Exemple de mise en œuvre de l Education Thérapeutique du Patient en psychiatrie
|
|
- Martial Marchand
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Exemple de mise en œuvre de l Education Thérapeutique du Patient en psychiatrie Conférence du 15 novembre 2016 EPSM de l agglomération lilloise Dr G.Moyniez, EPSM Val de Lys Artois Frédéric Edouart, EPSM et IFSI Val de Lys Artois
2 SOMMAIRE Généralités sur l ETP L observance thérapeutique du patient en psychiatrie Présentation d un programme d ETP élaboré au sein de l EPSM Val de Lys Artois Débat Questions / Réponses 2
3 GENERALITES SUR L ETP
4 Généralités Généralités sur l ETP CONTEXTE Santé et Santé publique Santé : se gère au niveau de l individu Longtemps perçue comme l abs. de maladie en référence au modèle biomédical Aujourd hui : (OMS) «état complet de bien-être physique, mental et social», en référence au modèle global Santé Publique : se gère au niveau d une population, d une collectivité Promotion de la santé et prévention Plusieurs niveaux de prévention : primaire, secondaire, tertiaire et quaternaire 4
5 Généralités Généralités sur l ETP CONTEXTE Evolutions Ø Vieillissement de la population Ø Augmentation du nombre de personnes atteintes par une maladie chronique Ø Augmentation des dépenses de santé Ø Responsabilisation des patients et meilleure reconnaissance de leurs droits 5
6 Généralités Généralités sur l ETP CONTEXTE Réglementation Ø Loi du 4 Mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé : droit d accès, droit à l information, démocratie sanitaire Ø Loi du 9 Août 2004 relative à la politique de Santé Publique : promotion de la santé, objectifs de santé, plans nationaux pluriannuels(cancer, violence, environnement, maladies rares, maladies chroniques), coordination régionale des politiques de SP, inégalités de santé 6
7 Généralités Généralités sur l ETP CONTEXTE La maladie chronique Ø Notions de durée et d irréversibilité avec répercussions sur la vie sociale, familiale et professionnelle Ø Affecte l autonomie +++ Ø E.T.P = aider les patients à mobiliser leurs ressources pour maintenir leur autonomie 7
8 Généralités Généralités sur l ETP DEFINITION Ø OMS, Europe, 1996 : «Elle vise à aider les patients à acquérir ou maintenir les compétences dont ils ont besoin pour gérer au mieux leur vie avec une maladie chronique. Elle fait partie intégrante et de façon permanente de la prise en charge du patient. Elle comprend des activités organisées, y compris un soutien psychosocial, conçues pour rendre les patients conscients et informés de leur maladie, des soins, de l organisation et des procédures hospitalières, et des comportements liés à la santé et à la maladie.» 8
9 Généralités Généralités sur l ETP DEFINITION Ø (suite) «Ceci a pour but de les aider (ainsi que leurs familles) à comprendre leur maladie et leur traitement, collaborer ensemble et assumer leurs responsabilités dans leur propre prise en charge, dans le but de les aider à maintenir et améliorer leur qualité de vie.» 3 notions importantes : Responsabilité, Compétence mais surtout QUALITÉ DE VIE 9
10 Généralités Généralités sur l ETP LES 4 ETAPES DE LA DEMARCHE D ETP Ø L élaboration d un bilan éducatif partagé Ø La définition des compétences à acquérir par le patient ou plan personnalisé Ø La mise en œuvre des séances éducatives individuelles et collectives Ø La réalisation d une évaluation des compétences acquises par le patient 10
11 Généralités Généralités sur l ETP LES 4 ETAPES DE LA DEMARCHE D ETP Le bilan éducatif partagé : Ø Étape fondatrice Ø Approche personnalisée (face à face) Ø Temps d expression privilégié Ø Recueil des informations concernant toutes les dimensions de la vie du patient (5 dimensions) On fait le «point» avec le patient sur ce qu il a, ce qu il fait, ce qu il sait, qui il est, ses projets. 11
12 Généralités Généralités sur l ETP LES 4 ETAPES DE LA DEMARCHE D ETP Le programme personnalisé : Ø Synthèse du bilan éducatif Ø Négocier, avec le patient, les compétences à acquérir en fonctions des priorités Ø Formulation d objectifs consignés dans un contrat éducatif 12
13 Généralités Généralités sur l ETP LES 4 ETAPES DE LA DEMARCHE D ETP La démarche éducative : Ø Séances individuelles et/ou collectives Ø Techniques pédagogiques variées (en fonction des objectifs et des compétences à acquérir) Ø Groupes de 8 à 10 personnes maximum Ø Séances courtes 13
14 Généralités Généralités sur l ETP LES 4 ETAPES DE LA DEMARCHE D ETP L évaluation : Vérifie l atteinte des objectifs, recueil du ressenti et de l adaptation à la maladie 14
15 Généralités Généralités sur l ETP CADRE LEGISLATIF Ø Loi H.P.S.T du 21 juillet 2009 Titre III : «Prévention et Santé Publique» Article 84 Il existe de nombreux articles de loi, arrêtés et décrets qui régissent la pratique de l E.T.P : 2 août 2010, 31 mai 2013, 14 janvier
