DS n 6 PSI vendredi 25 mars / Physique Chimie PARTIE CHIMIE. Durée de cette partie chimie : 2 h CORRIGE
|
|
- Philippe Petit
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 DS n 6 PSI vendredi 25 mars / Physique Chimie PARTIE CHIMIE Durée de cette partie chimie : 2 h CORRIGE La présentation, la lisibilité, l'orthographe, la qualité de la rédaction, la clarté et la précision des raisonnements entreront pour une part importante dans l'appréciation des copies. En particulier, les résultats non justifiés ne seront pas pris en compte. Les candidats sont invités à encadrer les résultats de leurs calculs. Le sujet est composé de trois parties indépendantes qui peuvent être traitées dans l'ordre de leur choix par les candidats. Dans chaque partie, de nombreuses questions sont indépendantes. PREMIER EXERCICE e2a PC 2015 L OXYDE DE ZIRCONIUM 8 Pts Les céramiques : des matériaux traditionnels à l'énergie du futur Une céramique est un matériau contenant des substances essentiellement inorganiques et non métalliques, dont les propriétés proviennent d'un traitement en température. Ce sujet a pour but d'étudier principalement la chimie d'oxydes utilisés dans des applications céramiques haute performance et traditionnelles. Partie I- Les piles à combustibles à oxyde solide Le principe de la pile à combustible consiste à utiliser du dihydrogène pour stocker et transporter l'énergie. Une pile à combustible est un assemblage de cellules élémentaires, en nombre suffisant pour assurer la production électrochimique d'électricité dans les conditions de tension et d'intensité voulues. De façon générale, le fonctionnement électrochimique d'une cellule élémentaire de pile à combustible peut être représenté selon le schéma suivant : Page 1 sur 14
2 Chaque cellule élémentaire est constituée de deux compartiments disjoints alimentés chacun en gaz dihydrogène et dioxygène. Les électrodes sont séparées par un électrolyte solide qui laisse passer les anions oxygène. Les couples d'oxydoréduction mis en jeu dans la réaction sont : H + (aq) / H2(g) et O2(g) / H2O(l). I.1 - Généralités 1- A partir des informations du schéma, attribuer et justifier le choix de la cathode et de l'anode aux électrodes 1 et 2, ainsi que le sens de circulation des électrons. 0,5 Pt Le dihydrogène arrive par l électrode de gauche, il est oxydé en H2O : l électrode 1 est l anode. 0,5 Pt Le dioxygène arrive par l électrode de droite, il est réduit en H2O : l électrode 2 est la cathode. Nous pouvons donc compléter ainsi le schéma de la pile : 0,5 Pt e- e- > > Page 2 sur 14
3 2- Ecrire les demi- équations électroniques pour chaque couple mis en jeu, quand la pile débite. 0,5 Pt Le dihydrogène arrive par l électrode de gauche, il est oxydé en H2O : H2(g) = 2 H + (aq) + 2 e - 0,5 Pt Le dioxygène arrive par l électrode de droite, il est réduit en H2O : O2(g) + 4 H + (aq) + 4 e - = 2 H2O(l) 3- Le réactif qui est oxydé est appelé le combustible de la pile. Parmi les espèces chimiques présentes dans les couples, laquelle constitue le combustible? 0,5 Pt Le dihydrogène est le combustible, car c est lui qui est oxydé, Le dioxygène est le comburant. 4- En déduire l'équation de la réaction modélisant la transformation ayant lieu dans la cellule de réaction. 0,5 Pt Le bilan des deux demi- équations aux électrodes conduit à la réaction de synthèse de l eau : O2(g) + 2 H2(g) = 2 H2O(l) I.2 - L'électrolyte Les piles à combustible à oxyde solide permettent d'avoir en contact deux phases : solide et gazeuse, ce qui supprime les problèmes liés à la gestion de 3 phases, notamment la corrosion. Les électrodes sont poreuses de façon à permettre un transport rapide des gaz. Un matériau de choix pour l'électrolyte est l'oxyde de zirconium, appelé zircone, stabilisé à l'yttrium. 5- Le zirconium se situe dans la classification périodique dans la colonne du titane, directement en dessous de cet élément. Indiquer à quelle famille d'éléments appartient le zirconium. 0,5 Pt Le zirconium est un métal de transition, il appartient au bloc d. C est un métal de transition car il possède une sous- couche (n- 1)d partiellement remplie à l état atomique ou dans un de ses degrés d oxydation stables. 6- Indiquer la configuration électronique fondamentale du titane et celle du zirconium. La place dans le tableau périodique donne le numéro atomique car c est le numéro atomique qui est le critère de classement des éléments chimiques. 0,5 Pt Ainsi, pour le titane Z = 22 et sa configuration électronique fondamentale est : 1s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p 6 4s 2 3d 2 soit, en réordonnant les sous- couches par valeurs de n croissantes : 1s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p 6 3d 2 4s 2 1 Pt Pour le zirconium Z = 40 et sa configuration électronique fondamentale est : 1s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p 6 4s 2 3d 10 4p 6 5s 2 4d 2 soit, en réordonnant les sous- couches par valeurs de n croissantes : 1s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p 6 3d 10 4s 2 4p 6 4d 2 5s 2 Page 3 sur 14
