L activité des enseignants et des élèves en classe d EPS : éclairages des approches de l action située
|
|
- Chantal André
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L activité des enseignants et des élèves en classe d EPS : éclairages des approches de l action située Nathalie Gal-Petitfaux, Dijon, janvier 2007 Références J.Guérin, S.Testevuide, C.Roncin, Les effets des aménagements des «situations-jeu» en tennis de table sur l activité d un élève en cours d éducation physique, in Revue STAPS n 69, J.Saury, L.Ria, N.Gal-Petitfaux, Action ou cognition située : enjeux scientifiques et intérêts pour l'enseignement en EPS, in Revue EPS n 321, N.Gal-Petitfaux, J.Saury, Analyse de l'agir professionnel en éducation physique et en sport dans une perspective d'anthropologie cognitive, in Revue Française de Pédagogie n 138, Introduction L action située fait partie du paradigme écologique. C est une théorie qui permet de porter un regard sur un phénomène : l action. Elle nous permet d étudier quelque chose qu on appelle l action. L EPS est un lieu où s accomplissent des actions. L enseignant agit en enseignant et l élève agit en apprenant. La focale d analyse est l action. Les présupposés valent pour n importe quel type d activité : l apprentissage, l enseignement, l entraînement, ou une autre activité professionnelle. Ce qui est considéré, ce sont des acteurs qui sont en situation d agir. Si c est l enseignant qui est étudié la focale est sur l action de l enseignant en situation de travail en classe. Si c est l élève qui est étudié la focale est sur l action de l élève en situation d apprentissage. Dès qu il y a une action, il y a accomplissement dans un contexte particulier. Il y a un acteur, un contexte (la situation), et une action. L action située vient d un regroupement de deux traditions théoriques : 1. Une tradition sociologique et anthropologique (Suchman, 1987) : étude des relations contexte / action individuelle et sociale «chaque cours d action dépend de façon essentielle des circonstances sociales et l organisation de l action est conçue comme un système émergeant in situ de la dynamique des interactions» (Conein et Jacopin, 1994). Toutes les actions sont liées au contexte (avec ses propriétés particulières). Il n y a pas un sujet de manière objective et un contexte de manière objective. Ces deux entités ne se définissent que par l intermédiaire d un couplage. Le contexte ne prend une réalité pour le sujet qu en fonction des significations que lui donne le sujet. Couplage = l un ne peut se définir sans l autre. 2. Une tradition psychologique et de l intelligence artificielle : étude des relations contexte / cognition. L accent est mis sur le caractère distribué de la cognition et sur la singularité des raisonnements pratiques (Hutchins, 1995; Norman, 1993).
2 Exemple : situation de cours (connaissances) examen échec. Pourquoi? Parce que les deux contextes sont différents. C est la même chose entre une situation d apprentissage et une situation de production de performance. L action située fait l étude des relations entre une action, une cognition, et un contexte il y a couplage entre les trois. L action ou la cognition située est un paradigme. Le paradigme est plus large que la théorie car plusieurs théories peuvent être regroupées autour d un paradigme (paradigme plusieurs théories plusieurs modèles). Le paradigme est une idée centrale qui va structurer la manière dont les chercheurs pensent et proposent des théories (autre exemple de paradigme = cognitivisme, qui se décline en plusieurs théories : la psychologie cognitive, les neurosciences ; autres exemple de paradigme = le comportementalisme, auquel appartient la théorie du conditionnement ou le béhaviorisme ). Les présupposés théoriques (= postulats) 1. L activité émerge d un couplage dynamique sujet / contexte. La notion de couplage suppose un engagement du sujet dans une situation (le sujet n est pas posé dans la situation mais il manifeste un engagement, il est engagé dans un contexte.) En retour, par cette action, la situation prend une réalité pour le sujet. La notion d interaction est une notion trop faible, trop floue, trop molle. La notion de dynamique suppose que le couplage change constamment = l action évolue et se transforme (cours d action). Il y a modification permanente de l action en fonction du couplage qui change constamment. Toute action humaine n est que développement dans le temps on ne peut regarder l action des élèves que dans sa dynamique. Il faut regarder le déroulement des actions des élèves pour comprendre les actions l apprentissage est située dans une temporalité. 2. L activité est incarnée. Il y a également un accomplissement pratique. Agir, c est viser une transformation de la situation avec laquelle on interagit (= provoquer, empêcher, arrêter une action). Il y a un engagement corporel. La théorie de l action située réhabilite l importance du corps dans la situation (même lorsque l action n est que verbale). Cela met donc au premier plan la sensorimotricité (comportements, postures, gestes), mais aussi les perceptions, et les émotions. La perception est engagée dans toute action humaine parce qu elle est corporelle (et pas seulement les actions sportives). Exemple : quand on parle avec quelqu un, il n y a pas que la parole la posture, le regard changent l engagement dans la situation et changent aussi la transformation produite sur autrui. Il y a toujours une tonalité émotionnelle. Il n y a pas d action qui ne soit marquée émotionnellement. Toute action est portée par des affects. 3. L activité est liée à la signification que le sujet attribue à la situation au moment où il la vit. La planification d une action ne suffit pas pour comprendre l activité réelle = elle est insuffisante pour expliquer ce qui se
