Les petits mammifères sauvages, source de leptospirose

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1 Rev. sci. tech. Off. int. Epiz., 1988, 7 (4), Les petits mammifères sauvages, source de leptospirose D. TRAP * Résumé : L'examen de 95 sérums de ragondins par épreuve de microagglutination vis-à-vis de 13 sérovars différents a montré que 45 animaux (47,3 %) étaient porteurs d'anticorps, dont 41 (43,1 %) dirigés contre le sérovar icterohaemorrhagiae, ce qui permet de suspecter le ragondin comme vecteur de cette infection. Les études sur la présence d'agglutinines antileptospires dans des sérums de chevaux et de bovins ont permis de préciser que la contamination des animaux domestiques par les petits mammifères sauvages était liée à l'abondance et au mode de vie de ce réservoir. MOTS-CLÉS : Animaux domestiques - Animaux sauvages - France - Leptospirose - Myocastor - Rongeurs - Vecteurs. INTRODUCTION Anthropozoonose de répartition mondiale, la leptospirose est une infection bactérienne qui revêt des formes très variables et d'intensité très différente. Elle atteint les animaux domestiques et sauvages ainsi que l'homme, qui est fréquemment le révélateur d'une infection animale inapparente. L'épidémiologie de la leptospirose fait intervenir deux facteurs essentiels : l'eau et la faune des petits mammifères sauvages, principalement les rongeurs et le hérisson. Ces animaux éliminent les leptospires dans leur urine et contaminent ainsi le milieu extérieur. La conservation des germes et leur dissémination sont alors facilitées par l'eau lorsque des conditions favorables sont réalisées. Les résultats d'une enquête effectuée sur des ragondins et d'études portant sur la présence d'agglutinines antileptospires chez les chevaux et les bovins sont présentés, afin de préciser le rôle joué par les petits mammifères sauvages dans la transmission de la maladie aux espèces domestiques. * Ministère de l'agriculture, Direction Générale de l'alimentation, Laboratoire Central de Recherches Vétérinaires, 22, rue Pierre-Curie, B.P. 67, Maisons-Alfort Cedex, France.

2 886 MATÉRIEL ET MÉTHODES Matériel Antigènes Ils sont préparés par le Service des leptospires de l'institut Pasteur de Paris, Centre de référence de l'oms. Les antigènes utilisés appartiennent aux sérogroupes de leptospires pathogènes suivants : Sérogroupes Icterohaemorrhagiae Grippotyphosa Australis Pomona Tarassovi Canicola Sejroe Ballum Panama Hebdomadis Autumnalis Pyrogenes Sérovar(s) (sv ou svs) icterohaemorrhagiae (ih) et copenhageni (copen) grippotyphosa (gt) australis (Aa) pomona (pom) tarassovi (tar) canicola (can) sejroe (sej) et hardjo (hard) ballum (bal) panama (pan) hebdomadis (heb) äutumnalis (aut) pyrogenes (pyr) et une souche de leptospires saprophytes : Buenos-Aires (B.A.). Le nombre de sérovars utilisés varie selon les études. Chaque antigène est une culture sur milieu sans sérum d'un sérovar déterminé. Sérums - 95 sérums de ragondins (Myocastor coypus) ont été étudiés vis-à-vis de 12 sérovars pathogènes (ih, copen, Aa, bal, sej, pan, heb, can, gt, hard, aut, pyr) et de la souche saprophyte B.A. Ils provenaient d'animaux capturés dans le département de la Vendée entre les mois de décembre 1986 et mai Les animaux ne présentaient aucun signe clinique ; 98 7o des ragondins étaient adultes. L'échantillonnage comportait un peu moins de mâles que de femelles dont 1/3 étaient gestantes. Leur poids variait entre 1 et 9 kg sérums de chevaux ont été examinés vis-à-vis de 7 sérovars : ih, gt, Aa, pom, tar, can et sej. Ils provenaient de 134 chevaux ayant présenté des signes cliniques imputables à la leptospirose (ictère et troubles oculaires) et de 427 chevaux cliniquement sains. Les prélèvements venaient de 25 départements différents mais trois régions dominaient : les Yvelines, le Calvados et la région lyonnaise sérums de bovins de race charollaise cliniquement indemnes, destinés à l'exportation, ont été étudiés vis-à-vis de 8 sérovars : ih, gt, Aa, pom, tar, can, sej et bal. Les animaux résidaient dans une région couvrant approximativement trois départements en Charollais.

