Economie Industrielle, IO Industrial Organization
|
|
- Anne Thibodeau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Economie Industrielle, IO Industrial Organization Calendrier Les mercredi, de 16h30 à 18h30 Salle EG 104 TD les Jeudi de 16h00 à 18h00 Salle 57 Jean Bonnet 1
2 Le paradigme de l équilibre concurrentiel Arrow et Debreu ont défini un modèle d équilibre général dans lequel les consommateurs se différencient par leurs préférences, les biens sont caractérisés par leurs propriétés mais aussi leurs dates de fabrication, leurs localisations etc. Les Producteurs ont le choix de différentes techniques de production disponibles Surtout tous les agents sont des preneurs de prix. Dans ce cas les auteurs montrent qu il existe un équilibre général qui assure l équilibre sur tous les marchés des biens précurseur Walras- (l offre égale la demande) et surtout qui répond aux deux théorèmes fondamentaux du bien-être : Un équilibre compétitif est Pareto optimal (c est-à-dire qu un planificateur bienveillant et bien informé ne ferait pas mieux que le marché) Sous certaines hypothèses de convexité qui excluent les rendements d échelle croissants, cet équilibre compétitif peut être décentralisé (équilibre partiel) 2
3 Le paradigme de l équilibre concurrentiel Une propriété importante de l équilibre concurrentiel est que chaque bien est vendu à son coût marginal. Un producteur augmentera sa production si son prix est plus grand que son coût marginal et inversement réduira sa production si c est le contraire. Le Consommateur internalise le coût de production de l unité supplémentaire par ses choix (rôle de révélation des préférences du marché). A priori laissons faire le marché et pas il ne reste pas beaucoup de place pour l économie industrielle (IO). Cependant dans les faits, Certaines conditions ne sont pas remplies (absence d externalités, existence de biens publics, information parfaite) Concurrence n existe pas, le fait d être preneur de prix est plutôt l exception Ceci implique existence d un pouvoir de marché de la part des entreprises. «Capacité qu a une firme à fixer son prix au-dessus de ses coûts, spécialement au-dessus de son coût marginal qui est le coût de production d une unité supplémentaire» 3
4 Historiquement l économie industrielle a mis du temps à se faire reconnaître comme branche essentielle de l économie (en fait une sous-branche de la microéconomie prise Quelques de décision rationnelle questions des agents producteurs- selon Luis Cabral : quelque chose entre le monopole et la concurrence parfaite-) Deux vagues : Joe Bain and Edward Mason «The Harvard tradition» empirique, structurecomportement-performance, Régressions Profit i =f(concentration i, Barrières à l entrée i, ) Cependant difficile à interpréter (relations ne sont pas des causalités et de plus il faudrait tenir compte de la part de marché de chaque firme, dans ce cas relations avec concentrations pas si évidentes) dans les années «70», second courant plus théorique (en réponse aux insuffisances des études empiriques, à l intérêt de certains des meilleurs théoriciens pour le champ et au développement de nouveaux outils) On va utiliser théorie des jeux non coopératifs (on regarde stratégie de la firme ) et d autre part de grands progrès seront faits au niveau de l aspect temporel (prise en compte de la dynamique ) et de l asymétrie d information. 4
5 Un exemple de Luis Cabral : le Zantac Glaxo Wellcome est une firme américaine qui vend à un prix très élevé un médicament contre les ulcères sous le nom de Zantac 1) Evidemment le vendeur maximise son profit 2) Pourquoi pas de pertes de clients -pas de substituts au produit (on dit alors que Glaxo Wellcome a un degré significatif de pouvoir de marché) -pourquoi les autres firmes ne l imitent-elles pas? (Schumpeter), car l entreprise possède des brevets qui protègent son produit phare. Cependant la cour fédérale a autorisé une autre firme Novopharm à mettre sur le marché un produit générique qui utilise la molécule active du produit de Glaxo Wellcome : la ranitidine. Le prix de vente du Zantac générique est divisé par 7,5 mais Glaxo Wellcome continue de vendre car dans l imaginaire des patients le générique n est pas le médicament initial. Dans ce cas précis, la publicité a joué un rôle important. Ce n est pas la valeur du produit qui compte mais ce que les consommateurs et les docteurs qui agissent comme des agents pour les consommateurs finals pensent. 5
6 Un exemple de Luis Cabral : le Zantac Glaxo Wellcome peut se plaindre au sujet des génériques qui graduellement vont éroder son pouvoir de marché. Mais à l origine, le Zantac était aussi un produit introduit par Glaxo pour concurrencer le Tagamet produit par SmithKline, suffisamment différent pour ne pas tomber sous la loi de protection des brevets. Glaxo a ensuite fusionné avec Wellcome en raisons de synergies dans la connaissance des traitements médicamenteux. Au final : cette histoire illustre les principaux thèmes de l économie industrielle Glaxo Wellcome a un pouvoir de marché significatif qui résulte d une fusion entre Glaxo et Wellcome qui ont établi leur position grâce à une stratégie de R et D intelligente ce qui leur a permis de concurrencer sérieusement le Tagamet, grâce aussi à une stratégie de marché offensive. Pendant un temps la position de Zantac été protégée par des brevets. Ce n est plus le cas ce qui signifie que la différenciation du produit par rapport aux rivaux devient maintenant une priorité. Le but étant de garder son pouvoir de marché. 6
