s'intensifie nettement et l'on voit apparaître des rhino-conjonctivites persistantes parfois sévères. Le nombre abondant de taxons de chêne, recueillis entre fin avril et mi-mai, associé à la fin de la pollinisation des bouleaux soutient le risque allergique à un niveau modéré. La pollinisation des graminées, un peu tardive cette année, a débuté mi-mai, mais sera symptomatique jusqu'à la mi-juillet. Très sensibilisant, ce pollen sera responsable d'une pollinose sévère allant jusqu'à associer des réactions cutanées à des conjonctivites, des rhinosinusites et de l'asthme persistant. Fin juin l'apparition du pollen de châtaigner, associé aux taxons de graminées encore bien représentés, maintient le risque à un niveau élevé jusqu'à la mi-juillet ; puis, celui-ci va revenir à un niveau modéré et même faible sous le règne des urticacées avec une pollinose plutôt intermittente jusqu'à la fin septembre. L'ambroisie, sous haute surveillance, a été juste très faiblement détectée de mi-août à mi-septembre.
6 Pollens et pollinose potentiel allergisant Bouleau Cyprès Aulne Chêne Frêne Charme Châtaignier Noisetier Olivier Platane Saule Tilleul Peuplier Hêtre Mûrier Orme Pin Ambroisie Graminées Armoise Pariétaire Chenopode Plantain Oseille Ortie ARBRES HERBES Potentiels allergisants de différentes plantes (source : RNSA) Le pollen est l'élément reproducteur mâle des plantes (arbres et herbacées). Ce grain microscopique est produit par les étamines des fleurs. Pour assurer la fécondation de la plante, il doit gagner la surface réceptrice femelle et donc se déplacer. Pour cela, deux modes de transport s'offrent à lui : par les insectes : les plantes sont alors appelées entomophiles. Afin d'attirer les insectes, leurs fleurs sont généralement voyantes, parfumées et riches en nectar. Leur pollen est peu abondant dans l'air et peu allergisant ; par le vent : les plantes sont alors qualifiées d'anémophiles. Leurs grains de pollen sont généralement plus fins et très abondants. Cela permet de compenser le caractère aléatoire de ce type de pollinisation. Les pollens allergisants appartiennent à cette deuxième catégorie. En effet, pour provoquer l allergie, ils doivent atteindre les muqueuses respiratoires ou oculaires de l homme en grande quantité. Là, le grain de pollen libère ses particules protéiques reconnues comme allergènes. Selon le RNSA (Réseau National de Surveillance Aérobiologique), "plus de % de la population française souffre d allergie respiratoire." Une partie de ces allergies est due aux pollens respirés avec l air extérieur. On parle alors de pollinose. Cette maladie se manifeste sous des formes variées : au niveau du nez : la rhinite allergique saisonnière se caractérise par des éternuements, démangeaisons, obstructions, écoulements et même perte de l'odorat et du goût ; au niveau des yeux : la conjonctivite allergique saisonnière provoque des brûlures, rougeurs, larmoiements, gêne à la lumière ; chez certaines personnes, la pollinose peut se compliquer par l'apparition de crises d asthme, d'œdème ou d'urticaire.
7 Gérer le risque d allergie aux pollens La surveillance assurée par ATMO Poitou-Charentes et le RNSA permet de connaître le risque d allergie lié aux pollens. Cette information, actualisée chaque semaine, s adresse en priorité aux personnes allergiques et aux médecins, afin de les aider dans la gestion de la maladie allergique. S informer sur le risque allergo-pollinique de sa région Chaque vendredi, ATMO Poitou-Charentes diffuse un communiqué associant le risque allergique de la semaine passée à un commentaire établi par un médecin référent. L abonnement à cette publication est gratuit et accessible sur simple demande. Ces résultats sont aussi disponibles sur le site Internet d ATMO Poitou-Charentes : Dans le cadre du e Plan Régional Santé Environnement (PRSE), qui a été adopté en décembre 1, ATMO Poitou-Charentes prévoit de piloter une action visant à améliorer l efficacité de la diffusion des données de pollens, en prenant en compte notamment les attentes des destinataires. Pour mieux se protéger face aux pollens En période pollinique, quelques gestes préventifs peuvent permettre de limiter l allergie aux pollens : aérer sa maison tôt le matin ou en soirée, Poitou-Charentes Nature diffuse une plaquette d information sur l ambroisie En Poitou-Charentes, la prolifération de cette plante s est accélérée dans les années 9. Afin de suivre cette expansion, Poitou-Charentes Nature a mis en place un réseau standardisé de surveillance pluriannuelle de l ambroisie à l échelle de la région. L objectif de cette association est de mieux suivre l évolution de la répartition de l ambroisie, de limiter sa propagation et sa prolifération en améliorant les pratiques agricoles. Il s agit également de prévoir les émissions polliniques de l ambroisie et de prévenir ainsi les populations des risques d allergies invalidantes. Toute personne ayant trouvé des pieds d ambroisie peut le signaler à l association (pc.nature@laposte.net) ou saisir ses informations en ligne ( - onglet_1). Dans le cadre du PRSE, une action devrait être menée par l ARS, Poitou-Charentes Nature et la FREDON, afin de lutter contre l ambroisie en Poitou-Charentes. Et les autres plantes allergisantes maintenir ses fenêtres fermées entre 1h et 18h, éviter de rouler en voiture vitres ouvertes, se rincer les cheveux avant de se coucher afin d'éviter de déposer sur l'oreiller les pollens accumulés dans la journée, ne pas mettre à sécher son linge dehors, porter des lunettes de soleil afin de protéger la muqueuse oculaire. Lutter contre l ambroisie L ambroisie à feuilles d armoise (Ambrosia artemisiifolia) est une plante particulièrement allergisante. Cette adventice des cultures, originaire d Amérique du Nord, pousse dans les grandes cultures, les jachères et les parcelles en friches. L ambroisie est très présente dans le sud-est de la France (Rhône-Alpes, Auvergne ), où elle génère diverses pollinoses. Pour lutter à long terme contre les pollens, c est aussi au niveau des plantations qu il faut agir. Éviter de planter les plantes dont les pollens sont allergisants permet de prévenir les pollinoses. Le RNSA diffuse un guide d information Végétation en ville, destiné aux collectivités, afin de favoriser l utilisation de plantes non-allergisantes ( Le guide d information Végétation en ville du RNSA répertorie les plantes non-allergisantes pouvant remplacer celles qui émettent des pollens allergisants. Association Régionale pour la mesure de la Qualité de l'air en Poitou-Charentes Rue Fresnel Z.I. Périgny/ PERIGNY Cedex Tél Fax contact@atmo-poitou-charentes.org Directeur de publication : Alain Gazeau - Rédacteur en chef : Christelle Bellanger Conception et illustrations : "sans légende" Tél Document imprimé sur du papier certifié 1 % PEFC issu de forêts gérées durablement, avec des encres végétales et dans le respect de l écolabel imprim vert L'imprimerie Rochelaise, Le Nouvel R PEFC/ N ISSN ATMO Poitou-Charentes se dégage de toute responsabilité quant à l'exploitation ultérieure de ses données par un tiers. Elle rappelle que toute utilisation partielle ou totale de ses données doit faire mention de la source, à savoir : ATMO Poitou-Charentes.
Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes
ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193
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