3 Prélèvements bactériologiques Des prélèvements d'urine et d'organes (reins plus utérus chez les femelles) ont été effectués sur les 95 ragondins capturés à l'aide de cages et apportés vivants au laboratoire des Services Vétérinaires de la Vendée (Directeur : Docteur Ramisse). Méthodes Examens sérologiques Tous les sérums ont été examinés par l'épreuve de micro-agglutination (MAT), épreuve de référence en leptospirose. Ils ont été étudiés à la dilution du 1/100 et considérés comme positifs, selon les précédentes recommandations du Code Zoosanitaire International de l'oie (1982), si 50 % ( + + ) des germes étaient agglutinés à cette dilution. Sur les sérums réagissants, des dilutions plus élevées ont été analysées afin de déterminer le taux final de la réaction. La notation des résultats a été décrite précédemment (6). Examens bactériologiques Les prélèvements d'urine et les broyats d'organes ont été très rapidement ensemencés dans des milieux de culture EMJH* - Ellinghausen et McCullough (2) modifié par Johnson et Harris (4) - additionnés de milieu d'enrichissement. Des dilutions au 1/10 de l'urine sont ensemencées immédiatement. Les cultures portées à l'étuve à 30 C ont été examinées au microscope à fond noir toutes les semaines durant trois mois. Les cultures suspectes sont repiquées en milieu EMJH enrichi en effectuant des dilutions de 10 _ 1 à RÉSULTATS Etude sur les ragondins L'enquête épidémiologique réalisée sur les ragondins a montré que 45 animaux sur 95 (47,3 %) étaient porteurs d'anticorps. Le Tableau I indique le nombre et le pourcentage de sérums positifs en MAT pour chaque sérovar étudié. Ainsi, 40 ragondins sont positifs vis-à-vis de ih et 15 vis-à-vis de copen. Cependant, ces deux sérovars appartenant au même sérogroupe, des co-agglutinines existent dans les sérums : c'est ainsi que 13 ragondins sont positifs dans les deux sérovars, 26 réagissent uniquement avec ih et deux avec copen. Au total, 41 ragondins sur les 45 positifs (91 %) sont porteurs d'anticorps anti-icterohaemorrhagiae. L'incidence des autres sérovars est faible ou nulle. * Bacto leptospira medium base EMJH Difco - code Bacto leptospira enrichment EMJH Difco - code

4 888 TABLEAU I Nombre de sérums de ragondins trouvés positifs en leptospirose à l'épreuve de micro-agglutination (MAT) vis-à-vis de 12 sérovars pathogènes et de 1 sérovar saprophyte Leptospiras pathogènes Serums positifs en MAT Sérogroupes Sérovars Souches Nbre Pourcentage Icterohaemorrhagiae 1 icterohaemorrhagiae verdun 40 42,1 \ copenhageni M ,8 Australis australis ballico 4 4,2 Ballum ballum Mus ,2 Sejroe sejroe M ,1 Panama panama CZ 214 K 3 3,1 Hebdomadis hebdomadis hebdomadis 2 2,1 Canicola canicola Utrecht IV 1 1 Grippotyphosa grippotyphosa Moscou V 0 0 Sejroe hardjo Hardjoprajitno 0 0 Autumnalis autumnalis Akiyami A 0 0 Pyrogenes pyrogenes Salinem 0 0 Leptospires saprophytes Buenos-Aires 2 2,1 Le nombre d'animaux trouvés positifs dans les différentes dilutions en MAT est mentionné, pour chaque sérovar, dans le Tableau II. On remarque que 22 sérums ont un taux égal ou supérieur au 1/400 pour le sérogroupe Icterohaemorrhagiae, 9 étant positifs au 1/1000 au moins. Bien que la signification exacte de ce taux d'anticorps ne soit pas clairement établie pour les mammifères sauvages, on peut néanmoins penser qu'il signe une infection en cours. TABLEAU II Nombre de sérums de ragondins positifs à différentes dilutions en MA T pour chaque sérovar Sérovars Nombre de sérums positifs en MAT dans les différentes dilutions 1/100 1/200 1/400 1/800 ^ 1/1000 icterohaemorrhagiae copenhageni australis 4 ballum sejroe panama 3 hebdomadis 2 canicola