3 passe. Ce qui organise fondamentalement l action, c est la signification attribuée à ce qu on est en train de faire ou de voir au fur et à mesure des actions. Tout ce que je fais est fonction des interprétations subjectives (= significations que je donne à la situation). C est le décours des actions qui structure les nouvelles actions. La notion de signification ne peut être provoquée, elle fait partie de l autonomie des êtres humains = on ne peut pas prescrire les interprétations subjectives. Toute action est une construction de sens subjectif par celui qui fait cette action (concept clé de l anthropologie). Selon Varela, l enaction est l émergence du sens pendant l action (couplage action / cognition). L enaction est la signification que chacun de nous attribue à ce qu il est en train de faire au moment où il le fait. On ne peut pas prescrire complètement l action des personnes dans la situation qu ils vivent car il existe une autonomie de ces personnes. Il y a toujours une marge de liberté qui n est pas contrôlable. Un même événement est vécu et interprété par les gens de manière différente. Un lieu d enseignement est un lieu où l on cherche à orienter les interprétations vers la bonne réponse. Comment amène-t-on alors des individus différents à interpréter la situation de façon identique? Est-ce qu on peut prescrire l action des élèves? La prescription est quand même nécessaire même si les interprétations vont être différentes. Les connaissances sur lesquelles on s appuie pour agir sont celles qui vont in situ servir l action. Ces connaissances sont «situées», contextualisées. Ce qui est premier, c est l action, et c est en fonction de l action que nos connaissances sont mobilisées ( mobilisation des connaissances STAPS sur le terrain?). 4. L activité et la situation se co-déterminent. La situation est constitutive de l activité : L action est en partie co-déterminée par la situation. La situation et porteuse de ressources (artefacts) pour l action. (ce qui ne veut pas dire que le sujet exploite les ressources). L usage des ressources dépend des intentions d action du moment (il n y a pas de ressource exploitée indépendamment des intentions du sujet). La notion d intention correspond aux orientations du sujet au moment où il est en train de faire (la notion de but est plutôt emprunte à la psychologie cognitive et précède l action). 5. L activité individuelle est inscrite dans une culture. Si on s arrêtait là, on pourrait conclure qu il n y a que des significations, des modes personnels, des micro-mondes. Si on s arrêtait là, la vie sociale serait impossible. Il faut dépasser le niveau du singulier, du particulier pour considérer qu il y a quelque chose qui est partagé et qui permet de fonder une culture et la vie sociale. Il faut un minimum de coordination des actions et des interprétations pour que la vie communautaire soit viable. Sinon, c est le chaos. L activité individuelle exprime les traits d une culture, d une communauté de pratique. Au-delà de ce qu il y a de personnel, il y a quelque chose de commun permettant d obtenir un minimum de cohésion sociale (ce qui n est pas toujours le cas dans une classe d EPS). Il y a des propriétés de typicalité au-delà de la singularité. Dans tout
4 groupe il y a des aspects partagés. On ne peut pas envisager l action individuelle sans considérer le groupe dans lequel il agit. Le collectif a un poids sur ce qui s apprend. Il n y a pas d action individuelle indépendamment du collectif. Les élèves apprennent dans une situation sociale à partir des normes construites par le groupe. En même temps qu ils apprennent du moteur, ils apprennent du social. La prescription scolaire est donc négociée selon les normes du groupe. Si on ne regarde l apprentissage qu au regard de la tâche prescrite, on passe à côté de l essentiel. La question du collectif et des normes est très importante. C est difficile car ces normes ne sont pas déclarées mais incorporées. Exemples d études Le guidage des apprentissages lors des situations de nage en «file indienne» (= format pédagogique, c'est-à-dire dispositif d organisation) Questions : 1. Quelles sont les formes d enseignement typiques qui caractérisent la professionnalité des enseignants experts dans l enseignement de la natation? 2. Quelles connaissances en natation sont transmises par l enseignant? Quelles sont les conditions contextuelles de transmission? 3. Quel est le rôle du dispositif d organisation spatiale «file indienne»? Quelles sont les compétences de l enseignant dans l utilisation du dispositif? Idée sous-jacente = il y a une expertise dans l exploitation des ressources de l environnement. Résultats : l activité de l enseignant peut être analysée en termes d interventions typiques. Il existe en effet des mêmes façons de faire, au sein de la leçon. L observation montre qu il y a des séquences où les comportements d intervention (verbaux, non-verbaux) sont les mêmes. Rappel des présupposés théoriques : tout comportement prend un sens pour celui qui le produit. Dans toute action, il y a du comportement et du sens. Quelle signification le sujet attribue à ses comportements au moment où il les produit? Deux focales donc : Quels sont les comportements? Quelles significations cela a pour les acteurs? Quelles intentions et interprétations ils ont et quels indices ils cherchent dans la situation? L étude a montré trois grands types d intervention (= façons de se comporter différentes et sens attribué différent) : flash, suivi et par arrêt. 1. Mode flash = façon de faire typiquement marquée où l enseignant se place au milieu avec des interventions très courtes. But = surtout conserver le contrôle de la classe. 2. Mode suivi = corrections verbales pendant out le temps où l élève se déplace. Il ne lâche pas l élève tant que les consignes ne sont pas appliquées et il valide la transformation. La préoccupation principale de l enseignant est ici d amener l élève à changer sa conduite et faire apprendre. L enseignant adopte ce style de guidage quand la classe tourne ou quand les élèves rencontrent une difficulté un peu plus importante.
