N 338. Votre Revue de Presse Du 17 / 02 /2015. press@conect.org.tn tel : Fax: CONECT 2015

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "N 338. Votre Revue de Presse Du 17 / 02 /2015. press@conect.org.tn tel : +216 31 330 330 Fax: +216 71 231 059 CONECT 2015"

Transcription

1 N 338 By Votre Revue de Presse Du 17 / 02 /2015 press@conect.org.tn tel : Fax: CONECT 2015

2 La CIEP (CONECT Innovation & Entrepreneurship Platform) source des entrepreneurs à «StartUp Expo» La «CONECT Innovation & Entrepreneurship Platform» (CIEP), lancée par la CONECT en partenariat avec le Qatar Friendship Fund (QFF) en juillet 2014, participe au salon «entrepreneurs StartUp Expo» qui se tient au siège de l UTICA du 18 au 20 Février Les six partenaires de QFF : la CONECT, le Réseau Entreprendre, la BFPME, Taysir Microfinance, IntilaQ et l Association Tunisie Croissance prendront part à ce salon dans le cadre d un même pavillon «le Village de l Ecosystème QFF». Le stand de la CIEP sera dédié aux jeunes entrepreneurs désirant présenter leurs idées de projets en s inscrivant sur la plateforme. Intervenant à toutes les étapes de la création d entreprises, la CONECT, à travers le projet CIEP a formé lors de la phase pilote qui a concerné les Gouvernorats de Tataouine, Sidi Bouzid et Bizerte une centaine de porteurs d idées de projets, a coaché plus de 70 promoteurs et accompagne actuellement 55 entrepreneurs dans la création de leurs entreprises. Après le succès de sa phase pilote, CIEP poursuivra ses caravanes à partir du mois de mars, dans 14 régions : Siliana, Kef, Kasserine, Gafsa, Tozeur, Tataouine, Kebelli, Medenine, Gabes, Kairouan, Sidi Bouzid, Mahdia, Zaghouan et Bizerte. Ces caravanes de sensibilisation à la culture entrepreneuriale visiteront les universités et 4 délégations par gouvernorat afin de faciliter les inscriptions aux porteurs d idées de projets qui souhaitent rejoindre le programme de formation, coaching et accompagnement pour l accès au financement à travers l écosystème QFF et le mentoring, incubation et la facilitation d accès au marché par la CONECT après la création de leurs entreprises. Au programme et à l occasion de ce salon, des panels d homme d affaires et d organismes d appui seront organisés autour de l entrepreneuriat et le financement des startups. Un panel sera aussi dédié le 1er jour du salon, à la présentation les champs d action des partenaires et les synergies créées autour de l écosystème QFF. CONECT fait partie de la plateforme entrepreneuriale de QFF aux côtés de la BFPME, Réseau Entreprendre Tunisie, Intilaq, Taysir Microfinances et l Association Tunisie Croissance. Il est à rappeler que l écosystème entrepreneurial de QFF, à l instar de CIEP, soutient les jeunes entrepreneurs à travers les différentes étapes de la création de leurs entreprises ; c est-à-dire depuis l ébauche de l idée jusqu à sa concrétisation, en passant par le financement, le coaching, le suivi, etc. Ainsi, depuis son lancement en Tunisie, et ce, le 8 mai 2013, QFF et ses partenaires ont contribué à la création de 758 petites et moyennes entreprises et la création prévue de 4361 emplois Mardi 17 février

3 Convention CONECT Ministère de la formation professionnelle et de l emploi, une illustration du partenariat Public Privé Tunisie Le Ministère de la Formation Professionnelle et de l Emploi et la CONECT «Confédération des Entreprises Citoyennes de Tunisie viennent de signer une convention cadre de partenariat visant à consolider leur coopération dans les domaines de formation professionnelle, de l emploi et de l aide à la création d entreprises. Cette convention constitue le couronnement d un partenariat intensif et varié développé entre le Ministère et la jeune Centrale Patronale CONECT depuis 2012 qui s est concrétisé par le lancement d importants projets en collaboration avec des institutions nationales et internationales et l appui du Ministère de la Formation Professionnelle et de l Emploi. Parmi ces projets il convient de citer celui de l introduction d une nouvelle forme de formation et d insertion des jeunes en quête d emplois ; les Entreprises d Entrainement, une formule qui a fait ses preuves en Suisse, le projet Ed-In Place d aide à l insertion des handicapés réalisé avec le concours de la coopération italienne et l important projet lancé en juillet dernier avec le concours de QFF visant à créer une plateforme CONECT d innovation et d entrepreneuriat «CIEP» au profit des porteurs d idées de projets dans quatorze gouvernorats de l intérieur du pays. L objectif étant d aider à la création, en trois ans dans ces régions ayant le plus besoin d investissements, de plus de cinq cents projets et quatre mille cinq cents emplois directs. À travers ce nouveau cadre de coopération entre la CONECT et le Ministère de la Formation Professionnelle et de l Emploi le partenariat public privé dans ce domaine primordial connaitra une grande relance avec le lancement de nouveaux projets de formation, de promotion de l emploi, de création d entreprises et l accès à de nouvelles sources de financement. L implication et la responsabilisation du secteur privé seront encore renforcées avec la représentation des structures professionnelles de la CONECT au sein des institutions et des structures relevant du Ministère à tous les niveaux national, régional et même local. Cette nouvelle vision du partenariat public privé sera d un concours certain pour aider à faire face aux grands défis auxquels le pays doit faire face en matière d emploi et de création d entreprises. Mardi 17 février