16 Généralités Généralités sur l ETP CADRE LEGISLATIF Ø Pas de contact direct entre un patient (ou son entourage) et une entreprise se livrant à l exploitation d un médicament Ø Ces entreprises ne peuvent ni élaborer ni mettre en œuvre les programmes ou actions d E.T.P mais peuvent y prendre part. Ø Les programmes sont mis en œuvre après autorisation de l A.R.S et sont évalués par la H.A.S (auto évaluation annuelle et quadriennale) 16
17 Généralités Généralités sur l ETP CADRE LEGISLATIF (suite) Ø Les professionnels qui dispensent l E.T.P doivent suivre une formation de 40 h Ø Un programme doit être mis en œuvre par au moins 2 professionnels de santé. Lorsque le programme n est pas coordonné par un médecin, l un de ces 2 professionnels est un médecin Ø La demande d autorisation se fait en adressant un dossier au directeur de l A.R.S concernée. L autorisation est valable 4 ans. 17
18 Généralités Généralités sur l ETP FINANCEMENT DE L ACTIVITE Autorisation de l A.R.S Accord de financement Différentes sources de financement 18
19 Généralités Généralités sur l ETP QUELQUES CHIFFRES Ø Au niveau national : 1 ère vague d autorisations (source : Direction Générale de la Santé, mars 2011) 19
20 Généralités Résultats d une enquête effectuée en 2012 IFCS - «La mise en œuvre de l ETP en psychiatrie à l épreuve des représentations» Ø Des représentations plutôt «négatives» à l égard de l ETP chez les soignants exerçant en psychiatrie Ø Une forme de connaissance partielle de l ETP 20
21 Généralités Perspectives Ø Évolutions des pratiques, changement pour les équipes Ø Adaptation de l ETP aux spécificités du soin en psychiatrie Ø Prise en compte des représentations du patient et des soignants Ø Plusieurs leviers : information, sensibilisation, formation du personnel mais aussi analyse et évaluation des pratiques (APP/EPP) 21
22 L OBSERVANCE THÉRAPEUTIQ UE DU PATIENT EN PSYCHIATRIE
23 Observance L observance thérapeutique du patient en psychiatrie Définition de l observance (Haynes, 1979) «Adéquation entre le comportement du patient et les recommandations de son médecin concernant un programme thérapeutique (traitement médicamenteux, psychothérapie, règles d hygiène de vie, examens complémentaires ou présence aux rendez-vous)» En psychiatrie : Ø Confrontation à la chronicité Ø Suivis au long cours Ø Intérêt d une alliance thérapeutique de qualité pour une bonne prise en charge du patient. Ø Donc nécessité de travailler à obtenir une observance de qualité!!!! 23
24 Observance L observance thérapeutique du patient en psychiatrie Evaluation de l observance Une mauvaise observance peut revêtir plusieurs aspects: Ø Non respect du contrat thérapeutique Ø Rendez-vous manqués Ø Ignorance ou mauvaise interprétation des informations délivrées Ø Arrêt ou prise anarchique du traitement L utilisation des formes retard diminue le risque de mauvaise observance, problème majeur pour traitement per os Ø Médication orale: mauvaise observance 46% Ø Formes retard: mauvaise observance 17% 24
25 Observance L observance thérapeutique du patient en psychiatrie Facteurs influençant la qualité de l observance liés : Ø Au patient (ATCD, abus de substances, niveau scolaire) Ø Au traitement (effets thérapeutiques et secondaires) Ø À l environnement Ø Au médecin et à l équipe soignante Le degré de motivation pour la prise effective d un traitement dépend de : Ø L intention verbalisée de prendre le médicament Ø La conviction de l utilité du traitement Ø L espérance d une amélioration durable grâce à cette médication. 25
26 Observance De l observance à l ETP en passant par la schizophrénie. SCZ: pathologie chronique, invalidante, source de handicap Etude CATIE: 1493 patients: Non-adhésion thérapeutique 25% 74%: traitement antipsychotique arrêté avant fin de l étude (18mois) 30% d entre eux l ont arrêté de leur propre chef Pronostic conditionné par la qualité de sa prise en charge initiale: amélioration de l observance >>> amélioration du pronostic Cible idéale d un programme d ETP: Schizophrénie débutante Impact +++: diminution des rechutes, amélioration de l état de santé global. 26
27 Observance Rappels sur la schizophrénie Fréquente : prévalence 0.3 à 0.66% Manifestations cliniques variées: Ø Symptômes positifs: délire, hallucinations Ø Symptômes négatifs: repli sur Soi, émoussement affectif, troubles de la pensée Ø Dissociation Pronostic variable d un individu à l autre: Ø Importance d une prise en charge précoce Ø Intérêt de connaître sa propre maladie pour le patient (symptômes, traitements, signes de rechute ) 27
28 Observance Qu apporte l ETP au patient schizophrène? Technique de réhabilitation psycho-sociale, début années 80 3 objectifs: Ø Bonne récupération cognitive Ø Rémission symptomatique Ø Bon fonctionnement social S intègre aux autres PEC : traitement, réhabilitation psycho-sociale, psychothérapie 28