5 3. Mode arrêt = l enseignant attend un élève en bout de ligne et provoque un arrêt. L intention est de s occuper d un élève en particulier en le sortant de l effervescence de la file indienne pour expliquer, reprendre les bases, et prendre le temps de lui faire analyser son action. Il fait cela quand un élève rencontre une difficulté majeure (défaut de base). Conclusion : Les formes de guidage dans les apprentissages en natation changent. Il y a trois formes récurrentes typiques d intervention. Chacune d elle est fortement contextualisée et dépend de la situation du moment, notamment le degré de gravité du problème que les enseignants jugent chez les élèves. Ils sont capables de hiérarchiser et catégoriser le niveau des problèmes moteurs repérés chez les élèves (= ils repèrent des priorités chez les élèves in situ). Ils sont capables d apprécier le seuil d engagement de la classe dans le travail. L expert exploite le dispositif spatial (défilé des élèves, intervalles, fenêtres de communication) pour optimiser son intervention : Saisir les opportunités de passage, Ajuster les consignes (durée, contenu, lieu d émission), Il sait se placer et placer sa voix pour «atteindre» les élèves. Retour à la théorie : les connaissances professionnelles des enseignants sont incorporées = mise en jeu du corps dans la relation pédagogique. Il y a un usage corporel de l espace (la file indienne comme artéfact). Les contenus d enseignement sont toujours contextualisés. C'est-à-dire que la relation pédagogique et la relation didactique sont indissociables ( approche holistique). Il ne faut pas dissocier ce qui est de l ordre du contenu et ce qui est de l ordre de la pédagogie. La connaissance de la natation possédée par l enseignant = interprétation des habiletés motrices des élèves en situation dynamique de classe (= interpréter le problème moteur de l élève au moment où il se pose). Les connaissances théoriques et sur le terrain diffèrent car le contexte est différent. D un côté une habileté d identification in situ des comportements de l élève, de l autre une habileté déclarative à restituer à l oral ou à l écrit. Quelques idées pour bousculer l activité d enseignement 1. Il faut différencier la tâche et l activité. Il faut donc étudier l activité en train de se faire, celle-ci ne pouvant se réduire à ce que prescrit la tâche différence action prescrite et action située. 2. Poids, importance des significations : l action est fortement structurée par les significations subjectives que les élèves attribuent à ce qu ils font et voient. Ce qui organise le cours d action de la tâche, c est moins la tâche prescrite que la signification personnelle qu ils attribuent à la situation. La dimension importante à retenir dans la notion de signification, ce sont les intentions.
6 Exemple en sport collectif avec la «grappe» : si je n ai pas l intention de faire progresser la balle, je ne peux utiliser les ressources qu incarne le partenaire pour voir et utiliser les ressources, il faut une intention. Un partenaire en sport collectif, cela ne se déclare pas. Il faut qu il y ait intention de faire progresser la balle vers la cible. Pour favoriser l exploitation d une ressource, il faut s assurer que l élève ait un engagement intentionnel (le même exemple peut être décliné si l intention est d éviter le ballon). 3. Rôle de l environnement : la notion d aménagement du milieu ne peut prescrire l action. Elle constitue plutôt un ensemble de ressources potentielles qui peut aider l activité des élèves (ou de l enseignant). L aménagement matériel ne peut déterminer l action. Il ne joue un rôle que s il y a rencontre entre des intentions et des ressources disponibles. L exploitation de ces ressources suppose un apprentissage, c'est-à-dire un savoir les utiliser pour servir une action.