4 Mardi 17 février

5 Mardi 17 février

6 Financement de l économie Le secteur bancaire en point de mire La Tunisie souffre d un grand retard en matière d octroi des crédits à l économie,souligne la Banque mondiale Il existe un déficit en matière de crédits alloués à l économie en Tunisie, évalué à 10 milliards de dollars (19,37 milliards de dinars), a indiqué M. Laurent Gonnet, spécialiste du secteur financier pour la région Mena, à la Banque mondiale, dans une interview accordée à l Agence TAP. D après cet expert, le secteur bancaire tunisien est marqué par un manque de liquidités et une frilosité par rapport à la prise de risque en l absence d un environnement juridique favorable et d infrastructures adaptées. Il a estimé que le fonctionnement de la centrale des risques au sein de la Banque centrale de Tunisie (BCT) n est pas optimisé et nécessite une modernisation. Il a même proposé la création d une centrale des risques privée pour plus d efficacité dans la gestion des crédits. Depuis la révolution, plusieurs facteurs (ralentissement économique, situation sécuritaire, variabilité des réserves de change) exercent des pressions à la baisse sur les liquidités bancaires, incitant la BCT à injecter davantage de liquidités dans le système. Les opérations de refinancement de la BCT se sont élevées à 7 milliards de dinars, ce qui équivaut à près de 8% du PIB. Ces opérations de refinancement ont enregistré une hausse de 40% durant le 1er semestre de La moitié des 21 banques tunisiennes sont en infraction par rapport à leur ratio de liquidité. Depuis septembre 2013, la BCT a commencé à mettre en pratique des conditions plus restrictives pour l accès des banques à ces liquidités. Une liquidité plus étroite ajoutée à un ralentissement de la demande de crédit de certaines entreprises surtout exportatrices, ont ralenti la croissance des crédits accordés par les banques commerciales. La BM s attend à une canalisation de la croissance du crédit vers les activités les moins risquées (grandes entreprises, établissements publics et particuliers). Le secteur bancaire tunisien fait face à des défis importants, liés à la qualité des prêts, à leur solvabilité et leur rentabilité qui se sont détériorées ainsi qu à leur octroi à des emprunteurs inappropriés. Le renforcement de la gouvernance au sein du secteur bancaire peut aider à surmonter ces défis, a souligné M.Gonnet. Un taux de créances douteuses de 16% Pour ce qui est des créances douteuses des banques tunisiennes, le spécialiste a relevé que leur taux s élève actuellement à 16%. D ailleurs, «le ratio des créances douteuses n est jamais descendu au-dessous de 5%, alors que ce taux est de l ordre de 2 à 3% dans un pays tel que le Maroc». Mardi 17 février

7 Financement de l économie Le secteur bancaire en point de mire Il a cité trois raisons à l origine de cette situation, primo «un régime des faillites laxiste, très protecteur des débiteurs, dont beaucoup abusent étant donné que ce système comporte très peu de sanctions. Cela explique pourquoi certains mettent à profit cette situation dans le secteur du tourisme». Dans cette conjoncture, «les garanties exigées par les banques sont excessives (180% pour un crédit de 100), ce qui constitue le plus haut taux de surcollatéralisation de la région Mena». Secundo, la BCT fixe le TEG (taux d intérêt effectif global) à 20% au-dessus des taux clients pratiqués par les banques et ce taux s applique aux bons et aux mauvais clients. Or, les PME présentent plus de risques pour les banques, lesquelles ne peuvent les financer à un taux ne couvrant pas les risques encourus. «Pour ce qui est du taux de crédit à la microfinance, qui est de l ordre de 25 à 30%, il ne faut pas l écraser pour ne pas exclure de ce type de crédit, des populations qui en ont besoin», a affirmé M. Gonnet. Tertio, les banques tunisiennes ne développent pas de critères d octroi des crédits mais demandent plutôt le maximum de garanties et privilégient leurs clients. «La Tunisie a bien créé la Banque de financement des petites et moyennes entreprises (Bfpme), mais cette dernière ne détient que 4% de parts de marché des PME. La Banque est, en plus, grevée par un taux élevé de créances douteuses (au-dessus de 50%) qui érodent ses ressources propres. L Etat devra la recapitaliser en 2016», a considéré l expert. Pour cette raison, la Bfpme n est pas éligible à la ligne de crédit de 100 millions de dollars que la BM met à la disposition des micro, petites et moyennes entreprises en Tunisie. Pour relancer le secteur bancaire tunisien, le spécialiste propose de réformer le système des faillites en vue d assurer plus d équité entre le débiteur et le créditeur ainsi que de réformer le taux d intérêt effectif global (TEG), en l assouplissant progressivement, sans toutefois le déplafonner. Actuellement, «la différence entre les taux d intérêt pratiqués par les banques est de l ordre de 3%, entre le plus mauvais payeur et le meilleur client. C est le rôle de la BCT d imposer un bon système d appréciation des risques (mettre en place un système de rating interne des banques), ainsi que de mesurer les progrès enregistrés en matière d inclusion financière, à savoir, évaluer le nombre de PME qui vont avoir accès aux crédits». Restructuration des banques publiques Les trois banques publiques concernées par la restructuration (BNA, STB et BH) représentent environ 34% du total des actifs du système bancaire national. Mardi 17 février

8 Financement de l économie Le secteur bancaire en point de mire Au niveau de la BH, M. Gonnet a relevé que le plan de restructuration a été adopté par le conseil d administration (réduction de la masse salariale de 50%, investissement dans le système d information qui connaît un retard considérable...), mais cet établissement bancaire est toujours en attente de l augmentation de capital. Le conseil d administration de la BH a convoqué les actionnaires en AGE, le 18 février, pour statuer sur l augmentation de capital de la banque de 80 millions de dinars (qui passera ainsi de 90 MD à 170 MD). «Reste également à absorber toutes les provisions de la BH pour les créances douteuses», a fait remarquer le spécialiste de la BM. Concernant la STB, l augmentation de capital de 650 millions de dinars a été votée, mais le plan de restructuration est toujours en cours de préparation. La BNA est, de son côté, au stade de la finalisation du diagnostic et entame la phase d élaboration du plan de restructuration. Pour la Banque mondiale, le secteur financier tunisien reste relativement modeste et essentiellement dominé par les banques dont les actifs s élèvent à près de 115% du PIB. Plus de la moitié des crédits bancaires est octroyée aux entreprises du secteur industriel, au commerce et au tourisme alors que le reste est accordé au secteur public. Le secteur non bancaire est peu développé. Les marchés des capitaux et des titres à revenus fixes sont encore, relativement, modestes et la capitalisation boursière est de l ordre de 24% du PIB, alors qu elle est de 112% en Jordanie et de 76% au Maroc. Le chemin de la restructuration du système financier national reste encore long et laborieux... (TAP) Mardi Vendredi février février