7 Quelques questions Y a t-il un pouvoir de marché dans certaines industries? (industrie aérienne, pharmaceutique, supermarché au niveau local). Comment les firmes cherchent-elles à créer ce pouvoir de marché, l utiliser et le protéger? La théorie des jeux permet de comprendre comment la concurrence peut s'analyser comme une bataille pour les rentes de monopole où la concurrence hors prix (publicité, design, recherche et développement) créée un environnement où les firmes peuvent abriter leurs profits. Quelles sont aussi les pratiques industrielles qui garantissent cette recherche de rente dans les conditions de la recherche d un optimum social? Dans la réalité les marchés de concurrence parfaite n existent pas et le bien être social n est donc pas maximum. L intervention du gouvernement (lois antitrust, taxes et subventions, qualité standard minimum requise etc.) fait partie des moyens utilisés pour corriger les imperfections de marché. Economie industrielle largement consacrée aux causes et conséquence du pouvoir de marché des entreprises. 7
8 Différentes formes de marché existent produit homogène produit différencié Une firme monopole monopole Beaucoup de firmes Peu de firmes concurrence pure et oligopole parfaite homogène concurrence oligopole monopolistique différencié Un marché concurrentiel est une structure de marché par laquelle les agents (consommateurs, producteurs) se comportent de manière concurrentielle, c est-àdire considèrent le prix de marché comme une donnée et donc qu il n est pas influencé par le comportement d un autre agent particulier. Sur un marché concurrentiel, un producteur estime que sa production n influence pas le prix de marché. Le prix est la résultante du comportement des forces du marché, i.e. l ensemble des consommateurs et des producteurs. L oligopole inclut également le modèle de marché à firmes dominantes et frange concurrentielle (asymétrie de pouvoir entre firmes). Classement selon les caractéristiques de la demande : -1 seul acheteur bcp d offreurs : monopsone -peu d acheteurs bcp d offreurs : oligopsone -autres : monopole bilatéral, oligopole bilatéral 8
9 Equilibre partiel Pour aller vers des modèles plus réalistes, on doit adopter la notion d équilibre partiel, c est-à-dire sur un seul marché (sans interactions avec les autres marchés et le reste de l économie). Pour cela on retiendra deux hypothèses : * La demande pour un bien décroît avec son prix, (hypothèse naturelle sauf pour les cas très spéciaux relevant de l effet Giffen voir complément-) * le changement dans le bien être des consommateurs peut être mesuré par le surplus des consommateurs. Compris comme étant la valeur de la somme de la disposition à payer au dessus du prix de vente du bien de la part des «n» consommateurs qui achètent effectivement chacun un bien avec pour chacun une disposition à payer différente. Ou un consommateur dont la disposition à payer diminue au fur et à mesure de l accroissement de la quantité de biens consommés (principe de satiété). Comme le surplus des producteurs est défini comme le profit de la firme dans l industrie et qu il correspond à l aire comprise entre la courbe d offre et le prix de vente, le surplus global de l économie est égal à la somme du surplus des consommateurs et des producteurs et on montre que le surplus total est maximisé quand le prix du consommateur est égal au coût marginal. L introduction d une taxe se traduit par une variation négative du surplus global et par l apparition d une perte sèche («dead-weight loss») 9
10 Interactions stratégiques Dans un marché oligopolistique, une firme ne rencontre pas par définition un environnement passif. Nous devons donc introduire les interactions stratégiques des preneurs de décision. Pour ceci la théorie des jeux non coopératifs est un outil permettant de comprendre le choix des agents économiques. Le temps est aussi apprécié en considérant des décisions simultanées ou séquentielles. Quelles sont alors les variables de décision stratégique? Tout d abord le prix, Mais aussi certaines dépenses comme les dépenses de publicité La décision d innover La décision d entrée etc Le conflit entre l intérêt individuel et l intérêt collectif caractéristique du dilemme du prisonnier se retrouve en économie industrielle. Par exemple, deux entreprises leaders sur un marché ont souvent tendance à se livrer une concurrence sans merci (en termes de prix, de publicité, etc.) alors qu une entente aurait permis de limiter les coûts pour chacune d entre elles. La confrontation des intérêts individuels ne débouche pas nécessairement sur l optimum social. 10
11 Concurrence parfaite Comportement de preneur de prix Décision quantité produite Concurrence imparfaite Oligopole Duopole chaque firme fait face demande résiduelle Non coopératif Statique ND Coopératif Monopole Fait face à toute la demande D Dynamique ND D Prise de décision séquentielle Modèles de leader et de suiveurs Prise de décision simultanée: prix ou quantité Cournot qté Bertrand prix Jeux répétés 11
12 Plan : Chapitre 1 : Rappels Quelques questions Chapitre 2 : La concurrence entre entreprises sur des marchés oligopolistiques pour des biens homogènes Chapitre 3 : La concurrence entre entreprises sur des marchés oligopolistiques pour des biens différenciés Chapitre 4 : Recherche et développement et adoption de nouvelles technologies Chapitre 5 : Entrée et sortie 12
13 Supports de cours Présentation PowerPoint Compléments et TD en ligne Manuel TIROLE Jean «The theory of Industrial organization» 1988, The MIT Press, Cambridge (USA). SHY Oz, «Industrial Organization: Theory and applications», 1996, The MIT Press, Cambridge (USA). CABRAL Luis M.B., «Industrial Organization», 2000, The MIT Press, Cambridge (USA). 13