L ORGANISATION TEMPORELLE ET SPATIALE DE L ACTIVITÉ Le cas des entraîneurs sportifs et des enseignants d éducation physique
L ORGANISATION TEMPORELLE ET SPATIALE DE L ACTIVITÉ Le cas des entraîneurs sportifs et des enseignants d éducation physique Jacques SAURY* et Nathalie GAL-PETITFAUX** Résumé Abstract Cet article vise à
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailOrganisation des enseignements au semestre 7
Organisation des enseignements au semestre 7 UE1 : Pratiques pédagogiques différenciées et adaptées aux besoins éducatifs particuliers (responsable : J. Divry) Transmettre des connaissances et des références
Plus en détailLA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE :
LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE : DECRYPTAGE ET TEMOIGNAGE Le coaching en entreprise est souvent source de questionnement sur différents aspects : quelles populations concernées? Dans
Plus en détailN 163 - ROUX-PEREZ Thérèse. 1. Problématique
N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse CONSTRUCTION IDENTITAIRE DES ENSEIGNANTS EN FORMATION INTIALE : ENTRE REPRESENTATIONS PARTAGEES ET ELEMENTS DE DIFFERENCIATION DANS LE RAPPORT AU METIER 1. Problématique L étude
Plus en détailUE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2. Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré
UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2 Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré ESPE Lille Nord de France Année 2014-2015 Cette note de cadrage a pour but d aider les collègues
Plus en détailU N FORMAT PÉDAGOGIQUE ARTICULANT LES TR O I S CO M P O S A N T E S DE LA CO N D U I T E
Dossiers de l EPS de l Académie de Rennes N 1 - OCTOBRE 2009 U N FORMAT PÉDAGOGIQUE ARTICULANT LES TR O I S CO M P O S A N T E S DE LA CO N D U I T E M O T R I C E : PENSER, S INVESTIR ET RÉALISER Y O
Plus en détailConform. Le Manager Coach Le Coach Professionnel
Conform Le Manager Coach Le Coach Professionnel 1 : Le Leadership Identifier les clés essentielles du leadership Exercer son leadership au quotidien Stimuler et mettre en mouvement ses équipes grâce à
Plus en détailProfessionnel de l Education en structure scolaire et/ou associative Maquette revue et actualisée en juin-juillet 2013
MASTER Sciences Humaines et Sociales Mention : Education, Enseignement et Formation Diplôme d État Professionnel de l Education en structure scolaire et/ou associative Maquette revue et actualisée en juin-juillet
Plus en détailEDUCATION PHYSIQUE ET SPORTIVE CYCLE 4 HYPER TEXTE
EDUCATION PHYSIQUE ET SPORTIVE CYCLE 4 HYPER TEXTE LE VOLET 1 DU CYCLE 4 est un texte général qui oriente toutes les disciplines et qui permet de cibler la singularité des axes de formation. LE VOLET 2
Plus en détaileduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel
eduscol Ressources pour la voie professionnelle Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel Français Présentation des programmes 2009 du baccalauréat professionnel Ces documents
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailOrganiser des groupes de travail en autonomie
Organiser des groupes de travail en autonomie Frédérique MIRGALET Conseillère pédagogique L enseignant travaille avec un groupe de niveau de classe et le reste des élèves travaille en autonomie. Il s agira
Plus en détailDécliCC. savoir. cahier des charges
DécliCC savoir S ORGANISER cahier des charges Du PARCOURS déclicc savoir S ORGANISER Développer ses compétences clés pour savoir s organiser Module A 30 à 40 heures Organiser l exécution d une tâche Contexte
Plus en détailDIFFICULTÉS D ÉTUDIANTS À TROUVER DES ARCHÉTYPES DE MACHINES LORS D UNE RECHERCHE DANS UN HYPERTEXTE
Cinquième colloque hypermédias et apprentissages 283 DIFFICULTÉS D ÉTUDIANTS À TROUVER DES ARCHÉTYPES DE MACHINES LORS D UNE RECHERCHE DANS UN HYPERTEXTE Yves CARTONNET et Michaël HUCHETTE École Normale
Plus en détailM2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager
Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail
Plus en détailFiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique)
1 Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) La programmation neurolinguistique (PNL) fournit des outils de développement personnel et d amélioration de l efficacité relationnelle dans
Plus en détail360 feedback «Benchmarks»
360 feedback «Benchmarks» La garantie d un coaching ciblé Pour préparer votre encadrement aux nouveaux rôles attendus des managers, Safran & Co vous propose un processus modulable, adapté aux réalités
Plus en détailENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE?
ENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE? Les nouveaux programmes 2008 confirment que l observation, le questionnement, l expérimentation et l argumentation sont
Plus en détailIntervention et pratique éducative reflet et/ou révélateur des tensions entre instructions, socialisation et qualification
Reconnaissance de la professionnalité de stagiaires en enseignement au secondaire et rôles des superviseurs Intervention et pratique éducative reflet et/ou révélateur des tensions entre instructions, socialisation
Plus en détailI/ CONSEILS PRATIQUES
D abord, n oubliez pas que vous n êtes pas un enseignant isolé, mais que vous appartenez à une équipe. N hésitez jamais à demander des idées et des conseils aux autres collègues (linguistes et autres)
Plus en détailCahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré
Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants
Plus en détailExemples de différenciations pédagogiques en classe. Elémentaires Collèges. Ordinaires & ASH
Exemples de différenciations pédagogiques en classe. Elémentaires Collèges Ordinaires & ASH PRESENTATION ESPRIT DES OUTILS PRESENTES L objectif de cette plaquette est de proposer des tours de mains aux
Plus en détailFormation Août 2013 Michèle Garello, IEN économie gestion Caroline Natta, professeur
Formation Août 2013 Michèle Garello, IEN économie gestion Caroline Natta, professeur Déroulement des deux journées Mardi 26 Matin : Intervention des IEN Jeudi 29 Matin : Production en binôme. Après-midi
Plus en détailPrévention, observation et repérage des difficultés en lecture
Prévention, observation et repérage des difficultés en lecture Si l esprit qui dit non sait pourquoi il dit non, il a déjà les moyens de définir son prochain oui.» Pierre Gréco Implications pédagogiques
Plus en détailLES BASES DU COACHING SPORTIF
LES BASES DU COACHING SPORTIF Module N 1 Motivation, concentration, confiance, communication Module N 2 L apprentissage : «Apprendre à apprendre» LES BASES DU COACHING SPORTIF APPRENTISSAGE PLAISIR PERFORMANCE
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailCYCLE DE FORMATION EN COACHING (formation certifiante)
CYCLE DE FORMATION EN COACHING (formation certifiante) CIES : Coaching s Individus, s Équipes et s Structures Cies Professionnel 2 ème année 201, Boulevard Zerktouni Casablanca - Tél. : 05 22 94 19 00/02
Plus en détailObjectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres
Développement personnel La programmation neurolinguistique (P.N.L.) Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres. Historique et postulats de la
Plus en détailConsolidation de fondamentaux
Consolidation de fondamentaux Point de vue communicationnel sur le réel Consolidation - Stéphanie MARTY - 2009/2010 1 Question 31 31. Que signifie «avoir un point de vue communicationnel sur le réel»?