9 Exportations Nette amélioration de la balance commerciale alimentaire Hausse des revenus des exportations de l huile d olive Au cours du mois de janvier 2015, la balance commerciale alimentaire a enregistré une nette hausse avec un excédent de 151 millions de dinars (MD) contre un déficit de 157,7 MD au cours de la même période Dans un communiqué publié jeudi à Tunis, le ministère de l Industrie précise que cet excédent a eu un impact positif sur le taux de couverture des importations par les exportations, lequel a atteint 178%, contre seulement 48% en 2014 et 78% en Au cours de la même période (janvier 2015), les importations alimentaires ont enregistré une évolution lente (-36,1%), contre une nette évolution des exportations alimentaires (137,1%) par rapport à la même période La même source explique la nette amélioration de l excédent de la balance commerciale alimentaire par la hausse des revenus des exportations de l huile d olive. Les quantités exportées sont passées de 3,7 mille tonnes à 37 mille tonnes, avec une amélioration de la qualité de l huile par rapport à l année dernière. A rappeler que les prix de l huile d olive extra ont connu une hausse sur les marchés internationaux, au cours du mois de janvier 2015, atteignant 7,620 D le litre contre 6,394 D, au cours du mois de janvier 2014 et 6,434 D en décembre En janvier 2015, les prix de l huile d olive emballée ont enregistré une hausse atteignant 8,076 D le litre, contre 7,628 D au cours du mois de janvier Les prix devront préserver le même niveau au cours du premier trimestre 2015, précise la même source. Et d ajouter que les exportations de dattes ont enregistré une hausse de 51,4% au niveau de la valeur et de 36,6% au niveau de la quantité, avec une légère amélioration au niveau des prix. Mardi 17 février

10 Mardi 17 février

Atelier sur la stratégie de compétitivité et du Développement du Secteur Privé. Mécanismes de financement de l entreprise en Tunisie

Atelier sur la stratégie de compétitivité et du Développement du Secteur Privé. Mécanismes de financement de l entreprise en Tunisie République Tunisienne Ministère des Finances Atelier sur la stratégie de compétitivité et du Développement du Secteur Privé Mécanismes de financement de l entreprise en Tunisie Zouari Maher Directeur de

Plus en détail

BANQUE CENTRALE DE TUNISIE

BANQUE CENTRALE DE TUNISIE 2013 BANQUE CENTRALE DE TUNISIE Rapport sur la Supervision Bancaire Juillet 2015 2013 BANQUE CENTRALE DE TUNISIE Rapport sur la Supervision Bancaire Juillet 2015 RAPPORT SUR LA SUPERVISION BANCAIRE 2013

Plus en détail

N 362. Votre Revue de Presse Du 24/ 03 /2015. press@conect.org.tn tel : +216 31 330 330 Fax: +216 71 231 059 CONECT 2015

N 362. Votre Revue de Presse Du 24/ 03 /2015. press@conect.org.tn tel : +216 31 330 330 Fax: +216 71 231 059 CONECT 2015 N 362 By Votre Revue de Presse Du 24/ 03 /2015 press@conect.org.tn tel : +216 31 330 330 Fax: +216 71 231 059 CONECT 2015 Création d entreprises Nouveaux promoteursle parcours d obstacles Les jeunes promoteurs

Plus en détail

Cahier du Cercle Des Economistes de Tunisie

Cahier du Cercle Des Economistes de Tunisie Cahier du Cercle Des Economistes de Tunisie Numéro 3 PROFIL ET ENTRAVES AU FINANCEMENT BANCAIRE DES ENTREPRISES 1 Mohamed Safouane BEN AISSA Professeur à l Université de Tunis El Manar Membre du Cercle

Plus en détail

Observatoire des Services Bancaires - www.osb.tn

Observatoire des Services Bancaires - www.osb.tn Circulaire aux Banques Intermédiaires Agréés du 3 mars 2008 Objet : Exercice de l activité de change manuel Article 1 er : Les banques intermédiaires agréés peuvent, conformément à la législation en vigueur,

Plus en détail

«LE Capital-Investissement : accelerateur de croissance de l economie tunisienne»

«LE Capital-Investissement : accelerateur de croissance de l economie tunisienne» «accelerateur de croissance de l economie tunisienne» Note conceptuelle LE MOT DU PRESIDENT Le Capital-Investissement - ou Private Equity - est un des moteurs du financement de l économie réelle et du

Plus en détail

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008

Plus en détail

Le 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes

Le 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes Le 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes Le tableau de bord trimestriel Le bilan de l année 2014 Les taux des crédits immobiliers aux particuliers ENSEMBLE DES MARCHÉS - Prêts bancaires (taux

Plus en détail

ETUDE DE LA CARTE DU TOURISME CULTUREL ET NATUREL. Sami GHARBI Architecte Général Directeur du Patrimoine et de l Environnement

ETUDE DE LA CARTE DU TOURISME CULTUREL ET NATUREL. Sami GHARBI Architecte Général Directeur du Patrimoine et de l Environnement ETUDE DE LA CARTE DU TOURISME CULTUREL ET NATUREL Sami GHARBI Architecte Général Directeur du Patrimoine et de l Environnement SOMMAIRE 1. CONTEXTE DE L ETUDE 2. OBJECTIFS DE L ETUDE 3. CONSISTANCE DE

Plus en détail

LES PLATEFORMES D INITIATIVE LOCALE ET LA CREATION D ENTREPRISE INNOVANTE EN FRANCE QUELLE PERTINENCE POUR LA TUNISIE?