29 Observance Qu apporte l ETP au patient schizophrène? Littérature: base COCHRANE, méta-analyse de Xia et al. Permet une amélioration significative Ø État clinique Ø Pronostic ultérieur Permet la construction d une alliance thérapeutique Autonomisation du patient, patient «acteur» de sa prise en charge! 29
30 Observance Objectifs de l ETP dans les schizophrénies débutantes Mise en place de modules éducationnels apporte des résultats sur: Ø Réhabilitation psychosociale Ø Respect de l alliance thérapeutique Ø Qualité de vie des malades Ø Stabilisation durable de l état clinique Intérêt de la PEC des familles Nécessité de réitérer dans le temps ces modules Meilleure approche des services de soins 30
31 Observance Objectifs de l ETP dans les schizophrénies débutantes Connaître sa propre maladie: Ø Modes de début Ø Évolution, pronostic Ø Symptômes (les relier à la pathologie!!!) Ø Savoir détecter les signes de rechutes et savoir y réagir Connaître son traitement: Ø Rôle Ø Intérêt Ø Effets indésirables et leur prise en charge Ø Travail sur l observance, savoir gérer son traitement 31
32 Observance Objectifs de l ETP dans les schizophrénies débutantes Gestion de la vie quotidienne, aide à l autonomie: Ø Hygiène de vie, diététique Ø Mobilisation de l entourage, associer les familles Ø Ouverture vers le monde associatif Connaître ses droits et les dispositifs d aide existants: Ø MDPH, mesures de protection Ø Établissements médico-sociaux Ø Réinsertion socioprofessionnelle 32
33 Observance Pour conclure Un outil à part entière dans la prise en charge des schizophrénies: Ø Facteur d observance Ø Amélioration du pronostic Ø Limitation du retentissement fonctionnel et du handicap Ne pas le proposer>> perte de chance Ø Encore trop peu développé Ø Patient acteur de ses soins Ø Approche intégrative: traitement, ETP, réhabilitation. 33
34 PRÉSENTATIO N DU PROGRAMME D ETP «JE VIS MIEUX AVEC MA SCHIZOPHRENI E»
35 L EPP Application à l ETP THEME : Evaluation de l observance thérapeutique du jeune patient schizophrène entre 20 et 40 ans au sein de l EPSM de SAINT VENANT. METHODE : INDICATEURS (Audit de dossiers a posteriori) : Ø Ø Ø Respect du suivi ambulatoire : présence aux consultations (médicales, psychologiques et infirmières), au CATTP, à l HDJ (Oui/Non) Ré hospitalisations (Oui/Non) Adhésion au traitement neuroleptique, évalué à l aide de l échelle MARS OBJECTIFS : Améliorer les indicateurs d observance MOYENS : Ø Ø Ø Ø Améliorer les connaissances sur la maladie Améliorer les connaissances sur le traitement Identifier les symptômes de rechute et favoriser l adhésion aux soins Informer et soutenir les proches ETP 35
36 Le programme Objectif global : améliorer l observance thérapeutique chez le jeune patient schizophrène de façon à influer sur sa qualité de vie et celle de ses proches Objectifs spécifiques : Développer des compétences en matière de communication et de relations interpersonnelles Mettre en œuvre des modifications de son mode de vie Faire face aux problèmes occasionnés par la maladie et prévenir des complications évitables Impliquer son entourage dans la gestion de la maladie, des traitements et des répercussions qui en découlent 36
37 Les séances Le bilan éducatif partagé Atelier 1 : «comment je vis avec la maladie» Atelier 2 : «je connais ma maladie» Atelier 3 : «je connais les effets de mon traitement» Atelier 4 : «je prends mon traitement, je mange correctement, je maîtrise mon poids assurément» Atelier 5 : «je m organise pour gérer ma maladie» Atelier 6 : «je me soigne, je m informe, je connais mes droits et je sais où m adresser» Le bilan et l évaluation individuelle des compétences 37
38 Mise en oeuvre Dépôt de dossier à l ARS prévu avant janvier 2017 Nécessité de former certains membres de l équipe Approche transversale et pluri professionnelle Projet d élaborer d autres programmes autour de nouvelles thématiques 38
39 ATELIER 1 «Comment je vis avec la maladie» 39
40 ATELIER 1 «Comment je vis avec la maladie» OBJECTIFS Offrir un espace de parole libre afin de favoriser les échanges et l expression de chacun (patients et aidants) INTERVENANTS 2 IDE +/- psychologue Patient intervenant COMPETENCES Exprimer ses difficultés Savoir partager son expérience personnelle de la maladie 40
41 ATELIER 1 DEROULEMENT DE LA SEANCE Accueil de chaque participant et brève présentation de chacun Présentation du programme d ETP et remise du fascicule correspondant Témoignage interactif du patient observant sur son expérience de la maladie et du traitement Jeu de société abordant la maladie, les symptômes, le ttt, le regard des autres, les représentations des patients Expression des attentes quant au contenu de la séance suivante Présentation de l atelier Pause Evaluation 41