5 889 Le Tableau III indique le nombre de ragondins présentant des anticorps pour un ou plusieurs sérovars. Ce phénomène est dû en général à la présence de co-agglutinines fréquentes dans les sérums mais n'exclut nullement la possibilité que l'animal soit infecté simultanément par plusieurs souches ou garde la trace sérologique d'infection(s) antérieure(s). TABLEAU III Nombre de sérums de ragondins trouvés positifs vis-à-vis de un ou plusieurs sérovars Nombre de sérovars Nombre de sérums positifs Les cultures effectuées au Laboratoire des Services Vétérinaires de la Vendée n'ont malheureusement pas permis d'observer et d'isoler de leptospires. Etude sur les chevaux L'étude portant sur 561 sérums de chevaux (6) a permis de noter, dans cette espèce comme dans les autres espèces animales d'ailleurs, une nette augmentation, en 1978, du nombre de réagissants vis-à-vis de l'antigène sejroe : 17 % étaient positifs, 14 % avec gt et 11,7 % avec Aa. Parmi les 134 animaux ayant présenté des signes cliniques, 114 provenaient de la région lyonnaise où de nombreux cas de fluxion périodique étaient signalés. 85 (74,5 %) chevaux atteints de cette affection ou ayant été au contact de fluxionnaires étaient positifs, dont 31 (36,4 %) vis-à-vis du sérovar sejroe à des taux parfois très élevés (1/3000 au moins). L'enquête effectuée auprès des élevages concernés a révélé qu'ils se situaient tous à proximité de zones très humides où une pullulation anormale de rongeurs était observée cette année-là. C'était particulièrement le cas pour un centre équestre situé sur une île du Rhône, dont les 20 chevaux atteints d'uvéite récurrente étaient positifs vis-à-vis de l'antigène sejroe. Etude sur les bovins L'examen de 709 sérums de bovins charollais cliniquement sains (1) a montré que 28 % des animaux étaient sérologiquement positifs, l'infection inapparente touchant près d'un tiers des exploitations. Les auteurs ont montré qu'il existait une relation entre la présence dans les sérums d'anticorps dirigés contre certains sérovars, les conditions d'élevage (variables selon la saison) et les populations de rongeurs auxquelles les animaux étaient exposés. Ainsi, le Tableau IV montre que les animaux nés au cours des premiers mois de l'année et entretenus à l'étable sont plutôt porteurs d'anticorps vis-à-vis des sérovars ih et bal, tandis que ceux nés au printemps et mis au pâturage sont positifs vis-à-vis de gt, Aa et sej, ce qui correspond à des populations sauvages dont le mode de vie est différent.

6 890 TABLEAU IV Relation entre le pourcentage d'animaux positifs pour chaque sérovar et l'âge des animaux (d'après 1) Mois de naissance des animaux janvier février mars avril mai Sérovars 8 Age des animaux au moment de l'examen (en mois) Pourcentage des positifs icterohaemorrhagiae 4,7 7,1 9,9 8,4 0 grippotyphosa 10,5 13,6 13,6 4,6 33,3 australis 7,1 7,5 4,5 2,8 16,6 sejroe 5,9 5,0 4,5 5,6 16,6 ballum 4,7 2,5 3,6 2,8 1 DISCUSSION Dans un organisme, les leptospires persistent au niveau du rein. Ils sont alors éliminés de façon intermittente dans l'urine et contaminent le milieu extérieur. Cette leptospirurie, de durée variable selon les espèces domestiques, persiste toute la vie chez les petits mammifères sauvages qui sont des porteurs-excréteurs sains. Les germes, très sensibles à la dessiccation et aux radiations ultraviolettes, sont en revanche très résistants dans l'eau à condition qu'elle soit à un ph légèrement alcalin. Tous les lieux humides sont donc propices à la survie et à la dissémination des leptospires. La contamination directe par morsures est rare. Elle est essentiellement indirecte par l'urine et l'eau contaminée qui souillent les aliments (phénomène fréquemment signalé avec les ensilages de maïs), les litières, les pâturages, les abreuvoirs. Si les sources virulentes sont représentées essentiellement par le réservoir inépuisable que constituent les petits mammifères sauvages, il ne faut pas oublier cependant que les animaux domestiques peuvent à leur tour devenir sources de contamination. La notion de réservoir unique pour un sérovar n'existe plus, un rongeur pouvant porter plusieurs sérovars de même qu'un sérovar peut être présent chez plusieurs espèces de rongeurs. Néanmoins, il est reconnu que le rat noir (Rattus rattus), le surmulot (Rattus norvegicus) et le rat musqué ou ondatra (Fiber zibethicus) sont fréquemment responsables de l'infection par icterohaemorrhagiae. L'étude faite chez les ragondins montre qu'ils sont également porteurs de ce sérovar, puisque 41 sur 95 (43,1 %) étaient positifs, dont la moitié avec des taux d'anticorps élevés signant vraisemblablement une infection actuelle. Bien qu'aucune souche n'ait pu être isolée, il semble cependant probable que ces animaux jouent un rôle dans la propagation de la leptospirose à icterohaemorrhagiae. Il faut d'ailleurs souligner que le mode de vie aquatique des ragondins doit largement favoriser le rôle qu'ils jouent dans la