4 Remarquons qu ils ont tous les deux la même configuration électronique externe : c est normal car ils sont dans la même colonne de la classification périodique. La zircone peut être assimilée à un cristal ionique formé de cations Zr 4+ et d'anions O 2- assimilés à des sphères dures de rayons respectifs r + et r -. Les cations sont distribués aux nœuds d'un réseau cubique face centrée cfc. Les anions occupent tous les sites tétraédriques de la maille cfc formée par les cations. 7- Déterminer le nombre d'anions O 2- contenus dans cette maille. 1 Pt Il y a 4 cations par maille dans cette structure cubique à faces centrées. Comme il y a 8 sites tétraédriques, situés au centre des 8 petits cubes inscrits, alors il y 8 ions O 2- par maille. 8- Indiquer alors la formule de la zircone. 1 Pt 4 ions Zr 4+ et 8 ions O 2- : c est bien électriquement neutre et la formule de la zircone est donc : Zr4O8 soit ZrO2 car nous précisons en fait la stoechiométrie. 9- Donner la coordinence d'un anion par rapport au cation, et des cations par rapport aux anions. 1 Pt Un anion de trouve au centre d un tétraèdre, donc il a 4 plus proches voisins de signes opposés. Un cation est commun à 8 petits cubes et il y a au centre de chacun un anion, donc la coordinence du cation est 8 : O 2- / Zr 4+ = [4] et Zr 4+ / O 2- = [8] Classification périodique (dans sa dernière version du 8 janvier 2016 ) : Page 4 sur 14
5 SECOND EXERCICE Banque PT 2015 UTILISATION DU MAGNÉSIUM 11 Pts Traité thermiquement entre C et C, l'oxyde de magnésium (magnésie) est particulièrement stable même à très haute température. Il trouve ses principales utilisations comme matériau réfractaire, résistant à très haute température et est aussi utilisé pour l'obtention industrielle du magnésium. Nous allons nous intéresser à la chimie du magnésium en solution aqueuse. Le diagramme potentiel- ph du magnésium est tracé dans l'annexe 1 pour une concentration de travail c!" = 1,0. 10!! mol. L!! à 25 C. 1- Définir les termes corrosion, immunité, passivation. Reproduire rapidement le diagramme potentiel- ph et indiquer dans quelle(s) zone(s) intervient chacun de ces phénomènes. 0,5 Pt IMMUNITÉ : le métal est stable thermodynamiquement dans cette zone d immunité, il n est pas oxydé et est stable. 0,5 Pt CORROSION : le métal est oxydé sous une forme ionique soluble. 1 Pt PASSIVATION : le métal est là aussi oxydé mais sous une forme solide : cette forme solide (souvent un oxyde) est adhérente, isolante, compacte, et protège le métal de toute oxydation ultérieure lorsque c est une forme solide dite «passivante». 1 Pt Voilà les différents domaines et les phénomènes que l on y observe : Corrosion Passivation Immunité 2- Déterminer le potentiel standard du couple Mg!! Mg d'après le diagramme potentiel- ph. 1 Pt D après la relation de Nernst, et le potentiel d électrode du diagramme : Mg e - = Mg(s) Page 5 sur 14
6 E = E (Mg 2+ /Mg) + 0,03.Log(ctr) Soit : - 2,42 = E (Mg 2+ /Mg) + 0,03.Log(1,0. 10!! ) - 2,42 = E (Mg 2+ /Mg) - 0,06 E (Mg 2+ /Mg) = - 2,42 + 0,06 1 Pt E (Mg 2+ /Mg) = - 2,36 V 3- Calculer le produit de solubilité K! de l'hydroxyde de magnésium Mg(OH)!. En ph = 9,5, le premier cristal de l hydroxyde Mg(OH)2(s) apparaît. Et à ce ph, comme c est le début de la précipitation, on peut dire que la concentration des ions Mg 2+ est encore la concentration de tracé. Alors : en ph = 9,5 : Mg(OH)2(s) = Mg HO - Ks Ks = [Mg 2+ ][ HO - ] 2 /c 3 0,5 Pt 0,5 Pt Et [Mg 2+ ] = c!! = 1,0. 10!! mol. L!! et [ HO - ] = KE/[H3O + ] = /10-9,5 = 10-4,5 D où : 1 Pt Ks = [Mg 2+ ][ HO - ] 2 /c 3 = 1, x (10-4,5 ) 2 = 1, pks = 11 Une canalisation en fonte (alliage à base de fer) est enterrée dans le sol. Pour la protéger de la corrosion on la relie à une électrode de magnésium, elle aussi enterrée. 4- Quel rôle joue l'électrode de magnésium : est- elle anode ou cathode? Pourquoi? Proposer une demi- équation pour la réaction électronique en milieu acide. 