14 Modalités d examen Oral avec choix d une question sur deux sujets proposés tirés par l étudiant. Jean Bonnet, Enseignant-chercheur au Centre de Recherche en Economie et Management CREM (CAEN) Bureau EG 215 2ième étage Téléphone:
L oligopole ESCP 2012 2103
Structures de marché L oligopole Anne Yvrande Billon ESCP 2012 2103 1 Plan du cours (1/2) 1. Introduction : qu est ce qu un oligopole? 2. L oligopole de Cournot 3. Le «paradoxe de Bertrand» 2 1. Introduction
Plus en détailConcurrence imparfaite
Concurrence imparfaite 1. Le monopole 2. Concurrence monopolistique 3. Hotelling et Salop 4. Concurrence à la Cournot 5. Concurrence à la Bertrand 6. Concurrence à la Stackelberg Monopole Un monopole,
Plus en détailJoueur B Pierre Feuille Ciseaux Pierre (0,0) (-1,1) (1,-1) Feuille (1,-1) (0,0) (-1,1) Ciseaux (-1,1) (1,-1) (0.0)
CORRECTION D EXAMEN CONTROLE CONTINU n 1 Question de cours Question 1 : Les équilibres de Cournot et de Stackelberg sont des équilibres de situation de duopole sur un marché non coopératif d un bien homogène.
Plus en détailN d anonymat : Remarques générales :
N d anonymat : Introduction à la Microéconomique Examen final Licence 1 Economie-Gestion 2010/2011 Enseignants (cours et travaux dirigés) : N. Andries, S.Billon et E. Darmon Eléments de correction Remarques
Plus en détailMarchés oligopolistiques avec vente d un bien non homogène
Marchés oligopolistiques avec vente d un bien non homogène Partons de quelques observations : 1. La plupart des industries produisent un grand nombre de produits similaires mais non identiques; 2. Parmi
Plus en détailChapitre 3 Dans quelles circonstances les entreprises peuvent-elles exercer un pouvoir de marché?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 23 février 2015 à 16:02 Chapitre 3 Dans quelles circonstances les entreprises peuvent-elles exercer un pouvoir de marché? 1 Quelles sont les différentes structures
Plus en détail3. La concurrence pure et parfaite, quel intérêt?
- Enfin, la question de la modification «temporelle» de l équilibre peut être posée. A l origine, la rencontre de l offre et de la demande sur le marché aboutit à la fixation d un prix de marché, qui,
Plus en détailEconomie Industrielle 06
Economie Industrielle 06 Structure de marché et pouvoir de marché Marc Bourreau Marianne Verdier Telecom ParisTech & Université Paris Ouest MB-MV (TPT-Univ. ParisOuest) Cours 06 : Structure de marché et
Plus en détailJeux sous forme extensive (Jeux dynamiques)
(Jeux dynamiques) Plan du chapitre ( juillet 008) / éfinitions, exemples et équivalences Arbres de jeux, information et mémoire tratégies et réduction en forme normale Équilibre de Nash parfait en sous-jeux
Plus en détailLa demande Du consommateur. Contrainte budgétaire Préférences Choix optimal
La demande Du consommateur Contrainte budgétaire Préférences Choix optimal Plan du cours Préambule : Rationalité du consommateur I II III IV V La contrainte budgétaire Les préférences Le choix optimal
Plus en détailL entreprise et son environnement économique
CHAPITRE1 L entreprise et son environnement économique OBJECTIFS DU CHAPITRE Présenter les notions d entreprise et d environnement économique ; Présenter les structures fondamentales et les différentes
Plus en détailOrganisation Industrielle
Organisation Industrielle Chapitre 1 : Introduction Master 1 Université Lyon 2 Laurent Granier - Année 2011/2012 - Définition de l économie industrielle «Etude de la structure des entreprises et des marchés,
Plus en détailIntroduction à la Microéconomie Contrôle continu Licence 1 Economie-Gestion 2009/2010 Enseignants : E. Darmon F.Moizeau B.Tarroux
Nom : Prénom : Num Etudiant : Groupe de TD : Introduction à la Microéconomie Contrôle continu Licence 1 Economie-Gestion 2009/2010 Enseignants : E. Darmon F.Moizeau B.Tarroux PRECISEZ ICI SI VOUS AVEZ
Plus en détailCHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR. A - Propriétés et détermination du choix optimal
III CHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR A - Propriétés et détermination du choix optimal La demande du consommateur sur la droite de budget Résolution graphique Règle (d or) pour déterminer la demande quand
Plus en détailThéorie des Jeux Et ses Applications
Théorie des Jeux Et ses Applications De la Guerre Froide au Poker Clément Sire Laboratoire de Physique Théorique CNRS & Université Paul Sabatier www.lpt.ups-tlse.fr Quelques Définitions de la Théorie des
Plus en détailConcurrence et économie industrielle
Concurrence et économie industrielle THIIERRY PENARD PROFESSEUR D ECONOMIE A L UNIVERSITE DE RENNES 1, CREM L économie industrielle s intéresse à l organisation des marchés et des entreprises. La question
Plus en détailMarchés, réseaux et politique de la concurrence. Claude Crampes (claude.crampes@tse-fr.eu)
Marchés, réseaux et politique de la concurrence Claude Crampes (claude.crampes@tse-fr.eu) Toulouse, avril 2015 2. Comportements anti-concurentiels 2.1. Choix stratégiques 2.2. Abus de position dominante
Plus en détail5- La concurrence dans le secteur de la banque de détail
5- La concurrence dans le secteur de la banque de détail Objectifs : rappels des principes de fonctionnement des marchés quelques applications au secteur de la banque de détail Plan : 1 ère partie : 1-
Plus en détailL impact économique du développement des marques de distributeurs
L impact économique du développement des marques de distributeurs Fabian Bergès-Sennou, Philippe Bontems et Vincent Réquillart Université de Toulouse (GREMAQ-UMR INRA 1291, IDEI) Avril 2007 Adresse postale
Plus en détailManagement Stratégique. Saïd YAMI Maître de Conférences en Sciences de Gestion ERFI/ISEM Université Montpellier 1 Cours de Master 1.