7 891 dissémination de la maladie. Toutefois, il n'a pas été observé de multiplication anormale de la population de ragondins au cours de ces dernières années. L'incidence de la leptospirose sur le cheptel local est stationnaire depuis plusieurs années et identique à celle observée pour l'ensemble de la France. L'étude chez les bovins montrait, pour l'année 1965 du moins, que lorsque les animaux étaient maintenus à l'étable, ils étaient infectés plutôt par des sérovars portés par des rongeurs préférant les habitations : ih par le rat gris et bal par la souris (Mus musculus). Au pâturage, les animaux étaient contaminés par des sérovars portés par des hôtes vivant à l'extérieur : gt par le campagnol (Microtus arvalis), sej par la souris glaneuse (Mus spicilegus) et le mulot (Apodemus sylvaticus) et Aa par le hérisson (Erinaceus europaeus). La multiplication des hôtes vecteurs semble directement en relation avec l'importance de la contamination des animaux domestiques. Lors de l'étude chez les chevaux, on a signalé la pullulation anormale des rongeurs dans certaines régions. Or, dans le même temps, on observait une proportion croissante des réactions positives vis-à-vis de l'antigène sejroe. Toutefois, il n'a pas été possible d'établir si ce phénomène était lié à l'augmentation de densité des hôtes considérés comme réservoirs préférentiels de ce sérovar : la souris glaneuse et le mulot. De même, dans une enquête chez des bovins (3), il avait été noté une nette prédominance des réactions à grippotyphosa dans plusieurs régions. Le campagnol, souvent porteur de ce sérovar, subit des fluctuations périodiques avec un cycle de trois ans ; or, l'enquête avait montré que ces rongeurs étaient particulièrement abondants dans les régions d'où provenaient les animaux concernés. Enfin, le rôle du hérisson, mal connu en France, est cependant certain puisque 40 % ont pu être reconnus bactériologiquement porteurs du sérovar muenchen (sérogroupe Australis) dans certaines régions (5). Ainsi Arnault (communication personnelle) a noté peu de cas de leptospirose bovine dans le département de la Creuse en 1987, ce qui pouvait être lié, en partie du moins, à une destruction massive de ces animaux l'année précédente. CONCLUSION Les petits mammifères sauvages (principalement les rongeurs et le hérisson) représentent le vecteur essentiel de contamination des animaux domestiques par les leptospires. Ces animaux sont des porteurs sains, éliminant toute leur vie des leptospires dans leur urine. Celle-ci, par l'intermédiaire de l'eau, contamine le milieu extérieur (locaux d'habitation, litières, eaux d'abreuvement et nourriture, pâturage, mares, étangs, cours d'eau). La fréquence de la leptospirose chez les animaux domestiques est directement en relation avec l'abondance du réservoir sauvage, son mode de vie et les conditions de dissémination de l'agent infectieux. * *

8 892 LOS PEQUEÑOS MAMÍFEROS SALVAJES COMO FUENTE DE LEPTOSPIROSIS. - D. Trap. Resumen: El examen de 95 sueros de coipos por prueba de microaglutinación frente a 13 serovares diferentes demostró que 45 animales (47,3%) eran portadores de anticuerpos, 41 de ellos (43,1%) dirigidos contra el serovar icterohaemorrhagiae, lo cual permite sospechar que el coipo es un vector de esta infección. Los estudios sobre la presencia de aglutininas antileptóspiras en sueros de caballos y bovinos permitieron precisar que la contaminación de los animales domésticos por los pequeños mamíferos salvajes estaba vinculada con la abundancia y el modo de vida de este reservorio. PALABRAS CLAVE: Animales domésticos - Animales salvajes - Francia - Leptospirosis - Myocastor - Roedores - Vectores. * * * BIBLIOGRAPHIE 1. CHEVRIER L. & GAUMONT R. (1974). - Contribution à l'étude des leptospiroses bovines inapparentes en Charollais. Bull. Acad. vét. Fr., 47, ELLINGHAUSEN H.C. & MCCULLOUGH W.G. (1965). - Nutrition of Leptospira pomona and growth of 13 other serotypes: fractionation of oleic albumin complex and a medium of bovine albumin and polysorbate 80. Am. J. vet. Res., 26, GAUMONT R. (1966). Enquête sur la présence d'agglutinines antileptospires chez les animaux domestiques en France. Bull. Off. int. Epiz., 66, JOHNSON R.C. & HARRIS V.C. (1967). - Differentiation of pathogenic and saprophytic leptospires. 1. Growth at low temperatures. J. Bact., 94, MAILLOUX M. (1973). - Le hérisson vecteur de leptospiroses dans l'ouest de la France. Méd. Mal. Inf., 3-4, TRAP D., GAUMONT R. & CHEVRIER L. (1979). - Leptospirose équine : enquête sur la présence d'agglutinines antileptospires chez les chevaux en France. Prat. vét. équine, 11 (3),

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