0,5 Pt Le magnésium joue le rôle de l anode. Le magnésium est plus réducteur que le fer et il va s oxyder, cédant ses 2 électrons de valence : 0,5 Pt Mg(s) = Mg e - 5- Comment nomme- t- on ce type de protection? 1 Pt C est une protection par anode sacrificielle, anode parce que le magnésium subit une oxydation et sacrificielle parce que cela entraine sa disparition, sa mort lente, résultat de «son sacrifice». 6- Exprimer la durée de vie t d'une électrode en fonction de sa masse m, de l'intensité du courant de protection I supposée constante, de la constante de Faraday F et de la masse molaire du magnésium. 2 Pt La durée de vie du magnésium correspond à la disparition totale de la masse m initiale. Durée de vie Δt telle que Q = I.Δt Page 6 sur 14
7 Et Q = ne-.f avec ne- = quantité de matière d électron Et d après la réaction électrochimique : Mg(s) = Mg e - nmg = ne- /2 d où m = nmg.m = ne- M/2 ne- = 2.m/M I.Δt = 2.m.F/M d où le résultat : Δt = 2.m.F/I.M Annexe 1 : Données utiles : Produit ionique de l eau : Ke = à 25 C : H2O(l) = H + (aq) + HO - (aq) Ln10.R.T/F = 0,06 V à 298 K TROISIEME EXERCICE Centrale MP Phys- Chimie ÉTUDE D UN ALLIAGE Ag- Cu 12 Pts L aluminium tient une place de choix dans la fabrication des pièces métalliques des avions en particulier sous forme d alliage. Dans les avions récents comme l A380, les alliages d aluminium représentent 75% de la masse de l avion vide. La sensibilité de ces alliages à la corrosion justifie le nombre élevé d études récentes dans les laboratoires de recherche, publics et privés. Page 7 sur 14
8 Ce problème s intéresse d une part à une méthode physique non destructive permettant de détecter des crevasses à l intérieur d une structure métallique et d autre part, à l alliage «2024» aluminium- cuivre utilisé dans la fabrication des avions. II Étude de l alliage 2024 II.A Souvenirs du concours blanc L alliage 2024 contient essentiellement de l aluminium et du cuivre à hauteur d environ 4%. La structure microscopique d un tel alliage n est pas homogène. L alliage présente une phase majoritaire dite α, dans laquelle les atomes de cuivre sont dispersés au sein d une matrice d aluminium. Entre les grains de phase α, on trouve une seconde phase dite β comme le montre la figure 12 : Intéressons aujourd hui à la corrosion : modélisation de la corrosion L hétérogénéité de l alliage 2024 entraîne l existence de contacts entre des zones riches en aluminium et des zones riches en cuivre. Ceci peut conduire à une corrosion localisée susceptible de créer des micro- cavités au sein de la structure métallique de l avion. Pour étudier ce phénomène, des chercheurs ont élaboré un matériau modèle, représenté dans la figure 16, formé de deux cylindres concentriques l un en aluminium et l autre en cuivre. Figure 16 Coupe du matériau binaire cuivre- aluminium Après 24 heures d immersion dans une solution aqueuse adaptée, ce matériau fait apparaître une micro- crevasse, signe d une dissolution locale de métal, et un dépôt de cuivre à la surface de l aluminium (voir figure 17). Page 8 sur 14
9 Figure 17 État du matériau avant (A) et après (B) immersion pendant 24 h L objectif de cette sous- partie est de rendre compte d un mécanisme probable pour ce phénomène. Le mécanisme proposé par les chercheurs a été schématisé dans la figure 18. Figure 18 Mécanisme de corrosion localisée de l aluminium On admet par analogie que la surface du cuivre est recouverte d une couche d oxyde de cuivre(i), Cu2O(s) et que l aluminium est recouvert d une couche d oxyde d aluminium(iii), Al2O3(s). 1) Corrosion galvanique Les courbes courant- potentiel limitées aux portions mettant en jeu les espèces présentes dans le milieu (Cu(s), Al(s), H2O(l) et O2 (aq)) ont été représentées figure Ces courbes permettent- elles de justifier la corrosion de l aluminium? Si oui, identifier le métal jouant le rôle d anode et celui jouant le rôle de cathode. 0,5 Pt D après les courbes intensité- potentiel tracées, la réduction du dioxygène peut avoir lieu avec une vitesse notable, en même temps que l oxydation de l aluminium. On peut placer le potentiel de corrosion et remarquer que l intensité de ce courant de corrosion est assez importante. Page 9 sur 14