Management Stratégique Saïd YAMI Maître de Conférences en Sciences de Gestion ERFI/ISEM Université Montpellier 1 Cours de Master 1 Plan du Module 3 Chap.3- Les modèles fondés sur la structure des marchés
Plus en détailLa microéconomie est-elle utile?
La microéconomie est-elle utile? Les manuels de microéconomie comportent généralement des centaines de pages, pleines de courbes et de formules mathématiques. Une proportion importante des articles publiés
Plus en détailChapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne
hapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne I : La fonction de consommation keynésienne II : Validations et limites de la fonction de consommation keynésienne III : Le choix de consommation
Plus en détailDuopole avec biens d expérience et consommateurs raisonnant par similarité
Duopole avec biens d expérience et consommateurs raisonnant par similarité Reynald-Alexandre LAURENT 22 février 2007 Première version - Préliminaire Résumé Deux firmes sont présentes sur le marché d un
Plus en détailChapitre 5. Équilibre concurrentiel et bien-être
Chapitre 5 Équilibre concurrentiel et bien-être Microéconomie III 5 1 5.1 Qu est-ce qu un équilibre souhaitable socialement? E cacité versus équité Que nous permet de dire la science économique sur l e
Plus en détailQu est-ce que la Bourse?
Qu est-ce que la Bourse? Une bourse est un marché sur lequel se négocient des valeurs mobilières. Les émetteurs y offrent des titres que les investisseurs achètent ; ces derniers financent alors les agents
Plus en détailINTRODUCTION. 1. L innovation permet de renforcer la compétitivité de l entreprise et influe sur les stratégies mises en oeuvre
INTRODUCTION Il y a 20 ans, toute l attention de l entreprise se portait sur la diminution des coûts et la maîtrise des filières de production autour des produits standardisés. Dans les années 1990, le
Plus en détailCours organisés par le CPLN-EPC formations supérieures
Brevet fédéral de spécialiste de la conduite d un groupe Certificats en Leadership & Management Cours organisés par le CPLN-EPC formations supérieures Version 2011-2012 1. PRÉSENTATION DE LA FORMATION
Plus en détailExercices du Cours de la programmation linéaire donné par le Dr. Ali DERBALA
75. Un plombier connaît la disposition de trois tuyaux sous des dalles ( voir figure ci dessous ) et il lui suffit de découvrir une partie de chacun d eux pour pouvoir y poser les robinets. Il cherche
Plus en détailLE CHEMINEMENT COMPLEXE D UN VACCIN
LE CHEMINEMENT COMPLEXE D UN VACCIN Chaîne de production, exigences réglementaires et accès aux vaccins International Federation of Pharmaceutical Manufacturers & Associations LE CHEMINEMENT COMPLEXE D
Plus en détailÉtude des tendances en matière de soins de santé au Canada
www.bucksurveys.com Étude des tendances en matière de soins de santé au Canada Résultats 2011 Introduction: Faibles augmentations à tous les niveaux Depuis que Buck a lancé, en 2001, sa première Étude
Plus en détailI) L ouverture des économies à l international
L autarcie s oppose au système du libreéchange. I) L ouverture des économies à l international A) La mesure des échanges de biens et services. La balance des transactions courantes. Cette balance retrace
Plus en détailMaster of Public Administration Fédéralisme et gouvernance multi-niveaux Eléments d analyse économique du fédéralisme
Master of Public Administration Fédéralisme et gouvernance multi-niveaux Eléments d analyse économique du fédéralisme Nils.Soguel@idheap.unil.ch www.idheap.ch > finances publiques Permission to make digital
Plus en détailFONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX
FONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX 1. L effet d une variation du revenu. Les lois d Engel a. Conditions du raisonnement : prix et goûts inchangés, variation du revenu (statique comparative) b. Partie
Plus en détailThéorie Financière 2014-2015
Théorie Financière 2014-2015 1. Introduction Professeur Kim Oosterlinck E-mail: koosterl@ulb.ac.be Organisation du cours (1/4) Cours = Théorie (24h) + TPs (12h) + ouvrages de référence Cours en français
Plus en détailMANAGEMENT SPÉCIALISTE DE LA CONDUITE D'UN GROUPE ET CERTIFICATS EN LEADERSHIP & MANAGEMENT
Secteur Tertiaire MANAGEMENT SPÉCIALISTE DE LA CONDUITE D'UN GROUPE ET CERTIFICATS EN LEADERSHIP & MANAGEMENT Brevet fédéral Préparation aux examens 1 Situation de la formation Domaines Bilans de compétences
Plus en détailSimulation centrée individus
Simulation centrée individus Théorie des jeux Bruno BEAUFILS Université de Lille Année 4/5 Ce document est mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Partage dans les
Plus en détailDeuxième partie es jeux non-coopératifs avec information complète 3. É quilibre de Nash (1951) 4. D ynamique et rétroduction 5.