42 ATELIER 1 OUTILS Fascicule de présentation du programme d ETP Jeu de société S quizz ophré nie Bonhomme à bulles à compléter 42
43 Fascicule de présentation du programme d ETP ATELIER 1 43
44 Jeu de société S quizz ophré nie ATELIER 1 44
45 Bonhomme à bulles à compléter ATELIER 1 45
46 ATELIER 2 «Je connais ma maladie» 46
47 ATELIER 2 «Je connais ma maladie» OBJECTIFS Apporter des connaissances sur la schizophrénie et ses symptômes INTERVENANTS Un médecin Un cadre de santé ou un infirmier COMPETENCES Développer des connaissances sur sa maladie Reconnaitre des symptômes et les relier à sa maladie Connaitre les évolutions possibles de sa maladie Identifier le dispositif de soins existant 47
48 ATELIER 2 OUTILS Témoignages vidéo de patients Powerpoint «la schizophrénie» Présentation des différentes classes de psychotropes et leurs indications Fiches mémo 48
49 ATELIER 2 DEROULEMENT DE LA SEANCE Témoignages vidéo de patients avec échange collectif Powerpoint «la schizophrénie» Présentation des différentes classes de psychotropes et leurs indications Fiches mémo sur les principales caractéristiques de la maladie Présentation de l atelier Pause Evaluation 49
50 ATELIER 2 Powerpoint «la schizophrénie» Contenu : Ø Définitions, généralités Ø Causes et modes de début Ø Signes cliniques de la maladie Ø Evolution Ø Prises en charge proposées : suivis, traitements, prise en charge globale et régulière! 50
51 ATELIER 3 «Je connais mon traitement et ses effets» 51
52 ATELIER 3 «Je connais mon traitement et ses effets» OBJECTIFS Apporter des connaissances sur le traitement et ses effets indésirables INTERVENANTS +/- Pharmacien 1 infirmier COMPETENCES Connaître le traitement prescrit par le médecin Réagir en cas d oubli de prise du traitement Prendre des médicaments en toute sécurité Identifier et utiliser des médicaments génériques 52
53 ATELIER 3 DEROULEMENT DE LA SEANCE Manipulation de boites de traitements et échanges sur leurs indications Rappel des différentes classes de médicaments et distribution d un tableau récapitulatif et de fiches mémo Information sur les génériques, sur la CAT en cas d oubli et sur les bonnes pratiques en général Planification individuelle des prises de traitement sur une frise et à l aide de magnets Information et échanges sur les E II des psychotropes via un outil interactif manipulé par les patients Présentation de l atelier Pause Evaluation 53
54 ATELIER 3 OUTILS BOITES DE MEDICAMENTS FICHES MEMO FRISE ET MAGNETS OUTIL INTERACTIF EFFETS SECONDAIRES 54
55 ATELIER 3 BOITES DE MEDICAMENTS 55
56 ATELIER 3 FICHES MEMO (en cours d élaboration) LES NEUROLEPTIQUES ATYPIQUES DCI PRINCEPS Mode d action :... Effets secondaires :... Précautions d emploi :... 56
57 ATELIER 3 FRISE ET MAGNETS Frise journalière 8H 12H 16H 20H Frise mensuelle Sem 1 Sem 2 Sem 3 Sem 4 57
58 OUTIL INTERACTIF EFFETS SECONDAIRES ATELIER 3 58
59 ATELIER 4 «Je prends mon traitement, je mange correctement, je maîtrise mon poids assurément» 59
60 ATELIER 4 «Je prends mon traitement, je mange correctement, je maîtrise mon poids assurément» OBJECTIFS Connaître les bases de l équilibre alimentaire Éviter et/ou limiter la prise de poids liée au traitement neuroleptique Rendre les patients autonomes et responsables dans leurs choix alimentaires quotidiens INTERVENANTS 1 Diététicienne 1 IDE COMPETENCES Équilibrer son alimentation Identifier les aliments à haute densité énergétique 60
61 ATELIER 4 DEROULEMENT DE LA SEANCE Échange sur la prise de poids sous neuroleptique Manipulation des cartes d aliments pour cibler les habitudes des patients Information sur l équilibre alimentaire et mise en application Identification des aliments à haute densité énergétique via un exercice pratique sur les équivalences Remise de documents : le saviez-vous? Et la courbe des repères Présentation de l atelier Pause Evaluation 61
62 ATELIER 4 OUTILS Echanges sur la prise de poids sous NL «Dis moi comment tu manges?» L équilibre alimentaire Les équivalences 62
63 Echanges sur la prise de poids sous NL ATELIER 4 Ø Cause de non observance au traitement Ø Augmentation de l appétit, attirance pour les produits sucrés et diminution de l activité physique Ø Prise de poids de 5 à 10 Kg au début du traitement A Variable selon les habitudes alimentaires et le mode de vie du patient 63
64 «Dis moi comment tu manges?» ATELIER 4 Objectif : Mettre en évidence les comportements alimentaires des patients 64
65 ATELIER 4 L équilibre alimentaire Objectif : Énoncer les règles de l équilibre alimentaire et impliquer les patients dans la réflexion sur leur propre alimentation Ø Les 7 familles d aliments et leurs intérêts nutritionnels Ø Les fréquences de consommation du PNNS Ø Les clés de l équilibre alimentaire 65