LES PLATEFORMES D INITIATIVE LOCALE ET LA CREATION D ENTREPRISE INNOVANTE EN FRANCE QUELLE PERTINENCE POUR LA TUNISIE? LES PLATEFORMES D INITIATIVE LOCALE ET LA CREATION D ENTREPRISE INNOVANTE EN FRANCE QUELLE PERTINENCE POUR LA TUNISIE? Anne CHATAURET Volet Interfaçage QU EST-CE QU UNE PLATEFORME INITIATIVE? 2 Les «Plateformes

Plus en détail

Croissance et emploi en France, le gouvernement place les PME au centre de son dispositif :

Croissance et emploi en France, le gouvernement place les PME au centre de son dispositif : Croissance et emploi en France, le gouvernement place les PME au centre de son dispositif : Un dispositif d une telle ampleur et avec tant d innovations, de simplications et de sécurisation, du jamais

Plus en détail

LE FONDS DE GARANTIE

LE FONDS DE GARANTIE CENTRE DE RECHERCHES, D ETUDES ET D APPUI A L ANALYSE ECONOMIQUE À MADAGASCAR LE FONDS DE GARANTIE Auteur Version date Maholy RAKOTOARISOA - Assistant chercheur finale Octobre 2003 Critère de diffusion

Plus en détail

Mise à jour risque pays

Mise à jour risque pays Mise à jour risque pays Espagne 14 novembre 2012 1 Résumé analytique L économie espagnole se contractera en 2012 et en 2013 Le durcissement des conditions de crédit pose problème à de nombreuses entreprises

Plus en détail

GUIDE DU GUICHET UNIQUE de l Agence de Promotion de l Industrie et de l Innovation Janvier 2015

GUIDE DU GUICHET UNIQUE de l Agence de Promotion de l Industrie et de l Innovation Janvier 2015 République Tunisienne Ministère de l Industrie, de l Energie et des Mines Agence de Promotion de l Industrie et de l Innovation GUIDE DU GUICHET UNIQUE de l Agence de Promotion de l Industrie et de l Innovation

Plus en détail

Formation entrepreneuriale et travail indépendant parmi les diplômés universitaires en Tunisie

Formation entrepreneuriale et travail indépendant parmi les diplômés universitaires en Tunisie Formation entrepreneuriale et travail indépendant parmi les diplômés universitaires en Tunisie Résultats de l évaluation d impact du Concours des meilleurs plans d affaires «Entreprendre et Gagner» Document

Plus en détail

LE PMI, LEVIER DE DEVELOPPEMENT DES PÔLES DE COMPETITIVITE

LE PMI, LEVIER DE DEVELOPPEMENT DES PÔLES DE COMPETITIVITE PROGRAMME DE MODERNISATION INDUSTRIELLE LE PMI, LEVIER DE DEVELOPPEMENT DES PÔLES DE COMPETITIVITE TERRITOIRES MÉTROPOLITAINS INNOVANTS : Technopoles et pôles de compétitivité Tunis 19 et 20 juin 2007

Plus en détail

MULTINATIONALITE NAISSANTE DE BMCE BANK

MULTINATIONALITE NAISSANTE DE BMCE BANK MULTINATIONALITE NAISSANTE DE BMCE BANK MediCapital Bank Acteur de Référence en Afrique Dans un contexte économique pourtant difficile, Medi- Capital Bank (MCB) a démontré sa capacité à générer du chiffre

Plus en détail

Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget

Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%

Plus en détail

ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC

ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC Ministère Chargé du Commerce Extérieur ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC Présentation du secteur agroalimentaire (IAA) Le secteur des industries agroalimentaires

Plus en détail

Les mesures en faveur de

Les mesures en faveur de Les mesures en faveur de l attractivité Invest in France La France est une destination de premier ordre pour les investissements directs étrangers. Elle accueille sur son sol plus de 0 000 entreprises

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel. Janvier 2015

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel. Janvier 2015 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel Janvier 2015 Avertissement : les indicateurs mensuels repris dans le «Tableau de bord» ne deviennent définitifs

Plus en détail

CIRCULAIRE AUX BANQUES NON RESIDENTES N 86-13

CIRCULAIRE AUX BANQUES NON RESIDENTES N 86-13 Tunis, le 6 Mai 19861 CIRCULAIRE AUX BANQUES NON RESIDENTES N 86-13 OBJET : Activité des banques non-résidentes. La loi n 85-108 du 6 Décembre 1985, portant encouragement d'organismes financiers et bancaires

Plus en détail

La Banque Attijari de Tunisie. Une banque en plein essor. Mai 2009 www.macsa.com.tn - 1 Mai 2009

La Banque Attijari de Tunisie. Une banque en plein essor. Mai 2009 www.macsa.com.tn - 1 Mai 2009 MAC SA Intermédiaire en Bourse Green Center Bloc C, 2éme étage, 1053 Les Berges du Lac- Tunis Tunisie Tél.: + 216 71 964 102 / + 216 71 962 472 Fax: + 216 71 960 903 Email: macsa@gnet.tn www.macsa.com.tn

Plus en détail

Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014

Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014 Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 6 mars 2015 Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014 La Banque nationale suisse (BNS) a

Plus en détail

COMMUNIQUE DE PRESSE Résultats financiers au 30 juin 2013 de BGL BNP Paribas Performance solide dans un environnement en mutation

COMMUNIQUE DE PRESSE Résultats financiers au 30 juin 2013 de BGL BNP Paribas Performance solide dans un environnement en mutation Luxembourg, le 30 août 2013 COMMUNIQUE DE PRESSE Résultats financiers au 30 juin 2013 de BGL BNP Paribas Performance solide dans un environnement en mutation Progression des revenus commerciaux La Banque

Plus en détail

GECA GLOBAL CONSULTING suarl 76, Avenue Habib Bourghiba App. A1-1 2080 Ariana - TUNISIA MF: 1260762R/A/M/000

GECA GLOBAL CONSULTING suarl 76, Avenue Habib Bourghiba App. A1-1 2080 Ariana - TUNISIA MF: 1260762R/A/M/000 GECA GLOBAL CONSULTING suarl 76, Avenue Habib Bourghiba App. A1-1 2080 Ariana - TUNISIA MF: 1260762R/A/M/000 GECA Global Consulting est une société de consultation internationale, constituée à Tunis. Cette

Plus en détail

REPUBLIQUE TUNISIENNE VOLUME I MOYEN-ORIENT ET AFRIQUE DU NORD SECTEURS SOCIAUX (MNSHD)