10 icorr Ecorr 0,5 Pt L aluminium joue le rôle de l anode, 0,5 Pt Le cuivre joue le rôle de la cathode. 2) Dissolution de l oxyde de cuivre(i) On admet que la formation d ions Al 3+ dans la crevasse entraîne une acidification locale du milieu. Par ailleurs, le caractère confiné de la zone empêche toute modération de l acidification par la migration de bases issues de l extérieur de la cavité. 2- Écrire l équation de la réaction d oxydo- réduction mettant en jeu les couples Cu 2+ /Cu2O et O2 (aq)/h2o. 0,5 Pt Couple Cu 2+ /Cu2O : 2 Cu e - + H2O = Cu2O + 2 H + 0,5 Pt Couple O2 (aq)/h2o : O2 (aq) + 4 e H + = 2 H2O Ainsi, l on peut observer la réaction d oxydoréduction suivante : 1 Pt O2 (aq) + 2 Cu2O + 8 H + = 4 H2O + 4 Cu En déduire que l acidification locale du milieu rend favorable la formation des ions Cu 2+. 0,5 Pt Dans l équation de la réaction d oxydoréduction, les ions H + sont consommés et apparaissent comme l un des réactifs de la réaction : l acidification du milieu est donc favorable à la formation des ions Cu 2+. Page 10 sur 14
11 Figure 19 Courbes courant- potentiel Figure 20 Courbes courant- potentiel 3) Redéposition du cuivre 4- Les portions de courbes courant- potentiel associées aux espèces présentes sont reproduites figure 20. Justifier le dépôt de cuivre à la surface de l aluminium. 0,5 Pt Nous voyons d après les courbes intensité- potentiel que les ions Cu 2+ peuvent être réduits par l aluminium : cette réaction est thermodynamiquement possible et elle a lieu avec une vitesse importante (I grand). 4) Protection contre la corrosion La couche d alumine Al2O3 constitue une barrière naturelle contre la corrosion mais il est d usage d augmenter son épaisseur au moyen d une électrolyse pour en améliorer l efficacité. La figure 21 reproduit la courbe courant surfacique (I) potentiel (E) acquise avec une électrode de travail en aluminium plongeant dans une solution conductrice. Page 11 sur 14
12 Figure 21 Courbes courant- potentiel avec une électrode de travail en aluminium 5- Expliquer ce qui se produit à la surface de l aluminium lors des phases (a) et (b). 0,5 Pt Durant la phase a), l aluminium est corrodé : c est la corrosion de l aluminium en Al 3+. 0,5 Pt Durant la phase b), l aluminium est passivé : c est la passivation, Al(s) se recouvre d un film passivant d alumine Al2O3(s). 6- Proposer une explication au fait que l intensité reste très faible lors de la phase (c). 0,5 Pt Le film passivant, compact et isolant, protège l aluminium, l isole et ne permet pas son oxydation. 7- Lors de l électrolyse, à quelle borne d un générateur continu faut- il brancher la pièce en aluminium afin d augmenter le dépôt d alumine Al2O3? Justifier au moyen d un schéma électrique. 0,5 Pt Pour augmenter l épaisseur du dépôt, il faut oxyder l aluminium donc il faut brancher la pièce en aluminium à la borne +. Le schéma électrique est celui- ci : 1,5 Pt Page 12 sur 14
13 8- En fixant le potentiel de l électrode d aluminium à 0,25 V par rapport à l électrode de référence, déterminer l ordre de grandeur de l épaisseur de la couche d alumine obtenue au bout d une heure de fonctionnement. Si E est voisin de - 0,25 V par rapport à l électrode de référence, alors : 0,5 Pt I = 150 µa.cm - 2. ATTENTION : L auteur note I l intensité SURFACIQUE, soit la densité de courant. Nous noterons i le courant avec : i = I.S Pendant Δt = 1 h = 3600 s, la quantité d électricité Q qui circule est : Q = i. Δt = ne-.f Et la réaction électrochimique est : 1 Pt 2Al(s) + 3 H2O = Al2O3(s) + 6 H e - Ainsi, la quantité de matière d alumine déposée est égale à 1/6 ème de celle d électron : 0,5 Pt n(al2o3) = ne- /6 = i. Δt /6F m(al2o3) = (i. Δt /6F).M(Al2O3) (i. Δt /6F).M(Al2O3) = d.ρeau.s. l et m(al2o3) = d.ρeau.v = d.ρeau.s.l l = épaisseur du dépôt comme i : I.S (I.S. Δt /6F).M(Al2O3) = d.ρeau.s. l (I.S. Δt /6F).M(Al2O3) = d.ρeau.s. l (I. Δt /6F).M(Al2O3) = d.ρeau. l 0,5 Pt l = I. Δt.M(Al2O3)/(6F.d.ρ eau) A.N : Page 13 sur 14
14 I = 150 µa.cm - 2 = µa.m - 2 = A.m - 2 Δt = 3600 s M(Al2O3) = kg.mol - 1 F = C.mol - 1 d = 4 ρeau = 1000 kg.m - 3 l =!"#.!"!!.!"!!"#$$!!"#.!"!!!!!"#$$!!!!""" m l = 2, m soit 2, m = 0, m 1,5 Pt l = 0,24 µm. Données : Constante de Faraday : F = C.mol - 1 Densité de l aluminium : d = 4,0 Masse molaire de Al : 27 g.mol - 1 et masse molaire de O : 16 g.mol - 1 Page 14 sur 14
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailPhysique : Thermodynamique
Correction du Devoir urveillé n o 8 Physique : hermodynamique I Cycle moteur [Véto 200] Cf Cours : C P m C V m R relation de Mayer, pour un GP. C P m γr γ 29, 0 J.K.mol et C V m R γ 20, 78 J.K.mol. 2 Une
Plus en détailLABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage
LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailBAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures 30