Plus en détailFORMATION Coach & Team. Promotion CT26 - Lyon
FORMATION Coach & Team Promotion CT26 - Lyon JBS est une école de coaching animée par des enseignants et des superviseurs de coachs, tous intervenants en entreprise et didacticiens, ayant eu un parcours
Plus en détailThème : Aménagement matériel du milieu.
Thème : Aménagement matériel du milieu. Perspective cognitiviste : L aménagement du milieu permet de faire apparaître clairement le but à atteindre. Apprendre suppose en effet la perception, par le sujet,
Plus en détailCohésion d Equipe - Team Building
Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.
Plus en détailFORMATIONS COACHING EVOLUTIF - PNL - HYPNOSE - NON VERBAL - COMMUNICATION EFFICACE
FORMATIONS COACHING EVOLUTIF - PNL - HYPNOSE - NON VERBAL - COMMUNICATION EFFICACE Ecole de Coaching. Vous préparer à réaliser vos potentiels... Pour vous initier au coaching, développer vos connaissances,
Plus en détailEDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL
EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,
Plus en détailLocal de retrait PASS
Local de retrait PASS PRINCIPE : (Programme Alternatif à la Suspension Scolaire PASS) Suite à un retrait de classe, l élève est avisé qu à sa réintégration au cours, il doit reprendre, pendant son temps
Plus en détailUN DISPOSITIF DE FORMATION PARENTALE DANS UN MUSEE
N 31 - AILINCAI Rodica [docteur en sciences de l éducation. Laboratoire Éducation & Apprentissages, Université Paris 5 1 ] UN DISPOSITIF DE FORMATION PARENTALE DANS UN MUSEE 1. Contexte et questions de
Plus en détail144 174 237 30h + 120h 555 h
Niveau : LICENCE Année Domaine : Mention : Spécialité : S.T.A.P.S. S.T.A.P.S. MANAGEMENT DU SPORT L2 120 ES Volume horaire étudiant : 144 174 237 30h + 120h 555 h cours magistraux travaux dirigés travaux
Plus en détailNormes de référence. Comparaison. Commande cognitive Sentiments épistémiques Incarnés dépendants de l activité
Séminaire Sciences Cognitives et Education 20 Novembre 2012 Collège de France L importance de la Métacognition: Joëlle Proust Institut Jean-Nicod, Paris jproust@ehess.fr http://joelleproust.org.fr Plan
Plus en détailStress et Management Droits et devoirs du manager. Inter- Entreprises
Management motivationnel Stress et Management Droits et devoirs du manager CATALOGUE Formations Inter- Entreprises Cabinet de Conseil et de Formation en Motivation et Développement de la Performance CRECI
Plus en détailS3CP. Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles
S3CP Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles Référentiel Le présent socle décrit un ensemble de connaissances et compétences devant être apprécié dans un contexte professionnel.
Plus en détailMONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :
MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation
Plus en détailEXPRESSION CORPORELLE - EVALUATION CONTROLE ADAPTE
EXPRESSION CORPORELLE - EVALUATION CONTROLE ADAPTE SITUATION DE REFERENCE Proposer une composition qui interprète de façon personnelle dans des registres variés : le mime, les arts du cirque, l expression
Plus en détailActivités d'enseignement Années d'études 1 2 Sciences humaines 5 Entreprise et gouvernance des hommes 2 Gestion des ressources humaines 3
Sciences humaines 5 Entreprise et gouvernance des hommes 2 Gestion des ressources humaines 3 Langues 6 Anglais des affaires 4 Néerlandais (ou allemand ou espagnol) 2 Droit 2 Environnement juridique européen
Plus en détailLE PROGRAMME DES CLASSES DE BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EN FRANÇAIS
A. Armand IGEN lettres avril 2009-1 LE PROGRAMME DES CLASSES DE BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EN FRANÇAIS Cette présentation du programme de français pour les classes de seconde, première, et terminale du
Plus en détailPROGRAMME RADAR DE RCA ROWING ATHLETE DEVELOPMENT AND RANKING (Développement et classement des athlètes d aviron) pour les athlètes de développement
PROGRAMME RADAR DE RCA ROWING ATHLETE DEVELOPMENT AND RANKING (Développement et classement des athlètes d aviron) pour les athlètes de développement olympiques et paralympiques Développé par Rowing Canada
Plus en détailSCIENCES DE L ÉDUCATION
UniDistance 1 Centre d Etudes Suisse Romande Formation universitaire SCIENCES DE L ÉDUCATION En collaboration avec L Université de Bourgogne à Dijon Centre de Formation Ouverte et A Distance CFOAD UniDistance
Plus en détailQu est-ce qu une problématique?