REPUBLIQUE TUNISIENNE VOLUME I MOYEN-ORIENT ET AFRIQUE DU NORD SECTEURS SOCIAUX (MNSHD) REPUBLIQUE TUNISIENNE ETUDE D EVALUATION DES MECANISMES DE FINANCEMENT DE LA MICRO-ENTREPRISE VOLUME I ENQUETE DE SUIVI DES MICROPROJETS FINANCES PAR LA BANQUE TUNISIENNE DE SOLIDARITE MOYEN-ORIENT ET

Plus en détail

Présentation de la GUINEE au séminaire régional de l'afritac OUEST sur le thème "Gestion des Crises Bancaires et Politiques de Restructuration"

Présentation de la GUINEE au séminaire régional de l'afritac OUEST sur le thème Gestion des Crises Bancaires et Politiques de Restructuration 1 SOMMAIRE 1. Crise bancaire : contexte sociopolitique 2. Résolution des crises 3. Situation du système bancaire 4. Vulnérabilités 2 I. CRISES BANCAIRES : CONTEXTE SOCIOPOLITIQUES A l accession de la Guinée

Plus en détail

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 L UCM a créé un indicateur de conjoncture pour les PME wallonnes et bruxelloises. Ce "baromètre" est réalisé chaque trimestre, sur base des réponses

Plus en détail

Matinée sur «Banques et cadre d investissement en Tunisie» Maison du Barreau, Paris 24 Janvier 2014

Matinée sur «Banques et cadre d investissement en Tunisie» Maison du Barreau, Paris 24 Janvier 2014 Pa ge 1 Matinée sur «Banques et cadre d investissement en Tunisie» Maison du Barreau, Paris 24 Janvier 2014 PRÉSENTATION DU SECTEUR BANCAIRE TUNISIEN Chiheb Mahjoub Antoine Day (FSI 2010/2012) Page 1 Kurt

Plus en détail

ETUDE DU SECTEUR BANCAIRE EN TUNISIE

ETUDE DU SECTEUR BANCAIRE EN TUNISIE j MAC SA Intermédiaire en Bourse Green Center, Bloc C, 2 éme étage Rue du lac Constance 1053 Les Berges du Lac - Tunisie Tel: (216) 71 964 102 / 962 472 Fax: (216) 71 960 903/ 962 363 E-mail: macsa@gnet.tn

Plus en détail

Rapport intermédiaire de la Banque nationale suisse au 30 juin 2010

Rapport intermédiaire de la Banque nationale suisse au 30 juin 2010 Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 Fax +41 44 631 39 10 Zurich, le 13 août 2010 Rapport intermédiaire de la Banque nationale suisse au 30 juin 2010 La Banque nationale

Plus en détail

Le Pacte de responsabilité et de solidarité

Le Pacte de responsabilité et de solidarité Le Pacte de responsabilité et de solidarité La France est à un moment décisif. Depuis plus de dix ans, l appareil de production s est affaibli, la compétitivité s est détériorée et le niveau de chômage

Plus en détail

SOMMAIRE. Bulletin de souscription

SOMMAIRE. Bulletin de souscription SOMMAIRE Flash-emprunt subordonné «Tunisie Leasing 2011-2» Chapitre 1 : Responsables de la note d opération 1.1. Responsables de la note d opération 1.2. Attestation des responsables de la note d opération

Plus en détail

REPUBLIQUE TUNISIENNE Ministère de l Economie et des Finances

REPUBLIQUE TUNISIENNE Ministère de l Economie et des Finances REPUBLIQUE TUNISIENNE Ministère de l Economie et des Finances RAPPORT ANNUEL DU SECTEUR DES ASSURANCES 2013 ANNUAL REPORT OF THE INSURANCES SECTOR 2013 2 0 1 3 RAPPORT ANNUEL DU SECTEUR DES ASSURANCES

Plus en détail

M. Edos Ousséini YEYE Directeur Général de la PAPME I. L environnement des PME/PMI au Burkina Faso

M. Edos Ousséini YEYE Directeur Général de la PAPME I. L environnement des PME/PMI au Burkina Faso UNE EXPERIENCE D APPUI AUX PME/PMI AU BURKINA FASO M. Edos Ousséini YEYE Directeur Général de la PAPME I. L environnement des PME/PMI au Burkina Faso 1 Le Burkina Faso PME/PMI - Burkina Faso 3 Le Burkina

Plus en détail

CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES

CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications

Plus en détail

SOMMAIRE. 3. Groupe BIAT et Participations 35 3.1 Groupe BIAT 3.2 Evolution du portefeuille participations

SOMMAIRE. 3. Groupe BIAT et Participations 35 3.1 Groupe BIAT 3.2 Evolution du portefeuille participations Mot du Président du Conseil d Administration Mot du Directeur Général SOMMAIRE Profil de la BIAT 8 1. Environnement économique, bancaire et financier 11 1.1 Environnement économique 1.2 Environnement bancaire

Plus en détail

COMMUNIQUÉ DE PRESSE. La microfinance : un outil important de réinsertion sociale en Belgique depuis 10 ans

COMMUNIQUÉ DE PRESSE. La microfinance : un outil important de réinsertion sociale en Belgique depuis 10 ans COMMUNIQUÉ DE PRESSE 14,7% de la population belge sous le seuil de pauvreté 1 La microfinance : un outil important de réinsertion sociale en Belgique depuis 10 ans Forte hausse des demandes de microcrédits

Plus en détail

Analyse Financière. Tunis Re en Bourse. En toute Ré Assurance. Souscrire à l OPF

Analyse Financière. Tunis Re en Bourse. En toute Ré Assurance. Souscrire à l OPF Analyse Financière Tunis Re en Bourse En toute Ré Assurance Souscrire à l OPF Mars 2010 2A n a l y s e F i n a n c i è r e I n t r o d u c t i o n e n b o u r s e : O f f r e à p r i x f e r m e Secteur

Plus en détail

212 Un secteur financier en déroute

212 Un secteur financier en déroute 212 Un secteur financier en déroute Un secteur financier en déroute 06 Les banques tunisiennes ne parviennent pas à diriger les ressources vers le secteur privé la révolution inachevée 213 06 Un secteur