66 ATELIER 4 Les équivalences Objectif : Prendre conscience des quantités de sucre et de graisse cachés dans les aliments et identifier les aliments à haute densité énergétique 66
67 ATELIER 4 Documents remis en fin de séance 67
68 ATELIER 5 «Je m organise pour gérer ma maladie» 68
69 ATELIER 5 «Je m organise pour gérer ma maladie» OBJECTIFS Favoriser la participation des usagers à la gestion de leur maladie Renforcer l alliance thérapeutique INTERVENANTS 1 Ergothérapeute 1 IDE COMPETENCES identifier les symptômes de rechute repérer les moments opportuns pour la prise du traitement Utiliser des moyens de compensation individuels pour une prise effective du traitement 69
70 ATELIER 5 DEROULEMENT DE LA SEANCE Visionnage d un témoignage vidéo ciblé sur les signes de rechute Présentation et utilisation de cartes de émotions afin de connaître le ressenti des patients. Utilisation de l outils «smileys» Apport théorique puis création d un semainier individualisé en f de ses habitudes de vie (horaire du lever, du coucher, repas, activités fixes, émissions de tv suivie.) Reprise individuelle pour faire repérer le mmt opportun pour ne pas oublier la prise du ttt et les autres soins et les moyens mnémotechniques comme le portable, les mails, les montres Présentation de l atelier Pause Evaluation 70
71 ATELIER 5 OUTILS VIDEO SUR LES SIGNES DE RECHUTES OUTILS SMILEYS OUTILS MEMO 71
72 VIDEO SUR LES SIGNES DE RECHUTES ATELIER 5 72
73 ATELIER 5 OUTILS SMILEYS 73
74 ATELIER 5 OUTILS MEMO 74
75 ATELIER 6 «Je me soigne, je m informe, je connais mes droits et je sais où m adresser» 75
76 ATELIER 6 «Je me soigne, je m informe, je connais mes droits et je sais où m adresser» OBJECTIFS Exposer les différentes prestations et services pouvant apporter une aide et un soutien aux patients et à leur entourage INTERVENANTS 1 assistante sociale 1 représentant d association de patients COMPETENCES connaître les prestations et les orientations proposées par la M.D.P.H aux personnes souffrant d un handicap psychique savoir constituer une demande auprès de la M.D.P.H nommer les structures de réinsertion sociale identifier les dispositifs d aide à la gestion administrative et financière 76
77 77 ATELIER 6
78 78 ATELIER 6
79 79 ATELIER 6
80 80 ATELIER 6
81 81 ATELIER 6
82 82 ATELIER 6
83 EVALUATION Plusieurs types d évaluation 83
84 EVALUATION Evaluation de chaque séance d ETP par les patients (grille commune à chaque séance) Evaluation des connaissances acquises par chaque patient à l issue de chaque séance Evaluation des connaissances acquises par chaque patient en fin de programme d ETP Auto évaluation annuelle et quadriennale du programme (ARS/HAS) Indicateurs de structure : ressources HMF Indicateurs de processus : activité, coordination Indicateurs de résultats : effet de l ETP 84
85 85 MERCI POUR VOTRE ATTENTION
86 DEBAT En lien avec votre expérience dans le domaine de l ETP, quelles sont vos réactions à l issue de cette présentation? Souhaitez-vous nous faire partager votre expérience? Quelle place pour l ETP dans le parcours de soin du patient en psychiatrie? 86
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailLa formation comme levier de changement des pratiques
Place des pharmaciens d officine au sein du réseau Onco 94 Ouest La formation comme levier de changement des pratiques 2 ème congrès des Réseaux de cancérologie Rouen Atelier : place de la formation 3
Plus en détailSOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5
SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailEducation Thérapeutique (ETP)
Education Thérapeutique (ETP) Enfant diabétique type I Marie Caron Infirmière puéricultrice référente en éducation thérapeutique Maryse Tamburro Cadre puéricultrice Centre initiateur de pompes à insuline
Plus en détailRéflexe Prévention Santé. Réflexe Prévention Santé
Réflexe Prévention Santé Bien utiliser votre contrat Réflexe Prévention Santé Prenez votre santé en main Des spécialistes vous accompagnent Vous bénéficiez d un programme diététique Ce service est un programme
Plus en détailRéseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP
Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailLES PROFESSIONNELS DE LA SANTE
AD'PROSANTE : DES FORMATIONS POUR LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE AD'PROSANTE - GROUPE SOFT FORMATION 84, Boulevard de la Corderie 13007 Marseille Tél : 04.91.15.71.03 Fax : 04.91.81.52.62 1 NOTRE OFFRE
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailLa prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre
La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,
Plus en détailLa formation dans tous ses états. Programme et méthode de formation continue sur la
La formation dans tous ses états Programme et méthode de formation continue sur la «Préparation des médicaments anticancéreux» Répond à (Art R 950-4 al 1 du Code du Travail) Par qui, Comment et Pourquoi.