Fiche méthodologique préparée par Cécile Vigour octobre 2006 1 Qu est-ce qu une problématique? Trois étapes : 1. Définition de la problématique 2. Qu est-ce qu une bonne problématique? 3. Comment problématiser?
Plus en détailLE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION
LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION Face à une rationalisation croissante du secteur social et médico-social, accentuée par les effets de crise, comment un directeur de structure
Plus en détail2) Les déterminants de la motivation des arbitres et entraîneurs:
Motivation et performance sportive : une caractéristique commune des arbitres et entraîneurs de haut niveau Support théorique : Jean Pierre Famose EPS N 35 Arbitre et entraîneur deux acteurs du sport moderne
Plus en détailEtude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011
Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 SOMMAIRE Synthèse et Conclusion... 1 Introduction... 4 1. La description
Plus en détailECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE
ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE Formation des Chefs d Etablissement d Affectation Management adaptatif et délégations Support participants SOMMAIRE La formation dans son contexte p.3 Les facteurs
Plus en détailAider les élèves qui en ont le plus besoin. Animation pédagogique 17 septembre 2008
Aider les élèves qui en ont le plus besoin Animation pédagogique 17 septembre 2008 Un facteur de réussite scolaire : les capacités métacognitives de l élève Wang M.-C. (1990) Qu est-ce que la métacognition?
Plus en détailLIVRET DE SUIVI DE PROFESSIONNALISATION
LIVRET DE SUIVI DE PROFESSIONNALISATION 1 MASTER 2 MEEF en ALTERNANCE PRESENTATION GENERALE 2 La professionnalisation en alternance que vous allez vivre cette année vous permettra d entrer dans le métier
Plus en détailCabri et le programme de géométrie au secondaire au Québec
Cabri et le programme de géométrie au secondaire au Québec Benoît Côté Département de mathématiques, UQAM, Québec cote.benoit@uqam.ca 1. Introduction - Exercice de didactique fiction Que signifie intégrer
Plus en détailOFFRE DE FORMATION SCIENCES ET TECHNIQUES DES ACTIVITÉS PHYSIQUES ET SPORTIVES STAPS 2015/2016 WWW.UMONTPELLIER.FR
OFFRE DE FORMATION SCIENCES ET TECHNIQUES DES ACTIVITÉS PHYSIQUES ET SPORTIVES STAPS 2015/2016 WWW.UMONTPELLIER.FR OFFRE DE FORMATION / STAPS Sous réserve d accréditation PRÉSENTATION DE LA LICENCE EN
Plus en détailProjet éducatif vacances enfants et adolescents
Projet éducatif vacances enfants et adolescents SOMMAIRE 1- Présentation du mouvement 2- Valeurs et finalités 3- Nos objectifs 4- Nos orientations éducatives 5- L équipe d encadrement 6- Les activités
Plus en détailSECRÉTARIAT GÉNÉRAL SERVICE DES TECHNOLOGIES ET DES SYSTÈMES. Etude sur les usages des dispositifs TIC dans l enseignement scolaire.
SECRÉTARIAT GÉNÉRAL SERVICE DES TECHNOLOGIES ET DES SYSTÈMES D INFORMATION SOUS-DIRECTION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION POUR L ÉDUCATION BUREAU DES USAGES Etude sur les usages
Plus en détailNotions et définitions utiles
Notions et définitions utiles 1 Notions et définitions utiles I. Notions d usage 1. La notion de compétitivité. La notion de «compétitivité» est la symbolique de l enjeu de développement des entreprises.
Plus en détailPerfectionnement au coaching Gestalt-coaching
VoieX (prononcer «voi-yé») a le plaisir d annoncer la formation : Perfectionnement au coaching Gestalt-coaching Jean-Paul Sauzède, Anne Sauzède-Lagarde et Catherine Deshays 10 jours en 2013-2014, à Lyon
Plus en détailInternautes sous surveillance. Retours de la réalité pour un web meilleur
Internautes sous surveillance Retours de la réalité pour un web meilleur Amélie Boucher Jeudi 14 Octobre 2010 Retours de tests utilisateurs Des détails qui n en sont pas Conseils méthodologiques pourquoi
Plus en détailProgramme de la formation. Écrit : 72hdepréparation aux épreuves d admissibilité au CRPE
Programme de la formation Écrit : 72hdepréparation aux épreuves d admissibilité au CRPE o 36 h pour la préparation à l'épreuve écrite de français Cette préparation comprend : - un travail sur la discipline
Plus en détailLean Management : une stratégie de long terme. Pourquoi l évolution des comportements est-elle essentielle à une réussite durable?
Lean Management : une stratégie de long terme Pourquoi l évolution des comportements est-elle essentielle à une réussite durable? Au cours de ces deux dernières années, les grandes entreprises du monde
Plus en détailLES APPRENTISSAGES DES ELEVES Qu est-ce qu apprendre?