Terminales S1, S2, S3 2010 Vendredi 29 janvier BAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES Durée : 3 heures 30 Toutes les réponses doivent être correctement rédigées et justifiées. Chaque exercice sera traité sur une
Plus en détailU-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES
Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie
Plus en détailPrincipe de fonctionnement des batteries au lithium
Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailCapacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)
apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé
Plus en détailProduction d hydrogène par électrolyse de l eau sur membrane acide
17 Production d hydrogène par électrolyse de l eau sur membrane acide PIERRE MILLET Ingénieur de l'école nationale supérieure d'électrochimie et d'électrométallurgie de Grenoble Pour beaucoup d'entre nous,
Plus en détailREACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION
CHIMIE 2 e OS - 2008/2009 : Cours et exercices -19- CHAPITRE 5 : REACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION Chacun d entre nous a déjà observé l apparition de rouille sur un objet en fer, ou de «vert-degris»
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailCORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE
Thème : L eau CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 Domaine : Eau et énergie CORRIGE 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE 2.1. Enoncé L'alimentation électrique d'une navette spatiale
Plus en détailTP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie
Nom : Prénom: n groupe: TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Consignes de sécurité de base: Porter une blouse en coton, pas de nu-pieds Porter des lunettes, des gants (en fonction des espèces
Plus en détailNotes. Schéma général PRODUCTION ÉLECTROLYTIQUE Composés inorganiques, nonmétaux
XXXX C25 PROCÉDÉS ÉLECTROLYTIQUES OU ÉLECTROPHORÉTIQUES; APPAREILLAGES À CET EFFET (électrodialyse, électro-osmose, séparation de liquides par l électricité B01D; usinage du métal par action d une forte
Plus en détailEnseignement secondaire
Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3
Plus en détailBrochure d information pour le patient
Brochure d information pour le patient Des dents «tout céramique» qui vous donneront un sourire éclatant! Le matériau «zircone» : n La zircone est une céramique hautes performances utilisée, entre autres,
Plus en détailExercices sur le thème II : Les savons
Fiche d'exercices Elève pour la classe de Terminale SMS page 1 Exercices sur le thème : Les savons EXERCICE 1. 1. L oléine, composé le plus important de l huile d olive, est le triglycéride de l acide
Plus en détailPhysique Chimie. Quelques aspects de la physique et de la chimie du piano
Physique Chimie PSI 4 heures Calculatrices autorisées Quelques aspects de la physique et de la chimie du piano 2013 e piano est un instrument de musique à cordes frappées inventé par l italien Bartolomeo
Plus en détailL École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I
L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie
Plus en détailMesures calorimétriques
TP N 11 Mesures calorimétriques - page 51 - - T.P. N 11 - Ce document rassemble plusieurs mesures qui vont faire l'objet de quatre séances de travaux pratiques. La quasi totalité de ces manipulations utilisent
Plus en détailPrincipe de la corrosion galvanique :
Préconisations d installation d un ballon d ECS face à la corrosion galvanique Des questions reviennent fréquemment sur le forum de l APPER concernant la corrosion, les couples galvaniques, les cuves ballons
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailSéquence 6. Les piles électriques et l énergie chimique. Fabriquons et utilisons une pile de Volta
Sommaire Les piles électriques et l énergie chimique Séance 1 Comment Volta a-t-il inventé la première pile électrique? Séance 2 Fabriquons et utilisons une pile de Volta 1 Fabriquons la pile 2 Utilisons
Plus en détailL ÉLECTROCUTION Intensité Durée Perception des effets 0,5 à 1 ma. Seuil de perception suivant l'état de la peau 8 ma
TP THÈME LUMIÈRES ARTIFICIELLES 1STD2A CHAP.VI. INSTALLATION D ÉCLAIRAGE ÉLECTRIQUE SÉCURISÉE I. RISQUES D UNE ÉLECTROCUTION TP M 02 C PAGE 1 / 4 Courant Effets électriques 0,5 ma Seuil de perception -
Plus en détailTS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée
TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée EXERCICE I : PRINCIPE D UNE MINUTERIE (5,5 points) A. ÉTUDE THÉORIQUE D'UN DIPÔLE RC SOUMIS À UN ÉCHELON DE TENSION.