Plus en détailCENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE
CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE 12 rue aux raisins - 62600 BERCK SUR MER 03.21.89.44.01 - Fax : 03.21.89.44.82 Le mot d
Plus en détailLA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN
LA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN définition Démarche de soins = processus de soins Processus intellectuel, Mode de pensée logique et rigoureux, Résolution de problème
Plus en détailCarlo Diederich Directeur Santé&Spa. Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu
Carlo Diederich Directeur Santé&Spa Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu Mondorf Healthcare at work Nouveau service destiné aux entreprises en collaboration avec les Services de Médecine du Travail
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailDomaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé
Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules
Plus en détailEntretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC
Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations
Plus en détailSe libérer de la drogue
Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir
Plus en détailLa santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services
1 solidaire Apporter une réponse concrète aux besoins de la population en matière de santé, selon des principes fondamentaux de solidarité et d entraide. Développer un important réseau d œuvres sanitaires
Plus en détailLe soin diététique réalisé par un diététicien en établissement de santé
Recommandations pour la pratique clinique Le soin diététique réalisé par un diététicien en établissement de santé Recommandations Mai 2011 Association Française des Diététiciens Nutritionnistes 35 allée
Plus en détailFormation sur la sécurisation du circuit du médicament
Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE
Plus en détailGestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional
Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut
Plus en détail«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»
«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DE LA SANTÉ ET DES DROITS DES FEMMES SANTÉ
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DE LA SANTÉ ET DES DROITS DES FEMMES _ SANTÉ Professions de santé Arrêté du 23 septembre 2014 relatif à la création d une annexe «Supplément au diplôme» pour les formations
Plus en détailLIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER
LIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER Le secteur de la Recherche scientifique et de la biotechnologie connaît un fort dynamisme, attesté par
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailTROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC)
TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) Comprendre, prévenir et prendre en charge la clinique du mouvement et de l agir de l enfant Pierre Delion 1. Actualité Les enfants sont préoccupants sur ce point
Plus en détailDOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers)
DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) Chère Consœur, Cher Confrère, Ces renseignements médicaux
Plus en détailDécouvrez un nouveau métier :
Institut Français de Coaching en Sport - Santé - Bien-Être Découvrez un nouveau métier : 1 er Formation de coaching* réunissant 3 domaines : La Prévention Santé (prévenir les principales maladies de civilisation)
Plus en détailLogiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détail> Présentation du programme... 3. > Peps Eurêka - Mémoire : Pour donner du Peps à ses neurones et à sa vie... 4
2 SOMMAIRE > Présentation du programme... 3 > Peps Eurêka - Mémoire : Pour donner du Peps à ses neurones et à sa vie... 4 > L Équilibre, où en êtes-vous? : Prévenir les chutes et apprendre à se relever
Plus en détailTrouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée
Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée Dr G. Fournis Service de Psychiatrie et d Addictologie CHU Angers Faculté de Médecine Angers 1 Introduction
Plus en détailCritères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction
Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les
Plus en détailPARAMEDICAL. Métiers et formations. Centre d information et d orientation de NOUMEA
PARAMEDICAL Métiers et formations Centre d information et d orientation de NOUMEA Santé et paramédical Soins médicaux médecin, chirurgien dentaire, pharmacien, sage-femme Soins paramédicaux infirmier,
Plus en détailBienvenue à la formation
Bienvenue à la formation Environnement Alimentation Heure Ecriture Lecture Vie quotidienne Emotions Argent Informatique Poids et mesures Communication Orientation spatiale et temporelle Programme des cours
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailLa consultation diététique réalisée par un diététicien
Recommandations pour la pratique clinique La consultation diététique réalisée par un diététicien Recommandations Janvier 2006 Avec le partenariat méthodologique et le soutien financier de la Tous droits
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailLa santé en entreprise :
avenue du marché gare 34070 Montpellier Repas offert à Montpellier Restaurant La Table de Cana Découverte Partage Convivialité Cuisine ou au 04 99 58 88 90 ou par mail : accueil@mflr.fr sur inscription
Plus en détail«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détailClassifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.
Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer
Plus en détailCONTENU DU CAHIER DE GESTION
COMMISSION SCOLAIRE DE KAMOURASKA RIVIÈRE-DU-LOUP CONTENU DU CAHIER DE GESTION SECTION I CONSEIL DES COMMISSAIRES Règlement fixant le jour, l heure et le lieu des séances ordinaires du conseil des commissaires
Plus en détailDIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER
OBJECTIFS Réaliser le dossier dans chaque domaine de diagnostique immobilier : amiante, plomb, diagnostic de performance énergétique, termites, gaz et installations intérieures électriques, mesurage des
Plus en détailREFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES
REFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES Le médecin et le pharmacien bien que fréquentant souvent des facultés
Plus en détailPôle de compétence en promotion de la santé région Centre en Promotion de la Santé en Région Centre. Salon des formations en promotion de la santé
Fédération Régionale des Acteurs FRAPS Pôle de compétence en promotion de la santé région Centre en Promotion de la Santé en Région Centre Salon des formations en promotion de la santé Mardi 20 janvier
Plus en détailTable des matières. Première partie : Énergie et Polarité... 23 REMERCIEMENTS... 11 NOTE DE L AUTEURE... 13 COMMENT UTILISER CE GUIDE...
Table des matières su REMERCIEMENTS... 11 NOTE DE L AUTEURE... 13 COMMENT UTILISER CE GUIDE... 15 À QUI S ADRESSE CE LIVRE... 17 INTRODUCTION... 19 Première partie : Énergie et Polarité... 23 CHAPITRE
Plus en détailSOINS ET ACCOMPAGNEMENTS. Professionnels de la psychiatrie. www.psycom.org
SOINS ET ACCOMPAGNEMENTS Professionnels de la psychiatrie www.psycom.org Professionnels de la psychiatrie SOMMAIRE Organisation des soins psychiatriques Professionnels de la psychiatrie Psychiatre et pédopsychiatre
Plus en détailATELIER 2: Les «bénéfices psychologiques» de l ETP: psychothérapie, thérapie cognitivocomportementale. quels équilibres?
12èmes Journées Régionales d échanges en Education du Patient EDUCATION DU PATIENT : «Entre bénéfices possibles et attendus.vers de nouveaux équilibres» jeudi 29 et vendredi 30 novembre 2012 ATELIER 2:
Plus en détailL observatoire «Entreprise et Santé»
LA SOCIÉTÉ D ÉTUDES ET DE CONSEIL L observatoire «Entreprise et Santé» Viavoice Harmonie Mutuelle en partenariat avec Le Figaro et France Info Enquête auprès des salariés et des dirigeants d entreprise
Plus en détailAssociation La vie pour Christie Section «On devient moins petit» Les chemins de L Isle-84800 Lagnes
Association La vie pour Christie Section «On devient moins petit» Les chemins de L Isle-84800 Lagnes QUESTIONNAIRE D ENQUETE SUR LES BESOINS RELATIFS A L ACCUEIL DES ENFANTS DEFICIENTS INTELLECTUELS Ce
Plus en détailLa supervision en soins infirmiers
La supervision en soins infirmiers (article en deux parties : version jumelée) La pratique de la supervision en soins infirmiers étant peu courante en France et les écrits la concernant de même, bien que
Plus en détailL enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé
L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé 3 e conférence sur les traitements de la dépendance aux opioïdes Genève, 19 octobre 2012 Nicolas Bonnet, directeur du Respadd Anne
Plus en détailFonctionnalités HSE PILOT. Groupe QFI www.hse-pilot.com
Fonctionnalités HSE PILOT Groupe QFI www.hse-pilot.com Module produit chimique RECENSEMENT DES PRODUITS Les produits chimiques sont omniprésents dans les entreprises. La gestion qui leur est associée peut
Plus en détailOr, la prévention des risques psychosociaux relève de l obligation générale de l employeur de protéger la santé physique et mentale des salariés.
Introduction Les symptômes du stress (troubles du sommeil, de l appétit, agressivité, épuisement, troubles de la concentration ), touchent un nombre croissant de salariés en France : un salarié sur 6 déclare
Plus en détailL évolution des rôles en soins infirmiers. Un changement à s approprier
L évolution des rôles en soins infirmiers Un changement à s approprier Les formateurs Louise Leduc Coordonnatrice du développement clinique de la pratique en soins infirmiers, DPSSS-DSI Stéphane Gagnon
Plus en détailLe décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.
Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailEsprit critique et dérives psychologique
Esprit critique et dérives psychologique L'esprit critique et l'autodéfense intellectuelle... Psy : clés d interprétation de notre environnement La construction et la transmission du savoir recouvre des
Plus en détailCompliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1
Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,
Plus en détailL E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s
L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s Stéphane Safin Psychologue - Ergonome Lucid Group -
Plus en détailÉvaluation et recommandations
ÉVALUATION ET RECOMMANDATIONS 13 Évaluation et recommandations Les personnes souffrant de troubles mentaux s intègrent mal sur le marché du travail. En Belgique, par rapport aux personnes qui ont une bonne
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailLa prise en charge d un trouble bipolaire
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge d un trouble bipolaire Vivre avec un trouble bipolaire Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailLa psychothérapie. Se poser les bonnes questions
La psychothérapie Se poser les bonnes questions? LA PSYCHOTHÉRAPIE Au Québec, la psychothérapie est une activité réservée par la loi * depuis juin 2012, ce qui signifie que seules les personnes autorisées,
Plus en détailANNUAIRE SANTE. Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires
ANNUAIRE SANTE Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires IREPS : Instance Régionale d Education et de Promotion de la Santé Poitou-Charentes (4 antennes
Plus en détailMinistère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier. Portfolio de l étudiant
Ministère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier Annexe VI Portfolio de l étudiant Nom et prénom de l étudiant : Institut de formation en soins : Date d entrée dans la formation : Nom et prénom
Plus en détailCONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:
CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailA PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES
IED PARIS 8 A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES La procédure d équivalence permet de dispenser les étudiants de certains enseignements dans la mesure où ils peuvent justifier de l acquisition
Plus en détailZOOM ETUDES Les études paramédicales. Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013
ZOOM ETUDES Les études paramédicales Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013 L enseignement supérieur français - santé Études de médecine, pharmacie et odontologie : Universités en partenariat
Plus en détailLe patient traceur comme outil de développement de la culture qualitérisques-sécurité. CAPPS Bretagne Rennes 12 juin 2015
Le patient traceur comme outil de développement de la culture qualitérisques-sécurité CAPPS Bretagne Rennes 12 juin 2015 Contexte HIA Clermont Tonnerre Hôpital de 200 lits, MCO adulte, psychiatrie et SSR,
Plus en détailSANTE ECOLE ENSEIGNANTS
SANTE ECOLE ENSEIGNANTS Formation des directeurs 13 mai 2014 Nadine Colin, déléguée MGEN SANTE ECOLE ENSEIGNANTS 1. La MGEN, acteur de santé? 2. Eléments de réflexion et de débats 3. Dispositifs et outils
Plus en détailLe case management de transition (CMT) Une illustration de pratique avancée en soins infirmiers
XIIe Congrès Européen Lausanne, le 22 novembre 2013 Le case management de transition (CMT) Une illustration de pratique avancée en soins infirmiers Cécile Morgan & Patricia Jaunin, Infirmières spécialisées
Plus en détail*Dans tout le document lire : infirmier/infirmière
*Dans tout le document lire : infirmier/infirmière F L O R E N C E A M B R O S I N O, C É C I L E B A R R I È R E, G A L A D R I E L B O N N E L, C H R I S T O P H E D E B O U T, P A S C A L L A M B E
Plus en détailPandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu
Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailSERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER. d AURILLAC. 1er congrès de l AFGRIS
SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER henri MONDOR d AURILLAC 1er congrès de l AFGRIS METHODE D ANALYSE ET DE PREVENTION DES RISQUES ET CERTIFICATION ISO 9002 Un couple pertinent pour les services techniques
Plus en détailRésidence MBV Les FIGUERES -Capendu-
Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Accompagnement de fin de vie: un travail d équipe Fin de vie en EHPAD Quel que soit le lieu de la «toute fin de vie» et du décès des résidents d Ehpad, l accompagnement
Plus en détailDéclarations européennes de la pharmacie hospitalière
Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que
Plus en détailCATALOGUE DES FORMATIONS INTRA / INTER 2013 / 2014
CATALOGUE DES FORMATIONS INTRA / INTER 2013 / 2014 2 SOMMAIRE NOTRE OFFRE DE FORMATION INTRA PAGE 3 ALIMENTATION ET SOINS HYGIÈNE ALIMENTAIRE ET HACCP EN CUISINE OU EN OFFICE NOTRE OFFRE DE FORMATION INTER
Plus en détailRévision des descriptions génériques Comment monter un dossier?
DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP
Plus en détailGHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND
GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas
Plus en détailDOSSIER D'INSCRIPTION
Ce dossier vaut pour inscription définitive DOSSIER D'INSCRIPTION CE DOCUMENT RECTO EST A REMPLIR PAR LA TUTELLE et à nous envoyer directement LES PAGES SUIVANTES sont à remplir par l'établissement ou
Plus en détailFORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES. Promouvoir les soins pharmaceutiques
FORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES Promouvoir les soins pharmaceutiques PRÉSENTATION DE LA FORMATION Contexte Le métier du pharmacien est en pleine évolution. Un concept qui va
Plus en détail