Deuxième partie Les jeux non-coopératifs avec information complète 3. Équilibre de Nash (1951) 35 4. Dynamique et rétroduction 61 5. Jeux répétés 85 3. Équilibre de Nash (1951) John Nash a généralisé
Plus en détailP A P 1 D 1 -S 1 S 1 D 1
Les instruments de la politique commerciale - tarifs: source de revenu et protection des industries nationales -pécifiques : montant fixe par unité de bien importé (exemple: 100 par voiture) -Ad-valorem:
Plus en détailBanque nationale suisse
IFFP Institut fédéral des hautes études en formation professionnelle Combinaison des politiques budgétaires et monétaires 22.01.2010, Lausanne 8h45 12h 12h45 16h David Maradan, chargé de cours UNIGE et
Plus en détailb ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)
b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de
Plus en détailRegional Seminar for Certain African Countries on the Implementation and Use of Several Patent-Related Flexibilities
REPUBLIC OF SOUTH AFRICA Regional Seminar for Certain African Countries on the Implementation and Use of Several Patent-Related Flexibilities Topic 9: The Use of Compulsory Licenses Durban, South Africa
Plus en détailGESTION ANNEE 2005-2006 ~ SEMESTRE 1
GESTION ANNEE 2005-2006 ~ SEMESTRE 1 CHAPITRE 1 : LES DIFFERENTES DEFINITIONS DE L ENTREPRISE Section 1: Approche entrepreneuriale Section 2 : Approche organisationnelle Section 3 : Approche comptable
Plus en détailPolitiques monétaire et fiscale Cours de M2R Printemps 2006
Politiques monétaire et fiscale Cours de M2R Printemps 2006 Ekkehard Ernst OCDE Ekkehard Ernst 1 Introduction et résumé du cours Objectifs Connaître et apprendre les concepts modernes d analyse monétaire
Plus en détailOptimisation de l équilibre offre-demande, rôle des interconnexions et impact de l arrêt du nucléaire allemand pour EDF
Optimisation de l équilibre offre-demande, rôle des interconnexions et impact de l arrêt du nucléaire allemand pour EDF 07 juin 2011 Philippe TORRION Directeur Optimisation Amont/Aval et Trading Sommaire
Plus en détailL Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte
L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en
Plus en détailTaille optimale dans l industrie du séchage du bois et avantage compétitif du bois-énergie : une modélisation microéconomique.
Taille optimale dans l industrie du séchage du bois et avantage compétitif du bois-énergie : une modélisation microéconomique Alexandre SOKI cole Supérieure du ois Atlanpôle P 10605 Rue hristian Pauc 44306
Plus en détailOPTIMISATION DE LA MAINTENANCE DES EQUIPEMENTS DE MANUTENTION DU TERMINAL A CONTENEURS DE BEJAIA (BMT)
OPTIMISATION DE LA MAINTENANCE DES EQUIPEMENTS DE MANUTENTION DU TERMINAL A CONTENEURS DE BEJAIA (BMT) LAGGOUNE Radouane 1 et HADDAD Cherifa 2 1,2: Dépt. de G. Mécanique, université de Bejaia, Targa-Ouzemour
Plus en détailSystème ASC unitaire triphasé. PowerScale 10 50 kva Maximisez votre disponibilité avec PowerScale
Système ASC unitaire triphasé 10 50 kva Maximisez votre disponibilité avec Protection de première qualité est un système ASC triphasé de taille moyenne qui offre une protection électrique remarquable pour
Plus en détailSéquence 2. Stratégies d entreprises et politique de concurrence dans une économie globalisée
Séquence 2 Stratégies d entreprises et politique de concurrence dans une économie globalisée Sommaire Introduction 1. Dans quelles circonstances les entreprises peuvent-elles exercer un pouvoir de marché?