Plus en détailTitre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet
Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet A Introduction : ) Définitions : Titre Alcalimétrique (T.A.) : F m / L T.A. T.A.C. Définition : C'est le volume d'acide (exprimé en ml) à 0,0 mol.l
Plus en détailChoix multiples : Inscrire la lettre correspondant à la bonne réponse sur le tiret. (10 pts)
SNC1D test d électricité Nom : Connaissance et Habiletés de la pensée compréhension (CC) (HP) Communication (Com) Mise en application (MA) 35 % 30 % 15 % 20 % /42 /31 grille /19 Dans tout le test, les
Plus en détailSynthèse et propriétés des savons.
Synthèse et propriétés des savons. Objectifs: Réaliser la synthèse d'un savon mise en évidence de quelques propriétés des savons. I Introduction: 1. Présentation des savons: a) Composition des savons.
Plus en détail*EP001039352A1* EP 1 039 352 A1 (19) (11) EP 1 039 352 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 27.09.2000 Bulletin 2000/39
(19) Europäisches Patentamt European Patent Office Office européen des brevets *EP001039352A1* (11) EP 1 039 352 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 27.09.2000 Bulletin 2000/39
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailSite : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 2003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ
Site : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ LE JUS E FRUIT 35(0,Ê5(3$57,(%LRFKLPLHSRLQWV L'analyse d'un jus de fruit révèle la présence d'un composé
Plus en détailDISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert
DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions
Plus en détailDr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch
1 L UTILISATION DU PLOMB EN DENTISTERIE : MYTHE OU REALITE Dr Berdj HAROUTUNIAN, Genève Le plomb ne devrait en principe pas être utilisé en dentisterie car il n est pas considéré comme un oligo-élément
Plus en détailDéfi 1 Qu est-ce que l électricité statique?
Défi 1 Qu estce que l électricité statique? Frotte un ballon de baudruche contre la laine ou tes cheveux et approchele des morceaux de papier. Décris ce que tu constates : Fiche professeur Après avoir
Plus en détailFiche de révisions sur les acides et les bases
Fiche de révisions sur les s et les s A Définitions : : espèce chimique capable de libérer un (ou plusieurs proton (s. : espèce chimique capable de capter un (ou plusieurs proton (s. Attention! Dans une
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailMatériel de laboratoire
Matériel de laboratoire MATERIAUX UTILISE... 1 L'APPAREILLAGE DE LABORATOIRE... 1 a) Les récipients à réaction... 2 b) La verrerie Graduée... 2 MATERIEL DE FILTRATION... 6 FILTRATION SOUS VIDE AVEC UN
Plus en détailCours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie
Cours d électricité Introduction Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Le terme électricité provient du grec ἤλεκτρον
Plus en détailbiocer - système d implant dentaire
i n f o r m a t i o n s p r o d u i t s biocer - - implants dentaires combinés et concepts de butées en matériaux biologiquement fiables. Le dispositif exceptionnel des surfaces cerid - sont la conception
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome
PHYSIQUE-CHIMIE Ce sujet traite de quelques propriétés de l aluminium et de leurs applications. Certaines données fondamentales sont regroupées à la fin du texte. Partie I - Propriétés de l atome I.A -
Plus en détailPhysique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,
Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence
Plus en détailPhysique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques
C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme
Plus en détailContribution des faisceaux d ions à l élaboration de dispositifs pour l électronique souple
Comité National Français de Radioélectricité Scientifique Section française de l Union Radio Scientifique Internationale Siège social : Académie des Sciences, Quai de Conti Paris Journées scientifiques
Plus en détailExemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale
Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale 1 Table des matières Page 1 : Binaire liquide-vapeur isotherme et isobare Page 2 : Page 3 : Page 4 : Page 5 : Page 6 : intéressant facile facile sauf
Plus en détailBICNanoCat. Bombardement Ionique pour la Création de Nano Catalyseurs. Denis Busardo Directeur Scientifique, Quertech
BICNanoCat Bombardement Ionique pour la Création de Nano Catalyseurs Denis Busardo Directeur Scientifique, Quertech ANR BICNanoCat DAS Concerné : Énergie Environnement Appel à projets : réduction des émissions
Plus en détailPlan du chapitre «Milieux diélectriques»
Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation
Plus en détailcontributions Les multiples de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores
Les multiples contributions de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores Jean-Charles Flores est spécialiste de l électronique organique au sein de la société BASF
Plus en détailSECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène
SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles
Plus en détailGENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE
Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3