Plus en détail

Royaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers

Royaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

UN 1 ER SEMESTRE EN DEMI-TEINTE

UN 1 ER SEMESTRE EN DEMI-TEINTE 2015 UN 1 ER SEMESTRE EN DEMI-TEINTE Activité : reprise modérée Emploi : contraction des effectifs Contrairement à leurs prévisions de novembre dernier, les PME de la région anticipent un développement

Plus en détail

Sommet pleines voiles / Groupe de travail sur l autosuffisance : domaines d intérêt communs

Sommet pleines voiles / Groupe de travail sur l autosuffisance : domaines d intérêt communs Sommet pleines voiles / Groupe de travail sur l autosuffisance : domaines d intérêt communs Lors du Sommet pleines voiles en janvier 2007, la Commission des valeurs mobilières du Nouveau-Brunswick a publié

Plus en détail

Les instruments de la SNCI et de la Mutualité de Cautionnement et d Aide aux Commerçants, société coopérative. Présentation Horesca du 18 juin 2012

Les instruments de la SNCI et de la Mutualité de Cautionnement et d Aide aux Commerçants, société coopérative. Présentation Horesca du 18 juin 2012 Les instruments de la SNCI et de la Mutualité de Cautionnement et d Aide aux Commerçants, société coopérative Présentation Horesca du 18 juin 2012 03/12/09 L entrepreneur et le financement de son projet

Plus en détail

Maghreb Startup Initiative

Maghreb Startup Initiative L EXCELLENCE au rendez-vous! Algérie Maroc Tunisie Edition pilote Une 1ère édition organisée simultanément dans les trois pays du Maghreb et déployée sur une année! (mai 2012 - mars 2013) Regional Sponsors:

Plus en détail

INSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE

INSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE INSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE La Banque Centrale du Congo, Vu la loi n 005/2002 du 07 mai 2002

Plus en détail

FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC

FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience

Plus en détail

TUNISIE DEUXIEME LIGNE DE CREDIT AGRICOLE A LA BANQUE NATIONALE AGRICOLE

TUNISIE DEUXIEME LIGNE DE CREDIT AGRICOLE A LA BANQUE NATIONALE AGRICOLE GROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT TUNISIE DEUXIEME LIGNE DE CREDIT AGRICOLE A LA BANQUE NATIONALE AGRICOLE Rapport d évaluation de performance de programme (REPP) DEPARTEMENT DE L EVALUATION

Plus en détail

Création de Fonds Communs de Placement à Risque

Création de Fonds Communs de Placement à Risque LA RÉGION SOUTIENT LES ENTREPRISES LOCALES Création de Fonds Communs de Placement à Risque Pour mieux accompagner la création d entreprise, pour soutenir sa croissance et faciliter sa reprise DOSSIER DE

Plus en détail

Banque Populaire de l Ouest : des résultats 2013 de bonne facture

Banque Populaire de l Ouest : des résultats 2013 de bonne facture Communiqué de presse Rennes, le 18 avril 2014 Banque Populaire de l Ouest : des résultats 2013 de bonne facture En 2013, la Banque Populaire de l Ouest a injecté 1,5 milliard de nouveaux financements dans

Plus en détail

Master en Gouvernance bancaire, contrôle et audit interne

Master en Gouvernance bancaire, contrôle et audit interne Master en Gouvernance bancaire, contrôle et audit interne EVALUATION PRELEMINAIRE COURS SUR LE REGLEMENTATION PRUDENTIELLE ET SUPERVISION BANCAIRE Cours dirigé par Mme Nadia Gamha, Directrice Générale

Plus en détail

PIERRE MOSCOVICI, MINISTRE DE L ÉCONOMIE ET DES FINANCES, PRÉSENTE SON PLAN POUR LE RENFORCEMENT DE LA TRÉSORERIE DES ENTREPRISES

PIERRE MOSCOVICI, MINISTRE DE L ÉCONOMIE ET DES FINANCES, PRÉSENTE SON PLAN POUR LE RENFORCEMENT DE LA TRÉSORERIE DES ENTREPRISES PIERRE MOSCOVICI, MINISTRE DE L ÉCONOMIE ET DES FINANCES, PRÉSENTE SON PLAN POUR LE RENFORCEMENT DE LA TRÉSORERIE DES ENTREPRISES 1. Le constat : la trésorerie est l une des premières préoccupations des

Plus en détail

La comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements

La comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements La comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements Identité fondamentale: Y= C + I + G + EX - IM Y: PIB (Produit Intérieur Brut) C: Consommation I: Investissement G: Dépenses

Plus en détail

L implantation des banques marocaines en Afrique

L implantation des banques marocaines en Afrique L implantation des banques marocaines en Afrique L intégration de l économie marocaine à l économie mondiale est désormais une évidence qui fait l unanimité, le dynamisme de cette intégration a été rendu

Plus en détail

SWISS limite les pertes à 200 millions de CHF au premier trimestre

SWISS limite les pertes à 200 millions de CHF au premier trimestre Communiqué de presse 27 mai 2003 SWISS limite les pertes à 200 millions de CHF au premier trimestre La compagnie aérienne SWISS a réalisé un chiffre d affaires de 1 044 milliards de francs suisses au cours

Plus en détail

rapport ANNUEL 2013 ensemble GAGNoNS l'avenir,

rapport ANNUEL 2013 ensemble GAGNoNS l'avenir, rapport ANNUEL 2013 GAGNoNS l'avenir, ensemble Amphitéâtre El Jem Sommaire Profil de la BIAT 1. Environnement économique, bancaire et financier 1.1 Environnement économique 1.2 Environnement bancaire

Plus en détail

Plus de 43 000 recrutements et deux concours externes

Plus de 43 000 recrutements et deux concours externes Plus de 43 000 recrutements et deux concours externes 2013 marque le début de la refondation de la formation initiale des enseignants > Pour remplacer les départs des enseignants en 2013, 22 100 postes

Plus en détail

Emprunt Obligataire «Tunisie Leasing 2013-1»

Emprunt Obligataire «Tunisie Leasing 2013-1» EMISSION D UN EMPRUNT OBLIGATAIRE VISA du Conseil du Marché Financier : Portée du visa du CMF : Le visa du CMF, n implique aucune appréciation sur l opération proposée. Le prospectus est établi par l émetteur