Plus en détailglossaire Appellation commerciale Voir nom de marque.
glossaire Accessibilité financière Le coût d un traitement par rapport au revenu de la population. dans cette enquête, le salaire journalier minimum d un employé non-qualifié du secteur public est comparé
Plus en détailFondements de l'analyse Économique Travaux Dirigés
Fondements de l'analyse Économique Travaux Dirigés Cours de Nicolas Drouhin Chargés de TD : Alexandre de Cornière & Marc Sangnier Octobre 2008 École Normale Supérieure de Cachan - Département Économie
Plus en détailMédicaments en vente libre : Considérations pour la pratique de la thérapie physique au Canada
Médicaments en vente libre : Considérations pour la pratique de la thérapie physique au Canada Contexte L utilisation de médicaments par un professionnel de la santé n étant pas médecin évolue et dépend
Plus en détailPEPI GPI (Gestion de Projet Informatique) - Note de Cadrage décembre 2010 -
I N S T I T U T N A T IO N A L D E L A R E C H E R C H E A G R O N O M I Q U E Pepi Gestion de Projets Informatiques PEPI GPI (Gestion de Projet Informatique) - Note de Cadrage décembre 2010-1 Préambule...
Plus en détailAES L1 - Economie Générale
AES L1 - Economie Générale 1 Equilibre sur un marché concurentiel Coordination par les prix Efficacité des allocations - L1 AES - Université de Tours, Arnold Chassagnon, PSE, Septembre 2012 PLAN DU COURS
Plus en détailAssurance maladie publique et «Opting out» - Réflexions théoriques
Assurance maladie publique et «Opting out» - Réflexions théoriques Carine Franc CREGAS INSERM - U 537 Une définition de «l opting out» «to opt out» : choisir de ne pas participer ; [hopital, school] choisir
Plus en détailDU Paris II Modèle de l économie numérique. Commerce électronique et conflits de canaux de distribution
DU Paris II Modèle de l économie numérique Commerce électronique et conflits de canaux de distribution Introduction La notion de canaux de distribution : => réseaux de distribution propre : automobiles,
Plus en détailGOUVERNEMENT WALLON Conseil de la Fiscalité et des Finances de Wallonie
GOUVERNEMENT WALLON Conseil de la Fiscalité et des Finances de Wallonie Rapport relatif à l étude de la faisabilité d un impôt sur la fortune en Wallonie Mai 2015 1 1. Etude de la faisabilité d un point
Plus en détailAreva, un groupe industriel intégré
Areva, un groupe industriel intégré Areva est un groupe industriel à l'histoire très récente : né en septembre 2001 de la fusion des entreprises Cogema, Framatome, CEA-Industrie et Technicatome, il est
Plus en détailProgrammation Linéaire - Cours 1
Programmation Linéaire - Cours 1 P. Pesneau pierre.pesneau@math.u-bordeaux1.fr Université Bordeaux 1 Bât A33 - Bur 265 Ouvrages de référence V. Chvátal - Linear Programming, W.H.Freeman, New York, 1983.
Plus en détailUN PROGRAMME INNOVANT AU CŒUR DES ENJEUX COMPÉTITIFS DE L ENTREPRISE MODERNE
UN PROGRAMME INNOVANT AU CŒUR DES ENJEUX COMPÉTITIFS DE L ENTREPRISE MODERNE SE DOTER D UNE VISION SYSTÉMIQUE DU MANAGEMENT STRATÉGIQUE BASÉ SUR LA THÉORIE DES CONTRAINTES (TOC), LE «LEAN MANUFACTURING»
Plus en détailGUIDE PRATIQUE DES CONCEPTS ET THÉORIES ÉCONOMIQUES
GUIDE PRATIQUE DES CONCEPTS ET THÉORIES ÉCONOMIQUES 1 TABLE DES MATIÈRES AVANT-PROPOS MICROÉCONOMIE Le consommateur... 11 Coût d opportunité; Analyse marginale; Loi de l utilité marginale décroissante;
Plus en détailGENIE DES SYSTEMES INDUSTRIELS
MASTER SCIENCES, TECHNOLOGIES, SANTE/STAPS GENIE DES SYSTEMES INDUSTRIELS Spécialité Risques Industriels et Maintenance www.univ-littoral.fr OBJECTIFS DE LA FORMATION L objectif du master régional GSI
Plus en détaildirectement ou indirectement, par le biais d une ou plusieurs applications de niveau intermédiaire et c) ajoute des fonctionnalités significatives et
CONTRAT DE LICENCE D UTILISATION DU LOGICIEL CRYSTAL REPORTS POUR IBM RATIONAL SOFTWARE ARCHITECT ET RATIONAL APPLICATION DEVELOPER (LES «PRODUITS OEM») IMPORTANT - À LIRE ATTENTIVEMENT : LE PRÉSENT DOCUMENT
Plus en détailLes médicaments génériques : un pas vers la maîtrise des dépenses en soins de santé
Le 9 janvier 2007. Les médicaments génériques : un pas vers la maîtrise des dépenses en soins de santé Michel Rosenfeldt Introduction Evolution des dépenses des soins de santé en Belgique La population
Plus en détailPhilippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM Normandie Université (Univ. Rouen)
20 ème Congrès du CIRIEC International Buenos Aires, octobre 2014 Philippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM Normandie Université (Univ. Rouen) 1 Hétérodoxie versus
Plus en détailModèle de demande d'habilitation d'un Mastère LMD
Modèle de demande d'habilitation d'un Mastère LMD Pour les années universitaires de 009-00 à 0-03 Université : Tunis Etablissement : ISG Mastère Professionnel De Recherche FINANCE A soumettre à la Commission
Plus en détailLicence ProDon standard
LIICENCE ET MODULES DIISPONIIBLES Le logiciel ProDon existe depuis 1992. Comme il est utilisé par des fondations et des organismes de toutes envergures, plusieurs modules ont été développés pour combler