Plus en détailMéthodes de Caractérisation des Matériaux. Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/
Méthodes de Caractérisation des Matériaux Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/ 1. Symboles standards et grandeurs électriques 3 2. Le courant électrique 4 3. La résistance électrique 4 4. Le
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailDM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique
DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite
Plus en détailDYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES
A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,
Plus en détailMODELE DE PRESENTATION DU PROJET
MODELE DE PRESENTATION DU PROJET SITUATION ACTUELLE DU PROJET: Intitulé du PNR Code du Projet (Réservé à l administration) SCIENCES FONDAMENTALES Nouveau projet : Projet reformule: 1.1. Domiciliation du
Plus en détailLes solutions. Chapitre 2 - Modèle. 1 Définitions sur les solutions. 2 Concentration massique d une solution. 3 Dilution d une solution
Chapitre 2 - Modèle Les solutions 1 Définitions sur les solutions 1.1 Définition d une solution : Une solution est le mélange homogène et liquide d au moins deux espèces chimiques : Le soluté : c est une
Plus en détail1. GES 5 : Production de céramiques pour l'électronique et de céramiques à fonctionnement thermique contenant du Ni
1. GES 5 : Production de céramiques pour l'électronique et de céramiques à fonctionnement thermique contenant du Ni Cycle de vie Utilisation finale DU de NiO Titre libre et court Production de céramiques
Plus en détailK W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détailBREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES SUJET
SESSION 2010 France métropolitaine Option : élevage canin et félin BREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES ÉPREUVE E DU DEUXIÈME GROUPE Durée : 2 heures Matériel(s) et document(s) autorisé(s) : Calculatrice
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailMetrohm. ph-mètre 780 ph-/ionomètre 781. Un nouveau concept qui fait référence. Analyse des ions
Metrohm Analyse des ions ph-mètre 780 ph-/ionomètre 781 Un nouveau concept qui fait référence Des fonctions multiples faciles à utiliser Le ph-mètre 780 et le ph-/ionomètre 781 associent la qualité Metrohm
Plus en détailLA ZIRCONE - INFORMATION POUR LE PRATICIEN. La réalité sur ce matériau - questions pratiques et leurs réponses FRANÇAIS
LA ZIRCONE - INFORMATION POUR LE PRATICIEN La réalité sur ce matériau - questions pratiques et leurs réponses FRANÇAIS Zr La zircone et ses possibilités 2 La zircone et ses possibilités Qu est ce que la
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailSartorius DocuClip & Docu-pH Meter. La nouvelle référence pour des analyses électrochimiques sûres
Sartorius DocuClip & Docu-pH Meter La nouvelle référence pour des analyses électrochimiques sûres Docu-pH Meter Une base solide pour des résultats sûrs La sécurité commence par un fonctionnement facile
Plus en détailAccumulateurs portables
Accumulateurs portables par Georges CAILLON Ingénieur de l École Supérieure de Physique et de Chimie Industrielles de la ville de Paris (ESPCI) Ingénieur de Recherche et Développement Société SAFT 1. Principe
Plus en détailPerrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6
Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire
Plus en détailSéquence 5 Réaction chimique par échange de protons et contrôle de la qualité par dosage
Séquence 5 Réaction chimique par échange de protons et contrôle de la qualité par dosage Problématique La séquence 5, qui comporte deux parties distinctes, mais non indépendantes, traite de la réaction
Plus en détail4. Conditionnement et conservation de l échantillon
1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage
PHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage I) Qu'est-ce qu'un savon et comment le fabrique-t-on? D'après épreuve BAC Liban 2005 Physique-Chimie dans la cuisine Chapitre 3 1/6 1- En vous
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUES D INTRODUCTION À L ÉTUDE DES RÉACTIONS ÉLECTROCHIMIQUES
Elèves-Ingénieurs en Sciences et Génie des Matériaux 2ème année TRAVAUX PRATIQUES D INTRODUCTION À L ÉTUDE DES RÉACTIONS ÉLECTROCHIMIQUES G. BARRAL B. LE GORREC C. MONTELLA (UJF) (IUT 1) (ISTG) GRENOBLE
Plus en détailU NIVERSITÉ M ONTPELLIER II SCIENCES ET TECHNIQUES DU LANGUEDOC THÈSE. pour obtenir le grade de. Docteur de l'université Montpellier II
U NIVERSITÉ M ONTPELLIER II SCIENCES ET TECHNIQUES DU LANGUEDOC THÈSE pour obtenir le grade de Docteur de l'université Montpellier II Discipline : ÉLECTRONIQUE, OPTRONIQUE et SYSTÈMES Formation Doctorale
Plus en détailFICHE 1 Fiche à destination des enseignants
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 8 (b) Un entretien d embauche autour de l eau de Dakin Type d'activité Activité expérimentale avec démarche d investigation Dans cette version, l élève est
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailLA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E
LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON Sylvain BERNHARD - Marion DESRAY - A L G A D E Membre de l UPRAD, Union Nationale des Professionnels du Radon LES EXPOSITIONS PROFESSIONNELLES
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailLe monde nano et ses perspectives très prometteuses.