Plus en détail

LOI N 99-64 DU 15 JUILLET 1999, RELATIVE AUX TAUX D'INTERET EXCESSIFS

LOI N 99-64 DU 15 JUILLET 1999, RELATIVE AUX TAUX D'INTERET EXCESSIFS LOI N 99-64 DU 15 JUILLET 1999, RELATIVE AUX TAUX D'INTERET EXCESSIFS Article premier. - Constitue un prêt consenti à un taux d'intérêt excessif, tout prêt conventionnel consenti à un taux d'intérêt effectif

Plus en détail

REVUE BANCAIRE. ...E pur si muove! Département Recherches & Analyses. ...Et pourtant elles tournent MAXULA BOURSE. Décembre 2012

REVUE BANCAIRE. ...E pur si muove! Département Recherches & Analyses. ...Et pourtant elles tournent MAXULA BOURSE. Décembre 2012 Département Recherches & Analyses REVUE BANCAIRE...E pur si muove!...et pourtant elles tournent Décembre 2012 MAXULA BOURSE Rue du lac Leman, Centre Nawrez 1053 Les Berges du Lac Tel: (+216 71) 960 530

Plus en détail

Cela a notamment conduit à l accroissement de la rentabilité du capital au détriment du travail dans toutes les économies occidentales.

Cela a notamment conduit à l accroissement de la rentabilité du capital au détriment du travail dans toutes les économies occidentales. 1 Contribution de Jean Pierre BRARD, député apparenté communiste de Seine Saint Denis, et de Bernard VERA, sénateur communiste de l Essonne, membres du groupe de travail Assemblée nationale Sénat sur la

Plus en détail

Banque Européenne. pour la Reconstruction et le Développement. Tunisie

Banque Européenne. pour la Reconstruction et le Développement. Tunisie Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement Tunisie Marie-Alexandra Veilleux Chef du Bureau de la BERD en Tunisie Sommaire 1. à la BERD 2. Les opérations de la BERD 3. 25 avril 2014 Banque

Plus en détail

Le Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises

Le Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises 27 mars 2008 Le Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises Résultat net part du groupe : 2 730 M Produit net bancaire : 10 568 M Coefficient

Plus en détail

b ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)

b ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales) b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de

Plus en détail

TABLE DES MATIERES. iii

TABLE DES MATIERES. iii RAPPORT DU COMITE DE POLITIQUE MONETAIRE N 1/2014 ii TABLE DES MATIERES LISTE DES ACRONYMES... iv RESUME ANALYTIQUE... v 1. ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE INTERNATIONAL... 1 1.1. Croissance du PIB mondial...

Plus en détail

Communiqué de presse 5 mars 2015

Communiqué de presse 5 mars 2015 RESULTATS ANNUELS 2014 : DYNAMIQUE DE CROISSANCE CONFIRMEE Accélération de la croissance organique des ventes Nouvelle progression du résultat opérationnel courant de +10,6% Hausse du résultat net des

Plus en détail

Présentation des résultats 2008 de la Banque de Tunisie

Présentation des résultats 2008 de la Banque de Tunisie Présentation des résultats 2008 de la Banque de Tunisie Mai 2009 Rencontre avec les Intermédiaires en Bourse Plan de la rencontre Composition du groupe Banque de Tunisie Faits marquants de l année 2008

Plus en détail

REVUE DE PRESSE Septembre 2014

REVUE DE PRESSE Septembre 2014 REVUE DE PRESSE Septembre 2014 ANPR - Agence Nationale de Promotion de la Recherche 6 Rue Ibn El Jazzar, 3 ème étage 1002 Lafayette Tunis Tél : +216 71 841 565 Fax : +216 71 842613 e mail : contact@pasri.tn

Plus en détail

pour la fourniture des services de télécommunications fixes et des services de télécommunications mobiles de deuxième et troisième génération ;

pour la fourniture des services de télécommunications fixes et des services de télécommunications mobiles de deuxième et troisième génération ; Décision n 67/2014 de l Instance Nationale des Télécommunications en date du 02 juillet 2014 portant fixation des méthodes de collecte des informations sur le secteur des télécommunications en Tunisie

Plus en détail

INSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES

INSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES INSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES La Banque Centrale du Congo, Vu la Loi n 005/2002 du

Plus en détail

UN REGAIN D OPTIMISME

UN REGAIN D OPTIMISME 2015 UN REGAIN D OPTIMISME Activité : reprise en pente douce Emploi : renforcement des effectifs Comme pressenti en novembre dernier, les chefs d entreprise de la région Rhône- Alpes anticipent un développement

Plus en détail

Particulier. activités Investisseur Ajout d un quatrième palier à. Entreprise

Particulier. activités Investisseur Ajout d un quatrième palier à. Entreprise Faits saillants Particulier Fractionnement de revenu de retraite entre conjoints Indexation contribution Faits parentale saillants au service ayant de un garde impact Crédit direct d impôt sur LogiRénov

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de

Plus en détail

COUR DES COMPTES RAPPORT GENERAL SUR LES RESULTATS DU CONTROLE DU FINANCEMENT DE LA CAMPAGNE

COUR DES COMPTES RAPPORT GENERAL SUR LES RESULTATS DU CONTROLE DU FINANCEMENT DE LA CAMPAGNE REPUBLIQUE TUNISIENNE CONSEIL D'ETAT COUR DES COMPTES RAPPORT GENERAL SUR LES RESULTATS DU CONTROLE DU FINANCEMENT DE LA CAMPAGNE ELECTORALE DES ELECTIONS DE L'ASSEMBLEE NATIONALE CONSTITUANTE JUILLET

Plus en détail

Meilleure appréhension des marchés et du positionnement de la PME :

Meilleure appréhension des marchés et du positionnement de la PME : I Mise à niveau des Petites et Moyennes Entreprises : La mise à niveau est un défi et un enjeu qui s inscrivent dans la démarche globale d amélioration de la compétitivité de l économie nationale en général