LES APPRENTISSAGES DES ELEVES Qu est-ce qu apprendre? 1- Pensées et aphorismes 2- Les réseaux neuronaux en Intelligence Artificielle 3- Parallèles avec les apprentissages humains 4- Qu est-ce qu une situation
Plus en détailUne discipline scolaire
Les éléments constitutifs d une discipline scolaire Selon Michel Develay, De l apprentissage à l enseignement, Paris ESF éditeur, 1992, 2004 6, p. 32, «une discipline scolaire peut être définie par objets
Plus en détailGUIDE DE LECTURE VAE BEES1 CYCLISME
GUIDE DE LECTURE VAE BEES1 CYCLISME CONSIGNES DE LECTURE Ce tableau comporte de gauche à droite 4 colonnes: Colonne activités: Colonne tâches: il s'agit des activités professionnelles de référence que
Plus en détailVI- Exemples de fiches pédagogiques en 3 ème année primaires
21 VI- Exemples de fiches pédagogiques en 3 ème année primaires 22 PROJET I : Séquence 3 ORAL (Réception) Compréhension orale : Activité d écoute : 1 ère fiche pédagogique L objectif de cette séance est
Plus en détailDEVENIR INTERVENANT CERTIFIE WELLSCAN
DEVENIR INTERVENANT CERTIFIE WELLSCAN Vous êtes un professionnel consultant, coach, formateur et vous accompagnez les individus ou les entreprises dans leurs enjeux de performance sociale, managériale
Plus en détailSavoirs professionnels en classe de lecture littéraire à l école
Savoirs professionnels en classe de lecture littéraire à l école Dupuy, Catherine IUFM/ Université Montpellier 2 France Problématique et question de recherche Comment penser la tâche générale prescrite
Plus en détailrepères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis
repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme
Plus en détail«La pomme qui voulait voyager»
«La pomme qui voulait voyager» Création d'une suite d histoire à partir d une séquence d'images Type d outil : Démarche d apprentissage en contagion et en construction de langage (Savoir Parler). Auteurs
Plus en détailScénario n 24 : QUOI FAIRE AVEC MON BAC PRO TRANSPORT /LOGISTIQUE?
Scénario n 24 : QUOI FAIRE AVEC MON BAC PRO TRANSPORT /LOGISTIQUE? SUJET(S) : Production par les élèves de ressources numériques / Former à la veille et à la diffusion de l information / Collaborer avec
Plus en détailGESTION DES SINISTRES
GESTION DES SINISTRES Notion de sinistre et limites Un sinistre est un évènement accidentel dont la nature est garantie par le contrat. Un sinistre est indemnisable uniquement s il provoque un dommage.
Plus en détailSommaire 1. Présentation de Traits d Union 2. Nos activités 3. Notre pédagogie 4. Références 5. Composition de l équipe et contact 6.
Sommaire 1. Présentation de Traits d Union 2. Nos activités 3. Notre pédagogie 4. Références 5. Composition de l équipe et contact 6. Budget Annexes - Plaquettes de l entreprise - CV de notre journaliste-rédacteur
Plus en détailPréparer ses entretiens de prospection et de vente
Préparer ses entretiens de prospection et de vente Les entretiens de prospection et de vente sont les moments clés du commercial. Cependant la préparation de ces moments est essentielle : se connaître,
Plus en détail5 postures pour mobiliser le don
Confiance Sollicitude Réciprocité d engagement Tirer partie de son Relance expérience relationnelle constructive 5 postures pour mobiliser le don Attention à soi Alliance : Lier sans défier Donner Recevoir
Plus en détailLa supervision en soins infirmiers
La supervision en soins infirmiers (article en deux parties : version jumelée) La pratique de la supervision en soins infirmiers étant peu courante en France et les écrits la concernant de même, bien que
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailLES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2
LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS Université Lille 2 Master STAPS «Grand Nord» - Entraînement et Optimisation de la Performance Sportive _ option Préparations
Plus en détailTravail en groupe Apprendre la coopération
Travail en groupe Apprendre la coopération Travailler en groupe, en atelier peut répondre à de nombreux objectifs qui peuvent être très différents les uns des autres. Nous insisterons ici sur les pratiques
Plus en détailCours de Management des Systèmes d Information
Cours de Management des Systèmes d Information Module Management Stratégique et Opérationnel Première Partie : Description Première Partie Pour quoi faire Un S.I... Définition Applications traditionnelles
Plus en détailTAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes
TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes La loi n 2000-1028 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbain, dite «loi SRU», avait instauré une participation
Plus en détailLA MÉTHODOLOGIE DE TRAVAIL TRAVAILLER EXPLICITEMENT LES COMPÉTENCES 6 ET 7