Le monde nano et ses perspectives très prometteuses. I/ Présentation du monde nano. Vidéo «Science Suisse : Christian Schönenberger, nano-physicien», 12 min. «Christian Schönenberger conduit le Swiss Nanoscience
Plus en détailCONCOURS COMMUN 2010 PHYSIQUE
CONCOUS COMMUN SUJET A DES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES Épreuve de Physique-Chimie (toutes filières) Corrigé Barème total points : Physique points - Chimie 68 points PHYSIQUE Partie A :
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détaileedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7
eedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7 I- ETUDE D UNE PHOTOGRAPHIE DE YANN ARTHUS-BERTRAND : Stockage d ordures dans la périphérie de Saint-Domingue en République dominicaine au cœur des Caraïbes Légende
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détailSP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution :
SP. 3 Concentration molaire exercices Savoir son cours Concentrations : Calculer les concentrations molaires en soluté apporté des solutions désinfectantes suivantes : a) Une solution de 2,0 L contenant
Plus en détailThermodynamique (Échange thermique)
Thermodynamique (Échange thermique) Introduction : Cette activité est mise en ligne sur le site du CNRMAO avec l autorisation de la société ERM Automatismes Industriels, détentrice des droits de publication
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailAPPLICATIONS DE L'IMPLANTATION IONIQUE POUR LE BIOMEDICAL
Ion Beam Services ZI Peynier / Rousset Rue G. Imbert Prolongée 13790 Peynier, France Tel. : +33 4 42 53 89 53 Fax : + 33 4 42 53 89 59 Email : frank.torregrosa@ion-beam-services.fr APPLICATIONS DE L'IMPLANTATION
Plus en détailDe la pure technologie allemande!
De la pure technologie allemande! sommaire WIELAND Dental+Technik...p. 4 L innovation, le moteur de notre croissance...p. 5 Division «Dentaire» L or, une de nos grandes spécialités...p. 7 Des céramiques
Plus en détailLa gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche
La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine
Plus en détailLES GENERATEURS ELECTROCHIMIQUES Energie, Puissance et Technologie
EPREUVE COMMUNE DE TIPE 2006 partie D 5 TITRE : LES GENERATEURS ELECTROCHIMIQUES Energie, Puissance et Technologie 10 Temps de préparation : 2 h 15 Temps de présentation devant le jury : 10 minutes Entretien
Plus en détailFiveGo. FiveGo Appareils portables ph mv / Redox Conductivité TDS Teneur en sel Oxygène dissous. Economique & fiable L accès mobile au monde du ph
FiveGo FiveGo Appareils portables ph mv / Redox Conductivité TDS Teneur en sel Oxygène dissous Economique & fiable L accès mobile au monde du ph FiveGo 5 x 5 arguments pour FiveGo ph, conductivité et oxygène
Plus en détaildental dialogue Tirage à part Qu est-ce qui fait l efficience d une sableuse? Dr. Gisela Peters Présenté par: Idées pour la technique dentaire
dental dialogue Présenté par: Idées pour la technique dentaire Le Journal International de la Technique Dentaire Tirage à part Qu est-ce qui fait l efficience d une sableuse Dr. Gisela Peters GmbH Industriegebiet
Plus en détailÉlaboration et caractérisation de cellules photovoltaïques de troisième génération à colorant (DSSC)
Faculté Polytechnique Élaboration et caractérisation de cellules photovoltaïques de troisième génération à colorant (DSSC) Prof. André DECROLY Dr Abdoul Fatah KANTA andre.decroly@umons.ac.be Service de
Plus en détailEtude de la réduction électrochimique d oxydes d actinides en milieu sels fondus
Etude de la réduction électrochimique d oxydes d actinides en milieu sels fondus Benoît Claux To cite this version: Benoît Claux. Etude de la réduction électrochimique d oxydes d actinides en milieu sels
Plus en détail