Plus en détailECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION
ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION On constate trois grandes phases depuis la fin de la 2 ème guerre mondiale: 1945-fin 50: Deux blocs économiques et
Plus en détailÉconomie de l environnement
on Économie de l environnement Cours donné à la Plateforme Environnement de l ENS Paris Patrice Dumas Ce cours a pour intitulé Économie de l environnement, il s agit d une introduction littéraire à l économie
Plus en détailLAISSER FAIRE OU REGULATION? UNE SYNTHESE DES
LAISSER FAIRE OU REGULATION? UNE SYNTHESE DES THEORIES ECONOMIQUES. Etienne LEHMANN ERMES Université Panthéon Assas Paris 2 IRES Université Catholique de Louvain et IZA Bonn 12 place du Panthéon 75 012
Plus en détailBrevet fédéral. Examen final à blanc. Informaticien-ne - Tronc commun. Version 1.1.0
Brevet fédéral Informaticien-ne - Tronc commun Version 1.1.0 Problème Module Points 1 15 2 14 3 10 4 10 5 14 6 16 7 15 8 20 9 21 10 14 11 16 12 15 Septembre 2011 Page 1 de 13 Problème 1 15 points Introduction
Plus en détailUne nouvelle norme mondiale sur la comptabilisation des produits
Une nouvelle norme mondiale sur la comptabilisation des produits Les répercussions pour le secteur des logiciels et des services infonuagiques Novembre 2014 L International Accounting Standards Board (IASB)
Plus en détailLes aspects prix de transfert des biens incorporels. Frédéric Lubczinski Avocat à la Cour Département Taxes
Les aspects prix de transfert des biens incorporels Frédéric Lubczinski Avocat à la Cour Département Taxes Sommaire I- Le concept de prix de transfert II- Les biens incorporels III- Les réflexions actuelles
Plus en détailLE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE.
LE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE. Synthèse des travaux réalisés 1. Problématique La question D7 du plan d exécution du Programme National de Recherches
Plus en détailMegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant
MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité
Plus en détailLa nouvelle dimension de l analyse acoustique et vibratoire
La nouvelle dimension de l analyse acoustique et vibratoire HEAD Gallery Des fonctions innovantes intégrées dans une technologie de pointe ArtemiS suite est la solution logicielle intégrée de HEAD acoustics
Plus en détailSTEPHANE DODIER, M.B.A. Sommaire. Compétences. Formation académique 514-608- 5865. sdodier@stephanedodier.com. Stephane Dodier MBA
STEPHANE DODIER, M.B.A. 514-608-5865 Sommaire J occupe le poste de Vice-Président Exécutif pour Optimum informatique, une firme de servicesconseils informatique appartenant au Groupe financier Optimum.
Plus en détailL'ELASTICITE-PRIX I- QUAND LES PRIX VARIENT...
L'ELASTICITE-PRIX La consommation dépend, entre autre, du prix des biens et des services que l'on désire acheter. L'objectif de ce TD est de vous montrer les liens existants entre le niveau et l'évolution
Plus en détailLe commerce des promesses Petit traité sur la finance moderne
Le commerce des promesses Petit traité sur la finance moderne Pierre-Noël Giraud (Seuil, 2009, 10 50) Voilà un livre tout à fait remarquable, qui prouve qu il est possible de traiter de questions essentielles,
Plus en détailLes nouvelles théories du commerce international. I) Echanges internationaux et rendements croissants
Milan VUJISIC. Professeur agrégé d Economie et Gestion 1 Les nouvelles théories du commerce international Dans les années 80, l approche jusqu alors dominante est supplantée par «une nouvelle théorie du
Plus en détailLES ETAPES DU MANAGEMENT LE CONTEXTE MONDIAL
LE CONTEXTE MONDIAL LE CONTEXTE COUTS QUALITE DELAIS LE RÔLE DU MANAGER ROLE DU MANAGER A ) ROLE DE GESTIONNAIRE FINALITE PRODUIRE. Ateindre les objectifs MOYENS GERER Organiser / Planifier / coordonner
Plus en détailDROIT, ÉCONOMIE & GESTION MASTER DROIT DES AFFAIRES. Droit européen des affaires. www.univ-littoral.fr
DROIT, ÉCONOMIE & GESTION MASTER DROIT DES AFFAIRES Droit européen des affaires www.univ-littoral.fr OBJECTIFS DE LA FORMATION Spécialisation en Droit européen et français des Affaires COMPETENCES VISEES
Plus en détailRéunion du Bureau du Conseil de Quartier Centre
Réunion du Bureau du Conseil de Quartier Centre Lundi 14 mars 2011 19h30 salle du Conseil Mairie du 4 Présents : François VIDALIN, Antoine IAFRATE, Dominique VITAL DURAND, Thierry TOULLEC, Jean Jacques
Plus en détailCharte pour la communication sur internet des entreprises pharmaceutiques
DIRECTION DE L EVALUATION DE LA PUBLICITE, DES PRODUITS COSMETIQUES ET DES BIOCIDES Charte pour la communication sur internet des entreprises pharmaceutiques Préambule Mise à jour 2010 Au plan mondial,
Plus en détailCHAPITRE II : LES GRANDS COURANTS DE L ANALYSE ECONOMIQUE
2009-2010 CHAPITRE II : LES GRANDS COURANTS DE L ANALYSE ECONOMIQUE Christelle ZENG ANALYSE ECONOMIQUE ET HISTORIQUE DES SOCIETES CONTEMPORAINES C P G E E C E INTRODUCTION GENERALE 1) La pensée économique
Plus en détailMéthode : On raisonnera tjs graphiquement avec 2 biens.