LA MÉTHODOLOGIE DE TRAVAIL TRAVAILLER EXPLIITEMENT LES OMPÉTENES 6 ET 7 Animation pédagogique novembre 2013 laire BEY -conseillère pédagogique irconscription de Tours Nord Programme : La méthodologie dans
Plus en détailPRÉPARER LA PREMIÈRE ÉPREUVE ORALE D ADMISSION OPTION EPS. DEVOIRS SUPPLÉMENTAIRES 1 et 2
CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DES ÉCOLES PRÉPARER LA PREMIÈRE ÉPREUVE ORALE D ADMISSION OPTION EPS DEVOIRS SUPPLÉMENTAIRES 1 et 2 Rédaction Jean-Pierre GUICHARD Conseiller pédagogique en EPS Ministère
Plus en détailL'Entreprise, l'opca,l'of: 3 experts, au service de la "juste Cause"
L'Entreprise, l'opca,l'of: 3 experts, au service de la "juste Cause" Séance de travail.nathalie Fossard( AGEFOS PME), Adélaïde ALOZY et Bernadette Dedieu(AJE), Audrenne Canal(ADRAR) travaillent à l'élaboration
Plus en détailS inscrire à l ISFEC pour devenir professeur des collèges et lycées Les concours les formations l alternance l accord collégial
S inscrire à l ISFEC pour devenir professeur des collèges et lycées Les concours les formations l alternance l accord collégial www.isfec-montpellier.org Rentrée 2014 L Institut Saint Joseph : un ISFEC
Plus en détailS.T.A.P.S. S.T.A.P.S. Entraînement sportif. 213 h 162 h 171 h 180 h 546 h 240 h 141 h 165 h 180 h 546 h
Niveau : LICENCE Année Domaine : Mention : S.T.A.P.S. S.T.A.P.S. L3 Spécialité : Parcours 1 vol. étudiant Parcours 2 vol. étudiant Entraînement sportif 180 ECTS 213 h 162 h 171 h 180 h 546 h 240 h 141
Plus en détailFORMATION THÉORIQUE. Trait d Union TM
TM FORMATION THÉORIQUE Laurier Fortin, titulaire de la chaire CSRS Marie-France Bradley, Amélie Plante et Marielle Thibaudeau, psychoéducatrices et professionnelles de recherche PLAN DE LA PRÉSENTATION
Plus en détailREPONDRE AU BESOIN DE BOUGER CHEZ LE JEUNE ENFANT
REPONDRE AU BESOIN DE BOUGER CHEZ LE JEUNE ENFANT L enfant de deux, trois ans, a besoin de bouger pour développer ses capacités motrices. Aménagement des lieux dans l école et dans la classe La cour de
Plus en détailCQP Plasturgie Assemblage parachèvement finitions. Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification
CQP Plasturgie Assemblage parachèvement finitions Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification DESIGNATION DU METIER OU DES COMPOSANTES DU METIER EN LIEN AVEC LE CQP Le titulaire
Plus en détailLIVRET DE FORMATION DES ENSEIGNANTS DE LA CONDUITE AUTOMOBILEET DE LA SÉCURITÉ ROUTIÈRE
Brevet pour l exercice de la profession d enseignant de la conduite automobile et de la sécurité routière (B.E.P.E.C.A.S.E.R.) LIVRET DE FORMATION DES ENSEIGNANTS DE LA CONDUITE AUTOMOBILEET DE LA SÉCURITÉ
Plus en détailErgonomie et Prévention des risques professionnels
Ergonomie et Prévention des risques professionnels Catalogue des formations AVISErgonomique Laurent AVISSE Laurent AVISSE Ergonome Consultant 29, Rue de Montbazon 37 300 JOUE-LES-TOURS Tél : 06 09 44 30
Plus en détailLes «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques
Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Parmi les trois domaines d activités proposés aux élèves volontaires dans le cadre de l accompagnement éducatif, «l aide aux devoirs
Plus en détailSeul mais jamais isolé!
Mottet, M. (2013). Course d Orientation, Seul mais jamais isolé? Revue EP.S n 355, 11-14 1 Terrain Course d orientation Seul mais jamais isolé! En course d orientation, la question de l autonomie de l
Plus en détailBenchmark Accès Internet
Benchmark Accès Internet Préambule La qualité mesurée des performances des fournisseurs d'accès haut débit réalisée par Witbe ne vaut naturellement que pour la période de temps concernée et ne présage
Plus en détailLes approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise*
INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* Denis Hamel, statisticien Unité Connaissance-surveillance MISE
Plus en détailDossier complémentaire pour l analyse de cas
Niveaux d analyse Les facteurs à prendre en compte : L institution Les valeurs de l Institution sont éloignées/proches des valeurs de l étudiant L enseignant pense qu il est possible de faire évoluer les
Plus en détailLundi. Mardi Mercredi. Jeudi. Vendredi. LeS nouveaux rythmes à l école primaire. Exemples d emplois du temps
Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi LeS nouveaux rythmes à l école primaire Exemples d emplois du temps Mars 2014 n exemple d organisation des temps scolaire et périscolaire Commune de 21 000 habitants
Plus en détailRecueil des réponses au questionnaire confié aux Professeurs de Ecoles Stagiaires (PES) lors de leur stage de janvier à l'iufm
Recueil des réponses au questionnaire confié aux Professeurs de Ecoles Stagiaires (PES) lors de leur stage de janvier à l'iufm - Contenu de la formation à l'iufm Quels contenus vous ont servi pendant ces
Plus en détail