Plus en détail

Tendances de l insolvabilité au Canada

Tendances de l insolvabilité au Canada Tendances de l insolvabilité au Canada Ginette Trahan Directeur général, Services des relations externes Bureau du surintendant des faillites Le 16 novembre 2011 Association canadienne de la gestion de

Plus en détail

Performance des grands groupes bancaires français au 31 mars 2012

Performance des grands groupes bancaires français au 31 mars 2012 Performance des grands groupes bancaires français au 31 mars 2012 Mercredi 16 mai 2012 Sommaire : Introduction > Un premier trimestre 2012 impacté par des éléments exceptionnels > Une dynamique commerciale

Plus en détail

Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export

Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement

Plus en détail

SOMMAIRE. 3. Groupe BIAT et Participations 36 3.1 Groupe BIAT 3.2 Evolution du portefeuille participations

SOMMAIRE. 3. Groupe BIAT et Participations 36 3.1 Groupe BIAT 3.2 Evolution du portefeuille participations Mot du Président du Conseil d Administration Mot du Directeur Général Profil de la BIAT 10 1. Environnement économique, bancaire et financier 12 1.1 Environnement économique 1.2 Environnement bancaire

Plus en détail

Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé

Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique

Plus en détail

FICHE N 1 FONCTIONNEMENT DE L EIRL

FICHE N 1 FONCTIONNEMENT DE L EIRL L ENTREPRENEUR INDIVIDUEL À RESPONSABILITÉ LIMITÉE BERCY > LE 27 JANVIER 2010 FICHE N 1 FONCTIONNEMENT DE L EIRL Quel est l intérêt du dispositif? L EIRL permet la séparation du patrimoine de l entrepreneur,

Plus en détail

Session de Septembre 2010 Brevet de Technicien Professionnel (BTP)

Session de Septembre 2010 Brevet de Technicien Professionnel (BTP) République Tunisienne --- Ministère de la Formation Professionnnellle et de l Emploi --- Agnece Tunisienne de la Formation Professionnelle Session de Septembre 2010 Brevet de Technicien Professionnel (BTP)

Plus en détail

T 2.2. Autres TMM+1,25 TMM + 5. T 2 -Escompte d effets de transaction à 180 jours maximum T 2.1. Avalisés par une Banque..

T 2.2. Autres TMM+1,25 TMM + 5. T 2 -Escompte d effets de transaction à 180 jours maximum T 2.1. Avalisés par une Banque.. BAREME DES CONDITIONS DE BANQUE Banque Internationale Arabe de Tunisie Mars 2008 TAUX D INTERET A- TAUX DEBITEURS APPLICABLES AUX SECTEURS DONT LES TAUX D INTERET SONT LIBRES CATEGORIES DE CREDITS TAUX

Plus en détail

Quadro Paese Stream 2013-2015 TUNISIA

Quadro Paese Stream 2013-2015 TUNISIA DIREZIONE GENERALE PER LA COOPERAZIONE ALLO SVILUPPO Ufficio III Quadro Paese Stream 2013-2015 TUNISIA 1. Encadrement et raisons de la présence de la coopération italienne Les raisons qui font de la Tunisie

Plus en détail

PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2012 MISSION «ECONOMIE» COMPTE DE CONCOURS FINANCIERS PRETS ET AVANCES A DES PARTICULIERS OU A DES ORGANISMES PRIVES

PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2012 MISSION «ECONOMIE» COMPTE DE CONCOURS FINANCIERS PRETS ET AVANCES A DES PARTICULIERS OU A DES ORGANISMES PRIVES 1 24 novembre 2011 PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2012 - MISSION «ECONOMIE» ET COMPTE DE CONCOURS FINANCIERS PRETS ET AVANCES A DES PARTICULIERS OU A DES ORGANISMES PRIVES Examen en séance publique : lundi

Plus en détail

Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord

Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé

Plus en détail

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de

Plus en détail

NOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015)

NOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015) NOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015) En vue d éclairer l opinion publique tunisienne, initiée et non initiée, sur l opportunité de l émission obligataire

Plus en détail

Investissements et R & D

Investissements et R & D Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités

Plus en détail

Profil du programme. 2 Synapse Center version : 2.0

Profil du programme. 2 Synapse Center version : 2.0 SYNAPSE CENTER CHALLENGE Un programme de création d emplois pour les jeunes Synapse Center/IYF Profil du programme Titre du programme : Challenge Composantes : 1. Renforcement de l employabilité des jeunes

Plus en détail

10 questions / réponses TLG GROUPE FINANCIER. www.tunisiefactoring.com

10 questions / réponses TLG GROUPE FINANCIER. www.tunisiefactoring.com 10 questions / réponses Le livret du Factoring TLG GROUPE FINANCIER www.tunisiefactoring.com a le plaisir de vous faire parvenir ce livret sur le factoring (ou affacturage) qui reprend, en synthèse, une

Plus en détail

Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale?

Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 décembre 2014 à 14:22 Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? Ce chapitre ne fait plus partie du programme, mais il est conseillé de

Plus en détail

EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER

EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER Chapitre 25 Mankiw 08/02/2015 B. Poirine 1 I. Le système financier A. Les marchés financiers B. Les intermédiaires financiers 08/02/2015 B. Poirine 2 Le système

Plus en détail

[ les éco_fiches ] Situation en France :

[ les éco_fiches ] Situation en France : Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d

Plus en détail

Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique

Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de

Plus en détail

BANQUE CENTRALE DE TUNISIE

BANQUE CENTRALE DE TUNISIE 2011 BANQUE CENTRALE DE TUNISIE Rapport Annuel sur la Supervision Bancaire Juin 2013 2011 BANQUE CENTRALE DE TUNISIE Rapport Annuel sur la Supervision Bancaire Juin 2013 Rapport Annuel SUR LA SUPERVISION

Plus en détail

BANQUE CENTRALE DU CONGO

BANQUE CENTRALE DU CONGO BANQUE CENTRALE DU CONGO Allocution prononcée par Monsieur J-C. MASANGU MULONGO Gouverneur de la Banque Centrale du Congo à l occasion du lancement officiel de la Journée Internationale de l Epargne en

Plus en détail