Chapiittrre 1 : L uttiilliitté ((lles ménages)) Définitions > Utilité : Mesure le plaisir / la satisfaction d un individu compte tenu de ses goûts. (On s intéresse uniquement à un consommateur rationnel
Plus en détailCHAPITRE IV Les externalités
CHAPITRE IV Les externalités 6 avril 2011 Une externalité désigne une situation où un agent économique influe indirectement sur la situation d autres agents, sans qu ils n aient été consultés et touchent
Plus en détailAnimateur Numérique de Territoire
Animateur Numérique de Territoire Promo 1 : «Monum ANT Valley» 10 jours de formation sur 1 an 13 stagiaires Objectif : acquérir les clés pour veiller àla présence optimale de notre destination sur Internet
Plus en détail1 Les forces motrices de la mondialisation : entre vouloir et pouvoir... 12
TABLE DES MATIÈRES Remerciements... 5 Préface... 7 Introduction... 11 1 Les forces motrices de la mondialisation : entre vouloir et pouvoir... 12 A De l idéologie à la volonté politique... 12 B L enjeu
Plus en détailComparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10
PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?
Plus en détailIntroduction à la Théorie des Jeux p.1/77
Introduction à la Théorie des Jeux Sébastien Konieczny konieczny@cril.univ-artois.fr CRIL-CNRS Université d Artois - Lens Introduction à la Théorie des Jeux p.1/77 Théorie des Jeux Définition La théorie
Plus en détailChapitre 3 : INFERENCE
Chapitre 3 : INFERENCE 3.1 L ÉCHANTILLONNAGE 3.1.1 Introduction 3.1.2 L échantillonnage aléatoire 3.1.3 Estimation ponctuelle 3.1.4 Distributions d échantillonnage 3.1.5 Intervalles de probabilité L échantillonnage
Plus en détailDébouchés professionnels
Master Domaine Droit, Economie, Gestion Mention : Monnaie, Banque, Finance, Assurance Spécialité : Risque, Assurance, Décision Année universitaire 2014/2015 DIRECTEUR de la spécialité : Monsieur Kouroche
Plus en détailLes variables contrôlables et l environnement l marketing
Les variables contrôlables et l environnement l du marketing Denis Pettigrew Normand Turgeon Chapitre 2 Réalisé par Gilbert Rock et adapté par Guy Grégoire Sommaire Le marketing mix Le produit Le prix
Plus en détailLa Conférence internationale de Genève sur la gestion des marques
10. INTERNATIONALES MARKENTECHNIKUM La Conférence internationale de Genève sur la gestion des marques Les marques sous la pression de la mondialisation Dr. Carsten Suckrow, Siemens Home and Office Communication:
Plus en détailMarketing stratégique : Du diagnostic au plan marketing stratégique
Marketing stratégique : Du diagnostic au plan marketing stratégique Dossier 2 : Approches et modèles d analyse stratégique Ce dossier présente, en particulier sur un plan méthodologique, des approches
Plus en détailWEB et Industries de Santé Industrie Pharmaceutique, Dispositifs Médicaux, Imagerie, Diagnostic in vitro et Matériel Médical
WEB et Industries de Santé Industrie Pharmaceutique, Dispositifs Médicaux, Imagerie, Diagnostic in vitro et Matériel Médical Votre activité est spécifique et vous cherchez des réponses concrètes Stratégie
Plus en détailQ.C.M. (2 POINTS) N d anonymat : NOTES IMPORTANTES :
N d anonymat : Introduction à la Microéconomique Examen final Licence 1 Economie-Gestion 2010/2011 Enseignants (cours et travaux dirigés) : N. Andries, S.Billon et E. Darmon NOTES IMPORTANTES : 1. Durée
Plus en détailPDC suisse. Etablir la stabilité, protéger les épargnants et endiguer la chasse aux bonus
PDC suisse Etablir la stabilité, protéger les épargnants et endiguer la chasse aux bonus Document de position de la Présidence du PDC suisse du 23 octobre 2008 1 Introduction La Présidence du PDC suisse
Plus en détail